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1.
Results arc reported of two experiments done during 1971–76. which investiga ted the germination and longevity in soil of seeds of Agropyron repens L. Beauv. and Agrostis gigantea Roth. The effects of different cultivation regimes and paraquat were investigated in a field experiment and the effects of different frequencies of cultivation in a sandy loam and silty loam soil were studied in the glasshouse. Seeds of neither species were innately dormant and most germination occurred during the first autumn. Agrostis seeds germinated most readily on the soil surface and persisted longest where the seeds were incorporated in soil al the outset and not cultivated in the spring. In contrast. Agropyron seeds germinated most readily when incorporated in soil at the cutset and their depletion was largely independent of cultivations in the spring; they persisted longest where they remained on the soil surface dtiring the firstautumn. Paraquat, sprayed on to dry seeds, greatly decreased the number of Agropyron seeds, giving emerged seedlings early during the first autumn but did not afTect the number emerging after this. Agrostis was aflected little by paraquat. Agrostis seeds were more persistent than Agropyron in most treatments of both experiments; in the field, on average, only abotit 0.3% of Agropyrim seeds gave emerged seedlings during the fourth year whereas about three times as many Agrostvis seedlings would be expected to emerge during the fifth year. The number of seedlings, particularly of Agrostis. emerging in consecutive years did not decrease continuously from year to year. There was some indication that longevity of Agrostis seeds might be greater in a sandy loam than in a silly loam soil. The much smaller percentage of seeds accounted for in the field than in the glasshouse is emphasised and the implications of the findings to practical control measures, particularly that depletion of seed reserves is dependent on initial cultivations, are briefly discussed. Germination et longévité des sentences d' Agropyron repens L. Beauv. et d'Agrostis gigantea Roth, dans le sol, en relation avec different régimes de culture. Les auteurs rapportent les résultats de deux expériénces effectuées de 1971 à 1976, destinées àétudier la germination et la longevité dans le sol des seremencesd d' Agropyron repens(L.) Beauv. et d'Agrostis gigantea Roth. Les effets de différents régimes de culture et du paraquat ont étéétudiés dans une expérience au champ et les effets de différentes fréquences de culture, dans un sol de limon sableux et dans un limon fm ont étéétudies en serre. Les semenees des deux espéces ne se sont pas révélées naturellement dormantes et la plus grande partie de la germination s'est produite durant le premier automne, Les semenees d'Agrostis ont germé plus aisément à la surface du sol et ont persisté plus longtemps là oü les semenees ont été incorporées dans le sol dés le début el non irultivées au printemps. En revanche, tes sentences d’ Agropyron ont germé plus aisément lcirsqu'elles ont été incorporées dans les sol dés le debut et leur épuisement a été en grande partie indépendant des facons culturales effectuées au printemps; elles ont persisté plus longtemps lä oü elles sont restées à la surface du sol durant le premier automne. Le paraquat, pulvérisé sur les semenees séches, a diminué de facon importante le nombre de semenees d'Agropyron donnant des levées précoces de plantules durant le premier automne; par la suite, le paraquat n'a pas eu d'effet sur le nombre des levées. L'Agrostis a été peu aftecté par le paraquat. Les semenees d’ Agrostis se sont montrées plus persistantes que celles ti’ Agropyron dans la plupart des conditions des deux expériences; au champ environ 0,03% seulement en moyennede semenees d'Agropyron ont levé au cours de la quatriéme année alors que trois fois autani de levées d'Agrostisétaient attendues au cours de la cinquiéme année. Le nombre de plantules d’Agrosits en particulier. levant au cours des annees consecutives n'a pas continuellement diminué d'année en année, ll y a quelques raisons de penser que la longévité des semenees d'Agrostis pourrait étre plus grande dans un limon sableux que dans un limon fin. Les auteurs insistent sur le fait que le pourcentage de semenees enregistré au champ a été beaucoup plus faible qu'en serre. Les implications des constatations faites dans les mesures pratiques de lutte sont briévement discutées, en particulier le fait que la diminution des reserves des semenees dépend des facons culturales initiates. Keimung und Lebensdauer der Samen von Agropyron repens L. Beauv. und Agrostis gigantea Roth, im Boden in Be:iehung zu unterschiedlicher Bodenhearbeitung Es wird üher Versuche berichiet, die in der Zeit von 1971–1976 durchgeführt wurden. und in denen die Keimung und die Lebensdauer der Samen von Agropyron repens (L.) Beauv. und Agrostis gigantea Roth, im Boden untersucht wurden. In einem Feldversuch wurde die Wirkung verschiedener Bodenbearbeitungen und von Paraquat untersucht. und in einem Gewâhshausversuch die Wirkung unterschiedlichcr Abstände in der Bodenbearbeitung bei cinem saodigen Lehmboden und einem Schluff-Lenmbodcn. Bei keiner der beiden Arten waren die Samen endogen dormant, und die mcisten keimten im ersten Herbst. Die Samen von Agrostis keimten am schnellsten auf der Bodenoberfläche und überlebten am längsten, wenn sie am Anfang eingearbeitet wurden. der Boden im Frühjahr aber niirht bearbeitet wurde. In Gegensatz dazu keimten die Samen von Agropyron am schnelllsten, wenn sie am Anfang eingearbeitel wurden, und die Erschöpfung des Samenvorrats war unabhängig von Bodenbearbeirtungen im Frühjahr; sie überlebten am längsten, wenn sie im ersten Herbsi auf der Bodenoherflächc verblieben. Wurde Paraquat auf trockene Samen gespritzl. dann nahmen die Agropyron-Sdmen stark ab, da im Frühberbst des ersten Jahres Pflanzen aufliefen, was aber keine Auswirkung auf die Anzahl der auflaufenden Pflanzen in der Folgezeit hatte. Bei Agrostis wirkte Paraquat nur schwach. In den meisten Varianien der beiden Versuche überlebten mehr Samen von Agrostis ah von .Agropyron. Im vicrten Jahr des Feldvcrsuchs liefen durchschnittlich etwa 0,03% der Agropvron-Samcn auf, während bei .Agrostis im fünften jahr etwa dreimal soviel erwartet werden können. Die Zahl der in den Folgejahren a ufgelaufenen Keimpflanzen nahm bcsounders bei Agrostis nicht kontinuierlich von Jahr zu Jahr ab. Es gab einige Hinweise dafür. dass die Lebensdauer von .Agrostiis-Samen im sandigen Lehmboden grösser sein könnte als im Schluff-Lehm- boden. Es wird auf den wesentlich geringeren Prozentsatz an Samen unter Feld- als unter Gewächshausbedingungen hingewiesen. Die Folgen diescr BEfunde für die praktische Bekämplung, insbesondere, dass dcr SamenvorraT im Boden von der ersten Bodenbearbeitung abhängig ist, werden kurzdiskutiert.  相似文献   

2.
The effects of temperature and nitrogen level on the morphology of Agropyron repens (L.) Beauv. were investigated in a factorial experiment involving three temperatures (10°, 15° and 20°C) and three nitrogen levels (15, 120 and 960 ppm N). The main effects on axillary bud outgrowth were found at 15 ppm N and 10°C. At 15 ppm N there was an increase in the frequency of dormant buds in the axils of the coleoptile and leaf 3, and a tendency for the buds in the axils of leaves 1 and 2 to produce rhizomes or rhizome-tillers instead of tillers. At 10°C there was a high proportion of dormant buds in the colcoptile axil but all buds in higher axils grew out. Both 15 ppm N and 10°C led to the production of relatively fewer secondary rhizomes and tillers. Maximum leaf length was attained at 20°C/120 ppm N, when leaves were 40–50% longer than those at 10°C/15 ppm N. Nitrogen level had little effect on total stem height, but at all nitrogen levels stem height and the height of individual internodes increased with increasing temperature. The size of the shoot apex and the number of leaf primordia borne on it increased with decreasing temperature and increasing nitrogen level. Effets de la temperature et du niveau d'azote sur la morphologie de l'Agropyron repens (L) Beauv. Les effets de la témperature et du niveau d'azote sur la morphologie de l'Agropyron repens (L.) Beauv. ont étéétudiés dans une expérience factorielle mettant en jeu trois températures (10°, 15° et 20° C) et trois niveaux d'azote (15, 120 et 960 ppm). L'effet principal sur l'éclosion du bourgeon axillaire a été observéà 15 ppm d'azote et 10° C. A 15 ppm d'azote, il y a eu un accroissement de la fréquence des bourgeons dormants aux aisselles du coleoptile, et de la feuille 3, et une tendance pour les bourgeons aux aisselles des feuilles 1 et 2 à produire des rhizomes ou des tallesrhizomes au lieu de talles. A 10° C il y a eu une proportion élevée de bourgeons dormants à l'aisselle du coléoptile, mais tous les bourgeons des aisselles plus élevées sc sont dévetoppés. 15 ppm d'azolc et 10° C ont provoqué une production reiativement plus faible de rhizomes secondaires et de talles. La longueur maximale des feuilles a été atteinte a 20° C et 120 ppm d'azote, lorsque les feuilles furent 40 à 50% plus longues que celles obtenues a 10° C et 15 ppni d'azote. Le niveau d'azote a eu peu d'influence sur la hauteur totale de la tige, mais, à tous les niveaux d'azote, la hauteur de la tige et celle des internoeuds individuets a augments avec la temperature. La taille de l'apex des pousses et le nombre d'ébauches de feuilles apparaissant dessus a augmentéà mesure que la température diminuait et que s'accroissait le niveau d'azote. Die Wirkung von Temperatur und Stickstoffversorgung auf die Morphologie von Agropyron repens (L.) Beauv. In einem mehrfaktoriellen Versuch wurde der Einfluβ von Temperatur (10, 15 and 20°C) und Stickstoffgaben (15, 120 und 960 ppm N) auf die Morphologie von Agropyron repens (L.) Beauv. untcrsucht. Die Hauptwirkung auf den Austrieb der Achselknospen wurde bei 15 ppm N und 10°C beobachtet. Bei 15 ppm N war eine Zunahme in der Häufigkeit dormanter Knospen in der Koleoptilenachsel und der Achsel des dritten Blattes zu verzeichnen. Weiterhin bestand die Tendenz, daβ die Knospen in den Blattacbseln des 1. und des 2. Blattes Rhizome oder Rhizom-Bestockungstriebe siatt Bestockungstriebe bildelen. Bei 10°C war ein groβer Anteil dormanter Knospen in der Koleoptilachsel vorhanden; aber alle Knospen der höheren Achseln trieben aus. 15 ppm N, als auch 10°C bewirkten die Bildung von relaliv wenigen sekundären Rhizomen und Bestockungstrieben. Maximale Blattiängen wurden bei 20°C/120 ppm N erhalten. Hierbei waren die Blätter um 40–50% Iänger als bei 10°C/15 ppm N. Der Slickstoffgehalt hatte nur eine geringe Wirkung auf die gesamte Sproβhöhe, aber bei alien Stickstoffgehaiten nahm die Sproβhöhe und die Länge der Internodien mit steigender Temperatur zu. Das Ausmaβ der Sproβspitze und die Zahl der Blattaniagen nahm mit abnehmender Temperatur und steigender Stickstoffversorgung zu.  相似文献   

