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1.
R. PERRIN 《EPPO Bulletin》1986,16(3):553-560
Les maladies transmises par le sol représentent la cause principale de dégâts sur graines, plantules et plants repiqués dans les pépinières forestières. Les fontes en pré ou de postémergence constituent la première forme très connue de dégâts pendant les premières semaines qui suivent le semis. A un stade ultérieur, les plantules et les plants repiqués plus âgés peuvent avoir leur croissance ralentie, stoppée ou être tués par la nécrose racinaire, maladie complexe encore assez mal connue. La plupart des espèces de conifères peuvent être atteints à différents degrés: les Pinus, Picea et Larix sont les plus sensibles, alors que les Cupressaceae sont résistants. Pythium spp., Fusarium spp. (particulièrement F. oxysporum) et Rhizoctonia solani, champignons ubiquistes et pléophages, constituent la cause principale de fonte et de pourriture racinaire dans les pépinières européennes. Ces champignons coexistent souvent dans les sols, en particulier dans les pépinières établies depuis longtemps. La cause et la gravité des infections dépendent des conditions de l'environnement; la diagnose et la lutte préventive ne sont pas faciles en pratique. L'efficacité des produits chimiques a tendance à varier beaucoup d'une pépinière et d'une saison à l'autre. La fumigation et le traitement du sol à la vapeur sont les moyens de lutte les plus efficaces, mais ils sont coûteux et d'utilisation difficile au champ. La lutte intégree, combinant le potentiel naturel des sols résistants, des bactéries améliorant la croissance et atténuant les maladies, la capacité protectrice des mycorhizes, et de faibles doses de fongicide, se révèle un moyen très prometteur pour la lutte contre ces maladies.  相似文献   

2.
Des dénombrements de populations de doryphores ont été effectués pendant neuf années consécutives le long d'un parcours fixe d'une centaine de kilomètres. Ils ont fait l'objet d'une analyse multidimensionnelle en composantes principales, permettant de résumer graphiquement l'ensemble des observations faites pendant cette période et de regrouper les données qui ont des affinityés entre elles. Une gradation des contaminations est observée entre 1973 et 1979; elle trouve son apogée en 1976-1977. Les adultes de printemps sont alors suffisamment nombreux et actifs sur le littoral pour que quelques individus atteignent Jersey. Le danger potentiel de recontamination des Iles de la Manche par le doryphore reste done actuel. Les analyses ont montré que, dans la plupart des cas, les cultures visitées au cours d'une année se caractérisent par un méme type de développement de l'insecte, lent ou rapide. L'uniformité de développement, lorsqu'elle est observee sur l'ensemble des cultures visitées, indique que les facteurs climatiques ont certainement une influence prépondérante. Certaines Iocalités du littoral révélent cependant des caractéristiques qui leur sont propres et influent sur la multiplication du doryphore.  相似文献   

3.
Le LM 2219 (nom commun proposé diféthialone), nouveau rodenticide antivitaminique K, fait preuve d'une excellente activité contre les rongeurs commensaux. Nous l'avons expérimenté contre les rongeurs des champs. En l'absence de données complètes d'écotoxicité et compte tenu des premiers résultats qui indiquent une toxicité non négligeable pour certaines espéces sauvages non cibles, il est proposé de restreindre son utilisation aux cas oú les appâts sont déposés sous le sol ou dans les terriers, c'est-à-dire à la lutte contre Arvicola terrestris et Pitymys duodecimcostatus. Pour ces deux espèces, la présentation d'un appât titréà 25 mg kg-1 pendant 24 h dans des essais de laboratoire avec ou sans choix de nourriture a entraîné une mortalité d'aumoins 90%. A. terrestrisétait un peu moins sensible que P. duodecimcostatus, les délais moyens de mortalitéétant augmentés de 5,9 j à 10,3 j. Dans des essais en nature (prairies permanentes du Jura et d'Auvergne), au printemps et en automne 1986, le LM 2219 a montré une efficacitéégale sinon supérieure à la bromadiolone, au 1/4 de la dose dans l'appât, même dans le cas d'une forte infestation d'A. terrestris. Pour P. duodecimcostatus un premier essai, réalisé dans de mauvaises conditions climatiques a montré une excellente activité pour le LM 2219 en comparaison avec la bromadiolone.  相似文献   

