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1.
Zusammenfassung Die Zu- oder Abnahme von Fl?che. Hektarertrag und Gesamtproduktion in der Welt sowie in verschiedenen Regionen und L?ndern in den Jahren 1962 bis 1973 wurde diskutiert (Abb. 1–5). Mit Hilfe von Regressionsgleichungen wurde die Zu- oder Abnahme von Fl?che. Ertrag und Produktion errechnet und als Prozent der Situation im Jahre 1962 ausgedrückt. Die Regressionsgleichungen und die Korrelationskoeffizienten sind am Fuss der Abbildungen aufgeführt. Diesen kann auch die Fl?che. der Ertrag oder die Produktion im Jahre 1962 entnommen werden. Auffallend sind die Abnahme der Fl?che in Westeuropa. besonders in der Bundesrepublik Deutschland und in Frankreich, sowie die Zunahme der Fl?che und der Produktion in den Tropen. In Europa (ohne UdSSR) sank der Konsum j?hrlich um ungef?hr 1/2% (Abb. 6) und der Konsum pro Kopf um etwas mehr als 1% (Abb. 9). In den USA stieg der Gesamtverbrauch j?hrlich um etwa 1% (Abb. 8), und der Verbrauch pro Kopf schien ziemlich konstant zu sein (Abb. 9). In Europa (ohne UdSSR) nahm die Kartoffelst?rkeproduktion um 50% zu, und in den neun EG-L?ndern wurde diese Erzeugung nahezu verdoppelt (Abb. 7). In diesem Artikel wird angenommen, dass 25% der Speise- oder Saatkartoffelerzeugung Abfall sind (bei der Sortierung ausgelesene Knollen) und als Futterkartoffeln verwendet werden. In Europa (ohne UdSSR) wird ungef?hr die H?lfte der gesamten Produktion zur Verfütterung verwendet, und ungef?hr 40% wird eigens zu diesem Zweck angebaut und verwertet (Abb. 6). In den neun EG-L?ndern sank die Gesamtmenge, die als Futterkartoffeln verwendet wurde, von 40% auf 30% der Gesamterzeugung. Die Menge, die eigens als Futterkartoffeln angebaut und verwertet wurde, feil von 30% auf etwa 12% der Gesamtproduktion (Abb. 7). Es ist anzunehmen, dass der zukünftige Anbau von Futterkartoffeln vom Gewinn abh?ngt, den die Pflanzer daraus im Vergleich zu jenem aus dem Mais- oder Gerstenanbau ziehen. Auf Basis des Futterwertes von 1 kg Trockenkartoffeln (erhalten aus 4 kg Kartoffeln mit 23% Trockensubstanz (TS)) und von 1 kg Mais oder 1 kg Gerste betr?gt der Preis, bei welchem Kartoffeln mit Gerste oder Mais vergleichbar sind, für 1 kg Kartoffeln (23% TS): 1000/933×1/4×Preis für 1 kg Gerste oder 1000/1067×1/4 Preis für 1 kg Mais Abb. 10 und 11 zeigen die direktkostenfreien Ertr?ge für Mais. Gerste und Kartoffeln bei verschiedenen Preisen und für drei Ertr?ge pro ha (für die Berechnung des direktkostenfreien Ertrages siehe Anhang 1.2 und 3). Aus diesen Zahlen geht hervor, dass der Futterkartoffelanbau schwerlich mit der Mais-produktion konkurrieren kann, dass aber bei Preisen von etwa Hfl. 45 pro 100 kg Gerste die Kartoffelproduktion inklusive Trocknung mit der Gerstenerzeugung in Wettbewerb treten kann. Es darf also angenommen werden. dass bei Gerstenpreisen unter Hfl. 40 der Futterkartoffelanbau nur in jenen F?llen rentabel ist, wo der Kartoffelertrag im Vergleich zu Gerste hoch ist, oder auf Betrieben, wo ein Ueberschuss an Arbeitskr?ften besteht und das Eind?mpfen und Silieren der Kartoffeln wirtschaftlich tragbar ist. Wenn der Preis für Gerste für l?ngere Zeit über Hfl, 45 steigt, ist, eine Zunahme des Futterkartoffelanbaus zu erwarten, sofern Geld zur Investierung in Trocknungsanlagen verfügbar ist und die Inflation nicht zu stark ist. Die hohe Trockensubstanzproduktion pro ha Kartoffeln im Vergleich mit Weizen. Gerste und Mais (Tabelle 6) ist der Hauptgrund. weshalb bei hohen Gerstenpreisen die Futterkartoffeln eine Chance haben. Bei Kartoffeln für die St?rkeproduktion wurde das gleiche Vorgehen verfolgt. Die Beziehung zwischen den Preisen für Kartoffeln und Mais ist in Abb. 12 dargestellt. Aufgrund dieser Beziehung und des Anhanges 1 und 3 wurde die Abb. 13 erstellt. Diesen Daten entsprechend kann die Kartoffelst?rkeproduktion mit jener von Mais bei Maispreisen über Hfl. 35 pro 100 kg konkurrieren. Die Kartoffelproduktion pro Kopf in L?ndern zwischen 30° N und 30° S (Tabelle 1) ist ausserordentlich niedrig. Die Energie- und Proteinzerzeugung der Kartoffeln pro ha und pro Tag ist im Vergleich mit tropischen Kulturpflanzen hoch (Tabellen 7 und 8). Auch die Zunahme in der Produktion war bei Kartoffeln gr?sser als bei tropischen Kulturpflanzen (Tabelle 10). Der Anbau von Kartoffeln k?nnte helfen, die Ern?hrung der Bev?lkerung in vielen tropischen L?ndern zu verbessern und m?glicherweise auch den Mangel an Nahrungsmitteln zu verhüten, wenn die Erzeugungskosten pro kg Produkt durch Erh?hung des Hektarertrages gesenkt werden k?nnen.
Résumé Durant la période 1962–1973. L'évolution des superficies, du rendement à l'hectare et de la production totale est présentée pour le monde entier et pour diverses régions et pays (fig. 1 à 5). Cette évolution est calculée à l'aide d'équations de régression et exprimée en pourcentage de l'année 1962. Les équations de régression et les coefficients de correlation ont été placés au bas des graphiques. La baisse des superficies en Europe de l'Ouest, particulièrement en Allemagne Fédérale et en France, et l'augmentation des surfaces et de la production sous les tropiques sont frappantes. En Europe (à l'exclusion de l'URSS), la consommation totale décroit annuellement d'environ 1/2% (fig. 6) et la consommation par habitant d'un peu plus de 1% (fig. 9). Aux USA la consommation totale augmente annuellement d'environ 1% (fig. 8) et la consommation par habitant semble étre constante (fig. 9). En Europe (URSS exclue), la production de pommes de terre féculières s'est accrue de 50% et dans les neuf pays du marché commun cette production a plus que doublé (fig. 7). Il est supposé que le quart de la production de plants et de pommes de terre de consommation est éliminé au triage et utilisé pour la consommation animale. En Europe (URSS exclue) environ la moitié de la production totale est consomméc par les animaux: 40% de la production totale sont cultivés à cette fin. Dans la zone du Marché Commun la quantité totale qui est utilisée pour l'alimentation animale a décrut de 40% à 30% de la production totale, et la part spécialement produite à cet effet a baissé de 30% à environ 12% de la production totale (fig. 7). Il est supposé que l'avenir de la production de pommes de terre pour la consommation animale dépend des gains que les producteurs obtiennent de cette culture comparés à ceux réalisés avec le ma?s ou l'orge. Basé sur la valeur alimentaire de 1 kg de tubercule déhydraté (obtenu à partir de 4 kg de pommes de terre à 23% de M.S.) et comparé à 1 kg de ma?s ou 1 kg d'orge, le prix à partir duquel la pomme de terre est compétitive est de 1000/933×0.25×le prix d'un kg d'orge. ou 1000/1067×0.25×le prix d'un kg de ma?s. Les fig. 10 et 11 montrent les marges brutes pour le ma?s. L'orge et la pomme de terre pour différents prix et pour trois rendements à l'hectare (pour le calcul des marges brutes voir appendices 1, 2, et 3). On voit que la pomme de terre de consommation animale ne concurrence pas facilement le ma?s, mais que au prix de Dfl (florins) 45 le quintal d'orge, la production de pommes de terre, déshydratation inclue, peut concurrencer l'orge. On voit également que pour un prix d'orge inférieur à Dfl 40. Ia production de pommes de terre est seulement profitable dans le cas où le rendement est élevé par rapport à l'orge ou encore dans le cas d'exploitations disposant d'un surplus de main d'oeuvre, et où la cuisson et l'ensilage sont économiquement possibles. Si les prix de l'orge se maintiennent au dessus de Dfl 45 durant une longue période on peut s'attendre à une augmentation de la production des pommes de terre pour la consommation animale, si toutefois les capitaux sont disponibles pour investir dans des usines de déshydratation et si l'inflation n'a pas été trop forte. Le rendement élevé de matière sèche à l'hectare des pommes de terre comparé à ceux du blé, de l'orge et du ma?s (tableau 6) fait que, à des prix élevés de l'orge, la pomme de terre pour alimentation animale est compétitive. La mème étude a été faite pour ce qui concerne la pomme de terre féculière. La relation entre son prix et celui du ma?s est donnée fig. 12. La fig. 13 illustre cette relation ainsi que les donnée des appendices 1 et 3. Il en résulte que la pomme de terre féculière peut concurrencer le ma?s pour la production d'amidon lorsque le prix du ma?s est supérieur à 35 florins le quintal. La production de pommes de terre par téte est extrèmement basse dans les régions comprises entre 30° de latitude nord et 30° de latitude sud (tableau 1). La production d'énergie et de protéines par hectare et par jour des pommes de terre est élevée, comparée aux cultures alimentaires tropicales (tableux 7 et 8). Aussi l'augmentation de production a été plus élevée pour la pomme de terre que pour ces cultures (tableau 10). La production de pommes de terre peut aider à améliorer l'alimentation des populations dans plusieurs pays tropicaux et ainsi prévenir la pénurie alimentaire si le cout de production peut être diminué par l'augmentation des rendements.


Paper read at the Sixth Triennial Conference of the EAPR at Wageningen.  相似文献   

2.
Summary The effect of a ploughpan on root and foliage growth and on the yield and quality of tubers was studied in old and in recently reclaimed marine loam soils. In all experiments the ploughpan impeded root growth to a large extent. On the old land, removing the ploughpan did not affect tuber yield because roots could scarcely penetrate the subsoil. On the recently reclaimed land, where roots could penetrate the subsoil, however the ploughpan decreased yields considerably. The ploughpan had little influence on tuber quality.
Zusammenfassung Die Kartoffelertr?ge im kürzlich in Kultur genommenen Polder O. Flevoland sind viel h?her als in den schon l?nger bestehenden Kartoffelanbaugebieten im Südwesten der Niederlande. Eine übersicht zeigte, dass Kartoffeln im neuen Polder tiefer wurzelten und dass auf dem alten Land oft eine Pflugsohle vorhanden war. Deshalb wurde die Auswirkung einer Pflugsohle im Südwesten des Landes und sp?ter in den neuen Poldern untersucht. Bodenphysikalische Aspekte wurden in einem separaten Artikel dargestellt (Boone et al. 1985). Die Behandlungen waren 1973 und 1974 eine natürliche Pflugsohle (P), und eine (1973) besonders verdichtete Pflugsohle (P+), und 1976 und 1977 eine künstlich hergestellte Pflugsohle (P), ein loser Boden mit kaum einer Pflugsohle oder mit zerst?rter Pflugsohle (L) und eine dieser Behandlungen zus?tzlich mit Beregnung (P+I oder LI). Die Untersuchungen bewiesen, dass das Wurzelwachstum durch eine Pflugsohle betr?chtlich gehemmt wurde. Die Zerst?rung der Sohle im alten Land steigerte jedoch die Wurzeltiefe nicht mehr als bis zu dem Niveau, zu welchem der Boden gelockert worden war, weil die Kartoffelwurzeln den Unterboden nicht durchdrangen (Abb. 2). Im kürzlich in Kultur genommenen Land war das Eindringen der Wurzeln in der Behandlung ohne Pflugsohle (L) 30–70% tiefer als in der Behandlung mit Pflugsohle. Mit Ausnahme von 1974, einer sehr nassen Wachstumsperiode (Abb. 1), war die Blattentwicklung in der beregneten Behandlung (LI) reichlicher und weniger reichlich bei Pflugsohle (P) (Tab. 2, 4, 7 und 9). Symptome durch Trockenheit im Bestand zeigten sich zuerst in Behandlung P (1973), 1976 und 1977). 1973 und 1974 hatte die Pflugsohle keine Auswirkung auf den endgültigen Gesamtertrag, was in übereinstimmung mit der Wurzelausbildung in diesen Jahren stand (Tab. 3 und 5, Abb. 2). Dennoch war der Gesamtknollenertrag 1976 und 1977 in Behandlung P betr?chtlich niedriger als in den Behandlungen LI und L (Tab. 8 und 10), weil der Bestand in Behandlung P infolge flacheren Wurzelsystems früher abstarb (Abb. 2). Die Pflugsohle hatte begrenzten Einfluss auf die Knollenqualit?t. In drei von den vier Jahren ergab sich kein Unterschied im Auftreten von Knollendeformationen oder im Trockenmassegehalt der Knollen. 1973 und 1974 konnte kein Einfluss der Pflugsohle auf Schwarzfleckigkeit (Tab. 6) gefunden werden. Bodenverdichtung in Pflugsohlentiefe beeinflusste den Stickstoffund Kaligehalt in Kraut und Knollen nicht (Abb. 3 und 4). Es wird gefolgert, dass bei B?den, bei denen die Kartoffelwurzeln den Unterboden unterhalb der Pflugsohle durchdringen k?nnen, die Entstehung einer Pflugsohle nach M?glichkeit vermieden werden sollte. Wenn in einem derartigen Boden eine Pflugsohle vorhanden ist, erscheint es zumindest für Kartoffeln als nützlich, diese zu zerst?ren.

