Phytoalexine in Knollen resistenter und anfälliger Kartoffelsorten nach Infektion mitPhytophthora infestans (Mont.) de Bary |
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Authors: | Bärbel Schöber |
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Affiliation: | (1) Institut für Pflanzenschutz in Ackerbau und Grünland der Biologischen Bundesanstalt für Land- und Forstwirtschaft, Braunschweig, Bundesrepublik Deutschland |
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Abstract: | Zusammenfassung Kartoffelknollen von 10 Sorten wurden mitPhytophthora infestans inokuliert und nach verschiedenen Zeiten der Lagerung der Gehalt an Phytoalexinen bestimmt. Sowohl in resistenten als auch in anf?lligen Kartoffelknollen wurden Phytoalexine gefunden. Summary Tubers of ten varieties of potato were inoculated withPhytophthora infestans, their resistance to different pathotypes established (Table 1) and their rishitin and phytuberin content determined (Fig. 1). The phytoalexins were identified by both thin layer and gas chromatography. Table 2 shows the rishitin content two months after inoculation of the tubers. Rishitin was formed in both the incompatible and compatible reactions; phytuberin was present in small quantities only. Fig. 2 and 3 show the distribution of phytoalexins in the tuber. In the case of an incompatible reaction (Fig. 3.), rishitin is to be found only in the first millimeter below the inoculated slice, whereas with a compatible reaction it occurs in up to 14 consecutive slices (Fig. 3). Results for the third and sixth day after inoculation are given in Table 3. In susceptible varieties rishitin was produced as rapidly as in resistant varieties and Table 4 shows that the former produce even more rishitin than the latter. To summarize, it can be said that phytoalexins may be found in both susceptible and resistant tubers following inoculation withP. infestans. From this it would appear that they are merely metabolic products of pathogenesis. Résumé Des tubercules de pommes de terre provenant de 10 variétés ont été inoculés avecPhytophthora infestans. La résistance aux différents pathotypes de ce parasite a été déterminée (tableau 1) ainsi que la teneur en rishitine et phytuberine (fig. 1). Les phytoalexines ont été dosées par la chromatographie en couche mince et en phase gazeuse. Sur le tableau 2 sont présentées les teneurs en rishitine 2 mois après inoculation des tubercules. La rishitine a été décelée tant lors d'une réaction compatible que d'une réaction incompatible. En revanche, la phytuberine n'a été décelée qu'en très faible quantité. Les figures 2 et 3 présentent la répartition des phytoalexines dans les tubercules de pommes de terre. Lorsque la réaction est incompatible, la rishitine n'est décelée que sur une couche d'un milimètre sous la rondelle inoculée (fig. 3), tandis que par une réaction compatible, elle est observée jusqu'à la 14ème rondelle (fig. 2). Les résultats obtenus après le 3ème et 6ème jour d'inoculation sont présentés sur le tableau 3. La rishitine est formée aussi rapidement chez les variétés sensibles que chez les variétés résistantes. Les résultats du tableau 4 démontrent que les variétés sensibles forment danvantage de rishitine que les variétés résistantes. On peut affirmer pour conclure que les phytoalexines peuvent être décelées tant sur les tubercules sensibles que sur les tubercules résistants auP. infestans après inoculation. Ces phytoalexines ne présentent cependant que des métabolites des tubercules malades. |
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