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Untersuchung über die Sexualentwicklung der mit Kairomonenfallen gefangenen Weibchen des Großen Braunen Rüsselkäfers
Authors:C B Malphettes  D Fourgeres  F X Saintonge
Institution:(1) Centre National du Madinisine Agricole du Géne Rural des Eaux et des Forêst, Nogent-sur-Vernission, France;(2) Division Techniques Forestières, F-45160 Ardon
Abstract:Zusammenfassung Im Staatswald bei Orléans wurde 1991 die Population des Großen Braunen Rüsselkäfers untersucht, um zu prüfen, ob die in mit Äthanol und alpha-Pinen beköderten Becherfallen gefangenen Adulten eine zuverlässige Stichprobe der im Forst anwesenden allgemeinen Population darstellen. Die Untersuchungen wurden in verschiedenen Abteilungen durchgeführt, in denen der Einschlag des Kiefernaltholzes während der Winter 1988/89, 1989/90 bzw. 1990/91 stattfand. Das physiologische Alter der Käfer wurde anhand der Ovarentwicklung bestimmt. Die Ergebnisse zeigen, daß in diesem Fallentyp gleich viele Männchen wie Weibchen gefangen wurden. Die in den Abteilungen vom Alter (X+2) (s. Text) gefangenen Weibchen haben dort überwintert. Die Mehrzahl legte ihre Eier im vorigen Jahr ab. Dort wurden auch Weibchen gefangen, die noch keine Eier abgelegt hatten. Die meisten Fänge wurden am Anfang der Vegetationsperiode registriert. Die in den Abteilungen vom Alter (X+1) gefangenen Weibchen gehörten ebenfalls zwei Populationen verschiedenen physiologischen Alters an. Ein Teil hatte schon 1990 die Eier abgelegt, die Mehrzahl hatte aber noch nicht damit begonnen. Die Fänge fanden bis Mai statt. In Beständen vom Alter (X) wurden Weibchen gefangen, die bei der Eiablage waren. Die Fänge erfolgten vor allem im Mai und Juni. Der beschriebene Fallentyp lockt wie frische Föhrenstubben die Käfer während der Fortpflanzungsperiode an. So scheint es normal, daß nur wenige junge Käfer gefangen wurden, die auf den Flächen überwinterten, ohne sich fortzupflanzen. Vermutlich gerieten solche jungen Käfer nur zufällig in die beköderten Becherfallen. Außerdem wurde nachgewiesen, daß der Große Braune Rüsselkäfer in dieser Gegend, im Gegensatz zur allgemeinen Lehrmeinung, seinen Entwicklungszyklus in einem einzigen Jahr durchführen kann. Die anormal warmen Jahre 1989 und 1990 sind dafür vielleicht verantwortlich zu machen. Die Fangmethode scheint geeignet, um die Populationsdichte des Großen Braunen Rüsselkäfers während der Fortpflanzungsperiode zu überwachen und eine Prognose zukünftiger Schäden zu geben. Es sollte dabei auch die Menge der Brutstätten, also die Dichte der frischen Kiefernstubben, berücksichtigt werden.
Study of the sexual development of Large Pine Weevil females (Hylobius abietis L.) (Coleoptera: Curculionidae) caught in kairomones baited pitfall traps
In 1991, a study was carried out in the Orleans State Forest, to ascertain that adults population of Large Pine Weevil caught in pitfall traps, dug into the soil and baited with ethanol and alpha-pinen, could constitute a suitable sampling of the main population prevailing in the field. This study was conducted on old pine stand plots, where the exploitation have been realized during winter either in 1988/89, 1989/90 or in 1990/91. It was assumed that, in the studied area, in spring females lay eggs into the roots of pine stumps that have been cut the previous winter. The adults of the new generation emerge from the ground during the summer of the second growth season following the cutting, then overwinter after maturation feeding (and eventually inflict damage on seedlings). These young adults lay eggs during the spring of the third growth season, while they feed and damage seedlings again. The physiological age of caught adults was estimated by ovaries development of dissected females. Results show that as females as males are caught in this trap design. Trapped females on age plots X+2 old (see text), overwintered at this place. The majority have already laid their eggs in the previous year. Females which have not yet laid eggs, were also caught. All these females were mostly caught in traps along the plot edge. The catches mainly took place early in the growing season. Trapped females on age plots X+1 old, also belong to two different physiological aged populations. Some females have laid eggs in 1990, and the main part had not laid eggs yet. The catches took place up to May. The catches in age plots X are higher and later. They are composed of eggs laying females. Catches occur in May and June. This trap design attracts weevils in the same way as fresh stumps do. Therefore, it lures weevils in the reproductive period. So, it is quite understandable that very few young weevils, that are going to overwinter without reproduction, can be found in these traps. These young weevils are sensitive to other stimulus and it is may be, only by chance, that they are found in this trap type. Furthermore, it seems that in this area, the large pine weevil could run its life cycle only in a year. It might be the consequence of the anormaly warm weather of 1989 and 1990. We observed that insects grown in logs burried in the ground early in the growth season, left them at the end of that season. So, this trapping method seems suitable to be used for survey of weevils populations during their eggs laying period. It could be used in a study for forecasting future damages, but in this case, it would be necessary to take the amount of development supports, i.e. density of fresh pine stumps on the plot, in account.

