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1.
In this article the relationship between land tenure and agroforestry is analysed drawing on a case study from Benin. It is argued that tenants, the landless and the majority of women are disadvantaged compared with landowners in terms of their ability to adopt agroforestry systems. This is due to a lack of land resources, tenure insecurity and restrictions in planting perennial crops. State interventions and conflicts between farmers and pastoralists further limit land tenure security of the rural population and thus reduce the willingness of peasants to invest on a long-term basis and to protect natural resources. The article concludes with some implications for policy and project interventions in the field of land tenure systems.
Résumé Dans cet article, les relations entre droit foncier et agroforesterie sont analysées dans le cas du Bénin. Le fait que les locataires, les paysans sans terre et la plupart des femmes sont désavantagés par rapport aux propriétaires parce qu'ils ne sont pas en mesure d'adopter des systèmes agroforestiers est mis en evidence. Cela est dû au manque de ressources foncières, à l'incertitude de l'utilisation de la terre et aux restrictions sur la plantation des cultures pérennes. Des interventions étatiques et des conflits fonciers entre agriculteurs sédentaires et éleveurs restreignent la sécurité foncière de la population rurale et réduisent la disposition des paysans à investir à long terme et à protéger les ressources naturelles. A la fin de l'article les conclusions pour des interventions politiques et pour la planification des projets dans le domaine du droit foncier sont identifiées.
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2.
Jungle rubber is a blanced, diversified system derived from swidden cultivation, in which man-made forests with a high concentration of rubber trees replace fallows. Most of the income comes from rubber, complemented with temporary food and cash crops during the early years. Perennial species that grow spontaneously with rubber provide fruits, fuelwood and timber, mostly for household consumption. Jungle rubber enables lower incomes per land unit or man-day than weed-free plantations using selected rubber clones. Yet it requires much less input and labour since wild woody species protect rubber from grass weeds and mammalian predators. With a structure and biodiversity similar to that of secondary forest in its mature phase, jungle rubber belongs to complex agroforestry systems. It has accommodated increasing population densities, while preserving a forest-like environment.Yet farmers' income from jungle rubber is declining due to the exhaustion of forest reserves and reduced land availability. New research and extension options could help in improving the productivity of jungle rubber. Better transportation and marketing are needed for increasing the income from non-rubber output. Short-term, small-scale credit schemes could help farmers adopt high-yielding rubber varieties. Research should participate in creating new management methods for selected rubber based on agroforestry to reduce maintenance costs, enabling smallholders to plant high-yielding rubber at lower cost, and without losing too much of the present biodiversity and economic diversity.
Résumé Dérivées de l'essartage, les forêts à hévéa forment un système de culture équilibré et diversifié, où le recrû forestier est remplacé par une forêt anthropique à forte concentration d'hévéas. L'essentiel du revenu provient des hévéas, complétés par des cultures vivrières et commerciales pendant les premières années. Les espèces prérennes qui se développent spontanément avec les hévéas fournissent des fruits et du bois, principalement pour l'autoconsommation. Le revenu tiré de ce système est inférieur à celui de plantations d'hévéa clonal entretenues. Il nécessite cependant moins d'investissements en intrants et en travail grâce au rôle protecteur de courvert forestier vis-à-vis des adventices herbacées et des mannifères prédateurs. Avec une structure et une diversité d'espèces comparable à celles d'une forêt secondaire, ce système fait partie des agroforêts complexes. Il a fourni depuis 1910 l'essentiel du revenu d'une population en croissance rapide tout en préservant un environnement forestier.Le revenu que tirent les paysans des forêts à hévéa est en déclin en raison de l'augmentation de la population. De nouvelles orientations de la recherche et du développement pourraient permettre d'améliorer la productivité de ce système. Le revenu tiré de la composante nonhévéa pourrait être augmenté grâce à une amélioration des transports et de la commercialisation. Le crédit à court terme et à petite échelle permettrait aux paysans d'adopter des variétés d'hévéa sélectionné et d'augmenter ainsi leurs revenus. La recherche devrait aider à mettre au point de nouvelles méthodes de gestion des hévéas sélectionnés, de type agroforestier, afin de réduire les coûts d'entretien. Les paysans purraient ainsi planter des hévéas hauts producteurs à moindres frais, et conserver partiellement la diversité économique et écologique du système actuel.
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3.
In the Krui arae, (South Sumatra, Indonesia), the damar agroforests (Shorea javanica, Dipterocarpaceae) are but one element of the farming systems which include several other cropping systems such as irrigated or rainfed rice cultivation, and coffee plantation.Rainfed rice is cultivated in forest clearings, in order to meet rice requirements which cannot be met with irrigated rice crop only. In the forest clearings, coffee stands are established in rice crop, and later, Damar are planted among coffee plants. As a result of this cropping system, the damar agroforest spreads while the forest dwindles.In one village, no more forest land is available for peasants' clearings. The resulting high land pressure causes cropping systems and farming systems to change or to be exported to neighbouring areas where forest land is still available.