4.
E. BRUNEL  M. LAHMAR 《EPPO Bulletin》1983,13(2):201-207
Dans les conditions de l'ouest de la France, la mouche de la carotte, Psila rosae, et la mouche du chou, Delia brassicae, ont une biologie très voisine par le nombre de générations, la faculté des adultes à pondre peu après leur éclosion et leur capacitéà résister au froid hivernal qui se traduit par un arrêt de développement du type diapause. Les pupes de P. rosae, formées d'octobre à janvier, et de D. brassicae, formées d'octobre au début de novembre, peuvent servir d'éléments pour définir le début des éclosions printanières, à condition de les soumettre à un, deux ou trois chocs thermiques de 2–4 ou 6 jours à 15 ou 20°C. Ces chocs ont été appliqués à partir de la fin janvier, après rupture de la diapause, c'est-à-dire au moment où la pupe poursuit son évolution en relation avec les sommes de températures. Pour P. rosae, la longueur du choc thermique n'a pas eu d'incidence, mais le développement de l'insecte a été réduit en fonction du nombre de chocs. En çe qui concerne D. brassicae, la situation était plus complexe: à 15°C, un choc thermique n'avait pas d'effet, mais les chocs subséquents ont accéléré le développement; à 20°C, un ou plusieurs chocs de 2 ou 4 jours demeurèrent sans grande conséquence, alors qu'un choc de 6 jours a sensiblement accéléré l'évolution. La répétition des chocs est restée sans conséquence sur les résultats. Les sorties des adultes se sont trouvées avancées de 20 jours pour P. rosae et de 40 jours pour D. brassicae. Le modèle d'éclosion de ces deux espèces n'a pas été affecté.  相似文献   

5.
E. MOTTA 《EPPO Bulletin》1986,16(3):565-569
S'il est bien connu que les champignons sont capables de s'installer à la surface ou dans les différents tissus de la graine, on ne dispose que de peu d'informations sur la présence de micro-organismes sur semences de plantes forestières, mais trois types de champignons sont à considérer: (1) les champignons très communs, considérés couramment non pathogènes, mais qui peuvent, le cas échéant, provoquer une baisse de germination; (2) les champignons pathogènes spécifiques, qui attaquent les tissus de la graine et la plantule; ils causent un dégât direct à la pépinière et peuvent se diffuser, grâce au commerce des semences, dans une zone auparavant indemne; (3) les champignons pathogènes, pas forcément spécifiques, qui causent des dégâts à la plantule issue de la graine sur laquelle ils étaient présents et, en plus, sont capables de provoquer des fontes de semis. En ce qui concerne l'Italie, quelques observations ont été effectuées sur la présence de Seiridium cardinale sur semences de Cupressaceae et celle de Fusarium moniliforme et de F. moniliforme var. subglutinans sur semences de Pinus pinaster.  相似文献   

6.
L'établissement d'un modèle de développement pour la tordeuse de la pelure, Adoxophyes orana, basé sur les sommes de températures, est primordial pour l'avertissement Il permet à l'arboriculteur d'effectuer un minimum d'échantillonnages des populations aux moments les plus opportuns, afin de prendre les décisions qui s'imposent pour l'application de la lutte dirigée. Les essais effectués en laboratoire et à l'extérieur ont montré que le seuil de développement des ?ufs est de 10°C, celui des larves de la génération d'été se situe entre 7 et 8°C, alors que celui des larves de la génération hivernante est de 10°C. Le seuil de développement pour la phase nymphale est légèrement supérieur à 10°C. En admettant une vitesse de développement proportionnelle à la température, les durées des phases embryonnaires et nymphales sont de 90 degrés-jours (dj) au-dessus du seuil de 10°C. Le développement larvaire de la génération d'été est en moyenne de 430 dj au-dessus du seuil de 7°C. Les implications de ce modèle pour l'avertissement établi par les services officiels ainsi que pour la stratégie de lutte contre la tordeuse de la pelure sont commentées dans ce travail.  相似文献   

