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1.
Des populations de doryphores sont réguliérement observées depuis 25 ans, au cours de deux visites annuelles. Ces visites ont lieu selon un parcours déterminé, le long du littoral occidental du Département de la Manche. Les dénombrements d'adultes, de pontes et de larves sont effectués par échantillonnage dans une centaine de cultures. Des données quantitatives et suivies ont été recueillies sur la progression de la contamination par les doryphores, soit par déplacement au sol, soit par vol, dans les nouvelles cultures de printemps. La densité des populations imaginales et larvaires et ses variations d'année en année sont connues pour une vingtaine de localités du littoral. Le taux moyen de multiplication des imagos parfaits printaniers (Ipp) reste élevé en dépit de la lutte obligatoire contre le doryphore. Les causes des importantes fluctuations numériques observées tiennent assurément aux caractéristiques biologiques de l'insecte et aux façons culturales propres à la région. La connaissance des caractéristiques du potentiel biotique du doryphore est essentielle à une meilleure compréhension de la dynamique des populations dans le Cotentin et concerne directement le problème de la protection des lies Anglo-Normandes. Ce sont en particulier les capacityés de dispersion et de résistance au jeǔne des Ipp qui ont été analysées au laboratoire alors que le test de l' envol est utilisé comme critère pour expérimenter la capacityé de dispersion du ravageur. L'aptitude à l'envol des doryphores printaniers, qui est nulle immédiatement après l'émergence du sol, croǐt pendant les 10 premiers jours à 25oC. L'éclairage continu épuise rapidement les individus et le jeǔne prolongé ainsi que l'absence d'eau en augmentent la mortalité, mais la capacityé d'envol des survivants reste néanmoins élevée.  相似文献   

2.
Le feu bactérien est une maladie de gravité très variable selon les cultures concernées (poirier, pommier, aubépine, cotoneaster, pyracantha). Elle est aussi plus ou moins destructive selon les régions où elle sévit et selon les années. Ces variations ont sans doute des causes multiples, dont l'une est à l'évidence le climat L'influence du climat sur le développement de la maladie a étéétudiée par plusieurs chercheurs. Seule Billing a mis au point en Angleterre, un système («système 1») qui tente de refléter les potentialités du feu bactérien pendant toute l'année végétative. Il est complété par un second système («système 2») intégrant davantage de données, qui précise les risques pendant la période de floraison principale des plantes-hôtes. L'introduction en France, dans le Nord et le Sud-Ouest, du feu bactérien a permis, sur quelques années, de mettre à l'épreuve ces systèmes, à partir d'observations précises: d'une part par un rapprochement entre l'activité globale du feu bactérien observée et celle qui est prévue selon l'étude climatique et, d'autre part, par une étude plus détaillée des dates d'apparition des symptômes à différentes périodes de l'année. Ces premières études ne permettent évidemment pas de porter un jugement définitif sur la validité globale des systèmes de Billing. On peut cependant avancer que, en ce qui concerne la première floraison des poiriers au moins, on n'a pas relevé de contradiction. Pour les secondes floraisons ou en période sèche (été), ou sur d'autres plantes-hôtes, des aménagements ou d'autres observations pourraient améliorer l'interprétation.  相似文献   

3.
R. MOENS 《EPPO Bulletin》1988,18(2):277-282
L'attaque de mulots sur les semences de betteraves a été suivie en laboratoire et en plein champ. Des observations en cage ont démontré que le rongeur s'attaque aux graines de betteraves à partir du stade 00 (graines sèches) jusqu'au stade 06 (développement de la tigelle dans le sol) avec un maximum pendant le ramollissement de la graine (stades 01 et 02) et le début de la germination (stade 03). L'attaque s'arrête au cours de l'allongement, quand les cotylédons perdent leur contenu farineux (stade 07). Sur le terrain il fut constaté que le rongeur, après avoir détruit 20% d'un premier semis, n'a plus attaqué un second semis, lorsque des postes d'appâtage de noisettes traitées à la chlorophacinone (30 ml du Caïd huileux par kg) ont été installés sur les bords du champ. Les appâts ayant fourni aux mulots une nourriture de substitution, ceux-ci ont renoncéà rechercher les semences dans le sol. Quant à l'effet toxique du rodenticide, celui-ci semble insuffisant et trop tardif pour protéger les semis.  相似文献   