Résumé Les agroforêts à damar (Shorea javanica) ne sont qu'un élément du système d'exploitation agricole de la région de Krui, Sud Sumatra, Indonésie. Ceux-çi associent plusieurs systèmes de culture tels que la riziculture irriguée, la culture du riz pluvial et la plantation de cafeiérs.L'insuffisance des surfaces en rizières irriguées est compensée par la culture du riz pluvial, pratiquée en ladang, parcelle de forêt défrichée et brûlée. Sur les ladangs se succèdent les cultures de riz, de café puis de damar, transformant ainsi la forêt naturelle en agroforêt à damar. On assiste à l'extension continue des agroforêts au détriment de la forêt naturelle.Dans un des villages étudiés, la réserve de terres forestières communales est épuisée, déjà transformée en agroforêts. La forte pression fonçière qui en résulte induit des transformations dans les systèmes de production agricole ou incite des agriculteurs à migrer dans des régions voisines encore riches en terres forestières. Dans ces régions, les migrants reproduisent un système agroforestier très proche de celui de Krui, dans la mesure où les conditions écologiques le permettent.
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4.
Agroforestry techniques in tropical countries: potential and limitations   总被引:1,自引:1,他引:0  
Agroforestry designates land management techniques, which implies the combination of forest trees with crops, or with domestic animals, or both. Because of their interdisciplinary character, they are of particular interest for many countries of the Third World, where an equilibrated development of all rural lands must be obtained. It is no longer tolerable to consider separately forestry and agriculture in the tropics, and to manage forest resources as an isolated ecosystem. Through his traditions, the tropical farmer is an agro-forester and it is possible to take advantage of his experience in forestry, in order to increase the yields of his agricultural crops. A sustained yield agriculture is the best protection for tropical forests. A classification of the principal agroforestry techniques is proposed and some traditional practices are described. The outstanding advantages of agroforestry in the social, economic and ecological fields suggest some principles for future investigation programs, which will still have many problems to solve.
Résumé Les techniques agroforestiéres désignet toutes les méthodes de production, où des arbres sont associés aux cultures agricoles, à l'élevage, voire même aux deux à la fois. Du fait de leur caractère interdisciplinaire, elles s'imposent dans de nombreux pays du Tiers-Monde pour atteindre un développement harmonieux du milieu rural. Il n'est en effect plus permis de considérer séparément forêts et agriculture dans les tropiques et de gérer le patrimoine forestier en vase clos. Le paysan du Tiers-Monde est un agroforestier par tradition et il s'agit de mettre en valeur ses connaissances forestières pouvant améliorer les rendements agricoles, et vice-versa. Une agriculture à rendement soutenu est la meilleure protection pour les forêts tropicales! L'article propose une classification des principales techniques agroforestiéres en décrivant quelques pratiques bien établies. L'énumération des avantages sociaux, économiques et écoolgiques de ces techniques suggère quelques principes pour les travaux de recherche qui doivent résoudre les nombreux problèmes posés.
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5.
Résumé Le présent travail donne les résultats d'une étude sur les qualités du bois du chêne rouvre, provenant des montagnes Pontiques dans le Nord-ouest de l'Anatolié.Les dix-huits exemplaires qui ont fourni le matériel nécessaire ont été recueillis dans des forêts jardinées où le sapin (Abies Bornmülleriana), le hêtre (Fagus orientalis) et les pins (Pinus silvestris et nigra) croissent en mélange avec les chênes. Le matériel était composé de neuf tiges avec un âge moyen de 115 ans et de neuf tiges avec un âge moyen de 219 ans. Les arbres de cette deuxième groupe étaient caractérisés en plus par une croissance très lente au cours des dernières dizaines d'années, ce qui explique un diamètre final à peu près égal des deux groupes.Les analyses ont démontré que la densité du bois dépend directement de l'importance relative, d'une part des fibres de bois, d'autre part des vaisseaux et des trachéides. Cette relation elle-même est fonction de l'âge du tronc au moment de la formation du bois, du diamètre de la couronne et de la vitesse de croissance. Pour une même vitesse de croissance les arbres les plus âgés ont formé moins de fibres que les jeunes individus. Les arbres qui avaient des couronnes de dimensions moyennes ont différencié un bois contenant plus de fibres que le bois qui a été formé dans les arbres avec des couronnes très minces ou très larges.Le bois des chênes âgés est moins dense: la densité anhydre a une valeur moyenne de 0,708 g/cm3 chez les jeunes exemplaires, de 0,647 g/cm3 chez les plus âgés. La moyenne de la groupe est de 0,675 g/cm3.Le bois a été soumis aussi à des essais de compression, de flexion et de choc (flexion dynamique). Compte tenu de la relation qui existe entre la résistance mécanique et la densité du bois, les résultats sont comparables à ceux qu'on retrouve dans la littérature. Les chênes âgés sont, pour une densité égale, d'une tenue moins bonne à la flexion statique et dynamique. Le niveau de la relation densité — résistance mécanique est très différent d'un arbre à l'autre et si l'on range les troncs selon leur qualité, on retrouve à peu près le même classement pour les différents essais.Cette étude a fait resortir aussi que malgré les différences du climat en son aire naturel, le chêne rouvre possède à peu près partout les mêmes propriétés anatomiques, la même densité et les mêmes qualités technologiques. Elle a démontré en plus que, pour cette espèce d'arbre, le comportement dans la formation du bois est très uniforme.  相似文献   

6.