7.
Bon nombre d'entomophages se développent aux dépens des ravageurs de l'olivier; ces ennemis naturels, parasites ou prédateurs, contribuent plus ou moins à limiter les populations d'insectes nuisibles à l'olivier. Toutefois, le role des entomophages de Dacus oleae, principal ravageur de l'olivier, n'est jamais suffisant pour controler efficacement les populations de l'insecte, meme si le taux de parasitisme atteint quelquefois 90%. Dans des cas très particuliers sculement, le parasite Opius concolor peut etre utilisé pour lutter contre D. oleae. Quelques entomophages de Prays oleae, le parasite Ageniaspis fuscicollis ou le prédateur Chrysoperla (Chrysopa) carnea par exemple diminuent les populations du ravageur sans pouvoir cependant les maintenir à des niveaux négligeables. Les nombreux entomophages de Saissetia oleae, notamment les parasites du genre Metaphycus, peuvent controler ses populations s'ils ne sont pas détruits par des traitements insecticides. Parmi les ravageurs secondaires, certains peuvent etre totalement controlés par l'utilisation d'entomophages (c'est le cas d'Aspidiotus nerii et de Parlatoria oleae), mais dans la plupart des cas la lutte biologique est insuffisante, notamment contre Phloeotribus scarabaeoides.  相似文献   

8.
Les pertes de récoltes dues aux nématodes sont importantes et difficiles à réduire, en raison même de la nature des dommages et des relations multiples qui existent entre la plante-hôte et le ravageur. Ainsi, en dehors des dégâts directs, les nématodes peuvent déclencher ou favoriser le développement d'autres maladies, ou agir en tant que vecteur. d'incidence économique est aussi bien quantitative que qualitative. Les semences ou le matériel destinéà la reproduction, qui sont contaminés, devraient être systématiquement détruits ou désinfectés. Le coût des traitements, l'amélioration des pratiques culturales en matière de fumure, irrigation ou assole-ment doivent faire l'objet d'études consciencieuses, de fa?on à assurer une protection économique. Pour mesurer et chiffrer les pertes, on peut utiliser divers critères: essais de pathogénicité en conditions artificielles, traitements de plein champ plus ou moins sélectifs, établissement de formules de corrélation entre les densités de populations révélées par l'analyse du sol et les diminutions de récoltes observées ou escomptées. Les préjudices causés par les nématodes aux diverses cultures européennes sont du même ordre que ceux qui ont été constatés aux Etats-Unis et sétablissent comme suit: 5 % pour les céréales et le maïs, 10 % environ pour la pomme de terre, la betterave et les diverses cultures maraîchères ou ornementales (ce pourcentage est probablement dépassé pour les cultures fruitières). Ces données montrent que l'on sous-estime en général l'importance économique des divers nématodes phytophages, et justifient les mesures préconisées pour en limiter la propagation.  相似文献   

9.
A la suite des problèmes importants qui se sont posés, il y a une trentaine d'années, pour la qualité sanitaire des plants de fraisiers, certains pays décidèrent de codifier les conditions de production et de mettre en place une certification pour apporter aux utilisateurs des garanties quant à la pureté variétale et au bon état physiologique et sanitaire du plant. La certification des plants de fraisier existe dans un certain nombre de pays européens, tels que la Belgique, la France, la Grande-Bretagne, les Pays-Bas et la Suisse. Dans les pays où il n'existe pas de certification officielle, les pèpiniéristes, conscients de la nécessité de mettre sur le marché des plants de bonne qualité, assurent eux-memes une sélection sanitaire. Les schémas de production mis en place dans les différents pays ont donné satisfaction et la qualité sanitaire des plants vis-à-vis des principales maladies à virus ne pose plus, actuellement, de problème, ce qui ne semble pas encore etre le cas pour d'autres parasites tels que Phytophthora cactorum ou P. fragariae. L'article fait le point sur les règlements techniques de production de plants de fraisiers, l'importance et les objectifs de la certification, le role des organismes assurant son application ainsi que les conditions de multiplication utilisées.  相似文献   