4.
Plusieurs méthodes de prévision du développement du maïs ont été testées par l'Association Générale des Producteurs de Maïs en France depuis 1977. Elles sont toutes basées sur le cumul des températures moyennes journalières (base 6°C). Différents stades du mais déterminent la date du départ de ces cumuls. Les résultats obtenus montrent que le développement précoce est fonction des conditions de milieu et des caractéristiques génétiques de l'hybride considéré. Une connaissance minimale du génotype est nécessaire pour pouvoir réaliser une prévision correcte. Le rythme d'apparition des feuilles et leur nombre total sur la plante adulte semblent être des critères utilisables pour améliorer les techniques actuelles de prévision des dates de floraison.  相似文献   

5.
L'établissement d'un modèle de développement pour la tordeuse de la pelure, Adoxophyes orana, basé sur les sommes de températures, est primordial pour l'avertissement Il permet à l'arboriculteur d'effectuer un minimum d'échantillonnages des populations aux moments les plus opportuns, afin de prendre les décisions qui s'imposent pour l'application de la lutte dirigée. Les essais effectués en laboratoire et à l'extérieur ont montré que le seuil de développement des ?ufs est de 10°C, celui des larves de la génération d'été se situe entre 7 et 8°C, alors que celui des larves de la génération hivernante est de 10°C. Le seuil de développement pour la phase nymphale est légèrement supérieur à 10°C. En admettant une vitesse de développement proportionnelle à la température, les durées des phases embryonnaires et nymphales sont de 90 degrés-jours (dj) au-dessus du seuil de 10°C. Le développement larvaire de la génération d'été est en moyenne de 430 dj au-dessus du seuil de 7°C. Les implications de ce modèle pour l'avertissement établi par les services officiels ainsi que pour la stratégie de lutte contre la tordeuse de la pelure sont commentées dans ce travail.  相似文献   

6.
J. P. MOREAU 《EPPO Bulletin》1980,10(4):469-474
La persistence de populations de doryphores à des niveaux élevés dans certaines régions de France (et en Europe du Nord au-delà du 45e degré de latitude) a deux causes possibles: la culture de variétés précoces et tardives situées les unes à cǒté des autres, principalement en petites parcelles, et la synchronisation entre les stades de développement de l'insecte et de la plante. La résistance de la pomme de terre à cet insecte a étéétudiée depuis longtemps. Des croisements entre des espèces sauvages de solanacées et Solarium tuberosum ont constitué l'essentiel des directions suivies. De grandes difficultés ont été rencontrées, surtout dans l'obtention d'hybrides à partir des graines, à cause de la variabilityé géographique des réponses de l'insecte et des relations inverses entre la productivityé et les niveaux de glycoalcaloïdes dans les tubercules. A l'heure actuelle, la recherche est surtout axée sur le choix de variétés de S. tuberosum, en fonction de facteurs écologiques et culturaux, et de la physiologie de la plante. Dans le présent travail, sept variétés ont été plantées dans les conditions de plein champ. La ponte des femelles de doryphore, le nombre de larves obtenues, la consommation du feuillage et le rendement de la culture ont été considérés. Un variété (Résy), qui est peu sensible au mildiou, s'est montrée défavorable à la fois aux adultes et aux larves pendant trois années consécutives. Ainsi l'emploi judicieux d'une ou de plusieurs variétés peut affecter la dynamique des populations de ce ravageur. L'utilisation raisonnée des variétés peut ětre utilisée dans des programmes de protection intégrée contre les ennemis de la pomme de terre.  相似文献   

7.
G. Mathys 《EPPO Bulletin》1977,7(3):601-629
L'alignement sur des méthodes normalisées reconnues constitue une simplification considérable du travail pour l'industrie et les instances officielles chargées dévaluer l'efficacité des nouveaux pesticides. Les résultats obtenus en application d'une méthode commune deviennent comparables et les extrapolations ou fractionnements de l'expérimentation sont alors relativement faciles. La France, en 1952 déjà, puis la République Fédérale d'Allemagne ont été parmi les premiers en Europe à reconnaître toute la valeur de létablissement de méthodes agréées par les services officiels et l'industrie. De son côté, le Comité Européen de Recherche sur les Mauvaises Herbes (EWRC) s'est penché sur létude des possibilités de parvenir à une entente sur la façon dévaluer l'efficacité des herbicides, alors que I'OEPP a commencé en 1971 ses travaux sur les rodenticides, insecticides, acaricides et nématicides, ainsi que sur les affections fongiques. Depuis, 5 méthodes intéressant 7 espèces de rongeurs ont été adoptées par les 35 pays membres de I'OEPP et publiées, alors que 5 méthodes concernant les champignons et 10 méthodes les insectes et acariens sont à l'impression; par ailleurs, 29 méthodes font présentement l'objet détudes appro-fondies. Depuis 1976, des contacts ont été pris avec l'ASTM (American Society for Testing and Materials) dans le dessein de parvenir à une harmonisation des technologies à l'échelle inter-régionale.  相似文献   