Resumé En 1991, une étude a été faite en forèt domaniale d'Orléans pour vérifier si la population des adultes d'hylobes (Hylobius abietis L.) capturés dans de pièges bocaux enfoncés en terre et contenant un appât constituté par l'éthanol et l'alpha-pínène, pouvait constituer un échantillon représentatif de la population générale présente en forêt. Cette étude a été conduite sur des parcelles où l'exploitation du vieux peuplement de pins avait été faite soit dans l'hiver 1988–1989, soit dans l'hiver 1989–1990, soit enfin au cours de l'hiver 1990–1991. On a admis que dans la région étudiée, les femelles pondent, au printemps, dans les souches de pins qui ont été abattus l'hiver précédent. Les adultes de la nouvelle génération sortent de terre au cours de l'été de la deuxième saison de végétation qui suit l'exploitation, hivernent après s'être alimentés (et avoir éventuellement causé des dégâts). Ces jeunes adultes pondent au printemps de la troisième saison de végétation et s'alimentent à nouveau (et causent à nouveau éventuellement des dégâts). L'âge physiologique des insectes capturés a été déterminé par l'état de développement des ovaires constaté par dissection des femelles. Nos résultats montrent que l'on capture dans ces pièges la même proportion de femelles que de mâles. Les femelles capturées sur les parcelle d'âge X+2 ont hiverné à cet endroit. La majorité avait déjà pondu l'année précédente. Mais on a aussi trouvé des femelles qui n'avaient pas encore pondu. Toutes ces femelles ont été surtout capturées dans les pièges situés en bordure de la parcelle. Les captures ont eu lieu surtout en début de période de végétation. Les femelles capturées sur les parcelles d'âge X+1 appartenaient aussi à deux populations d'âge physiologique différent. Certaines femelles avaient déjà pondu en 1990, les autres (la majorité) n'avaient pas encore pondu. Les captures ont eu lieu jusqu'en mai. Les captures de femelles sur les parcelles d'âge X sont plus abondantes plus tardivement. Ce sont des femelles qui sont en cours de ponte. Les captures ont surtout lieu en mai et juin. Ce type de piège attire les insectes de la même façon que les souches fraîches. Il attire donc des insectes en cours de période de reproduction. Il est normal donc qu'on n'y trouve que très peu de jeunes insectes qui vont hiverner, sans se reproduite. Ils sont sensibles à d'autres stimulus et c'est sans doute par hasard qu'on les retrouve dans ces pièges. Par ailleurs, il apparaît que dans cette région, l'hylobe peut parcourir son cycle de développement en une seule année et non en deux, comme on l'admet généralement. Cela est peut-être dû à ce que les années 1989 et 1990 ont été anormalement chaudes. Nous avons pu constater que les insectes qui s'étaient développés dans des rondins enfouis au début de la saison de végétation, les avait quittés à la fin de cette même saison. Cette méthode de piégeage apparaît donc appropritée à suivre les populations de l'insecte pendant sa période de ponte. On devrait pouvoir l'utiliser dans une étude de prévision des attaques ultérieures, mais en tenant compte de la quantité des licus de ponte, c'est-à-dire de la densité des souches fraîches de pin sur la parcelle.


Mit 2 Abbildungen und 4 Tabellen
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