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1.
Studies on the etiology of tuber necrotic ringspot disease in potato   总被引:5,自引:0,他引:5  
Summary Potato virus M (PVM), potato virus S (PVS), potato virus X and tobacco veinal necrosis strain of potato virus Y (PVYR) were isolated from potatoes showing tuber necrotic ringspot disease (TNRD). Potato mop-top virus, tobacco rattle virus, tobacco necrosis virus and tomato black ring virus could not be isolated from the diseased plants. Because PVM and PVS could be isolated from potato plants that did not show symptoms, these viruses could not be causally related to TNRD. However, TNRD is closely connected with infections by PVYR which always could be isolated from potato plants with TNRD symptoms.
Zusammenfassung Aus Kartoffelpflanzen (Solanum tuberosum, Sorten Adema, Malacsinka, Mona Lisa, Romano und Rosalie) die Symptome des Tuber necrotic ringspot zeigten, wurden Kartoffel-M-Virus (PVM), Kartoffel-S-Virus (PVS), Kartoffel-X-Virus (PVX) und Kartoffel-Y-Virus (PVY) isoliert. Die Viren wurden mit Hilfe von Differentialwirten, Elektronenmikroskopie, Serologie und Pr?munit?tstests identifiziert. Die untersuchten Kartoffelknollen zeigten deutlich sichtbar nekrotische Ringsymptome (Abb. 1). Von den Nekrosen aufweisenden Knollen und von Kartoffelpflanzen konnten von allen Sorten drei Viren (PVM, PVS, PVY) isoliert werden, von der Sorte Malacsinka zus?tzlich noch PVX (Tab. 2). Entsprechend den Symptomen der Testpflanzen (Tab. 3) identifizierten wir die Virus-isolate aus Kartoffelpflanzen die Symptome des Tuber necrotic ringspot aufwiesen als PVM, PVS, PVX und PVY. Aus keiner kranken Pflanze konnte Kartoffelbüscheltrieb-Virus, Tabakmauche-Virus, Tabaknekrose-Virus und Tomatenschwarzring-Virus isoliert werden. Da PVM und PVS aus Pflanzen, die keine Symptome aufwiesen, isoliert werden k?nnten, k?nnen diese beiden Viren nicht urs?chlich mit den Symptomen der Tuber necrotic ringspot Krankheit (TNRD) verbunden sein. Wir konnten jedoch eine enge Verbindung zwischen TNRD und der Infektion mit PVY feststellen, da dieses Virus von allen Pflanzen, die Symptome des TNRD aufwiesen, isoliert werden konnte. Die Eigenschaften von PVY-Isolaten aus Knollen, Bl?ttern und Wurzeln ?hnelten jenen, die in verschiedenen Testpflanzen gefunden wurden (Tab. 4). Die typischen Symptomreaktionen aufNicotiana debneyi (Abb. 2) undN. tabacum Sorte Xanthi-nc sowie aufSolanum demissum A6-Hybride lassen vermuten, dass die Ursache ein Tobacco veinal necrosis—Stamm des PVY, (PVYR, siehe Abb. 3) war. Es ist schwierig zu einem endgültigen Ergebnis über die ?tiologie der TNRD zu kommen, weil einige PVYR-isolate sogar aus symptomlosen Kartoffelknollen gewonnen werden konnten. Die Untersuchungen werden fortgesetzt.

Résumé Les virus M (PVM), S (PVS), X (PVX) et Y (PVY) sont isolés à partir de plantes de pommes de terre (Solanum tuberosum cvs Adema, Malacsinka, Mona Lisa, Romano et Rosalie) présentant des sympt?mes de taches nécrotiques annulaires. Les virus sont identifiés à l'aide d'h?tes différentiels, de la microscopie électronique, de la sérologie et de tests de protection croisée. Les tubercules examinés présentent des taches nettement visibles de nécroses annulaires (fig. 1). A partir des tubercules nécrosés et des plantes, trois virus (PVM, PVS, et PVY) sont isolés pour tous les cultivars à l'exception de cv. Malacsinka pour lequel PVX est également isolé (tabl. 2). Les sympt?mes révélés sur les plantes tests (tabl. 3) indiquent que les virus isolés à partir des plantes présentant des sympt?mes de nécroses annulaires sur tubercules sont PVM, PVS, PVX et PVY. Les virus du Mop-Top de la pomme de terre, du rattle du tabac, de la nécrose du tabac et des taches noires en anneau de la tomate n'ont pu être isolés d'aucune des plantes malades. Puisque PVM et PVS peuvent être isolés de plantes de pommes de terre ne présentant pas de sympt?mes, ces deux virus ne peuvent être directement responsables des sympt?mes de taches nécrotiques annulaires sur tubercules (TNRD). Cependant, une relation étroite entre TNRD et la contamination par PVY est établie, puisque ce virus peut être isolé de toutes les plantes présentant des sympt?mes de TNRD. Le tableau 4 regroupe les caractéristiques de quel-ques cultures pures de PVY isolées à partir de tubercules, feuilles et racines et semblables à celles trouvées dans différentes plantes h?tes. Les sympt?mes typiques surNicotiana debneyi (fig. 2) etN. tabacum cv. Xanthi-nc, ainsi que surSolanum demissum-A6-hybride laissent à penser que l'agent responsable est une souche nécrotique des nervures du tabac de PVY (PVYR, voir fig. 3). Il est difficile de conclure de fa?on définitive, quant à l'étiologie de la maladie des taches nécrotiques annulaires, car PVYR peut être également isolé de tubercules ne présentant aucun sympt?me. Des études axées sur l'étiologie de TNRD sont en cours.
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2.
Summary The rate of growth per sprout during storage was an inverse function of the number of growing sprouts per tuber and a positive function of tuber weight. The time of onset and intensity of intersprout competition were positive functions of storage temperature between 7 and 20°C. Temperature appeared to have a differential effect on the potential growth rate of the sprouts and on the rate at which nutrients became available in the tuber. The onset and intensity of competition was not affected by the distance separating the competing sprouts, suggesting a relatively unrestricted path of flow between the sprouts and their source of nutrients in the tuber. Mobilization of the tuber reserves appeared to occur simultaneously throughout the tuber. A possible relationship between intersprout competition and the growth habit of the lateral branches of the sprout is discussed.
Résumé On a étudié dans trois essais sur la variétéArran Pilot les influences sur la croissance du germe, de la grosseur du tubercule, du nombre de germes par tubercule, de la température de conservation et de la distance entre les germes en concurrence. La première expérience a révélé que tout changement qui tend à accro?tre l'apport de substrat “tubercule” potentiellement disponible pour les germes (augmentation du poids du tubercule ou réduction du nombre de germes en développement par tubercule par dégermage ou comme résultat d'inhibition corrélative) provoque un accroissement du degré de croissance des germes individuels. De tels traitements modifient de la même fa?on la longueur (Fig. 1), le poids see (Tableau 2) et le nombre de noeuds (Tableau 3) des germes. Le poids sec moyen des germes par tubercule (Tableau 1) augmente avec le volume de germes chez les tubercules les plus gros utilisés (200 g). L'expérience 2 a montré que la vitesse d'élongation des germes sur des tubercules de 80 g augmentait avec le temps jusqu'à une valeur maximum puis commen?ait alors à tomber pour tous les traitements sauf pour les traitements de germination 1 et 2 à 7 C (Fig. 3). La valeur maximum était atteinte aprés 1, 2 et 3 semaines respectivement à 20, 15 et 10 C et après 4 semaines dans le traitement de germination 4 à 7 C. La longueur moyenne du germe à partir de laquelle apparait le déclin de la vitesse d'élongation est une fonction inverse du nombre de germes par tubercule. La longueur moyenne du germe (Tableau 4) et le poids sec moyen par germe (Tableau 6) à la fin de l'expérience étaient des fonctions inverses du nombre de germes par tubercule à toutes les températures sauf à 7 C, et les fonctions positives de la température de conservation. A 7 C, les moyennes des poids sees des germes par tubercule (Tableau 5) dans les traitements de germination 1, 2 et 4 étaient dans la proportion approximative 1, 2 et 4 à laquelle on s'attendait en l'absence de compétition. A des températures plus élevées la moyenne des poids sees de germes par tubercule n'était pas significativement affectée par le nombre de germes. Ces résultats indiquent que la compétition entre les germes apparait plus t?t et est plus intense à haute qu'à basse température. La température semble avoir un effet différentiel sur la vitesse potentielle de croissance des germes individuels et sur la vitesse à laquelle les matières nutritives deviennent disponibles dans le tubercule, les deux augmentant avec la température mais à vitesses différentes. Les résultats de l'expérience 3 démontrent que l'importance de la compétition, la longueur moyenne par germe, la moyenne de poids sec par germe, le poids sec moyen des germes par tubercule ne sont pas affectés par la distance séparant les germes en compétition (Tableau 7). II semble que la mobilisation des réserves du tubercule appara?t simultanément dans toutes les parties du tubercule. La forme de croissance des branches latérales des germes (Fig. 2) passe du diagéotropisme à un géotropisme négatif à une telle hauteur de noeud qui est une fonction inverse du nombre de germes par tubercule et une fonction positive du poids du tubercule (Tableaux 3 et 8). L'auteur discute de la part jouée par la compétition dans le contr?le de la forme de croissance des pousses latérales.
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3.
Zusammenfassung Der Nachweis des Kartoffel-Y-Virus im Gewebeanschnitt von Licht- und Dunkelkeimen stimmte überein und war im Vergleich zum Anschnitt des Kronenendes in den Herbst- und Wintermonaten sortenweise ungünstiger. In kéimenden Kartoffelknollen nach Winterlagerung und 3-w?chiger Vorkeimung bei 20 C hatten Verwundungen keinen Einflu? auf die Virus-aktivit?t; sie war in isolierten Kronenendestüken gegenüber ganzen Knollen erh?ht. Die Virusaktivit?t nahm in Kartoffelknollen w?hrend des Vegetationsablaufes mit fortschreitender Entwicklung bis zum Eintritt der Keimruhe st?ndig ab.
Summary In supplementary experiments for the identification of the Y virus in potato tubers (Nienhaus: 1960, 1961/62) the question arose as to which was the most reliabie test for virus Y,viz. rubbing the leaf of the A6-test plant with the cut surface of a sprout or with the surface of a section cut from the rose end of the tuber. The inhibitory effect of expressed sap from sprouts produced in light or darkness on the development of local lesions in leaves of A6 averaged 93% and 94%, when two volumes of sap were mixed with one volume of virus suspension. The sprouts of theAckersegen, Capella, Dt. Erstlinge andMaritta varieties were particulaly rich in inhibiting material (Table 1) No differences in the number of local lesions occurred when cut surfaces taken from different parts of infectious sprouts produced in light or darkness were tested (Table 2), but in six varieties tested the virus activity in autumn and winter was usually higher in the cut surface of the rose end than in that of the sprouts grown in light. It was very low in the rose end of tubers after unusually long storage (Table 3). When the tubers were wounded before a 3 week's storage at 20°C, after the end of the dormant period in spring no activation of the virus was found, but the activity was higher in isolated pieces of rose end than in whole tubers (Table 4). The virus activity decreased in growing tubers during the vegetation process and in prematurely harvested tubers during subsequent storage at 20°C. There is assumed to be an inactivating process with increasing ripening of the tubers; this process becomes retrograde again when the dormant period is broken during winter storage (Table 5).