8.
A la suite des problèmes importants qui se sont posés, il y a une trentaine d'années, pour la qualité sanitaire des plants de fraisiers, certains pays décidèrent de codifier les conditions de production et de mettre en place une certification pour apporter aux utilisateurs des garanties quant à la pureté variétale et au bon état physiologique et sanitaire du plant. La certification des plants de fraisier existe dans un certain nombre de pays européens, tels que la Belgique, la France, la Grande-Bretagne, les Pays-Bas et la Suisse. Dans les pays où il n'existe pas de certification officielle, les pèpiniéristes, conscients de la nécessité de mettre sur le marché des plants de bonne qualité, assurent eux-memes une sélection sanitaire. Les schémas de production mis en place dans les différents pays ont donné satisfaction et la qualité sanitaire des plants vis-à-vis des principales maladies à virus ne pose plus, actuellement, de problème, ce qui ne semble pas encore etre le cas pour d'autres parasites tels que Phytophthora cactorum ou P. fragariae. L'article fait le point sur les règlements techniques de production de plants de fraisiers, l'importance et les objectifs de la certification, le role des organismes assurant son application ainsi que les conditions de multiplication utilisées.  相似文献   

9.
M. PASCAL 《EPPO Bulletin》1988,18(3):381-392
A l'issue de deux phases de forte densité des populations d'Arvicola terrestris scherman en France, un groupe de travail inter-organismes ACTA-INRA-SPV a été constitué pour entreprendre un programme de recherche sur ce rongeur, dans le but d'en contrôler les populations. C'est à l'INRA que revient le rôle de coordonner les travaux et notamment d'assurer les études sur la biologie de l'espéce. L'ACTA a mené des études en captivité, ainsi qu'une expérimentation de plein champ en Haute-Savoie. Enfin, le SPV a pris la responsabilité de l'évaluation au champ des rodenticides et du développement d'un systéme de prévision en Franche-Comté et en Auvergne-Limousin. L'article résume les 8 années de travaux et souligne les questions restées en suspens. II cherche à situer le problème d'A. terrestris dans la problématique plus vaste de l'étude des rongeurs ravageurs de cultures en France et débouche sur l'analyse des choix des thématiques scientifiques qu'il convient de développer dans le contexte agricole moderne.  相似文献   

10.
G. MAURIN 《EPPO Bulletin》1983,13(2):263-269
Les modèles de comportement épidémique présentés par Strizyk sont basés sur le concept d'état potentiel d'infection (EPI). Ils proposent une classification des champignons phytopathogènes selon la notion d'énergie. Ainsi, Plasmopara viticola serait un champignon «aG énergie variable» pendant une période s'étendant de novembre de l'année (n-1) à août de l'année n. Les observations effectuées en 1981 montrent que le modèle proposé donne satisfaction à Bordeaux et décrit bien la situation en caractérisant la gravité du mildiou pour les années 1975 à 1981. Une généralisation de ce modèle à d'autres régions de France paraît possible grâce à une fonction de transfert.  相似文献   

11.
Dans une expérience de plein champ, où tous les facteurs déographiques et génétiques de concurrence étaient déterminés, des densités différentes d'une variété d'avoine de printemps (espèce considérée comme une graminée adventice) ont étéétablies dans une culture de blé de printemps. Sur la moitié des parcelles du dispositif expérimental, l'avoine a été détruite par une application de diclofopméthyl au stade 3 talles du blé. Les mauvaises herbes dicotylédones ont été désherbées soit à la même date que celle du traitement au diclofopméthyl (traitement précoce), soit deux semaines plus tard (traitement tardif). Les poids secs de la plants cultivée el des adventices ont été mesurés plusieurs fois au cours du cycle de la culture sur des échantillons. Toutes les densités de l'avoine de printemps ont réduit le rendement et certaines composantes du rendement du blé en fonction du traitement herbicide: les rendements du blé ont été moins diminués sur les parcelles traitées que sur les parcelles témoins, les mauvaises herbes dicotylédones ont été mieux détruites par le traitement précoce que par le traitement tardif au 2,4-D. D'après les résultats oblenus, l'existence d'interactions herbicides est susceptible de modifier les effets de compétition adventice.  相似文献   