3.
Summary. Electron-capture gas chromatography was used to detect di-allate and tri-allate in two soils at different moisture levels. At rates equivalent to 2 25-2 - 50 lb/ac, 50% of the di-allate applied was degraded in Weyburn loam in 4 weeks at moisture levels in excess of the wilting point. Losses in Regina heavy clay were slightly lower. In both soils little degradation was observed at moisture levels below the wilting points and negligible losses occurred in sterile soils, indicating that microbial degradation can be an important factor contributing to di-allate breakdown. Breakdown of tri-allate in both soils was slower than for di-allate. At 2·0 lb/ac di-allate was leached more from Weyburn loam than from Regina heavy clay. Tri-allate underwent almost complete adsorption by four soils from aqueous solution, whereas di-allate was adsorbed to a lesser extent. Soil volatility of tri-allate appears to be negligible even on heating to 50°C for 28 days. Vapour losses of di-allate from treated soils are dependent on soil type and temperature. In field plots 15–20% of the applied tri-allate was found in the top 5 cm soil after one growing season. Less than 5% of the initial di-allate remained. Negligible residues of either chemical were found at the 5–10 cm level. Dégradation, adsorption et volatilité du di-allate et du tri-allate dans des sols de prairies Résumé. La capture d'électrons dans la chionnatographie en phase gazeuse a été utilisée pour déceler le di-allate et le tri-allate dans deux sols, à deux taux différents d'humidité. A des doses d'environ 2,52 à 2,80 kg/ha, 50% du di-allate appliqueé dans un limon de Weyburn fut dégradé en 4 semaines, à des taux d'humidité supérieurs au point de fiétris-sement. Les pertes furent légèrement inférieures dans un sol argileux lourd de Regina. Dans les deux sols, une faible dégradation fut observése à des taux d'humiditi inférieurs au point de flétrissement et les pertes furent négligeables dans les sols stéiles; ceci montre que l'activité microhienne peut etre un facteur important dans la degradation du di-allate. La degradation du tri-allate dans les deux sols fut moins rapide que celle du di-allate. A la dose de 2,2 kg/ha, le lessivage du diallate fut plus important dans le limon de Weyburn que dans le sol argileux lourd de Regina. Le tri-allate fut presque compléte-ment adsorbé par quatre sols, à partir d'une solution aqueuse, alors que le di-allate ne fut adsorbé que dans une proportion moindre. La volatilityé du tri-allate dans le sol apparut négligeable, meme en chauffant à50°C pendant 28 jours. Les pertes du diallate par évaporation à partir de sols traités sont sous la dependance du type de sol et de la température. Dans les parcelles au champ 15 à 20% du tri-allate appliqué fut rctrouvé dans les 5 premiers centimétres du sol aprés une saison de culture, alors qu'il ne subsista que moins de 5% de la quantité initiale de di-allate. Des résidus négligeables de I'un ou l'autre des deux produits furent retrouves au niveau 5 à 10 cm. Abbau, Adsorption undFluchtigkeit von Diallat und Triallat in Prairieböden Zusammenfassung. Elektroneneinfatig-Gaschromatographie wurde zur Bestimmung von Diallat und Triallat in zwei Böden bei verschiedenen Feuchtigkeitsstufen verwendet. Bei Atifwandmengen von 2,52-2,80 kg/ha, wurden 50% des ausgebrachten Diallats bei einem Feuehtigkeitsgehalt, der über dem Welkepunkt lag, innerhalb von vier Wochen abgebaut. In schwerem Regina-Ton waren die Verluste etwas geringer. In beiden Boden vnirde bei Feuchtigkeitsstufen unterhalb des Wclkepunktes wenig Abbau beobachtet. Vernachlässigbarc Verluste traten in sterilen Böden auf, was darauf hinweist, dass Mikro-organismen eine wichtigc Roile beim Abbau von Diallat spielen. Der Abbau von Triallat verlief in heiden Boden langsatner als der von Diallat. Bei 2,24 kg/ha wurde Diallat aus Weyburn Lehmboden stärker ausgewaschen als aus schwerem Regina-Tonboden. Triallat wurde aus einer wässrigen Lösung in vier Böden nahczu vollständig adsorbiert, wäirend Diallat in einem geringeren Ausmass adsorbiert wurde. Verdampfung von Triallat aus dem Boden scheint selbst bei 28-tägiger Erhitzung des Bodens auf 50°C gering zu sein. Verdampfungsverluste von Diallat aus behandelten Boden hängen vom Bodentyp und der Temperatur ab. In Feldversuchen wurden nach einer Vegetationsperiode 15–20% des ausgebrachten Triallats wiedergefunden. Weniger als 5% der ursprunglichen Diallatmcnge war dort verblieben. Nur vernachlassigbare Rückstandsmengen wurden bei beiden Herbiziden in Bodentiefen von 5–10 cm gefunden.  相似文献   

4.
Summary. Small plots of Agropyron repens (L.) Beauv, were shaded with ‘Tygan’ screening fabric which transmitted approximately 46% of daylight. In 1968, plots were either shaded or unshaded throughout the experiment (from mid-May until September) and in 1969, some plots were also shaded early (mid-May to mid-July) or late (mid-July to September). In both experiments continuous shading halved rhizome dry weight but had a much smaller effect on shoot dry weight. It also decreased rhizome dry matter by 5%. With early shading there were fewer shoots and ears until mid-July but this difference disappeared by September, because plants shaded early produced more shoots and ears after mid-July than unshaded plants. Early shading slightly decreased the final percentage of shoots that developed ears. Early shading increased shoot height by mid-July and late shading increased it by the end of the experiment. Effets de la diminution de l'intensié lumineuse sur la croissance de l'Agropyron repens (L.) Beauv, au champ Résumé. De petites parcelles d'Agropyron repens (L.) Beauv. ont été ombragiés avec du ‘Tygan’écran en treillis qui ne laisse passer que 46% environ de la lumère du jour. En 1968, les parcelles furent ombragées ou non pendant toute la durée de l'expérience (de mi-mai à septembre); en 1969 certaines parcelles furent aussi ombragées précocement (de mi-mai à mi-julliet) ou tardivement (de mi-jmllet à septembre). Dans les deux expériences, l'ombrage continu réduisit de moitié le poids sec des rhizomes mais eut un effet beaucoup plus faible sur le poids sec de la partie aérienne. II réduisit également de 5% la matière sèche des rhizomes. Avec un ombrage précoce, il y eut moins de tiges et d'épis jusquà mi-juillet, mais cette différence n'existait plus en septembre paree que les plantes ombragées précocement produisirent après la mi-juillet, plus de tiges et d'épis que les plantes non ombragées. L'ombrage précoce diminua le pourcentage final des tiges qui produisirent des épis. L'ombrage précoce augmenta la hauteur des tiges à la mi-juillet et l'ombrage tardif eut le même effet à la fin de I'expérience. Auswirkungen verringerter Lichtintensität auf das Wachstum von Agropyron repens (L.) Beauv. Im Feld Zusammenfassung. Kleine Parzellen mit Agropyron repens (L.) Beauv. wurden mit ‘Tygan’ Abschirmmaterial, das etwa 46% des Tageslichts durchliess, beschattet. Im Jahre 1968 wurden die Parzellen während der gesamten Versuchadauer (von Mitte Mai bis September) entweder beschattet oder nicht beschattet; 1969 wurden auch einige Parzellen früh (von Mitte Mai bis Mitte Juli) oder spät (von Mittc Juli bis September) beschattet. In beiden Experimenten reduzierte durchgehende Beschattung das Rhizom-trockengewicht um die Hälfte, hatte jedoch eine weit geringere Auswirkung auf das Trockengewicht der oberirdischen Teile. Die Rhizomtrockensubstanz war um 5% vermindert, Bei früher Beschattung würden bis Mitte Juli weniger Schosse und Ahren gebildet; dieser Unterschied war jedoch bis September wieder verschwunden, da beschattete Pflanzen ab Mitte Juli mehr Schosse und Ähren produzierten als unbeschattete. Frühe Besehattung führte zu einer leiehten Verringerung des Prozentsatzes der Schosse, die Ähren bildeten. Die Länge der Sehosse war Mitte Juli durch frühe Beschattung vergrössert und am Ende des Experiments durch späte Besehattung.  相似文献   