The influence of V.A. mycorrhization was studied on two clones of in-vitro micropropagated plantlets ofArgania spinosa, a slow-growing tree of great importance in agroforestry systems in the semi-arid and arid zones of southwestern Morocco. Inoculation increased total shoot length, stem girth and biomass of the plants, when cultivated in controlled conditions with a phosphorus fertilization of 31 mgP·kg–1 added to a substrate already containing 13.5 mg·kg–1 available P (Olsen). The positive effect increased with time and, after 6 months, the above-ground dry matter production was 5 to 6 times higher for inoculated plants. The Relative Mycorrhizal Dependency Index, calculated on total dry matter, reached 77–78% at the end of experiment. Calculated on above-ground dry matter, the R.M.D.I. was 81–83%, placing the argan tree among the plants most dependent on mycorrhizal symbiosis. The root/shoot ratio was markedly (40–50%) reduced by inoculation, demonstrating the higher efficiency of a mycorrhizal root system.
Résumé L'influence de la mycorhization V.A. a été étudiée chez l'arganier (Argania spinosa), arbre à croissance lente très important pour les systèmes agroforestiers des zones arides et semi-arides du Sud-Ouest marocain. Chez les plantules issues de micropropagation in vitro et cultivées en conditions contrôlées sur un substrat contenant 13.5 mgP·kg–1 (Olsen) auquel on rajoute 31 mgP·kg–1 par la fertilisation, l'inoculation accroit la longueur totale des axes, le diamètre au collet et la biomasse des plantes issus de multiplication in vitro. L'effet bénéfique augmente avec le temps et, après 6 mois, la matière sèche des parties aériennes était 5 à 6 fois plus élevée chez les plantes inoculées que chez les témoins non inoculés. L'Indice de Dépendence Mycorhizienne Relative, calculé sur la matière sèche totale, atteint 77–78% à la fin de l'expérience. Calculé sur la matière sèche des seules parties aériennes, l'I.D.M.R. est de 81–83%, situant l'Arganier parmi les plantes les plus dépendantes de la symbiose mycorhizienne. Le rapport racines/parties aériennes est nettement réduit (de 40 à 50%) par l'inoculation, mettant en évidence la meilleure efficacité d'un système racinaire mycorhizé.
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7.
Summary On the lines of plant protection, purpose and aim of development aid are demonstrated along with all those difficulties which are connected with the execution of a project in African, Latin-American and Asian countries. Practising human solidarity in general and fighting against hunger in the world in particular, are the leading principles here. Also in plant protection, these tasks can be only tackled by specialists which are free from illusions and able to adapt themselves to the completely diverse elementary standards. The success of the project depends not only upon their human and pedagogic qualifications but also upon their organizational abilities. Disappointments must not discourage them. Experience and knowledge so far obtained and conclusions reported here ought to be the criteria for measuring the young generation's qualifications for the tasks set by future projects. These young specialists should bear in mind that plant protection in a developing country is offering a broader basis of success than is the case in our regions. Normally, a demonstrative increase in productivity per acre will be achieved and the hard work will, thus, find its full recognition. Knowledge, courage, tenacity and patience in convincing create the conditions which bring about the close contact with the local population and their willingness to learn. The prerequisites to a project task as well as to the preparation and carryingout of a plant protection project are being explained and recommendations made as to the training and cooperation of the local staff. On the basis of the project work of the German instructors, an initiative of regional agriculture towards the new production factor called plant protection will have to develop in close cooperation with the governmental and technical agencies of the host country. The achievements so far obtained are justifying the German aid and its continuation.
