首页 | 本学科首页   官方微博 | 高级检索  
相似文献
 共查询到20条相似文献,搜索用时 743 毫秒
1.
Summary The reliability of the method of estimating potential yield of the potato crop, described by Van der Zaag & Burton (1978), is discussed on the basis of the results of field experiments done in the Netherlands during three years at three separate centres and during four years at a fourth centre. The method seems to give a reasonable approximation of the potential yield in countries or regions in the temperate zone. Two minor alterations are suggested, and for use in hot climates the method must be adapted to prevailing temperatures; suggestions are made as to how this can be done. Potential yield estimates can be used successfully in field experiments studying yield-determining factors, in varietal trials, in comparing technical levels of production between countries and growing seasons, and in preparing programmes for improving production.
Zusammenfassung Auf der Grundlage von Feldversuchen, die in den Niederlanden 1978–1981 in Borgercompagnie (BC) und 1979–1981 in Emmercompascuum (EC) und Rolde (Ro) durchgeführt wurden, wird die Zuverl?ssigkeit der von van der Zaag und Burton (1978) beschriebenen Methode zur Berechnung des m?glichen Ertrages diskutiert. Unterschiede in der Bedeutung der Worte durchschnittlicher m?glicher Ertrag, m?glicher Ertrag und berechneter Ertrag werden in Tabelle 1 erkl?rt. Die Abbildungen 1–3 und die Tabellen 2 und 3 stellen die Wachstumsbedingungen und die Entwicklung der Best?nde dar. Die Abbildung 4 und die Tabellen 5 und 6 zeigen, dass die Wachstumsbedingungen nicht immer in jeder Beziehung optimal waren, vor allem in Rolde, wo 1980 und 1981 die Wasserversorgung für die Produktion suboptimal war. Tabelle 5 erkl?rt, dass der durchschnittliche Blattanteil (Lichtaufnahme) und der durchschnittlich Ernteindex nicht viel von dem eines ‘idealen’ Bestandes — Auflauf Anfang Mai, geschlossener Bestand von Anfang Juni bis Anfang September und Reife Anfang Oktober — abweicht, auf dem der m?gliche Ertrag beruht. Der durchschnittliche Blattanteil für die gesamte Vegetationszeit und der Ernteindex, die für den ‘idealen’ Bestand angenommen wurden, sind daher realistisch. Abgesehen von der Tatsache, dass Anfang Juni die berechnete Produktion auf vielen Feldern gleich hoch oder h?her als die m?gliche Produktion war (1978 BC; 1980 BC und Ro; 1981 BC und Ro), war die tats?chliche Produktion zu dieser Zeit betr?chtlich unter der m?glichen Produktion (Tabelle 7). Es wird angenommen, dass das haupts?chlich durch Tagestemperaturen unter 12°C im Mai und Juni, durch eine ca. 30% h?here Atmungsrate bei jungen. Pflanzen und m?glicherweise durch einen ungenügenden Sink verursacht wurde. Aus diesem Grund wird unter niederl?ndischen Bedingungen eine Reduktion um 15% bzw. 10% der m?glichen Produktion in diesen Monaten vorgeschlagen. Das entspricht ungef?hr 900 kg Trockenmasse/ha. Am Ende der Wachstumsperiode (Tab. 7) kann die Produktion jedoch h?her als angenommen sein und daher wird vorgeschlagen, die Konstante für die Lichtaufnahme im September von 65% auf 75% zu erh?hen, was schliesslich zu einer Abnahme von ungef?hr 500 kg Trockenmasse/ha führen würde. W?hrend einer Periode von 6 Wochen war die Produktion der Bl?tter 1980 (Ro) und 1981 (EC) optimal (Abb. 4 und Tab. 7), aber bezogen auf die gesamte Vegetationszeit lag die durchschnittliche Produktion der Bl?tter auf allen Feldern betr?chtlich unter dem Optimum (Tab. 6). Das zeigt dass die Nettoproduktion, von der der m?gliche Ertra ausgeht, richtigist, aber dass sie für die gesamte Vegetationszeit schwer zu erzielen ist. Um die Berechnung auch in L?ndern mit heissem Klima (Tab. 8) anwenden zu k?nnen, wurde versucht die Nettoproduktion in Beziehung zur Temperatur zu sehen. Ergebnisse, gewonnen in der Versuchsstation Gilat in Israel mit der Sorte Désirée zeigen, dass mit diesen Anpassungen die Methode verwendet werden kann. Tabelle 9 zeigt die verbesserten durchschnittlichen m?glichen Ertr?ge für verschiedene L?nder und Wachstumsperioden. Die Zuverl?ssigkeit der Sch?tzung des durchschnittlichen m?glichen Ertrages für ein Gebiet, die Sch?tzung des m?giichen Ertrages und des berechneten Ertrages für einen Bestand werden diskutiert. In jedem Sortenversuch oder in jedem Feldversuch, in dem ein Faktor oder mehrere Faktoren des Wachstums untersucht werden, sollten die tats?chlichen Ertr?ge mit dem berechneten Ertrag der Parzelle mit dem h?chsten Ertrag und mit dem m?glichen Ertrag verglichen werden. Die so gewonnene Information kann Aufschluss geben, in welchem Ausmass andere als die untersuchten Faktoren den Ertrag beeinflusst haben oder auch Auskunft geben über die relative Produktion in Sortenversuchen. Zwischen den L?ndern oder zwischen Wachstumsperioden kann der technische Stand der Pflanzenproduktion an Hand ihrer durchschnittlichen m?glichen Ertr?ge verglichen werden (Tab. 9). Schliesslich sollte, bevor ein Programm zur Verbesserung der Kartoffel entwickelt wird, ein Vergleich zwischen dem tats?chlichen Ertrag in einem Gebiet und dem durchschnittlichen m?glichen Ertrag gemacht werden, als erster Schritt zur Bestimmung der bergrenzenden Faktoren.

Résumé La fiabilité de la méthode de calcul du rendement potential décrite par Van der Zaag et Burton (1978) est discutée à partir d'expérimentations de plein champ réalisées aux Pays-Bas de 1978 à 1981 à Borgercompagnie (BC), de 1979 à 1981 à Emmercompascuum (EC) et à Rolde (Ro). Les différences dans l'utilisation des termes — rendement potentiel moyen, rendement potentiel et rendement calculé — sont indiquées dans le tableau 1. Des détails sur les conditions de croissance et le développment de la culture sont donnés dans la figure 1–3 et les tableaux 2 et 3. La figure 4 et les tableaux 5 et 6 montrent que les conditions de croissance n'ont pas été toujours optimales en tout point, notamment à Rolde où l'apport en eau nécessaire à la production a été inférieur à l'optimum en 1980 et 1981. Le tableau 5 montre que la quantité moyenne du feuillage (interception de la lumière) et l'indice moyen de récolte n'ont jamais été très différents des valeurs d'une culture idéale (levée en début mai, couverture du sol par le feuillage à partir du début juin jusqu'en début septembre et début de maturité en octobre) pour lesquelles le rendement potentiel est calculé. La quantité moyenne du feuillage pour toute la période de végétation et l'indice de récolte, pris en compte pour la culture idéale, sont done des valeurs réelles. Bien que sur plusieurs parcelles la production calculée en début juin ait été égale ou supérieure à la production potentielle (1978 BC; 1980 BC et Ro; 1981 BC et Ro) la production réelle à même date était considérablement inférieure à la production potentielle (tableau 7). Ceci peut être d? au fait que les températures du jour en mai et juin étaient inférieures à 12°C. que le taux de respiration était supérieur, de 30% par exemple chez des jeunes plantes, et que la force d'absorption a été insuffisante. C'est pourquoi, sous les conditions de la Hollande, il est proposé de réduire la production potentielle au cours de ces deux mois respectivement de 15 et 10%; ce qui représente environ 900 kg/ha de matière sèche. Cependant, à la fin de la saison (tableau 7) la production peut être supérieure à l'estimation et c'est pourquoi, il est proposé de relever les valeurs d'interception de la lumière en septembre de 65 à 75%, ce qui à la fin conduirait à une diminution de 500 kg/ha de matière sèche environ. La figure 4 et le tableau 7 montrent que pour une période d'environ 6 semaines en 1980 (Ro) et 1981 (EC), le feuillage a atteint sa productivité optimale mais qu'au cours de toute la période de végétation la productivité moyenne du feuillage sur toutes les parcelles a été considérablement inférieure à l'optimum (tableau 6). Ceci montre que la production nette sur laquelle est fondé le rendement potentiel est correcte mais qu'il est difficile de l'obtenir sur toute la période de végétation. Afin d'utiliser la méthode de calcul dans des pays à climat chaud, une approche a été faite pour adapter la production nette en relation avec la température (tableau 8). Les résultats obtenus à las station d'expérimentation à Gilat en Isra?l avec la variété Désirée montrent qu'avec ces adaptations, la méthode s'applique sous de telles conditions. Des rendements potentiels moyens calculés et corrigés sont ainsi donnés dans le tableau 9 pour quelques pays et régions. La signification de l'estimation du rendement potentiel moyen, du rendement potentiel et du rendement calculé est développée pour une culture particulière dans une région donnée. Pour chaque essai de variétés dans chaque expérimentation de plein champ où l'on étudie un ou plusieurs facteurs de croissance, il est spécifié que le rendement actuel pourrait être comparé au rendement le plus élevé et au rendement potentiel, pour connaitre dans quele mesure les autres facteurs ont atteint l'optimum et pour avoir davantage d'information sur la capacité de production des variétés à partir de tels essais. En prenant le rendement potentiel moyen, le niveau technique de production peut être comparé entre les pays et les années (tableau 9). En définitive, chaque étude d'amélioration de la pomme de terre devrait débuter par une comparaison entre le rendement actuel dans la région et le rendement potentiel. C'est une première étape dans la détermination des facteurs les plus limitants.
  相似文献   

2.
Zusammenfassung Die Zu- oder Abnahme von Fl?che. Hektarertrag und Gesamtproduktion in der Welt sowie in verschiedenen Regionen und L?ndern in den Jahren 1962 bis 1973 wurde diskutiert (Abb. 1–5). Mit Hilfe von Regressionsgleichungen wurde die Zu- oder Abnahme von Fl?che. Ertrag und Produktion errechnet und als Prozent der Situation im Jahre 1962 ausgedrückt. Die Regressionsgleichungen und die Korrelationskoeffizienten sind am Fuss der Abbildungen aufgeführt. Diesen kann auch die Fl?che. der Ertrag oder die Produktion im Jahre 1962 entnommen werden. Auffallend sind die Abnahme der Fl?che in Westeuropa. besonders in der Bundesrepublik Deutschland und in Frankreich, sowie die Zunahme der Fl?che und der Produktion in den Tropen. In Europa (ohne UdSSR) sank der Konsum j?hrlich um ungef?hr 1/2% (Abb. 6) und der Konsum pro Kopf um etwas mehr als 1% (Abb. 9). In den USA stieg der Gesamtverbrauch j?hrlich um etwa 1% (Abb. 8), und der Verbrauch pro Kopf schien ziemlich konstant zu sein (Abb. 9). In Europa (ohne UdSSR) nahm die Kartoffelst?rkeproduktion um 50% zu, und in den neun EG-L?ndern wurde diese Erzeugung nahezu verdoppelt (Abb. 7). In diesem Artikel wird angenommen, dass 25% der Speise- oder Saatkartoffelerzeugung Abfall sind (bei der Sortierung ausgelesene Knollen) und als Futterkartoffeln verwendet werden. In Europa (ohne UdSSR) wird ungef?hr die H?lfte der gesamten Produktion zur Verfütterung verwendet, und ungef?hr 40% wird eigens zu diesem Zweck angebaut und verwertet (Abb. 6). In den neun EG-L?ndern sank die Gesamtmenge, die als Futterkartoffeln verwendet wurde, von 40% auf 30% der Gesamterzeugung. Die Menge, die eigens als Futterkartoffeln angebaut und verwertet wurde, feil von 30% auf etwa 12% der Gesamtproduktion (Abb. 7). Es ist anzunehmen, dass der zukünftige Anbau von Futterkartoffeln vom Gewinn abh?ngt, den die Pflanzer daraus im Vergleich zu jenem aus dem Mais- oder Gerstenanbau ziehen. Auf Basis des Futterwertes von 1 kg Trockenkartoffeln (erhalten aus 4 kg Kartoffeln mit 23% Trockensubstanz (TS)) und von 1 kg Mais oder 1 kg Gerste betr?gt der Preis, bei welchem Kartoffeln mit Gerste oder Mais vergleichbar sind, für 1 kg Kartoffeln (23% TS): 1000/933×1/4×Preis für 1 kg Gerste oder 1000/1067×1/4 Preis für 1 kg Mais Abb. 10 und 11 zeigen die direktkostenfreien Ertr?ge für Mais. Gerste und Kartoffeln bei verschiedenen Preisen und für drei Ertr?ge pro ha (für die Berechnung des direktkostenfreien Ertrages siehe Anhang 1.2 und 3). Aus diesen Zahlen geht hervor, dass der Futterkartoffelanbau schwerlich mit der Mais-produktion konkurrieren kann, dass aber bei Preisen von etwa Hfl. 45 pro 100 kg Gerste die Kartoffelproduktion inklusive Trocknung mit der Gerstenerzeugung in Wettbewerb treten kann. Es darf also angenommen werden. dass bei Gerstenpreisen unter Hfl. 40 der Futterkartoffelanbau nur in jenen F?llen rentabel ist, wo der Kartoffelertrag im Vergleich zu Gerste hoch ist, oder auf Betrieben, wo ein Ueberschuss an Arbeitskr?ften besteht und das Eind?mpfen und Silieren der Kartoffeln wirtschaftlich tragbar ist. Wenn der Preis für Gerste für l?ngere Zeit über Hfl, 45 steigt, ist, eine Zunahme des Futterkartoffelanbaus zu erwarten, sofern Geld zur Investierung in Trocknungsanlagen verfügbar ist und die Inflation nicht zu stark ist. Die hohe Trockensubstanzproduktion pro ha Kartoffeln im Vergleich mit Weizen. Gerste und Mais (Tabelle 6) ist der Hauptgrund. weshalb bei hohen Gerstenpreisen die Futterkartoffeln eine Chance haben. Bei Kartoffeln für die St?rkeproduktion wurde das gleiche Vorgehen verfolgt. Die Beziehung zwischen den Preisen für Kartoffeln und Mais ist in Abb. 12 dargestellt. Aufgrund dieser Beziehung und des Anhanges 1 und 3 wurde die Abb. 13 erstellt. Diesen Daten entsprechend kann die Kartoffelst?rkeproduktion mit jener von Mais bei Maispreisen über Hfl. 35 pro 100 kg konkurrieren. Die Kartoffelproduktion pro Kopf in L?ndern zwischen 30° N und 30° S (Tabelle 1) ist ausserordentlich niedrig. Die Energie- und Proteinzerzeugung der Kartoffeln pro ha und pro Tag ist im Vergleich mit tropischen Kulturpflanzen hoch (Tabellen 7 und 8). Auch die Zunahme in der Produktion war bei Kartoffeln gr?sser als bei tropischen Kulturpflanzen (Tabelle 10). Der Anbau von Kartoffeln k?nnte helfen, die Ern?hrung der Bev?lkerung in vielen tropischen L?ndern zu verbessern und m?glicherweise auch den Mangel an Nahrungsmitteln zu verhüten, wenn die Erzeugungskosten pro kg Produkt durch Erh?hung des Hektarertrages gesenkt werden k?nnen.
Résumé Durant la période 1962–1973. L'évolution des superficies, du rendement à l'hectare et de la production totale est présentée pour le monde entier et pour diverses régions et pays (fig. 1 à 5). Cette évolution est calculée à l'aide d'équations de régression et exprimée en pourcentage de l'année 1962. Les équations de régression et les coefficients de correlation ont été placés au bas des graphiques. La baisse des superficies en Europe de l'Ouest, particulièrement en Allemagne Fédérale et en France, et l'augmentation des surfaces et de la production sous les tropiques sont frappantes. En Europe (à l'exclusion de l'URSS), la consommation totale décroit annuellement d'environ 1/2% (fig. 6) et la consommation par habitant d'un peu plus de 1% (fig. 9). Aux USA la consommation totale augmente annuellement d'environ 1% (fig. 8) et la consommation par habitant semble étre constante (fig. 9). En Europe (URSS exclue), la production de pommes de terre féculières s'est accrue de 50% et dans les neuf pays du marché commun cette production a plus que doublé (fig. 7). Il est supposé que le quart de la production de plants et de pommes de terre de consommation est éliminé au triage et utilisé pour la consommation animale. En Europe (URSS exclue) environ la moitié de la production totale est consomméc par les animaux: 40% de la production totale sont cultivés à cette fin. Dans la zone du Marché Commun la quantité totale qui est utilisée pour l'alimentation animale a décrut de 40% à 30% de la production totale, et la part spécialement produite à cet effet a baissé de 30% à environ 12% de la production totale (fig. 7). Il est supposé que l'avenir de la production de pommes de terre pour la consommation animale dépend des gains que les producteurs obtiennent de cette culture comparés à ceux réalisés avec le ma?s ou l'orge. Basé sur la valeur alimentaire de 1 kg de tubercule déhydraté (obtenu à partir de 4 kg de pommes de terre à 23% de M.S.) et comparé à 1 kg de ma?s ou 1 kg d'orge, le prix à partir duquel la pomme de terre est compétitive est de 1000/933×0.25×le prix d'un kg d'orge. ou 1000/1067×0.25×le prix d'un kg de ma?s. Les fig. 10 et 11 montrent les marges brutes pour le ma?s. L'orge et la pomme de terre pour différents prix et pour trois rendements à l'hectare (pour le calcul des marges brutes voir appendices 1, 2, et 3). On voit que la pomme de terre de consommation animale ne concurrence pas facilement le ma?s, mais que au prix de Dfl (florins) 45 le quintal d'orge, la production de pommes de terre, déshydratation inclue, peut concurrencer l'orge. On voit également que pour un prix d'orge inférieur à Dfl 40. Ia production de pommes de terre est seulement profitable dans le cas où le rendement est élevé par rapport à l'orge ou encore dans le cas d'exploitations disposant d'un surplus de main d'oeuvre, et où la cuisson et l'ensilage sont économiquement possibles. Si les prix de l'orge se maintiennent au dessus de Dfl 45 durant une longue période on peut s'attendre à une augmentation de la production des pommes de terre pour la consommation animale, si toutefois les capitaux sont disponibles pour investir dans des usines de déshydratation et si l'inflation n'a pas été trop forte. Le rendement élevé de matière sèche à l'hectare des pommes de terre comparé à ceux du blé, de l'orge et du ma?s (tableau 6) fait que, à des prix élevés de l'orge, la pomme de terre pour alimentation animale est compétitive. La mème étude a été faite pour ce qui concerne la pomme de terre féculière. La relation entre son prix et celui du ma?s est donnée fig. 12. La fig. 13 illustre cette relation ainsi que les donnée des appendices 1 et 3. Il en résulte que la pomme de terre féculière peut concurrencer le ma?s pour la production d'amidon lorsque le prix du ma?s est supérieur à 35 florins le quintal. La production de pommes de terre par téte est extrèmement basse dans les régions comprises entre 30° de latitude nord et 30° de latitude sud (tableau 1). La production d'énergie et de protéines par hectare et par jour des pommes de terre est élevée, comparée aux cultures alimentaires tropicales (tableux 7 et 8). Aussi l'augmentation de production a été plus élevée pour la pomme de terre que pour ces cultures (tableau 10). La production de pommes de terre peut aider à améliorer l'alimentation des populations dans plusieurs pays tropicaux et ainsi prévenir la pénurie alimentaire si le cout de production peut être diminué par l'augmentation des rendements.