5.
KINETICS OF DICHLOBENIL DEGRADATION IN SOIL   总被引:2,自引:0,他引:2  
Summary. The rates of degradation of dichlobenil (2,6-dichlorobenzonitrile) in soil were determined at 67 and 267°C. The degradation followed first-order kinetics but at 67°C this occurred after an initial lag period of 10 weeks. The half-lives were 28 weeks (+ 10 weeks lag) at 6.7°C and 19 weeks at 26.7°C. The activation energy for the decomposition was the relatively low value of 3.57 kcal/mole, indicating that the degradation of dichlobenil is not as markedly affected by temperature as that of many other herbicides. The only detectable metabolite was 2,6-dichlorobenzamide, a compound that should have a substantially lower vapour pressure and a higher affinity for surfaces than the parent compound. Cinétique de la dégradation du dichlobénil dans le sol Résumé. Les taux de dégradation du dichlobénil (2,6-dichlorobenzonitrile) dans le sol ont été détermines à 6,7 et 26,7°C. La déSgradation suivit une loi cinétique du premier ordre, mais à 6,7°C ceci se produisit aprés une période initiate de latence de 10 semaines. Les demi-vies furent de 28 semaines (plus 10 semaines de latence) a 6,7°C et 19 semaines à. 26,7°C. L'énergie d'activation pour la décomposition s'établit à la valeur relativement faible de 3,57 kcal/mole; ceci indique que la dégradation du dichlobénil n'est pas aussi profondément affcctée par la température quc celle de beaucoup d'autres herbicides. Le seul métabolite detectable fut le 2,6-dichlorobenzamide, composé qui devrait avoir une pression de vapeur notablement plus faible et une affinité plus grande pour les surfaces que le composé apparenté. Kinetik des Dichlohenil-Abbaus im Boden Zusammenfassung. Es wurde die Abbaugeschwindigkeit von Dichlobenil (2,6-Dichlorbenzonitril) im Boden bei 6,7°C und 26,7°C bestinimt. Der Abbau entsprach einer Reaktion erster Ordnung. Bei 6,7°G setzte der Abbau nach einer lag-Phase von 10 Wochen ein. Die Halbwertzeiten betrugen 28 Wochen (+10 Wochen lag-Phase) bei 6,7°C und 19 Wochen bei 26,7°C. Die Aktivierungsenergie war verhältnisniässig niedrig und betrug 3,57 Kcal/Mol und zeigt, dass der Abbau von Dichlobenil durch Temperatur nicht so stark beeinflusst wird wie bei vielen anderen Herbiziden. Der einzige nachweisbare Metabolit war 2,6-Dichlorbenzamid, der einen wcsentlich nieddgeren Dampfdruck und eine grössere Affinität gegenüber Oberfiächen haben dürfte als die ursprüngliche Verbindung.  相似文献   

6.
The effect of site of application was studied on the performance of barban, benzoylprop-ethyl and difenzoquat agaínst Avena fatual, and of glyphosate against Agropyron repens (L,) Beauv. In all cases, performance was increased when the herbicide was applied towards the leaf or plant base. In general, treating the youngest, fully expanded leaf gave the best performance. Thus for plants at growth stages 12, 13 and 14 (Zadoks, Chang & Konzak, 1974) a greater reduction in foliage weight was obtained when the first, the first or second, and the third leaves were treated respectively. Lengthening the drying time of the herbicide solution also helped to increase the efficacy of difenzoquat. The amount of epicuticular wax varied considerably between different areas on the leaf and it is suggested that this could be an important factor in determining herbicide performance. Influence du site d'application sur l'efficaeité du glyphosate contre Agropyron repens ainsi que du barbane, du benzoylprop-éthyle et du difenzoquat contre Avena fatua. L'influence du site d'application sur l'efficacité a étéétudié pour le barbane, le benzoylpropéthyle et le difenzoquat contre Avena fatua (L.) ainsi que pour le glyphosate contre Agropyron repens (L.) Beauv. Dans tous les cas, l'efficacité a été accrue quand l'herbicide a ésé appliqué vers la base de la feuille ou de la plante. En géneral le traitement de la plus jeune feuille complétement développée a donné le meilleur résultat. Ainsi, pour des plantes aux stades de croissance 12, 13 et 14 (Zadoks, Changet Konzak, 1974). une réduction plus importante du feuillage a été obtenue lorsque, respectivement, la première, la première ou la seconde. et la troisième feuille ont été traitées. L'augmentation de la durée du séehage de la solution herbicide a aussi aidéà accroïtre l'efficacité du ilifenzoquat. La quantité de cire épicuticulaire variant considérablement selon les différentes régions de la feuille, il est suggéré que ceci pourrait ètre un facteur important susceptible de modifier l'efficacité de l'herbicide. Der Einfluss des Applikationsortes auf die Wirkung von Glyphosat gegen Agropyron repens und von Barban, Benzoylprop-äthly und Difenzoquat gegen Avena fatua Es wurde der Einfluss des Applikationsortes auf die Wirtung von Barban. Benzoylprop-äthyl und Difenzoquat gegen Avena fatua (L.) und von Glyphosat gegen Agropyron repens (L.) Beauv, untersucht. In allen Fällen war die Wirkung verbessert, wenn das Herbizid in die Nähe des Blattgrundes oder der Pflanzen-basis apptiziert wurde. Im allgemeinen wurde die beste Wirkung durch Behandlung des jüngsten, voll entwickelten Blattes erzielt. Daher wurde bei Pflanzen im Entwicklungsstadiurn 12, 13 und 14 (Zadoks, Chang und Konzak, 1974) eine stärkere Erniedrigung des Blattgewichts erreicht, wenn das erste, das erste oder zweite, bzw, das dritte Blatte behandelt wurde. Durch Verlängerung der Antrocknungszeit der Herbizidlösung wurde ausserdem die Wtrksamkeit von Difenzoquat verbessert. Die Menge an epikutikulärem Wachs war zwischen den versthiedenen Blattbezirken recht verschieden und es wird angenommen, dass diese Tatsache ein wichtiger Faktor ist, der die Herbizidwirkung bestimmt.  相似文献   

7.
The effect of three organic fertilizers, green manure, pig slurry, and cow manure on the rate of soil degradation of imazamethabenz-methyl under field conditions was investigated in a wheat (Triticum aestivum) crop sown in November. The herbicide was applied in March, 5 months after incorporation into the soil of the fertilizers. The half-life of imazamethabenz-methyl in the soil was 35 days in control plots, and 55, 66 and 85 days respectively in plots treated with green manure, pig slurry, and cow manure. In the same plots the half-lives of the sum of imazamethabenz-methyl and its herbicide acid metabolite were 61,98,127 and 172 days, respectively. The organic fertilizers thus increased the soil persistence of imazamethabenz-methyl and its acid metabolite, i.e. the product generated by hydrolysis of the methyl ester function of imazamethabenz-methyl. Towards the end of the cropping period, residues of both compounds became low in both fertilizer-treated and control plots. Soil degradation of imazamethabenz-methyl was also studied in sugar beet (Beta vul-garis) replacement crops sown in April into land treated in November of the preceding year (as could occur with a treated winter wheat crop which subsequently failed). The rate of degradation in the sugar beet replacement crop was about half that of the same treatment applied in spring wheat. Dégradation biologique dans le sol de rimazaméthabenz-méthyle et de son métabolite acide dans des cultures de hlé et de betterave à sucre de remplacement L'effet de trois fertilisants organiques (engrais vert, lisier de pore et fumier de bovin) sur la dégradation dans le sol de l'imazaméthabenz-méthyle a été etudié au champ dans une culture de blé (Triticum aestivum) semé en novembre. L'herbicide a été appliqué en mars, 5 mois après l'incorporation des fertilisants. La demi-vie de rimazaméthabenz-méthyle dans le sol était 35, 55, 66 et 85 jours, respectivement dans les témoins et dans les parcelles ayant reçu l'engrais vert, le lisier de porc et le fumier de bovin. Dans les mêmes parcelles, la demi-vie de la somme de l'imazaméthabenz-méthyle et de son métabolite acide herbicide étaient respectivement 61, 98, 127 et 172 jours. Les fertilisants organiques ac-croissaient done la persistance dans le sol de rimazaméthabenz-méthyle et de son métabolite acide, c'est à dire le produit issu de l'hydrolyse de sa fonction méthylester. A la fin de la période culturale, les résidus de ces deux composés étaient faibles dans toutes les parcelles. La dégra-dation dans le sol de l'imazaméthabenz-méthyle a été aussi étudiée dans la betterave à sucre (Beta vulgaris) implantée comme culture de remplacement en avril dans un sol traité en novembre de 1'année précédente (cette situation peut se ren-contreren casde retournement d'un blé d'hiver). La vitesse de dégradation de l'imazaméthabenz-méthyle dans la culture de betterave à sucre était environ moitié moindre que chez le blé de printemps. Biodegradation von Imazamethabenz-methyl und seinem sauren Metaboliten im Boden in Weizen und Zuckerrübe als Ersatzkultur Die Wirkung von 3 organischen Düngern (Gründüngung, Schweinegülle und Stallmist) auf die Abbaurate von Imazamethabenz-methyl unter Feldbedingungen wurde in im November gesätem Weizen (Triticum aestivum) untersucht. Das Herbizid wurde im Mai ausgebracht, 5 Monate nach der Einarbeitung der Dünger. Die ‘Halbwertszeit’ für den Abbau des Herbizids im Boden war in der Vergleichsparzelle 35 Tage und in den organisch gedüngten Parzellen 55,66 bzw. 85 Tage. Für das Herbizid und seinen sauren Metaboliten zusammen lagen die ‘Halbwertszeiten’ in denselben Parzellen bei 61, 98, 127 bzw. 172 Tagen. Demnach verlängerten die organischen Dünger die Persistenz des Herbizids und seines Metaboliten (Hydrolyseprodukt der Methylesterfunktion) im Boden. Gegen Ende der Vegetationsperiode gingen die Rückstände der beiden Stoffe in allen Parzellen zurück. Det Abbau wurde auch auf Flächen untersucht, die nach einer Behandlung im November des Vorjahres mit Zuckerrübe (Beta vulgaris) bestellt waren (so als ob sie nach einem Ausfall der Weizenkultur eingesetzt würde). Die Abbaurate in dieser Ersatzkultur war etwa halb so hoch wie nach einer gleichen Behandlung in Sommerweizen.  相似文献   