Résumé Dans le nouveau polder O. Flevoland, les rendements en pommes de terre sont nettement supérieurs à ceux des régions de grande production du Sud-Ouest des Pays-Bas. Une enquête a montré que l'enracinement était plus profond dans les nouvelles terres et qu'une semelle de labour était souvent observée dans les anciennes terres. C'est pourquoi, l'influence d'une semelle de labour sur la croissance des pommes de terre a été étudiée dans le Sud-Ouest du pays, puis dans le polder. les aspects physiques d'une semelle de labour ont été abordés dans un article séparé (Boone et al., 1985). Les traitements étudiés. était en 1973 et 1974 une semelle de tabour naturelle (P) et (en 1973) une semelle crès compactée (P+), en 1976 et 1977 une semelle créée artificiellement (P), une terre non tassée sans semelle apparente ou une terre décompactée (L), un de ces traitements étant avec irrigation (P+I ou LI). Les études ont montré que l'enracinement était considérablement entravé par la présence d'une semelle de labour. Un soussolage dans les anciennes terres n'a cependant pas augmenté la profondeur d'enracinement au delà de la couche décompacées car les racines ne se sont pas développées dans la couche sous-jacente (fig. 2). Dans le nouveau polder, la profondeur d'enracinement dans le traitement sans semelle de labour (L) était de 30 à 70% supérieure à celle du traitement avec semelle. A l'exception de 1974, où la pluviométrie fut élevée pendant la période de végètation (fig. 1), la croissance foliaire a été la plus abondante dans le traitement irrigué (LI) et la plus faible en présence d'une semelle de labour (P) (tabl. 2, 4, 7 et 9). Les sympt?mes de déficience hydrique en cours de végétation ont été remarqués en premier dans le traitement P en 1973, 1976 et 1977. La semelle de labour n'a pas eu d'incidence sur le rendement brut en 1973 et 1974, en relation avec les types d'enracinement obtenus dans ces années là (tabl. 3 et 5, fig. 2). Par contre, le rendement brut du traitement P fut nettement inférieur à ceux des traitements LI et L en 1976 et 1977 (tabl. 8 et 10), car la culture du traitement P a atteint la maturité plus t?t en raison d'un enracinement plus superficiel (fig. 2). La semelle de labour n'a eu que peu d'influence sur la qualité des tubercules. Aucune incidence tant sur la difformité des tubercules que leur teneur en matière sèche n'a été constatée sur trois des quatre années d'études. En 1973 et 1974 la semelle de labour n'a provoqué aucun effet sur la sensibilité au noircissement interne (tabl. 6) et les teneurs en azote et en potassium des feuilles et des tubercules n'ont pas été modifiées par le tassement du sol au niveau de la semelle de labour (fig. 3 et 4). On en conclut que dans les sols ou le système racinaire de la pomme de terre pénètre dans la zone sous-jacente à la semelle de labour, la formation de celle-ci doit être si possible, évitée. Si une semelle appara?t, un décompactage dans ce type de sol peut être bénéfique, du moins en ce qui concerne la culture de la pomme de terre.
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3.
The distribution of dry matter during growth of a potato crop   总被引:1,自引:0,他引:1  
Summary The distribution of dry matter increments to the plant parts of a potato crop was determined by analysing data from experiments in which potato plants were harvested periodically during the early stages of their growth. The distribution tended to follow a regular pattern if expressed as a function of phenological development stage represented by the effective temperature sum. The influence of cultivar, soil type, nitrogen dressing, seed size, and plant density on this distribution pattern is discussed.
Zusammenfassung Die Verteilung des Trockensubstanzertrages in den verschiedenen Pflanzenteilen eines Kartoffelbestandes wird an Hand von Analysenwerten aus Versuchen bestimmt, in denen Kartoffelpflanzen w?hrend früher Wachstumsstadien in periodischen Abst?nden geerntet wurden. Um die Zuordnung des Trockengewichtsertrages zu den verschiedenen Pflanzenteilen eines Kartoffelbestandes zu analysieren, wurde ein Verfahren verwendet, in dem der gesamte Trockengewichtszuwachs zwischen aufeinanderfolgenden Ernten berechnet und dessen Verteilung in den Organen als eine Fraktion von der gesamten Zunahme ausgedrückt wird. Die Verteilung steht in Beziehung zu einer effektiven Temperatursumme mit einer unteren Temperaturschwelle von 7°C, einer Optimaltemperatur von 18°C und einer Maximaltemperatur von 29°C. Aus Analysen einer grossen Anzahl von Versuchen ergab sich der Schluss, dass die Verteilungsmuster zwischen Bl?ttern und Knollen approximiert werden k?nnen durch lineare Bezüge mit konstanten Neigungen, die für alle Situationen zutreffen. Abb. 1, A-F zeigt, dass Unterschiede zwischen den Sorten durch eine Verschiebung in der Geraden entlang der Temperatursummenachse dargestellt werden k?nnen. Die den Stengeln zugeordnete Fraktion kann als Erg?nzung zu derjenigen in den Bl?ttern und Knollen betrachtet werden. Wenn die in den Bl?ttern verteilte Fraktion vor dem Kollenansatz abnimmt, wie bei der Sorte Irene (Abb. 1, D), dann erh?ht sich die Fraktion in den Stengeln. Zusammen mit unzureichender Sinkkapazit?t konnte eine abnehmende Wachstumsrate im gesamten Bestand erwartet werden. In diesen Versuchen ergab sich deutlich eine Korrelation zwischen der Wachstumsrate w?hrend der linearen Wachstumsphase und der Zeit des Knollenansatzes, die als eine Temperatursumme ausgedrückt wird (Abb. 2). Der Vergleich des Verteilungsmusters der Sorte Irene, die auf einem sandigen Boden wuchs (Abb. 1, D) mit demjenigen der gleichen Sorte von einem Lehmboden (Abb. 3) zeigt, dass nach den Masseinheiten der Temperatursummen der Knollenansatz auf dem Lehmboden früher erfolgte. Ein h?heres Stickstoffniveau verz?gerte den Beginn des Knollenansatzes und verl?ngerte die Periode der konstanten Zuwanderung zu den Bl?ttern. Gleichzeitig wird das Stengelwachstum gef?rdert (Abb. 4, A-D). In Best?nden, die aus gr?sseren Pflanzkartoffeln erwuchsen, wird der Knollenansatz beschleunigt und die Periode der konstanten Zuwanderung zu den Bl?ttern verkürzt (Abb. 4, A-D). In Versuchen mit unterschiedlichen Pflanzdichten wurde keine gr?ssere Differenz im Verteilungsmuster der Biomasse beobachtet. Versuche, in denen die Verteilung der Trockensubstanz durch die Behandlung mit einem Wachstumshemmer (Daminozid) beeinflusst werden sollte, zeigten unterschiedliche Ergebnisse. Manchmal wurde überhaupt keine Wirkung festgestellt (Abb. 5), in anderen Versuchen begünstigte der Wachstumshemmer jedoch die Zuwanderung der Trockensubstanz zu den Knollen auf Kosten der Stengel. Die Wirkung des Daminozids variierte auch in den Endertr?gen, weil oft das Laub in der sp?teren Jahreszeit wieder austrieb. Zusammenfassend kann gesagt werden, dass die verschiedenen Abl?ufe im Bestand, wie die Beendigung der konstanten Zuwanderung zu den Bl?ttern und der Beginn des Knollenansatzes durch genetische Faktoren, durch die Tempertur, die Stickstoffverfügbarkeit und die Pflanzgutgr?sse beeinflusst werden. Ist einmal die zeitliche Regelung dieser Abl?ufe festgelegt, dann ist das Verteilungsmuster durch Verwendung der Verteilungsgraden mit konstanter Neigung quantitativ bestimmbar.

Résumé La distribution de la matière sèche au niveau des différentes parties des plantes d'une culture de pomme de terre est déterminée à partir de résultats d'essais dans lesquels on a procédé à plusieurs arrachages périodiques durant les premiers stades de la croissance. A cet effet, on a calculé l'augmentation de matière sèche entre 2 récoltes successives et exprimé la répartition de celle-ci au niveau des différents organes en fraction de cette augmentation totale. La répartition est mise en relation avec la somme des températures effectives en considérant un seuil minimal de 7°C, une température optimale de 18°C et une température maximale de 29°C. L'analyse d'un grand nombre d'essais montre que le modèle de distribution entre les feuilles et les tubercules peut être évalué par des relations linéaires de pentes constantes, valables pour toutes les situations. La figure 1, A-F, montre que les différences entre les variétés peuvent être représentées par un déplacement des droites de distribution sur l'axe des sommes de températures. La fraction attribuée aux tiges peut être considérée comme le complément de celle des feuilles et des tubercules. Lorsque la fraction accumulée au niveau des feuilles décro?t avant l'initiation des tubercules, comme dans le cas de la variété Irène (fig. 1, D), celle des tiges augmente. Lorsque la capacité d'absorption est insuffisante, on peut prévoir une diminution du taux de croissance de la culture. Dans ces essais, on observe en fait une corrélation entre le taux de croissance au cours de la phase linéaire de la croissance et le moment d'initiation des tubercules exprimé en somme de températures (fig. 2). La comparaison du modèle de distribution de la variété Irène cultivée en sol sableux (fig. 1, D) avec celui de cette même variété cultivée en sol argileux (fig. 3) montre qu'en termes de sommes de température l'initiation des tubercules est plus précoce en sol argileux. Un niveau élevé d'azote retarde le départ de la phase d'initiation des tubercules et allonge la durée d'accumulation constante au niveau des feuilles. En même temps, la croissance des tiges est favorisée (fig. 4, A-D). Dans une culture issue de plants de gros calibres, l'initiation des tubercules est avancée et la durée d'accumulation constante au niveau des feuilles raccourcie (fig. 4, A-D). Les études concernant la densité de plantation, n'ont montré aucune différence importante des modèles de distribution de la matière sèche. Des essais conduits à l'aide de retardateurs de croissance (daminozide), dans le but de modifier la distribution de la matière sèche, aboutissent à des résultats variables. Parfois, aucun effet n'est observé (fig. 5), alors que dans d'autres essais, en effet, le retardateur de croissance favorise l'accumulation de matière sèche vers les tubercules au dépend des tiges. Au niveau du rendement final, les effets du daminozide varient également, en raison le plus souvent d'une reprise de la végétation en fin de saison. En conclusion, les différentes phases d'une culture telles que la fin d'accumulation constante vers les feuilles et le début de l'initiation des tubercules sont influencées par les facteurs génétiques, la température, la disponibilité en azote et le calibre du plant. Une fois que le déroulement de ces phases est fixé, le modèle de distribution est quantifié par les droites de distribution à pente constante.
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4.
Summary A comparison was made of the effects of CCC and photoperiod on stem extension inMaris Peer potatoes. Both treatments decreased stem length and the length of individual internodes. Short days slowed the rate of internode production, whereas CCC did not. In long days, internode length increased from base to apex, but in short days this gradation was not apparent. CCC treatment did not affect the pattern of internode length in long days, but caused some shortening of the upper internodes in short days. It was concluded that CCC and short days decrease stem growth by different mechanisms.
Zusammenfassung Ein Vergleich zwischen den Einflüssen von CCC und der Photoperiode auf das L?ngenwachstum der Stengel von Kartoffeln wurde bei der SorteMaris Peer angestellt. CCC und Kurztage verkürzten die Stengell?nge (Abb. 1) und die L?nge der einzelnen Internodien (Abb, 3). Kurztage verlangsamten die Rate der Internodienerzeugung (Abb. 2a) und das Wachstum, verl?ngerten aber die Zeit des L?ngenwachstums (Abb. 3a). CCC beeinflusste die Rate der Internodienerzeugung nicht (Abb. 2b); ihre Wachstumsrate nahm erst ab, nachdem die Internodien 2 mm L?nge erreicht hatten (Abb. 3b), und die Internodien stellten ihr Wachstum früher ein. Unter Langtag nahm die Internodienl?nge von der Basis bis zur Triebspitze zu (Abb. 4) CCC ?nderte dieses allgemeine Bild nicht (Abb. 4, 18 Std. und 24 Std.) und hatte den gr?ssten Einfluss auf die Internodien, die sich bei und kurz nach der Anwendung ausdehnten. Unter Kurztag wiesen die Internodien alle eine ?hnliche L?nge auf, aber CCC verkürzte die L?nge der oberen Internodien (Abb. 4, 12 Std.), so dass sich eine gewisse Abnahme in der L?nge von der Basis bis zur Spitze ergab. Es wurde deshalb daraus geschlossen, dass CCC und Kurztag das Stengelwachstum durch verschiedene Mechanismen verkürzen.

Résumé Les auteurs ont comparé les effets du CCC et de la photopériode sur la croissance de la tige chez les pommes de terreMaris Peer. Le CCC et les jours courts diminuent la longueur de la tige (fig. 1) et la longueur de chaque entrenoeud (fig. 3). Les jours courts ralentissent la vitesse de production des entrenoeuds (fig. 2a) et leur croissance mais allonge la période de leur élongation (fig. 3a). Le CCC n'a pas d'effet sur la vitesse de production des entrenoeuds (fig. 2b). leur vitesse de croissance diminue seulement après qu'ils ont atteint une longueur de 2 mm (fig. 3b) et les entrenoeuds arrêtent précocement de se développer. En jours longs, la longueur des entrenoeuds augmente de la base au sommet (fig. 4), Le CCC n'altère pas leur aspect général (fig. 4, 18 h et 24 h) et a le plus d'effet sur les entrenoeuds qui sont en voie d'élongation au moment de l'application, ou peu après. En jours courts, les entrenoeuds ont tous une longuer similaire mais le CCC diminue la longueur des entrenoeuds supérieurs (fig. 4, 12 h), ce qui entra?ne une certaine diminution de la longueur de la base au sommet. Les auteurs concluent que le CCC et les jours courts diminuent la croissance de la tige par des mécanismes différents.
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5.
Summary Maturity in the potato crop is, as yet, ill defined. In an experiment in which nitrogen was applied pre-planting in six treatments, the opportunity was taken to follow changes in growth and development together with changes in three possible measures of physiological activity. A sudden decline in the concentration of sugars in the petiole sap was best associated with changes in crop growth development and may be an appropriate indicator of the onset of maturity and then senescence.
Zusammenfassung Das Einsetzen von Reife und Seneszenz bei Kartoffeln ist nicht genau definiert. Bekannt sind jedoch eine Reihe von Faktoren, um dieses zu modifizieren: zum Beispiel die Stickstoffversorgung. In einem Versuch wurde der Stickstoff (als Kalksalpeter, ‘nitrochalk’) ausgelassen (N0) oder mit 40, 80, 160 und 240 kg ha−1 zur Pflanzzeit (N1 bis N4 entsprechend) verabreicht. Eine gesplittete Anwendung von N, 80 kg ha−1 zur Pflanzung und 80 kg ha−1 zur Pflanzung und 80 kg ha−1 eine Woche nach Knollenbildung (N5) war eingeschlossen. Unterschiede im Blattfl?chenindex (LAI, Abb. 1), Gesamtproduktion an Trockenmasse (Abb. 2) und Trockenmasse-Konzentration der Knollen (Abb. 3) wurden untersucht, um den Einfluss des Grades der Stickstoffanwendung auf das Einsetzen der Seneszenz (Abb. 1 und 2) und der Reife (Abb. 2 und 3) zu ermitteln. Die Konzentrationen an Gesamtchlorophyll (a+b) in ausgebreiteten Bl?ttern (Abb. 4 und 5) und die Zuckerkonzentration (Abb. 6) sowie die Nitrationen (Abb. 7) im Saft der Petiolen wurden untersucht, um m?gliche physiologische Indikatoren für das Einsetzen von Reife und Seneszenz zu erhalten. Die Konzentration des Gesamtchlorophylls in den Bl?ttern war zu jeder Zeit eine Funktion der H?he der Stickstoff-Applikation (Abb. 5) und sank graduell w?hrend des sp?teren Teils der Wachstumsperiode (Abb. 4). Es bedurfte keiner Kennzeichnung der Schwellenh?he für das Einsetzen der Seneszenz. Die Konzentration sowohl an Saccharose wie auch NO3 im Petiolensaft zeigte scharfe Rückg?nge (Abb. 6 und 7), welche unter Einfluss hoher N-Gaben sp?ter erfolgten. Dennoch zeigt ein Vergleich der Zeiten dieser kurzen Rückg?nge mit Ver?nderung beim LAI, bei der Gesamttrockenmasse-Produktion und der Trockenmasse-Konzentration der Knollen (Tabelle 1), dass die Ver?nderung in der NO3-Konzentration nicht mit Ver?nderungen in Pflanzenwachstum und-entwicklung assoziiert war; der Abfall der Saccharose-Konzentration stimmte jedoch gut überein.