Résumé Dans des essais complémentaires d'identification du virus Y dans le tubercule de la pomme de terre (Nienhaus; 1960, 1961/62), nous avons recherché lequel des deux tests permettrait de démontrer avec plus de certitude la présence du virus Y: la friction du limbe de la plante test A6 avec la coupure d'un germe ou avec celle au sommet du tubercule. L'action inhibitrice des jus exprimés de germes développés à la lumière et dans l'obscurité sur l'apparition de lésions sur les feuilles de la plante test A6 atteignait les moyennes respectivement de 93 et 94% en cas de mélange de deux tiers de jus de germes avec un tiers de suspension de virus. Les germes des variétésAckersegen, Capella, Dt. Erstlinge etMaritta étaient particulièrement riches en substance inhibitrice (Tableau 1). En frictionnant les feuilles avec des coupures à différentes régions des germes infectieux développés à la lumière et dans l'obscurité, il ne fut constaté aucune différence du nombre de lésions (Tableau 2). Cependant, chez 6 variétés étudiées, il fut observé qu'en automne et en hiver, l'activité du virus dans la coupure au sommet du tubercule souvent etait plus grande que dans celle du germe développé à la lumière. Mais l'activité dans la coupure au sommet du tubercule était extrémement basse si les tubercules avaient été conservés pendant un temps excessivement long (Tableau 3). Si les tubercules étaient blessés avant un stockage de trois semaines à 20°C, au printemps aprés la fin de la dormance, aucune activation du virus dans le tubercule n'était démontrée, mais l'activité dans des morceaux de sommet isolé, était plus grande que dans le reste du tubercule (Tableau 4). Dans le tubercule en développement, l'activité du virus diminuait pendant la phase terminale de la végétation: dans les tubercules récoltés trop t?t, il en était de même durant un stockage prolonge à 20°C. Il est supposé qu'à mesure que le tubercule m?rit, il se déroule un processus d'inactivation, lequel régresse à son tour après interruption de l'état de dormance pendant le stockage d'hiver (Tableau 5).
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4.
Observations on the sprouting of seed potatoes   总被引:1,自引:0,他引:1  
Summary The sprouting of seed potatoes and the influence of temperature on this is analysed by means of a large number of experiments done over a period of several years. Differences in sprouting capacity have been established between lots, varieties and different tubers, mature and immature, large and small ones and from sand and clay soil. There is a distinet seasonal trend in sprouting capacity, which is apparent, also when tubers are repeatedly desprouted. Weight losses from respiration and evaporation of tuber and sprout play an important part in sprout growth after desprouting. The relation between sprout weight and weight losses have been investigated and used to characterize the differences between lots.
Zusammenfassung Die Dauer der Keimruhe ist je nach Sorte und Jahr verschieden (Tabelle 1). W?hrend dieser Zeit hat die Lagertemperatur nur einen geringen Einfluss, obwohl sich je nach der Sorte einige Unterschiede zeigen: beiBintje wird die Keimruhe durch h?here Temperaturen abgekürzt, w?hrend beiAlpha die Temperatur keinen Einfluss hat. Bei reifen und unreifen, grossen und kleinen Knollen von derselben Pflanze kann die Dauer der Keimruhe verschieden sein. W?hrend des Wachstums k?nnen verschiedene Faktoren, darunter Temperatur und Düngung, die Zeitdauer der nachfolgenden Keimruhe beeinflussen. Es besteht eine Korrelation zwischen Sortenunterschieden in der L?nge der Keimruhe und bestimmten Charakteristiken oder Unterschied-lichkeiten der Sorten, wie kr?ftigem Krautwuchs, Anf?lligkeit für Zwiewuchs und Resistenz gegen Trockenheit. Je niedriger die Lagertem-peratur w?hrend der Keimruhe, umso langsamer das sp?tere Wachstum der Keime (abb. 1). Je l?nger Knollen nach Beendung der Keimruhe am Keimen gehindert werden, umso schneller geht der Keimwuchs, wenn dieser schliesslich eintritt. Das maximale Wachstum der Keime tritt normalerweise ein, wenn die Knollen erstmalig im Juli oder August etwa ein Jahr nach der Ernte gekeimt werden (abb. 2). Die Art des Wachstums der Keime ?ndert sich im Laufe der Lagerzeit: je nachdem die Knollen altern, geht die Bildung von Einzelkeimen in die mehrfache Keimbildung über; sp?ter verzweigen sich die Keime, und nach einem Jahr kann Knollenbildung an den Keimen vorkommen. Die Wachstumsgeschwindigkeit der Anfangs-keimung ist je nach Partie, Jahr und Sorte verschieden. Durch Erh?hung der Temperatur, bei der die Knollen gelagert werden, von 2 auf 5 C wird der nachfolgende Keimwuchs beschleunigt, insbesondere nach l?ngerer Lagerzeit (abb. 3). Durch Entfernen der Keime wird eine Zunahme de je Zeiteinheit gebildeten Keimmasse bewirkt (abb. 4). Nahezu jedes Auge der Knolle kann einen Keim bilden (Tabflle. 2). Auch hier ist deutlich eine saisonale Tendenz zu beobachten (abb. 5) und lassen sich Unterschiede nach Sorten und Herkünften feststellen, auch zwischen Knollen von derselben Ernte, jedoch mit verschiedenem St?rke-oder Zuckergehalt. Bei der Entwicklung der Keime entstehen in der Knolle Gewichtsverluste durch Atmung und Verdunstung aus der Knolle und den Keimen. Je sp?ter in der Lagersaison, umso gr?sser sind die beim Keimen gemessenen Verluste. Diese Gewichtsverluste sind dem Keimgewicht nicht proportional (abb. 6). Das Verh?ltnis des Keimgewichts zu dem gleichzeitigen Gewichtsverlust durch Atmung und Verdunstung am Zeitpunkt der ersten Keimbildung ist charakteristisch für die betreffende Partie (abb. 7). Dies wurde deutlich durch die verschiedenen Versuche mit Entfernung der Keime gezeigt (abb. 8, 9 und 10). In dieser Weise lassen sich Unterschiede zwischen Herkünften nachweisen: die eine Herkunft kann einen geringeren Gewichtsverlust als eine andere aufweisen bei gleichem Gewicht der Keime. Sekund?re Zwie-wuchsknollen zeigen ein ausserordentlich ungünstiges Verh?ltnis zwischen Keimgewicht und Gewichtsverlust. Es besteht eine Korrelation zwischen dem nach wiederholter Entfernung der Keime gemessenen Keimgewicht und dem gesamten Gewichtsverlust der Knolle infolge der vorherigen Entfernung der Keime (Abb. 11). Der Gesamtgewichtsverlust pro entwickelter Keim von der Knolle erlitten infolge der wiederholten Entfernung der Keime, ist bei kleinen Knollen etwas niedriger als bei grossen, jedoch zeigen die gr?sseren Knollen ein h?heres verfügbares Knollengewicht pro Keim (Abb. 12).

Résumé La durée de la dormance varie d'une variété à l'autre et d'une année à Tautre (Tableau 1). Pendant cette période, la température de stockage n'a qu'une influence minime, bien que cette influence ne soit pas égale pour toutes les variétés: chez la variétéBintje par exemple, les températures élevées abrègent la dormance tandis qu'elles n'ont pratiquement aucun effet sur celle de la variétéAlpha. La durée de la dormance peut varier chez les tubercules m?rs ou non, gros et petits, de la méme plante. Durant la période de croissance, différents facteurs, y compris la température et la fumure, peuvent influencer la durée de la période de dormance qui suivra. Les variations de la durée de la dormance d'une variété à l'autre sont en corrélation avec certaines caractéristiques ou différences variétales, telles que la vigueur des fanes, la susceptibilité d'une croissance secondaire et la résistance à la sécheresse. Plus la température de stockage durant la dormance est basse, plus la croissance du germe sera lente ensuite (Fig. 1). Plus l'on empéche longtemps la germination des tubercules après la fin de la dormance, plus la germination éventuelle s'effectuera rapidement par la suite. Normalement, la germination est la plus forte si on fait germer les tubercules pour la première fois en juillet ou en ao?t presque une année après la récolte (Fig. 2). La nature de la germination se modifie également au cours de la saison de stockage: à mesure que les tubercules „vieillissent”, ils passent de la phase monogerminale à la phase polygerminale; plus tard, les germes commencent à se ramifier, et après un an, il peut se produire une tubérisation sur les germes. La vitesse de germination initiale peut varier d'une provenance à l'autre, d'une année à l'autre et d'une variété à l'autre. Si l'on augmente de 2 à 5 C la température à laquelle les tubercules sont conservés avant la germination, on obtient ensuite une germination plus rapide, surtout après une longue période de stockage (Fig. 3). Le dégermage entraine une augmentation de la masse de germes formée par unité de temps (Fig. 4). Presque chaque oeil du tubercule est capable de produire un germe (Tableau 2). Ici encore, on peut constater une certaine variation saisonnière (Fig. 5) et établir des différences entre les variétés et les provenances, ainsi qu'entre les tuber-cules de la même récolte mais possédant une teneur différente en féculte ou en sucres. Lorsque le tubercule produit des germes, il perd du poids du fait de la respiration et de la évapovation du tubercule et du germe. Plus la saison de stockage est avancée, plus les pertes constatées à la germination seront importantes. Ces pertes de poids ne sont pas proportionnelles au poids des germes (Fig. 6). Le rapport entre le poids des germes et les pertes simultanées de poids par respiration et évaporation au moment de la formation des premiers germes est caractéristique pour la provenance en question (Fig. 7). Ce fait a été nettement démontré par différents essais de dégermage (Fig. 8, 9 et 10). De cette fa?on, il est possible de démontrer des différences d'une provenance à l'autre: il se peut que l'une présente une plus faible perte de poids que l'autre tandis que le poids des germes est égal. Les tubercules de croissance secondaire présentent un rapport très défavorable entre le poids des germes et les pertes de poids. Le poids des germes mesuré après dégermage répété est en corrélation avec la perte totale de poids subie par le tubercule par les dégermages précédents (Fig. 11). La perte totale de poids par germe formé, subie par le tubercule par suite du dégermage répété, est un peu plus faible dans les tubercules de petite dimension que dans les gros, mais pour ces derniers, le poids de tubercule disponible par germe est plus grand (Fig. 12).
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5.
Summary Tubers of potato cultivars Jaerla and Désirée were harvested in three successive years and the relationship between dry matter content and peroxidase activity of the sprouts and physiological ageing of the tubers during storage at 4 and 12°C was investigated. Dry matter content and peroxidase activity showed a good correlation with decreased sprouting capacity and incubation period.
Zusammenfassung Es wird der Einfluss der physiologischen alters von Pflanzknollen auf den Trockenmasse-Gehalt und die Peroxydase-Aktivit?t der Keime diskutiert. In dieser kombinierten Studie über drei Vegetationsperiode (1979–1981) wurden Pflanzknollen der Sorten Jaerla und Désirée von gleicher Herkunft, gelagert bei 4°C und 12°C, verwendet. Zu aufeinanderfolgenden Anfangsdaten wurden Knollenproben entkeimt (erste Keime), anschliessend liess man die Knollen bei 18°C und für vier Wochen erneut Keime bilden (zweite Keime). Bei ersten wie zweiten Keimen gleichermassen war der Trockenmasse-Gehalt am Anfang (ca. 100 Tage Lagerung) hoch, ging dann auf ein Minimum zurück und stieg endlich erneut auf einen ziemlich hohen Grad w?hrend des Alterns (Abb. 1 und 2). Bei 12°C waren die ?nderungen im Trockenmasse-Gehalt der zweiten Keime deutlicher als bei 4°C, vor allem bei Désirée. Die Peroxydase-Aktivit?t wurde bei beiden Sorten in den ersten Keimen von Knollen, die bei 12°C gelagert waren, gemessen. Bei Jaerla ergab sich ein scharfer Anstieg der Peroxydase-Aktivit?t nach ca. 200 Tagen, bei Désirée nach ca. 250 Tagen (Abb. 3). Der Anstieg des Trockenmasse-Gehaltes von zweiten Keimen und der Anstieg der Peroxydase-Aktivit?t bei ersten Keimen steht in Beziehung zum Rückgang der Keimungskapazit?t und den Anstieg der Inkubationsperiode (Daten von Hartmans & van Loon, 1987), nachdem ein Maximum bei der Keimungskapazit?t durchgangen worden war (Tabelle 1 und 2). Deshalb k?nnen sowohl Trockenmasse-Gehalt wie auch Peroxydase-Aktivit?t der Keime wirkungsvolle Mittel zur Charakterisierung des physiologischen Alterns der Saatkartoffeln sein.