Paper read at the Sixth Triennial Conference of the EAPR at Wageningen.  相似文献   

3.
Summary Most dihaploids derived from cv. Pentland Crown had higher yields, when expressed as percentages of their parent's yield, than did those of cv. Record. Some genes of Pentland Crown may have a greater additive effect on yield than those of Record but there may also be differences in deleterious recessives which are expressed in their dihaploids. The frequency distributions of specific gravities and sprout lengths of the dihaploids were similar for both cultivars. Some genes may have an additive effect on specific gravity but the small sprout lengths of dihaploids may be due to their often weak constitution caused by the expression of deleterious genes. The distribution of foliage blight (Phytophthora infestans) resistance in dihaploids of resistant tetraploids indicates that multiplex genes may determine the resistances in the parents.
Zusammenfassung Ertrag, mittleres Knollengewicht und die Knollenzahl pro Pflanze von Dihaploiden der Sorten Pentland Crown und Record (Abb. 1,2 und 3) zeigen, dass sich Unterschiede (signifikant für Ertrag und mittleres Knollengewicht,P<0,01) zwischen beiden Sorten ergeben k?nnen, wenn der Ertrag und seine Komponenten genetisch determiniert waren. Die meisten Dihaploiden von Record hatten weniger als 10% der Ertr?ge ihrer Eltern, w?hrend die Ertr?ge der meisten Dihaploiden von Pentland Crown zwischen 20 und 50% schwankten. Ein betr?chtlicher Teil von Pentland Crown-Dihaploiden hatten h?here als modale Werte für mittleres Knollengewicht und mittlere Knollenzahl pro Pflanze. Mehrere Gene von Pentland Crown und ihrer Dihaploiden dürften deshalb additive Einflüsse auf den Ertrag und seine Komponenten haben. Deshalb dürfte von diesen Klonen eine signifikante generelle Kombinationsf?higkeit (GCA) für diese Eigenschaften erwartet werden, wenn sie bei der Züchtung verwendet werden. Erste Daten von tetraploiden Nachkommen von dihaploid × tetraploid-Kreuzungen (siehe Tabelle I mit der Herkunft des Materials) zeigen jedoch, dass solche GCA-Effekte nicht wesentlich waren. Dies k?nnte so sein, weil die spezifische Kombinationsf?higkeit wichtiger war oder weil Unterschiede in Zahl und St?rke von nachteiligen Genen, die vorher bei den Sorten verborgen waren, vorhanden waren. Tabelle 2 zeigt die Korrelationskoeffizienten zwischen Ertrag, mittlerer Knollenzahl, mittlerem Knollengewicht, spezifischem Gewicht und Keiml?nge für Dihaploide von Pentland Crown und Record. Dabei ergaben sich signifikante Korrelationen zwischen Ertrag und seinen Komponenten, aber keine signifikante negative Korrelation zwischen Knollenzahl und mittleren Knollengewicht. Einige Dihaploide hatten ein h?heres spezifisches Gewicht als ihre tetraploiden Eltern. Die spezifischen Gewichte der Dihaploiden waren um ein Mittel verteilt, welches ann?hernd gleich mit dem der Eltern beider Sorten (Abb. 4) war; vermutlich waren sowohl additive als auch nicht-additive Effekte für die Determinierung des spezifischen Gewichtes von beiden Eltern erforderlich. Die Keiml?ngen dihaploider Knollen waren durchweg gering (Abb. 5), dies dürfte auf die Anwesenheit nachteiliger rezessiver Gene zurückzuführen sein, welche die oft nur schwachen Konstitutionen von Dihaploiden beider Sorten kennzeichnen. Genetische Unterschiede zwischen Sorten, welche anderenfalls als unterschiedliche dihaploide Variationsmuster bezeichnet worden w?ren. k?nnten deshalb maskiert gewesen sein. Hohe Grade an quantitativer Resistenz gegenüber Krautf?ule (Phytophthora infestans) in den meisten Dihaploiden von zwei resistenten Tetraploiden zeigten, dass einige dominante Gene, die die Resistenz bestimmen, multipel sein k?nnten (Abb. 6). Zus?tzlich zur Informationssteigerung über die genetische Determinierung landwirtschaftlich wichtiger Merkmale in Tetraploiden ist die Produktion von Dihaploiden eine Methode zur ?nderung von Gen-Verbindungen ohne Einführung von fremden genetischem Material. Es k?nnten mehr erwünschte Gen-Kombinationen ermittelt werden, die als Resultat für Kartoffel-Züchtungsprogramme ausgebeutet werden k?nnten.

Résumé Le rendement, le poids moyen de tubercules et le nombre de tubercules par plante des diplo?des de Pentland Crown et Record (fig. 1, 2 et 3) montrent qu'il peut y avoir des différences (significatives pour le rendement et le poids moyen de tubercule,P<0.01) entre les deux variétés, du fait que les composantes du rendement étaient déterminées. La plupart des diplo?des de Record ont des rendements inférieurs de 10% à ceux de leurs parents, alors que les diplo?des de Pentland Crown donnent des rendements compris entre 20 et 50%. Une proportion assez grande de diplo?des de Pentland Crown a un poids moyen de tubercules et un nombre moyen de tubercules par plante plus élevés que les valeurs modales correspondantes. Quelques gênes de Pentland Crown et de diplo?des issus de cette variété peuvent avoir par conséquent un effet positif sur le rendement et ses composantes; ces cl?nes pourraient en définitive permettre des combinaisons générales pour les caractères utilisés en sélection. Des résultats préliminaires sur tétraplo?des obtenus à partir de croisements diplo?des × tétraplo?des (tableau 1) ont montré cependant que de tels effets de combinaisons générales n'étaient pas importants. Ceci est d? peut être du fait que l'aptitude spécifique à la combinaison est plus importante ou qu'il y a eu des différences dans le nombre et l'ampleur des gênes défavorables, masqués au départ dans les variétés. Le tableau 2 donne les coefficients de corrélation entre le rendement, le nombre moyen de tubercules, le poids moyen de tubercules, le poids spécifique et la longueur des germes pour les diplo?des de Pentland Crown et Record. Des corrélations significatives ont été observées entre le rendement et ses composantes mais pas entre le nombre de tubercules et leur poids moyen. Quelques diplo?des ont des poids spécifiques plus élevés que ceux de leurs parents tétraplo?des. Pour chaque variété, les poids spécifiques des diplo?des ont une distribution par rapport à la moyenne à peu près semblable à celle de leurs parents (fig. 4) et les effets génétiques additifs et non-additifs sont probablement importants dans la détermination du poids spécifique pour chaque parent. Les germes des tubercules diplo?des sont généralement courts (fig. 5) et ceci provient sans doute de la présence de gênes récessifs défavorables qui déterminent des constitutions souvent chétives des diplo?des de ces deux variétés. Les différences génétiques entre les variétés peuvent par conséquent être marquées, alors qu'elles auraient été mises en évidence par des exemples de variation entre différents diplo?des. De hauts niveaux de résistance quantitative au mildiou du feuillage (Phytophthora infestans) obtenus avec la plupart des diplo?des provenant de deux tétraplo?des résistants au mildiou indiquent que certains gènes dominants gouvernant la résistance peuvent être multipliés (fig. 6). Afin de mieux conna?tre la détermination génétique des caractères agronomiques importants des tétraplo?des, la production de diplo?des est une méthode d'association de gènes remaniés, sans l'introduction de matériel génétique étranger. Davantage de combinaisons de gènes souhaitables peuvent être identifiées afin d'être exploitées dans un programme de sélection de pommes de terre.
  相似文献   

4.
Summary The influence of storage temperature and storage period on sprouting capacity and incubation period has been studied for 3 years with cvs. Jaerla and Désirée, stored at 4°C and 12°C, as a part of a combined study on the effect of physiological age on growth vigour. During storage the sprouting capacity gradually increased to a maximum and then declined. The maximum sprouting capacity was reached about 80 to 100 days earlier when tubers were stored at 12°C than at 4°C, and it was reached about 50 days earlier by cv. Jaerla than by cv. Désirée at both storage temperatures. The incubation period deereased linearly with time for both cultivars at both storage temperatures, being most rapid at 12°C, and the period was shorter for cv. Jacrla than for cv. Désirée during the whole storage period.
Zusammenfassung In der allgemeinen Einführung wird das Ziel der gemeinsamen Forschung, den Einfluss des physiologischen Alters auf die Wachstumintensit?t zu untersuchen, beschrieben, und es werden spezielle Ausdrücke definiert, die in dieser und in den folgenden Mitteilungen verwendet werden. In dieser gemeinsamen dreij?hrigen Untersuchung (1979–1981) sind Pflanzknollen der Sorten Jaerla und Désirée aus gleicher Herkunft verwendet worden, die bei 4°C und 12°C gelagert wurden (Tab. 1). Es wird der Einfluss der Lagerzeit und der Temperatur auf das Keimgewicht diskutiert, auf den Gewichtsverlust durch Atmung und Verdunstung und auf die Keimungskapazit?t. die Keiml?nge und auf die Inkubationsperiode. Bei einer Lagertemperatur von 12°C wurden das Keimgewicht pro Knolle und der durch Atmung und Verdunstung bedingte Gewichtsverlust der Knollen und Keime kr?ftig stimuliert (Tab. 2). Bei beiden Sorten wurde w?hrend der Lagerung bei 12°C eine exponentielle Beziehung zwischen dem Keimgewicht und dem Gewichtsverlust durch Atmung und Verdunstung gefunden. wobei die Sorte Jaerla einen h?heren Gewichtverlust pro Keim aufwies (Abb. 1). Die bei 12°C gelagerten Knollen der Sorte Jaerla keimten früher als diejenigen der Sorte Désirée und erreichten eine h?heres durchschnittliches Keimgewicht. Die Keimungskapazit?t und die Inkubationsperiode wurden w?hrend der Lagerung in Abst?nden durch Entkeimen der Knollen und Wiederaustreiben lassen bei 18°C bestimmt. Die Keimungskapazit?t wurde nach 4 Wochen bestimmt an Hand des Keimfrischgewichtes pro Knolle, ausserdem wurde die L?nge des l?ngsten Keimes bestimmt. Die Inkubationsperiode wurde definiert als der Zeitraum zwischen der Keimung und der Bildung kleiner Knollen an den Keimen. Die Keimungskapazit?t erreichte w?hrend der Lagerung ein Maximum, um danach abzufallen (Abb. 2). Dieses Maximum wurde etwa 80 bis 100 Tage früher erreicht, wenn die Knollen bei 12°C gelagert wurden. Bei beiden Lagertemperaturen war die maximale Keimungskapazit?t bei der Sorte Jacrla etwa 50 Tage früher erreicht als bei der Sorte Désiréc. Die maximale L?nge des l?ngsten Keimes korrespondiert in nahezu allen F?llen mit der maximalen Keimunskapazit?t, wobei zwischen beiden Merkmalen cine gute bis sehr gute lineare Beziehung besteht (Tab. 3). Bei beiden Sorten und beiden Lagertemperaturen verringerte sich die Inkubationsperiode linear mit der Zeit, und zwar am schnellsten bei der h?chsten Lagertemperatur. Die Inkubationsperiode der Sorte Jaerla war in allen F?llen kürzer als diejenige der Sorte Désirée (Abb. 3). Wenn das Maximum der Keimkapazit?t überschritten wird, besteht bei beiden Sorten und bei beiden Temperaturen, 4°C und 12°C, eine postive lineare Bezichung zwischen dem Abfallen der Keimungskapazit?t und der Verringerung der Inkubationsperiode (Tab. 4).

Résumé Dans l'introduction générale l'objectif des recherches concertées concernant l'influence de l'age physiologique sur la vigucur de croissance est décrit et plusieurs termes employés ici et dans plusieurs articles antérieurs sont définis. Les études ont été réalisées durant trois ans (1979–1981) avec des plants des variétés Jaerla et Désirée de même origine conservés à 4°C et 12°C (tableau 1). L'influence de la durée et de la température de conservation sur le poids de germes, les pertes de poids par évapotranspiration, la capacité germinative, la longueur des germes et la période d'incubation est discutée. Le poids de germes par tubercule, les pertes de poids dues à l'évapotranspiration et la germination sont fortement stimulés à 12°C (tableau 2). Il existe une relation exponentielle entre le poids de germes et les pertes de poids des tubercules dues à l'evapo-transpiration pour les deux variétés convervées à 12°C, avec toutefois une perte plus élevée par poids de germes pour la variété Jaerla (figure 1). Les tubercules de cette dernière conservés à 12°C germent plus rapidement que ceux de Désirée et ont un poids moyen de germes plus élevé. La capacité germinative et la période d'incubation sont déterminés à intervalles réguliers durant la conservation par égermage des tubercules suivi d'une germination à 18°C. La capacité germinative est déterminée après quatre semaines par la mesure du poids frais des germes par tubercule et la longueur du plus long germe. La période d'incubation est définie comme étant le temps s'écoulant entre le début de la germination et la formation de petits tubercules sur les germes. La capacité germinative durant la conservation augmente dans le temps puis décline (figure 2). Le maximum est d'environ 80 à 100 jours plus précoce lorsque les tubercules sont conservés à 12°C. Pour les deux températures de conservation, la capacité germinative maximum est pour Jaerla approximativement de 50 jours plus précoce que pour Désiréc. La longueur maximum du plus long germe correspond dans preque tous les cas au maximum de capacité germinative avec une haute ou très hute corrélation (tableau 3). La période d'incubation diminue linéairement avec le temps pour les deux variétés et les deux températures de conservation, bien que plus rapidement pour la température la plus élevée. La période d'incubation de la variété Jaerla est dans tous les cas plus courte que celle de Désirée (figure 3). Lorsque la capacité germinative maximum est passée, il existe une elation linéaire positive entre la diminution de celle-ci et la diminution de la période d'incubation au sein de la même variété pour 4°C et 12°C (tableau 4).
  相似文献   

5.
Summary The influence of storage period and temperature on growth and yield was investigated for 3 years in a field study with cvs. Jaerla and Désirée, stored at 4°C or 12°C, in darkness, as a part of a combined study on the effect of physiological age on growth vigour. The seed of cv. Jaerla proved to age more rapidly than that of cv. Désirée: ‘little potato’ occurred in Jaerla, but in Désirée only when seed had been stored at 12°C and planted late. The 4°C treatments emerged more rapidly, produced more stems per plant and the onset of senescence was earlier than the 12°C treatments. There was no difference in time of tuber initiation between the two treatments. There were usually more tubers per stem in the 12°C treatments. Final tuber yield of Jaerla 12°C was lower than that of Jaerla 4°C, but the difference was only statistically significant at early harvest. There was no difference in yield between Désirée 4°C and 12°C, except for the 2nd planting time in 1981, when the 12°C treatment yielded significantly less.
Zusammenfassung In einer Feldstudie mit den Sorten Jaerla und Désirée wurde der Einfluss von Lagertemperatur und-periode in der Periode 1979–81 untersucht, bei Lagerung im Dunkeln bei 4°C oder 12°C, als Teil einer kombinierten Studie über die Auswirkung des physiologischen Alters auf die Wachstumsintensit?t der Pflanzknollen. 1979 wurden die Pflanzkollen einige Zeit vor Pflanzung entkeimt und anschliessend vorgekeimt. 1980 und 1981 dagegen wurden die Knollen unmittelbar vor der Pflanzung entkeimt. Die 12°C-Behandlungen liefen langsamer auf als bei 4°C gelagerte Pflanzknollen (Tabelle 1). Jaerla zeigte bei 12°C unvollst?ndigen Auflauf wegen der Bildung von Kn?llchen. Im Gegensatz zu den 4°C-Behandlungen liefen die Knollen bei 12°C unregelm?ssig auf. Bei den Behandlungen mit Désirée ergaben sich keine Unterschiede bei der Zeit der Knollen-Initiierung. Wegen des Auftretens von Kn?llchen konnte bei Jaerla kein zuverl?ssiger Vergleich gemacht werden. Das initiale Blattwachstum war bei den 4°C-Behandlungen schneller. Es ergaben sich bei den Behandlungen mit Désirée fast keine Unterschiede bei der lateralen Triebentwicklung oberhalb der ersten Blüte (Abb. 1). Es ergab sich eine unterschiedliche Rate bei der Seneszenz mit einem langsameren Rückgang der Bodenbedeckung bei den 12°C-Behandlungen (Tabelle 2). Bei beiden Sorten ergab junges Pflanzgut mehr Triebe pro Pflanze als ?lteres (Tabelle 3). Bei Désirée ergaben sich bei 12°C mehr Knollen pro Trieb als bei 4°C. Dennoch zeigte sich kein durchgehender Trend bei der Knollenzahl je Pflanze (Tabelle 4). In allen drei Jahren zeigte der Knollenertrag ein ?hnliches Muster (Tabelle 5). 1979 und 1980 waren die ‘sp?teren’ Knollenertr?ge von Jaerla bei 12°C niedriger als bei 4°C, aber der Unterschied war nur signifikant bei der früheren Ernte. 1979 und 1980 gab es keinen signifikanten Unterschied in dem Ertrag zwischen den zwei Behandlungen von Désirée. 1981 war kein Unterschied beim ‘sp?teren’ Ertrag zwischen den Temperatur-Behandlungen für das erste Pflanzdatum, der Ertrag von Désirée bei 12°C, bei Pflanzzeit II gepflanzt, war signifikant niedriger als bei 4°C.

