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Observations on the variation in content of rhodanidogenic glucosides in some brassica fodder crops
Authors:E Josefsson
Institution:(1) Chem. Dept., Swedish Seed Association, Svalöf, Sweden
Abstract:Summary Using the colorimetric method ofAldridge samples of vegetative parts ofBrassica oleracea var.acephala (kale),B. campestris (turnip rape) andB. napus (rape) were analysed for content of rhodanidogenic glucosides. The number of varieties examined of each species was 9, 2 and 4 respectively. The kale was harvested 5 times, the rape and turnip rape 3 times at fourtheen day intervals; the last harvest occurring at a stage of development found most commonly in practice. At the harvest the kale and rape plants were divided into stems and leaves. In some cases the petioles and the laminas were separated before analysis.The mean rhodanid values for kale were significantly higher than for rape. The most striking difference between the species was, however, that in kale the rhodanid content was much higher in the leaves than in the stems. Also in rape the highest rhodanid content was in the laminas but the content here was much lower than that in kale.In the kale material there was significant variation between the varieties. No significant varietal differences were found in rape and turnip rape in the material examined. If the rhodanid content was calculated on a basis of fresh weight there was no general difference between the development stages in any of the species.
Zusammenfassung Proben von den vegetativen Teilen vonBrassica oleracea var.acephala (Futterkohl),B. campestris (Rübsen) undB. napus (Raps) wurden nach der kolorimetrischen Methode vonAldridge auf ihren Gehalt an rhodanidogenen Glucosiden analysiert. Von den drei Arten wurden vom Futterkohl 9, von Rübsen 2 und vom Raps 4 Sorten untersucht. Der Futterkohl wurde fünfmal, der Raps und die Rübsen nur dreimal geerntet. Die Zeit zwischen den Ernten betrug zwei Wochen. Die letzte Ernte erfolgte zu derselben Zeit, wie sie in der Praxis üblich ist. Nach der Ernte wurden Futterkohl und Raps in Stämme und Blätter zerlegt. Bei einigen Proben wurden die Blätter in Mittelrippen und Blattspreiten getrennt.Die Mittelwerte des Rhodanidgehaltes im Futterkohl waren höher als im Raps, der Unterschied war statistisch nachweisbar. Im Futterkohl war der Gehalt an Rhodanid in den Blättern viel höher als in den Stämmen. Der Kohl hatte den höchsten Rhodanidgehalt in den Blattspreiten. Der Raps hingegen wies keine so großen Unterschiede auf.In dem Kohlmaterial wurden Differenzen zwischen den Sorten statistisch festgestellt. Im Material von Raps und Rübsen wurden keine besonderen Sortendifferenzen gefunden. Als der Rhodanidgehalt in bezug auf Frischgewicht berechnet wurde, konnte keine allgemeine Differenz zwischen den Erntezeiten bei den einzelnen Arten gefunden werden.

Résumé Il est connu depuis quelques années que les plantes du genreBrassica contiennent dans leurs parties chlorophylliennes et leurs racines les glucosides à sulfocyanate glucobrassicine et néoglucobrassicine. Lorsque les parois cellulaires sont déchirées, les glucosides entrent en contact avec l'enzyme myrosinase, qui catalyse la scission des glucosides en glucose, sulfate, et le stade intermédiaire hypothétique isosulfocyanate. Les isosulfocyanates hypothétiques sont elivés par une réaction secondaire en ion sulfocyanure et en dérivé indolique. Ainsi, lorsque la récolte contenant ces glucosides est utilisée comme fourrage, des sulfocyanures sont mis en liberté. Comme ces ions empêchent notoirement l'accumulation de l'iode dans la glande thyroïde, ils contribuent à la formation de goître.En Suède, on s'intéresse de plus en plus à utiliser comme aliment du bétail du chou moeillier et du colza fourrager. Des cas de maladie ont été décrits sur des vaches qui avaient été nourries avec de grandes quantités deBrassica; il est donc intéressant de rechercher les variations du taux de glucosides à sulfocyanates dans ces plantes fourragères. Si l'on peut trouver d'importantes différences qui soient héréditaires, il y a quelque espoir de diminuer, par sélection, les taux de glucosides.Le travail a débuté en 1964 par l'analyse des glucosides à sulfocyanates, afin de mettre en évidence les différences entre espèces, variétés, éléments morphologiques et stades de développement de la plante. Trois espèces ont été étudiées:Brassica oleracea (var.acephala),B. campestris etB. napus. Cette dernière espèc eest une allopolyploïde des deux premières. De ces espèces ont été étudiées 9, 2, 4 variétés. Le chou moeillier a fait l'objet de 5 récoltes, le colza et le rutabaga de 3, à quinze jours d'intervalle; la dernière récolte a été faite à l'époque normale. Après la récolte, tige et feuilles ont été séparées, à l'exception des rutabagas, qui, dans les variétés d'hiver semées au printemps ne forment pas de tiges. Chez certains échantillons, les racines ont été étudiées; dans certains cas les pétioles ont été séparés des limbes. Le dosage du sulfocyanure a été fait selon la méthode d'Aldridge.Les taux moyens de sulfocyanure du chou moellier sont significativement plus élevés que ceux du colza. La principale différence entre espèces fut que les feuilles du chou moeillier sont nettement plus riches en sulfocyanures que la tige. Dans le colza les limbes ont de même montré le taux le plus élevé, mais cependant nettement moins élevé que chez le chou moellier.Les diverses variétés de chou moeillier ont montré des différences significatives. De pareilles différences n'ont pas été trouvées entre les variétés de colza et de rutabagas. Si l'on rapporte le taux de sulfocyanure au poids frais, il n'y a aucune différence, pour une même variété, entre les divers stades de développement.


with 1 Fig.

Paper read in Lund, Sweden (EUCARPIA-CIQ Congress, 14th to 17th July 1965) on 17/7/1965.
Keywords:
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