Résumé Le début de la maturité et de la sénescence de la culture de pomme de terre n'est pas bien défini mais on connait un certain nombre de facteurs qui le modifient, par example la nutrition azotée. Dans cette expérimentation l'azote est apporté aux doses de 0-40-80-160 et 240 kg/ha à la plantation (respectivement N0 à N4). Un double apport d'azote, 80 kg/ha à la plantation et 80 kg/ha une semaine après la tubérisation (N5) est inclu à l'essai. La modification de l'index de Surface Foliaire (LAI) (fig. 1), de la production totale de matière sèche (fig. 2) et de la matière sèche des tubercules (fig. 3) est suivie pour montrer l'effet des doses d'azote apportées sur la date de sénescence (fig. 1 et 2) et de maturité (fig. 2 et 3). La concentration en chlorophylle totale (a+b) dans les feuilles bien développées (fig. 4 et 5) ainsi que celle des sucres (fig. 6) et des ions nitrate (fig. 7) dans le jus pétiolaire ont été étudiées en tant qu'indicateurs physiologiques possibles de la sńescence et de la maturité. La concentration en chlorophylle totale dans les feuilles dépendait des doses d'azote apportées (fig. 5) et diminuait progressivement au fur et à mesure de l'avancement de la saison culturale (fig. 4). Elle ne donnait pas de seuil limite pour le début de la sénescence. La concentration en saccharose et en NO3 dans le jus pétiolaire montrait une chute importante mais tardive avec les fortes doses d'azote. Cependant, la comparaison de la durée de cette courte déclinaison avec les modifications du LAI, de la production totale de matière sèche et de la teneur en matière sèche des tubercules montrait que la variation du taux de NO3 n'était pas associée à l'évolution du développement de la culture, tandis que celle de la teneur en saccharose concordait bien. Nous suggérons que lorsque la concentration en saccharose des pétioles de feuilles bien développées du sommet de la plante chute fortement, les potentiels de croissance et d'accumulation de matière sèche dans les tubercules (tableau 1) deviennent limités car ils ont atteint leur maximum.
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6.
Summary In field trials simulating commercial conditions, secondary PLRV infection of autumn-grown potato crops in Israel significantly reduced yield, although symptoms were not perceptible. Plots containing 7.3% PLRV-infected seed showed an increase in yield per plant of 17%, compared with plots with 36.2% infected seed; in plots with only 1.3% infected seed the increase of yield was 21%. In a second experiment, where individual plants were assayed, the yield of PLRV-infected plants of cv. Blanka was only 68.7% of that of PLRV-free plants; corresponding figures for cv. Up-to-Date and Désirée were 79.2 and 58% respectively. PLRV infection was not associated with reduced emergence or with the yield of deformed tubers.
Zusammenfassung W?hrend der ersten zwei Monate der im Herbst liegenden Wachstumszeit der Kartoffel (August-Januar) sind in Israel sehr hohe Temperaturen (mittleres Maximum 34,7° C) und hohe Sonneneinstrahlung; anschliessend fallen die Temperaturen und die Lichteinstrahlung stark ab. Unter diesen Bedingungen bleibt die Infektion mit PLRV meist symptomlos und es gibt vom Pflanzenwuchs her keine Anzeichen dafür anzunehmen, dass der Ertrag beeintr?chtigt ist. Imersten Versuch (A) wurden die Ertr?ge von Best?nden verglichen, die die gleiche Pflanzgutgr?sse (Sorte Désirée) hatten, aber von drei Herkünften I, II und III stammten. Der Anteil der PLRV infizierten Knollen in diesen Herkünften betrug 1,3, 7,8 und 32,6% (Abb. 1A). Der durchschnittliche Ertrag pro Parzelle für Herkunft I, II und III lag bei 12,6 kg, 10,0 kg und 7,6 kg (Abb. 1C); die Differenzen zwischen den Herkünften waren signifikant (P<0,05). Der Unterschied zwischen Herkunft I und II gibt vielleicht die unterschiedlichen Auflaufraten wieder (Abb. 1B), aber die Differenz zwischen den Herkünften II und III scheint eine Folge der Virusinfektion zu sein, und ?hnliche Differenzen wurden beim Vergleich des Ertrages pro Pflanze gefunden (Abb. 1D). Diese Annahme wurde im Versuch B best?tigt, in dem der Ertrag PLRV-infizierter Pflanzen mit dem PLRV-freier Pflanzen verglichen wurde. Die Infektion mit PLRV war nicht mit einer verringerten Auflaufrate oder dem Ertrag an deformierten Knollen verbunden, aber infiziertes Pflanzgut der Sorte Blanka ergab nur 68,7% des Ertrages virusfreien Pflanzgutes, Up-to-Date 79,2% und Désirée 58%; die Verluste waren statistisch signifikant (Abb. 3). Diese Ergebnisse lassen annehmen, dass betr?chliche Ertragsverluste durch die Infektion mit PLRV in den im Herbst gepflanzten Kartoffeln eintreten k?nnen, obwohl die Symptome nicht wahrnehmbar sind. Im Hinblick auf den hohen PLRV-Befall in den Herbstbest?nden (Marco, 1981b), kann es von Vorteil sein die im Frühjahr gepflanzten Best?nde vor einer PLRV-Infektion zu schützen, da sie das Pflanzgut für den Herbst stellen.

Résumé Pendant les deux premiers mois de végétation des pommes de terre cultivées à l'automne en Israel (Ao?t-Janvier), les températures sont très élevées (moyenne maximale de 34,7°C) et la luminosité très forte. Puis les températures et l'intensité lumineuse diminuent rapidement. Sous de telles conditions, la contamination par le virus de l'enroulement est généralement existante mais sans l'apparition de sympt?mes; rien ne permet donc d'indiquer en végétation que le rendement est affecté. Dans une première expérience (A), le rendement est comparé pour trois cultures obtenues à partir de plants de même calibre (variété Désirée), mais de sources différentes (I, II et III). Suivant l'origine I, II et III les pourcentages de la contamination par le virus de l'enroulement est respectivement 1,3, 7,8 et 32,6% (fig. 1A). Le rendement moyen obtenu par parcelle est respectivement 12,6, 10 et 7,6 kg (fig. 1C), la différence entre les trois origines étant significative (P<0,05). L'écart de rendement entre les plants de source I et II s'explique sans doute par le taux de levée différent (fig. 1B); mais entre les plants de source II et III, la différence semble provenir de la contamination par le virus et ceci est également observé pour le rendement par pied (fig. 1D). Cette hypothèse est confirmée par l'expérience B ou le rendement obtenu à partir de plants contaminés est comparé à celui du témoin planté avec des tubercules indemnes de virus. L'incidence de la contamination n'est pas correlée au manque à la levée et au rendement des tubercules difformes. Les plants contaminés ont donné pour les variétés Blanka, Up-to-Date et Désirée respectivement 68,7%, 79,2% et 58% du rendement obtenu à partir de tubercules sains, la diminution de rendement étant significative (fig. 3). Les résultats montrent qu'il peut y avoir des
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Summary Effects of set size, harvest date and stem density were examined with cv. Maris Peer and of stem density and harvest date with cv. Pentland Marble. At maturity average tuber weight for both varieties fell initially as density was increased becoming virtually constant at the higher densities, and was about 45% greater for Maris Peer than for Pentland Marble. Numbers of tubers/m2 were similar for each cultivar at low densities but were greater for Pentland Marble than for Maris Peer at high populations. Total yield at maturity for each variety was asymptotically related to density. Yields of canningsized tubers (20–40 mm) increased over the lower part of the density range becoming constant at about 70 stems/m2, and representing about 50% of the total yield for Maris Peer and over 80% for Pentland Marble.
Zusammenfassung Der Anbau von Maris Peer für die Verarbeitung auf Dosenkartoffeln (ganze Knollen) ist in Grossbritannien weit verbreitet. Vor kurzer Zeit ist Pentland Marble als eine speziell zur Verabeitung als Dosenkartoffel geeignete Sorte zum Anbau freigegeben worden. Diese Sorten wurden in getrennten, aber angrenzenden Versuchen angebaut, wobei bei Maris Peer die Einflüsse auf die Ertr?ge von vier Stengeldichten, zwei Pflanzknollengr?ssen und vier Erntedaten und bei Pentland Marble die Einflüsse von drei Stengeldichten und zwei Erntedaten untersucht worden. Einzelheiten der Verfahren sind in Tabelle 1 aufgeführt. Das durchschnittliche Gewicht der Tochterknollen von Maris Peer war vor der Reife der Knollen bei den grossen Mutterknollen gr?sser als bei den kleinen (Abb. 3). Zur Reifezeit fiel das durchschnittliche Knollengewicht anfangs, als die Bestandesdichte angestiegen war, stark; aber bei Bestandesdichten von mehr als ungef?hr 70 Stengeln/m2 waren die Werte innerhalb eines gegebenen Erntedatums ?hnlich. Die Knollenzahl/m2 erh?hte sich anf?nglich, als die Bestandesdichte von beiden Pflanzknollengr?ssen angestiegen war, aber bei Dichten von über 70 Stengeln/m2 war sie im wesentlichen konstant (Abb. 4a). Der Gesamtertrag verhielt sich also asymptotisch zur Bestandesdichte und grosse Knollen gaben nur beim ersten Erntedatum h?here Ertr?ge als kleine (Abb. 2). Zur Reifezeit stiegen die Ertr?ge in der für die Konserven-industrie ben?tigten Knollengr?sse (20–40 mm) in dem Masse, als die Bestandesdichte bis auf ungef?hr 70 Stengel/m2 angewachsen war; nachher blieben sie konstant. Der gr?sste Anteil am Gesamtertrag in der für die Konservierung ben?tigten Gr?sse betrug ungef?hr die H?lfte, und dieser Stand wurde ebenfalls bei etwa 70 Stengeln/m2 erreicht. Im Gegensatz dazu nahm der Ertrag an Speisekartoffeln (>40 mm) mit fortschreitendem Ansteigen der Bestandesdichte bis auf 70 Stengel/m2 ab. Bei noch gr?sseren Stengeldichten blieb er bei etwa der H?lfte des Gesamtertrages konstant. Das durchschnittliche Gewicht der Tochterknollen von Pentland Marble war weniger als die H?lfte desjenigen von Maris Peer bei vergleichbaren Stengeldichten zur Reifezeit (Abb. 3). Die Knollenzahl/m2 war bei geringen Stengeldichten bei beiden Sorten ?hnlich, aber bei grossen Stengeldichten erzeugte Pentland Marble bis zu 45% mehr Knollen/m2 als Maris Peer (Abb. 4b). Die Ertr?ge in der für die Konserven ben?tigten Knollengr?sse betrugen bei Unreife über 90% des Gesamtertrages und überstiegen bei Reife 80% des Gesamtertrages bei Dichten von über 70 Stengeln/m2 (Abb. 6). Der Ertrag an Speiseware war bei der ersten Ernte nicht bedeutend, aber bei der zweiten Ernte erreichte er einen hohen Anteil am Gesamtertrag bei kleiner Stengeldichte und weniger als 5% des Totals bei gr?sseren Dichten. Es wird angenommen, dass in einer gegebenen, aber durch Konkurrenz beeinflussten Umwelt die Knollenzahl pro Einheit Fl?che von der Menge der verfügbaren Assimilate bestimmt wird und dass daher auch für einzelne Sorten die Anzahl der Stengel pro Fl?cheneinheit zur Zeit des Beginns der Knollenbildung von Bedeutung ist. Niedrige Stengeldichten würden zur Bildung von weniger Knollen pro Fl?cheneinheit führen als hohe Stengeldichten, und bei Dichten über einem gewissen Stand w?ren die Assimilate konstant und führten zur Bildung einer konstanten Knollenzahl. Nachheriges Wachstum der Triebe und die verfügbaren Assimilate würden die sich daraus ergebende durchschnittliche Knolleng?sse bei einer gegebenen Stengeldichte bestimmen. Die Ertr?ge und Ertragskomponenten (Durchschnittsgewicht der Tochterknollen und Knollenzahl/Fl?cheneinheit) von Pentland Marble wiesen auf ein im Vergleich zu Maris Peer betr?chtlich gr?sseres Potential zur Produktion von Kartoffeln für die Konservenindustrie hin. Immerhin waren bei Pentland Marble relativ hohe Mengen an Pflanzgut von ungef?hr 10 t/ha n?tig, um zur Reifezeit einen hohen Anteil am Gesamtertrag in der für die Herstellung von Dosenkartoffeln geeigneten Gr?sse zu erreichen. Verwendung einer kleineren Pflanzkartoffelgr?sse k?nnte die ben?tigte Pflanzgutmenge heral setzen, ohne zu, einer Ertragsverminderung zu führen.

Résumé Maris Peer est cultivée sur une grande échelle au Royaume-Uni dans le but de satisfaire à toute la production de pommes de terre appertisées. Récemment, Pentland Marble a été abandonnée comme variété spécifique de l'appertisation. Ces variétés ont été mises en culture dans des expériences séparées mais attenantes dans lesquelles on a étudié, pour Maris Peer, les effets sur la production de quatre densités (de tiges), de deux séries de calibres et de quatre dates de récolte, et, pour Pentland Marble, les effets de trois densités, et deux dates de recolte. Les détails des traitements sont donnés dans le tableau 1. Le poids moyen des tubercules de la descendance de Maris Peer s'est révélé plus grand avec les gros plut?t qu'avec les petits plants dans le cas de récolte avant maturité (fig. 3). A maturité, le poids moyen par tubercule tombe d'abord rapidement quand augmente la densité, mais aux densités excédant 70 tiges par m2 environ, les valeurs sont semblables quelle que soit la date de la récolte. Le nombre de tubercules par m2 augmente d'abord avec l'accroissement de la densité et ce, pour les deux grosseurs de plants, mais le nombre devient constant lorsque les densités dépassent 70 tiges par m2 (fig. 4a). La relation entre la production totale et la densité est également asymptotique: les gros tubercules donnent une production plus élevée que les petits lors de la première récolte seulement (fig. 2). Les productions à maturité de tubercules de forme convenant à l'appertisation (20–40 mm) augmentent avec les densités jusqu'à la densité d'environ 70 tiges par m2, et restent constantes par après. La proportion maximale de la forme convenant à l'appertisation dans la récolte totale est d'environ la moitié, proportion qui est également atteinte à 70 tiges par m2 environ. Au contraire, la production ‘commerciale’ (>40 mm) diminue avec les augmentations progressives de densités jusqu'à 70 tiges par m2, et pour les densités supérieures, elle se maintient constante à environ la moitié de la production totale. A maturité et pour des densités comparables, le poids moyen d'un tubercule de la descendance de Pentland Marble est moindre que celui de Maris Peer (fig. 3). Aux faibles densités de population, les nombres de tubercules par m2 sont similaires chez Pentland Marble et chez Maris Peer, mais aux hautes densités, la première produit jusqu'à 45% en plus de tubercules par m2 que la seconde (fig. 4b). Lorsque les densités dépassent 70 tiges par m2, les productions de tubercules non m?rs de forme convenant à l'appertisation, représentent plus de 90% de la production totale, et, à maturité, dépassent 80% de la production totale (fig. 6). Les productions de tubercules commerciaux sont insignifiantes au premier arrachage, mals au second elle représentent une proportion élevée de la production totale lors des faibles densites et moins de 5% de la production totale aux densités plus élevées. Les résultats suggèrent que, dans un millea donné et sous l'influence de la competition, la quantité de matières assimilables disponibles détermine le nombre de tubercules par unité de surface au moment de l'initiation des tubercules. Avec de faibles densités, il y aurait un moindre nombre de tubercules ‘initiés’ par unité de surface qu'avec de hautes densités et, pour des densités au-dessus d'un certain seuil, les matières assimilables resteraient constantes, de là résulteralt un nombre constant de tubercules ‘initiés’. Le développement subséquent du feuillage, et de là, les quantités disponibles des matières assimilables auraient pour résultats de déterminer la grosseur moyenne des tubercules pour une densité donnée. Les productions et les divers facteurs de la production (poids moyen des tubercules de la descendance et nombre de tubercules par unité de surface), révèlent que Pentland Marble possède un potentiel de production de tubercules convenant à l'appertisation considérablement plus élevé que Maris Peer. De même, les co?ts relativement élevés des plants pour quelque 10 tonnes/ha sont nécessaires pour que Pentland Marble atteigne à maturité une proportion élevée, de la production totale, de tubercules convenant à l'appertisation. L'utilisation de plants de plus petit calibre peut diminuer les frais de plantation, sans qu'il en résulte une réduction de la production.
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8.
Summary Emergence delay and blanking caused by skin spot were shown to depend on the degree of seed infection and were intensified by heavier soil. From similarly affected seed they were significantly less withKerr’s Pink than withKing Edward, Majestic orRedskin. Growth was very similar from normal and necrotic buds ofKerr’s Pink but virtually no growth was recorded from necroticKing Edward buds, suggesting that sprout vigour influences field response to skin spot. Transmission of infection inKing Edward to stem bases, stolons and progeny tubers depended on seed infection and even minimal inoculum caused stolon and tuber infection especially in heavier soils. With severely infected seed transmission was greatly reduced in light soil. This indicates one means of reduction of disease incidence. Colonisation byOospora pustulans of stem bases and stolons probably provides inoculum multiplication centres. Maximum colonisation was detected generally in September and declined during senescence.
Zusammenfassung Es werden erneut die Einflüsse verschiedener Grade einer Infektion von Pflanzknollen mit Tüpfelfleckigkeit (Oospora pustulans) auf das Auflaufen und die Fehlstellen aufgezeigt (Tabellen 2, 3 und 5). Versp?tetes Auflaufen und Fehlstellen kamen bei st?rkerem Befall des Saatgutes vermehrt vor, waren verst?rkt auf schwererem Boden, und bei ?hnlich stark befallenem Pflanzgut traten diese M?ngel beiKerr’s Pink signifikant weniger auf als beiKing Edward, Majestic undRedskin (Tabellen 2 und 3). Das Pflanzenwachstum aus normalen und nekrotischen Knospen vonKerr’s Pink war sehr ?hnlich, aber bei nekrotischen Knospen vonKing Edward wurde praktisch kein Wachstum festgestellt (Tabelle 4). Dies weist darauf hin, dass der Faktor Triebkraft die Reaktion der Sorten auf Tüpfelfleckigkeit im Feld beeinflusst. Die Krankheitsübertragung auf die Tochterknollen wurde sowohl durch die Pflanzgutinfektion als auch durch die Bodenart (Tabellen 6, 7 und 8) beeinflusst. Die Uebertragung der Krankheit bei der SorteKing Edward auf die Stengelbasen und die Stolonen sowie auf die Tochterknollen wurde untersucht (Abb. 1, 2 und 3 und Tabelle 9). Selbst die kleinste Menge Inokulum auf anscheinend freiem Pflanzgut verursachte sowohl eine Stolonen- als auch eine Knolleninfektion, besonders in schwereren Bodenarten. Anderseits übertrug stark infiziertes Pflanzgut in leichtem Boden die Krankheit nur in sehr reduziertem Masse auf die Tochterknollen. Dies würde auf eine M?glichkeit zur Bek?mpfung der Krankheit bei anf?lligen Sorten hinweisen. Starke Pflanzgutinfektion übertr?gt die Krankheit wenig mehr als ein schwacher Befall des Pflanzgutes, und wahrscheinlich müssen Stolonen und Stengelbasen als Inokulum-Vermehrungszentren betrachtet werden. Die Besiedlung der Stengelbasen und der Stolonen war im Juli (Abb. 1), 6 Wochen nach der Pflanzung, ziemlich ausgedehnt, stieg zu einem Maximum, in den meisten F?llen im September, an (Abb. 2) und nahm besonders in leichteren B?den ab, wenn die Pflanzen abzusterben begannen (Abb. 3).