Résumé A l'exemple de la protection des végétaux, sens et objet de l'assistance aux pays en voie de dé veloppement sont démontrés avec toutes ses difficultés qui se lient à la réalisation d'un projet dans des pays de l'Afrique, de l'Amérique et de l'Asie. Au premier plan s'y pose la solidarité humaine pratiquée en général et l'elimination de la faim dans le monde en particulier. A cette tâche se prêtent — également dans la protection des végétaux — seuls des spécialistes ne s'adonnant pas à des illusions et pouvant s'adapter aux mesures élementaires entièrement autres. Leurs aptitudes humaines et pédagogiques, mais aussi organisatoires, assurent en première ligne le succès du projet. Des déceptions ne peuvent les dérourager. Aux expériences acquises jusqu'à présent, aux connaissances et conséquences dont il est fait rapport, la jeune génération doit mesurer sa qualification pour une future tâche de projet. Elle devrait réfléchir sur le fait que la protection des végétaux dans un pays en voie de développement présente un motif de succès plus convaincant que dans nos régions. L'augmentation de la productivité unitaire des plantes pourra en général réussir par démonstration, et du travail pénible donc aussi trouver son approbation. Savoir, courage, persé vérance et patience pour la conviction en créent les conditions préalables qui conduisent vers le contact étroit avec les indigènes et vers leur disposition à apprendre. Les conditions pré alables pour une mission de projet ainsi que la préparation et la réalisation de projet relatif à la protection des végétaux sont expliquées et des recommandations en vue de la formation et coopération d'aides indigènes sont données. Du travail de projet des «instructeurs» allemands devra résulter en étroite collaboration avec les services gouvernementaux et professionnels du pays hôte l'initiative de l'agriculture indigène vers un nouveaux élément de production, la protection des végétaux. Les succès acquis justifient l'assistance allemande et sa poursuite.
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8.
Summary By means of gas analyzers the gas exchange of leaves of black poplar was measured before and during 4 days after treatments with Gamalo (containing Lindane) and Perfekthion (Dimethoate). Photosynthesis and transpiration of Gamalo sprayed leaves fell to 40% and 60%, respectively, of the original value within an hour. Respiration was not affected measurably. Twenty hours later gas exchange was practically normal again. The observed effect is ascribed mainly to the volatile phase of Lindane which most likely caused a partial stomatal closure.The systemically acting Perfekthion caused but a slight, statistically not significant reduction of photosynthesis 2–4 days after treatment.With both treatments young leaves behaved like mature ones.
Résumé On a mesuré les échanges gazeux chez des feuilles du Peuplier noir qui avaient été aspergées avec du Gamalo (contenant du Lindane) et du Perfekthion. Une heure après ie traitement avec du Gamalo, la photosynthèse et la transpiration des feuilles étaient réduites de moitié, alors que la respiration restait inchangée. Au bout de 20 heures, les échanges gazeux s'étaient à nouveau normalisés. L'effet observé est dû à la phase volatile du Lindane, qui vrais emblablement produisit la fermeture des stomates.L'insecticide systémique Perfekthion causa, 2 à 4 jours après l'application, une diminution de l'absorption en CO2, changement dont la signification n'est cependant pas confirmée statistiquement.Les jeunes feuilles réagirent de la même manière que les feuilles adultes dans les deux cas.
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9.
This study of the pruning of néré (Parking biglobosa) trees in central Burkina Faso included detailed surveys of 83 trees and their owners in 21 villages. Pruning is not widespread, but appears to be a practice with various motives and techniques. The motives are mainly aimed at deliberate management of the trees, in order to enhance their fruit production, and are rarely aimed at reducing tree impact on crop productivity. The characteristics of tree pruning techniques (e.g., frequency, intensity and seasonality) and their corresponding motives appear to change as an adaptation to land degradation processes and the deterioration of tree condition. The results demonstrate that indigenous silvicultural management techniques contribute to a sustainable use of tree resources.
Résumé Cette étude sur la taille du néré (Parkia biglobosa) a été faite par des observations détaillées de 80 nérés et les entretiens avec leurs propriétaires dans 21 villages au Plateau Central du Burkina Faso. La taille du néré n'est pas générale, mais révèle diverses motivations et techniques. La plupart des motivations est orientée vers une gestion consciente de l'arbre en vue d'une amélioration de la production furitière, et rerament en vue d'une reduction de l'influence de l'arbre sur les cultures. Les caracteristiques des techniques de taille (fréquence, intensité, période de taille) et les motivations impliquées paraissent s'adapter à la dégradation de l'environnement et al détérioration de la viabilité des arbres. Les résultats montrent la durabilité des pratiques concernant la gestion des arbres.
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10.
Summary In this paper a method for rearingPsila rosae is described. For oviposition the imagines are cultured at room temperature in cages containing moist filter paper at the bottom, furthermore the well described oviposition places, and a food place and a water place at the ceiling. A mixture of sugar, casein-hydrolysate, yeast, saltmixture and water serves as food. The eggs may be collected three times during the week by washing out with water and are stored at room temperature in little embryo dishes. The newly hatched larvae must be cultured in little Petri dishes at 15°C, fed with pieces of carrot. It is necessary to make a little hole for each larva on the underside of the carrot piece and to shove the larvae in the holes. Furthermore a layer of moist sand under the carrot pieces is necessary. Mould and bacterial decay are the most dangerous facts which have to be observed. From heavy moulded carrot pieces the larvae must be taken out and put on new pieces. Fullgrown larvae pupate in the sand, from where they may be collected. Only if the sand is to moist or to little, the larvae go back into the piece for pupating. In this case you must remove the pupa, which is more riskfull than taking out a larva. The collected pupae are stored in a Petri dish on moist sand at 15°C. The paper finishes with some remarks about the diapause and the possibility for its prevention.