10.
L. BOURNAS 《EPPO Bulletin》1983,13(3):499-504
Les progrès récents dans la conception des pulvérisateurs ont porté sur la précision des applications, en particulier pour les herbicides, l'augmentation du rendement horaire, la facilité de mise en ceuvre et les traitements en localisation. En ce qui concerae la precision des applications, on constate le développement et le perfectionnement, notamment à l'aide del'électronique, des systèmes de régulation à débit proportionnel à l'avancement. La suspension des grandes rampes, allant jusqu'à 24 m pour des pulvérisateurs portés en cultures basses, est constamment perfectionnée pour assurer une meilleure stabilité. Par ailleurs, la tendance à réduire les volumes par hectare entraîne une nouvelle étude des circuits de bouillie, notamment de la filtration. II est recouru aux buses à fente de petit calibre, pouvant travailler à basse pression (parfois moins de 2 bar), et la stabilité du rideau de pulvérisation sous rampe à bas volume par hectare est examinée de même que les organes de pulvérisation centrifuge permettant de descendre à moins de 50 l/ha. Les pulvérisateurs arboricoles et viticoles sont dotés de ventilateurs plus puissants et des souffleries sont étudiées pour un meilleur rendement à moindre bruit. Parmi les autres progrès on remarque le développement des systèmes de localisation pour les traitements de la vigne. Quant à la distribution des microgranulés phytopharmaceutiques, elle a fait l'objet de nombreuses adaptations, en particulierd'épandeurs d'engrais pneumatiq'ues ou de semoirs. Ainsi, des gammes de pulvérisateurs portables ou manuels, à pression liquide ou centrifuges, plus pratiques et légers, ont été développées.  相似文献   

11.
Les Avertissements Agricoles en France ont pour objectif de fournir des informations règlementaires, d’aider à la surveillance phytosanitaire du territoire et surtout de donner les moyens de réduire le nombre de traitements. Nos modèles aident essentiellement à cerner les facteurs climatiques, soit en situant globalement le risque de l’année en cours, soit en précisant l’effet de la diversité des climats régionaux. Dans une moindre mesure, les pratiques culturales sont intégrées. Le but reste de formuler des conseils concernant les plages de risques, la nécessité d’un traitement ou non, le choix des produits, les observations à effectuer. La mise en ?uvre des modèles n’est possible qu’en s’appuyant sur un réseau de stations automatiques de climatologie maintenu avec soin. En parallèle un réseau d’observations biologiques est toujours nécessaire. L’utilisation de 28 modèles par les Services Régionaux de la Protection des Végétaux est passée en revue. Au niveau de l’épidémiologie, la question de l’intégration dans un même modèle des paramètres climatiques et agronomiques se pose toujours, ainsi que celle du niveau de complexitéà ne pas dépasser pour garder une bonne robustesse.  相似文献   

12.
La mise en place d'une vaste demonstration de lutte intégrée en vergers dans le sud-est de la France bénéficie de l'appui financier du Ministère de l'Agriculture depuis 1967. Les structures organiques de cette action sont décrites. L'activité des techniciens spécialisés qui fournissent un appui logistique au second degré auprès des conseillers agricoles et des producteurs de fruits, tout en restant en liaison constante avec les centres de recherches et les services d'applkation, est indispensable pour assurer le développement de l'entreprise. Elle a notam-ment stimulé diverses études immédiatement utilisables dans la pratique. Des résultats probants sont obtenus en vergers de pommiers et de pêchers par l'application d'une lutte dite dirigée, qui constitue la phase de transition entre la lutte traditionnelle et la lutte intégrée. lis se traduisent par une diminution de l'ordre de 50 % du nombre des interventions insecticides et acaricides. Les données économiques correspondantes sont présentées et discutées. Outre l'aspect strictement économique, les utilisateurs apprécient la maîtrise que leur confèrent les connaissances écologiques.  相似文献   