Résumé L'influence de la température et de la durée de conservation sur la croissance et le rendement sont évalués de 1979 à 1981 dans un champ d'essais avec les variétés Jaerla et Désirée, conservées à 4°C et 12°C, à l'obscurité, dans une étude concertée ayant pour objectif de mettre en évidence l'effet de l'age physiologique sur la vigueur du plant. En 1979, le plant était égermé quelque temps avant la plantation et remis en prégermination; en 1980 et 1981, il était égermé juste avant la plantation. Les plants traités à 12°C lèvent plus lentement que ceux conservés à 4°C (tableau 1). Jaerla à 12°C présente une levée incomplète résultant d'un boulage. A l'inverse du traitement à 4°C, le traitement à 12°C donne une levée irrégulière. Il n'y a pas de différence dans le temps d'initiation des tubercules de Désirée pour les deux traitements. Dans la mesure où Jaerla produit du boulage, il ne peut être établi de comparaison dans ce domaine. La croissance initiale du feuillage est plus rapide avec la conservation à 4°C. Il n'y a pratiquement pas de différence entre les deux traitements de Désirée pour le développement des pousses latérales au-dessus de la hampe florale (figure 1). On observe une différence au niveau de la senescence avec une plus lente déclinaison dans la couverture du sol pour le traitement à 12°C (tableau 2). Dans les deux variétés, le plant jeune produit plus de tiges par plante que le vieux plant (tableau 3). Il y a plus de tubercules par tige pour Désirée à 12°C qu'à 4°C, sans pour cela montrer une tendance logique à plus de tubercules par plante (tableau 4). Le rendement en tubercules montre un modèle identique pour les trois années (tableau 5). En 1979 et 1980, le rendement final en tubercules de la variété Jaerla conservée à 12°C est plus faible que celui de cette variété conservée à 4°C, mais la différence n'est significative que pour la récolte précoce. En 1979 et 1980, il n'y a pas de différence significative dans le rendement des deux traitements de Désirée. En 1981, il n'y a pas de différence dans le rendement final entre les deux températures de conservation pour la première date de plantation mais le rendement de Désirée conservée à 12°C et plantée à la deuxième date est significativement plus faible que celui obtenu avec du plant conservé à 4°C.
  相似文献   

6.
Summary Surrounding half of the perimeter of potato plots with sticky yellow polyethylene sheets (HPS) stretched vertically at a height of 0.6 m above the soil, reduced the number, of winged aphids by ca. 70% and of PLRV infection by ca. 38%. A YPS mulch cuased an increase in aphid population, PLRV incidence and percentage of misshapen tubers. Covers of white coarse net (2.5×8.0 mesh per inch square ≈ 1×3.1 per mesh per cm square) reduced landing aphids to ca. 2% of those trapped in unprotected plots but increased by factors of ca. 5 to 6000 the number of apterae. PLRV incidence was greatly reduced in protected plots provided that no secondary infection occurred under the net. In plots planted with secondarily PLRV-infected seeds subsequent incidence under the nets was even higher than in the unprotected controls. The use of aphicides in addition to net covers completely prevented the spread of PLRV.
Zusammenfassung Um die Infektion mit PLRV in Kartoffelfeldern zu vermindern, wurde versucht, die anfliegenden L?use mit gelben Poly?thylenfolien (YPS) zu k?dern (die besonders im 500–700 nm Bereich des Spektrums reflektieren) und den Bestand mit weissen, grobmaschigen (1×3,1 F?den/cm2) und relativ billigen Netzen zu schützen. Eine Abdeckung mit YPS erh?hte die Zahl der insgesamt anfliegenden L?use und die Zahl der gefangenenMyzus persicae (Abb. 1). Der Befall mit PLRV war in behandelten Parzellen 2,1% im Gegensatz zur Kontrolle mit 0,6%, die Zahl der missgestalteten Knollen verdoppelte sich durch diese Behandlung. Wurde die halbe Parzelle mit einer klebrigen YPS (2m×0,5m) abgeschirmt, die ausserhalb der Parzelle senkrecht in einer H?he von 0,6 m über dem Boden aufgespannt war, so verringerte sich sowohl die Blattlauspopulation als auch der Befall mit PLRV. Die Zahl der insgesamt anfliegenden L?use und die Zahl der geflügeltenM. persicae betrug in den geschützten Parzellen nur ca, 30% der in den Kontrollen gefangenen (Abb. 1, Tabelle 5) und der Befall mit PLRV wurde in 5 von 6 Versuchen auf 29–87% des in den entsprechenden Kontrollen beobachteten gesenkt (Tabelle 1). Dennoch war der Befall in den geschützten Parzellen noch h?her als in der Pflanzgutverordnung erlaubt (Tabelle 1). Abdeckungen mit doppelten Lagen von Netzen reduzierten den L?useanflug auf ca, 1% der in den unbedeckten Kontrollen gefangenen (Tabelle 5) und verhinderten vollst?ndig die Ausbreitung des PLRV. Billigere Abdeckungen mit einfachen Lagen von Netzen wurden in gr?sserem Umfang getestet (9 Versuche). In allen Versuchen wurde die Zahl der geflügelten L?use signifikant auf 1,4–2,6% der in den Kontrollen landenden gesenkt. Unter dem Netz stiegen jedoch, vor allem gegen Ende der Wachstumsperiode die Populationen der ungeflügelten L?use stark an, (Tabelle 3). Die Ausbreitung des PLRV war unter den Netzen stark eingeschr?nkt, unter der Voraussetzung, dass keine Sekund?rinfektion vorhanden war, im anderen Fall führte die unter dem Netz entstehende starke Blattlauspopulation zu einer verst?rkten Virusausbreitung (Tabelle 2). Die Netzabdeckung hatte keinen Einfluss auf den Gesamtertrag (Tabelle 6). Eine Kombination zwischen Netzabdeckung und Insektizideinsatz verhinderte die Ausbreitung des PLRV vollst?ndig, w?hrend in den ungeschützten und nicht gespritzten Parzellen 16% Knollen mit PLRV gefunden wurden (Tabelle 4). Es sollte daher m?glich sein, unter dem Netz und mit Insektizideinsatz Pflanzgut mit geringem PLRV-Befall zu erzeugen.

Résumé Des essais ont été réalisés pour réduire l’infection d?e au virus de l’enroulement (PLRV) dans les parcelles de pommes de terre, soit en attirant les pucerons par des baches en polyéthylène jaune (ces baches jaunes réfléchissent la lumière dans la zone des 500–700 nm), soit en protégeant la culture par des filets blancs grossiers (1×3,1 fils par cm2). Un paillis réalisé avec les baches en polyéthylène jaune augmente le nombre total de pucerons et le nombre deMyzus persicae piégés (fig. 1). L’incidence du PLRV dans les parcelles traitées est plus importante que dans les parcelles témoins non traitées: 2,1% contre 0,6%, et le nombre de tubercules difformes est doublé par ce traitement. On entoure la moitié du périmètre des parcelles avec des baches de polyéthylène jaune (2m×0,5m), enduites de colle, placées à une hauteur de 0,6 m au-dessus du sol. Ceci réduit à la fois la population aphide et l’incidence du PLRV. Dans les parcelles protégées, le nombre total de pucerons et le nombre deM. persicae ailés représentent 30% de la population piégée dans les parcelles témoins (fig. 1, tableau 5). Dans cinq des six essais, l’incidence du PLRV est réduite à 29–87% par rapport à celle détectée dans les parcelles témoins (tableau 1). Cependant, l’incidence du PLRV dans les parcelles protégées est encore plus élevée que les niveaux permis pour la certification des semences (tableau 1). Dans des parcelles couvertes d’une double épaisseur de filet, le nombre de pucerons ailés représente 1% du nombre piégé dans les parcelles témoins (non couvertes) (tableau 5); l’infection d?e au PLRV ne se propage pas. La protection des parcelles avec une seule épaisseur de filet (cela revient moins cher) a été testée sur neuf essais. Dans tous ces essais, le nombre total de pucerons ailés est réduit de fa?on significative à 1,4–2,6% par rapport au nombre obtenu dans les parcelles témoins. Cependant, les populations de pucerons aptères augmentent sous le filet, notamment à la fin de la saison (tableau 3). La propagation du PLRV, favorisée par le développement d’importantes populations d’aptères (tableau 2) est notablement réduite sous le filet si aucune infection secondaire ne se manifeste. En outre, les filets n’affectent pas le rendement total (tableau 6). En combinant la protection des parcelles par des filets avec un traitement aphicide, on empêche totalement la propagation du PLRV, alors que dans les parcelles non protégées et non traitées on détecte 16% de tubercules virosés (tableau 4). Donc, une protection par des filets plus un traitement aphicide permettraient aux plants de pommes de terre de se développer avec un taux d’infection relativement faible.
  相似文献   

7.
Summary Potatoes of cv. Désirée and Pentland Crown, treated in February at 0, 0.6, 1.2, 2.5, 5, 10, and 20 mg kg1 chlorpropham adsorbed on alumina, were sampled for analysis immediately before planting at the beginning of May. Chlorpropham was extracted using hexane as the solvent in the presence of anhydrous sodium sulphate. Emergence and yield data showed that low levels of chlorpropham (<0.3 mg kg−1) that had little effect on total emergence, increased the mean emergence time and reduced yield. High levels of chlorpropham drastically reduced total emergence and yield.
Zusammenfassung Chlorpropham (Isopropyl-N-(3-chlorophenyl) carbamat) ist ein weitverbreitetes Keimhemmungsmittel, das niemals bei Pflanzkartoffeln angewendet wird, da es ein die Zellteilung hemmendes Gift ist. Zuf?llige Kontamination kann jedoch erfolgen und es war daher der Sinn dieses Versuches, die Mengen an Chlorpropham zu bestimmen, die nachweislich den Auflauf, den Ertrag und die Gr?ssenverteilung der nachfolgenden Ernte beeinflussen. Zwei Proben von je 7,5 kg der Sorten Désirée und Pentland Crown wurden mit Chlorpropham in den Aufwandmengen von 0, 0,6, 1, 2, 2,5, 5, 10 und 20 mg/kg best?ubt. Nach der Lagerung bei 10°C in fest verschliessbaren Beh?ltern wurden sie zwei Wochen vor dem pflanzdatum vorgekeimt und 1 kg für die Rückstandsanalysen abgenommen. Der Rest wurde gepflanzt und Auflauf und Ertrag bestimmt. Die Extraktion von Chlorpropham erfolgte nach der Methode von Cerny & Blumenthal (1972) und es wurde eine neue Reinigungsmethode entwickelt, die den Einsatz eines Gaschromatographen mit einem Flammenionisationsdetektor erlaubt. Tabelle 1 zeigt die Rückstandswerte und die entsprechenden Angaben für den Feldbestand. Der Einfluss von Chlorpropham war bei der Sorte Pentland Crown deutlicher, aber allgemein verl?ngerten sehr kleine Rückstandswerte (<0.3 mg/kg) bereits die durchschnittliche Auflaufzeit und verringerten leicht den Ertrag, obwohl die gesamte Auflaufrate nahe bei 100% blieb. H?here Werte (0,3–1 mg/kg) verz?gerten den Auflauf und reduzierten den Ertrag. Rückst?nde über 1 mg/kg führten zu geringem Auflauf und einer drastischen Ertragseinbusse. Lagerh?user in denen Chlorpropham angewendet wird oder in denen behandelte Knollen gelagert werden sind offensichtlich Quellen der Kontamination mit geringen Mengen.

Résumé Le chlorprophame (isoprophyl-N-(3 chlorophenyl) carbamate) est un inhibiteur de germination très employé mais jamais sur pomme de terre de semence parce que c'est un poison mitotique. Une contamination accidentelle peut avoir lieu et l'objet de cette expérimentation était de déterminer les taux de chlorprophame qui affectent de fa?on significative la germination, le rendement et la distribution par calibre de la culture suivante. Une expérimentation à 2 répétitions a été faite avec du chlorprophame par poudrage à différentes concentrations: 0, 0,6, 1,2, 2,5, 5, 10, et 20 mg/kg sur des échantillons de 7,5 kg pour les variétés Désirée et Pentland Crown. Ces échantillons ont été conservés à 10°C dans des bo?tes fermées hermétiquement et prégermés pendant 2 semaines avant la date de plantation tandis qu'un échantillon de 1 kg a été prélevé pour une analyse de résidus. Les tubercules restants ont été plantés et les notations de levée et de rendement ont été effectuées. La méthode de Cerny & Blumenthal (1972) a été employée pour extraire le chlorprophame et une nouvelle technique de lavage a été imaginé afin d'obtenir des échantillons adaptés á la chromatographie en phase gazeuse utilisant la détection thermoionique. Les teneurs en résidus et les notations au champ correspondantes sont indiquées dans le tableau 1. L'effet du chlorprophame était plus accentué pour les variétés Pentland Crown mais, en général, de faibles taux en résidus (<0,3 mg/kg) retardaient la durée de levée moyenne et réduisaient légèrement les rendements quoique la levée totale approchait 100%. Les taux de résidus plus élevés (0,3 → 1,0 mg/kg) retardaient également la levée et diminuaient les rendements. Les résidus supérieurs à 1,0 mg/kg provoquaient une mauvaise levée et des réductions sérieuses de rendement. Les locaux utilisés pour l'application du chlorprophame ou pour la conservation de tubercules traités sont indiscutablement des sources faibles de contamination.
  相似文献   