8.
Experiments with young plants of seven cultivars and species in the Gramineae (Lolium perenne L. cv. S 23, Lolium multiflorum Lam. cv. S 22, Lolinm multiflorum Lam. cv. Tetrone, Triticum aestivum L. cv. Janus, Avena sativa L. cv. Peniarth, Hordeum vulgare L. cv. Zephyr, Avena fatua L.), showed that those grown at a high nitrogen level were more susceptible lo paraquat than those grown at a low level. Similarly, high levels of phosphorus increased the susceptibility of plant5 of A. saliva to this herbicide. However, potassium, at the levels used, had no effect on paraquat phytotoxicity. Two further experiments, with Agropyron repens (L.) Beauv., indicated that nitrogen did not influence the phytotoxicity of paraquat; neither did it encourage the recovery of foliage, nor the production of rhizomes following spraying, despite a direct effect of nitrogen on the growth and development of the unsprayed plants. A mechanical defoliation treatment was less effective than paraquat in controlling the growth of this weed. Swards of L. perenne grown under a low nitrogen regime were slightly more susceptible lo paraquat and showed less recovery than those grown under the higher nitrogen conditions. The results are discussed In the context of the physiology of herbicides and of agricultural practices. Influence des conditions de nutrition sur l'activité du paraquat Des expériences réalisées avec de jeunes plantes de sept cultivars ou espèces de Graminée (Lolium perenne L. cv S 23, Lolium multiflorum Lam. cv S 22, Lolium multiflorum Lam. cv Tétrone, Triticum aestivum L. cv Janus, Avena saliva L. cv. Peniarth, Hardeum vulgare L. cv Zephyr, Avena fatua L.) ont montré que les plantes cultivées i un taux d'azote élevéétaient plus sensibles au paraquat que celles cultivées à un taux faible. De la même maniére, des taux élevés de phosphore ont accru la sensibilité des plantes d'A. saliva á cet herbicide. En revanche, le potassium, aux taux utilisés, n'a pas eu d'effet sur la phytotoxicité du paraquat. Deux expériences nouvelles avec Agropyron repens (L.) Beauy., ont montré que l'azote n'avait pas d'influence sur la phytotoxicité du paraquat, il ne facilite ni la repousse du feuillage, ni la production de rhizomes aprés le traitement, malgré un effet direct de l'azote sur la croissance et le développement des plantes non traitées. Une défoliation mécanique a été moins efficace que le paraquat pour maitriser la croissance de cette mauvaise herbe, Des gazons de L. perenne cultivis à un faible taux d'azote ont été légèrement moins sensibles au paraquat et ont manifests un meilleur pouvoir de recuperation que ceux cultivés à un niveau d'azote éievé. Ces résultats sont discutés dans le contexte de la physiologie des herbicides et des pratiques culturales. Der Einfluss des Ernährungszustandes auf die Wirkung von Paraquat In Versuchen mit Jungpflanzen von sieben Gräsern (Lolium perenne L. Sorte S 23, Lolium multiflorum Lam. Sorte S 22, Lolium multiflorum Lam. Sorle Tetrone, Triticum aestivum L. Sorte Janus, Avena sativa L. Sorte Peniarth, Hordeum vulgare L. Sorte Zephyr, Avena fatua L.) waren die, die bei hohen Stickstoffgaben wuchsen gegenüber Paraquat empfindlicher als die, die unter weniger Stickstoff wuchsen. Ähnlich reagierte A. saliva auf Phosphor: hohe Phosphorgaben erhöhten die Empfindlichkeit gegenüber diesem Herbizid. Kalium hatte bei den verwendeten Düngungsstufen jedoch keinen Einfluss auf die Phytotoxizität von Paraquat. Zwei weitere Versuche mit Agropyron repens (L.) Beauv. zeigten, dass Stickstoff die Phytotoxizität von Paraquat nicht beeinträchtigte. Trotz der direkten Stickstoffwirkung auf das Wachstum der unbehandelten Pflanzen, wurde bei den mit Paraquat behandeltcn weder die Wiederbegrünung, noch die Rhizombildung gefördert. Die mechanische Entfernung der Blätter war für die Bekämpfung dieses Ungrases weniger wirkungsvoll als eine Paraquatbehandlung. Grasnarben von L. perenne die bei wenig Stickstoff wuchsen, waren gegenüber Paraquat geringfügig empfindlicher und erholten sich schlechter als solche mit guter Stickstoff Versorgung. Die Ergebnisse werden im Zusammenhang mit der physiologischen Wirkung der Herbizide und den landwirtschaftlichen Praktiken besprochen.  相似文献   

9.
Laboratory experiments were conducted to determine the effects of soil moisture, simulated rainfall and time of day of spray application on the efficacy of glufosinate-ammonium in barley (Hordeum vulgare L. cv. ‘Samson’) and green foxtail (Setaria viridis (L.) Beauv.) plants. Environmental variables examined were three soil moisture levels (18% moisture, 50% moisture and saturated), three intensities of simulated rainfall following spray application [drizzle (4 mm), moderate (9 mm) and heavy (22 mm)] and two times of spray application (begin ning and end of a 16-h photoperiod). The efficacy of 100 g ha?1 glufosinate-ammonium on barley was greatest at 18% soil moisture when measured by both ammonia and dry weight accumulation in the shoots. At the same dose green foxtail showed less ammonia accumula tion at 18% soil moisture than under other soil moisture levels, but showed no significant differences in dry weight accumulation 14 days after treatment (DAT). Simulated rainfall shortly after spraying reduced the efficacy of glufosinate-ammonium on both species. At the field dose of 800 g ha?1, a rain-free period of 1–8 h was necessary for barley, while a period of less than 20 min was necessary for green foxtail to obtain herbicidal activity comparable with that of treated plants which received no rain. Based on dry weight accumulation, barley plants were equally sensitive and green foxtail plants were significantly more susceptible when glufosinate-ammonium was applied at the end compared to the beginning of the photoperiod. Both species accumulated significantly more ammonia in the shoots during the initial 24 h following application if sprayed at the end of the photoperiod. Of the environmental factors examined in this study, rainfall after spray application caused the greatest reduction of glufosinate-ammonium efficacy. Influence de I'humiditt du sol, de la pluie artificielle et de I'époque d'application sur I'effi cacité du glufosinate-ammonium Des essais de laboratoire ont été conduits pour déterminer les effets de Phumidité du sol, de la pluie et de I'époque d'application sur 1'efficacité de glufosinate-ammonium sur 1'orge (Hordeum vulgare L. c.v. ‘Samson’) et la sétaire (Setaria viridis (L.) Beauv.). Les variables environne mentales examinées étaient 3 taux d'humidité du sol (18%, 50% et saturation), 3 intensités de pluie artificielle suivant ('application (faible—4 mm; modéré 9 mm; et forte 22 mm) et 2 époques d'application (début et fin d'une photopériode de 16 h). L'efficacite de 100 g ha?1 de glufosinate-ammonium sur orge était maximale a 18% d'humidité du sol, mesurée à la fois par I'accumulation d'azote et de matiére séche dans les tiges. A la même dose, la sétaire exprime une moins grande accumulation d'azote à 18% d'humidité du sol qu'aux autres taux d'humidité mais ne montre pas de différences dans I'accumulation de matière sèche 14 jours après le traitement (JAT). Une pluie artificielle suivant de près la pulvérisation réduit 1'eficacité du glufosinate-ammonium sur les deux espèces. A la dose d'utilisation de 800 g ha?1, une période sans pluie de 1 à 8 heures est nécessaire pour l'orge, tandis que moins de 20 minutes sont nécessaires pour le sétaire pour obtenir une activité herbicide comparable à celle observée avec des plantes traitées sans pluie. En se fondant sur l'accumulation de matière sèche, les plantes d'orge étaient également sensibles, et les sétaires étaient significativement plus sensibles quand le glufosinate-ammonium était appliquéà la fin plutêt qu'au début de la photopériode. Les 2 espèces accumulent significativement plus d'azote dans les tiges pendant les 24 premières heures suivant l'application quand elle a lieu en fin de photopériode. Des facteurs environnementaux examinés dans cette étude, la pluie après la pulvérisation cause la plus grande réduction d'efficacité glufosinate-ammonium. Einfluβ von Bodenfeuchte, simuliertem Niederschlag und Applikationszeitpunkt auf die Wirksamkeit von Glufosinat-ammonium In Laborversuchen wurde der Einfluß von Bodenfeuchte, simuliertem Niederschlag und Applikationszeitpunkt auf die Wirksamkeit von Glufosinat-ammonium auf die Gersten-Sorte ‘Samson’ (Hordeum vulgäre L.) und Grüne Borstenhirse (Setaria viridis (L.) Beauv.) untersucht. Als Umweltvariablen wurden 3 Bodenfeuchtegrade (18%, 50% und gesättigt), 3 Niederschlagsintensitäten [Niesei (4 mm), mäßig (9 mm) und stark (22 mm)] nach der Behandlung und 2 Applikationszeitpunkte (Beginn und Ende einer 16-h-Photoperiode) eingesetzt. Die Wirkung von 100 g ha?1 Glufosinat-ammonium auf die Gerste war bei 18% Bodenfeuchte sowohl hinsichtlich des Ammoniumgehalts als auch der Trockenmasse des Sprosses am größten. Bei derselben Dosis hatte die Grüne Borstenhirse einen geringeren Ammoniumgehalt bei 18% Bodenfeuchte als bei anderen Feuchtegraden, zeigte jedoch 14 Tage nach der Behandlung keine signifikanten Unterschiede in der Trockenmasse. Niederschlag kurz nach der Behandlung verminderte die Wirksamkeit bei beiden Arten. Bei der Felddosis von 800 g ha?1 war eine niederschlagsfreie Periode von 8 Stunden notwendig, bei der Grünen Borstenhirse jedoch weniger als 20 Minuten, um dieselbe Wirkung zu erreichen wie bei Pflanzen, die ohne Regen geblieben waren. Hinsichtlich der Trockenmassebildung waren Gerstenpflanzen gleich empfindlich und Borstenhirsenpflanzen signifikant empfindlicher, wenn Glufosinat-ammonium am Ende statt am Beginn der Photoperiode appliziert wurde. Beide Arten hatten in den Sprossen während der ersten 24 Stunden nach der Behandlung am Ende der Photoperiode einen signifikant höheren Ammoniumgehalt. Von den hieruntersuchten Umweltfaktoren reduzierte der Niederschlag nach der Behandlung die Wirkung von Glufosinat-ammonium am meisten.  相似文献   