Résumé Les effets de divers degrés d’infection des plants de pomme de terre par l’oosporiose (Oospora pustulans) sur la levée et les vides sont à nouveau mis en évidence (tableaux 2, 3 et 5). De hauts niveaux d’infection des plants accroissent le retard de la levée et l’importance des ‘non-levée’; les sols lourds intensifient ces accidents; les plants étant infectés au même degré, ces accidents sont significativement moindres chezKerr’s Pink que chezKing Edward, Majestic etRedskin (tableaux 2 et 3). ChezKerr’s Pink les germes normaux et les germes nécrotiques donnent une croissance très semblable; par contre chezKing Edward, les germes nécrotiques ne donnent pratiquement aucune croissance (tableau 4). Ceci fait supposer que le facteur ‘vigueur des germes’ influence la réaction au champ des variétés à l’oosporiose. La transmission de la maladie aux tuberculesfils est également influencée par l’infection des plants et par le type de sol (tableaux 6, 7 et 8). Les auteurs ont étudié, chez la variétéKing Edward, la transmission de l’infection à la base des tiges et aux stolons, ainsi qu’aux tuberculesfils (fig. 1, 2, 3 et tableau 9); un minimum d’inoculum sur des plants apparemment sains provoque une infection à la fois des stolons et des tubercules, particulièrement dans les sols lourds. Par contre, en sol léger, des plants sévèrement infectés ne transmettent l’infection à la descendance que dans une mesure très faible. Cette observation suggère une méthode de lutte contre la maladie pour les variétés susceptibles. Une grave infection des plants transmet un peu plus l’infection qu’une infection légère et, vraisemblablement, les stolons et la base des tiges constituent des centres de multiplication de l’inoculum. La conlonisation de la base des tiges et des stolons est très importante en juillet (fig. 1), 6 semaines après la plantation, et atteint son maximum dans la majorité des cas en septembre (fig. 2), ensuite diminue, particulièrement en sols légers, au moment où les plantes vieillissent. (fig. 3).


Edinburgh School of Agriculture Miscellaneous Publication No. 509.  相似文献   

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Summary A technique for the accurate estimation of 0.01 ppm of tecnazene in potatoes (recovery factor 91.6% ±2.8) has been developed by gas chromatography after a preliminary clean-up treatment on an alumina column. 1 μg of tecnazene per kg fresh weight of potato can be detected by this method with some loss in accuracy. In laboratory samples treated at commercial rates 2 to 8 mg/kg were found in all potato samples analysed. 0.1 to 1.0 mg/kg were detected in peeled and boiled potatoes. The implications of these results are discussed.
Zusammenfassung Es wurde eine Technik für die genaue Berechnung von 10 μg. Tecnazen per kg in Kartoffeln (Erfassungsfaktor 91,6%+2,8) entwickelt, indem nach einer Vortrennung über eine Aluminiums?ule Gaschromatographie angewendet wurde. Beim Extrahieren des Tecnazens aus den ganzen Kartoffeln hielt man es für wesentlich, den ersten Verarbeitungsschritt ausschliesslich mit Aethanol durchzuführen, wenn die Bildung einer stabilen Emulsion vermieden werden sollte. Das Hexan wurde nachtr?glich beigefügt. Um den obenerw?hnten Grad der Genauigkeit zu erreichen, wurden bei allen Gelegenheiten L?sungsmittel guter Qualit?t benützt, d.h. ‘nanograde’-Hexan. Die Wirksamkeit der Fraktionierung in der Aluminiums?ule (Abb. 1) hing von der genauen Kontrolle der Durchflussrate und von der Aufrechterhaltung wasserfreier Bedingungen über die ganze Zeit ab. Aliquote der zugeh?rigen Fraktionen aus der Aluminiums?ule wurden, nach Reduktion des Volumens unter Vakuum, direkt in einem Gaschromatographen angewendet (Abb. 2). Alle analysierten Kartoffelmuster, sowohl die im Labor behandelten als auch die aus handelsüblichem Lager, enthielten Tecnazen. Die festgestellten Konzentrationen in ganzen gewaschenen Kartoffeln varierten von 2 bis 8 mg/kg Frischgewicht der Knolle und von 0.1 bis 1,0 mg/kg gesch?lten und gekochten Mustern (Tabelle 1). Die Folgerungen aus diesen Ergebnissen für die Ern?hrung sowie die Vorzüge und die m?gliche Wirkungsart dieses Wirkstoffes als Keimhemmungsmittel und als Fungizid werden kurz diskutiert.

Résumé Les auteurs ont mis au point une technique de détermination d'une précision de 10 μg du tecnazène 1 kg (facteur de récupération 91,6%+2.8) par chromatographie en phase gazeuse après purification préalable sur une colonne d'alumine. Lorsqu'on extrait le tecnazène de pommes de terre entières, il est essentiel d'effectuer le mélange initial d'abord en présence d'éthanol seul si l'on veut éviter la formation d'une émulsion stable. L'hexane est ajouté par après. Pour atteindre un degré de sécurité ci-dessus cité, on emploie des solvants de bonne qualité en toutes occasions, par example l'hexane ‘nanograde’. L'efficacité du fractionnement sur la colonne d'alumine (fig. 1) dépend de la précision du contr?le de la vitesse du flux et du maintien de conditions anhydres. On soumet directement au gaz chromatographique (fig. 2) les aliquotes des fractions appropriées provenant de la colonne d'alumine après réduction du volume sous vide. On a trouvé du tecnazène dans tous les échantillons de pommes de terre analysés, qu'ils proviennent de traitements en laboratoire ou de stocks commerciaux. Les concentrations trouvées dans les pommes de terre entières lavées varient de 2 à 8 mg/kg poids frais des tubercules et de 0,1 à 1.0 mg/kg échantillons pelés et bouillis (tabeau 1). Les auteurs discutent brièvement des conséquences de ces résultats dans l'alimentation, et ainsi que des mérites et du mode d'action possible de cette matière chimique comme inhibiteur de germination et comme fongicide.
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10.
Summary Most dihaploids derived from cv. Pentland Crown had higher yields, when expressed as percentages of their parent's yield, than did those of cv. Record. Some genes of Pentland Crown may have a greater additive effect on yield than those of Record but there may also be differences in deleterious recessives which are expressed in their dihaploids. The frequency distributions of specific gravities and sprout lengths of the dihaploids were similar for both cultivars. Some genes may have an additive effect on specific gravity but the small sprout lengths of dihaploids may be due to their often weak constitution caused by the expression of deleterious genes. The distribution of foliage blight (Phytophthora infestans) resistance in dihaploids of resistant tetraploids indicates that multiplex genes may determine the resistances in the parents.
Zusammenfassung Ertrag, mittleres Knollengewicht und die Knollenzahl pro Pflanze von Dihaploiden der Sorten Pentland Crown und Record (Abb. 1,2 und 3) zeigen, dass sich Unterschiede (signifikant für Ertrag und mittleres Knollengewicht,P<0,01) zwischen beiden Sorten ergeben k?nnen, wenn der Ertrag und seine Komponenten genetisch determiniert waren. Die meisten Dihaploiden von Record hatten weniger als 10% der Ertr?ge ihrer Eltern, w?hrend die Ertr?ge der meisten Dihaploiden von Pentland Crown zwischen 20 und 50% schwankten. Ein betr?chtlicher Teil von Pentland Crown-Dihaploiden hatten h?here als modale Werte für mittleres Knollengewicht und mittlere Knollenzahl pro Pflanze. Mehrere Gene von Pentland Crown und ihrer Dihaploiden dürften deshalb additive Einflüsse auf den Ertrag und seine Komponenten haben. Deshalb dürfte von diesen Klonen eine signifikante generelle Kombinationsf?higkeit (GCA) für diese Eigenschaften erwartet werden, wenn sie bei der Züchtung verwendet werden. Erste Daten von tetraploiden Nachkommen von dihaploid × tetraploid-Kreuzungen (siehe Tabelle I mit der Herkunft des Materials) zeigen jedoch, dass solche GCA-Effekte nicht wesentlich waren. Dies k?nnte so sein, weil die spezifische Kombinationsf?higkeit wichtiger war oder weil Unterschiede in Zahl und St?rke von nachteiligen Genen, die vorher bei den Sorten verborgen waren, vorhanden waren. Tabelle 2 zeigt die Korrelationskoeffizienten zwischen Ertrag, mittlerer Knollenzahl, mittlerem Knollengewicht, spezifischem Gewicht und Keiml?nge für Dihaploide von Pentland Crown und Record. Dabei ergaben sich signifikante Korrelationen zwischen Ertrag und seinen Komponenten, aber keine signifikante negative Korrelation zwischen Knollenzahl und mittleren Knollengewicht. Einige Dihaploide hatten ein h?heres spezifisches Gewicht als ihre tetraploiden Eltern. Die spezifischen Gewichte der Dihaploiden waren um ein Mittel verteilt, welches ann?hernd gleich mit dem der Eltern beider Sorten (Abb. 4) war; vermutlich waren sowohl additive als auch nicht-additive Effekte für die Determinierung des spezifischen Gewichtes von beiden Eltern erforderlich. Die Keiml?ngen dihaploider Knollen waren durchweg gering (Abb. 5), dies dürfte auf die Anwesenheit nachteiliger rezessiver Gene zurückzuführen sein, welche die oft nur schwachen Konstitutionen von Dihaploiden beider Sorten kennzeichnen. Genetische Unterschiede zwischen Sorten, welche anderenfalls als unterschiedliche dihaploide Variationsmuster bezeichnet worden w?ren. k?nnten deshalb maskiert gewesen sein. Hohe Grade an quantitativer Resistenz gegenüber Krautf?ule (Phytophthora infestans) in den meisten Dihaploiden von zwei resistenten Tetraploiden zeigten, dass einige dominante Gene, die die Resistenz bestimmen, multipel sein k?nnten (Abb. 6). Zus?tzlich zur Informationssteigerung über die genetische Determinierung landwirtschaftlich wichtiger Merkmale in Tetraploiden ist die Produktion von Dihaploiden eine Methode zur ?nderung von Gen-Verbindungen ohne Einführung von fremden genetischem Material. Es k?nnten mehr erwünschte Gen-Kombinationen ermittelt werden, die als Resultat für Kartoffel-Züchtungsprogramme ausgebeutet werden k?nnten.

Résumé Le rendement, le poids moyen de tubercules et le nombre de tubercules par plante des diplo?des de Pentland Crown et Record (fig. 1, 2 et 3) montrent qu'il peut y avoir des différences (significatives pour le rendement et le poids moyen de tubercule,P<0.01) entre les deux variétés, du fait que les composantes du rendement étaient déterminées. La plupart des diplo?des de Record ont des rendements inférieurs de 10% à ceux de leurs parents, alors que les diplo?des de Pentland Crown donnent des rendements compris entre 20 et 50%. Une proportion assez grande de diplo?des de Pentland Crown a un poids moyen de tubercules et un nombre moyen de tubercules par plante plus élevés que les valeurs modales correspondantes. Quelques gênes de Pentland Crown et de diplo?des issus de cette variété peuvent avoir par conséquent un effet positif sur le rendement et ses composantes; ces cl?nes pourraient en définitive permettre des combinaisons générales pour les caractères utilisés en sélection. Des résultats préliminaires sur tétraplo?des obtenus à partir de croisements diplo?des × tétraplo?des (tableau 1) ont montré cependant que de tels effets de combinaisons générales n'étaient pas importants. Ceci est d? peut être du fait que l'aptitude spécifique à la combinaison est plus importante ou qu'il y a eu des différences dans le nombre et l'ampleur des gênes défavorables, masqués au départ dans les variétés. Le tableau 2 donne les coefficients de corrélation entre le rendement, le nombre moyen de tubercules, le poids moyen de tubercules, le poids spécifique et la longueur des germes pour les diplo?des de Pentland Crown et Record. Des corrélations significatives ont été observées entre le rendement et ses composantes mais pas entre le nombre de tubercules et leur poids moyen. Quelques diplo?des ont des poids spécifiques plus élevés que ceux de leurs parents tétraplo?des. Pour chaque variété, les poids spécifiques des diplo?des ont une distribution par rapport à la moyenne à peu près semblable à celle de leurs parents (fig. 4) et les effets génétiques additifs et non-additifs sont probablement importants dans la détermination du poids spécifique pour chaque parent. Les germes des tubercules diplo?des sont généralement courts (fig. 5) et ceci provient sans doute de la présence de gênes récessifs défavorables qui déterminent des constitutions souvent chétives des diplo?des de ces deux variétés. Les différences génétiques entre les variétés peuvent par conséquent être marquées, alors qu'elles auraient été mises en évidence par des exemples de variation entre différents diplo?des. De hauts niveaux de résistance quantitative au mildiou du feuillage (Phytophthora infestans) obtenus avec la plupart des diplo?des provenant de deux tétraplo?des résistants au mildiou indiquent que certains gènes dominants gouvernant la résistance peuvent être multipliés (fig. 6). Afin de mieux conna?tre la détermination génétique des caractères agronomiques importants des tétraplo?des, la production de diplo?des est une méthode d'association de gènes remaniés, sans l'introduction de matériel génétique étranger. Davantage de combinaisons de gènes souhaitables peuvent être identifiées afin d'être exploitées dans un programme de sélection de pommes de terre.
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11.
Summary Over a period of three years seed potatoes were sprouted in three different types of container in three different structures. In a polythene-covered structure the effect of the container on sprout length was inconclusive but in a ventilated house the sprouts on seed in the trays and sacks were significantly longer than those in the boxes. In both structures the difference in the yields of the seed from the different container was not significant. The sprouts on the seed in the polythene-covered structure were longer and more numerous than those in the ventilated house, and although in one year the yield from seed from the polythene structure was significantly greater than that from the ventilated house in the following year this result was reversed. The seed from an open-fronted straw barn had the shortest sprouts and lowest yields.
Zusammenfassung W?hrend einer dreij?hrigen Versuchsperiode wurde in Vorkeimkistchen, S?cken und Kisten eingelegtes Pflanzgut in einem belüfteten Kartoffellagerraum, in einer offenen Scheune und in einem im Freien aufgestellten Stapel vorgekeimt. Der Stapel war mit einer Poly?thylenfolie bedeckt und mittels eines elektrischen Heizkabels erw?rmt (Abb. 1; Tabelle 1). Man sch?tzte, dass für die Herrichtung des Stapels 70 Minuten (AK) pro Tonne Kartoffeln n?tig waren (Abb. 2; Tabelle 2). W?hrend der Lagerzeit wurde die Temperatur in den Vorkeimeinrichtungen registriert. Wenn diese 5 °C überschritt, wurde die Differenz (°C) mit der Zeit (Stunden) multipliziert und das Ergebnis als ‘Grad-Tage’ ausgedrückt (Tabelle 3). Vor dem Auspflanzen wurden Proben von den drei Varianten in den verschiedenen Vorkeimeinrichtungen genommen, um Daten über Keimzahl und Keiml?nge zu sammeln (Tabelle 4a) und Signifikanzwerte zu errechnen (Tabelle 4b). Im Fall der Vorkeimung unter Folie war die Auswirkung des Pflanzgutbeh?lters auf die Keiml?nge nicht entscheidend. Im belüfteten Kartoffellagerraum aber waren die Keime des Pflanzgutes aus den Vorkeimkisten und den S?cken bedeutend l?nger als solche aus den Kisten. In beiden F?llen zeigten die Ertr?ge des Pflanzgutes aus den verschiedenen Beh?ltern keine signifikanten Unterschiede (Tabellen 4a und 4b). Im allgemeinen wuchsen die Keime des unter der Poly?thylenfolie gelagerten Pflanzgutes l?nger als solche im belüfteten Lagerraum (Tabelle 4a); in einem Jahr brachte jenes Pflanzgut h?here Ertr?ge als dieses und im folgenden Jahr war es umgekehrt. Das Pflanzgut aus der offenen Scheune wies die kürzesten Keime und die kleinsten Ertr?ge auf. Aus den Resultaten ergeben sich die Folgerungen, dass der Vorkeimbeh?lter keinen Einfluss auf die Ertr?ge ausübt und dass es m?glich ist, den Mittelwert der l?ngsten Keime auf ungef?hr 12 mm zu beschr?nken. Ferner wurde festgestellt, dass eine Sonderausführung des Vorkeimhauses mit mechanischer Belüftung keinen deutlichen Vorteil bringt.