Résumé L'influence de l'age physiologique du plant sur la teneur en matière sèche et sur l'activité péroxydasique des germes est discutée. Des études concertées sont réalisées pendant trois saisons (1979–1981) avec des plants des variétés Jaerla et Désirée de même origine et conservés à 4°C et 12°C. A des dates successives des échantillons de tubercules sont égermés (premiers germes), quis mis à prégermer à 18°C pendant quatre semaines (seconds germes). Dans les deux cas, premiers et seconds germes, la teneur en matière sèche des germes est élevée en début de conservation (100 jours), elle s'abaisse ensuite pour atteindre un minimum, augmente de nouveau et se maintient à un niveau relativement haut pendant la phase finale du vieillissement (figures 1 et 2). A 12°C les modifications de la teneur en matière sèche des seconds germes sont plus marquées qu'à 4°C, notamment pour la variété Désirée. L'activité de la péroxydase est mesurée pour les deux variétés dans les premiers germes des tubercules conservés à 12°C; elle augmente de fa?on importante après environ 200 jours pour Jaerla et après environ 250 jours pour Désirée (figure 3). L'augmentation de la matière sèche des seconds germes et de l'activité péroxydasique des premiers germes est en relation avec la diminution de la capacité germinative et la période d'incubation (selon Hartmans & van Loon, 1987) une fois passé le maximum de vigueur germinative (tableaux 1 et 2). Il est possible que la teneur en matière sèche et l'activité péroxydasique des germes puissent constituer un outil pour caractériser le vieillissement physiologique des tubercules de semence.
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6.
Summary Majestic potatoes sprouted in the dark at 20°C developed necrotic lesions in the elongating region of the sprout, about 3 to 5 mm below the apex. The name sub-apical necrosis is proposed to describe this condition. It was shown to be due to calcium deficiency and was fully controlled by frequent application of 0.01M calcium sulphate solution to the tips of the sprouts. The influence of several other factors was also studied. Calcium was necessary to maintain apical dominance of the sprout and prevent some of the changes which have been attributed to physiological ageing.
Zusammenfassung Um den Einfluss von Kalzium auf das Keimwachstum von Kartoffeln der Sorte Majestic zu untersuchen, wurden Knollenstücke (sets) mit einem einzelnen Auge in Serien verwendet. Die Serien wurden in kalziumfreiem Sand bei 20°C in Dunkelkammern zum Keimen gebracht. Unter diesen Bedingungen entwickelten sich nekrotische L?sionen in einem 2–3 mm breiten Band an der Streckungsstelle des Keims, 3–4 mm unter der Spitze. Es wird vorgeschlagen, diesen Zustand mit ‘subapikale Nekrose’ zu bezeichnen. Die Nekrose dehnt sich zuletzt bis in das Gef?ssbündelsystem aus, die Spitze des Keims stirbt ab, und die apikale Dominanz geht verloren (Abb. 1). Subapikale Nekrosen wurden verhindert, wenn eine w?ssrige L?sung von 0,01m CaSO4 regelm?ssig mit einer kleinen Bürste auf die Spitze der Keime gebracht wurde (Abb. 2). Wenn das Kalzium auf das Knollenstück gebracht wurde, nahmen sein Kalziumgehalt (Tabelle 2) und das Keimwachstum zu, aber die subapikale Nekrose wurde nicht verhindert (Abb. 3). Der Kalziumgehalt und das Keimwachstum waren bei Knollen aus einem Feld mit hohem, im Vergleich zu niedrigem pH, gr?sser (Tabelle 4). Bei Temperaturen bis zu 20°C erh?hte die Wurzelbildung die Keimwachstumsrate und verhinderte die subapikale Nekrose (Abb. 4). Wenn dem Wurzeln?hrboden Kalzium beigefügt wurde, konnte das verl?ngerte Wachstum auch bei h?heren Temperaturen erhalten werden (Abb. 3). Die Wachstumsrate und die Anf?lligkeit für subapikale Nekrose wurden durch Gr?sse, Form und Datum der Entnahme des Knollenstecklings der Serien beeinflusst (Tabellen 5 und 6). Diese Einflüsse schienen mit Unterschieden im Kalziumgehalt und mit dem Gleichgewicht zwischen Wachstumsregulatoren in den Knollenstücken im Zusammenhang zu stehen. Das Bedürfnis nach Kalzium, um das Wachstum der Hauptachse des Keims aufrechtzuerhalten und die apikale Dominanz zu bewahren, zeigt, dass dies mit dem Prozess des physiologischen Alterns im Zusammenhang steht.

Résumé Les auteurs ont utilisé des fragments de tubercules avec un seul oeil pour étudier les effets du calcium sur la croissance du germe chez la pomme de terre Majestic. Les fragments ont germé dans du sable dépourvu de calcium à 20°C à l'obscurité. Dans ces conditions, ils se développent des lésions nécrotiques dans une bande de 2 à 3 mm de largeur autour de la région d'élongation du germe, environ 3 à 4 mm en-dessous du sommet. Les auteurs proposent la dénomination ‘nécrose sub-apicale’ pour décrire ce phénomène. La nécrose s'étend finalement dans le système vasculaire, le sommet du germe meurt et la dominance apicale se perd (fig. 1). La nécrose sub-apicale est empêchée par l'application fréquente de solution aqueuse à 0,01m de sulfate de calcium sur les pointes des germes avec une petite brosse (fig. 2). Le calcium appliqué aux fragments de tubercules accro?t leur teneur en calcium (tableau 2) et la vitesse de croissance du germe mais n'empêche pas la nécrose sub-apicale (fig. 3). La teneur en calcium et la vitesse de croissance du germe sont aussi plus élevées chez les tubercules poussés dans un champ à pH élevé que dans un champ à pH bas (tableau 4). Il se révèle que la production de racines acro?t la vitesse de croissance du germe et empêche la nécrose sub-apicale aux températures jusqu'à 20°C (fig. 4). Quand du calcium était ajouté au milieu radiculaire, la croissance prolongée des germes se maintient aussi à des températures plus élevées (fig. 3). La vitesse de croissance du germe et le début de la nécrose subapicale sont influencés par la grosseur, la forme et la date de sectionnement des fragments (tableaux 5 et 6). Ces effets paraissent liés aux différences de teneur en calcium et à la balance du régulateur de croissance dans les fragments. La nécessité du calcium pour maintenir la croissance de l'axe principal du germe, et pour conserver la dominance apicale, indique qu'il est impliqué dans le processus de vieillissement physiologique.
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7.
The pattern of starch and protein degradation in tubers   总被引:1,自引:0,他引:1  
Summary Detectable breakdown of tuber starch and protein occurred some time after sprout emergence (planting depth 15 cm), and the rate of hydrolysis was independent of the number of sprouting eyes present. Reserve breakdown was first seen around regions of inner phloem, the zone of depletion subsequently spreading throughout the perimedulla. Tissue external to the vascular ring was depleted at a later date.
Zusammenfassung Kinetik und makroskopische Verteilung des St?rke- und Proteinabbaues wurden an keimenden Knollen der Sorte Maris Piper untersucht. Dazu wurden zwei Serien von Knollen vorbereitet, eine Reihe mit einem keimenden Auge, die andere mit drei keimenden Augen, die anderen Augen wurden entfernt. Die Knollen wurden in feuchten Kompost bei 15°C im Dunkeln gepflanzt und in regelm?ssigen Intervallen innerhalb von 4 Monaten geerntet. W?hrend dieser Periode erreichten die Keime beider Serien ein Gesamttrockengewicht von ungef?hr 50% des Knollentrockengewichtes zum Zeitpunkt des Pflanzens. Wurde die Zunahme des Keimtrockengewichtesauf das Auge bezogen, so ergab sich eine Abnahme des Keimtrockengewichtes mit zunehmender Augenzahl (Abb. 1). Die Keime stehen daher in Konkurrenz zu den verfügbaren Reserven. Die Bedeutung dieser Konkurrenz nimmt mit der Zeit zu. Bei einer Pflanztiefe von 15 cm erschienen die Keime nach 20 Tagen, ein erkennbarer Zusammenbruch von St?rke- und Proteinreserven in den Knollen konnte aber erst weitere 20 Tage sp?ter beobachtet werden (Abb. 2a und b). Nach 120 Tagen betrugen die St?rke- und Proteingehalte nur noch 10% der ursprünglichen Gehalte, aber es zeigte sich kein überein-stimmender Einfluss der Zahl der keimenden Augen pro Knolle auf die Abbauraten der beiden Reservestoffe. Für vor und innerhalb des Gef?ssbündelringes gelegenes Gewebe waren die Abbauraten ?hnlich aber die St?rke-und Proteingehalte waren im Gewebe vor dem Gef?ssbündelring betr?chtlich h?her. Unterschiede in den St?rkegehalten dieser beiden Gewebe spiegelten den Intraknollengradienten im Trockenmassegehalt wieder und nicht Unterschiede im Prozentsatz der Trockenmasse verursacht durch St?rke (Tab. 1). Das Muster des Reservestoffabbaues wurde an 1 mm dicken L?ngs- und Querschnitten durch die Knollenmitte histochemisch unter-sucht. Der Abbau von St?rke und Protein begann in der Perimedulla in der N?he des Gef?ssbündelringes in Zonen, die mit der Verteilung des inneren Phloems übereinzustimmen schienen (Abb. 3 und 4). Die Abbauzone breitete sich dann in der gesamten Perimedulla aus. Das Gewebe vor dem Gef?ssbündelring zeigte als letztes den Abbau und auch hier ergaben sich Hinweise, dass der Abbau in den Phloemzonen erfolgte.

Résumé La cinétique et la répartition macroscopique de la dégradation de l'amidon ainsi que des protéines sont étudiées au cours de la germination des tubercules de la variété Maris Piper. Deux lots de tubercules sont préparés. l'un composé de tubercules n'ayant qu'un seul germe et l'autre de tubercules porteurs de 3 germes. Les germes non désirés sont retirés. Les tubercules sont plantés dans un compost humide à 15°C, à l'obscurité puis prélevés régulièrement durant une période de 4 mois. Au delà de cette période, les germes des tubercules des deux lots atteignent un poids sec total d'environ 50% du poids sec des tubercules à la plantation. Lorsque l'accumulation du poids sec est exprimée en poids par germe, l'augmentation du nombre de germes réduit le taux de poids sec accumulé (fig.1). Ceci montre que les germes sont en compétition, quant à l'utilisation des réserves disponibles. L'importance de cette compétition augmente dans le temps. Four une plantation à 15 cm de profondeur, l'émergence des germes a lieu après 20 jours, mais la chute du taux d'amidon et des réserves en protéines n'est observée de fa?on notable qu'une vingtaine de jours plus tard (fig. 2a et 2b). Après 120 jours, les taux de protéines et d'amidon sont réduits à environ 10% des taux initiaux et l'augmentation du nombre de germes par tubercule n'entraine aucune diminution décelable de ceux-ci. Des taux similaires de dégradation sont apparus dans les tissus situés des deux c?tés de l'anneau vasculaire mais la teneur en amidon et en protéines est plus élevée dans le tissu externe. Des différences de teneurs entre ces tissus reflètent le gradient de matière sèche à l'intérieur du tubercule mais pas les différences du taux de matière sèche expliqué par l'amidon (tabl. 1). Une analyse histochimique de la localisation de la dégradation des réserves est réalisée à partir de coupes longitudinales et transversales d'l mm d'épaisseur prélevées dans la partie centrale du tubercule. La dégradation de l'amidon et des protéines commence dans la zone périmédullaire adjacente à l'anneau vasculaire, sous forme de taches qui semblent co?ncider avec le phloème interne (fig. 3 et 4). La zone de dégradation s'étend ensuite à travers toute la zone périmédullaire. Le tissu extérieur à l'anneau vasculaire subit cette dégradation en dernier, celle-ci apparaissant également au niveau du phloème.
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8.
Summary Potato mop-top virus (PMTV) was most easily detected in potato leaf material by ELISA which proved more reliable than ISEM or inoculation of indicator plants with sap or extracted nucleic acid. Nucleic acid hybridisation tests using complementary DNA (cDNA) to PMTV were more reliable than ELISA, ISEM or inoculation of indicator plants for detecting PMTV in tissue from spraing-affected tubers. Unreliable results were obtained when cDNA was used to detect virus in tubers with deep cracks, indicative of secondary symptoms. Tuber tissue examined by ISEM taken from either side of a necrotic arc show that relative virus concentration varies considerably over very short distances. ELISA on sprouts and stems from spraing-affected tubers also show that virus distribution is highly variable.
Zusammenfassung Potato-Mop-Top-Virus wurde in Blattmaterial von Kartoffeln durch den ELISA nachgewiesen, welcher sich als verl?sslicher erwies als ISEM oder Inokulation von Indikator-pflanzen mit Saftextrakten oder extrahierter Nukleins?ure. Tabelle 1 zeigt, dass Saftextrakte oder extrahierte Nukleins?ure von 7 von 13 Symptom-aufweisenden Kartoffel-pflanzen auch Symptome aufNicotiana debneyi und/oderChenopodium amaranticolor hervorriefen. Mittels ELISA konnte von Symptom-aufweisendem Blattmaterial PMTV in 10 von 12 verd?chtigen Pflanzen ermittelt werden, im Vergleich dazu mittels ISEM nur bei 7 von 12 Pflanzen (Tabelle 2). Knollen mit fleckenartigen Symptomen (‘spraing’) wurden angekeimt und 4 Tage lang bei Licht oder Dunkelheit aufbewahrt. Andere Knollen wuchsen bis zur Reife unter Gew?chshausbedingungen. Mittels ELISA konnte bei Keimen und Trieben PMTV ?fter in Keimen von im Dunkeln gehaltenen Knollen nachgewiesen werden (Tabelle 3). ISEM, in 5 mm-Abst?nden an der Oberfl?che von Knollen, von 2 cm innerhalb eines nekrotischen Krieses bis 2 cm ausserhalb des nekrotischen Kreises genommen, zeigte, dass der Virusgehalt im Bereich sich entwickelnder Nekrosen am gr?ssten war (Tabelle 4). Nukleins?ure-Hybridisationstests bei Verwendung komplement?rer DNA gegen PMTV war verl?sslicher als ELISA, ISEM oder Inokulation von Indikatorpflanzen zum Nachweis von PMTV im Gewebe von Knollen mit Flecken. Unzuverl?ssige Ergebnisse ergaben sich, wenn cDNA zum Nachweis des Virus in Knollen mit sekund?ren Symptomen verwendet wurde (Tabelle 5).