12.
Par repiquages successifs d'isolats de Phytophthora citrophthora sur du milieu V8-CaCO3 clarifié gélosé, contenant 100 μg ml?1 de métalaxyl, des souches plus résistantes que la souche mère ont été obtenues. Cette adaptation s'accompagne d'une diminution de la croissance sur milieu sans fongicide et du pouvoir pathogéne. La fréquence de zoospores capables de former spontanément une colonie sur 100 μg ml?1 de métalaxyl est de l'ordre de 10?4. Un traitement des zoospores à la N-méthyl-N′-nitro-N-nitrosoguanidine (30 μg ml?1 pendant 10 min) augmente cette fréquence par un facteur de 10–16 fois. Les souches résistantes ainsi obtenues ont la même croissance sur milieu sans fongicides et sont aussi pathogènes sur feuilles d'agrumes que les souches mères, alors que les souches sélectionnées sans traitement mutagène présentent les mêmes caractéristiques que celles obtenues par adaptation.  相似文献   

13.
L. BOURNAS 《EPPO Bulletin》1983,13(3):499-504
Les progrès récents dans la conception des pulvérisateurs ont porté sur la précision des applications, en particulier pour les herbicides, l'augmentation du rendement horaire, la facilité de mise en ceuvre et les traitements en localisation. En ce qui concerae la precision des applications, on constate le développement et le perfectionnement, notamment à l'aide del'électronique, des systèmes de régulation à débit proportionnel à l'avancement. La suspension des grandes rampes, allant jusqu'à 24 m pour des pulvérisateurs portés en cultures basses, est constamment perfectionnée pour assurer une meilleure stabilité. Par ailleurs, la tendance à réduire les volumes par hectare entraîne une nouvelle étude des circuits de bouillie, notamment de la filtration. II est recouru aux buses à fente de petit calibre, pouvant travailler à basse pression (parfois moins de 2 bar), et la stabilité du rideau de pulvérisation sous rampe à bas volume par hectare est examinée de même que les organes de pulvérisation centrifuge permettant de descendre à moins de 50 l/ha. Les pulvérisateurs arboricoles et viticoles sont dotés de ventilateurs plus puissants et des souffleries sont étudiées pour un meilleur rendement à moindre bruit. Parmi les autres progrès on remarque le développement des systèmes de localisation pour les traitements de la vigne. Quant à la distribution des microgranulés phytopharmaceutiques, elle a fait l'objet de nombreuses adaptations, en particulierd'épandeurs d'engrais pneumatiq'ues ou de semoirs. Ainsi, des gammes de pulvérisateurs portables ou manuels, à pression liquide ou centrifuges, plus pratiques et légers, ont été développées.  相似文献   

14.
R. BERNHARD 《EPPO Bulletin》1986,16(2):245-253
L'auteur examine le développement de la certification virologique des arbres fruitiers en France ainsi que les principes de base adoptés. Les systèmes de certification des arbres fruitiers utilisés dans plusieurs pays européens sont comparés et les principales difficultés pouvant etre rencontrées sont discutées. Enfin, l'auteur propose diverses mesures afin de s'assurer: (1) que la certification n'entraine pas une limitation du nombre de cultivars disponibles; (2) que l'on arrive à un consensus sur les définitions des termes ‘virus-free’et ‘virus-tested’; (3) qu'il y ait un accord sur le nombre maximal d'étapes de multiplication entre le matériel initial indexe et le produit certifié. Des propositions sur l'harmonisation de la nomenclature sont également faites.  相似文献   

15.
L. GARDAN  M. DEVAUX 《EPPO Bulletin》1987,17(2):241-250
Découverte aux Etats-Unis en 1913 par Barss, la bactériose du noisetier est maintenant présente en Italie, Turquie, France, Yougoslavie, Royaume-Uni, URSS, Afrique du Nord et Australie. En France, elle est présente dans les marcottières et dans les vergers. La maladie se manifeste par des annulations de bourgeons, des nécroses de pousses herbacées et de rameaux et par des chancres. Des taches sont aussi observées sur les feuilles, les cupules des fruits et sur la coque (talon noir). La bactérie a une phase épiphylle puisque 104–108 cfu par feuille sont détectées pendant toute la période végétative dans les marcottières et les vergers. Cette phase épiphylle est reproduite par pulvérisation d'une suspension bactérienne. Au microscope électronique à balayage les bactéries ont été localisées. Elles ont aussi été détectées à la surface et dans les bourgeons (10–107 bactéries). Dans les vergers malades le taux de bourgeons contaminés varie de 0 à 90%. Par inoculation des bourgeons par piqûre, les tissus se révèlent sensibles d'octobre à juin. Les méthodes de lutte consistent à produire de jeunes plants sains, à tailler les organes malades et à pulvériser des produits cupriques au printemps et à l'automne.  相似文献   