Résumé Dans ce travail précédent une méthode de l'élevage dePsila rosae est décrite. Pour la ponte des oeufs les adultes sont tenus á température de chambre dans des cages, dont le fond est couvert avec du papier à filtrer; en outre ils contiennent les lieux bien décrits de la ponte des oeufs et au plafond une place avec la nourriture aussi bien qu'avec de l'eau. Comme nourriture sert un mélange de sucre, de casein hydrolysé, de la levure, des sels et de l'eau. Les oeufs peuvent être recoltés trois fois par semaine par rincage à l'eau et sont gardés à température de chambre dans des petites cuvettes. Les larves, qui viennent d'éclore, doivent être gardées dans des cuvettes Petri à 15°C et sont nourries avec des pièces de carotte. Pour adapter la nourriture, chaque larve doit être poussée séparement dans un petit trou qui se trouve au côté inférieur de la piéce de carotte. En outre il faut une couche de sable mouillé au dessous. La moississure et la dêcomposition bactérielle sont les facteurs les plus dangereux pour l'élevage. C'est pourquoi il faut toujours bien surveiller les piéces de carotte. Quand elles se moisissent trop, les larves doivent être enlevées et mis dans des piéces fraîches. Les larves, qui sont mûres à se transformer en chrysalides, sortent des carottes et se cachent dans le sable, ou on peut les recolter. Quand il n'y a pas assez de sable ou quand celui-ci est trop mouillé, les larves rentrent dans les pièces de carotte. Dans ce cas il faut les chrysalides préparer soigneusement de là. En tout cas la préparation des chrysalides est plus difficile que celle des larves. Les chrysalides sont gardées à 15°C dans des cuvettes Petri, placées sur du sable mouillé. Le travail conclut avec quelques remarques sur la diapause des chrysalides et sur la possibilité, comment on peut l'empêcher.
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11.
Despite its economic and nutritional importance, groundnut (Arachis hypogaea L.) has received little attention in alley cropping research. Groundnut was grown in rotation with rice and maize during two successive years in an alley cropping experiment with Gliricidia sepium (Jacq.) Steud. (Fabaceae) on a Ferralic Cambisol/Plinthic Lixisol in the semi-deciduous rainforest zone of the Côte d'Ivoire. Drought caused low groundnut yields in both years. Hedgerows at 5 m spacing between the rows increased groundnut yields in the alleys by increasing pod numbers per plant and fully compensated for yield losses due to the surface occupied by the hedgerows and (in the first year) yield depressions at the tree-crop interface. Yield increases were presumably mainly due to reduced disease incidence and improved water relations of the crops. Fertilization increased yields of groundnut straw in the second year, but not pod yields. Root barriers between hedgerows and crops had no effect on groundnut yields. Shading from the hedgerows was limited to the first groundnut row at the southern side of the alleys and to a short period at maturity, and pod yields were consequently not affected. Potential evapotranspiration was lower in the alleys than in sole cropping plots during most of the cropping season, with the most pronounced reductions near the southern tree-crop interface. In the first year, a severe virus infestation of groundnut seemed to be reduced by hedgerow integration. In the second year,Gliricidia mulch reduced the incidence of fungal leaf diseases (late leafspot, rust) of groundnut both under sole cropping and alley cropping conditions. In contrast, leaf destruction by fungi was increased in the shaded parts of the alleys. In alley cropping, effects on crop diseases have to be considered when hedgerows are managed for reducing crop transpiration. Agroforestry may have a potential for increasing yield security of groundnut by reducing transpiration and crop diseases in drought years.