13.
Les épidémies de Sclerotinia sclerotiorum provoquées par les ascospores sur les inflorescences (capitules) de tournesol constituent l'un des facteurs limitants de l'extension de cette culture en France. Elles interviennent de manière irrégulière et sont difficiles à prévoir. Cinq semaines séparent, en moyenne, la contamination de la détection visuelle de la maladie; les dégâts sont alors irréversibles et l'intervention chimique inutile. La protection chimique ne peut couvrir toute la période de sensibilité agronomique du capitule (soit 7 semaines). Parmi les facteurs étudiés pour comprendrel'épidémie, un seul, la durée d'eau libre ou d'humiditéà saturation, se révèle être un facteur limitant. Les inflorescences doivent rester humectées pendant 42 h sans interruption, quelle que soit la température estivale. La reconnaissance des périodes à permanence d'eau pendant 42 h doit permettre de n'effectuer les traitements fongicides indispensables que lors de ces périodes de très haut risque. Prévoir ces périodes de haut risque permettrad'établir des avertissements agricoles, de réaliser une cartographie climatique des régions françaises et d'apprécier les zones potentielles où cette maladie ne serait pas l'un des facteurs limitants de la culture.  相似文献   

14.
G. MAURIN 《EPPO Bulletin》1983,13(2):263-269
Les modèles de comportement épidémique présentés par Strizyk sont basés sur le concept d'état potentiel d'infection (EPI). Ils proposent une classification des champignons phytopathogènes selon la notion d'énergie. Ainsi, Plasmopara viticola serait un champignon «aG énergie variable» pendant une période s'étendant de novembre de l'année (n-1) à août de l'année n. Les observations effectuées en 1981 montrent que le modèle proposé donne satisfaction à Bordeaux et décrit bien la situation en caractérisant la gravité du mildiou pour les années 1975 à 1981. Une généralisation de ce modèle à d'autres régions de France paraît possible grâce à une fonction de transfert.  相似文献   

15.
L'équilibre de la mycoflore du sol de culture de tomate en serre, après désinfection au bromure de méthyle, subit une perturbation importante, jusqu'à la profondeur de 30 cm. Dans nos essais, 4 jours après le traitement du sol, la mycoflore saprophytique était représentée par Aspergillus alutaceus, Paecilomyces lilacinus, Penicillium chrysogenum, P. funiculosum, P. herquei, P. nigricans et Trichoderma viride, champignons apparemment tolérants ou résistants alors qu'en majorité la mycoflore parasitaire n'était pas isolée à partir du sol traité. Cette constatation permet d'envisager l'utilisation de ces saprophytes connus comme antagonistes, pour lutter contre les champignons phytopathogènes des racines de la tomate. La mycoflore parasitaire commencait à réapparaitre 12 jours aprés la désinfection (Alternaria alternata et Verticillium albo-atrum); celle de la zone située à 30–40 cm de profondeur n'était pas influencée par le traitement. Pourtant certains champignons pathogènes présents dans cette zone (Colletotrichum coccodes, Fusarium moniliforme, F. oxysporum, F. solani, Pyrenochaeta lycopersici, V. albo-atrum, V. dahliae) peuvent ravitailler les couches supérieures et provoquer des dégats sur le système racinaire de la tomate.  相似文献   

16.
R. BERNHARD 《EPPO Bulletin》1986,16(2):245-253
L'auteur examine le développement de la certification virologique des arbres fruitiers en France ainsi que les principes de base adoptés. Les systèmes de certification des arbres fruitiers utilisés dans plusieurs pays européens sont comparés et les principales difficultés pouvant etre rencontrées sont discutées. Enfin, l'auteur propose diverses mesures afin de s'assurer: (1) que la certification n'entraine pas une limitation du nombre de cultivars disponibles; (2) que l'on arrive à un consensus sur les définitions des termes ‘virus-free’et ‘virus-tested’; (3) qu'il y ait un accord sur le nombre maximal d'étapes de multiplication entre le matériel initial indexe et le produit certifié. Des propositions sur l'harmonisation de la nomenclature sont également faites.  相似文献   