Résumé Pendant trois années, on a fait germer des plants de pomme de terre conservés en caisses, en sacs et en caissettes dans trois types d'abri, soit dans un magasin ventilé, un hangar à c?tés ouverts et un système où les contenants étaient entassés en plein air, puis couverts d'un film de polyéthylène et chauffés électriquement par un cable flexible (Fig. 1, Tabl. 1). On a calculé que le temps nécessaire pour réaliser le troisième type d'abri était de 70 minutes de main d'oeuvre par tonne de pommes de terre stockées (Fig. 2, Tabl. 2). Pendant la période de stockage, on a enregistré la température dans les abris et on a calculé des ‘degré-jours’ (Tabl. 3) en multipliant le nombre de degrés audessus de 5 °C par le temps de dépassement (en heures). Avant la plantation, on a prélevé des échantillons dans les contenants dans chacun des trois abris, l'on a déterminé la longueur et le nombre de germes et l'on a calculé la signification des résultats (Tabl. 4b). L'influence du contenant sur la longueur des germes n'était pas concluante dans le cas d'abri en film de polyéthylène; par contre dans le magasin ventilé, les germes des tubercules étaient nettement plus longs dans les caisses et les sacs que dans les clayettes. Dans les deux cas, le contenant n'exer?ait pas d'influence significative sur la récolte (Tabl. 4a et 4b). En général, les germes des tubercules provenant de l'abri couvert de polyéthylène étaient plus longs et plus nombreux que ceux des échantillons provenant du magasin ventilé (Tabl. 4a). Une année, la récolte provenant des tubercules stockés dans le magasin ventilé a été supérieure, mais l'année suivante on observait le contraire. Les tubercules conservés dans le hangar à c?tes ouverts ont présenté les germes les plus courts et ont produit les rendements les plus bas. De tout quoi, il est conclu que le type de contenant dans lequel les germes se développent n'a pas d'influence sur la récolte et qu'il est possible de limiter la longueur moyenne des germes les plus longs à 12 mm environ. De plus, l'emploi d'un local spécial équipé d'un système mécanique de ventilation n'apporte aucun avantage pour la germination des plants de pomme de terre.
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12.
Summary Of five growth regulators applied to seed tubers in January when sprout growth had just started, only gibberellic acid (GA) materially affected apical dominance or subsequent development. GA increased the number of sprouts by one third and induced the production of many stolon-like branches. After planting, the number of main stems was greater with GA, as was the number of branch stems and tubers; total yield was not affected, but the yield of seed-sized tubers was increased by up to 70%.
Zusammenfassung Frühere Arbeiten über den Einfluss der Keimbildung zu verschiedenen Zeitpunkten deuteten an, dass eine Kombination von früher Keimildung und Verminderung der apikalen Dominanz notwendig ist, um die Knollenzahl pro Pflanzstelle zu erh?hen. Es wurde ein Versuch gemacht, die apikale Dominanz zu verringern, indem Pflanzkartoffeln im Januar unmittelbar nach Beginn des Keimwachstums mit fünf Wachstumsregulatoren in je drei Konzentrationen behandelt wurden. Die Einzelheiten der Verfahren sind im Abschnitt ‘Material and Methods’ angegeben; ihre Wirkung auf das Keim- und Stengelwachstum sowie auf die Knollenzahl und den Ertrag sind in Tabelle 1 aufgeführt. Nur die Gibberellins?ure (GA) beeinflusste die apikale Dominanz oder das nachfolgende Wachstum wesentlich. GA erh?hte die Anzahl der Keime und der Haupttriebe um 1/3, ebenso erh?hte sie stark die Anzahl der stolonenartigen Seitentreibe an den Keimen; einige der letzteren entwickleten sich nach dem Auspflanzen wahrscheinlich in Seitenstengel. Zweimalige Behandlung der Knollen mit Konzentrationen von 50und 100 ppm verursachten ein früheres Auflaufen und eine frühere Knollenbildung; dies im Gegensatz zu Bruinsma et al. (1967) und Lovell und Booth (1967), die fanden, dass GA den Beginn der Knollenbildung verz?gere. Der frühere Beginn der Knollenbildung wurde durch das frühere Auflaufen und das fortgeschrittene Stolonen-wachstum zur Zeit des Auspflanzens erm?glicht. Es waren kein signifikanten Einfluss von GA auf den Krautertrag bei irgendeiner der drei Musterentnahmen (Abb. 1) und keine ungünstigen Symptome, wie z.B. die von andern Forschern beobachtete Chlorose, festzustellen. Unbehandeltes Pflanzgut und solches, das zweimal mit einer GA-L?sung von 5, 50 und 100 ppm behandelt wurde, ergaben 10.8, 13.7, 17.0 bzw. 19.8 Knollen pro Staude und einen Pflanzknollenertrag von 12.4, 15.6, 17.6 bzw. 21.2 Tonnen/ha (Tabelle 2). Diese Unterschiede in der Knollenanzahl waren zur Zeit des Beginns der Knollenbildung schon klar ersichtlich (Abb. 1). Die in der Literatur berichtete Unterschiedlchkeit in der Reaktion der Gibberellins?ure wird im Zusammenhang mit der Anwendungs-methode und dem Zusatand der Pflanzknolle zur Zeit der Behandlung besprochen. Man kommt zum Schluss, dass weitere Arbeiten über Faktoren, die die Aufnahme von GA durch die Knollen beeinflussen, notwendig sind, bevor die Verwendung für die Produktion von Pflanzkartoffeln für den Handel empfohlen werden kann.

Résumé Une étude précédente sur l'effet des variations dans la durée de la germination a suggéré l'hypothèse qu'une combinaison de la germination précoce et de la réduction de la dominance apicale était nécessaire pour accro?tre le nombre de tubercules par touffe. On a réalisé un essai de réduction de la dominance apicale par application de cinq régulateurs de croissance, à 3 concentrations chacun, à des plants de pomme de terre, en janvier, au moment du départ de la germination. Les détails des traitements sont donnés dans le paragraphe ‘Materials and methods’ et leurs effets sur la croissance du germe et de la tige, de même que sur le nombre de tubercules et la production figurent au tableau 1. Seul l'acide gibberellique (GA) influence réellement la dominance apicale ou la croissance subséquente. GA augmente de 1/3 le nombre de germes et de tiges principales et augmente également le nombre de ramifications semblables à un stolon sur les germes; plusieurs de ces derniers se développent probablement en branches de tiges après la plantation. GA pulvérisé deux fois sur les tubercules aux concentrations de 50 et 100 ppm a donné une levée plus précoce, de même qu'une initiation plus précoce des tubercules, contrairement à Bruinsma et d'autres (1967), Lovell et Booth (1967) qui trouvaient que GA retardait celle-ci. Il est possible que l'initiation plus précoce précoce soit due à une levée plus rapide et à une croissance plus avancée de stolons au moment de la plantation. Il ne se révèle aucun effet significatif de GA sur le développement foliaire à aucun des trois arrachages d'échantillons (Fig. 1) et aucun sympt?me nuisible, telle la chlorose signalée par certains chercheurs, n'a été observée. Les plants non traités et ceux traités deux fois avec des solutions de GA de 5, 50 et 100 ppm donnaient 10,8, 13,7, 17 et 19,8 tubercules par touffe, et les productions de plants étaient de 12,4, 15,6, 17,6 et 21,2 tonnes/ha respectivement (Tableau 2). Ces différences dans les nombres de tubercules apparaissent clairement au moment de l'initiation des tubercules (Fig. 1). L'auteur discute des variations dans la réaction à l'acide gibberellique rapportées dans la littérature en fonction de la méthode d'application et de l'état du plant au moment du traitement; il conclut qu'une recherche ultérieure sur les facteurs qui affectent l'absorption de GA par les tubercules est nécessaire avant que l'on puisse recommander son utilisation dans la production commerciale de plants.
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13.
Summary Potato tubers of several Polish varieties and strains were stored at low temperature (1, 2 and 6°C) and examined for sugar accumulation. The amount of accumulated sugar depended on the variety (strain) and was negligible at 6°C, greater at 2°C and the greatest at 1°C. The reducing sugar usually predominated and fructose was accumulated faster than glucose. There were two exceptions (R-42431 and R-38319), which accumulated a high percentage of sucrose with an accompanying low percentage of reducing sugars.
Zusammenfassung Kartoffelknollen einiger polnischen Sorten und St?mme wurden w?hrend 18 oder 22 Wochen bei Temperaturen von 1, 2 und 6° C gelagert. Nach der Lagerung wurden die Gehalte an Gesamtzucker, reduzierenden Zuckern, Saccharose, Glukose und Fruktose bestimmt. Die Ergebnisse der Zuckeranh?ufung bei 1°C wurden mit jenen in der amerikanischen Sorte Kennebec verglichen, die unter den gleichen Bedingungen aufbewahrt wurde. Zuckeranh?ufung bei verschiedenen Sorten und St?mmen unterscheidet sich sowohl quantitativ wie qualitativ. Eine temperatur von 6° C dürfte im allgemeinen den Gesamtzuckergehalt nicht wesentlich ver?ndern; bei einigen Sorten ist dies aber doch der Fall (Abb. 1 und 2). Die Anh?ufung reduzierender Zucker bei dieser Temperatur wird vor allem durch den Abbau der Saccharose verursacht, die w?hrend der Lagerung abnimmt (Abb. 3 und 5). Temperaturen von 2 und 1° C steigern die Zuckeranh?ufung stark. Eine Temperatur von 2°C beschleunigt haupts?chlich die Anh?ufung reduzierender Zucker mit relativ geringer Anh?ufung von Saccharose, w?hrend eine Temperatur von 1°C sowohl die Menge an reduzierenden Zuckern als auch an Saccharose ?ndert (Abb. 1–6). Der Gesamtzuckergehalt war infolge der rascheren Saccharose-Anh?ufung in einer Periode w?hrend der Lagerung bei 1°C in verschiedenen Lagerperioden unterschiedlich (Abb. 1 und 5), w?hrend der Gehalt an reduzierenden Zuckern gleich blieb (Abb. 3). Das heisst, dass die Reaktion von Kartoffelknollen auf Zuckeranh?ufung bei tiefen Temperaturen unter anderem von der vorangehenden Wachstumsperiode abh?ngt. Die Knollen der untersuchten Sorten und St?mme zeigten eher ein niedriges Verh?ltnis Saccharose/reduzierende Zucker (Tab. 1). Sogar die amerikanische Kontrollsorte Kennebec ergab ein ganz niedriges Verh?ltnis von 0,36. Dies kann durch den Einfluss von geographischen Bedingungen w?hrend des Kartoffelwachstums in Polen erkl?rt werden. Das unterschiedliche Verh?ltnis Glukose/Fruktose in Mustern vor und nach der Lagerung kann aus Tabelle 2 ersehen werden. Der vorherrschende Zucker in der Kontrolle ist Glukose, w?hrend tiefe Temperaturen die Fruktose-Anh?ufung begünstigen. Die gegenw?rtigen Versuche zeigten, dass die Reaktion von Knollen auf tiefe Lagertemperaturen ein Sortenmermal ist. Gewisse Sorten (St?mme) h?ufen in der Regel geringe Zuckermengen an, wie zum Beispiel die Sorte Nina (Abb. 2, 4 und 6), w?hrend andere Sorten rasch Zucker anh?ufen, wie zum Beispiel Flisak. Diese Feststellung ist vom technologischen Standpunkt aus wichtig. Zwei St?mme, R-42431 und R-38318, wurden in ihrer Zuckeranh?ufung bei tiefer Temperatur als atypisch befunden. Diese St?mme reichern w?hrend der Lagerung bei 1°C sehr grosse Mengen Saccharose an, w?hrend die reduzierenden Zucker auf einem sehr tiefen Stand bleiben (Abb. 4 und 6).

Résumé Des tubercules de pomme de terre de divers variétés et hybrides polonais ont été conservés à des températures de 1, 2 et 6°C pendant 18 à 22 semaines. Les sucres totaux, les sucres réducteurs, le saccharose, les glucose et fructose ont fait l'object de déterminations après la conservation. Les résultats de l'accumulation de sucres à 1°C sont comparés à ceux de la variété américaine Kennebec conservée dans les mêmes conditions. L'accumulation de sucres dans les différents variétés et hybrides varie à la fois sur les plans quantitatif et qualitatif. Une température de 6°C peut ne pas modifier sensiblement la quantité totale des sucres, quoique ce soit le cas chez quelques variétés (fig. 1 et 2). A cette température, l'accumulation des sucres réducteurs est due en tout premier lieu à la décomposition du saccharose, dont la quantité diminue pendant la conservation (fig. 3 et 5). Des températures de 2 et 1°C élèvent considérablement l'accumulation des sucres. Une température de 2°C accélère principalement l'accumulation des sucres réducteurs et relativement peu l'accumulation du saccharose; par contre une température de 1°C modifie aussi bien les quantités de sucres réducteurs que de saccharose (fig. 1–6). La quantité totale de sucres varie au cours d'une conservation à 1°C avec les périodes de conservation parce que l'accumulation de sucrose est plus rapide pendant une période (fig. 1 et 5), alors que les sucres réducteurs restent au même niveau (fig. 3). Ce qui signifie que la réaction des tubercules de pomme de terre à l'accumulation de sucres à basse température dépend, parmi d'autres facteurs, des périodes précédentes de croissance. Les tubercules des variétés et hybrides examinés ont montré un rapport saccharose/sucres réducteurs plut?t bas (tableau 1). Même chez la variété américaine de référence Kennebec, le rapport était tout à fait bas: 0,36. Ceci peut s'expliquer par l'influence de conditions géographiques au cours de la croissance des pommes de terre en Pologne. On peut voir dans le tableau 2 les différents rapports glucose/fructose dans les échantillons avant et après le stockage. Le sucre le plus abondant dans les contr?les est le glucose fandis que la basse température favorise l'accumulation de fructose. Les présentes expériences ont montré que la réaction des tubercules à basse température de conservation présente un aspect variétal. Certaines variétés (hybrides) accumulent régulièrement de faibles quantités de sucres comme par exemple, la variété Nina (fig. 2, 4 et 6), alors que d'autres en produisent rapidement, telle Flisak. Ce fait est important du point de vue technologique. Deux hybrides, R-42431 et R-38319, se révèlent atypiques pour leur accumulation de sucres à basse température. Ils accumulent de très grosses quantités de sucrose à une conservation à 1°C, alors que les sucres réducteurs se maintiennent à un niveau très bas (fig. 4 et 6).
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14.
Summary Potato plants were grown in pot assemblies which allowed non-destructive observations. During tuberization, plants were exposed to dry or wet conditions in the stolon environment and normal or low osmotic potential of the nutrient solution. Drought in the stolon environment enhanced the initiation of stolons and tubers. Although this treatment caused a minor reduction in yield, more large tubers were produced because there were more large tubers on the early-initiated stolons. Drought in the root medium did not affect the final number of stolons or tubers initiated, but reduced tuber yield. It inhibited the formation of large tubers on the later-formed stolons. Drought conditions simultaneously in the stolon and root media slightly stimulated the initiation of stolons and tubers. Furthermore, it reduced the tuber yied and no large tubers were found on the latest-formed stolons. However, there were more large tubers on the early-formed stolons.
Zusammenfassung In zwei Experimenten unter kontrollierten Bedingungen (Tabelle 1) wurden Pflanzenentwicklung, Knollenertrag und Knollengr?ssen-Verteilung vonSolanum tubersosum L. (Sorte Bintje) untersucht. Das speziel entwickelte Verfahren (Abb. 1) erlaubte fortw?hrende, nicht-destruktive Beobachtungen der Stolonenbildung und der Knokllweninitiiterung und erm?glichte separate Variierung der Wasserverfügbarkeit in der Umgebung von Wurzeln und Stolonen. Die Stolonne-Initiierung wurde duch ein trockenes Stolonen-Medium gef?rdert, w?hrend Trockenheit in der Wurzelumgebung die Stolonenbildung kaum beeinflusste (Abb. 2). Ebenso wurde Knolleninitiierung durch Trockenheit im Stolonenmedium stimuliert, w?hrend eingeschr?nkte Waseraufnahrne durch die basalen Wurzeln kaum Einfluss auf die Knollenbildung hatte (Abb. 3). Nicht alle Knollen wuchsen bis zu substanzieller Gr?sse. Trockenheit im Wurzelmedium reduzierte die Zahl der Knollen, die ein endgültiges Trockengewicht über 0,50 g errichten (Tabelle 2). Der Feuchtigkeitsgehalt des Stolonenmediums hatte hingegen keinen Einfuss auf diese Zahl. Trockenheit im Wurzelmedium reduzierte auch den Gesamtertrag an Knollentrockenmasse erheblich. Ein trockenes Stollonenmedium hatte lediglich einen geringen Einfluss (Tabelle 2). Offensichtlich reduziert Trockenheit de Zahl der Knoilen durch Reduktion des Knollenwaschtums und nicht durch Beeinflussung der Knollenbildung, und ist nur bei trockenen Verh?ltnissen im Wurzelbereich effektiv. Ein trockens Stolonenmedium w?hrend der Knollenbildung induziert eine Schub and Trockenmasse für h?here Knollengr?ssen: In beiden Versuchen ergab sich eine h?here Proportion des gesamten Knollenertrages in der h?chsten Klasse für Knollengr?ssen (Abb. 4). Wurden die Wurzeln trockenen Verh?ltnissen ausgesetzt, wurde relativ mehr Trocknmasse in den mittelgrossen Knollen festgelegt (Abb. 4.). Der beobachtete poisitive Effekt eines trockenen Stolonenmediums wurde durch einen Anstieg der Zahl grosser Knollen an früh-initiierten Stolonen verursacht (Abb. 5). Trockenheit im Wurzelmedium ergab weiniger gr?ssere Knollen an den sp?tinitiierten Stolonen (Abb. 5). Der einfluss von Trockenheit im Wurzelmedium stimmt mit den meisten Literaturdatend überein. Der Einfluss eines trockenen Stolonenmediums ist dagegen bemerkenswert und bedarf weiterer Untersuchung.