16.
D. CADAHIA 《EPPO Bulletin》1986,16(2):265-283
Ce travail résume la situation phytosanitaire du genre Eucalyptus en se référant aux insectes ravageurs qui mettent en danger les plantations artificielles dans le monde et plus particulièrement dans le bassin Méditerranéen. Parmi les 54 espèces citées, 10 ont dépassé les frontières de leur aire d'origine et, parmi ces derniers, 6 se trouvent sur d'autres continents et 3 dans la région méditerranéenne. Il est fait état aussi des mesures phytosanitaires touchant à la quarantaine, mises en place pour l'Eucalyptusà l'initiative de l'OEPP. Les ravages causés par les insectes polyphages dans la région méditerranéenne sont récapitulés. Les 3 insectes mentionnés sont spécifiquement inféodés au genre Eucalyptus et causent des dégats en région méditerranéenne. La présente étude s'y attache en précisant leur extension et les moyens de lutte susceptibles d'etre mis en oeuvre. En ce qui concerne Ctenarytaina eucalypti quia atteint nos régions durant les années soixante, on assiste à son extension, mais l'action des syrphides prédateurs parvient à en contenir les populations. Quant àGonipterus scutellatus apparu en région méditerranéenne vers 1975, il n'a pas connu l'extension à laquelle on pouvait s'attendre en tenant compte de son potentiel de dispersion élevé. L'espèce demeure peu préoccupante, mais doit faire l'objet d'attention surtout sur les eucalyptus ornementaux où les dégats peuvent etre sensibles. Elle se rencontre sur la Riviera italienne et dans le Midi de la France où ses populations sont controlées par le parasite oophage Patasson nitens. Au cours des dernières années, le ravageur le plus redoutable est certainement Phoracantha semipunctata qui s'est répandu dans la partie occidentale du bassin Méditerranéen. En ce moment, seules la France, la Yougoslavie et la Grèce sont demeurées indemnes. Cette diffusion rapide est à mettre en rapport avec l'état d'extreme déficience des arbres, essentiellement du à la sécheresse et à la pauvreté des sols. La stratégie de lutte menée en Italie s'est révéléc efficace; elle consiste à intervenir dès le début de l'attaque des peuplements en pratiquant des coupes et en utilisant rapidement le bois affecté. De cette facon, l'importance des populations s'est vue considérablement réduite. D'une facon générale, les racines ont donné des repousses vigoureuses sauf dans les cas où les coupes ont été faites tardivement. L'expérience espagnole de lutte par des arbres-pièges sur de vastes étendues est également très intéressante. Par ce moyen il a été possible d'observer une réduction moyenne des populations de 75% avec une rentabilité de 246–611%.  相似文献   

17.
Des isoenzymes des alpha-estérases et des malates deshydrogènases, obtenues par électrophorese sur gel de polyacrylamide, ont servi de base à la caractérisation de deux populations de liseron Convolvulus arvensis L., issues de vignobles. l'un soumis aux méthodes de lutte culturales et l'autre soumis au désherbage chimique. Des éléments de réponse sont donnés pour le nombre, l'extension spatiale, la dominance des individus, ainsi que pour les différents mécanismes intervenant dans l'établissement et le maintien de l'espèce sur les stations échantillonnées, Une grande variabilité clonale a été observée dans les deux stations, mais la comparaison des individus entre les deux parcelles montre des ressemblances claires. La répartition des individus sur le terrain est très hétérogène et leur extension spatiale est fortement perturbée par la méthode de lutte utilisée.  相似文献   