10.
S. R. MOSS 《Weed Research》1980,20(5):271-276
Straw burning destroyed many Alopecurus myosuroides(blackgrass)seeds lying on the soil surface and, compared with straw baling, resulted in a smaller weed infestation in a subsequent direct-drilled winter wheat crop. The larger the amount of straw burnt, the higher the temperature reached on the soil surface and consequently the greater the control of the weed. Seeds that were fully imbibed were less susceptible to destruction by heat than were dry seeds. A shallow soil covering protected most seeds although some were stimulated to germinate. After straw burning the soil surface was a better environment for seed germination or seedling development than that under stubble. Differences in seedling numbers between treatments were not always proportional to differences in the numbers of viable seeds in the soil. Quelques effets du brûlage des pailles des céréales sur la viabilité des semences et l'implantation des plantules d'Alopecurus myosuroïdes Huds. et influence sur sa destruction Le brûlage des pailles a détruit de nombreuses semences d'Alopecurus myosuroïdes (vulpin) se trouvant à la surface du sol, ce qui a eu pour effet, par comparaison avec la récolte de la paille, de réduire l'infestation de la mauvaise herbe dans la culture suivante, un blé d'hiver en semis direct. Plus grande est la quantité de paille brûlée plus la température au niveau du sol est élevée et, par suite, meilleure est la destruction de la mauvaise herbe. Les semences qui avaient été complètement imbibées se sont montrées moins susceptibles d'être détruites par la chaleur que les semences sèches. L'existence d'une couche meuble superficielle sur le sol s'est révélée comme un meilleur environnement pour la germination des semences ou le développement des plantules que sous le chaume. Les différences entre le nombre des plantules selon les traitements n'ont pas toujours été proportionnelles aux quantités de semences viables présentes dans lesol. Einige Auswirtcungen des Verbrennens von Getreidestroh auf die Lebensfähigkeit der Samen, das Auflaufen und die Bekämpfung von Alopecurus myosuroides Huds. Das Verbrennen von Stroh zerstörte viele Samen von Alopecurus myosuroides(Ackerfuchsschwanz) die auf der Bodenoberfläche lagen und hatte, im Vergleich zum Ballenpressen, eine geringere Verseuchung in im Direktsaatverfahren nachgebauten Weizen zur Folge. Je grösser die Strohmenge war, desto höher war die Temperatur auf der Bodenotrerfläche und umso besser war die Bekämpfung des Ackerfuchsschwanzes. Samen, die mit Wasser vollgesogen waren, wurden durch die Hitze weniger geschädigt als trockene. Durch eine flache Bodenabdeckung wurden die meisten Samen geschützt, bei einigen wurde aber die Keimung stimuliert. Nach dem Strohverbrennen waren die Bodenverhältnisse für die Keimung und die Entwicklung der Keimlinge günstiger als in der Stoppel. Die Unterschiede in der Keimpflanzenzahl zwischen den Behandlungen waren nicht immer proportional zu den Unterschieden in der Anzahl lebensfähiger Samen im Boden.  相似文献   

11.
Fragments of Agropyron repens rhizomes, two lo fifteen nodes long and without u apex, were grown on moist chromato-graphic paper in Perspex boxes to observe the pattern of shoot growth. A majority of shoots started into growth after decapitation of the rhizome and the smaller the fragment the greater the proportion that grew. After only a day or two, shoots began to cease growth, starling with those furthest away from the shoot that ultimately became the absolute dominant and progressing in order towards it. The shorter the rhizome fragment the quicker absolute dominance MM achieved. Most of the fragments tested had absolute dominants by the twentieth day. The dominant shoot was OMM frequently at the second node from the apical end. Roots grew from the base of new shoots, but did not necessarily cease growth when their shoots ceased growth and even small buds that made no detectable growth at all produced vigorous roots. Three rhizomes that ceased growth altogether before 20 days made more growth after being given potassium nitrate, but it did not apparently prevent the onset of a dominance system. The significance of these results is discussed. Le développement de la dominance parmi les tiges issues de fragments de rhizomes d'Agropyron repens Des fragments de rhizomes d’Agropyron repens comprenant de 2 a 15 noeuds et dépourvus d'apex ont été mis en culture sur papier chromatographique humide dans des boites “Perspex” afin d'observer les modalités de croissance des tiges. La majorité de ces tiges commencérent k croître aprés la décapitation du rhizome et ceci dans une proportion d’autant plus grande que les fragments étaient plus petits. Aprés seulement un jour ou deux, la croissance des tiges commença à se ralentir à partir de celles qui se trouvaient le plus loin de la tige qui devait devenir ultérieurement la dominante absolue et progressérent dans I'ordre, dans sa direction. Plus le fragment de rhizome était petit, plus l'achévement de la dominance absolue fut rapide. La plupart des fragments mis en culture manifestérent des dominances absolues vers le vingtiéme jour. La tige dominante fut le plus fréquemment situtée au second noeud à partir de l'extrémilé apicale. Des racines poussérent à la base des nouvelles tiges, mais leur croissance ne fut pas nécessairement interrompue quand celle des tiges cessa; il arriva même que des bourgeons n'ayant manifeste aucune croissance produisirent néanmoins des racines vigoureuses. Trois rhizomes dont la croissance s'arrêta complétement avant vingt jours se remirent à pousser aprés avoir reçu du nitrate de potassium, mais. apparemment, ceci ne prévint pus le départ d'un systéme de dominance. La signification de ces résultats est discutée. Die Bildung der Dominanz beim Austrieb der Rhizomstücke von Agropyron repens Rhizomstücke von Agropyron repens, 2–15 Nodien lang und ohne Apex, wurden auf feuchtem Chromatographiepapier in “Perspex”-BehSltern angezogen, um das Sprosswachstum zu beobachten. Nach dem Abtrennen des Rhizomes begannen die meisten Sprosse zu wachsen, wobei mit abnehmender Grösse des Rhizomstückes die Zahl wachsender Sprosse zunahm. Die vom letztlich dominierenden Spross am weitstene entfernten Sprosse begannen schon nach ein bis zwei Tagen das Wachstum einzustellen. Je kürzcr das Rhizom-stück war. desto schnellcr wurde eine absolute Dominanz erziell. Bei den meisten der untersuchten Rhizomstücke hatte sich bis zum 20. Tag ein dominicrender Spross durchgesetzt. Dieser befand sich in der Rcgd zwei Nodien vom apikalen Ende entfernt. An der Basis neuer Sprosse wuchsen Wurzein. Diese stellten jedoch nicht zwangsläufig ihr Wachstum ein, sobald der Spross aufhörte zu wachsen. Sogar kleine Knospen, ohne sichtbares Wachstum, entwickelten kräftige Wurzein. Durch Zugabe von Kaliumnitrat wiesen drei Rhizome, die vor dem 20. Tag das Wachstum eingestetlt hatten, ein verstärktes Wachstum auf, ohne dass dabei die Dominanzverhältnisse veründert wurden. Die Bedeutung dieser Ergebnisse wird diskutiert.  相似文献   

12.
A series of experiments using N-(phosphonomethyl)glycine (glyphosate) for controlling Agropyron repens (L.) Beauv. is described. Glyphosate, applied to undisturbed stubble in 1971 and 1972 controlled A. repens well. Rotary cultivation 5 weeks (1971) or 8 weeks (1972) prior to treatment, or 8 days after treatment (1972) did not affect the subsequent control. In two out of three experiments control of this weed resulted in significant increases in barley yield. This increase especially in one experiment was partly due to the inability to produce a good seedbed on the untreated control plots because of the vegetation. On the site where no increase in yield was measured, the population of A. repens was much less. Lutte contre l'Agropyron repens (L.) Beauv. dans les chaumes, avec le glyphosate Une série d'essais utilisant la N-(phosphonométhyl) glycine (glyphosate) pour lutter contre l'Agropyron repens (L) Beauv. sont décrits. Le glyphosate appliqué sur des chaumes non retournés en 1971 et 1972 a fait preuve d'une bonne efficacité contre A. repens. Une façon culturale rotative exécutée 5 semaines (1971) ou 8 semaines (1972) avant le traitement, ou 8 jours après le traitement (1972) n'a pas affecté Fefficacité ultérieure. Dans deux des essais sur trois, l'efficacité contre cette mauvaise herbe s'est traduite par une augmentation significative du rendement de l'orge. Cette augmentation, en particulier dans un essai, a été provoquée en partie par l'impossibilité d'obtenir un bon lit de semence dans les parcelles non traitées, en raison de la végétation. Dans les emplacements où il n'a pas élé constaté d'accroissement de rendement, la population d'A. repensétait beaucoup plus faible. Die Bekämpfung von Agropyron repens (i.) Beauv. auf der Stoppel mit Glyphosate Es wird eine Reihe von Versuchen beschrieben, in denen N-(Phosphonomethyl)glycin (Glyphosate) zur Bekämpfung von Agropyron repens (L) Beauv. eingesetzt wurde. Die Anwendung von Glyphosate in unbearbeiteter Stoppel in den Jahren 1971 und 1972, führte zu einer guten Bekämpfung von A. repens. Fräsen 5 Wochen (1971) bzw. 8 Wochen (1972) vor der Behandlung, oder 8 Tage nach der Behandlung (1972), beeinträchtigte den Bekämpfungserfolg nicht. In zwei von drei Versuchen bewirkte die Queckenbekämpfung einen gesicherten Mehrertrag bei Gerste. Besonders in einem Versuch war dieser Mehrertrag auf die starke Verqueckung in Unbehandelt zurückzuführen, wo eine optimale Bereitung des Saatbetts nicht möglich war. Dort, wo kein Ertragszuwachs festgestellet werden konnte, war die Verseu-chung mit A. repens viel schwächer.  相似文献   