Résumé Les effets de la sécheresse sur le développement de la plante, le rendement en tubercules et la répartition des calibres deSolanum tuberosum L. variété Bintje sont étudiés dans deux expérimentations en conditions controlées (tableau 1). Le dispositif spécial utilié (fig. 1) permet des observations non destructives fréquentes de la formation des stolons et de l'initiation des tubercules et rend possible des variations séparées de la disponibilité en eau au niveau des racines et des stolons. Un milueu sec au niveau des stolons favorise leur initiation tandis que des conditions sèches au niveau racinaire l'affecte (fig. 2). L'initiation des tubercules est stimuulée par des conditions dèches au niveaudes stolons tandis qu'une absorption d'eau réduite des racines de la base n'a aucun effet sur la tubérisation (fig. 3). Tous les tubercules n'atteignent pas un calibre important. Une sécheresse au niveau du milieu racinaire réduit le nombre de tubercules de poids sec final supérieur à 0,50 g (tableau 2) mais le degré d'humidité au niveau des stolons n'a aucun effet surce nombre. Une sécheresse du milieu racinaire diminue également fortement le rendement totalen matière sèche des tubercules. Une sécheresse uniquement au niveau des stolons n'a qu'un effet mineur (tableau 2). Apparemment, la sécheresse diminue le nombre de tubercules en réduisant le grossissement des tubercules et non pas en modifiant la tubérisation, et n'a d'effet que si les racines sont soumises aux conditions sèches. Un milieu sec au niveau des stolons durant la tubérisation induit un déplacement de la matière sèche vers les tubercules les plus gros: dans les deux expérimentations une plus grande proportion du rendement total en tubercules a été observée dans la classe des calibres les plus gros (fig. 4). Loorsque les racines sont soumises à des conditions sèches une quantité relativement plus importante de matière sèche est accumulée dans les tubercules de moyen calibre (fig. 4). L'effert positif observé dans le cas d'un milieu sec au niveau des stolons est la cause d'une augmentation du nombre de gros tubercules sur les stolons initiés précocement (fig. 5.). Une sécheresse du milieuracinaire a pour conséquence un faible nombre degros tubercules formés surles stolons initiés tardivement (fig. 5). Les effets d'une sécheresse racinaire concordent avec la plupart des données mentionnées dans la litérature. Les effets d'une sécheresse au niveau des stolons sont cependant singuliers et nécessitent des investigations comlémentaires.
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15.
Summary Experiments with planting depths of 10 cm below the top of the ridge and just on top of the unloosened soil, revealed that a deep soil cover of the parent tuber, accomplished by deep planting in a large ridge, increased the yield, increased the size of the tubers, decreased dispersion of the tubers in the ridge, and decreased the number of green potatoes. These effects may be explained by a lower temperature or reduced temperature variation and a generally higher moisture content from the top to the bottom of the ridge and a higher average moisture content in a large ridge. From these results it is possible to make suggestions about the optimum ridge size, form and planting depth.
Zusammenfassung Es wurde ein dreij?hriger Versuch mit drei verschiedenen Dammgr?ssen (Abb. 1) und fünf verschiedenen Pflanztiefen, 10 cm unterhalb der Dammkrone (Abb. 1, 1–3) und gerade über dem ungelockerten Boden (Abb. 1, 3–5), durchgeführt. Der Zweck dieses Versuches war, die optimale Gr?sse und Form des Kartoffeldammes herauszufinden, d.h. jene Werte, mit denen der h?chste Ertrag an vermarktungsf?higer Ware erzielt werden kann. Die zu beurteilenden Faktoren—im Hinblick auf die Konstruktion neuer Erntemaschinen—umfassten die Anzahl grüner sowie kranker Knollen, ferner solche in Unter- oder übergr?ssen sowie die Leichtigkeit der Ernte mit Berücksichtigung von Erdbesatz und m?glichst niedrigen Verlusten. Die Lage der Knollen und der Ertrag (Knollengr?sse, grüne Knollen usw.) wurden festgehalten, ebenso das Auflaufen und die Entwicklung w?hrend der Wachstumsperiode. Der Einfluss der Sorte und die Tagesl?nge wurden nicht beachtet; als haupts?chlichste Umweltfaktoren wurden die Temperaturen und der Feuchtigkeitsgehalt des Bodens ermittelt. Diese Ergebnisse sind in Abb. 2 dargestellt. Die Umschreibung für die Lage der Saatknolle wechselte von warm und trocken (Pflanztiefe 1) zu kalt und nass (Pflanztiefe 5). Die Reihenfolge des Auflaufens (Tabelle 1) zeigt die Wichtigkeit einer genügenden Wasserversorgung für die Keimung. Die Entwicklung war am schnellsten bei der Pflanztiefe 3 eine bestimmte Zeit w?hrend der Wachstumsperiode andauerte (Tabelle 2, Abb. 3), aber dies ?nderte sich sp?ter, wie anhand der L?nge der Stengel bei der Ernte festgestellt wurde (Tabelle 2). Dieser Wechsel dürfte zur Zeit der Erreichung des vollen Blattwerkes stattgefunden haben. Die Ergebnisse bei der Ernte sind in Tabelle 4 aufgeführt (Bintje 1966–1968) und weisen —fortschreitend von Pflanztiefe 1 bis 5—einen h?heren Ertrag, mehr gr?ssere Knollen, einen kleineren Anteil an grünen Knollen usw. auf. Abb. 6 stellt die Verteilung von 94% der Knollen innerhalb einer gegebenen Ellipse dar. Abb. 7 zeigt eine st?ndig abnehmende Streuung der Knollenlage in der Furchenrichtung von Pflanztiefe 1 zu Pflanztiefe 5 und eine progressiv zunehmende Streuung in der vertikalen Verteilung der Knollen von Pflanztiefe 4 zu Pflanztiefe 5. Die sp?te SorteAlpha wurde vor 1968 nicht verwendet,Bintje wurde in allen Versuchen gebraucht. Die horizontale Verteilung vonAlpha war bei flacher Pflanzung ausgepr?gter (Abb. 8, Pflanztiefen 1 und 2). Die Bedeutung dieser Unterschiede und der Achsenl?ngen in Verbindung zur Schwerpunktlage aller Knollen von 10 Pflanzen wird in Abb. 5 aufgezeigt. Die Verteilung der Knollen, leicht beeinflusst durch die Dammform, bildet ungef?hr ein Ellipsoid, und die Stellen, an denen Knollen am meisten zum Grünwerden neigen, finden sich an den Dammflanken (siehe auch Abb. 6, 10B, E und F). Die Position der Saatknolle beeinflusst die Lage der neuen Knollen und infolgedessen den von der Erntemaschine erfassten Anteil Boden (Abb. 9). Aus den Ergebnissen in Tabelle 3 (Breite) kann geschlossen werden, dass ein e lipsenf?rmiges Erntemaschinenschar von 40 cm Breite genügen wird. Anh?ufeln der D?mme in die Endform und-gr?sse vor der Pflanzung befriedigte auf allen B?den. Der Damm sollte breit und abgerundet sein (Abb. 10C und Abb. 11), mit einem Querschnitt von mindestens 500–600 cm2, verbunden mit ziemlich tiefer Pflanzung. Dammgr?sse, Form und Pflanztiefe k?nnen bis zu einem gewissen Umfang angepasst werden an die Sorte, die Pflanzzeit, den Verwertungszweck der Ernte sowie an die Struktur und die Art des Bodens.

Résumé On a effectué une expérience pendant trois ans sur trois volumes différents de butte (Fig. 1) et cinq positions différentes de plantation: 10 cm du sommet de la butte (Fig. 1, 1–3) et juste sur le sol non ameuble (Fig. 1, 3–5). Le but de l'essai était de trouver le volume et la forme optimal de la butte de pomme de terre de manière à obtenir la production la plus élevée de marchandise vendable. Les facteurs à considérer comprennent le nombre de tubercules verdis, malades, difformes, la facilité de la récolte, le minimum de tare et de pertes, le dessein de nouvelles récolteuses à fabriquer. La disposition des tubercules et la production (grosseur, tubercules verdis, etc.) ont été notées, de même que la levée et le développement pendant la saison de croissance. L'influence de la variété et de la longueur des jours n'a pas été prise en consedération et les principaux facteurs du milieu étudiés ont été la température et la teneur en humidité du sol. Les résultats sont montrés dans Fig. 2. Les positions du plant de pomme de terre varient de chaud et sec (position de plantation 1), à froid et humide (position de plantation 5). L'ordre des levées (Tableau 1) montre l'importance d'un apport suffisant d'eau pour la germination. On observe la vitesse la plus grande de développement dans la position 3; celle-ci persiste pendant un certain temps durant la période de croissance (Tableau 2; Fig. 3) mais se modifie plus tard comme le montre la longueur des tiges à la récolte (Tableau 2). Ce changement peut se produire au moment de la pleine couverture du sol. Fig. 4 (Bintje 1966–68) donne les résultats à la récolte; il appara?t une augmentation de la production et de l'irrégularité de la forme, de même qu'une diminution de l'importance des tubercules verdis, etc., progressivement des positions de plantation 1 à 5. Fig. 6 montre la dispersion de 94% des tubercules, qui constitue une ellipse. Fig. 7 révèle une diminution progressive de la dispersion de la position de plantation 1 à la position 5 et une augmentation progressive de la disperson verticale de la position 4 à la position 5. La variété tardiveAlpha n'a pas été utilisée avant 1968,Bintje étant employée dans tous les essais. La dispersion horizontale chezAlpha est plus prononcée lors d'une plantation superficielle (Fig. 8 position de plantation 1 et 2). La signification de ces différences et la longueur des axes par rapport au centre de gravité de l'ensemble des tubercules, déterminées sur dix plantes, sont montrées dans Fig. 5. La disposition des tubercules, légèrement influencée par la forme de la butte, est grossièrement une ellipso?de et les points les plus exposés au verdissement sont les bords de la butte (voir aussi Fig. 6, 10B, E et F). La position du plant influence la position des nouveaux tubercules et conséquemment l'importance du travail de l'arracheuse (Fig. 9). Des résultats du Tableau 3 (largeur des axes), on peut conclure qu'un soc d'arracheuse de 40 cm de largeur donnera satisfaction, s'il est modelé sur une ellipse. La réalisation de la butte dans la forme et la grosseur finales avant la plantation a donné satisfaction dans tous les sols. La butte pourrait être large et arrondie (Fig. 10C et 11) avec une section transversale d'au moins 500–600 cm2, combinée avec une plantation plut?t profonde. Le volume de la butte, la forme et la profondeur de plantation peuvent être adaptées dans une certaine mesure à la variété, le moment de la plantation, la fin de l'utilisation de la récolte, la structure et le type de sol.
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Summary The effect of foliar sprays of 0, 25, 50 and 75 ppm potassium gibberellate (KGA) and 1, 2 and 3 applications were studied on an economically important summer variety of potato (Eslamboli) in a factorial experiment. Three applications of KGA regardless of concentration significantly increased the number of tubers and the total length of main stems over 1 and 2 applications. Soluble solids content of tubers significantly decreased with each unit increase in number of applications regardless of concentration. A combination of 3 applications at 25 ppm caused the largest significant increase in total length of main stems. Mean length of main stems also significantly increased when the concentration, number of applications or their combination were considered. Treated tubers appeared smaller than controls. There were no changes in mean fresh weight of each tuber, dry matter percentage, number of main stems or total yield.
Zusammenfassung In einem faktoriellen Versuch wurden die Einflüsse von Kalisalz der Gibberellins?ure (KGA) bei Gaben von 0, 25, 50 und 75 ppm und bei 1, 2 und 3 Anwendungen auf die vegetative Entwicklung und die Knollenerzeugung einer ?konomisch wichtigen Sommerkartoffelsorte (Eslamboli) untersucht. Der Versuch wurde als Split-plot mit 4 Wiederholungen angelegt. Die Knollen wurden am 1. April 1971 ausgepflanzt. Die erste Spritzung wurde 4 Wochen nach dem Auspflanzen, als die Stengel 10–12 cm lang waren, vorgenommen. Die weiteren Spritzungen folgten in je 10 Tagen Abstand. Das vegetative Wachstum wurde alle 10 Tage an den vierten, achten und zw?lften Pflanzen in der Reihe der 14 Pflanzen gemessen. Die Knollen wurden am 10. August 1971 geerntet und die notwendigen Messungen daran vorgenommen. Drei Anwendungen von KGA, gleichgültig welcher Konzentration, erh?hten in signifikanter Weise die Anzahl der Knollen, und die Gesamtl?nge der Haupttriebe gegenüber von nur einer oder zwei Anwendungen (Tabelle 1, Abb. 2). Der Gehalt an l?slichen Inhaltsstoffen der Knollen verminderte sich signifikant mit jeder zus?tzlichen Behandlung ohne Rücksicht auf die Konzentration (Tabelle 1). Die Kombination von 3 KGA-Anwendungen zu 25 ppm brachte die gr?sste signifikante Zunahme in der Gesamtl?nge der Haupttriebe (Tabelle 2). Bei zwei und drei Anwendungen von KGA, gleichgültig welcher Konzentration, nahm die durchschnittliche L?nge der Haupttriebe im Vergleich zu einer Behandlung signifikant zu (Tabelle 1, Abb. 3). KGA zu 25–50 ppm, ohne Rücksicht auf die Zahl der Anwendungen, brachte eine signifikante Zunahme der durchschnittlichen L?nge der Hauptstengel (Tabelle 3). Die Kombination von 3 Spritzungen mit KGA zu 50 ppm zeitigte die gr?sste signifikante Zunahme in der durchschnittlichen L?nge der Haupttriebe (Tabelle 4). Knollen von behandelten Pflanzen waren kleiner als die der Kontrolle (Abb. 1). Es ergaben sich keine signifikanten Aenderungen in der Anzahl der Haupttriebe, in Prozent der Trockensubstanz der Knollen, im durchschnittlichen Frischgewicht jeder Knolle und im Gesamtertrag der Knollen.