Resumé Il existait peu de recherches sur l'arachide (Arachis hypogaea L.) dans les systèmes de culture en couloirs, malgré toute l'importance économique et nutritionelle de cette plante. L'influence de haies de Gliricidia sepium (Jacq.) Steud. (Fabaceae) sur une culture intercalaire d'arachide fut étudié sur des sols ferralitiques (Ferralic Cambisol, Plinthic Lixisol) en zone de forêt dense humide semi-décidue en Côte d'Ivoire. L'expérience fut suivie pendant deux années successives, au cours desquelles l'arachide fut cultivée en rotation avec du riz et du maïs. Les productions d'arachide furent faibles en raison de la sécheresse des deux saisons considérées. Les haies, espacées de 5 m, ont permis d'accroître la production d'arachides dans les couloirs grâce à une augmentation du nombre de gousses par plantes; ceci permit de compenser l'espace occupé par les arbustes, ainsi que les pertes constatées, en première année seulement, sur les lignes les plus proches des haies. L'augmentation de production peut probablement s'expliquer en grande partie par une réduction des maladies ainsi que par une amélioration de la situation hydrique de la culture. L'apport d'engrais a augmenté la production de fanes d'arachide en deuxième année, mais pas celle de gousses. La mise en place de barrières souterraines entre la haie et la culture n'a pas eu d'effet sur la production de celle-ci. L'ombrage par la haie ne toucha que la première ligne d'arachide sur le côté sud des couloirs et pendant une courte période au moment de la maturation, c'est pourquoi il n'y eut pas d'effet dépressif sur la production de gousses. L'évapotranspiration potentielle fut plus faible dans les couloirs que dans les cultures pures sans haies pendant presque toute la période de culture, les réductions les plus importantes étant mesurées du côté sud du couloir, en bordure de haie. Au cours de la première année, il semble que la présence de haies ait réduit une sérieuse attaque virale sur arachide. En deuxième année, ce fut l'apport d'un paillis de Gliricidia qui réduisit l'effet de maladies fongiques de l'arachide (cercosporiose, rouille), que ce soit entre les haies ou en culture pure. Au contraire, les attaques foliaires d'origine fongique furent plus élevées sur les lignes ombragées par les haies. C'est pourquoi il apparaît nécessaire de prendre en compte les aspects phyto-sanitaires lorsque l'on utilise des haies pour réduire l'ETP au niveau d'une culture. En conclusion, les auterus estiment que les systèmes agroforestiers peuvent contribuer à sécuriser la production d'arachide, en réduisant l'ETP et les maladies des cultures, à l'occasion d'années sèches.
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12.
This paper discusses the cropping system of immigrant Baoulé farmers in the rain-forest area of South-west Côte d'Ivoire (Ivory Coast). The area harbours one of the last substantial rain-forest reserves of humid West Africa. Part of it is known as Taï National Park, and has been adopted as one of UNESCO's Man and Biosphere Programme areas.The park area is threatened by farmers in search of land.Soils in the area typically show a low intrinsic nutrient content (particularly phosphorus and potassium), low pH values, a low CEC, and, locally, high levels of gravel.In the Baoulé cropping system fields are kept under perennial crops, mainly cacao, after having been used for food crop cultivation during the first two years. Yam, the most important food crop is grown on mounds. Next to the inherent poverty of the soil, this cropping technique, which disrupts the structure of the top soil is seen as one of the causes for low yields of cocoa on Baoulé farms in the area. Yields per ha amount to c. 60% of that of the national average.The conclusion is that the Baoulé agricultural production system is ill-adapted to the local ecosystem.Measures to improve adaptation include: Introduction of crop species adapted to adverse soil conditions (e.g. rubber, oilpalm), to buffer cacao plantations through planting of shade trees, to apply fertilisers, and to make use of biological nitrogen-fixation.Generally, the remedies proposed involve investments in terms of cash and labour on the part of the farmers. It is argued that farmers will not change their current cropping practices as long as there is forested land in the vicinity. The presence of the Taï forest, c. 300.000 ha of virgin rain-forest, impedes the process of change towards more intensive land-use practices.
Résumé Aménagement du terroir par les paysans immigrés Baoulé dans la région Taï, Sud-Ouest Ivoirien Ce document traite le système agricole des paysans immigrés Baoulés dans les régions des forêts tropicales humides du Sud-Ouest Ivoirien. Cette région héberge une des dernières réserves substantielles de la forêt tropicale de l'Afrique de l'Ouest. Le Parc National de Taï est la partie de la forêt que l'UNESCO a adoptée dans le cadre du Programme Homme et Biosphère.A l'heure actuelle les intrusions des paysans à la recherche de terre menacent le parc.Une des caractéristiques de cette région est que les sols montrent un niveau bas de nutrients intrinsiques (notamment le phosphore et la potasse), des valeurs basses de pH, une faible capacité d'absorption cationique et, localement, des niveaux élevés de gravier. Les paysans Baoulé plantent des cultures pérennes, surtout le cacaoyer, après avoir produit des cultures vivrières pendant les deux premières années. L'alinment principal, l'igname, est cultivé dans les buttes. A part la pauvresse inhérente au sol, cette technique culturale, qui dérange la structure de la couche arable du sol, est considérée comme une des causes des bas rendements du cacaoyer aux exploitations agricoles Baoulé dans la région. Les rendements par hectare n'atteignent que 60% de la moyenne nationale.On peut conclure que le système de culture Baoulé est mal adapté à l'écologie locale. Les mesures à prendre pour améliorer l'adaptation comprennent: L'introduction des cultures mieux adaptées aux conditions de sol défavorables (par exemple le hévéa, le palmier à huile), protéger les plantations de cacaoyer en mettant des arbres ombreux, l'application des engrais, et l'emploi de la fixation biologique de l'azote par certains arbres légumineux. En général, les solutions proposées entraînent des investissements en termes financiers et de travail de la part des paysans. Il est souligné que les paysans ne changeront pas leur système du culture actuel tant que les forêts sont à proximité. Donc, la présence de la forêt Taï, environ 300.000 hectares de forêt tropicale primaire, empêche le processus de changement en pratiques d'aménagement du terroir.