8.
Summary In order to meet requirements of tractors with large axle widths and wide tyres, the technical feasibility and crop response of increased row spacings for potatoes were checked in the field and in model experiments. Newly developed ridgers performed satisfactorily at a row spacing of 90 cm. but at 105 cm row spacing ridges were usually too wide and. consequently. furrows too narrow to accommodate the tyres of tractors with a higher power than 45 kW (≈ 60 HP). The cluster width hardly increased with larger row spacing. A ridge size of 600–700 cm2 of loose soil in cross-section appeared to be optimal for all row spacings, allowing shallower spring cultivations and easier widening of the furrows at increased row spacing. The effect of row spacing on yield depended on the yield level. On average, yields of ware potatoes decreased by 3–4% and 5–6% respectively for the 90-cm and 105-cm rows compared with 75-cm rows. Yield reductions can be overcome by higher nitrogen dressings.
Zusammenfassung Es wurden technische M?glichkeiten bei gr?sserer Distanz zwischen den Reihen und die Reaktion des Bestandes im Feld untersucht. Auch wurden Modelversuche in Grosskisten im Freien angelegt. Bei allen Reihenabst?nden wurden Pflanzdichte in der Reihe. Tiefe des Pflanzbettes. Dammform und Pflanztiefe so konstant wie m?glich gehalten. Für Pflanzkartoffeln und Speisekartoffeln wurde die Sorte Bintje angebaut und für Industrie-(St?rke) kartoffeln die Sorten Prominent oder Prevalent. Dammh?he und-form, mit einem Reliefmesser (Abb. 1) oder einem Profilmesser (Abb. 3) gemessen und mit den in Abb. 2 dargestellten Dimensionen charakterisiert, wurden mit angepassten H?ufelger?ten errichtet (s. Abb. 6). Der gr?ssere Dammumfang bei zunehmendem Reihenabstand (Abb. 4) war haupts?chlich auf eine gr?ssere Dammbreite zurückzuführen (Abb. 5). Diese breiteren und umfangreicheren D?mme waren mit tieferen Temperaturen, kleineren Temperaturschwankungen nahe der Pflanzkartoffel (Tabelle 1) und einem leicht versp?teten Auflaufen (2 4 Tage) verbunden, w?hrend die Bodendeckung mehr als zwei Wochen sp?ter vollendet war. Bei gr?sseren Reihenweiten wurden weniger Trockenheitssymptome beobachtet. wahrscheinlich infolge der flacheren Form der D?mme (Tabelle 2). Die Stengell?nge nahm zu, aber die Stengelzahl verminderte sich. so dass der Blattertrag bei breiten Furchen geringer war (Tabelle 3). Der Umfang des Knollenbehangs stieg nur schwach (Abb. 5). wodurch der Anteil des im Querschnitt mit Knollen belegten Dammes (‘Prozentsatz Belegung’, Tabelle 4) eine starke Abnahme erfuhr. Versuche, den schlechteren Pflanzenbestand (Abb. 8) durch Zickzack-Pflanzung (Tabelle 9) oder durch eine geringere Anzahl von Pflanzen pro ha (Tabelle 10. Abb. 9) zu verbessern. brachten keine vielversprechenden Resultate. Nur st?rkere Stickstoffdüngung war imstande. die ungünstigen Einflüsse der gr?sseren Reihenabst?nde auf Entwicklung und Ertrag zu überwinden (Tabellen 8 und 11). Die Menge der von der Erntemaschine aufgenommen Boden sank pro ha und nahm pro Einheit Furchenl?nge zu, je gr?sser der Reihenabstand war (Tabelle 5). Ein Versuch auf scholligem Boden ergab eine leicht verminderte Arbeitsgeschwindigkeit bei einer Reihendistanz von 90 cm im Vergleich zu einer solchen von 75 cm: dagegen verbesserte der gr?ssere Dammumfang den Nettoertrag betr?chtlich (Tabelle 6. Abb. 7). In der Regel sanken die Bruttoertr?ge um 3–4% bei 90 cm Reihenabstand und um 5–6% bei 105 cm Reihenabstand im Vergleich zu 75 cm Reihenabstand. Es wurde aber festgestellt dass die Gr?sse des Effekts der Reihenabstand auf den Ertrag deutlich abh?ngig ist von das allgemeine Ertragsniveau (Tabelle 7). Der Anteil kleiner Knollen nahm in dem Masse zu. wie der Gesamtertrag abnahm (Abb. 9). Eine Dammgr?sse von 600 700 cm2 losen Bodens im Querschnitt erwies sich für alle Reihendistanzen als optimal. was im Frühling eine flachere Bearbeitung erm?glicht und bei gr?sseren Reihenabst?nden die Verbreiterung der Furchen erleichtert (Tabelle 8. Abb. 10). Wenn das Feld frei von Steinen und Schollen ist. scheint ein Reihenabstand von 75 cm zur Erzielung dieser Dammgr?sse optimal zu sein. Dagegen ist für Traktoren mit einer Wellenbreite von 180 cm und 40 cm Reifen bei Vorhandensein von Steinen und Schollen oder in trockenen Klimatas ein Reihenabstand von 90 cm die optimale Breite.

Résumé Nous avons étudié la possibilité technique de plus grands écartements des rangs et la réponse des cultures en plein champ et dans des expérimentations modèles en casiers de plein air. Pour tous les écartements des rangs, la densité de peuplement, la profondeur du lit de semences, la forme des buttes et la profondeur de plantation ont été maintenus aussi constante que possible. Pour les cultures de semence et de consommation. la variété Bintje a été retenuc. et pour la pomme de terre industrielle (fécule). ce sont les variétés Prominent ou Prevalent. La taille et la forme des buttes, estimées avec un appareil pour mesurer le relief (fig. 1) ou le profil (fig. 3) et caractérisées par les dimensions présentées dans la figure 2. ont été réalisées avec des butteuses adaptées. comme on peut le voir sur la figure 6. L’augmentation de la taille des buttes. que l’on rencontre lorsque l’écartement des rangs cro?t (fig. 4) est due surtout à une plus grande largeur des buttes (fig. 5). Ces buttes. plus grandes et plus larges. sont associées à des températures plus basses. des fluctuations de température plus faibles près de la plante (tableau 1) et une levée légèrement retardée (2–4 jours). alors que la couverture du sol est atteinte avec au moins deux semaines de retard. Avec les écartements plus larges. nous avons noté moins de sympt?mes de sécheresse. ce qui est probablement d? à la forme plus applatie des buttes (tableau 2). La longueur des tiges augmente mais leur nombre diminue, de même que la production du feuillage est plus faible dans les rangs plus espacés (tableau 3). La largeur des touffes n’augmente que très lentement (fig. 5), provoquant une sévère diminution du pourcentage de la butte occupé par les tubercules en section transversale (‘pourcentage d’occupation’, tableau 4). Les tentatives d’amélioration des irrégularités d’espacement (fig. 8) par une plantation en quinconce (tableau 9) ou par une diminution du nombre de plantes par hectare (tableau 10, fig. 9) n’ont pas donné de résultats prometteurs. Seuls des apports massifs d’azote sont capables de compenser les effects défavorables de l’écartement plus grand des rangs sur le développement et le rendement (tableau 8, tableau 11). La quantité de terre exportée par l’arracheuse par hectare diminue lorsque l’écartement des rangs augmente par unité de longueur sur le rang (tableau 5). Sur sol motteux. un expériment a montré que la vitesse d’avancement est légèrement plus faible avec un écartement de 90 cm qu’à 75 cm. Cependant. l’augmentation de la taille des buttes augmente considérablement le rendement (tableau 6, fig. 7). En général, les rendements décroissent de 3 à 4% avec un écartement de 90 cm et de 5 à 6% avec un écartement de 105 cm comparés à l’écartement 75 cm. Pourtant. il a apparu que l’importance de l’effet de l’écartement des rangs sur le rendement dépend nettement du niveau général de rendement (tableau 7). La proportion des petits calibres augmente lorsque le rendement total diminue (fig. 9). Dans la butte. une taille de 600 à 700 cm2 de terre meuble dans la section transversale apparu comme optimale pour tous les écartements. ce qui rend possible des facons culturales de printemps moins profondes et facilite l’élargissement des sillons aux plus grands écartements de rangs (tableau 8. fig. 10). S’il y a peu de pierres et de mottes. il semble que l’écartement de 75 cm soit optimal pour obtenir cette forme de butte. Cependant, pour des tracteurs de 180 cm d’empattement et avec des pneus de 40 cm, en présence de pierres et de mottes. ou sous climat sec. un écartement de 90 cm est optimum.
  相似文献   

9.
Summary Plants dug at random from a commerical crop, cv. Sebago, were scored just prior to normal harvest date in two seasons for stem and stolon infection caused byR. solani. Tuber weights relative to stolon position were recorded. Yield was directly related to haulm fresh weight (F) and it was considered essential to includeF when interpreting yield reduction from stolon pruning. The probability of tuber size distribution fitted a proportional odds model; tuber sizes were not uniformly distributed down the stem profile and the top and bottom stolons had the lowest probabilities of bearing, marketable tubers (>45 g), but commonly bore them when stolons in the middle of the stem profile were pruned. Stem canker did not significantly affect haulm fresh weight or tuber yield and there was a stolon pruning threshold (18%) below which yield was not reduced. For every 20% increase in pruning above this threshold, yield was reduced by only 6%. The effects ofR. solani infection on yield were determined from a model based on an assumption of assimilate flow.
Zusammenfassung Zufallsgem?ss ausgew?hlte Pflanzen aus kommerziellem Anbau der Sorte Sebago wurden in 2 Vegetationsperioden kurz vor normalem Erntetermin auf Stolo- und Stengelinfektion durchR. solani ausgewertet (Abb. 1). Das Knollengewicht wurde in Relation zur Position der Stolonen ermittelt. Ertrag und Stolonenzahl stiegen mit steigendem Kraut-Frischgewicht pro Trieb (Tabellen 1, 2, 4), das Frischgewicht der Triebe war die ausschlaggebende Variable bei der Deutung des Ertragsrückganges aus der Rate für Stolo-Abschnürungen. In beiden Vegetationsperioden ergaben die Daten ein proportional schiefes Modell für die Wahrscheinlichkeit der Knollenverteilung senkrecht zum Stengelprofil (Tabelle 3). Die Knollen waren nicht einheitlich, verteilt: die basalen Stolonen wie auch diejenigen nahe der Bodenoberfl?che zeigten die geringste Wahrscheinlichkeit für marktf?hige Knollen (>45 g). Die gr?sste Wahrscheinlichkeit für marktf?hige Knollen ergab sich beim dritten und vierten Stolo unterhalb der Bodenoberfl?che (Abb. 2). Die beobachtete Knollenverteilung ist ein Ausdruck des Assimilat-Transfers. Der Einfluss der Infektion durchR. solani wird durch ein Modell bestimmt, welches auf der Annahme eines Schwellenwertes beruht (α(2), Tab. 5, 6), dass die Pflanze Abschnürung (Abb. 3) und Stengelkrankheit ausgleichen kann. Jenseits dieser, Schwelle wird ein proportionaler Rückgang im Assimilatfluss, also Ertrag, mit gr?sserem Erkrankungsgrad postuliert. Stengelbefall beeinflusste Kraut-Frischgewicht oder Ertrag (Abb. 4) nicht signifikant; für jeweils 20% Anstieg bei Stolo-Abschnürungen oberhalb der α-Schwelle wurde der Ertrag um 6% reduziert (Tab. 6). Es wird angenommen, dass bei Abschnürung von Knollen-Initialen an Original-Stolonen diese nicht im Gesamt-Rückgang eingeschlossen sind und dass es keinen Rückkopplungs-Mechanismus zur Senkung der Photosynthese und folglich des Assimilatflusses gibt. Jede Ertragsreduktion ist die Folge einer Verhinderung des Einsetzens neuer Knollen-Initiierungen und eine Folge der Position des ursprünglichen abgeschnürten Stolos im Verh?ltnis zu den Stolonen mit der gr?ssten Auswirkung auf den Ertragsrückgang.

Résumé Des plantes choisies au hasard dans une culture de la variété Sebago ont été classées au cours de deux années selon l'importance de leur contamination parR. solani sur tiges et sur stolons (figure 1), juste avant la date normale de récolte. Les poids de tubercules en fonction de leur position sur le stolon ont été enregistrés. On a noté un accroissement du rendement et du nombre de stolons avec le poids frais par tiges des fanes (tableaux 1, 2, 4) et le poids frais des fanes s'est avéré être une variable essentielle dans l'interprétation de la réduction des rendements due au sectionnement des stolons. Pour les deux années, les données suivent un modèle de distributions discontinues proportionnelles pour la probabilité des distributions de tubercules de long de la tige (tableau 3). Les tubercules ne sont pas distribués uniformément: les stolons de la base et ceux situés près de la surface du sol ont la probabilité la plus faible de porter des tubercules commercialisables (>45 g). La probabilité la plus forte de trouver un tubercule commercialisable se situe sur les troisième et quatrième stolons en dessous du niveau du sol (figure 2). La distribution des tubercules observée est attribuée au transfert des éléments assimilables. Les effets de la contamination parR. solani sur la récolte ont été déterminés à partir d'un modèle basé sur l'hypothèse jusqu'à une valeur seuil (α(2); tableaux 5 et 6) la plante peut s'adapter au sectionnement (figure 3) et aux attaques sur tige. Au delà de ce seuil, on suppose qu'il y aurait une diminution proportionnelle du transfert des éléments nutritifs et par conséquent de la récolte à l'accroissement de la maladie. Les attaques sur tiges n'ont affecté significativement ni le poids frais des fanes ni la récolte (figure 4), mais à chaque augmentation de 20% du sectionnement des stolons, au dessus du seuil, la récolte a chuté de 6% (tableau 6). On a supposé que si les initiations portées par les stolons originels sont détruites, elles ne sont pas incluses dans la force d'absorption totale de la plante et qu'il n'y a pas de mécanisme rétroactif pour diminuer la photosynthèse et donc le courant d'assimilation. Toute réduction du rendement résulte d'un retard d'initiation de nouveaux tubercules et de la position du stolon originel détruit par rapport aux stolons principaux.
  相似文献   

10.
Summary Both the amount and frequency of irrigation were based on evaporation from a screened USWB Class A pan. From the time tuber initiation had been completed, and full cover had been attained (about 60 days after planting), until the crop was lifted, 40–60 days later, sprinkler irrigation with the equivalent of 0.7–0.8 of pan evaporation was sufficient for maximum yields. However, with trickler irrigation 20% more water was required, perhaps due to percolation losses under the tricklers. Irrigating by sprinkler whenever 25 mm of pan evaporation had accumulated was sufficient although irrigating at 12.5 mm further increased yield somewhat. However, daily irrigation by tricklers did not increase yields compared to irrigating whenever 25 mm of pan evaporation had accumulated (every 4–5 days). Trickler irrigation was found unsuitable for potatoes because the soil cracked and exposed the tubers to attack by the potato moth (Phthorimaea operculella).
Zusammenfassung In Zypern wird die Hauptmenge an Kartoffeln auf Terra rossa Tonb?den in Kokkinochoria, einer Küstenregion, gepflanzt (Tab. 2). Das Legen erfolgt von Mitte Dezember bis Mitte Februar, was mit der Regenzeit über-einstimmt (Tab. 1). Das Auflaufen und der Knollenansatz finden daher bei ausreichender Bodenfeuchtigkeit statt. Ab Februar regnet es jedoch zu wenig und zu unregelm?ssig, der Bestand muss beregnet werden (Abb. 1). Das wird fast ausschliesslich mit fahrbaren Sprengern (sprinkler) gemacht. Es wird über die Ergebnisse von fünf Versuchen berichtet, davon drei mit Sprengern und zwei mit Tr?pfchenberegnern (trickler). Sowohl die Menge als auch die H?ufigkeit der Bew?sserung beruhten auf der Verdunstung, die mit einer vom Wetterdienst der Vereinigten Staaten (USWB) geprüften Verdunstungsplatte Klasse A gemessen wurde (Abb. 1). Bew?ssert wurde vom Ende des Knollenansatzes und Bestandsschlusses (ungef?hr 60 Tage nach dem Legen) bis zur Ernte, 40–60 Tage sp?ter (Abb. 1). Bei einer Beregnung mit dem Sprenger war eine Wassermenge, die einem Wasser?quivalent von 0,7–0,8 der Verdunstung entsprach, für H?chstertr?ge ausreichend (Abb. 2). Bei der Tr?pfchenberegnung war jedoch 20% mehr Wasser erforderlich (Abb. 2, Tab. 4), vielleicht wegen der Versickerungsverluste unter den Beregnern. Die erh?hten Ertr?ge, die durch die gesteigerte Wassermenge entstanden, ergaben sich durch gr?ssere Knollen (Abb. 3). Gleichzeitig nahm das spezifische Gewicht linear mit der steigenden Wassermenge geringfügig ab (Tab. 3). Wasserüberschuss führte zu grossen Lentizellen und gelegentlich zu inneren und ?usseren Rissen der Knollen (Abb. 4). Eine Beregnung durch Sprenger nach einer Verdunstung von 25 mm, was einer Verringerung des verfügbaren Wassers um 54% in den ersten 30 cm des Bodens entsprach, genügte, obwohl eine Bew?sserung nach weiteren 12,5 mm den Ertrag geringfügig erh?hte (Abb. 2). Eine t?gliche Bew?sserung durch Tr?pfchenberegnung erh?hte im Vergleich zur Beregnung nach 25 mm Verdunstung (jeden 4–5 Tag) den Ertrag nicht. Bei Tr?pfchenberegnung, aber nicht bei Beregnung durch Sprenger, brach der Boden auf und erm?glichte den Befall der Knollen durch die Kartoffelmotte (Phthorimaea operculella).