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The effectiveness of 122 herbicides in inhibiting growth of buds from single-node sections of couch (Agropyron repens (L.) Beauv.) rhizomes was evaluated under glasshouse conditions. Treatments were made by planting twenty-five couch rhizome segments in washed silica sand and watering them with nutrient solution containing from 10?2 to 10?8 M concentrations of the herbicides. Final evaluations were made 21 days after planting. At 10?5 M or lower concentrations, nineteen herbicides inhibited couch bud growth to less than 5 % of that in the untreated cultures. This concentration is approximately 0–28 kg/ha calculated on a 15-cm plough-slice basis. Herbicide groups showing the greatest inhibition of quackgrass rhizomes were the anilides and amides, carba-mates, and toluidines. Overall, pronamide (3,5-dichloro-N-(1,1-dimethylpropynyl)-benzamide) demonstrated the greatest activity. Many of the herbicides shown to be effective in this study do not generally control quackgrass under field conditions. Their lower activity in the field may be due to excessive decomposition, soil-herbicide interactions, or lack of rhizome exposure to the herbicides. Some herbicides which provide couch control under field conditions were not effective in this study. The reduced effectiveness of these chemicals under the conditions tested probably occurred because the herbicides were active only when applied post-emergence, because the primary action mechanisms were on processes other than bud development, or because the observation period was too short to detect complete results. Influence des herbicides sur le developpement des bourgeons du chiendent L'activité inhibitrice de la croissance des bourgeons de fragments de rhizomes de chiendent (Agropyron repens (L.) Beauv.) comportant un seul noeud, a étéévaluée en serre pour 122 herbicides. Les traitements ont été effectués en plantant 25 fragments de rhizome de chiendent dans un sable de silice Iavé et en leur apportant une solution nutritive contenant les herbicides k des concentrations allant de 10?2à 10?8 M. Les évaluations finales ont été faites 21 jours aprés la plantation. A la concentration a 10?5 M ou a des concentrations plus faibles, dix-neuf herbicides inhibérent la croissance des bourgeons de chiendent jusqu'a moins de 5 % de celle des cultures non traitées. Cette concentration correspond approximativement k un traitement à 0,28 kg/ha calculé sur la base d'un labour à 15 cm. Les groupes d'her-bicides manifestant la plus forte inhibition des rhizomes de chiendent furent les anilides, les amides, les carbamates et les toluidines. Le plus actif fut la pronamide (3,5-dichloro-N-(1,1-dimothylpropynil)-benzamide). Beaucoup des herbicides qui se montrerent efficaces dans cette étude ne l'etaient pas contre le chiendent au champ. Leur activité plus faible au champ peut été due k une decomposition excessive, k des interactions sol-herbicide, ou au défaut de contact entre les rhizomes et les herbicides. Quelques herbicides qui s'avfirent efficaces au champ contre le chiendent ne l'ont pas été dans cet essai. La réduction d'efficacité des produits dans les conditions de essaisest probablement manifest Se en raison du fait que les herbicides furent actifs seulement en traitements de post-levée, parce que les mocanismes d'action primaire s'exerecérent sur des processus autres que le développement des bourgeons, ou parce que la période d'observation fut trop courte pour detecter des résultats complets. Einfluss von Herbiziden auf die Knospenenlwicklung bei der Quecke Es wurde die Wirkung von 122 Herbiziden auf die Hemmung des Knospenwachstums von Rhizomabschnitten der Quecke (Agropyron repens (L.) Beauv.) mit jeweils einem Nodium, unter Gewachshausbedingungen untersucht. Die Behand-lungen wurden folgendermassendurchgefuhrt: 25 Abschnitte von Queckenrhizomen wurden in gewaschenen Quarzsand gepfianzt und mit Nahrlosung gegossen, die Herbizid in 10?2 bis 10?8 M Konzentration enthielt. Die endgultige Aus-wertungerfolgte 21 Tage nach dem Pflanzen. Bei 10?5 M oder niedrigeren Konzentrationen hemmten 19 Herbizide das Wachstum der Queckenknospen um weniger als 5% im Vergleich zu Unbehandelt. Diese Konzentration entspricht etwa einer Aufwandmenge von 028 kg/ha bezogen auf 15 cm Pfiugtiefe. Die grossteHemmwirkung gegenuber den Queckenrhizomen zeigten die Herbizide aus der Gruppe der Anilide, Amide, Carbamate und Toluidine. Insgesamt wies Pronamid (3,5-Dichlor-N-(1,1-dimethylpropinyl)-benzamid) die grosste Aktivitat auf. Viele der Herbizide, die unter den Versuchs-bedingungen wirksam waren, bekSaAmpfen die Quecke im Freiland gewöhnlich nicht. Die geringere Wirksamkeit dieser Herbizide im Freiland kann auf ubermessigen Abbau, auf Boden-Herbizide-Wechselbeziehungen oder auf fehlenden Kontakt des Rhizoms mit dem Herbizid zuruckzufuhren sein. Andererseits waren einige Herbizide, die eine Be-kampfung der Quecke unter Freilandbedingungen gewähr-leisten, in diesem Versuch nicht wirksam. Die verringerte Wirksamkeit diser Verbindungen unter den hier herrschenden Bedingungen, kann darauf zuruckgefuhrt werden, dass die Herbizide nur wirksam sind, wenn sie im Nachauflauf eingesetzt werden weil die primaren Wirkungsmechanismen an andere Prozesse als die Knospenentwicklung gebunden sind, Oder weil der Beobachtungszeitraum zu kurz war, um zu einer endgultigen Aussage zu gelangen.  相似文献   

14.
The effect of bentazone at 10 and 100 ppm in two soils on microbial activities and populations was investigated for 32 weeks. The higher concentration caused reductions in carbon dioxide output and oxygen uptake in both soils, In soil I (pH 6.4, organic C 1.7%) an increase in total mineral nitrogen occurred throughout but in soil H (pH 5.6, organic C 3.7%) a reduction in both mineralization of nitrogen and nitrification was observed from week 22 onwards. In general, populations of fungi and actinomycetes were resistant to or stimulated by bentazone, especially in soil II at 100 ppm. With bacteria, including cellulolytic and spore formers, cellulolytic fungi and actinomycetes, there was some inhibition even at the low concentration, effects being more pronounced in soil II than in soil I. The herbicide at 20 ppm had very little effect on growth and morphology of four fungal species in pure culture. Residue analyses showed that bentazone degraded more rapidly in soil II than in soil I although appreciable effects occurred throughout the experiment in both soils. Evaluation simultanée de diverses réactions de la microflore du sol à la bentazone. L'effet de la bentazone à 10 et 100 ppm sur les activités et les populations microbiennes a étéétudié pendant 32 semaines. La concentration la plus forte a provoqué des réductions du dégagement de dioxyde de carbone et de l'absorption d'oxygéne dans les deux sols. Dans le sol I (pH 6,4, teneur en carbone organique 1,7%) un accroissement de I'azote mineral total s'est constamment manifesté, mais, dans le sol II (pH 5,6, teneur en carbone organique 3,7%) une réduction simultanée de la minéralisation de I'azote et de la nitrification a été observée a partir de la 22ème semaine. D'une façon générale, les populations de champignons et d'actinomycétes se sont montrées résistantes à la bentazone, ou même stimulées par elle, en particulier pour le sol II à la concentration de 100 ppm. Avec les bactéries, y compris les formes sporultés et cellulolytiques, les champignons cellulolytiques et les aainomycétes, il s'est produit une certaine inhibition même à la concentration faible, ces cffets étant plus prononcés dans le sol II que dam le sol I. L'herbicide à 20 ppm n'a eu qu'une trés faible action sur la croissance et la morphologie de quatre espéces de champignons en culture pure Des analyses de résidus ont montré que la bentazone s'est dégradée plus rapiderment dans le sol II que dans le sol I, bien que des effets appréciables soieni apparus dans toute l'expérience avec les deux sols. Gleichzeitige Erfassung verschiedener Reaktionen der Bodenmikroflora auf Bentazon Es wurde die Wirkung von Bentazon (10 und 100 ppm) über 32 Wochen auf die mikrobielle Aktivität und auf die Mikroorganismenpopulationen zweier Boden untersucht. Durch die höhere Konzentration ging in beiden Boden die Abgabe von Kohlendioxid und die Aufnahme von Sauerstoff zurück. Im Boden I (pH 6,4; org. C l,7%) wurde während der gesamten Versuchszeit ein Anstieg des mineralischen Stickstoffs festgestellt, während im Boden II (pH 5,6; org. C 3,7%) ein Rückgang in der Stickstoffmineralisierung und der Nitrifikation ab der 22. Woche zu beobachten war. Im allgemeinen waren die Pilz- und Actinomycetenpopulationen gegenüber Bentazon resistent oder sie wurden durch das Herbizid gefördert, besonders im Boden II bei 100 ppm. Beiden Bakterien, einschliesslich zellulolytischer und sporenbildender Arten, den zellulolytischen Pilzen und Actinomyceten wurde eine geringe Hemmung, sogar bei der niedrigen Konzentration, festgestellt. Diese Effekte waren im Boden II stärker als im Boden I ausgeprägt. In Reinkultur hatten 20 ppm Bentazon nur eine gennge Wirkung auf das Wachstum und die Morphologie von vier Pilzarten. Rückstandsuntersuchungen ergaben, dass Bentazon im Boden II schneller ais im Boden I abgebaut wurde, es kam aber in beiden Böden zu deutlichen Effekten.  相似文献   