Résumé Le virus du mop-top de la pomme de terre a été détecté dans du matériel foliaire de pomme de terre par ELISA qui s'est révélé plus fiable que l'ISEM ou que l'inoculation de plantes indicatrices avec des extraits de sève ou d'acide nucléique. Le tableau 1 montre que les extraits de sève ou d'acide nucléique de 7 plantes sur 13 de pommes de terre présentant des sympt?mes ont induit des sympt?mes surNicotiana debneyi et/ouChenopodium amaranticolor. ELISA appliqué sur du matériel foliaire présentant des sympt?mes, a détecté le PMTV dans 10 plantes suspectes sur 12 comparé à 7 sur 12 avec l'ISEM (Tableau 2). Les tubercules présentant des sympt?mes d'arcs nécrotiques ont été mis à germer et placés ou bien à la lumière ou bien à l'obscurité pendant 4 jours. D'autres tubercules ont été cultivés jusqu'à maturité en conditions de serre. Les tests ELISA sur germes et tiges ont détecté le PMTV plus souvent dans les germes de tubercules conservés à la lumière (Tableau 3). L'ISEM sur des tissus de tubercules prélevés tous les 5 mm à la surface d'un tubercule, à partir de 2 cm à l'intérieur d'un arc nécrotique jusqu'à 2 cm à l'extérieur de l'arc, a montré que la teneur en virus était plus forte dans une zone où se développe la nécrose (Tableau 4). Les tests d'hybridation de l'acide nucléique utilisant de l'ADN complémentaire de l'ARN du PMTV ont été plus fiables qu'ELISA, l'ISEM ou l'inoculation de plantes indicatrices pour détecter le PMTV dans le tissu de tubercules montrant des arcs nécrotiques. Des résultats peu fiables ont été obtenus quand le cDNA a été utilisé pour détecter le virus dans les tubercules présentant des sympt?mes secondaires (Tableau 5).
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9.
Summary Potato deforming mosaic (PDM), known since about 1950, is increasing in importance and nn the main potato growing area of Argentina it is numerically at least as important as potato leaf roll virus and virus Y. It has not been reported from other parts of the world. The symptoms consist of large irregular chlorotic spots accompanied by leaf deformations. In older plants, a general chlorosis and a reddish discolouration can occur. Synergistic symptoms are produced by mixed infection with virus X. Plants tend to be smaller and weaker when co-infected by virus Y. Primarily infected plants can produce healthy as well as diseased tubers and some tubers may be only partly infected. In the latter case the eyes next to the stolon end are more likely to be disease-free than the others. Occasionally, secondarily infected plants can produce some tuber eyes which escape infection and give rise to healthy plants. Attempts to transmit the disease mechanically or by three aphid species and the eriophyid miteAculus lycopersici have failed. Control measures should aim at producing seed potatoes with a low infection rate. There are cultivar differences in susceptibility.
Zusammenfassung Das deformierende Mosaic (PDM) der Kartoffel, das etwa seit 1950 bekannt ist, nimmt im argentinischen Kartoffelbau stetig an Bedeutung zu; in den Hauptanbaugebieten ist es anteilm?ssig wenigstens so bedeutungs-voll wie das Blattroll- und das Y-Virus (Tabelle I). Die durch das PDM verursachten Verluste liegen zwischen 20 und 30 %; in anderen Teilen der Welt ist diese Krankheit bisher nicht beobachtet worden. PDM kann mit dem Pflanzgut (Knollen) und durch Pfropfen weiter verbreitet werden. Versuche, das Virus mechanisch durch Pressaft auf Kartoffeln oder andere Solanaceen zu übertragen, schlugen — auch unter Zuhilfenahme flüssigen Stickstoffs fehl. Desgleichen konnte die Krankheit nicht durch die Kartoffelblattl?useMyzus persicae, Macrosiphum euphorbiae undAulacorthum solani und durch die freilebende GallmilbeAculus lycopersici übertragen werden. Die Symptome an Kartoffelpflanzen bestehen aus grossen unregelm?ssigen chlorotischen Blattflecken und Blattdeformationen (Abb. 1). ?ltere Pflanzen k?nnen sp?ter stark chlorotisch und r?tlich verf?rbt sein. wobei die Intensit?t der Symptomauspr?gung je nach der Kartoffelsorte schwankt und im Gew?chshaus deutlicher als im Freiland ist. Mischinfektion mit dem X-Virus führt zu Stauchung der Pflanzen, kr?ftiger Missibildung und Rauheit des Blattes, zu einem ausgepr?gten Mosaik und zahlreichen nekrotischen Flecken auf der oft brüchig werdenden Blattfl?che (Abb. 2). Eine ?hnliche synergistische Reaktion kann auch bei Mischinfektion mit dem Y-Virus beobachtet werden. In übertragungsversuchen zur Kl?rung der übertragungsm?glichkeit des PDM durch die Knollen ergab sich, dass prim?r infizierte Kartoffelpflanzen gesunde und PDM-kranke Knollen hervorbringen, dass auch nur teilinfizierte Knollen an ihnen entstehen k?nnen. Im letzteren Falle sind gew?hnlich die dem Stolon n?heren Augen virusfrei. Gelegentlich k?nnen sogar an sekund?r infizierten Pflanzen einige Augen der Infektion entgehen. Da Sortenunterschiede in der Anf?lligkeit gegen PDM-Infektionen bestehen, sollte die Bek?mpfung des Virus vorwiegend auf die Erzeugung von Pflanzkartoffeln mit geringen Infektionsanteilen ausgerichtet sein (Tab. 1).

Résumé La mosa?que déformante de la pomme de terre (PDM) a été observée pour la première fois en Argentine vers les années 1950. Depuis cette période, son importance a augmenté dans la plupart des surfaces cultivées en pommes de terre de l'Argentine; elle est numériquement aussi importante que les virus Y et de l'enroulement (tableau 1). Les pertes totales provoquées par PDM sont élevées: les plantes malades ont un rendement inférieur de 20 à 30% à celui des plantes saines. La maladie n'est pas signalée dans les autres parties du monde. Le PDM est transmis par le tubercule de semence et par la greffe. En dépit de nombreuses tentatives, la transmission par la sève n'a p? être mise en évidence et le vecteur n'est pas connu. Des expériences de transmission mécanique de la maladie à la pomme de terre et à d'autres espèces de Solanacées n'ont pas abouti; il en est de même d'expérimentations de transmission avec de l'azote liquide. Des essais de transmission par les aphidesMyzus persicae, Macrosiphon euphorbiae etAulacorthum solani et par l'eriophyidAculus lycopersici n'ont pas donné de résultats. Les sympt?mes se manifestent par l'apparition de larges taches chlorotiques et irrégulières accompagnées de déformations du feuillage (fig. 1). Sur des plantes agées, une chlorose générale et une décoloration rougeatre peuvent s'observer. Les sympt?mes sont différents en intensité selon le cultivar, ils sont plus atténués au champ qu'en serre. Une infection conjointe avec du virus X provoque une maladie grave, c'est à dire un rabougrissement de la plante, une déformation intense de la feuille qui devient rugueuse, une mosa?que prononcée et de nombreuses taches nécrotiques sur le limbe qui peut alors se déchirer (fig. 2). Une synergie analogue peut s'observer avec le virus Y, les plantes devenant plus petites et affaiblies. Des essais de transmission par le tubercule montrent que des plants de pommes de terre primitivement infectés peuvent produire des plants sains aussi bien que des tubercules malades, et quelques tubercules peuvent être seulement partiellement infectés. Dans le dernier cas, les yeux situés près de l'extrémité de stolon semblent être davantage indemnes de maladies que les autres. Parfois, des plants infectés secondairement peuvent présenter des germes qui échappent à l'infection et donnent des plantes saines. Le but des mesures de contr?le devrait porter sur la production de semences de pommes de terre présentant un taux faible d'infection. Il existe des différences de sensibilité variétale (tableau 1).
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10.
Summary The effects of inoculation withVerticillium nubilum have been investigated using three categories of sprout length produced by various chitting treatments of Arran Pilot tubers. The tubers were planted in a field of coarse sandy loam with the tips 102 mm below the surface. Increasing incidence and intensity of coiling symptoms were associated with increasing sprout length. Inoculation withV. nubilum appears to increase the amount of coiling of short- and medium-length sprouts. Following harvestingV. nubilum was not isolated from cultures of subterranean stem segments taken from plants of all treatments. It is concluded thatV. nubilum is not the prime agent in causing coiled sprouts in the field.
Zusammenfassung An vorgekeimten Knollen der Sorte Arran Pilot wurde der Einfluss der Inokulation mitVerticillium nubilum auf die Keimverkrümmung untersucht. Die Knollen, die so in grobk?rnigen sandigen Lehmboden gepflanzt wurden, dass die Keimspitzen 100 mm unter der Bodenoberfl?che waren, hatten zur Pflanzzeit kurze (4 mm), mittlere (25–32 mm) und lange (43–48 mm) Keime. Nach der Ernte wurden die Haupttriebe (die direkt von der Mutterknolle stammten) auf Verkrümmungssymptome untersucht (Tabelle 1). Je l?nger die Keime zur Pflanzzeit waren, umso st?rker war die Symptomausbildung und umso mehr Triebe zeigten Verkrümmungen. 40% der Triebe aus der Gruppe der kurzen Keime zeigten Verkrümmungen mit einer durchschnittlichen Bonitur von 0.46, w?hrend 92% der Gruppe der langen Keime Verkrümmungen mit einer Bonitur von 2.76 zeigten. Bei den Gruppen der kurzen und mittleren Keime führte die Inokulation mitV. nubilum zu einer Erh?hung der Zahl der verkrümmten Triebe, gleichzeitig verst?rkten sich die Anschwellungen und Spaltungen in den Trieben. Die Symptomausbildung war in der Gruppe der kurzen Keime etwas st?rker, in der Gruppe der langen Keime zeigte sich keine Beeinflussung durch die Inokulation. Nach der Ernte konnteV. nubilum aus den unterirdischen Stengelteilen nicht mehr isoliert werden. Daraus wird geschlossen, dassV. nubilum nicht der prim?re Erreger der Keimverkrümmung im Feld ist.