Résumé A Chypre, une grande partie des pommes de terre est cultivée dans une région c?tière, le Kokkinochoria, sur des sols argileux (terra rossa) (tableau 2). La plantation se fait sur toute la période de mi-décembre à mi-février, ce qui co?ncide avec la saison pluvieuse (tableau 1). La levée et la tubérisation ont normalement lieu dans des conditions d'humidité suffisante du sol. Mais à partir de février, la pluviométrie est insuffisante et irrégulière (fig. 1) et il faut irriguer la culture, ce qui est fait presque exclusivement avec des sprinklers mobiles. Voici le compte-rendu des résultats de 5 essais, 3 avec sprinklers et 2 avec goutte à goutte. La dose et la fréquence de l'irrigation ont été établies à partir de l'évaporation d'un bac sous abri classe A du bureau météorologique américain (USWB) (fig. 1). L'irrigation a été effectuée à partir de la fin de l'initiation des tubercules et lorsque la couverture complète du sol était atteinte (environ 60 jours après plantation), jusqu'à la récolte, c'est à dire 40 à 60 jours plus tard (fig. 1). Avec les sprinklers, l'apport de l'équivalent de 70 à 80% de l'évaporation du bac était suffisant pour atteindre un rendement maximum (fig. 2). Mais avec le goutte à goutte, il fallait 20% d'eau en plus (fig. 2, tableau 4), surement à cause des pertes par percolation sous les goutteurs. Les augmentations de rendement obtenues avec les quantités croissantes d'eau étaient d?es au grossissement des tubercules (fig. 3). Le poids spécifique des tubercules diminuait légèrement mais linéairement avec les doses croissantes d'eau (tableau 3). L'irrigation en excès a fait appara?tre de larges lenticelles et a provoqué occasionnellement des éclatements internes ou externes des tubercules (fig. 4). L'irrigation par sprinklers, chaque fois que 25 mm d'eau s'étaient évaporés du bac, était suffisante, ce qui correspond à une diminution de 54% de la réserve utilisable dans les 30 premiers centimètres du sol. Cependant, l'irrigation supplémentaire à 12,5 mm a augmenté un peu le rendement (fig. 2). Mais l'irrigation journalière par goutte à goutte n'a pas augmenté les rendements par rapport à l'irrigation chaque fois que 25 mm d'eau s'étaient évaporés du bac (tous les 4 à 5 jours). Avec l'irrigation goutte à goutte, mais pas avec les sprinklers, le sol se craquelait, exposant les tubercules aux attaques de la teigne (Phthorimaea operculella).
  相似文献   

11.
Summary Since 1980, new national potato programmes have been operating in the central African countries of Burundi, Rwanda and Zaire. Seed of improved cultivars is multiplied and distributed to farmers by their respective Rural Development Projects. From the results of numerous onfarm trials in Rwanda, we can estimate the performance of the improved seed. Using these estimates and those for the quantity of seed distributed and estimates for the rate of the spread of the seed, we can simulate the impact of a programme's seed production on national production. Extrapolation from present results are based on a model using estimates of rates of degeneration and of distribution of the seed. The model forecasts the national yield improvement that may be expected when a national potato programme has been established in a country in central Africa and how programme strategy, and seed degeneration and multiplication rates influence increases in national potato production.
Zusammenfassung Seit 1980 laufen nationale kartoffelprogramme in der Nil-Grenzzone von Burundi, Rwanda und Zaire, wo, Uganda eingeschlossen, ungef?hr 120 000 ha Kartoffeln pro Jahr angebaut werden. Abb. 1 zeigt die Organisation von Forschung und Technologietransfer beim ‘Rwandeseprogramm’ (PNAP). Schlüsselelemente in diesen Programmen sind Forschung auf Betrieben, eine gute Pflanzgutproduktion und ein gutes Verteilungssystem (Abb. 2) mit verbessertem Pflanzgut von Sorten, die gegen Krautf?ule (Phytophthora infestans) und bakterielle Welke (Pseudomonas solanacearum) resistent sind. Mit der Kenntnis, wieviel Pflanzgut ein nationales Programm produzieren kann (Abb. 3) und dem Ertragsanstieg, der bei den Betrieben von derartigem Pflanzgut erwartet wird (Tab. 1), k?nnen wir die Wirkung eines nationalen Programmes auf die Kartoffelertr?ge voraussagen. Es ist m?glich, diese Wirkung durch Berücksichtigung einer Anzahl von Variablen und ihrer Interaktionen zu simulieren (Abb. 4). Die Rate des Abbaus (DR) und die Vermehrungsrate (MR) sind für Rwanda in der Simulation als Werte sowohl h?her als auch niedriger als erwartet gesetzt. Die Simulation zeigt anhand ansteigender Anbaufl?chen mit verbessertem Pflanzgut, eines ansteigenden nationalen Produktionsniveaus pro Vegetationsperiode (Abb. 5) und eines akkumulierten Anstiegs für alle Vegetationszeiten, dass das Programm funktioniert (Abb. 6). Als Kosten in Form von Tonnen an Kartoffeln zur Durchführung und Aufstellung eines nationalen Programmes ausgedrückt und nach Einsetzen der Kosten in eine Graphik (Abb. 5 und 6) erscheint es klar, dass diese Programme eine bemerkenswerte Auswirkung auf die nationale Kartoffelproduktion haben, und dass sie eine eintr?gliche Investierung für das Land bedeuten. Dies gilt sogar, wenn der Anstieg in sechs Vegetationsperioden auf Null herabf?llt, und wenn die Multiplikationsrate bei verbessertem Pflanzgut als solches um 50% pro Vegetationszeit auf den Betrieben sinkt. Dennoch sind die Ertragsanstiege üblicherweise h?her als 50%, der Abbau ist langsamer, und die Vermehrung als Saatgut ist in Zentralafrika für eine l?ngere Zeitdauer m?glich. Die Vermehrungsrate hat den deutlichsten Einfluss auf den nationalen Produktionsanstieg. Die Vermehrungsrate wird durch viele Variablen beeinflusst (Abb. 4), vor allem durch die Entscheidung der Farmer, die Kartoffeln eher als Speiseware zur Erntezeit zu verkaufen als bis zur Keimung zu warten und dann als Pflanzgut zu verkaufen. Diese Massnahme beeinflusst den endgültigen nationalen Produktionsanstieg in negativer Weise. Die Situation würde durch Training und Beratungsarbeit sowie durch die Gründung von Saatgut-Produktionsgenossenschaften der Farmer verbessert werden.

Résumé Depuis 1980, les programmes nationaux sur la pomme de terre ont été effectués au Burundi, au Rwanda et au Za?re, dans la région de la Crête Za?re-Nil, incluant l'Ouganda, où environ 120 000 ha sont cultivés en pomme de terre chaque année. La fig. 1 montre l'organisation des recherches et le transfert des technologies du programme rwandais (PNAP). Les éléments clés dans ces programmes sont la recherche en champs d'agriculteurs et le bon système de production et de distribution des semences (fig. 2) par une amélioration de celui-ci grace à des variétés résistantes au mildiou (Phytophthora infestans) et au flétrissement bactérien (Pseudomonas solanacearum). Par la connaissance de la quantité de plants que le programme national peut produire (fig. 3) et de l'augmentation de rendement excomptée à la ferme avec ces plants (tabl. 1), on peut prévoir l'impact du programme national sur les rendements en pomme de terre. Il est possible de simuler cet impact en considérant un certain nombre de variables et leur interaction (fig. 4). Le taux de dégénérescence (DR) et le taux de multiplication (MR) sont placés aux valeurs plus hautes et plus basses que celles attendus au Rwanda, pour la simulation. Cette dernière montre une augmentation des surfaces avec le plant amélioré, un accroissement du niveau national de la production par saison (fig. 5) et une augmentation cumulée pour toutes les saisons pendant lesquelles le programme est réalisé (fig. 6). Quand on exprime les co?ts d'exécution et de maintien d'un tel programme en tonnes de pommes de terre et quand on inscrit ces co?ts sur les mêmes graphiques (fig. 5 et 6), on constate que les programmes ont un impact appréciable sur la production nationale de pomme de terre et qu'ils sont un investissement profitable pour la région. Ceci est vrai même quand cette augmentation est nulle durant six saisons et quand le taux de multiplication des semences améliorées diminue de 50% par saison, à la ferme. Toutefois, habituellement l'augmentation de rendement est supérieure à 50%, le niveau de dégénérescence faible et la multiplication des semences continue durant une longue période en Afrique centrale. Le taux de multiplication a la plus notable influence sur l'accroissement de la production nationale. Celle-ci est influencée par de nombreuses variables (fig. 4), notamment par la décision du fermier de vendre pour la consommation au moment de la récolte au lieu d'attendre la germination pour commercialiser en plants. Cette décision influe la production nationale finale négativement. Cette situation pourrait être corrigée par la formation des producteurs, la vulgarisation et la création de coopératives de producteurs de plants.
  相似文献   

12.
Summary The components of the alcohol-soluble nitrogen of potato tubers (cv. British, Queen) infected by leaf roll virus were examined in an attempt to correlate nitrogen translocation and the reduction in size and yield of the tubers. Infection was found to increase all the soluble nitrogen fractions except ammonia and asparagine. It is concluded that infection interferes in some way with the normal process of tuber expansion but that shortage of translocates is not responsible for the reduction in the infected tubers.
Zusammenfassung Der alkoholl?sliche α-Amin-, Amid- und Ammoniakstickstoffgehalt von mit Blattrollivirus infizierten Kartoffelknollen (Sorte British Queen) wurde im Hinblick darauf untersucht, ob der Einfluss der Infektion auf die beweglichen Stickstoffverbindungen für die Reduktion von Gr?sse und Ertrag von mit der Krankheit befallenen Knollen verantwortlich war. Es wurde festgestellt, dass eine Infektion, im Vergleich mit gesunden Kontrollen, zu h?heren alkoholl?slichen α-Amin- und Glutamin-Stickstoffraktionen führt (Abb. 1 und 2). Ein erh?hter Ammoniakgehalt wurde nur in Knollen von alternden Pflanzen gefunden (Abb. 2). Der Asparaginamid-Stickstoffgehalt war, wenn auch nicht gesichert, w?hrend der gesamten Wachstumsperiode kliner (Abb. 2). Daraus wird geschlossen, dass eine Knappheit an beweglichen Stickstoffverbindungen nicht für die Verminderung von Gr?sse und Ertrag von erkrankten Knollen verantwortlich ist und dass die Infektion mit Blattrollvirus in irgendeiner Weise in den normalen physiologischen Vorgang des Knollenwachstums eingreift.

Résumé Les constituants azotés solubles dans l'alcool provenant de tubercules infectés par le virus de l'enroulement (α-amine, amide et ammoniac) ont été examinés dans le but de déterminer si l'effet de l'infection sur la migration de l'azote était responsable de la réduction de taille et de rendement des tubercules malades. Il a été montré que, par rapport au témoin sain. l'infection augmente les fractions azotées solubles dans l'alcool d'α-amine (Fig. 1) et de glutamine (Fig. 2). La concentration en ammoniac s'élève seulement dans les tubercules prélevés sur des plantes sénescentes (Fig. 2). La teneur en asparagine diminue, bien que l'effect ne soit pas significatif, tout au long de la période de végétation. On en conclut que l'absence de migration n'est pas responsable de la réduction de taille et de rendement des tubercules malades et que l'infection provoquée par le virus de l'enroulement interfère en quelque sorte avec le processus physiologique normal du développement des tubercules.
  相似文献   

13.
Summary Experiments with planting depths of 10 cm below the top of the ridge and just on top of the unloosened soil, revealed that a deep soil cover of the parent tuber, accomplished by deep planting in a large ridge, increased the yield, increased the size of the tubers, decreased dispersion of the tubers in the ridge, and decreased the number of green potatoes. These effects may be explained by a lower temperature or reduced temperature variation and a generally higher moisture content from the top to the bottom of the ridge and a higher average moisture content in a large ridge. From these results it is possible to make suggestions about the optimum ridge size, form and planting depth.
Zusammenfassung Es wurde ein dreij?hriger Versuch mit drei verschiedenen Dammgr?ssen (Abb. 1) und fünf verschiedenen Pflanztiefen, 10 cm unterhalb der Dammkrone (Abb. 1, 1–3) und gerade über dem ungelockerten Boden (Abb. 1, 3–5), durchgeführt. Der Zweck dieses Versuches war, die optimale Gr?sse und Form des Kartoffeldammes herauszufinden, d.h. jene Werte, mit denen der h?chste Ertrag an vermarktungsf?higer Ware erzielt werden kann. Die zu beurteilenden Faktoren—im Hinblick auf die Konstruktion neuer Erntemaschinen—umfassten die Anzahl grüner sowie kranker Knollen, ferner solche in Unter- oder übergr?ssen sowie die Leichtigkeit der Ernte mit Berücksichtigung von Erdbesatz und m?glichst niedrigen Verlusten. Die Lage der Knollen und der Ertrag (Knollengr?sse, grüne Knollen usw.) wurden festgehalten, ebenso das Auflaufen und die Entwicklung w?hrend der Wachstumsperiode. Der Einfluss der Sorte und die Tagesl?nge wurden nicht beachtet; als haupts?chlichste Umweltfaktoren wurden die Temperaturen und der Feuchtigkeitsgehalt des Bodens ermittelt. Diese Ergebnisse sind in Abb. 2 dargestellt. Die Umschreibung für die Lage der Saatknolle wechselte von warm und trocken (Pflanztiefe 1) zu kalt und nass (Pflanztiefe 5). Die Reihenfolge des Auflaufens (Tabelle 1) zeigt die Wichtigkeit einer genügenden Wasserversorgung für die Keimung. Die Entwicklung war am schnellsten bei der Pflanztiefe 3 eine bestimmte Zeit w?hrend der Wachstumsperiode andauerte (Tabelle 2, Abb. 3), aber dies ?nderte sich sp?ter, wie anhand der L?nge der Stengel bei der Ernte festgestellt wurde (Tabelle 2). Dieser Wechsel dürfte zur Zeit der Erreichung des vollen Blattwerkes stattgefunden haben. Die Ergebnisse bei der Ernte sind in Tabelle 4 aufgeführt (Bintje 1966–1968) und weisen —fortschreitend von Pflanztiefe 1 bis 5—einen h?heren Ertrag, mehr gr?ssere Knollen, einen kleineren Anteil an grünen Knollen usw. auf. Abb. 6 stellt die Verteilung von 94% der Knollen innerhalb einer gegebenen Ellipse dar. Abb. 7 zeigt eine st?ndig abnehmende Streuung der Knollenlage in der Furchenrichtung von Pflanztiefe 1 zu Pflanztiefe 5 und eine progressiv zunehmende Streuung in der vertikalen Verteilung der Knollen von Pflanztiefe 4 zu Pflanztiefe 5. Die sp?te SorteAlpha wurde vor 1968 nicht verwendet,Bintje wurde in allen Versuchen gebraucht. Die horizontale Verteilung vonAlpha war bei flacher Pflanzung ausgepr?gter (Abb. 8, Pflanztiefen 1 und 2). Die Bedeutung dieser Unterschiede und der Achsenl?ngen in Verbindung zur Schwerpunktlage aller Knollen von 10 Pflanzen wird in Abb. 5 aufgezeigt. Die Verteilung der Knollen, leicht beeinflusst durch die Dammform, bildet ungef?hr ein Ellipsoid, und die Stellen, an denen Knollen am meisten zum Grünwerden neigen, finden sich an den Dammflanken (siehe auch Abb. 6, 10B, E und F). Die Position der Saatknolle beeinflusst die Lage der neuen Knollen und infolgedessen den von der Erntemaschine erfassten Anteil Boden (Abb. 9). Aus den Ergebnissen in Tabelle 3 (Breite) kann geschlossen werden, dass ein e lipsenf?rmiges Erntemaschinenschar von 40 cm Breite genügen wird. Anh?ufeln der D?mme in die Endform und-gr?sse vor der Pflanzung befriedigte auf allen B?den. Der Damm sollte breit und abgerundet sein (Abb. 10C und Abb. 11), mit einem Querschnitt von mindestens 500–600 cm2, verbunden mit ziemlich tiefer Pflanzung. Dammgr?sse, Form und Pflanztiefe k?nnen bis zu einem gewissen Umfang angepasst werden an die Sorte, die Pflanzzeit, den Verwertungszweck der Ernte sowie an die Struktur und die Art des Bodens.

Résumé On a effectué une expérience pendant trois ans sur trois volumes différents de butte (Fig. 1) et cinq positions différentes de plantation: 10 cm du sommet de la butte (Fig. 1, 1–3) et juste sur le sol non ameuble (Fig. 1, 3–5). Le but de l'essai était de trouver le volume et la forme optimal de la butte de pomme de terre de manière à obtenir la production la plus élevée de marchandise vendable. Les facteurs à considérer comprennent le nombre de tubercules verdis, malades, difformes, la facilité de la récolte, le minimum de tare et de pertes, le dessein de nouvelles récolteuses à fabriquer. La disposition des tubercules et la production (grosseur, tubercules verdis, etc.) ont été notées, de même que la levée et le développement pendant la saison de croissance. L'influence de la variété et de la longueur des jours n'a pas été prise en consedération et les principaux facteurs du milieu étudiés ont été la température et la teneur en humidité du sol. Les résultats sont montrés dans Fig. 2. Les positions du plant de pomme de terre varient de chaud et sec (position de plantation 1), à froid et humide (position de plantation 5). L'ordre des levées (Tableau 1) montre l'importance d'un apport suffisant d'eau pour la germination. On observe la vitesse la plus grande de développement dans la position 3; celle-ci persiste pendant un certain temps durant la période de croissance (Tableau 2; Fig. 3) mais se modifie plus tard comme le montre la longueur des tiges à la récolte (Tableau 2). Ce changement peut se produire au moment de la pleine couverture du sol. Fig. 4 (Bintje 1966–68) donne les résultats à la récolte; il appara?t une augmentation de la production et de l'irrégularité de la forme, de même qu'une diminution de l'importance des tubercules verdis, etc., progressivement des positions de plantation 1 à 5. Fig. 6 montre la dispersion de 94% des tubercules, qui constitue une ellipse. Fig. 7 révèle une diminution progressive de la dispersion de la position de plantation 1 à la position 5 et une augmentation progressive de la disperson verticale de la position 4 à la position 5. La variété tardiveAlpha n'a pas été utilisée avant 1968,Bintje étant employée dans tous les essais. La dispersion horizontale chezAlpha est plus prononcée lors d'une plantation superficielle (Fig. 8 position de plantation 1 et 2). La signification de ces différences et la longueur des axes par rapport au centre de gravité de l'ensemble des tubercules, déterminées sur dix plantes, sont montrées dans Fig. 5. La disposition des tubercules, légèrement influencée par la forme de la butte, est grossièrement une ellipso?de et les points les plus exposés au verdissement sont les bords de la butte (voir aussi Fig. 6, 10B, E et F). La position du plant influence la position des nouveaux tubercules et conséquemment l'importance du travail de l'arracheuse (Fig. 9). Des résultats du Tableau 3 (largeur des axes), on peut conclure qu'un soc d'arracheuse de 40 cm de largeur donnera satisfaction, s'il est modelé sur une ellipse. La réalisation de la butte dans la forme et la grosseur finales avant la plantation a donné satisfaction dans tous les sols. La butte pourrait être large et arrondie (Fig. 10C et 11) avec une section transversale d'au moins 500–600 cm2, combinée avec une plantation plut?t profonde. Le volume de la butte, la forme et la profondeur de plantation peuvent être adaptées dans une certaine mesure à la variété, le moment de la plantation, la fin de l'utilisation de la récolte, la structure et le type de sol.
  相似文献   