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13.
SummaryProtection of Forests from Pests in Ukraina The Author relates, on the basis of many years practical work in forest protection in the Ukrainian Socialist Soviet Republic, on the actual state of forest pests and their control. The 1st part deals with the development and success of chemical control since 1945. Among the products used DDT and HCCH preparations preponderate. Treatment takes place either by local dusting or by aerial spraying on large surfaces.In the 2nd part the author warns from careless use of chemical control where entomophages or other useful animals may be destroyed along with the pests. It is shown in detail that the degree of infestation depends on the physiological condition of the insect pest on the one hand, on that of the host plant on the other hand. A forecast on egg production of pest insects is possible, at least inPorthetria dispar, according to the size of pupae, which as a whole is proportional to it. In order to determine the degree of parasitation in pest caterpillars a method was worked out at the Kiev Institute, bySirotina, on the basis of the hemolymph picture. The count of healthy eggs and young larvae on model trees allows to determine, according to a formula, the possible damage and according to it the necessary and practicable protective measures.Physiological resistance of host plants is conditioned by the presence of protective substances in their tissues. These substances are partly of a similar chemical constitution as the commonly used insecticides. They fail to be formed or are unsufficiently so if the trees, mostly in artificial cultures, have been placed under external conditions unfavourable to their species: this is then the cause of mass-infestation by pests. These unfavourable factors may reside in soil conditions, in an improper choice of tree species or of silvicultural measures, and when corrected, the healthy state of stands will be restored.
RésuméLa Protection des Forêts contre les Agents nuisibles en Ukraine Basé sur ses longues années de pratique dans la Protection des Forêts dans la République Socialiste Soviétique d'Ukraine, l'Auteur donne un aperçu de l'état actuel des insectes nuisibles aux forêts et de la lutte contre eux. Le 1ère partie traite du développement et des succès de la lutte chimique depuis 1945. Parmi les produits que l'on emploie, des préparations à la base de DDT et de HCCH jouent le premier rôle. On les applique ou sous forme de poudre sur les lieux ou d'aspersion spray, depuis des avions, sur des surfaces étendues.Dans la 2e partie, l'Auteur nous avertit d'un emploi inconsidéré de produits de lutte chimique dans des cas où des entomophages ou d'autres animaux utiles risqueraient d'être également détruits. L'Auteur expose que le degré d'infestation dépend d'une part de l'état physiologique des insectes nuisibles, d'autre part de celui des plantes-hôtes. Le pronostic de la production d'oeufs est possible, au moins chez lePorthetria dispar, d'après la grandeur des chrysalides qui lui est essentiellement proportionnelle. Afin de déterminer l'infestation des chenilles par des parasites, on se sert de l'image de l'hémolymphe d'après une nouvelle méthode mise au point parSirotina à l'Institut de Kiew. Le comptage des oeufs et des larves nouvellement écloses en bonne santé sur des arbres échantillons permet de déterminer, d'après une formule qu'on a établie, le degré possible de dommage et, par consequent, les mesures nécessaires et praticables de protection.La résistance physiologique des plantes-hôtes est conditionnée par la présence de matières protectives dans leurs tissus, en partie chimiquement parentes aux insecticides en usage. Ces matières ne se forment pas ou en quantité insuffisante si les arbres, le plus souvent en cultures artificielles, ne trouvent pas les conditions externes favorables à leur espèce, ce qui a pour conséquence des attaques en masse par des insectes nuisibles. Ces facteurs défavorables peuvent résider dans les conditions du sol, dans un choix impropre des essences ou des traitements sylvicoles, et leur rectification amènera la guérison.
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14.
Summary The present work is dealing with the mass increase ofStilpnotia Salicis L. in the willow windbreaks of northeastern Burgenland in 1962/63. The calamity broke down as soon as the second year because of the spreading of a polyedrosis of the middle intestin which probably was due to a physiological weakening of the small caterpillars during the heavy frosts of the winter of 1962/63. As comparisons of the bioclimatical data of this period of gradation with that of 1926/27 have shown, the hatching of the young caterpillars little after the egg deposit and consequently, the hibernation in the larva stage, is likely to be caused by the very low moisture content of the air in these regions. The evolution ofStilpnotia salicis L. eggs into caterpillars in the year of the egg deposit seems to be a rule in the regions of Pannonian climate and those influenced by it.