Résumé Les effets de l'inoculation deVerticillium nubilum sur la production de germes enroulés ont été recherchés à partir de la variété arran Pilot. Des tubercules prégermés, porteurs à la plantation de germes courts (4 mm), moyens (25–32 mm) ou longs (43–48 mm), ont été plantés dans un terrain sablolimoneux, de telle fa?on que la pointe des germes soit à 100 mm de la surface du sol. A la récolte, les sympt?mes d?s à l'enroulement des germes ont été notés sur les tiges principales (provenant directement du tubercule). Les résultats sont présentés tableau 1. L'accroissement du nombre de tiges porteuses de sympt?mes ainsi que l'importance de ces derniers, ont été associés à l'augmentation de la longueur des germes à la plantation. 40% des tiges provenant de tubercules à germes courts présentaient cette anomalie avec une note moyenne d'enroulement de 0,46, alors que 92% de celles issues de germes longs étaient enroulées avec une note moyenne de 2,76. L'inoculation deV. nubilum a augmenté la quantité d'enroulement pour les germes courts et moyens; pour ce qui est des germes courts elle en a également légèrement augmenté la gravité, et accru les gonflements et les fissures. Les sympt?mes d'enroulement des germes longsn'ont pas été affectés par l'inoculation deV. nubilum. Après la récolte, leV. nubilum n'a pas été isolé à partir de cultures de segments de tiges souterraines prélevées sur des plantes de tous les traitements. En conclusion, on a constaté que leVerticillium Nubilum n'est pas le principal agent causal de l'enroulement des germes dans des conditions de plein champ.
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11.
Summary Chromosome doubling was induced in one dihaploid clone of each of the potato varietiesKatahdin andChippewa by treating young sprouts with 0.2% colchicine. The highest proportion of doubled plants (about 14%) was obtained by dropping an aqueous solution once a day for 5 days on cotton wool pads placed over sprouted eyes. Other durations of treatment were less successful as were various durations of a soaking procedure. A lanolin paste treatment was unsuccessful.
Zusammenfassung Bei der Kartoffel und ihren verwandten Arten ist es sehr schwierig, die Chromosomenzahl eines Klones künstlich zu verdoppeln, obwohl dies für die Züchtungsarbeit notwendig sein kann. In der Tat betrug die H?ufigkeit, mit der frühere Forscher polyploide Formen zustande brachten, h?chstens 1%. Es wurde daher ein Versuch angestellt, um in je einem dihaploiden Klon der bekannten KartoffelsortenKatahdin undChippewa die Chromosomenzahl zu verdoppeln, indem die Knollen nach den folgenden drei Methoden (Abb. 1) mit Colchizin (Konzentration 0.2%) behandelt wurden: (1)Lanolin-Methode: auf die Augen der Knollen wurde einmal genügend Lanolinsalbe aufgetragen, um die jungen Triebe zu bedecken. (2)Tauchmethode: die Knollen wurden sorgf?ltig auf Glasflaschen, die mit einer w?sserigen Colchizin-L?sung gefüllt waren, gelegt, so dass nur die Keime w?hrend 3, 5 und 7 Tagen eingetaucht waren. (3)Tropfmethode: kleine, saugf?hige Watteb?usche wurden auf die ausgekeimten Augen gelegt und einmal pro Tag w?hrend 3, 5, 7 und 9 Tagen aus einer Pipette mit der w?sserigen Colchizin-L?sung betr?ufelt. Die Keime der zwei tiefsten Augen wurden behandelt wenn sie 1–2 mm lang waren, die übrigen Keime wurden sorgf?ltig ausgeschnitten. W?hrend und nach der Behandlung wurden die Knollen in einem Raum bei einer kontrollierten Temperatur von 22 C aufbewahrt. Tabelle 2 zeigt, dass die beiden zuletzt erw?hnten Methoden ziemlich erfolgreich waren. Die besten Resultate wurden mit der w?hrend 5 Tagen angewendeten Tropfmethode erzielt, indem in ungef?hr 14% der so behandelten Knollen eine Chromosomenverdopplung ausgel?st wurde. Einige morphologische Merkmale der Pflanzen mit verdoppeltem Chromosomensatz sind in Tabelle 1 und in Abb. 2, 3 und 4 dargestellt. Von diesen Pflanzen waren einige tetraploid, aber andere waren oktoploid oder mixoploid, d.h. aus verdoppelten und nicht verdoppelten Zellen zusammengesetzt.

Résumé Il est très difficile chez la Pomme de terre et ses parents de doubler artificiellement le nombre chromosomique d'un clone, alors que la chose est néccssaire dans le travail d'amélioration. En fait, la fréquence de polyplo?des induits obtenue antérieurement par les chercheurs est au plus de 1%. C'est pourquoi un essai a été fait d'induire le doublement chromosomique dans un clone dihaplo?de de chacune des variétés communes de Pomme de terreKatahdin etChippewa par traitement des tubercules avec la colchicine à une concentration de 0,2% d'après les trois méthodes suivantes (Fig. 1): (1)Méthode à la lanoline: les yeux des tubercules sont induits en une fois avec suffisamment de pate à la lanoline pour couvrir les jeunes germes. (2)Méthode par trempage: les tubercules sont placés avec soin sur des bouteilles de verre remplies avec une solution aqueuse de colchicine de telle sorte que les germes seuls soien imbibés pendant 3, 5 et 7 jours. (3)Méthode des gouttes: de petites pièces de laine-coton absorbant sont placées sur les yeux en germination et la solution de colchicine est versée par gouttes sur celles-ci au moyen d'une pipette, une fois par jour pendant 3, 5, 7 et 9 jours. Les germes se développant à partir de deux des yeux les plus profonds sont traités quand ils ont 1–2 mm de longueur et le restant est excisé avec soin. Les tubercules sont conservés dans une chambre à température contr?lée à 22 C pendant et après le traitement. Le Tableau 2 montre que les deux dernières méthodes sont tout-à-fait efficaces. Les meilleurs résultats sont obtenus par la méthode des gouttes appliquée pendant 5 jours, le doublement chromosomique atteignant alors quelque 14%. Le Tableau 1 et les Fig. 2, 3 et 4 montrent quelques aspects morphologiques des plantes doublées. Plusieurs de ces plantes sont tétraplo?des mais d'autres sont octoplo?des ou mixoplo?des composées de cellules doublées et non doublées.


Contribution from the Laboratory of Plant Breeding, Hyogo Agricultural College, No. 68.  相似文献   

12.
Summary Isolates ofRhizoctonia solani Kühn were tested for their pathogenicity to potato sprouts growing from seed tubers. Those originating from sclerotia on tubers showed a wide range of pathogenicity but those from sprout tissue were only moderately pathogenic. Similar results were not obtained with detached potato sprouts, leaflets, or stem tips. Isolates from sclerotia which were very pathogenic to tubers, also caused considerable damage to sprouts, but isolates from potato caused little damage to wheat and barley seedlings compared to that caused by wheat isolates.
Zusammenfassung Kartoffelkeime wurden im Boden mit Isolaten vonR. solani von zwei verschiedenen Herkünften infiziert, wobei versucht wurde, die Ergebnisse mit einfacheren Techniken zu erzielen, indem abgetrennte Keime, Bl?tter und Stengelteile verwendet wurden. Es wurden auch Versuche an Keimpflanzen von Weizen und Gerste vorgenommen, die beide fürR. solani anf?llig sind und in Grossbritanien gew?hnlich in Fruchtfolge mit Kartoffeln stehen. Zwei Isolate vonR. solani wurden aus L?sionen an Kartoffelkeimen und zwei von Weizenstengeln gewonnen. Die übrigen stammten von Sklerotien auf Knollen vom Lager von vielen Sorten, die auf einem weiten Skalenbereich von Bodentypen in Schottland angebaut wurden. Auf Agar gezogene Testisolate wurden direkt verwendet, um Getreides?mlinge am Halmgrund und um Platten mit Leitungswasseragar (TWA) oder Kartoffeldextrosebrühe zu inokulieren. Zerstückeltes Myzel aus Brühekulturen wurde zur Infektion des Pflanzenn?hrmediums benützt. Weizen- und Gerstens?mlinge wurden drei Wochen nach der Inokulation untersucht. Die losgel?sten Gewebe wurden auf drei Tage alte Kulturen der Testisolate auf TWA gelegt. nach sieben Tagen wurde die Virulenz von jedem Isolat, ausgedrückt als Funktion der Menge des verf?rbten Pflanzengewebes, gemessen. Die Kartoffelknollen wurden an Pflanzen, die in einem Glashaus w?hrend fünf Monaten in befallenem Boden angezogen wurden, untersucht. Wenn Isolate vonR. solani an Keimen an Pflanzkartoffeln getestet wurden, waren jene, die von Keimen stammten (Nr. 4 und 8), von m?ssiger Pathogenit?t, w?hrend jene von Sklerotien auf Kartoffelknollen eine umfangreiche Pathogenit?t aufwiesen (Tab. 1). Lose Keimteile reagierten nicht gleich wie an den Knollen angewachsene (Tab. 2), w?hrend Bl?tter (Tab. 3) und Stengelteile nur zu gewissen Zeiten der Vegetationsperiode vergleichbare Ergebnisse brachten. Kartoffelknollen waren insofern zufriedenstellend, dass ein Isolat virulent und an Keimen vergleichsweise stark pathogen war (Tab. 4 und 5). Die Ergebnisse von Versuchen an Weizen und Gerste lassen vermuten, dass kein starkes Auftreten von scharfen Augenflecken an diesen beiden Getreidearten zu erwarten ist, wenn sie nach einem ernsthaft vonR. solani (Tab. 6) befallenen Kartoffelbestand angebaut werden. (Die Werte in allen Tabellen, die eine gemeinsame Linie haben, weichen bei Anwendung des Duncan Multiple Range Test nicht signifikant (P 0,05) voneinander ab.)

Résumé Des germes de pommes de terre ont été infectés dans le sol par des souches deR. solani provenant de deux lots de pommes de terre et des essais ont été réalisés pour relier les résultats à ceux obtenus avec des techniques plus simples utilisant des germes seuls, des folioles et des portions de tiges. Des essais ont également été effectués sur semences de blé et d'orge toutes deux sensibles àR. solani et entrant fréquemment dans les rotations avec les pommes de terre en Grande Bretagne. Deux souches deR. solani ont été obtenues à partir de lésions sur germes de pomme de terre et deux à partir de tiges de blé. Le reste provenait de sclérotes sur tubercules prélevés dans des stocks de nombreuses variétés cultivées dans un grand éventail de sol en Ecosse. Des disques de gélose, des souches test ont été utilisés directement pour inoculer des semences de céréales dans la région du collet et pour inoculer des boites de gélose à l'eau du robinet (TWA) ou avec un bouillon de pommes de terre et saccharose. Les broyats de mycélium des bouillons de culture ont été utilisés pour infecter les milieux de croissance de la plante. Les semences de blé et orge ont été examinées 3 semaines après inoculation. Les prélèvements de tissus ont été mis sur les cultures des souches test TWA agées de 3 jours, et la virulence de chaque souche exprimée en tant que fonction de la quantité de tissu végétal décoloré a été mesurée après 7 jours. Les tubercules ont été testés sur des plantes conduites en serre durant 5 mois dans des sols infectés. Quand les souches deR. solani furent testées sur germes en place sur les tubercules, celles provenant des germes. Nos 4 et 8, présentaient un pouvoir pathogène modéré, alors que celles qui étaient issues de sclérotes sur tubercules laissaient apparaitre toute une gamme de pouvoir pathogène (tableau 1). Les fragments de germes isolés des tubercules n'ont pas réagi de la même fa?on (tableau 2), alors que les folioles (tableau 3) et les fragments de tiges n'ont donné de résultats comparables qu'à certaines périodes de l'année. Les resultats obtenus avec les tubercules de pommes de terre furent satisfaisants; une souche infectieuse à leur égard était également hautement pathogène sur les germes (tableaux 4 et 5). D'après les résultats des essais sur blé et orge il ne faut pas s'attendre à avoir de hauts niveaux de germination pour ces deux céréales, lorsqu'elles sont plantées après une récolte de pomme de terre fortement contaminée parR. solani (tableau 6). (Aucune différence significative (P 0.05) fut détectée par le Duncan Multiple Range Test dans les données de toutes tableaux ayant une ligne commune.)
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13.
Summary Over a period of three years seed potatoes were sprouted in three different types of container in three different structures. In a polythene-covered structure the effect of the container on sprout length was inconclusive but in a ventilated house the sprouts on seed in the trays and sacks were significantly longer than those in the boxes. In both structures the difference in the yields of the seed from the different container was not significant. The sprouts on the seed in the polythene-covered structure were longer and more numerous than those in the ventilated house, and although in one year the yield from seed from the polythene structure was significantly greater than that from the ventilated house in the following year this result was reversed. The seed from an open-fronted straw barn had the shortest sprouts and lowest yields.
Zusammenfassung W?hrend einer dreij?hrigen Versuchsperiode wurde in Vorkeimkistchen, S?cken und Kisten eingelegtes Pflanzgut in einem belüfteten Kartoffellagerraum, in einer offenen Scheune und in einem im Freien aufgestellten Stapel vorgekeimt. Der Stapel war mit einer Poly?thylenfolie bedeckt und mittels eines elektrischen Heizkabels erw?rmt (Abb. 1; Tabelle 1). Man sch?tzte, dass für die Herrichtung des Stapels 70 Minuten (AK) pro Tonne Kartoffeln n?tig waren (Abb. 2; Tabelle 2). W?hrend der Lagerzeit wurde die Temperatur in den Vorkeimeinrichtungen registriert. Wenn diese 5 °C überschritt, wurde die Differenz (°C) mit der Zeit (Stunden) multipliziert und das Ergebnis als ‘Grad-Tage’ ausgedrückt (Tabelle 3). Vor dem Auspflanzen wurden Proben von den drei Varianten in den verschiedenen Vorkeimeinrichtungen genommen, um Daten über Keimzahl und Keiml?nge zu sammeln (Tabelle 4a) und Signifikanzwerte zu errechnen (Tabelle 4b). Im Fall der Vorkeimung unter Folie war die Auswirkung des Pflanzgutbeh?lters auf die Keiml?nge nicht entscheidend. Im belüfteten Kartoffellagerraum aber waren die Keime des Pflanzgutes aus den Vorkeimkisten und den S?cken bedeutend l?nger als solche aus den Kisten. In beiden F?llen zeigten die Ertr?ge des Pflanzgutes aus den verschiedenen Beh?ltern keine signifikanten Unterschiede (Tabellen 4a und 4b). Im allgemeinen wuchsen die Keime des unter der Poly?thylenfolie gelagerten Pflanzgutes l?nger als solche im belüfteten Lagerraum (Tabelle 4a); in einem Jahr brachte jenes Pflanzgut h?here Ertr?ge als dieses und im folgenden Jahr war es umgekehrt. Das Pflanzgut aus der offenen Scheune wies die kürzesten Keime und die kleinsten Ertr?ge auf. Aus den Resultaten ergeben sich die Folgerungen, dass der Vorkeimbeh?lter keinen Einfluss auf die Ertr?ge ausübt und dass es m?glich ist, den Mittelwert der l?ngsten Keime auf ungef?hr 12 mm zu beschr?nken. Ferner wurde festgestellt, dass eine Sonderausführung des Vorkeimhauses mit mechanischer Belüftung keinen deutlichen Vorteil bringt.