Résumé Les auteurs ont étudié dans une expérience factorielle les effets de gibbérellate de potassium (KGA) à 0, 25, 50 et 75 ppm et 1, 2 et 3 applications sur le développement végétatif et la production de tubercules d'une variété économiquement importante (Eslamboli). Ils ont utilisé la méthode des blocs avec répartition des parcelles au hasard et 4 répétitions. La plantation eut lieu le ler avril 1971. La première pulvérisation fut effectuée 4 semaines après la plantation, au moment où la longueur des tiges était de 10–12 cm environ, et les pulvérisations étaient répétées après chaque période de 10 jours. La mesure du développement végétatif a été faite chaque dixième jour sur la quatrième, huitième et douzième plante dans la ligne de 14 plantes. La récolte des tubercules s'est faite le 10 ao?t 1971 et on a effectué sur ceux-ci les mensurations nécessaires. Trois applications de KGA, indépendamment de la concentration, accroissent significativement le nombre de tubercules et la longueur totale des tiges principales par rapport à 1 ou 2 applications (tableau 1, fig. 2). La teneur des tubercules en éléments solubles diminue significativement avec chaque augmentation du nombre d'applications, indépendamment de la concentration (tableau 1). La combinaison de 3 applications et de la dose de 25 ppm entra?ne l'augmentation la plus significative de la longueur totale des tiges principales (tableau 2). Deux et trois applications de KGA indépendamment de la concentration augmentent significativement la longueur moyenne des tiges principales par comparaison avec une application (tableau 1, fig. 3). Le KGA à 25–50 ppm, indépendamment du nombre d'applications, augmente significativement la longueur moyenne des tiges principales (tableau 3). La combinaison ‘3 applications de KGA à 50 ppm’ a provoqué l'accroissement le plus significatif de la longueur moyenne des tiges principales (tableau 4). Les tubercules traités se sont révélés de volume inférieur à ceux des témoins (fig. 1). Aucun changement significatif n'est apparu dans le nombre de tiges principales, le pourcentage de matière sèche des tubercules, le poids moyen frais de chaque tubercule et la production totale de tubercules.
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Summary In order to meet requirements of tractors with large axle widths and wide tyres, the technical feasibility and crop response of increased row spacings for potatoes were checked in the field and in model experiments. Newly developed ridgers performed satisfactorily at a row spacing of 90 cm. but at 105 cm row spacing ridges were usually too wide and. consequently. furrows too narrow to accommodate the tyres of tractors with a higher power than 45 kW (≈ 60 HP). The cluster width hardly increased with larger row spacing. A ridge size of 600–700 cm2 of loose soil in cross-section appeared to be optimal for all row spacings, allowing shallower spring cultivations and easier widening of the furrows at increased row spacing. The effect of row spacing on yield depended on the yield level. On average, yields of ware potatoes decreased by 3–4% and 5–6% respectively for the 90-cm and 105-cm rows compared with 75-cm rows. Yield reductions can be overcome by higher nitrogen dressings.
Zusammenfassung Es wurden technische M?glichkeiten bei gr?sserer Distanz zwischen den Reihen und die Reaktion des Bestandes im Feld untersucht. Auch wurden Modelversuche in Grosskisten im Freien angelegt. Bei allen Reihenabst?nden wurden Pflanzdichte in der Reihe. Tiefe des Pflanzbettes. Dammform und Pflanztiefe so konstant wie m?glich gehalten. Für Pflanzkartoffeln und Speisekartoffeln wurde die Sorte Bintje angebaut und für Industrie-(St?rke) kartoffeln die Sorten Prominent oder Prevalent. Dammh?he und-form, mit einem Reliefmesser (Abb. 1) oder einem Profilmesser (Abb. 3) gemessen und mit den in Abb. 2 dargestellten Dimensionen charakterisiert, wurden mit angepassten H?ufelger?ten errichtet (s. Abb. 6). Der gr?ssere Dammumfang bei zunehmendem Reihenabstand (Abb. 4) war haupts?chlich auf eine gr?ssere Dammbreite zurückzuführen (Abb. 5). Diese breiteren und umfangreicheren D?mme waren mit tieferen Temperaturen, kleineren Temperaturschwankungen nahe der Pflanzkartoffel (Tabelle 1) und einem leicht versp?teten Auflaufen (2 4 Tage) verbunden, w?hrend die Bodendeckung mehr als zwei Wochen sp?ter vollendet war. Bei gr?sseren Reihenweiten wurden weniger Trockenheitssymptome beobachtet. wahrscheinlich infolge der flacheren Form der D?mme (Tabelle 2). Die Stengell?nge nahm zu, aber die Stengelzahl verminderte sich. so dass der Blattertrag bei breiten Furchen geringer war (Tabelle 3). Der Umfang des Knollenbehangs stieg nur schwach (Abb. 5). wodurch der Anteil des im Querschnitt mit Knollen belegten Dammes (‘Prozentsatz Belegung’, Tabelle 4) eine starke Abnahme erfuhr. Versuche, den schlechteren Pflanzenbestand (Abb. 8) durch Zickzack-Pflanzung (Tabelle 9) oder durch eine geringere Anzahl von Pflanzen pro ha (Tabelle 10. Abb. 9) zu verbessern. brachten keine vielversprechenden Resultate. Nur st?rkere Stickstoffdüngung war imstande. die ungünstigen Einflüsse der gr?sseren Reihenabst?nde auf Entwicklung und Ertrag zu überwinden (Tabellen 8 und 11). Die Menge der von der Erntemaschine aufgenommen Boden sank pro ha und nahm pro Einheit Furchenl?nge zu, je gr?sser der Reihenabstand war (Tabelle 5). Ein Versuch auf scholligem Boden ergab eine leicht verminderte Arbeitsgeschwindigkeit bei einer Reihendistanz von 90 cm im Vergleich zu einer solchen von 75 cm: dagegen verbesserte der gr?ssere Dammumfang den Nettoertrag betr?chtlich (Tabelle 6. Abb. 7). In der Regel sanken die Bruttoertr?ge um 3–4% bei 90 cm Reihenabstand und um 5–6% bei 105 cm Reihenabstand im Vergleich zu 75 cm Reihenabstand. Es wurde aber festgestellt dass die Gr?sse des Effekts der Reihenabstand auf den Ertrag deutlich abh?ngig ist von das allgemeine Ertragsniveau (Tabelle 7). Der Anteil kleiner Knollen nahm in dem Masse zu. wie der Gesamtertrag abnahm (Abb. 9). Eine Dammgr?sse von 600 700 cm2 losen Bodens im Querschnitt erwies sich für alle Reihendistanzen als optimal. was im Frühling eine flachere Bearbeitung erm?glicht und bei gr?sseren Reihenabst?nden die Verbreiterung der Furchen erleichtert (Tabelle 8. Abb. 10). Wenn das Feld frei von Steinen und Schollen ist. scheint ein Reihenabstand von 75 cm zur Erzielung dieser Dammgr?sse optimal zu sein. Dagegen ist für Traktoren mit einer Wellenbreite von 180 cm und 40 cm Reifen bei Vorhandensein von Steinen und Schollen oder in trockenen Klimatas ein Reihenabstand von 90 cm die optimale Breite.

Résumé Nous avons étudié la possibilité technique de plus grands écartements des rangs et la réponse des cultures en plein champ et dans des expérimentations modèles en casiers de plein air. Pour tous les écartements des rangs, la densité de peuplement, la profondeur du lit de semences, la forme des buttes et la profondeur de plantation ont été maintenus aussi constante que possible. Pour les cultures de semence et de consommation. la variété Bintje a été retenuc. et pour la pomme de terre industrielle (fécule). ce sont les variétés Prominent ou Prevalent. La taille et la forme des buttes, estimées avec un appareil pour mesurer le relief (fig. 1) ou le profil (fig. 3) et caractérisées par les dimensions présentées dans la figure 2. ont été réalisées avec des butteuses adaptées. comme on peut le voir sur la figure 6. L’augmentation de la taille des buttes. que l’on rencontre lorsque l’écartement des rangs cro?t (fig. 4) est due surtout à une plus grande largeur des buttes (fig. 5). Ces buttes. plus grandes et plus larges. sont associées à des températures plus basses. des fluctuations de température plus faibles près de la plante (tableau 1) et une levée légèrement retardée (2–4 jours). alors que la couverture du sol est atteinte avec au moins deux semaines de retard. Avec les écartements plus larges. nous avons noté moins de sympt?mes de sécheresse. ce qui est probablement d? à la forme plus applatie des buttes (tableau 2). La longueur des tiges augmente mais leur nombre diminue, de même que la production du feuillage est plus faible dans les rangs plus espacés (tableau 3). La largeur des touffes n’augmente que très lentement (fig. 5), provoquant une sévère diminution du pourcentage de la butte occupé par les tubercules en section transversale (‘pourcentage d’occupation’, tableau 4). Les tentatives d’amélioration des irrégularités d’espacement (fig. 8) par une plantation en quinconce (tableau 9) ou par une diminution du nombre de plantes par hectare (tableau 10, fig. 9) n’ont pas donné de résultats prometteurs. Seuls des apports massifs d’azote sont capables de compenser les effects défavorables de l’écartement plus grand des rangs sur le développement et le rendement (tableau 8, tableau 11). La quantité de terre exportée par l’arracheuse par hectare diminue lorsque l’écartement des rangs augmente par unité de longueur sur le rang (tableau 5). Sur sol motteux. un expériment a montré que la vitesse d’avancement est légèrement plus faible avec un écartement de 90 cm qu’à 75 cm. Cependant. l’augmentation de la taille des buttes augmente considérablement le rendement (tableau 6, fig. 7). En général, les rendements décroissent de 3 à 4% avec un écartement de 90 cm et de 5 à 6% avec un écartement de 105 cm comparés à l’écartement 75 cm. Pourtant. il a apparu que l’importance de l’effet de l’écartement des rangs sur le rendement dépend nettement du niveau général de rendement (tableau 7). La proportion des petits calibres augmente lorsque le rendement total diminue (fig. 9). Dans la butte. une taille de 600 à 700 cm2 de terre meuble dans la section transversale apparu comme optimale pour tous les écartements. ce qui rend possible des facons culturales de printemps moins profondes et facilite l’élargissement des sillons aux plus grands écartements de rangs (tableau 8. fig. 10). S’il y a peu de pierres et de mottes. il semble que l’écartement de 75 cm soit optimal pour obtenir cette forme de butte. Cependant, pour des tracteurs de 180 cm d’empattement et avec des pneus de 40 cm, en présence de pierres et de mottes. ou sous climat sec. un écartement de 90 cm est optimum.
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Summary In the Introduction general methods are described to assess inocolum of several potato diseases on seed tubers; on the progeny tubers during growth, at harvest and after 4 different storage regimes. Assessments were made in up to 26 commercial King Edward crops in each of 5 years, and up to 13 crops from ‘healthier’ seed, derived from stem cuttings, in 4 years. Results are reported from the work on black scurf (Rhizoctonia solani). Stem canker incidence was more closely related to the incidence of sclerotia on seed tubers than was the frequency ofRhizoctonia hyphae on growing tuber surfaces. Incidence of sclerotia on stored tubers was better related to the amount of surface colonization during growth than that of stem canker. Assessments on harvested and stored progeny of ‘healthier’ seed were correlated with those on adjacent commercial crops, indicating spread or, more likely, a common source of inocolum.
Zusammenfassung In einer Studie wurde das Auftreten verschiedener Krankheiten im Erntegut der Sorte King Edward untersucht, die zwischen 1971 und 1975 in dem Fenland-Gebiet von Ostengland gewachsen war. Jedes Jahr wurden zwischen 15 und 26 Proben von Marktware untersucht und zwischen 1972 und 1975 wurde ‘gesünderes’ Pflanzgut (das von Stecklingen abstammte) auf dem selben Feld wie einige der Proben der Marktware gepflanzt (Tab. 1). Die Feststellung des Inokulums oder der Krankheit wurde an Pflanzgutproben, an Pflanzen w?hrend des Wachstums und an Knollen der Nachkommenschaft zum Erntezeitpunkt genommen. Geerntete Knollen wurden auch einheitlich verletzt und bei 3°C und 10°C gelagert, mit oder ohne zweiw?chige Wundheilperiode bei 15°C. Nach 3–4 Monaten erfolgte die Feststellung des Krankheitsbefalls. Die Auswertung der Ergebnisse wurde durch Regression zwischen allen m?glichen Paaren der Ergebnisse für jede Krankheit durchgeführt, wobei jedes Jahr sowohl getrennt als auch alle Jahre kombiniert genommen wurden. Die Regressionen wurden auch für das ‘gesündere’ Erntegut, das mit der entsprechenden Marktware übereinstimmte, durchgeführt. Rhizoctonia solani wurde auf dem Pflanzgut und auf dem nachfolgenden Erntegut als Prozentbefall mit Sklerotien angegeben, der Myzelbelag auf der Knollenoberfl?che rund um die Augen wurde durch mikroskopische Untersuchung von Augenstücken festgestellt und das Auftreten von Weisshosigkeit wurde w?hrend des Wachstums gesch?tzt. Das durchschnittliche Auftreten von Inokulum oder Krankheitsbefall auf Marktware (Tab. 2) zeigte, dass 1975 der Befall der Augen am h?ufigsten war und dass 1971 und 1975 der Krankheitsbefall im Lager am gr?ssten war. ‘Gesünderes’ Pflanzgut hatte gew?hnlich weniger Pocken als der Durchschnitt der Marktware aber der Befall der Augen der Tochterknollen w?hrend des Wachstums und zur Ernte war gr?sser und auf gelagerten Knollen wurden mehr Pocken gefunden (Tab. 3). Unter den nassen Erntebedingungen 1974 traten mehr Pocken auf den bei 10°C gelagerten Knollen auf als auf den bei 3°C, aber es ergaben sich keine Unterschiede in anderen Jahren. Die Signifikanz der Regressionen zwischen den Erhebungen, die nach verschiedenen Methoden oder zu verschiedenen Zeitpunkten (Tab. 4) gemacht wurden und Diagramme der signifikanten Regressionen in einzelnen Jahren (Abb. 1) zeigten, dass makroskopische und mikroskopische Bestimmungen auf dem Pflanzgut (Abb. la) und Befall der Schale rund um die Augen und Weisshosigkeit w?hrend des Wachstums (Abb. 1d) in allen Jahren miteinander verbunden waren. Die Weisshosigkeit stand h?ufiger in Beziehung zum Ausmass des Pockenbesatzes des Pflanzgutes (Abb. 1b) als der Befall der Augen (Abb. 1c). Dies führt zu der Annahme, dass die meisten Stengelinfektionen vom Inokulum des Pflanzgutes ausgingen w?hrend der Befall der Schale rund um die Augen auch durch andere Inokulumquellen (z.B. den Boden) beeinflusst wurden. Der Befall der Augen zur Ernte stand in jedem Jahr in Beziehung zum Befall w?hrend des Wachstums (Abb. 1e) und in 4 Jahren stand das Ausmass des Pockenbesatzes auf gelagerten Knollen in Beziehung zum Augenbefall w?hrend des Wachstums und zur Ernte (Abb. 1f und 1g). Die mikroskopische Untersuchung w?hrend des Wachstums gibt daher eine vernünftige Sch?tzung des Krankheitsbefalls im Lager. Wenn die Erhebungen des ‘gesünderen’ Pflanzgutes mit denen gleichartiger Marktware verglichen wurden (Abb. 2), ergaben sich signifikante Verbindungen für den Augenbefall w?hrend des Wachstums und zur Ernte, für den Pockenbesatz auf gelagerten Knollen, aber nicht für die Weisshosigkeit. Dies weist auf eine Verbreitung des Inokulums, auf die Bedeutung der allgemeinen Bodenbeschaffenheit oder, wahrscheinlicher, eine gemeinsame Quelle des Inokulums, vielleicht im Boden hin.