17.
G. LORGUE 《EPPO Bulletin》1988,18(2):309-316
En France, le Centre National Antipoison Vétérinaire et le laboratoire de toxicologie analytique qui lui est associé traitent en moyenne 4000 cas par année d'intoxications animales, collectives ou individuelles. Sur ce total, une proportion importante est due à l'ingestion de rodenticides, soit de toxicité immédiate, soil anticoagulants. Parmi les premiers, le chloralose, le scilliroside, les phosphures, le calciférol sont les plus incriminés; parmi les seconds, le coumafène, malgré une baisse d'utilisation marquée depuis quelques années, reste encore le plus impliqué. Les intoxications sont souvent la conséquence de l'ingestion d'appâts ‘malveillants', c'est-à-dire destinés (par leur nature, leur disposition) à des espèces autres que les rongeurs; plus de 70% des appâts envoyés au laboratoire sont de ce type. Le chien est l'espèce la plus touchée (il constitue à lui seul près de 60% des appels).  相似文献   

18.
M. PUSSARD 《EPPO Bulletin》1988,18(1):119-129
Les connaissances acquises à propos des protozoaires dans le sol permettent de mieux comprendre ?influence de la predation sur la microflora. En présence de protozoaires, les populations bactériennes se maintiennent à un niveau relativement élevé pourvu que les bactéries aient la possibilityé de croître et de se multiplier. Dans ces conditions, la prédation s'accompagne ?une stimulation de ?activite globale de ces populations. Protozoaires et bactéries sont en fait étroitement associés sur le plan fonctionnel. Vis-à-vis des champignons les protozoaires auraient une influence plutôt dépressive, soit directement en détruisant des propagules, soit indirectement en stimulant les bactéries antagonistes. Dans ce domaine, de nouvelles recherches s'imposent. Ces considérations doivent être prises en compte lors des interventions agronomiques ou biotechnologiques sur les communautés microbiennes complexes.  相似文献   

19.
Différents travaux montrent que le piétin-échaudage est moins grave quand le blé reçoit une fertilisation azotée sous forme ammoniacale plutôt que sous forme nitrique. Les hypothèses avancées pour expliquer ce phénomène sont une réduction du pH de la rhizosphère, ayant un effet direct sur le développement du champignon, ou indirect par stimulation ?une partie de la microflore, ou encore une incidence de la forme ?azote sur la physiologie de la plante. Dans un essai conduit au champ, trois modalités expérimentales ont été combinées: cultivars, traitement fongicide de semences, fertilisation azotée. Les résultats présentés ici portent sur ce dernier facteur à deux niveaux (sulfate ?ammonium ou ammonitrate). Deux notations, à partir de plantes prélevées au champ, ont renseigné sur ?évolution du piétin-échaudage: seule la fertilisation azotée a eu un effet signiflcatif sur le développement de la maladie, le sulfate ?ammonium réduisant de moitié la fréquence de plantes attaquées (15 contre 32%), sans diminuer la gravité des attaques. Parallèlement, des tests réalisés sur échantillons de sols prélevés en décembre, mars et mai, ont indiqué qu'à ces trois périodes les sols fertilisés avec du sulfate ?ammonium étaient moins réceptifs que ceux fertilisés avec de ?ammonitrate. Enfin, les analyses sur une fraction bactérienne de la microflore ont montré que les Pseudomonas fluorescents étaient quatre fois plus nombreux pour le sulfate ?ammonium que pour ?ammonitrate.  相似文献   

20.
T.L. SAMARAS 《EPPO Bulletin》1983,13(2):213-216
Le but de ce travail est de déterminer les constantes thermiques pour la prévision du 1er vol de Laspeyresia pomonella en Macédoine Centrale. Les observations se sont étendues de 1971 à 1981 au poste d'observation Macrohori appartenant au réseau des postes d'observations de la Station d'avertissements agricoles de Macédoine Centrale, dont le siège est à Thessalonique. Le calcul des constantes thermiques a été fait par sommation des températures maximales supérieures à 10°C à partir du 1er mars de chaque année. Les constantes thermiques établies sont les suivantes: premières éclosions ou début du vol: 400 dj; 50 % des émergences ou vol principal: 630 dj; dernières éclosions ou fin du vol: 1080 dj.  相似文献   

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