15.
Unter Laborbedingungen wurden die beiden Dichlorprop-Praparate ‘U 46 DP-Fluid’ (Race-mat) und ‘Duplosan DP’ (optisch rechtsdre-hende Form) auf zwei ackerbaulichen Boden mil und ohne Luzernemehl angewendet. Wahrend der bis zu 12 wochigen Bebrütung wurden ver-schiedene mikrobielle Aktivitaten untersucht. Die aus einer simulierten gleichmäßigen Vertei-lung der flachenbezogenen praxisüblichen Aufwandmenge der Herbizide in der oberen Bodenschicht resultierende einfache Konzentra-tion verursachte in beiden gedüngten und ungedüngten Boden keine merklichen Einflüsse. Die 10 fache Konzentration führte jedoch bei der Kohlenstoff- und vor allem bei der Stickstoffmi-neralisierung zu langanhaltenden Stimulationen, die die 100 fache Konzentration noch wesentlich verstärkte bei gleichzeitiger Hemmung der Nitri-fikation und der Biomasse-bezogenen Ak tivitäten Glucose-induzierte Kurzzeitatmung und Dehydrogenase (TTC-Reduktion). Das Verhältnis von mineralisiertem Kohlenstoff zu Stickstoff wurde hierb i stark zugunsten des Stickstoffs verschoben. Ein Vergleich der beiden Dichlorprop-Präparate zeigle bei den niedrigen Konzentrationen im Boden kaum unter-schiedliche Effekte, bei höheren wirkte das Racemat jedoch deutlich stärker als die P-Form ‘Duplosan DP’. Influence of racemic and optically active dichlor-prop-herbicides on microbial activities in soil Under laboratory conditions the dichlorprop herbicides ‘U46 DP-Fluid’ (racemate) and ‘Du-plosan DP’ (optical active form) were applied to two agricultural soils with and without lucerne meal. During incubation for up to 12 weeks several microbial activities were investigated. When a single concentration of the herbicides in soil was used, which resulted from simulation of homogenous penetration of the area-related field rate into the upper 5-cm layer, no marked effects occurred. The higher concentration (×10), however, stimulated the carbon and especially the nitrogen mineralization for a longer time. The highest concentration (× 100) strongly enhanced these effects and simultaneously inhibited nitrification and the biomass-related activities glucose-induced short-term respiration and dehydrogenase (TTC reduction). In addition the relationship between mineralized carbon and nitrogen shifted to favour nitrogen. The comparison of the two dichlorprop herbicides at low concentrations hardly showed different effects, whereas at the higher concentrations the race-mate acted stronger than the P-form ‘Duplosan DP’. Influence de l'herbicide dichlorprop sous formes racémique et optiquement active sur l'activité microbienne du sol Les herbicides à base de dichlorprop ‘U 46 DP Fluid’ (racémate) et ‘Duplosan DP’ (forme optiquement active) ont été appliqués au laboratoire à deux sols agricoles, avec et sans farine de luzerne. Pendant l'incubation, qui durait jusqu'à 12 semaines, plusieurs activités microbiennes ont étéétudiées. À la concentration correspondant à la répartition homogène dans les 5-cm superficiels du sol de la dose employée dans la pratique, les herbicides n'exerçaient aucune influence détectable, que le sol ait reçu ou non de la fumure. À une concentration 10 fois plus élevée, ils stimulaient de façon durable la minéralisation du carbone et surtout de l'azote. À une concentration 100 fois plus élevée, ces effets étaient plus prononcés, la nitrification était inhibée ainsi que les activités à la biomasse: la respiration en temps courte induite par le glucose et l'activité déshy-drogénase (réduction du TTC). De plus, le rapport de minéralisation carbone/azote changait en faveur de l'azote. À la plus basse concentration, les effets des deux herbicides n'étaient pratiquement pas différentes alors qu'aux plus hautes concentrations le racémate était plus actif que la forme P ‘Duplosan DP’.  相似文献   

16.
Degradation of triasulfuron in non-autoclaved and autoclaved soil incubated at different temperatures and moisture contents was evaluated in the laboratory using a maize root growth bioassay. Disappearance of triasulfuron was faster in non-autoclaved than in autoclaved soil, indicating the importance of microorganisms in the breakdown process. Degradation of the herbicide was faster at 30°C than at 10°C, with half-lives of 11–13 days at 30°C and 30–79 days at 10°C. Degradation of the herbicide was influenced more by temperature than by variation in soil moisture. Disappearance of the herbicide was rapid in the non-autoclaved soil at 30°C during the initial 30 days of incubation, but low levels of residues persisted for up to 90 days. A second application of the herbicide, to soil in which an initial dose of triasulfuron had degraded, disappeared at the same rate as herbicide added to previously untreated soil, indicating that there was no enhancement of degradation with repeated application of herbicide. Dégradation du triasulfuron dans le sol en conditions de laboratoire La dégradation du triasulfuron dans des sols non autoclavés et autoclavés, incubés à des températures et à des teneurs en humidité différentes, a étéévaluée au laboratoire en utilisant un bio essai sur la croissance d'une racine de maïs. La disparition du triasulfuron a été plus rapide en sol non autoclavé qu'en sol autoclavé, soulignant l'importance des microorganismes dans le processus de dégradation. La dégradation de l'herbicide a été plus rapide à 30°C qu'à 10°C avec des demi-vies respectives de 11–13 jours et de 30–79 jours. La dégradation de l'herbicide a été plus influencée par la température que par les variations d'humidité du sol. La disparition de l'herbicide a été rapide dans le sol non autoclavéà 30°C pendant les 30 premiers jours d'incubation, mais de faibles résidus persistaient au delà de 90 jours. Une seconde application d'herbicide sur un sol dans lequel une dose initiate de triasulfuron avait été dégradée, a disparu de la même façon qu'une dose appliquée sur un sol non traitd, montrant qu'il n'y avait pas d'augmentation de la dégradation à la suite d'une répétition d'application. Abbau von Triasulfuron im Boden unter Laborbedingungen Der Abbau von Triasulfuron in nicht sterilisiertem und sterilisiertem Boden bei verschiedener Temperatur und Bodenfeuchte wurde mit einem Maiswurzel-Wachstumstest untersucht. Die Menge des Triasulfurons nahm im nicht-sterilisierten Boden schneller ab als im sterilisierten, was auf mikrobiellen Abbau hinweist. Das Herbizid wurde bei 30 °C mit einer Halbwertszeit von 11 bis 13 Tagen schneller abgebaut als bei 10 °C mit einer von 30 bis 79 Tagen. Der Abbau wurde durch die Temperatur stärker beeinflußt als durch Änderung der Bodenfeuchte. Das Herbizid unterlag in den ersten 30 Tagen bei 30 °C im nichtsterilisierten Boden einem schnellen Abbau, doch geringe Rückstände wurden bis zu 90 Tagen gefunden. Bei einer zweiten Applikation des Herbizids auf Boden, in dem schon eine erste Dosis von Triasulfuron abgebaut worden war, nahm der Wirkstoff im selben Maße wie zuvor ab, so daß bei wiederholter Anwendung nicht mit einem verstärkten Abbau gerechnet werden kann.  相似文献   

17.
Changes in the concentrations of [14C]carbonyl-isoproturon and its degradation products in a clay-loam soil and in soil solution during incubation at 11°C and 18°C for 6 weeks, were measured following solvent extraction and soil solution sampling with glass microfibre filters. During herbicide degradation, 14CO2 was released (up to 20%) and unextractable radioactivity increased (up to 30%). Monomethyl isoproturon was the main metabolite in soil followed by metabolite X5 (possibly hydroxy di-des-methyl isoproturon). Isoproturon and monomethyl isoproturon were mainly adsorbed by soil whereas metabolite X5 was found mainly in the soil solution. Isoproturon concentrations declined in both soil and soil solution, but the percentage of the residual herbicide dissolved in the soil solution decreased from 26 to 15%. At low temperature, herbicide degradation occurred more slowly, and the degradation products were generally less abundant. However metabolite X5 was present at unexpectedly high levels, particularly in the soil solution. Evolution de l'isoproturon et de ses produits dégradation dans le sol et la solution du sol pendant l'incubation de Vherbicide a deux temperatures. L'évolution de l'isoproturon (marqué au 14C sur le carbonyle) et de ses produits de dégradation dans un sol argilo-limoneux et dans la solution du sol est suivie pendant 6 sêmaines d'incubation de l'herbicide à 11 et 18°C. Pour ce faire, la solution du sol est échantillonnée au moyen de filtres en fibres de verre et les composés sont extraits du sol par des solvants. Au cours de la dégradation, du 14CO2 est libéré (jusqu'à 20%) et la radioactivité non extraite s'accroit (jusqu'à 30%). L'isoproturon monométhyle est le principal métabolite dans le sol suivi du metabolite X5 (probablement le dérivé hydroxy didéméthylé). L'isoproturon et son dérivé monométhyle sont surtout adsorbés par le sol alors que le métabolite X5 est surtout en solution. La quantite d'iso-proturon diminue simultanemént dans le sol et la solution du sol mais la fraction dissoute de l'herbicide residuel décroit de 26 à 15%. A basse température, la dégradation de l'herbicide est plus lente et les produits de dégradation sont généralement moins abondants à l'exception notable du métabolite X5 qui est présent a un niveau élevé, en particulier dans la solution du sol. Veränderung der Konzentration von Isoproturon und seiner Abbauprodukte im Boden und in der Bodenlösung bei Inkubation Veränderung der Konzentration von [14C]-Car-bonyl-Isoproturon und seiner Abbauprodukte in einem Lehmboden und in der Bodenlösung wurden nach 6 Wochen Inkubation bei 11 und 18°C und Extraktion bzw. Probennahme durch Glasmikrofaserfilter gemessen. Während des Herbizidabbaus wurden bis zu 20 % der Radioaktivität als 14CO2 freigesetzt, und die nichtextrahierbare Radioaktivität nahm zu (bis zu 30 %). Monomethyl-Isoproturon war der Hauptmetabolit, gefolgt vom Metabolit X5 (möglicherweise Hydroxy-didesmethyl-Isoproturon). Isoproturon und Monomethyl-Isoproturon waren weitgehend an Bodenpartikeln adsorbiert, während der Metabolit X5 vorwiegend in der Bodenlösung gefunden wurde. Die Isoproturon-Konzentrationen nahmen sowohl im Boden als auch in der Bodenlösung ab, aber der Anteil des Herbizidrückstands in der Bodenlösung ging von 26 auf 15 % zurück. Bei der niedrigen Temperatur wurde das Herbizid langsamer abgebaut, und die Menge der Abbauprodukte war allgemein geringer. Der Metabolit X5 lag jedoch in unerwartet hoher Menge vor, besonders in der Bodenlösung.  相似文献   