14.
Summary The relationship between water shortage and tuber initiation and development in the cv. Maris Piper was examined in glasshouse experiments with several severities of water-stress induced by withholding water at different stages of plant growth. There was a direct reduction in tuber numbers per stem with increasing duration of water stress in plants deprived of water from the time when 50% of plants had emerged but not when water was withheld from the time of onset of initiation. Using the data from both years a statistically significant negative correlation was established between tuber number per stem and the number of days of soil moisture potential <−25 kPa.
Zusammenfassung Das Verh?ltnis zwischen Wassermangel im frühen Teil der Wachstumsperiode und der Knollenbildung bei der Sorte Maris Piper wurde in zweij?hrigen Gew?chshausversuchen, bei unterschiedlichen Phasen und unterschiedlicher Schwere des Wassermangels, untersucht. Die Pflanzen wuchsen in einem Torf-/ Sand-Gemisch in Beh?ltern. Das Wasser wurde von der Zeit des Aufgangs, der Knollen-Initiierung oder des ‘kleine-Knollen-Stadiums’ zurückgehalten (Serien A, B und C der Behandlungen; Tabelle 1) und daran anschliessend verabreicht (Tabelle 1, Abb. la, b). Die Kontrollbehandlung wurde w?hrend der gesamten Wachstumszeit gut gew?ssert. Sinkende Raten bei der Transpiration w?hrend des Wassermangels k?nnten durch den Wechsel des Bodenwasser-Potentials (Abb. 1a, b) und der Bodenfeuchtigkeits-Abgabekurve des Kompostes (Abb. 2) verursacht worden sein. In beiden Versuchen wurde die Knollenzahl pro Stengel in denjenigen Behandlungen reduziert, welche beim Auflaufen (A-Serien) begonnen worden waren. Die Knollenzahl war dagegen sogar bei ganz schwerem Stress nicht beeintr?chtigt, wenn die Behandlung nach der Periode der Knollen-Initiierung begonnen worden war (B- und C-Serien; Tabellen 2 und 3). Bei Verwendung der Daten der Kontrolle und der A-Serie der Behandlungen in beiden Versuchen zeigte die Knollenzahl pro Stengel (N) zum letzten Erntetermin hin zwischen der Zahl der Tage(D) und dem Bodenwasser-Potential eine Regression <−25 kPa. Die Knollenzahl als Audruck einer Proportion(Q) des Wertes der Kontrollbehandlung ergab zuD ebenfalls eine Regression. Beide Verh?ltnisse:N=7,20–0,16D undN=1,001–0,020D waren statistisch signifikant (P<0,001) bei 85 bzw. 76% der Varianz. Der Knollenertrag in Versuch 2 (Tabelle 3) war negativ korreliert mit der Dauer des Wasserstress(D) und die Gesamttrockenmasse zeigte den gleichen Trend. Der Trockenmassegehalt der Knollen zum letzten Erntetermin wurde durch die Behandlung nicht beeinflusst (21,2±1,5% und 23,0±0,7% in Versuch 1 bzw. 2). Im Versuch 2 verursachten der kontrastierende Effekt bei Wassermangel in den A- und B-Serien der Behandlungen auf Ertrag und Knollenzahlen Unterschiede in der Verteilung der Knollengr?sse (Abb. 3). In Behandlung A5 wurde die Reduktion der Knollenzahl durch die Ertragsreduzierung ausgeglichen, so dass sich die Knollengr?ssen von denen in der ungestressten Kontrolle nicht unterschieden. In Behandlung B5 dagegen war die mittlere Knollengr?sse niedriger; ausserdem ergab sich hier eine signifikant h?here Proportion kleiner Knollen (Abb. 3).

Résumé La relation entre un manque d'eau en début de végétation et l'initiation des tubercules est examinée sur deux années avec la variété Maris Piper. Les expériences ont lieu sous serre, à différents stades et différents degrés d'importance du déficit hydrique. Les plantes sont cultivées en containers dans un mélange tourbe-sable. L'eau est apportée au moment de la levée, de l'initiation des tubercules ou à la formation des petits tubercules (séries A, B et C des traitements) (tableau 1) et est approvisionnée par la suite (tableau 1, fig. 1a, b). Le témoin est bien pourvu en eau pendant toute la période. Les baisses du taux de transpiration pendant le déficit hydrique peuvent être déduites à partir des changements du potentiel capillaire (fig. 1a, b) et à partir du profil hydrique du compost (fig. 2). Dans les deux expériences, le nombre de tubercules par tige est réduit pour les traitements en début de levée (séries A) mais n'est pas modifié, même en cas assez grave de déficit hydrique, lorsque les traitements ont lieu après la période d'initiation des tubercules (séries B et C) (tableau 2, 3). A partir des valeurs du témoin et des séries A des deux expérimentations, il appara?t que le nombre de tubercules par tige(N) à la récolte finale diminue avec le nombre de jours(D) pour lesquels le potentiel capillaire est inférieur à 25 kPa. Le nombre de tubercules par tige exprimé par le rapport(Q) des valeurs du traitement sur celles du témoin, diminue également avecD. Les deux relationsN=7.20–0.16D etN-1.001–0.020D sont hautement significatives (P<0.001) et expliquent respectivement 85 et 76% de la variance. Dans la deuxième expérimentation (tableau 3) le rendement en tubercules est négativement correlé à la durée du déficit hydrique(D) et la production totale de matière sèche va dans le même sens. La teneur en matière sèche des tubercules à la récolte finale ne varie pas avec le traitement (21.2±1.5% et 23.1±0.7% respectivement pour les expérimentations 1 et 2). Dans l'expérience 2, les effets opposés du déficit hydrique, pour les traitements des séries A et B, sur le rendement et le nombre de tubercules, entra?nent des différences de répartition dans les calibres (fig. 3). Dans le traitement A5, la réduction du nombre de tubercules est reportée sur le rendement, ce qui ne modifie pas la répartition des calibres par rapport au témoin. Cependant, dans le traitement B5, le calibre moyen des tubercules est plus faible et la proportion de petits tubercules significativement plus élevée (fig. 3).
  相似文献   

15.
Summary Effects of set size, harvest date and stem density were examined with cv. Maris Peer and of stem density and harvest date with cv. Pentland Marble. At maturity average tuber weight for both varieties fell initially as density was increased becoming virtually constant at the higher densities, and was about 45% greater for Maris Peer than for Pentland Marble. Numbers of tubers/m2 were similar for each cultivar at low densities but were greater for Pentland Marble than for Maris Peer at high populations. Total yield at maturity for each variety was asymptotically related to density. Yields of canningsized tubers (20–40 mm) increased over the lower part of the density range becoming constant at about 70 stems/m2, and representing about 50% of the total yield for Maris Peer and over 80% for Pentland Marble.
Zusammenfassung Der Anbau von Maris Peer für die Verarbeitung auf Dosenkartoffeln (ganze Knollen) ist in Grossbritannien weit verbreitet. Vor kurzer Zeit ist Pentland Marble als eine speziell zur Verabeitung als Dosenkartoffel geeignete Sorte zum Anbau freigegeben worden. Diese Sorten wurden in getrennten, aber angrenzenden Versuchen angebaut, wobei bei Maris Peer die Einflüsse auf die Ertr?ge von vier Stengeldichten, zwei Pflanzknollengr?ssen und vier Erntedaten und bei Pentland Marble die Einflüsse von drei Stengeldichten und zwei Erntedaten untersucht worden. Einzelheiten der Verfahren sind in Tabelle 1 aufgeführt. Das durchschnittliche Gewicht der Tochterknollen von Maris Peer war vor der Reife der Knollen bei den grossen Mutterknollen gr?sser als bei den kleinen (Abb. 3). Zur Reifezeit fiel das durchschnittliche Knollengewicht anfangs, als die Bestandesdichte angestiegen war, stark; aber bei Bestandesdichten von mehr als ungef?hr 70 Stengeln/m2 waren die Werte innerhalb eines gegebenen Erntedatums ?hnlich. Die Knollenzahl/m2 erh?hte sich anf?nglich, als die Bestandesdichte von beiden Pflanzknollengr?ssen angestiegen war, aber bei Dichten von über 70 Stengeln/m2 war sie im wesentlichen konstant (Abb. 4a). Der Gesamtertrag verhielt sich also asymptotisch zur Bestandesdichte und grosse Knollen gaben nur beim ersten Erntedatum h?here Ertr?ge als kleine (Abb. 2). Zur Reifezeit stiegen die Ertr?ge in der für die Konserven-industrie ben?tigten Knollengr?sse (20–40 mm) in dem Masse, als die Bestandesdichte bis auf ungef?hr 70 Stengel/m2 angewachsen war; nachher blieben sie konstant. Der gr?sste Anteil am Gesamtertrag in der für die Konservierung ben?tigten Gr?sse betrug ungef?hr die H?lfte, und dieser Stand wurde ebenfalls bei etwa 70 Stengeln/m2 erreicht. Im Gegensatz dazu nahm der Ertrag an Speisekartoffeln (>40 mm) mit fortschreitendem Ansteigen der Bestandesdichte bis auf 70 Stengel/m2 ab. Bei noch gr?sseren Stengeldichten blieb er bei etwa der H?lfte des Gesamtertrages konstant. Das durchschnittliche Gewicht der Tochterknollen von Pentland Marble war weniger als die H?lfte desjenigen von Maris Peer bei vergleichbaren Stengeldichten zur Reifezeit (Abb. 3). Die Knollenzahl/m2 war bei geringen Stengeldichten bei beiden Sorten ?hnlich, aber bei grossen Stengeldichten erzeugte Pentland Marble bis zu 45% mehr Knollen/m2 als Maris Peer (Abb. 4b). Die Ertr?ge in der für die Konserven ben?tigten Knollengr?sse betrugen bei Unreife über 90% des Gesamtertrages und überstiegen bei Reife 80% des Gesamtertrages bei Dichten von über 70 Stengeln/m2 (Abb. 6). Der Ertrag an Speiseware war bei der ersten Ernte nicht bedeutend, aber bei der zweiten Ernte erreichte er einen hohen Anteil am Gesamtertrag bei kleiner Stengeldichte und weniger als 5% des Totals bei gr?sseren Dichten. Es wird angenommen, dass in einer gegebenen, aber durch Konkurrenz beeinflussten Umwelt die Knollenzahl pro Einheit Fl?che von der Menge der verfügbaren Assimilate bestimmt wird und dass daher auch für einzelne Sorten die Anzahl der Stengel pro Fl?cheneinheit zur Zeit des Beginns der Knollenbildung von Bedeutung ist. Niedrige Stengeldichten würden zur Bildung von weniger Knollen pro Fl?cheneinheit führen als hohe Stengeldichten, und bei Dichten über einem gewissen Stand w?ren die Assimilate konstant und führten zur Bildung einer konstanten Knollenzahl. Nachheriges Wachstum der Triebe und die verfügbaren Assimilate würden die sich daraus ergebende durchschnittliche Knolleng?sse bei einer gegebenen Stengeldichte bestimmen. Die Ertr?ge und Ertragskomponenten (Durchschnittsgewicht der Tochterknollen und Knollenzahl/Fl?cheneinheit) von Pentland Marble wiesen auf ein im Vergleich zu Maris Peer betr?chtlich gr?sseres Potential zur Produktion von Kartoffeln für die Konservenindustrie hin. Immerhin waren bei Pentland Marble relativ hohe Mengen an Pflanzgut von ungef?hr 10 t/ha n?tig, um zur Reifezeit einen hohen Anteil am Gesamtertrag in der für die Herstellung von Dosenkartoffeln geeigneten Gr?sse zu erreichen. Verwendung einer kleineren Pflanzkartoffelgr?sse k?nnte die ben?tigte Pflanzgutmenge heral setzen, ohne zu, einer Ertragsverminderung zu führen.

Résumé Maris Peer est cultivée sur une grande échelle au Royaume-Uni dans le but de satisfaire à toute la production de pommes de terre appertisées. Récemment, Pentland Marble a été abandonnée comme variété spécifique de l'appertisation. Ces variétés ont été mises en culture dans des expériences séparées mais attenantes dans lesquelles on a étudié, pour Maris Peer, les effets sur la production de quatre densités (de tiges), de deux séries de calibres et de quatre dates de récolte, et, pour Pentland Marble, les effets de trois densités, et deux dates de recolte. Les détails des traitements sont donnés dans le tableau 1. Le poids moyen des tubercules de la descendance de Maris Peer s'est révélé plus grand avec les gros plut?t qu'avec les petits plants dans le cas de récolte avant maturité (fig. 3). A maturité, le poids moyen par tubercule tombe d'abord rapidement quand augmente la densité, mais aux densités excédant 70 tiges par m2 environ, les valeurs sont semblables quelle que soit la date de la récolte. Le nombre de tubercules par m2 augmente d'abord avec l'accroissement de la densité et ce, pour les deux grosseurs de plants, mais le nombre devient constant lorsque les densités dépassent 70 tiges par m2 (fig. 4a). La relation entre la production totale et la densité est également asymptotique: les gros tubercules donnent une production plus élevée que les petits lors de la première récolte seulement (fig. 2). Les productions à maturité de tubercules de forme convenant à l'appertisation (20–40 mm) augmentent avec les densités jusqu'à la densité d'environ 70 tiges par m2, et restent constantes par après. La proportion maximale de la forme convenant à l'appertisation dans la récolte totale est d'environ la moitié, proportion qui est également atteinte à 70 tiges par m2 environ. Au contraire, la production ‘commerciale’ (>40 mm) diminue avec les augmentations progressives de densités jusqu'à 70 tiges par m2, et pour les densités supérieures, elle se maintient constante à environ la moitié de la production totale. A maturité et pour des densités comparables, le poids moyen d'un tubercule de la descendance de Pentland Marble est moindre que celui de Maris Peer (fig. 3). Aux faibles densités de population, les nombres de tubercules par m2 sont similaires chez Pentland Marble et chez Maris Peer, mais aux hautes densités, la première produit jusqu'à 45% en plus de tubercules par m2 que la seconde (fig. 4b). Lorsque les densités dépassent 70 tiges par m2, les productions de tubercules non m?rs de forme convenant à l'appertisation, représentent plus de 90% de la production totale, et, à maturité, dépassent 80% de la production totale (fig. 6). Les productions de tubercules commerciaux sont insignifiantes au premier arrachage, mals au second elle représentent une proportion élevée de la production totale lors des faibles densites et moins de 5% de la production totale aux densités plus élevées. Les résultats suggèrent que, dans un millea donné et sous l'influence de la competition, la quantité de matières assimilables disponibles détermine le nombre de tubercules par unité de surface au moment de l'initiation des tubercules. Avec de faibles densités, il y aurait un moindre nombre de tubercules ‘initiés’ par unité de surface qu'avec de hautes densités et, pour des densités au-dessus d'un certain seuil, les matières assimilables resteraient constantes, de là résulteralt un nombre constant de tubercules ‘initiés’. Le développement subséquent du feuillage, et de là, les quantités disponibles des matières assimilables auraient pour résultats de déterminer la grosseur moyenne des tubercules pour une densité donnée. Les productions et les divers facteurs de la production (poids moyen des tubercules de la descendance et nombre de tubercules par unité de surface), révèlent que Pentland Marble possède un potentiel de production de tubercules convenant à l'appertisation considérablement plus élevé que Maris Peer. De même, les co?ts relativement élevés des plants pour quelque 10 tonnes/ha sont nécessaires pour que Pentland Marble atteigne à maturité une proportion élevée, de la production totale, de tubercules convenant à l'appertisation. L'utilisation de plants de plus petit calibre peut diminuer les frais de plantation, sans qu'il en résulte une réduction de la production.
  相似文献   

16.
Summary Ageing seed potatoes at ambient temperatures after long storage (26 weeks) at 2 °C affected rate of plant emergence and yields of three potato cultivars in Cyprus. Sprout growth at ambient increased until planting, and was bigger in cv. Spunta than in cv. Arran Banner and cv. Cara. Four weeks after planting the rate of emergence was higher in physiologically younger seed; total emergence was not affected but average yields were reduced by ageing. Early yields were less affected but final yields were significantly reduced by ageing; these effects were moro pronounced in Spunta and Arran Banner, early and medium maturity cultivars respectively than in Cara, a late maturity cultivar. Ageing of seed at ambient temperature was rapid and removing seed to ambient for more than 3 weeks before planting to save storage costs adversely affected final yields.
Zusammenfassung Eine nach verl?ngerter Lagerung bei 2 °C erfolgte Alterung der Saatkartoffeln bis zu 9 Wochen in der Umgebungstemperatur beeinflusste bei den Sorten Arran Banner, Spunta und Cara das Auflaufen der Pflanzen und die Ertr?ge. Das Keimwachstum wurde nach überführung aus dem Kaltlager in die Umgebungstemperatur bis zum Auspflanzen nicht unterbrochen; die Keime von Spunta waren l?nger als diejenigen von Arran Banner und Cara (Abb. 1). Bei physiologisch ?lterem Saatgut liefen die Pflanzen schneller auf als bei jüngerem (Tab. 1). Fünf Wochen nach dem Auspflanzen war die Auflaufrate in allen Behandlungen ?hnlich und gr?sser als 80 % (Tab. 1). Drei Wochen nach dem Auspflanzen war die Auflaufrate der Pflanzen durch die Alterung erh?ht. Die Zwischen- und Endertr?ge wurden durch die Alterung signifikant beeinflusst Saatgut, das l?nger als 3 Wochen in der Umgebungstemperatur gehalten wurde, erbrachte geringere Zwischen- und Endertr?ge. Die Frühertr?ge wurden durch die Alterungsbehandlungen weniger beeinflusst (Tabellen 2, 3 und 4). Die Saatkartoffeln alterten schneller nach überführung in die Umgebungstemperatur und ein Verbleiben des Saatgutes in der Umgebungstemperatur für mehr als 3 Wochen führt zu geringeren Ertr?gen. Wenn auch der Alterungsprozess w?hrend der Kaltlagerung fortschreitet, ist eine Verl?ngerung der Kaltlagerzeit wünschenswert, um dann das Saatgut in die Umgebungstemperatur zu übertragen und dadurch Lagerkosten zu sparen.