Résumé Pendant trois années, on a fait germer des plants de pomme de terre conservés en caisses, en sacs et en caissettes dans trois types d'abri, soit dans un magasin ventilé, un hangar à c?tés ouverts et un système où les contenants étaient entassés en plein air, puis couverts d'un film de polyéthylène et chauffés électriquement par un cable flexible (Fig. 1, Tabl. 1). On a calculé que le temps nécessaire pour réaliser le troisième type d'abri était de 70 minutes de main d'oeuvre par tonne de pommes de terre stockées (Fig. 2, Tabl. 2). Pendant la période de stockage, on a enregistré la température dans les abris et on a calculé des ‘degré-jours’ (Tabl. 3) en multipliant le nombre de degrés audessus de 5 °C par le temps de dépassement (en heures). Avant la plantation, on a prélevé des échantillons dans les contenants dans chacun des trois abris, l'on a déterminé la longueur et le nombre de germes et l'on a calculé la signification des résultats (Tabl. 4b). L'influence du contenant sur la longueur des germes n'était pas concluante dans le cas d'abri en film de polyéthylène; par contre dans le magasin ventilé, les germes des tubercules étaient nettement plus longs dans les caisses et les sacs que dans les clayettes. Dans les deux cas, le contenant n'exer?ait pas d'influence significative sur la récolte (Tabl. 4a et 4b). En général, les germes des tubercules provenant de l'abri couvert de polyéthylène étaient plus longs et plus nombreux que ceux des échantillons provenant du magasin ventilé (Tabl. 4a). Une année, la récolte provenant des tubercules stockés dans le magasin ventilé a été supérieure, mais l'année suivante on observait le contraire. Les tubercules conservés dans le hangar à c?tes ouverts ont présenté les germes les plus courts et ont produit les rendements les plus bas. De tout quoi, il est conclu que le type de contenant dans lequel les germes se développent n'a pas d'influence sur la récolte et qu'il est possible de limiter la longueur moyenne des germes les plus longs à 12 mm environ. De plus, l'emploi d'un local spécial équipé d'un système mécanique de ventilation n'apporte aucun avantage pour la germination des plants de pomme de terre.
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14.
Summary The development of potato tubers was observed on plants in which second-growth was experimentally induced by heat treatment. Secondgrowth could be induced by subjecting the whole plant, the underground parts only or the foliage only to high temperature (32°C) for 7 days. The growth of the primary tubers stopped after the initiation of secondary tubers. This cessation of growth of the primary tuber is not a prerequisite for second-growth, but results from the dominance of the secondary tuber. Depending on which part of the plant was subjected to heat, different forms of secondgrowth occurred such as elongated tubers, bottlenecks and chain-tuberization. It is supposed that the origin of these forms depends on the strength of the elongating influence. This strength manifests itself in the time of occurrence of sprouts and in their number and length.
Zusammenfassung Zwiewuchserscheinungen bei Kartoffelknollen k?nnen veranlasst werden, indem die Pflanzen hohen Temperaturen ausgesetzt werden. Dies wirft weitere Fragen auf. Eine betrifft die Rolle, welche die ober-und unterirdischen Teile der Pflanze bei der Induktion von Zwiewuchserscheinungen spielen, wenn sie hohen Temperaturen ausgesetzt werden. Eine zweite bezieht sich auf das Verh?ltnis zwischen dem Wachstum der Prim?r- und der Sekund?rknollen. Die Entwicklung der Knollen wurde w?hrend und nach der Induktion von Zwiewuchserscheinungen beobachtet. Die Pflanzen wurden in einer N?hrl?sung im Glashaus bei 16°C kultiviert. Es wurde die vonHoughland (1950) beschriebene Methode für den Anbau von Kartoffelpflanzen in einer N?hrl?sung angewandt mit der Ausnahme, dass die Knollenbeh?lter mit feuchtem Flussand gefüllt wurden statt mit Sumpfmoos. Der Sand wurde von Zeit zu Zeit weggespült, um die Kartoffeln messen zu k?nnen, und dann wieder eingefüllt. In Knollenbeh?ltern, die mit Sand gefüllt wurden, konnte eine frühere Knollenbildung erreicht werden als in solchen ohne Sand. Das Knollenwachstum wird als Volumenzunahme ausgedrückt. Die Knolle wurde als ann?hernd ellipsoid und ihr Volumen deshalb als 1/6 π abc angenommen (a, b und c bedeuten die L?nge der drei Knollenachsen). Zwiewuchserscheinungen wurden ausgel?st, indem ganze Pflanzen oder nur die unterirdischen Teile oder nur das Kraut w?hrend 7 Tagen einer Temperatur von 32°C ausgesetzt wurden. Dietabelle zeigt die Unterschiede zwischen den Verfahren in bezug auf den Zeitpunkt des Auskeimens sowie die Zahl der gekeimten Knollen und die Anzahl Sekund?rknollen. Das Wachstum der prim?ren Knollen h?rte nach Beginn des Wachstums der sekund?ren Knollen auf und nicht vor dem Auskeimen, wie von verschiedenen Autoren angenommen wird (abb. 2). Dies beweist, dass vorzeitiges Abreifen der prim?ren Knollen durch Trockenheit nicht notwendig ist. Dieser Stillstand im Wachstum der prim?ren Knollen ist keine Vorbedingung für den Zwiewuchs, sondern rührt von der Dominanz der sekund?ren Knollen her. Je nachdem, welcher Teil der Pflanze der Hitze ausgesetzt war, traten verschiedene Formen von Zwiewuchs auf, zum Beispiel verl?ngerte Knollen, hantelf?rmige Knollen und Kettenbildung (abb. 3). Es wird vermutet, dass die Entstehung dieser Formen von der St?rke des L?ngenwachstumseinflusses abh?ngt. Diese Einwirkung wird veranschaulicht durch den Zeitpunkt des Auftretens von Keimen sowie durch ihre Zahl und L?nge (tabelle). In diesem Versuch wurde Zwiewuchs im Vergleich zu andern Versuchen mit einer kürzeren Tagesl?nge und weniger Stickstoff prompt induziert (abb. 1). Daraus wird angenommen, dass die Induktion von Zwiewuchserscheinungen auch von andern Faktoren als der Hitze, welche das Wachstum der Keime stimuliert, abh?ngig ist, zum Beispiel von einem Langtag und einer hohen Stickstoffgabe.

Résumé On peut induire une seconde croissance dans les tubercules de Pomme de terre en soumettant les plantes à une température élevée. Ceci amène d’autres questions. L’une concerne la part jouée dans l’induction de la seconde croissance par les parties aériennes et souterraines de la plante quand elles sont soumises à de hautes températures. Une seconde concerne la relation entre la croissance de tubercules primaires et de tubercules secondaires. On a observé le développement des tubercules pendant et après l’induction de la seconde croissance. Les plantes ont grandi dans une solution nutritive en serre à 16°C. On a utilisé la méthode décrite parHoughland (1950) pour le développement de plantes de pomme de terre dans une solution nutritive, sauf que les chambres à tubercules étaient remplies avec du sable de rivière humide au lieu de sphaigne. Le sable était enlevé à intervalles pour permettre la mensuration des tubercules et puis replacé. La tubérisation était plus précoce en chambres à tubercules avec sable que sans sable. La croissance des tubercules est exprimée par l’augmentation du volume. Le tubercule est supposé se rapprocher d’une ellipso?de, son volume était par conséquent pris comme suit: 1/6 π abc (a, b et c étant la longueur des trois axes du tubercule). La seconde croissance était induite à la suite d’une exposition des plantes entières à 32 C durant 7 jours, ou des seules parties souterraines on du seul feuillage. Letableau montre les différences entre les traitements dans le temps de germination et dans le nombre de tubercules germés et de tubercules secondaires. La croissance des tubercules primaires s’arrêtait après l’initiation des tubercules secondaires mais pas avant la germination, ainsi que supposent plusieurs auteurs (fig. 2). Ceci prouve qu’une maturation prématurée des tubercules primaires par la sécheresse n’est pas néccssaire. La cessation de la croissance du tubercule primaire ne constitue pas une condition préalable à la seconde croissance, mais est le résultat de la dominance du tubercule secondaire. Suivant la partie de la plante qui était soumise à la chaleur, différentes formes de seconde croissance apparaissent, telles que: tubercules élongés, en col de bouteille et tubérisation en chaine (fig. 3). On suppose que l’origine de ces formes dépend de la force de l’influence d’élongation. Cette force se manifeste dans la promptitude de l’apparition des germes, ainsi que dans leur nombre et leur longueur (tableau). Dans cette expérience la seconde croissance était induite rapidement (fig. 1) par comparaison avec les expériences avec longueur de jours écourtée et avec diminution d’azote. On conclut que l’induction de la seconde croissance dépend aussi d’autres facteurs que la chaleur, facteurs tels que jours longs, apport élevé d’azote, qui stimulent le développement des bourgeons.
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15.
Summary Seed tubers with severe (80–100% of surface affected) or slight (less than 20% of surface affected) silver scurf were selected from commercial stocks and planted at Rothamsted in 1979–81. Severely affected seed lost more weight (13%) than slightly affected seed (8%) during storage on trays, and produced more but smaller sprouts. Ground cover, leaf area and tuber yields were decreased by severe infection for up to 7 weeks after planting but thereafter effects of seed infection were non-significant. In two years, tubers produced from seed with severe silver scurf had less infection than those from slightly affected seed, but in 1980 most disease developed on tubers from seed with severe infection.
Zusammenfassung In Rothamsted wurden in den drei Jahren zwischen 1979 und 1981 Pflanzkartoffeln mit starkem (80–100% Oberfl?chenbefall) oder schwachem (Weniger als 20%) Silberschorfbesatz gepflanzt, die aus Konsumanbau stammten. 1979 wurden auch Knollen mit mittlerem Befall (40–60%) einbezogen. Die verwendeten Sorten zeigt Tabelle 1: Ulster Sceptre und King Edward (1979), Désirée (1980), Wilja und King Edward (1981). In allen Jahren war der Gewichtsverlust w?hrend der Keimung bei den stark befallenen Pflanzknollen gr?sser als bei den wenig befallenen, und in drei von fünf Versuchen hatten die stark befallenen Knollen auch kürzere Keime. Das Gesamtgewicht der Keime wurde durch die Befallsst?rke nicht beeinflusst, stark befallene Knollen bildeten mehr Keime als schwach befallene (Tab. 2). Im Jahr 1979 war 4 Wochen nach der Pflanzung die Bodenbedeckung nach stark befallenem Pflanzgut gesichert schw?cher (Tab. 3), und in 1980 und 1981 waren sieben Wochen nach der Pflanzung die Blattfl?chenindizes von stark befallenem Pflanzgut geringer als von schwach befallenem. Die Einflüsse der Pflanzgutinfektion auf die Stengelzahl waren schwankend (Tab. 4): eine starke Infektion erh?hte die Stengelzahl in 1981 bei Wilja und verminderte sie in 1979 bei Ulster Sceptre und in 1981 bei King Edward. Im Jahr 1979 war sieben Wochen nach der Pflanzung von stark infiziertem Pflanzgut der Sorte Ulster Sceptre das Stengelgewicht gesichert niedriger, aber bei sp?teren Probennahmen anderer Jahre und Sorten ergaben sich keine gesicherten Unterschiede. In 1979 waren auch die Zahl der Knollen und deren Gewicht bei der Sorte Ulster Sceptre nach starker Pflanzgutinfektion bis zu sieben Wochen nach der Pflanzung reduziert (Tab. 5), bei sp?teren Probennahmen und bei anderen Sorten zeigten sich keine gesicherten Differenzen. Im Jahre 1979 hatten Knollen der Sorten King Edward und Ulster Sceptre nach stark infiziertem Pflanzgut weniger Befall als nach schwach infiziertem Pflanzgut (Tab. 6), und bei der Ernte und nach der Lagerung war in 1981 auf Knollen der Sorte Wilja und King Edward mehr Silberschorf nach schwach befallenem Pflanzgut als nach stark befallenem. Im Jahr 1980 war jedoch der Silberschorfbesatz bei der Ernte auf Knollen nach stark befallenem Pflanzgut am h?chsten.