18.
J. SALONEN 《Weed Research》1992,32(6):493-499
Reduction of the dose of MCPA/mecoprop and MCPA/fluroxypyr mixtures to half or one-third of the recommended rates still provided good weed control efficacy in spring wheat (Triticum aestivum L.) and particularly in spring barley (Hordeum vulgare L). The average yield of treated plots was 8% higher in wheat and 1% higher in barley compared with untreated plots. However, yield reductions were observed in 32% of wheat plots and in 43% of barley plots treated with herbicides. The yield responses were poorly correlated with the weed density of mixed weed flora at the time of spraying. No reliable threshold density for chemical weed control was found. Réponses au rendement de céréales de printemps, à des doses d'herbicides réduites La réduction de la dose de MCPA/mecoprop et MCPA/fluroxypyr a la moitié ou au tiers des taux recommandés a encore assure une bonne efficacité herbicide chez le blé de printemps (Triticum aestivum L.) et specialement chez l'orge de printemps (Hordeum vulgare L.). Le rendement moyen des parcelles traitées était de 8% plus élevé chez le blé et de 1%élevé chez l'orge que dans les parcelles non traitees. Cependant, des reductions de rendement ont été observées dans 32% des parcelles de blé et dans 43% des parcelles d'orge traitées aux herbicides. Les reponses du rendement étaient faiblement liées a la densité en adventices d'une flore mixte au moment du traitement. Aucune densité seuil-sérieuse pour le desherbage n'a été trouvée. Ertragsbildung von Sommergetreide bei reduziertem Aufwand von Herbiziden Eine Reduzierung des Aufwands von MCPA-Mecoprop- und MCPA-Fluroxypyr-Mischungen auf die Halfte oder ein Drittel des empfohlenen Aufwands ergab in Sommerweizen (Triticum aestivum L.) und besonders in Sommergerste (Hordeum vulgare L.) noch eine gute Unkrautbekampfung. Im Mittel war der Ertrag der behandelten Parzellen beim Weizen um 8% und bei der Gerste um 1% höher als in den unbehandelten, aber in 32% der Herbizidparzellen mit Weizen und in 43% der mit Gerste wurden Ertragsminderungen beobachtet. Die Ertragsbildung stand kaum in Beziehung zur Unkrautdichte zur Zeit der Behandlung. Es wurde keine verläßliche Schadensschwelle gefunden.  相似文献   

19.
A bioassay procedure is described for quantitative determination of sulfonylurea herbicides in water and for studying their leaching behaviour in soils. Sunflower (Helianthus annuus L.) was found a more susceptible bioassay species than turnip (Brassica rapa L.) or lentil (Lens culinaris Medic.). The limit of quantitative detection (EC30) in soil leachates was 0.12 μg 1?1 for triasulfuron and 0.15 μg 1?1 for metsulfuron-methyl. Leaching experiments were carried out by uniformly packing the soil in glass columns corresponding to its natural bulk density and applying simulated irrigation of 50 mm day?1 with leachate water from untreated soil columns. Results obtained by measuring fresh weights of the true leaves of sunflowers in soil leachates showed that metsulfuron-methyl was much more mobile than triasulfuron in two soils with different sorption capacity. The BBA soil with low sorptive capacity showed very little retardation of both herbicides in the columns. The Horotiu soil with high sorptive capacity retarded triasulfuron for a long period, even under high flow conditions. Une technique d'essai biologique pour étudier l'aptitu.de au lessivage des herbicides sul-fony-lurées dans des différents sols Un protocole d'essai biologique est décrit pour la détermination quantitative des herbicides sulfonylurées dans l'eau, et pour l'étude de leur lessivage dans les sols. Le tournesol (Helianthus annuus) a été reconnu comme une espèce pour l'essai biologique plus sensible que le navet (Brassica rapa) ou la lentille (Lens culinaris). La limite de détection quantitative (EC30) dans le lessivat du sol a été 0,12 μg 1?1 pour le triasulfuron et 0,15 μg 1?1 pour le metsulfuron methyl. Des études de lessivage ont été con-duites en mettant unifomément du sol dans des colonnes de verre de façon équivalente à la densité naturelle dans le sol et en appliquant une irrigation simulée de 50 mm jour?1 avec de l'eau d'un lessivat de sol non traité. Les résult ats obtenus en mesurant le poids frais des feuilles vraies de tournesol dans les lessivats de sol ont montré que le metsulfuron-methyl était beau-coup plus mobile que le triasulfuron dans les 2 sols de capacités d'adsorption différentes. Le sol BBA avec une capacité d'adsorption faible a entraiîné un faible ralentissement des 2 herbicides dans les colonnes. Le sol Horotiu avec une capacité d'adsorption élevée a retardé le triasulfuron pendant une longue période, même sous des conditions de fortes précipitations. Biotestmethode zur Bestimmung des Ein-waschungsverhaltens von Sulfonyl-Harnstoff-herbiziden in unterschiedlich sorptiven Böden Eine Biotestmethode zum quantitativen Nach-weis von Sulfonyl-Harnstoffherbiziden in Was-serproben zur Bestimmung des Einwaschungs-verhaltens wurde entwickelt. Sonnenblume (Helianthus annuus L.) war unter den geprüf-ten Testpflanzen wesentlich empfindlicher als Herbstrübe (Brassica rapa L.) oder Linse (Lens culinaris Medic.). Als empfindlichste Meßgröße erwiesen sich die Echten Laubblätter der Sonnenblume. Die Nachweisgrenzen (EC30-Werte) in Bodenperkolatwasser lagen bei 0,12 μg 1?1 für Triasulfuron und 0,15 μg l?1 für Metsulf-uron-methyl. Die Einwaschungsversuche wurden in Glassäulen durchgeführt, wobei die Böden gleichmäßig entsprechend ihrer Lagerungsdichte gepackt wurden. Die Beregnung erfolgte mit 50 mm Perkolat/Tag, das von nicht mit Herbiziden behandelten Säulenversuchen vorab gewonnen wurde. In beiden, unterschiedlich sorptiven, Böden zeigte Met-sulfuron-methyl eine stärkere Einwaschung als Triasulfuron. Im schwach sorptiven BBA-Boden wurden beide Wirkstoffe kaum retardiert, während Triasulfuron im stark sorptiven Horotiu-Boden über einen langen Zeitraum, auch unter den extremen Flußraten, zurückgehalten wurde.  相似文献   

20.
A. WALKER 《Weed Research》1978,18(5):305-313
The effects of soil temperature and soil moisture content on the rates of degradation of simazine, atrazine, propyzamide, linuron, metamitron, trifluralin, metribuzin und chlorthaldimethyl were measured in a sandy loam soil under controlled laboratory conditions, Atrazine degradation was the least dependent on soil moisture and metamitron degradation the most. Linuron degradation was the least affected by temperature and degradation of chlorthal-dimethyl was the most temperature-dependent. In the field, trifluralin, linuron and chlorthal-dimethyl were the most persistent herbicides with over 40% of the amounts applied remaining 5 months after application in spring, Simazine and propyzamide were intermediate with residues between 20 and 30% of the initial dose. Atrazine, metamitron and metribuzin were the least persistent with residues generally less than 20% of the amounts present initially. Weather records for the periods of the field experiments were used in conjunction with the appropriate constants derived from the laboratory data in a computer program to simulate persistence in the field. The model predicted with reasonable accuracy the relative order of persistence of the different herbicides, with the exception of metribuzin. With simazine, atrazine, propyzamide and in particular, metribuzin, there was a tendency to underestimate rates of loss. It is suggested that herbicide mobility in the soil was responsible for the poor agreement in some experiments. ASimulation de la persis tanee de huit herbicides appliqués sur le sol Les effets de la lempérature du sol et de sa teneur en eau sur les laux de dégradation ont étéétudiés pour les herbicides suivants:simazine, atrazinc, propyzamide, linuron, métamitrone, trifluraline, métribuzine et chlorthal-diméthyle. Ces taux de dégradation ont été mesurés dans un sol limono-sableux, dans des conditions contrôlés au laboratoire. La dépendance de la dégradation vis-á-vis de l'humidité du sol a été minimale pour I'atrazine et maximale pour la métamitrone. La dégradation du linuron a été Ia moins affectée par la température et celle du chlorthal-diméthyle la plus affectée. Au champ, la trifluraline, le linuron et le chlorthal-diméthyle ont été les herbicides les plus persistants, plus de 40% des quantités appliquées au printemps persistant encore 5 mois après. La simazine et le propyzamide se sont comportés de f açon intermédiaire, avec des résidus situés entre 20 et 30% de la dose initiale. L'atrazine, la métamitrone et la métribuzine ont été les moins persistants avec des résidus généralement inférieurs à 20% de la quantité initialement présente. L'enregistrement des conditions climatiques pendant la période des expériences au champ a été utilisé, avec les constantes appropriées provenant des résultats au laboratoire, dans le programme d'un ordinateur pour simuler la persistance au champ, Le modéle obtenu a permis de prévoir avec une précision raisonnable I'ordre relatif des pcrsistances des différents herbicides, à I'exception de la métribuzine. II s'est manifesté une tendance à la sous-estimation des taux de pertes pour la simazine, Tatrazine, le propyzamide et en particulier pour la métribuzine, II est suggéré que la mobilité des herbicides dans le sol a été responsable de la médiocre concordance observée dans quelques expériences. Simulation der Persistenz von acht Bodenherbiziden Es wurde die Wirkung der Bodentemperatur und der Bodenfeuchtigkeit aut die Abbaurate folgender Herbizide unter kontrollierten Laborbedingungen festgestellt: Simazin, Atrazin, Propyzamid, Linuron, Metamitron, Trifluralin, Metribuzin und Chlorthal-dimethyl. Der Abbau von Atrazin war am wenigsten, der Abbau von Metamitron am stärksten von der Bodenfeuchtigkeit abhängig. Der Abbau von Linuron wurde am geringsten durch die Temperatur beeinflusst, während der Abbau von Chlorthal-dimethyl am stärksten temperaturabhängig war. Unter Feldbedingungen wurden Trifluralin. Linuron und Chlorthal-dimethyl am langsamsten abgebaut - von der im Frühjahr ausgehrachten Menge waren nach fünf Monaten noch 40% vorhanden. Simazin und Propyzamid nahmen mit 20 und 40% eine miltlere Stellung ein. Alrazin, Metamitron und Metribuzin waren am wenigsten persistent: bei ihnen waren nur noch weniger als 20% des Anfangsgehalts festzustellen. Mit Hilfe der Klimadaten für die entsprechenden Perioden der Feldversuche und den entsprechenden Konstanten aus den Laborversuchen wurde mit einem Computerprogramm die Herbizidpersistent für Feldbedingungen simuliert. Mit dem Modell konnte die relative Rangfolge der Herbizidpersistenz mit hinreichender Genauigkeit vorhergesagt werden; Metribuzin machte jedoch eine Ausnahme. Für Simazin, Atrazin, Propyzamid und besonders für Metribuzin wurden die Abbsuraten etwas unterschätzt. Es wird angenommen, dass die mangelnde Übereinstimmung bei einigcn Versuchen auf den Transport der Herbizide im Boden zurückzuführen ist.  相似文献   

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