Résumé Une étude a été entreprise sur la variété King Edward, pour conna?tre l'incidence de différentes maladies. Cette étude s'est déroulée de 1971 à 1975 dans la région de Fenland en Angleterre Orientale. Chaque année, on a examiné entre 15 et 26 lots commerciaux; entre 1972 et 1975 des semences ‘plus saines’ (provenant de bouturage) ont été plantées dans le même champ que les lots commerciaux (tableau 1). Les estimations d'inoculum ou de maladie ont été faites sur des échantillons de tubercules de semence, sur des plantes en course de croissance, et sur les tubercules-fils à la récolte. Les tubercules-fils récoltés ont été également endommagés de manière uniforme et conservés à 3°C et 10°C, avec ou sans période initiale de cicatrisation des blessures de 2 semaines à 15°C. L'incidence de la maladie a été estimé après 3–4 mois. Les résultats ont été analysés par régressions entre toutes les paires possibles de données pour chaque maladie, en prenant séparément chaque année et toutes les années combinées. Les régressions ont aussi été faites à partir des estimations provenant des lots ‘plus sains’, et des estimations correspondantes provenant des lots commerciaux adjacents. L'estimation du rhizoctone a été faite par notation du pourcentage de sclérotes sur les tubercules de semence et sur les tubercules-fils en conservation. La colonisation de la peau, autour des yeux, par du mycelium deRhizoctonia solani a été déterminée par examen microscopique au niveau des yeux. L'incidence des nécroses sur tige a été estimée au cours de la croissance. L'incidence moyenne de l'inoculum ou de la maladie sur les lots commerciaux (tableau 2) a montré que la colonisation du tubercule au niveau des yeux a été plus fréquente en 1975, et que l'incidence de la maladie en cours de conservation a été plus forte en 1971 et 1975. Les tubercules de semence ‘plus saine’ ont eu moins de rhizoctone que la moyenne des lots commerciaux, mais la colonisation des tubercules-fils, au niveau des yeux pendant la période de croissance et à la récolte a été plus grande. On a également trouvé plus de sclérotes sur les tubercules conservés (tableau 3). En 1974, les conditions de récolte étant plus humides, il y avait plus de sclérotes sur les tubercules conservés à 10°C que sur ceux conservés à 3°C; mais, pour les autres années, il n'y avait aucune différence entre les traitements. La signification des régressions entre les estimations faites par différentes méthodes ou à différentes époques (tableau 4), et les graphiques relatifs aux régressions significatives pour chacune des années (Fig. 1) ont montré qu'il y avait toutes les années des relations entre les estimations macroscopiques et microscopiques sur la semence (Fig. 1 a), la colonisation de la peau autour des yeux et les nécroses des tiges en cours de végétation (Fig. 1d). Les nécroses sur tige étaient plus fréquemment en rapport avec les sclérotes portés par la semence (Fig. 1b) qu'ac la colonisation au niveau des yeux du tubercule (Fig. 1c). Les auteurs suggèrent donc que la plupart de la contamination de la tige provient de l'inoculum présent sur le tubercule de semence mais que la colonisation de la peau autour des yeux est également influencée par d'autres sources d'inoculum (par ex. le sol). Chaque année, la colonisation des yeux à la récolte était en relation avec celle en cours de croissance (Fig. 1c). Pour les 4 années, la quantité de sclérotes sur les tubercules conservés était en rapport avec l'incidence de la colonisation au niveau des yeux pendant la croissance et à la récolte (Figures 1f et 1g). Les estimations faites en cours de croissance donne donc une estimation correcte de l'incidence de la maladie en cours de conservation. Quand on compare les résultats des lots ‘plus sains’ et ceux des lots commerciaux adjacents, il y a des associations significatives pour la colonisation des yeux durant la croissance et à la récolte, pour les sclérotes sur les tubercules conservés, mais pas pour les nécroses sur tige. Ceci suggère la dispersion de l'inoculum, l'importance des conditions de sol ou plus vraisemblablement la présence d'une source commune d'inoculum au niveau du sol.
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Summary Both the amount and frequency of irrigation were based on evaporation from a screened USWB Class A pan. From the time tuber initiation had been completed, and full cover had been attained (about 60 days after planting), until the crop was lifted, 40–60 days later, sprinkler irrigation with the equivalent of 0.7–0.8 of pan evaporation was sufficient for maximum yields. However, with trickler irrigation 20% more water was required, perhaps due to percolation losses under the tricklers. Irrigating by sprinkler whenever 25 mm of pan evaporation had accumulated was sufficient although irrigating at 12.5 mm further increased yield somewhat. However, daily irrigation by tricklers did not increase yields compared to irrigating whenever 25 mm of pan evaporation had accumulated (every 4–5 days). Trickler irrigation was found unsuitable for potatoes because the soil cracked and exposed the tubers to attack by the potato moth (Phthorimaea operculella).
Zusammenfassung In Zypern wird die Hauptmenge an Kartoffeln auf Terra rossa Tonb?den in Kokkinochoria, einer Küstenregion, gepflanzt (Tab. 2). Das Legen erfolgt von Mitte Dezember bis Mitte Februar, was mit der Regenzeit über-einstimmt (Tab. 1). Das Auflaufen und der Knollenansatz finden daher bei ausreichender Bodenfeuchtigkeit statt. Ab Februar regnet es jedoch zu wenig und zu unregelm?ssig, der Bestand muss beregnet werden (Abb. 1). Das wird fast ausschliesslich mit fahrbaren Sprengern (sprinkler) gemacht. Es wird über die Ergebnisse von fünf Versuchen berichtet, davon drei mit Sprengern und zwei mit Tr?pfchenberegnern (trickler). Sowohl die Menge als auch die H?ufigkeit der Bew?sserung beruhten auf der Verdunstung, die mit einer vom Wetterdienst der Vereinigten Staaten (USWB) geprüften Verdunstungsplatte Klasse A gemessen wurde (Abb. 1). Bew?ssert wurde vom Ende des Knollenansatzes und Bestandsschlusses (ungef?hr 60 Tage nach dem Legen) bis zur Ernte, 40–60 Tage sp?ter (Abb. 1). Bei einer Beregnung mit dem Sprenger war eine Wassermenge, die einem Wasser?quivalent von 0,7–0,8 der Verdunstung entsprach, für H?chstertr?ge ausreichend (Abb. 2). Bei der Tr?pfchenberegnung war jedoch 20% mehr Wasser erforderlich (Abb. 2, Tab. 4), vielleicht wegen der Versickerungsverluste unter den Beregnern. Die erh?hten Ertr?ge, die durch die gesteigerte Wassermenge entstanden, ergaben sich durch gr?ssere Knollen (Abb. 3). Gleichzeitig nahm das spezifische Gewicht linear mit der steigenden Wassermenge geringfügig ab (Tab. 3). Wasserüberschuss führte zu grossen Lentizellen und gelegentlich zu inneren und ?usseren Rissen der Knollen (Abb. 4). Eine Beregnung durch Sprenger nach einer Verdunstung von 25 mm, was einer Verringerung des verfügbaren Wassers um 54% in den ersten 30 cm des Bodens entsprach, genügte, obwohl eine Bew?sserung nach weiteren 12,5 mm den Ertrag geringfügig erh?hte (Abb. 2). Eine t?gliche Bew?sserung durch Tr?pfchenberegnung erh?hte im Vergleich zur Beregnung nach 25 mm Verdunstung (jeden 4–5 Tag) den Ertrag nicht. Bei Tr?pfchenberegnung, aber nicht bei Beregnung durch Sprenger, brach der Boden auf und erm?glichte den Befall der Knollen durch die Kartoffelmotte (Phthorimaea operculella).

Résumé A Chypre, une grande partie des pommes de terre est cultivée dans une région c?tière, le Kokkinochoria, sur des sols argileux (terra rossa) (tableau 2). La plantation se fait sur toute la période de mi-décembre à mi-février, ce qui co?ncide avec la saison pluvieuse (tableau 1). La levée et la tubérisation ont normalement lieu dans des conditions d'humidité suffisante du sol. Mais à partir de février, la pluviométrie est insuffisante et irrégulière (fig. 1) et il faut irriguer la culture, ce qui est fait presque exclusivement avec des sprinklers mobiles. Voici le compte-rendu des résultats de 5 essais, 3 avec sprinklers et 2 avec goutte à goutte. La dose et la fréquence de l'irrigation ont été établies à partir de l'évaporation d'un bac sous abri classe A du bureau météorologique américain (USWB) (fig. 1). L'irrigation a été effectuée à partir de la fin de l'initiation des tubercules et lorsque la couverture complète du sol était atteinte (environ 60 jours après plantation), jusqu'à la récolte, c'est à dire 40 à 60 jours plus tard (fig. 1). Avec les sprinklers, l'apport de l'équivalent de 70 à 80% de l'évaporation du bac était suffisant pour atteindre un rendement maximum (fig. 2). Mais avec le goutte à goutte, il fallait 20% d'eau en plus (fig. 2, tableau 4), surement à cause des pertes par percolation sous les goutteurs. Les augmentations de rendement obtenues avec les quantités croissantes d'eau étaient d?es au grossissement des tubercules (fig. 3). Le poids spécifique des tubercules diminuait légèrement mais linéairement avec les doses croissantes d'eau (tableau 3). L'irrigation en excès a fait appara?tre de larges lenticelles et a provoqué occasionnellement des éclatements internes ou externes des tubercules (fig. 4). L'irrigation par sprinklers, chaque fois que 25 mm d'eau s'étaient évaporés du bac, était suffisante, ce qui correspond à une diminution de 54% de la réserve utilisable dans les 30 premiers centimètres du sol. Cependant, l'irrigation supplémentaire à 12,5 mm a augmenté un peu le rendement (fig. 2). Mais l'irrigation journalière par goutte à goutte n'a pas augmenté les rendements par rapport à l'irrigation chaque fois que 25 mm d'eau s'étaient évaporés du bac (tous les 4 à 5 jours). Avec l'irrigation goutte à goutte, mais pas avec les sprinklers, le sol se craquelait, exposant les tubercules aux attaques de la teigne (Phthorimaea operculella).
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Summary Although the worth of Scottish seed potatoes has long been known, organised control of the aphid-borne virus diseases began incidentally with an official crop certification scheme inaugurated in 1918 primarily because of wart disease. Virus diseases were first considered in commercial seed stocks in 1932. Since then the health status of Scottish stocks has continuously improved and in many regions of the country crops are rarely rejected for virus disease. The fact that there has been no epidemic of aphidborne virus disease since 1945 may be due partly to the relative decrease in the incidence of infective sources. Records from both the certification scheme and detailed surveys show that spread is greater in the south and east, particularly in coastal areas, than in the north and west. This distribution is bound up with climatic and topographical factors rather than, for instance, with that of ware (consumption) crops. In general spread is still sufficiently low in the south to allow the production of reasonably healthy seed. Almost throughout the country the rate of spread is higher for leaf roll virus than for virus Y. Even in relatively inferior areas of seed production the spread of leaf roll can be late enough for active control measures to be effective.
Zusammenfassung Obwohl der Wert schottischer Saatkartoffeln seit langem bekannt ist, wurde die organisierte Bek?mpfung der durch Blattl?use übertragenen Viruskrankheiten erst nebenbei gelegentlich eines im Jahre 1918 — in erster Linie wegen des Vorkommens von Kartoffelkrebs — eingeführten amtlichen Begutachtungsplanes aufgenommen. Mit Viruskrankheiten bei Handelspflanzgut befasste man sich erstmalig 1932; die Toleranz für ernstliche Krankheiten war 5%. Seither hat sich der Gesundheitszustand der schottigen Pflanzgutbest?nde fortw?hrend gebessert und in vielen Gegenden des Landes kommt Nichtgenchmigung von Ernten wegen Viruskrankheiten nur selten vor (Tabelle 1 und 2). Ausgangspflanzgut wird jetzt virusfrei aus einzelnen Mutterpflanzen vermehrt undjür die h?chste Qualit?t, direkt aus virusgeprüften Saatkartoffeln, betr?gt die Maximumtoleranz für Viruskrankheiten 10 Pflanzen je Acre für erkennbaren X-Befall und 2 Pflanzen je Acre für Blattroll. In den meisten Gegenden Schottlands werden gegenw?rtig nur selten Ernten wegen Blattrolloder Mosaikkrankheit nicht genehmigt und die Tatsache, dass seit 1945 keine durch Blattl?use übertragene Viruskrankheit epidemisch aufgetreten ist, wird zum Teil der verminderten H?ufigkeit von Infektionsquellen zugeschrieben. Fast im ganzen Lande ist die Ausbreitungsrate für Blattrollvirus h?her als für Y-Virus. Diese im ganzen langsame Verbreitung des Y-Virus hat dazu beigetragen, Schottland vor der verheerenden Epidemie des Tabak Rippenbr?une Virus, die zur Zeit auf dem europ?ischen Festland herrscht, zu bewahren. Aus Angaben des Begutachtungswesens und n?heren Erhebungen geht hervor, dass die Ausbreitung im Süden und Osten, namentlich in den Küstengebieten, st?rker ist als im Norden und Westen (Tabellen 2 und 3). Diese Verteilung dürfte mehr mit klimatologischen und topographischen Faktoren als beispielsweise damit zusammenh?ngen, dass Speisekartoffeln angebaut werden. In einigen Teilen Schottlands, insbesondere in Küstengebieten, kann die Verbreitung von Blattroll unerwünscht hoch sein. Auf vielen Parzellen in dieser Gegend verursachte die Verbreitung der Blattrollkrankheit jedoch nicht mehr als ann?hernd eine Verdopplung des Anteils befallener Pflanzen in dem Bestand — ein Verh?ltnis, das noch die Erzeugung von hinreichend gesundem Pflanzgut gestatten dürfte (Tabelle 4). Sogar auf B?den, die verh?ltnism?ssig ungünstig für die Erzeugung von Pflanzgut sind, kann die Verbreitung von Blattroll sp?t genug sein, damit Ausmerzen und andere direkte Bek?mpfungsmittel wirksam sind (Tabelle 6). Auf Grund des bisher Bekannten über Vorkommen und Bek?mpfung von Viruskrankheiten werden einige künftige Entwicklungsm?glichkeiten der schottischen Saatkartoffelerzeugung er?rtert.

Résumé Bien que la valeur des plants de pomme de terre écossais soit connue depuis longtemps, la lutte organisée contre les maladies à virus transmises par les pucerons n'a débuté qu'accidentellement par un programme de délivrance de certificats sanitaires entrepris en 1918, principalement à cause de la galle verruqueuse. On ne commen?a à tenir compte des maladies à virus dans les plants de pomme de terre destinés au commerce qu'en 1932, la tolérance des maladies graves étant de 5%. Depuis lors, l'état sanitaire des cultures écossaises s'est continuellement amélioré et dans bien des régions du pays, les cultures sont rarement refusées pour cause de maladies à virus (Tableaux 1 et 2). On multiplie actuellement les plants à partir d'un seul parent exempt de virus;pour la classe de plus haute valeur, provenant immédiatement de plants où l'absence de virus a été vérifiée, la tolérance maximale de maladies à virus est de 10 plantes par acre pour l'infection visible au virus X et de 2 plantes par acre pour l'enroulement. Dans la plupart des régions d'Ecosse, les cultures refusées pour cause d'enroulement ou de mosaique grave sont rares. Le fait qu'il n'y a plus eu d'épidémie de viroses transmises par les pucerons depuis 1945 est attribué en partie à la réduction relative du nombre de sources d'infection (tableau 2). Dans presque tout le pays. la vitesse de propagation de l'enroulement est plus grande que celle du virus Y. Cette propagation généralement lente du virus Y a contribué à préserver l'Ecosse de l'épidémie désastreuse du virus de la bigarrure actuellement observée sur le continent européen. Les données du programme de délivrance de certificats et des aper?us détaillés montrent que la propagation est plus importante dans le Sud et l'Est du pays, surtout le long de la c?te, que dans le Nord et l'Ouest (tableaux 2 et 3). Cette distribution est liéc plut?t à des facteurs climatiques et topographiques qu'à celle des cultures de pommes de terre de consommation par exemple (tableau 3). Dans certaines régions du Sud de l'Ecosse, surtout le long de la c?te, l'attaque par l'enroulement peut atteindre une importance indésirable. Mais dans certaines parties de cette région, l'augmentation indiquée de l'incidence de l'enroulement n'avait pour résultat qu'une attaque à peu près doublée en nombre des plantes de la culture — proportion de l'attaque permmettant encore de produire une semence assez saine (tableau 4). Même dans certains contrées où la production de plants est relativement faible, la propagation de l'enroulement peut survenir assez tard pour que la destruction des plantes malades et d'autres moyens actifs de lutte aient de l'effet (tableau 6). Sous le jour des connaissances actuelles sur l'incidence des maladies à virus et sur la lutte contre ces maladies, l'auteur nomme quelques possibilité d'évolution de la production écossaise de plants de pomme de terre.
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