Résumé Le vieillissement physiologique de plants de pomme de terre obtenu par la conservation à la température ambiante pendant des durées de 0 à 9 semaines après un maintien prolongé à 2 °C, affecte la levée et le rendement des variétés Arran Banner, Spunta et Cara. Après que les tubercules aient été sortis de chambre froide, la croissance des germes se poursuit jusqu'à la plantation. Les germes de Spunta sont plus longs que ceux d'Arran Banner et de Cara (fig. 1). La levée des plants est plus rapide chez ceux physiologiquement vieux que chez ceux physiologiquement jeunes (tableau 1). Cinq semaines après la plantation, le taux de levée est identique dans tous les traitements et dépasse 80% (tableau 1). La levée des plants trois semaines après la plantation est accrue par le vieillissement. Les rendements intermédiaires et finaux sont significativement affectés par le vieillissement. Les plants placés pendant plus de 3 semaines à température ambiante donnent de plus faibles rendements intermédiaires et finaux. La précocité des rendements est moins affectée par les traitements de vieillissement (tableaux 2, 3 et 4). Les plants vieillissent plus rapidement à la température ambiante et ceux conservés plus de trois semaines dans ces conditions donnent une réduction de rendement. Toutefois, le processus de vieillissement se poursuit également durant la période de conservation au froid aussi l'extension de la durée de cette période est préférable à cette de la mise à température ambiante lorsqu'elle est réalisée dans un but d'économie.
  相似文献   

17.
Summary Experiments were carried out to characterize growth vigour of lots of seed potatoes of different age. The influence on plant growth under controlled conditions of the physiological age of seed tubers stored at 4°C or 12°C in darkness, was studied in three experiments with cultivars Jaerla and Désirée, as part of a combined study on the effect of physiological age on growth vigour. Seed tubers of the same lots were desprouted, allowed to resprout for a week and then planted in growth rooms under controlled conditions and harvested two months after planting. This procedure was repeated on several dates, i.e. after increasingly long storage periods. With young seed tubers, plants developed slowly and remained small. At later plantings there was more foliage growth but after prolonged storage (i.e. when the seed tubers were old) little or no foliage developed, but often ‘little potato’ tubers were formed. However, Désirée seed stored at 4°C formed plants even after more than a year. The higher storage temperature generally hastened the physiological ageing of seed tubers. The effects of storage duration and temperature on various growth characteristics of both cultivars are described.
Zusammenfassung In drei Versuchen wurde der Einfluss des physiologischen Alters von Pflanzkartoffeln auf das Pflanzenwachstum unter kontrollierten Bedingungen untersucht — als Teil einer kombinierten Studie über den Einfluss des physiologischen Alters auf die Wachstumsintensit?t. Zweck der Untersuchungen war die Charakterisierung der Wachstumsintensit?t von Pflanzkartoffeleinheiten unterschiedlichen Alters. Pflanzknollen der Sorten Jaerla und Désirée wurden bei 4°C und 12°C im Dunkeln gelagert. Die Pflanzknollen wurden abgekeimt und eine Woche nach erneuter Keimung gepflanzt. Pflanzknollen der gleichen Einheiten wurden zu verschiedenen Terminen in Vegetationskammern unter gleichen kontrollierten Bedingungen w?hrend aufeinanderfolgender Wachstumsperioden gepflanzt. Die Pflanzen wurden zwei Monate nach der Pflanzung gerodet. Sowohl die Lagerperiode als auch die Lagertemperatur beeinflussten das nachfolgende Pflanzenwachstum. Bei jungen Pflanzknollen war der Auflauf (Abb. 1) ziemlich langsam. Dabei bildeten sich relativ kleine Pflanzen (Abb. 2). Nach l?ngerer Lagerung war der Auflauf rapider, es bildete sich mehr Blattfl?che. Zu den sp?testen Pflanzzeiten (alte Knollen) bildete sich kein oder fast kein Blattwerk, oft jedoch Kn?llchen (Tabelle 1). Triebl?nge (Abb. 2) und Zahl der Triebe (Abb. 3) stiegen mit l?nger werdender Lagerperiode, gingen jedoch bei ?lteren Pflanzknollen zurück. Blattfl?chenindex (Abb. 4) und Gesamt-Trockengewicht (Abb. 5) zeigten ebenfalls Optimumskurven mit zunehmenden Alter der Pflanzknollen. Die Lagerperiode beeinflusste die Verteilung der Trockenmasse; in viele F?llen ergaben sich maximales Trockengewicht der Bl?tter (Abb. 6) und der Triebe (Abb. 7) bei mittlerer Startzeit, danach ergab sich ein Rückgang. Die Trockengewichte der Knollen (Abb. 8) waren niedrig (bei nur zwei Monaten Wachstumszeit); Jaerla zeigte oft einen Anstieg bei sp?terer Pflanzung, bei Désirée folgte einem Anstieg ein gewisser Rückgang. Die beiden Sorten reagierten auf die Lagertemperatur unterschiedlich. Lagerung bei 12°C erh?hte bei Jaerla Auflauf und die Stengell?nge bei frühen Pflanzzeiten, Lagerung bei 4°C verz?gerte das Auftreten maximaler Werte bei Verschiedenen Wachstumsmerkmalen (Abb. 9) im Vergleich zu 12°C. ler Werte bei Verschiedenen Wachstumsmerkmalen (Abb. 9) im Vergleich zu 12°C. Lagerung bei 4°C senkte auch die Ersch?pfung der Pflanzknollen (demonstriert als ‘Nicht-Auflauf’ und als ‘Kn?llchen-Ph?nomen’), vor allem bei Désirée. Diese Sorte produzierte sogar nach mehr als einem Jahr Lagerung noch Pflanzen.

Résumé L'influence de l'age physiologique des tubercules de semence sur la croissance de la plante en conditions contr?lées est étudiée durant trois années, dnas une expérimentation concertée ayant pour but de mettre en évidence l'effet de celui-ci sur la vigueur de croissance. L'objectif est de caractériser la vigueur de croissance de lots de plants de différents ages. Les tubercules de semence des variétés Jaerla et Désirée sont conservés à 4°C et 12°C, à l'obscurité. Ils sont égermés et plantés après une nouvelle mise en germination d'une semaine. Les tubercules d'un même lot sont plantés à plusieurs dates, en chambre de culture, dans les mêmes conditions contr?lées pendant des durées successives de croissance. Les plantes sont arrachées deux mois après plantation. La durée et la température de conservation affectent sensiblement la croissance des plantes. Avec du plant physiologiquement jeune (figure 1) la levée est plut?t lente et les plantes relativement petites (figure 2). Lorsque la durée de conservation est plus longue la levée est plus rapide et le feuillage plus abondant. Aux dates de plantation les plus tardives (vieux tubercules) les plantes développent peu ou pas de feuillage, mais souvent de petits tubercules se forment sur les pousses (tableau 1). La longueur des tiges (figure 2) et le nombre de tiges (figure 3) augmentent parallèlement à l'allongement de la durée de conservation, mais diminuent lorsque les tubercules sont très agés. L'index de surface foliaire (figure 4) et le poids sec total (figure 5) montrent aussi un optimum sur les courbes en fonction de l'age physiologique, du plant. La durée de conservation affecte la distribution de la matière sèche; dans de nombreux cas, le poids maximum de matière sèche des feuilles (figure, 6) et des tiges (figure 7) est trouvé pour un temps moyen de conservation, un temps plus long conduisant à une diminution du taux de matière sèche. Le poids sec des, tubercules (figure 8) est faible (la période de croissance n'est que de deux mois) mais souvent Jaerla montre une augmentation pour des dates de plantation plus tardives; chez Désirée, l'augmentation est suivie d'une nette diminution. Les deux variétés réagissent différemment vis-à-vis de la température de conservation. Aux dates précoces de plantation une conservation à 12°C présente une levée et une élongation des tiges plus rapide pour Jaerla, alors que la température de 4°C est plus favorable à Désirée. La conservation à 4°C retarde l'apparition des valeurs maximales de différentes caractéristiques liées à la croissance (figure 9) par rapport à la conservation à 12°C; elle retarde aussi l'épuisement des tubercules de semence (démontré par l'absence de levée et le phénomène de boulage) notamment chez Désirée qui peut souvent produire des plantes après une durée de conservation de plus d'un an.
  相似文献   

18.
Summary Cell characters of three dihaploids, their chromosome-doubled derivatives and tetraploid parents were compared to determine the effect of chromosome doubling on tissues involved in photosynthesis. Chromosome doubling resulted in increased mean palisade cell size and chloroplast number and reduced mean cell number and stomatal frequency. Chloroplast size was not affected. Mean cell size and chloroplast number of doubled dihaploids derived from cv. Pentland Crown were less than those of the tetraploid parent but the doubled dihaploid derived from another tetraploid had larger cells than its parent. Pentland Crown, had a narrower frequency distribution of chloroplast numbers compared with its two doubled dihaploids which possibly contained mixtures of G1 and G2 cells. Chromosome doubling of these dihaploids caused changes in cell characters but chloroplast number per unit leaf area, and probably also per plant, were little affected. The photosynthetic potential and economic yield per plant were probably not significantly affected by the ploidy change.
Zusammenfassung Frühere Arbeiten mit drei Dihaploiden und ihren Chromosomen-verdoppelten Abk?mmlingen, entstanden nach Colchicin-Anwendung und mit parthenogenetisch tetraploiden Eltern, hatte gezeigt, dass Ploidieverdopplung wenig Einfluss auf ertragsbildende ?konomische Faktoren hatte. Dihaploide erbrachten weniger als ihre Eltern, hatten aber gleiche Ertr?ge wie ihre verdoppelten Abk?mmlinge. Die verdoppelten Dihaploiden hatten gr?ssere Bl?tter, aber weniger pro Pflanze, sodass die gesamte Blattfl?che der Pflanze nicht signifikant beeinflusst wurde. Die Dihaploiden und die verdoppelten Abk?mmlinge reagierten ?hnlich gegenüber Steigerungen der Düngergaben durch gesteigertes Blattwachstum, das jedoch auf Kosten des Knollenertrages, w?hrend die Eltern gegenteilig reagierten. Auch die Photosyntheserate pro Blattfl?cheneinheit einer Dihaploiden wurde durch Chromosomenverdopplung nicht signifikant ver?ndert, obwohl der Elter eine h?here Rate hatte. Im hier dargestellten Versuch wurde der Einfluss der Chromosomenzahl-Verdopplung bei Blattzellen von drei Dihaploiden beobachtet, um deren Auswirkung auf das Blattgewebe mit Photosynthese zu registrieren. Der Genotypensatz 1 enthielt zwei Dihaploide (PDH7 und PDH52) der Sorte Pentland Crown, eine Dihaploide (PDH150), eine unbezeichnete Tetraploide (8318(4)) und ihre Chromosomen-verdoppelten Abk?mmlinge (PDH7×2, PDH52×2, PDH150×2), erhalten durch Colchicin-Anwendung. Die Pflanzen wurden in einer Klimakammer angezogen, vom sechsten zusammengesetzten Blatt wurden Stücke genommen. Die Chloroplasten wurden in 20 bis 30 Palisadenzellen pro Pflanze gez?hlt, die Zelldimensionen wurden gemessen. Histogramme von Chloroplastenzahlen und Zellgr?ssen zeigen die Abbildungen la bzw. 2a, für die Pentland Crown-Familiengruppe, die Abbildungen 2a und 2b für die 8318(4)-Familiengruppe, jeweils mit der Zahl der geprüften Zellen (N) und den Mittelwerten der Genotypen. Der Genotypensatz 2 umfasste Pentland Crown, ihre Dihaploiden und verdoppelten Dihaploiden, die in einem Gew?chshaus angezogen wurden. Epidermale Merkmale wurden aufgezeichnet und Blattstücke von den Nodien 14, 16, 18 und 20 geschnitten, wenn die Pflanzen an der Basis Seneszenz zeigten. Die Dimensionen von 10 Palisadenzellen pro Blatt, ausserdem die Zahl der Zellen pro L?ngeneinheit einer transversalen Sektion eines Blattes wurden registriert (Tabelle 1). Ebenso wurden die Dimensionen von Chloroplasten in Zellen der Bl?tter von den Nodien 14 und 20 gemessen (Tabelle 2), dann die Zahl der Stomata pro Fl?cheneinheit Epidermis (Tabelle 3). Chloroplastengehalt pro Zelle und Zellgr?sse waren signifikant korreliert (r=+0,284), und die Verteilung der Frequenz dieser Eigenschaften waren einheitlich (Abb. 1 und 2). Die mittlere Chloroplastenzahl pro Zelle und die Zellgr?sse von Dihaploiden waren signifikant kleiner als die ihrer Chromosomen-verdoppelten Abk?mmlinge und der tetraploiden Eltern, w?hrend die von PDH150×2 gr?sser als die ihrer Eltern (8318(4)) war. Variationen bei Chloroplastenzahlen und Zellgr?sse waren gross und k?nnten eine Mischung von Zellen verschiedener Ploidiestufen andeuten. Die flachste Verteilung war die bei verdoppelten Dihaploiden von Pentland Crown, m?glicherweise enthalten sie G1-Zellen und G2-Zellen in verschiedensten Stadien des Zellzyklus im Sinne einer Verlangsamung desselben als Folge der Chromosomen-Verdopplung. Pentland Crown zeigte eine engere Verteilung, auf eine gr?ssere Proportion ihrer Mesophyll-Zellen von Vertretern von Chloroplasten nahe der Normalform (‘mode’) hindeutend. Im Hinblick auf die hohe Photosyntheserate des Genotyps k?nnte die Erscheinungsform auf eine Chloroplastenzahl pro Zelle nahe des Optimums für photosynthetische Effizienz hindeuten. Im Durchschnitt stiegen mittlere Zellgr?sse und Chloroplastenzahl bei Chromosomenverdopplung, die Chloroplastenzahl pro Blattfl?chen-Einheit ?nderte sich vermutlich deshalb nicht signifikant. Die Chloroplastengr?sse ?nderte sich ebenfalls nicht wesentlich, sodass Ploidieverdopplung wenig Einfluss auf das photosynthetische Potential der Bl?tter haben dürfte. Ebenso wird vermutlich das photosynthetische Potential der Pflanze nicht signifikant beeinflusst, da sich die Blattfl?che nicht signifikant ge?ndert hat. Man kann keinen signifikanten Einfluss der Ploidieverdopplung auf den Ertrag erwarten, wie auch andere Untersuchungen zeigen. Im Durchschnitt hatten die Dihaploiden weniger Stomata pro Blattfl?cheneinheit als originale Dihaploide, vermutlich wegen des Anstiegs der Zellgr?sse bei der Ploidieverdopplung. Die Frequenz der Stomata muss hinsichtlich der Photosyntheserate dieses Materials kein wichtiger Faktor sein, da Pentland Crown vorher eine h?here Photosyntheserate als ihre Dihaploide PDH7 aufwies und da verdoppelte Dihaploide weniger Stomata pro Blattfl?chen-Einheit hatten. Die Untersuchung zeigt, dass zellul?re Ver?nderungen dieser Dihaploiden durch Ploidieverdopplung als Merkmal ohne grossen Einfluss auf ertragsbildende Faktoren angesehen werden kann.