Résumé Au cours des années 1979 à 81, des tubercules de semence destinés à la commercialisation et atteints de gale argentée ont été prélevés et différenciés selon l'importance de la maladie: tubercules sévèrement atteints (80 à 100% de la surface couverte), tubercules légèrement atteints (moins de 20%). Les échantillons ont été plantés à la station de Rothamsted, ainsi que des lots moyennement atteints en 1979 (40 à 60% de la surface couverte). Les variétés Ulster Sceptre et King Edward ont été cultivées en 1979, Désirée en 1980, et Wilja et King Edward en 1981 (tableau 1). Tous les ans des pertes de poids plus importants pendant la germination sont observés pour les tubercules sévèrement atteints, donnant des germes plus courts dans trois cas sur cinq. La gravité de l'infection n'a pas d'incidence sur le poids sec total de germes, les tubercules sévèrement atteints donnant un nombre de germes plus élevé (tableau 2). En 1979, la couverture du sol 4 semaines après plantation est significativement plus faible pour le plant sévèrement atteint (tableau 3), et en 1980 et 1981 l'indice foliaire, 7 semaines après plantation, est inférieur pour les plantes provenant de semences fortement contaminées. L'effet de l'infection de la semence sur le nombre de tiges est controversé (tableau 4). Les plants sévèrement atteints ont donné en 1981 davantage de tiges pour Wilja et pert de tiges en 1979 et en 1981 pour respectivement Ulster Sceptre et King Edward. En 1979 le poids des fanes de la variété Ulster Sceptre est significativement plus faible 7 semaines après plantation dans le cas d'une infection grave, mais les poids ne sont pas significativement différents pour les autres conditions. En 1979, les nombres et les poids de tubercules de la variété Ulster Sceptre sont plus faibles dans le cas d'une infection grave durant les sept premières semaines après plantation (tableau 5), alors q'aucune différence significative n'est observée par ailleurs. En 1979, les tubercules issus de semences gravement atteints des variétés King Edward et Ulster Sceptre, sont moins infectés que ceux provenant de semences légèrement contaminées (tableau 6) tandis qu'à la récolte et après conservation en 1981, pour les variétés Wilja et King Edward, la gale argentée se rencontrait plus communément sur des tubercules issus de semences faiblement contaminées. Toutefois, en 1980, il a été observé plus de gale argentée sur des tubercules gravement atteints (tableau 7).
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W. Gabriel 《Potato Research》1988,31(4):667-680
Résumé On peut considérer que le virus M et le virus S sont très proches du point de vue épidémiologique. Le virus M migre plus vite que le virus S vers les tubercules. Les différences de résistance entre cultivars sont plus grandes pour le virus S que pour le virus M. On constate de grandes différences d'efficacité de transmission d'isolats des 2 virus par les pucerons. Il existe une ressemblance générale au niveau de la transmission entre les deux virus et les autres virus de stylet de la pomme de terre. L'infection par le virus M et le virus S dépend, comme celle par les autres virus de la pomme de terre, en premier lieu de la pression des vecteurs, de la résistance des cultivars et de la quantité d'inoculum dans le milieu. Cette communication a été présentée lors de la réunion de la Section Virologie EAPR tenue à Cambridge du 15 au 19 septembre 1986.  相似文献   

17.
Zusammenfassung Die Lagerungs- und Aufwuchstemperaturen haben einen Einfluss auf das physiologische Alter der Pflanzknollen und den Knollenertrag. In niederen Breiten unter warmen Bedingungen in Meeresh?he kommt die Wirkung des physiologisch gealterten Pflanzmaterials mit Ertragseinbussen zum Ausdruck. Sorten-. Herkunfts- und Generationsunterschiede führen in Wechselwirkung mit den Lagerungs- und Aufwuchstemperaturen zu Ertragsunterschieden. Die Hochlandstandorte sind den in Meeresh?he gelegenen statistisch gesichert überlegen, w?hrend die Unterschiede zwischen den Hochlandstandorten in der Regel nicht signifikant sind. Das bei 5°C gelagerte Pflanzgut erzielt bei der Sorte Condea auf allen Standorten einen h?heren Ertrag als die 18°C-Variante, w?hrend bei der Sorte Hydra keine klare Tendenz zu erkennen ist. Kriterien und Ansatzpunkte für die Bestimmung des physiologischen Alters werden diskutiert. Für die Praxis der Kartoffellagerung in Sri Lanka und des Schiffstransportes beim Import von Pflanzkartoffeln werden Empfehlungen ausgesprochen.
Summary Many authors have dealt with the subject of storage and growth temperatures in potatoes under long day conditions. The relationship between the physiological age of the seed and its cropping value has been repeatedly demonstrated. Similar investigations relating to lower latitudes are not available. The question of possible criteria for the determination of physiological age has been discussed again and again and requires further clarification. The present investigation has been carried out in Sri Lanka, under varying ecological conditions (sea level. 1200 m and 2000 m above sea level). with two varieties (Condea and Hydra). Impored certified seed was stored on ship from Europe to Sri Lanka. Seed produced in Sri Lanka was stored at 5 and 10 C. The number and length of sprouts was adopted as the criterium for determination of physiological age. Storage and growth temperatures influence both the physiological age of the seed and the tuber yield. The influence of physiologically aged planting material on loss of yield is particularly noticeable under the hot conditions prevailing at sea level (Table 1). Varietal, source, and generation differences are ready to interact with storage and growth temperatures in producing differences in yield. The highland sites were significantly better than that at sea level (Fig. 1). Seed of Condea stored at 5°C produced a higher yield at all sites than the 18 C variant, whereas, in the variety Hydra, no similar tendency was observed (Table 2). Criteria and starting points for the determination of physiological age are discussed. For work under the conditions found in practice in the lower latitudes, sprout number and length can be recommended as criteria for the estimation of physiological age. Recommendations relating to potato storage both in Sri Lanka and on board ships bringing imported seed are necessary.

Résumé Plusieurs auteurs se sont penchés sur les températures de conservation et de végétation des pommes de terre en conditions de jours longs. La relation entre l'age physiologique des plants et leur productivité a également été démontrée dans plusieurs travaux. Cependant. pratiquement aucune de ces recherches ne concerne le régions de basse latitude. Les critères permettant de mesurer l'age physiologique des tubercules ont fait l'objet de plusieurs discussions et demandent à être définis. Les essais ont été effectués avec deux variétés (Condea et Hydra) dans différentes conditions écologiques (altitude: niveau de la mer. 1200 m. 2000 m. à Sri Lanka). Les plants certifiés importés ont été entreposés sur un bateau pour le voyage de l'Europe à Sri Lanka. Les plants produits à Sri Lanka sont conservés à 5 et 8°C. L'age physiologique des tubercules est mesuré au nombre de germes ainsi qu'à leur longueur. Les températures de conservation et de végétation influencent l'age physiologique des plants et le rendement. Les rendements des plants d'un age physiologique avancé sont spécialement affectés dans les régions à températures élevées au niveau de la mer (Tab. 1). Des différences variétales, de provenances et de générations en interaction avec les températures de conservation et de végétation sont responsables de rendements très variables. Les rendements des régions élevées sont supérieurs à ceux des régions du niveau de la mer (différences statistiquement assurées) (fig. 1). Les plants de la variété Condea, conservés á 5 C ont produit, dans tous les lieux d'essais, un rendement supérieur à ceux conservés à 18°C. Chez la variété Hydra, aucune tendance semblable n'a été observée (Tab. 2). Des critères, ainsi que des bases pour la détermination de l'age physiologique des tubercules sont discutés. Le nombre de germes ainsi que leur longueur sont des critères qui peuvent être recommandés pour déterminer l'age physiologique des tubercules dans les conditions de la pratique. Des conseils sont également donnés pour la conservation des pommes de terres à Sri Lanka ainsi que pour le transport par bateau, lors de l'importation des plants.
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Summary Heritability of resistance to puncturing of both unpeeled and peeled potato tubers using a penetrometer is demonstrated in routine breeding material. With 28 commercial varieties this resistance is shown to be correlated with the specific gravity and dry matter content, but not the nitrogen content of tubers. The latter character showed no evidence of genetic determination. Regression analyses show that virtually all the information on dry matter content is extracted by the regression on specific gravity alone, so the use of a penetrometer will probably be restricted to special circumstances.
Zusammenfassung In einem Routine-Züchtungsprogramm wurden Kartoffelknollen von Kreuzungen auf ihre Widerstandsf?higkeit gegen das Durchstossen mit der Nadel eines Penetrometers gemessen. Die Varianzanalyse der Ergebnisse 1962 (Tabelle 1) zeigt signifikante genetische Unterschiede zwischen und innerhalb der Nachkommenschaften. Signifikante Unterschiede zwischen Knollen des gleichen S?mlings wurden ebenfalls gefunden. 1964 wurde die Resistenz sowohl von gesch?lten als auch von ungesch?lten Oberfl?chen gemessen. Die Varianzanalysen waren ?hnlich wie jene von 1962, aber es gab keine Unterschiede zwischen den Nachkommenschaften. Es bestand eine enge Korrelation zwischen gesch?lten und ungesch?lten Knollen. Im Jahre 1970 wurden 28 Handelssorten auf ihre Widerstandsf?higkeit gegen das Durchstossen, auf das spezifische Gewicht sowie auf den Trockensubstanz- und Stickstoffgehalt geprüft. Genetische Schwankung wurde bei allen ausser dem letzten dieser Merkmale nachgewiesen (Tabelle 4), was darauf hinweist, dass keine M?glichkeit bestand, den N-Gehalt durch Züchtung in diesem Material zu erh?hen. Aehnliche ph?notypische und genetische Korrelationen bestehen zwischen allen Paaren dieser Merkmale, den Stickstoffgehalt ausgenommen (Tabelle 5). Jedes der Merkmale Spezifisches Gewicht, Trockensubstanzgehalt und Resistenz gegen das Eindringen sollte deshalb auf die direkte oder indirekte Auslese auf eines der korrelierten Merkmale ansprechen. Regressionsanalysen zur Ermittlung, ob der Trockensubstanzgehalt aus dem Spezifischen Gewicht ersehen werden k?nnte, ergaben, dass die Penetrometer-Messungen bei ungesch?lten und gesch?lten Knollen getrennt für sich wohl brauchbare Angaben lieferten; wurden sie in einer multiplen Regression zusammengefasst, so vermittelte nur das Spezifische Gewicht eine nützliche Information (Tabelle 6), wahrscheinlich waren die unabh?ngigen Variablen zu stark miteinander korreliert.