18.
Y. Monnet 《EPPO Bulletin》2000,30(2):205-208
Les principaux problèmes pathologiques des cucurbitacées en France sont essentiellement le fait de champignons telluriques rencontrés pendant la phase juvénile (Pythium spp., Rhizoctonia solani), puis pendant la phase de croissance végétative (Pythium. aphanidermatum, Fusarium oxysporum f. sp. melonis ou Phomopsis sclerotioides), des champignons à développement aérien (Sphaerotheca fuliginea et Pseudoperonospora cubensis) et de virus parmi lesquels les plus fréquents sont le cucumber mosaic cucumovirus et le zucchini yellow mosaic potyvirus. Dans le cas des champignons du sol, les efforts sont apportés sur la qualité des substrats, la rusticité des porte‐greffe, la recherche d'efficacité d'agents antagonistes. Dans celui des champignons aériens, le choix des cultivars, et celui des fongicides compatibles avec le développement de la production intégrée, ont pris ces dernières années une importance grandissante. Dans certains cas, une meilleure connaissance des phénomènes épidémiologiques permet de mieux cerner les risques encourus sous abri ou en plein air (bactériose du melon, mise au point de modèles). Les mesures prophylactiques, la protection physique contre les vecteurs potentiels et le choix des cultivars tolérants ou résistants sont des solutions partielles aux attaques de virus.  相似文献   

19.
L. LANIER 《EPPO Bulletin》1986,16(2):255-263
Les eucalyptus constituent—au moins au meme titre que les genres Pinus et Populus—l'un des genres d'arbres forestiers les plus importants à l'échelle mondiale, et en particulier par l'extension considérable des reboisements (plus de 4 millions d'ha) en régions tropicales, sahéliennes et tempérées chaudes. L'article tente de faire le point sur les problèmes posés par les maladies pouvant gener cet effort de reboisement, notamment en région méditerranéenne, et souligne l'importance et l'avenir des eucalyptus dans cette région. Il est procédéà un inventaire général, à l'échelle mondiale, des maladies des eucalyptus et de l'importance des parasites en cause. Un certain nombre d'entre eux sont étudiés plus en détail, selon qu'ils sont présents dans le pays d'origine des eucalyptus ou dans les zones où ils ont été introduits. Une section est réservée à la région méditerranéenne, où certaines maladies s'en prenant aux racines, aux rameaux, aux feuilles ou au bois ont été identifiées; pour l'instant, la plupart d'entre elles ne sont pas trop graves. Enfin, des propositions et des règles de protection phytosanitaire, visant à restreindre les risques d'introduction des parasites les plus dangereux ou d'extension de ceux existant actuellement, sont citées, en insistant sur les risques de transport de maladies d'une région à une autre par l'intermédiaire des échanges de matériel végétal autres que les graines.  相似文献   

20.
Depuis 3 ans des souches de Pseudocercosporella herpotrichoides résistantes aux benzimidazoles (bénomyl, cabendazime, thiabendazole) et aux thiophanates (thiophanate-méthyl) sont décelées sur blé d'hiver en France. La résistance croisée positive entre ces fongicides ainsi que la résistance croisée négative vis-à-vis de phényl-carbamates (ex. barbane) sont des caractéristiques générales. Les niveaux de résistance peuvent étre variables avec cependant prédominance de deux catégories de souches résistantes (dont les niveaux de résistance respectifs vis-à-vis du thiabendazole sont voisins de 10 et de 100). En outre, des expérimentations en conditions contrôlées indiquent que la résistance n'affecte ni l'agressivité ni la compétitivité de P. herpotrichoides. Pour pouvoir suivre l'évolution des fréquences des souches résistantes aux benzimidazoles dans la nature, diverses méthodes ont ét expérimentées; celle qui est actuellement retenue et développéc dans les laboratoires de l'INRA (Institut National de la Recherche Agronomique), du Service de la Protection des Végétaux, de l'ITCF (Institut Technique des Céréales et des Fourrages) et de certaines firmes est basée sur l'étude de l'effet du carbendazime sur des implants mycliens. Chaque analyse porte sur 10 à 30 isolats par parcelle. Malgré un nombre élevé d'analyses il est difficile d'avoir une cartographie exacte de la répartition des souches résistantes; il est toutefois clair que les fréquences des souches résistantes sont les plus élevées dans les zones d'utilisation intensive des benzimidazoles (Nord et Bassin parisien) qui peuvent devenir inefficaces. Actuellement, le seul fongicide susceptible de remplacer ces benzimidazoles est un inhibiteur des strols: le prochloraz. Au champ il possède une activitééquivalcnte en l'abscnce ou en présence de souches résistantes aux benzimidazoles et les sondages réalisés jusqu'à maintcnant n'indiquent aucune résistance vis-à-vis de ce fongicide.  相似文献   

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