Résumé Un travail antérieur sur trois dihaplo?des, leurs dérivés à chromosomes doublés obtenus par un traitement à la colchicine et leurs parents tétraplo?des parthénogénétiques avait montré que le doublement de la plo?die a un petit effet sur les caractères déterminant le rendement économique. Les dihaplo?des avaient un rendement moindre que celui de leurs parents mais un rendement en tubercules identiques à celui des dérivés à chromosomes doublés. Ces derniers possédaient de plus larges feuilles mais peu de feuilles par plante et la surface foliaire totale par plante n'était pas significativement affectée. Les dihaplo?des et les dérivés à chromosomes doublés répondaient de la même manière à l'augmentation des doses de fertilisants par un acroissement des parties foliaires aux dépens du rendement en tubercules, à l'inverse de leurs parents. De même, le taux de la photosynthèse par unité de surface foliaire n'était pas significativement modifié par le doublement chromosomique bien que leurs parents aient un taux plus élevé. Dans l'expérimentation présente l'effet du doublement chromosomique de trois dihaplo?des sur les cellules foliaires est observé pour voir comment cela affecte les tissus concernant la photosynthèse. La série de génotypes 1 comprend deux dihaplo?des (PDH7 et PDH52) de la variété Pentland Crown, un dihaplo?de (PDH150) issu d'un tétraplo?de sans nom 8318(4) et leurs dérivés à chromosomes doublés (PDH7×2, PDH52×2, PDH150×2) obtenus par la colchicine. Les plantes croissent dans une chambre de culture et des fragments de feuilles sont prélevés au niveau de la sixième feuille composée. Les chloroplastes sont comptés dans 20 à 30 cellules palissadiques par plante et la taille des cellules est mesurée. Les histogrammes de la répartition de ces deux caractères sont représentés respectivement dans les figures la et 2a pour les familles de Pentland Crown, 1b et 2a pour les groupes de la famille 8318(4) avec le nombre de cellules contr?lées (N). La série de génotypes 2 comprenant Pentland Crown, leurs dihaplo?des et leurs dérivés à chromosomes doublés est cultivée en serre. Des empreintes d'épiderme sont prises et des fragments de feuilles sont prélevés, lorsque les plantes commencent leur sénescence à la base, aux noeuds 14, 16, 18 et 20. La taille de dix cellules palissadiques par feuille est mesurée et le nombre de cellules comprises dans la longueur transversale est compté (tableau 1). Les dimensions des chloroplastes des cellules des familles situées aux noeuds 14 et 20 sont également mesurées (tableau 2) et le nombre de stomates par unité de surface épidermique est déterminé (tableau 3). Le nombre de chloroplastes par cellule et la taille des cellules sont significativement corrélés (r=+0,284) et la fréquence de distribution de ces deux caractères est identique (figure 1 et 2). Le nombre moyen de chloroplastes par cellule et la taille des cellules des dihaplo?des sont significativement plus petits que ceux de leurs dérivés à chromosomes doublés et de leurs parents tétraplo?des: par conséquent, ces caractères sont de bons indicateurs de plo?die. Les cellules des dérivés dihaplo?des à chromosomes doublés de Pentland Crown sont plus petites que celles de leur parent tétraplo?de tandis que celles de PDH150×2 sont plus grandes que les cellules de leur parents 8318(4). La variation dans le nombre de chloroplastes et dans la taille des cellules est grande; elle pourrait indiquer un mélange de cellules ayant différentes plo?dies dans le mésophylle. La distribution la plus étalée est celle des dérivés à chromosomes doublés de Pentland Crown, parce que vraisemblablement ils contiennent des cellules G1 et G2 à différents stades du cycle cellulaire en raison du ralentissement de celui-ci apporté par le doublement chromosomique. Pentland Crown a une distribution plus étroite indiquant qu'une grande proportion de ses cellules du mésophylle ont un nombre de chloroplastes proche du modèle. Compte tenu des génotypes à haut niveau de photosynthèse, ce modèle peut laisser penser qu'il faut un nombre de chloroplastes optimum par cellule pour obtenir une bonne efficacité photosynthétique. En général, la taille moyenne des cellules et le nombre de chloroplastes augmentent tandis que le nombre de cellules diminue avec le doublement chromosomique, de ce fait, le nombre de chloroplastes par unité de surface foliaire n'est pas modifié. La taille des chloroplastes n'est également pas significativement changée et le doublement de la plo?die a peu d'effet sur le potentiel photosynthétique des feuilles. C'est pourquoi, comme la surface foliaire n'est pas significativement modifiée, le nombre total de chloroplastes et le potentiel photosynthétiques de la plante ne sont probablement pas sensiblement affectés. Le doublement de chromosomes des dihaplo?des ne peut donc faire escompter un effet significatif sur le rendement comme cela a été confirmé dans d'autres expériences. En général, les plantes issues de doublement de plo?die ont peu de stomates par unité de surface foliaire comparées aux dihaplo?des originaux et ceci est probablement d? au fait que leurs cellules sont plus grandes. La fréquence des stomates peut ne pas être un facteur déterminant vis-à-vis du taux de photosynthèse, puisqu'un matériel comme Pentland Crown a un plus haut taux mais moins de stomates par unité de surface que ses dihaplo?des PDH7 et que ses dérivés à chromosomes doublés. Cette expérience montre que des modifications cellulaires résultant du doublement de chromosomes des dihaplo?des peuvent se produire sans pour autant avoir un grand effet sur les caractères déterminant le rendement.
  相似文献   

19.
Summary The effects of nitrogen nutrition, main stem number and degree of defoliation of potato mother plants on stem-cutting production were investigated in glasshouse experiments with the cultivars Désirée, Record and Sutton's Foremost. Defoliation of the mother plants increased the number of cuttings produced, the total axillary growth, and the rate of cutting production. An increase in the number of main stems on the mother plant from one to three increased the number of cuttings obtained from defoliated plants of Désirée but decreased the number obtained from defoliated plants of Record and from undefoliated plants of both Désirée and Record. Nitrogen nutrition did not influence cutting production. The results are considered in relation to the role of leaves, endogenous plant hormones and competition within plants in controlling the axillary growth which was removed as stem cuttings. Suggestions for improving the efficiency of stem-cutting production are made.
Zusammenfassung In Gew?chshausversuchen wurde der Einfluss der Stickstoffern?hrung, der Zahl der Haupttriebe und des Grades der Entbl?tterung bei in T?pfen gewachsenen Mutterpflanzen der Sorten Désirée, Record und Sutton's Foremost auf die Zahl der produzierten Stengelabschnitte (stem cuttings) untersucht. In einem ersten Versuch wurden alle Triebe auf 30 cm zurückgeschnitten, wenn der l?ngste 40–45 cm erreichte. Die Mutterpflanzen erhielten vier unterschiedliche Stickstoffgaben (als NH4NO3), die entbl?tterten und nicht-entbl?tterten Pflanzen erhielten zwei Gaben (Tab. 1). Im zweiten Experiment wurden alle Pflanzen bis auf acht Nodien zurückgeschnitten, wenn der l?ngste Trieb 40–45 cm erreichte, deshalb auch die Bl?tter oberhalb der Kompostebene; die Entbl?tterungs-Behandlungen zur Zeit der Stengel-Dekapitation waren: keine Defoliation, komplette Defoliation, obere vier Bl?tter entfernt, alternierend Bl?tter entfernt und die unteren vier Bl?tter entfernt (Tab. 2, 3 und 4). In beiden Versuchen wurde die Zahl der Haupttriebe pro Pflanze auf ein Maximum von drei begrenzt. Die Stengelabschnitte (axillare Schosse) wurden bei 7,5 bis 12,5 cm L?nge entfernt. Die Zahl der Stengelabschnitte bei Désirée und Record wurde durch die Applikation von NH4NO3 nicht beeinflusst (Tab. 1). Komplette Entbl?tterung war dagegen hocheffektiv, durch die Erh?hung der Zahl der Abschnitte bei beiden Sorten, signifikant bei Désirée. Entbl?tterte Pflanzen von Désirée produzierten mit steigender Triebzahl mehr Abschnitte (Abb. 1, B), w?hrend nichtentbl?tterte Pflanzen von Désirée und sowohl entbl?tterte als auch nicht-entbl?tterte Pflanzen von Record mit steigender Triebzahl weniger Abschnitte produzierten (Abb. 1, A, C, D). Bei beiden Sorten bildeten entbl?tterte Pflanzen mehr Abschnitte als nicht-entbl?tterte Pflanzen. Im zweiten Experiment war komplette Entbl?tterung die effektivste Behandlung zur Erh?hung der Zahl der Abschnitte von Désirée, Record und Sutton's Foremost; signifikant war der Anstieg, relativ zu nicht-entbl?tterten Pflanzen, bei Désirée (Tab. 2). Messung des gesamten axill?ren Wachstums, ob Stengelabschnitt oder nicht, ergab signifikante Unterschiede im gesamten axill?ren Wachstum zwischen den Entbl?tterungs-Behandlungen bei allen drei Sorten (Tab. 3). Bei Désirée und Sutton's Foremost war komplette Entbl?tterung effektiver als alle anderen Behandlungen hinsichtlich des axill?ren Wachstums. Entbl?tterung steigerte auch die Quote der Produktion von Abschnitten (Prozentsatz Abschnitte, die in der ersten H?lfte der Untersuchungsperiode produziert wurden) (Tab. 4). Kombiniert für alle drei Sorten war die Rangordnung der Effektivit?t der Entbl?tterungs-Behandlungen bei der Stimulierung der Abschnitte-Produktion (Tab. 2), gesamten axill?rem Wachstum (Tab. 3) und der Produktionsrate für Abschnitte (Tab. 4) im Vergleich zu nicht-entbl?tterten Pflanzen dieselbe. Komplette Entbl?tterung war am effektivsten, es folgte Entfernung der oberen vier Bl?tter, Entfernung alternierender Bl?tter und die Entfernung der unteren vier Bl?tter. Die Zahl Stengelabschnitte von Kartoffelpflanzen k?nnte deshalb durch (1) komplette Entbl?tterung (die auch die Rate der Stengelabschnitt-Produktion erh?ht) und (2) Reduzierung der Zahl der Haupttriebe in Sorten wie Record erh?ht werden.

Résumé L'influence de l'azote, du nombre de tiges principales et du degré de défoliation sur le nombre de boutures a été étudiée sous serre en mettant en pots des tubercules de semence des variétés Désirée, Record et Sutton's Foremost. Dans la première expérimentation, toutes les tiges de chaque plante ont été sectionnées à 30 cm lorsque la tige la plus longue avait atteint 40 à 45 cm. Les tubercules ont re?u 4 doses d'azote (NH4NO3) dont 2 sur plantes entières et sur plantes totalement défoliées (tabl. 1). Dans la deuxième expérimentation, toutes les tiges de chaque plante ont été également coupées lorsque la plus longue des tiges avait atteint 40–45 cm, en laissant toutefois 8 noeuds avec ainsi, certaines feuilles au dessus des pots. Au moment du sectionnement des tiges, différents traitements furent appliqués: aucune défoliation, une défoliation totale, la suppression des 4 feuilles supérieures, ou en alternance sur l'ensemble du feuillage ou des 4 feuilles inférieures (tabl. 2, 3 et 4). Dans les deux experiences, le nombre de tiges principales par plante a été limité à trois. Les boutures (tiges axillaires) d'une longueur comprise entre 7,5 et 12,5 cm ont été sectionnées. Le nombre de boutures par plante n'a pas varié avec les applications d'azote pour les variétés Désirée et Record (tabl. 1). Par contre, la défoliation complète a entra?né une nette augmentation du nombre de boutures pour ces deux variétés, la différence étant significative pour Désirée. L'augmentation du nombre de tiges entra?ne une augmentation de boutures dans le cas de la variété Désirée lorsque celle-ci est défoliée (fig. 1, B) tandis qu'une diminution du nombre de boutures est constatée lorsque cette variété est entière; pour la variété Record, le nombre de boutures est diminué dans les deux cas (fig. 1, A, C, D). Pour ces deux variétés, les plantes défoliées ont donné davantage de boutures que les plantes entières. Dans la deuxième expérimentation, la défoliation complète appara?t comme étant le traitement le plus efficace pour augmenter le nombre de boutures des variétés Désirée, Record et Sutton's Foremost, l'augmentation, par rapport au témoin non défolié, étant significative pour la variété Désirée (tabl. 2). L'analyse de la croissance axillaire, quelle que soit la longueur, montre des différences significatives de croissance totale entre les traitements de défoliation sur les trois variétés (tabl. 3). La défoliation complète de Désirée et Sutton's Foremost s'est avérée nettement plus productive en terme de croissance axillaire totale. Les traitements de défoliation ont augmenté également le taux de production de bouture (pourcentage de tiges obtenues dans la première moitié de la période d'observation) (tabl. 4). Le classement par efficacité des traitements de défoliation sur la production stimulée de boutures (tabl. 2), la croissance totale axillaire (tabl. 3) et le taux de production de boutures (tabl. 4), par rapport aux plantes entières, fut identique pour les trois variétés combinées. La défoliation complète fut la plus efficace, suivie de la suppression des quatres feuilles supérieures, puis de la suppression en alternance de celle des quatres feuilles inférieures. Le nombre de boutures obtenues à partir de planis de pomme de terre peut être par conséquent augmenté (1) par défoliation complète (ce qui augmente aussi le taux de production de boutures) et (2) par réduction du nombre de tiges principales avec des variétés comme Record par example.
  相似文献   

20.
Summary Fourteen cultivars were tested for resistance to penetration and colonization byF. sulphureum by a point inoculation technique. Differences in resistance to penetration were small when compared with those reported forF. solani var.coeruleum, and were more apparent in one year than another. Tubers grown at different sites gave similar results. The medullary tissue was generally more susceptible than the cortex. There were large differences between cultivars in resistance to colonization and these were consistent between years and sites. A selection derived from a cross between established cultivars was more resistant than its parents.
Zusammenfassung Um die Resistenz von 14 Kartoffelsorten gegenFusarium sulphureum zu prüfen, wurde eine Punktinokulationsmethode verwendet, die der von Pietkiewicz & Jellis (1975) für Phomaf?ule beschriebenen Methode ?hnelt, das Inokulum bestand aber aus 100 Konidien in 0,01 ml sterilem Wasser und die Inkubation betrug 4 Wochen. Die zu prüfenden Knollen stammten von zwei Herkünften und sieben der Sorten werden in zwei Jahren getestet. Die Eindringungsresistenz wurde durch Bonitur der F?ulen, die mehr als 2 mm über die Verletzungen hinausgingen, erfasst und die Ausbreitungsresistenz in der Rinde durch eine Gesamtbonitur jeder Wiederholung, bei der eine 1–3 Skala verwendet wurde: 1=2–20 mm Durchmesser, 2=20–40 mm, 3=>40 mm. Nicht verwertet wurden F?ulen unter 2 mm im Durchmesser. Insgesamt waren King Edward, Record und Pentland Squire signifikant weniger anf?llig gegenüber der Eindringung als die anderen geprüften Sorten (Tabelle 1) aber keine Sorte besass eine hohe Resistenz. Die Ergebnisse waren zwischen den Herkünften, dem Gewebe und den Jahren vergleichbar, aber die Unterschiede zwischen den Sorten waren in einem Jahr deutlicher als im anderen. Das Markgewebe war im allgemeinen gegen die Eindringung anf?lliger als die Rinde. Die Rangfolge für die Ausbreitungsresistenz war zwischen den Herkünften konstant und wenn auch geringer, zwischen den Jahren (Tabelle 2). Sorten mit Eindringungsresistenz hatten geringe Boniturwerte für die Ausbreitung, aber das umgekehrte stimmte nicht immer. Erste Prüfungen von selektiertem Zuchtmaterial zeigten, dass in der Familie B31, die aus (Pentland Crown x Maris Piper) x Pentland Squire gezüchtet wurde (Tabelle 3a), Resistenz vorhanden sein k?nnte. Ein Wiederholungstest im folgenden Jahr best?tigte, dass der Klon B31/46 eine deutlich h?here Eindringungsresistenz in der Rinde aufwies als King Edward und erfolgreiche Inokulationen ergaben nur kleine Faulzonen (Tabelle 3b). Daraus wurde geschlossen, dass es erfolgversprechend ist, auf Resistenz gegenFusarium sulphureum zu züchten unter Verwendung der in den britischen Sorten vorhandenen genetischen Variabilit?t.

Résumé Une technique d'inoculation par pointe a été appliquée sur 14 variétés de pommes de terre, afin d'étudier leur résistance àFusarium sulphureum. Cette technique est semblable à celle décrite par Pietkiewicz & Jellis (1975) pour la gangrène, mais la concentration d'inoculum est de 100 conidies par 0,01 ml d'eau stérile et l'incubation est de 4 semaines. Les tubercules testés proviennent de 2 régions et 7 variétés ont été étudiées pendant 2 années. La pénétration du parasite est évaluée en notant la proportion de pourritures se développant sur plus de 2 mm au-delà de la blessure, la surface du sympt?me est notée pour chaque répétition à partir d'une échelle de 1 à 3∶1= diamètre de 2 à 20 mm; 2=20 à 40 mm et 3= supérieur à 40 mm. Les pourritures d'un diamètre inférieur à 2 mm ne sont pas notées. Dans tous les cas, King Edward, Record et Pentland Squire sont significativement moins sensibles à la pénétration que les autres variétés testées (tableau 1), bien qu'aucune variété ne soit hautement résistante. Les résultats sont sensiblement comparables suivant les endroits, les tissus et les années, mais les différences entre les variétés sont plus nettes d'une année sur l'autre. Le tissu médullaire est en général plus sensible à la pénétration que le cortex. L'ordre de résistance au parasite est conforme suivant les endroits et sensiblement le même suivant les années (tableau 2). Les variétés présentant une certaine résistance à la pénétration ont des notes faibles au développement du sympt?me, mais l'inverse n'est pas toujours vrai. Des tests initiaux sous-abri à partir des sélections de plants ont montré une bonne résistance pour la famille B31, croisement de (Pentland Crown x Maris-Piper) x Pentland Squire (tableau 3a). Un test répété l'année suivante a confirmé la forte résistance à la pénétration dans le cortex du cl?ne B31/46 par rapport à King Edward et des inoculations réussies n'ont donné que de petites pourritures (tableau 3b). En conclusion, il est possible de sélectionner, en vue d'une résistance àF. sulphureum, à partir des variabilités génétiques disponibles au sein de variétés anglaises.
  相似文献   

设为首页 | 免责声明 | 关于勤云 | 加入收藏

Copyright©北京勤云科技发展有限公司  京ICP备09084417号