Résumé On a mesuré pour leur résistance au percement par la pointe d’un pénétromètre les hybrides de pomme de terre issus d’un programme habituel d’amélioration. L’analyse de la variance des résultats de 1962 (Tableau 1) révèle une variation génétique significative entre et à l’intérieur des descendances. On a également trouvé des différences significatives entre les tubercules d’une même plantule. En 1964 on a mesuré la résistance aussi bien sur les surfaces pelées que non pelées. Les résultats d’analyse de la variance (Tableaux 2 et 3) sont semblables à ceux de l’analyse 1962, mais il n’appara?t pas de différence entre les descendances. Il se révèle une haute corrélation entre les résultats sur tubercules pelés et none pelés. En 1970; vingt-huit variétés commercials, sont testées pour la résistance à la pénétration le poids spécifique, la teneur en matière sèche et la teneur en azote. Une variation génétique appara?t pour tous les caractères, sauf pour le dernier (Tableau 4), ce qui fait supposer qu’il n’y a aucune possibilité d’accro?tre les taux d’azote par l’amélioration dans ce matériel. De semblables corrélations phénotypiques et génétiques existent entre chaque paire de caractères sauf pour la teneur en azote (Tableau 5). Chacun de ces caractères-poids spécifique, teneur en matière sèche et résistance à la pénétration-répondrait donc à une sélection directe ou indirecte basée sur un des caractères corrélatifs. Les analyses de régression pour établir si la teneur en matière sèche pourrait être déduite du poids spécifique, le résultat du pénétromètre avec tubercules non pelés et le résultat du pénétromètre avec tubercules pelés révèlent que chacune de ces variantes constitue seulement un guide; quand elles sont combinées en une régression multiple, seul le poids spécifique donne une information utile (Tableau 6), probablement parce que les variantes indépendantes sont trop hautement liées à chacune des autres.
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Summary A hitherto undescribed bacterial hard rot of stored seed potato tubers was found to be caused byErwinia atroseptica (Pectobacterium carotovorum var,atrosepticum), the causal organism of potato blackleg. The disease was confined to tubers that had been either washed or washed before disinfection with an organo-mercury compound and afterwards stored in boxes under cool, well-ventilated conditions. Untreated tubers from the same stock stored under identical conditions remained unaffected. Infection occurred during jet pressure washing prior to disinfection either through lenticels or wounds; the subsequent development and symptom expression of the disease being governed by storage conditions. Soft rot developed after prolonged storage under humid conditions, while bacterial hard rot was the result of either prolonged storage under dry conditions or a short period under high humidity followed by storage in a dry environment. When planted. the majority of infected tubers either contracted soft rot or produced plants affected with blackleg.
Zusammenfassung Die Symptome der bakteriellen Hartf?ule der Kartoffelknollen sind an leicht eingesunkenen, braunschwarzen, trockenen, nekrotischen Flekken zu erkennen, die überdies eine ann?hrend runde Form mit unregelm?ssig gewelltem Rand aufweisen (abb. 1–4). Die befallene Stelle ist nur flach, gew?hnlich ungef?hr 1 mm tief, kann sich aber bis zu 4 mm Tiefe ausdehnen, und sie ist klar vom darunter liegenden gesunden Gewebe abgegrenzt. Die Krankheit wurde nur an Knollen gefunden, die entweder gewaschen oder vor der Desinfektion mit organischen Quecksilber-Verbindungen gewaschen und nachher unter kühlen Bedingungen bei guter Belüftung gelagert wurden. Unbehandelte Knollen der gleichen Partic, die unter denselben Bedingungen gelagert wurden, blieben frei von Infektionen. Bei Infektionsversuchen wurde festgestellt, da? Bakterien-Harf?ule durchErwinia atroseptica (Pectobacterium carotovorum varatrosepticum), dem urs?chlichen Erreger der Schwarzbeinigkeit der Kartoffel, hervorgerufen wurde. Die Krankheitssymptome wurden im Laboratorium wieder erzeugt, einerseits durch Inokulation der Knollen mit reinen Kulturen vonE. atroseptica (tablle 1) und anderseits auf natürliche Weise bei handelsüblich gewaschenen Knollen (tabelle 3). Aus den Ergebnissen dieser Versuche wurde geschlossen, da? eine Infektion der Knollen von der ihnen anhaftenden Erde aus w?hrend des Waschens unter Wasserstrahldüsen entweder durch die Lentizellen oder durch Wunden stattfand, und da? die Entwicklung und die Symptomauspr?gung der entstandenen Bakterienf?ule durch die Lagerungsbedingungen becinflu?t wurden. Na?f?ule entwickelte sich nach l?ngerer Lagerung unter feuchten Bedingungen. Bakterien-Hartf?ule entstand entweder bei l?ngerer Lagerung unter trockenen Bedingungen oder bei kurzfristiger Lagerung unter hoher Feuchtigkeit, gefolgt von einer Lagerung unter trockenen Verh?ltnissen. Der Krankheitsbefall war h?her, wenn die Knollen nach dem Waschen unter feuchten Bedingungen gehalten als wenn sie sofort getrocknet wurden (tablle 3). Folglich wird in der normalen Praxis, wo keine Art von künstlicher Trocknung gebr?uchlich ist, das Vorkommen von befallenen Knollen variieren, je nach den atmosph?rischen Bedingungen, die unmittelbar nach der Behandlung herrschen; erm?glichen diese Verh?ltnisse nur eine langsame Trocknung, so ist dies für die Vermehrung der Bakterien in infizierten Geweben günstig. Knollendesinfektion unmittelbar nach dem Waschen reduzierte das Ausma? der Krankheit (Tabelle 3). Die Bakterien blieben im befallenen nekrotischen Gewebe w?hrend der Winterlagerung lebensf?hig, und die meisten der infizierten Knollen wurden nach der Auspflanzung entweder von Na?f?ule befallen oder erzeugten schwarzbeinige Pflanzen.

Résumé Les sympt?mes de la “pourriture bactérienne dure” du tubercule de pomme de terre consistent en lésions légèrement enfoncées, brun-noir, sèches-nécrotiques, de forme approximativement circulaire, le bord étant irrégulièrement onduleux (fig. 1–4). La surface malade est superficielle, de 1 mm de profondeur habituellement, mais pouvant toutefois atteindre 4 mm et se différentiant clairement du tissu sain sous-jacent. La maladie se rencontre seulement sur les tubercules qui ont été soit lavés, soit trempés dans un composé désinfectant organo-mercurique et ensuite entreposés dans des conditions fra?ches, bien ventilées. Les tubercules non traités du même lot conservés dans des conditions identiques restent libres d'infection. Les expérience d'infection ont révélé que la pourriture bactérienne dure est causée parErwinia atroseptica (Pectobacterium carotovorum var.atrosepticum), l'organisme responsable du pied noir de la pomme de terre. Les sympt?mes de la maladie sont reproduits au laboratoire en inoculant les tubercules avec des cultures pures deE. atroseptica (tableau 1) et par infection naturelle de tubercules lavés à la fa?on commerciale (tableau 3). Des résultats de ces expériences on conclut que l'infection a lieu à partir du sol adhérant aux tubercules durant le lavage sous pression, soit par les lenticelles, soit par les blessures et que le développement et l'expression des sympt?mes de la pourriture bactérienne subséquente sont gouvernés par les conditions de conservation. La pourriture molle se développe après conservation prolongée sous conditions humides. La pourriture bactérienne dure résulte soit d'une conservation prolongée sous conditions sèches, soit d'un court séjour à haute humidité suivi d'une conservation dans un milieu sec. L'incidence de la maladie est plus grave quand les tubercules sont maintenus en conditions humides après lavage que quand ils sont séchés immédiatement (tableau 3). Ainsi, dans la pratique normale, quand aucun séchage artificiel n'est utilisé, l'apparition de tubercules malades variera suivant les conditions atmosphériques qui suivent immédiatement le traitement; les conditions qui ralentissent le séchage favorisent la multiplication bactérienne dans les tissus infectés. La désinfection des tubercules immédiatement après lavage réduit l'incidence de la maladie (tableau 3). Les bactéries restent viables dans les tissus nécrotiques malades durant la conservation hivernale et la majorité des tubercules infectés, quand ils sont plantés, ou contractent la pourriture molle, ou produisent des plantes atteintes de “pied noir”.
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Summary The influence of storage temperature and storage period on sprouting capacity and incubation period has been studied for 3 years with cvs. Jaerla and Désirée, stored at 4°C and 12°C, as a part of a combined study on the effect of physiological age on growth vigour. During storage the sprouting capacity gradually increased to a maximum and then declined. The maximum sprouting capacity was reached about 80 to 100 days earlier when tubers were stored at 12°C than at 4°C, and it was reached about 50 days earlier by cv. Jaerla than by cv. Désirée at both storage temperatures. The incubation period deereased linearly with time for both cultivars at both storage temperatures, being most rapid at 12°C, and the period was shorter for cv. Jacrla than for cv. Désirée during the whole storage period.
Zusammenfassung In der allgemeinen Einführung wird das Ziel der gemeinsamen Forschung, den Einfluss des physiologischen Alters auf die Wachstumintensit?t zu untersuchen, beschrieben, und es werden spezielle Ausdrücke definiert, die in dieser und in den folgenden Mitteilungen verwendet werden. In dieser gemeinsamen dreij?hrigen Untersuchung (1979–1981) sind Pflanzknollen der Sorten Jaerla und Désirée aus gleicher Herkunft verwendet worden, die bei 4°C und 12°C gelagert wurden (Tab. 1). Es wird der Einfluss der Lagerzeit und der Temperatur auf das Keimgewicht diskutiert, auf den Gewichtsverlust durch Atmung und Verdunstung und auf die Keimungskapazit?t. die Keiml?nge und auf die Inkubationsperiode. Bei einer Lagertemperatur von 12°C wurden das Keimgewicht pro Knolle und der durch Atmung und Verdunstung bedingte Gewichtsverlust der Knollen und Keime kr?ftig stimuliert (Tab. 2). Bei beiden Sorten wurde w?hrend der Lagerung bei 12°C eine exponentielle Beziehung zwischen dem Keimgewicht und dem Gewichtsverlust durch Atmung und Verdunstung gefunden. wobei die Sorte Jaerla einen h?heren Gewichtverlust pro Keim aufwies (Abb. 1). Die bei 12°C gelagerten Knollen der Sorte Jaerla keimten früher als diejenigen der Sorte Désirée und erreichten eine h?heres durchschnittliches Keimgewicht. Die Keimungskapazit?t und die Inkubationsperiode wurden w?hrend der Lagerung in Abst?nden durch Entkeimen der Knollen und Wiederaustreiben lassen bei 18°C bestimmt. Die Keimungskapazit?t wurde nach 4 Wochen bestimmt an Hand des Keimfrischgewichtes pro Knolle, ausserdem wurde die L?nge des l?ngsten Keimes bestimmt. Die Inkubationsperiode wurde definiert als der Zeitraum zwischen der Keimung und der Bildung kleiner Knollen an den Keimen. Die Keimungskapazit?t erreichte w?hrend der Lagerung ein Maximum, um danach abzufallen (Abb. 2). Dieses Maximum wurde etwa 80 bis 100 Tage früher erreicht, wenn die Knollen bei 12°C gelagert wurden. Bei beiden Lagertemperaturen war die maximale Keimungskapazit?t bei der Sorte Jacrla etwa 50 Tage früher erreicht als bei der Sorte Désiréc. Die maximale L?nge des l?ngsten Keimes korrespondiert in nahezu allen F?llen mit der maximalen Keimunskapazit?t, wobei zwischen beiden Merkmalen cine gute bis sehr gute lineare Beziehung besteht (Tab. 3). Bei beiden Sorten und beiden Lagertemperaturen verringerte sich die Inkubationsperiode linear mit der Zeit, und zwar am schnellsten bei der h?chsten Lagertemperatur. Die Inkubationsperiode der Sorte Jaerla war in allen F?llen kürzer als diejenige der Sorte Désirée (Abb. 3). Wenn das Maximum der Keimkapazit?t überschritten wird, besteht bei beiden Sorten und bei beiden Temperaturen, 4°C und 12°C, eine postive lineare Bezichung zwischen dem Abfallen der Keimungskapazit?t und der Verringerung der Inkubationsperiode (Tab. 4).

Résumé Dans l'introduction générale l'objectif des recherches concertées concernant l'influence de l'age physiologique sur la vigucur de croissance est décrit et plusieurs termes employés ici et dans plusieurs articles antérieurs sont définis. Les études ont été réalisées durant trois ans (1979–1981) avec des plants des variétés Jaerla et Désirée de même origine conservés à 4°C et 12°C (tableau 1). L'influence de la durée et de la température de conservation sur le poids de germes, les pertes de poids par évapotranspiration, la capacité germinative, la longueur des germes et la période d'incubation est discutée. Le poids de germes par tubercule, les pertes de poids dues à l'évapotranspiration et la germination sont fortement stimulés à 12°C (tableau 2). Il existe une relation exponentielle entre le poids de germes et les pertes de poids des tubercules dues à l'evapo-transpiration pour les deux variétés convervées à 12°C, avec toutefois une perte plus élevée par poids de germes pour la variété Jaerla (figure 1). Les tubercules de cette dernière conservés à 12°C germent plus rapidement que ceux de Désirée et ont un poids moyen de germes plus élevé. La capacité germinative et la période d'incubation sont déterminés à intervalles réguliers durant la conservation par égermage des tubercules suivi d'une germination à 18°C. La capacité germinative est déterminée après quatre semaines par la mesure du poids frais des germes par tubercule et la longueur du plus long germe. La période d'incubation est définie comme étant le temps s'écoulant entre le début de la germination et la formation de petits tubercules sur les germes. La capacité germinative durant la conservation augmente dans le temps puis décline (figure 2). Le maximum est d'environ 80 à 100 jours plus précoce lorsque les tubercules sont conservés à 12°C. Pour les deux températures de conservation, la capacité germinative maximum est pour Jaerla approximativement de 50 jours plus précoce que pour Désiréc. La longueur maximum du plus long germe correspond dans preque tous les cas au maximum de capacité germinative avec une haute ou très hute corrélation (tableau 3). La période d'incubation diminue linéairement avec le temps pour les deux variétés et les deux températures de conservation, bien que plus rapidement pour la température la plus élevée. La période d'incubation de la variété Jaerla est dans tous les cas plus courte que celle de Désirée (figure 3). Lorsque la capacité germinative maximum est passée, il existe une elation linéaire positive entre la diminution de celle-ci et la diminution de la période d'incubation au sein de la même variété pour 4°C et 12°C (tableau 4).
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