Résumé Le présent travail traite la gradation deStilpnotia salicis L. dans les platations de brise-vent dans le nord-est du Burgenland en 1962/63. Le déclin de la calamité se manifesta dès la deuxième année grâce àu développement d'une polyedrose de l'intestin moyen qui était vraisemblablement due à un affaiblissement physiologique des petites chenilles par suite des fortes gelées de l'hiver 1962/63. Ainsi que l'ont révélé les comparaisons des données bioclimatiques de la période d'évolution en question avec celle des années 1926/27, l'éclosion des jeunes chenilles peu après le dépôt des oeufs et par conséquent, l'hiber, nation au stade larvaire ont leur cause dans la grande sècheresse de l'air de ces régions. L'éclosion des chenilles deStilpnotia salicis L. dans l'année du dépôt des oeufs semble être la règle dans les plantations de brise-vent de la région au climat pannonien et celles influencées par celui-ci.


Die Erhebungen des Schadauftretens erfolgten in Zusammenarbeit mit der Forstaufsichtsstation Neusiedl am See, wofür an dieser Stelle herzlichst gedankt sei.

Frau Professor Dr. Francke-Grosmann zum 65. Geburtstag gewidmet.  相似文献   

15.
Zusammenfassung Im Staatswald bei Orléans wurde 1991 die Population des Großen Braunen Rüsselkäfers untersucht, um zu prüfen, ob die in mit Äthanol und alpha-Pinen beköderten Becherfallen gefangenen Adulten eine zuverlässige Stichprobe der im Forst anwesenden allgemeinen Population darstellen. Die Untersuchungen wurden in verschiedenen Abteilungen durchgeführt, in denen der Einschlag des Kiefernaltholzes während der Winter 1988/89, 1989/90 bzw. 1990/91 stattfand. Das physiologische Alter der Käfer wurde anhand der Ovarentwicklung bestimmt. Die Ergebnisse zeigen, daß in diesem Fallentyp gleich viele Männchen wie Weibchen gefangen wurden. Die in den Abteilungen vom Alter (X+2) (s. Text) gefangenen Weibchen haben dort überwintert. Die Mehrzahl legte ihre Eier im vorigen Jahr ab. Dort wurden auch Weibchen gefangen, die noch keine Eier abgelegt hatten. Die meisten Fänge wurden am Anfang der Vegetationsperiode registriert. Die in den Abteilungen vom Alter (X+1) gefangenen Weibchen gehörten ebenfalls zwei Populationen verschiedenen physiologischen Alters an. Ein Teil hatte schon 1990 die Eier abgelegt, die Mehrzahl hatte aber noch nicht damit begonnen. Die Fänge fanden bis Mai statt. In Beständen vom Alter (X) wurden Weibchen gefangen, die bei der Eiablage waren. Die Fänge erfolgten vor allem im Mai und Juni. Der beschriebene Fallentyp lockt wie frische Föhrenstubben die Käfer während der Fortpflanzungsperiode an. So scheint es normal, daß nur wenige junge Käfer gefangen wurden, die auf den Flächen überwinterten, ohne sich fortzupflanzen. Vermutlich gerieten solche jungen Käfer nur zufällig in die beköderten Becherfallen. Außerdem wurde nachgewiesen, daß der Große Braune Rüsselkäfer in dieser Gegend, im Gegensatz zur allgemeinen Lehrmeinung, seinen Entwicklungszyklus in einem einzigen Jahr durchführen kann. Die anormal warmen Jahre 1989 und 1990 sind dafür vielleicht verantwortlich zu machen. Die Fangmethode scheint geeignet, um die Populationsdichte des Großen Braunen Rüsselkäfers während der Fortpflanzungsperiode zu überwachen und eine Prognose zukünftiger Schäden zu geben. Es sollte dabei auch die Menge der Brutstätten, also die Dichte der frischen Kiefernstubben, berücksichtigt werden.
Study of the sexual development of Large Pine Weevil females (Hylobius abietis L.) (Coleoptera: Curculionidae) caught in kairomones baited pitfall traps
In 1991, a study was carried out in the Orleans State Forest, to ascertain that adults population of Large Pine Weevil caught in pitfall traps, dug into the soil and baited with ethanol and alpha-pinen, could constitute a suitable sampling of the main population prevailing in the field. This study was conducted on old pine stand plots, where the exploitation have been realized during winter either in 1988/89, 1989/90 or in 1990/91. It was assumed that, in the studied area, in spring females lay eggs into the roots of pine stumps that have been cut the previous winter. The adults of the new generation emerge from the ground during the summer of the second growth season following the cutting, then overwinter after maturation feeding (and eventually inflict damage on seedlings). These young adults lay eggs during the spring of the third growth season, while they feed and damage seedlings again. The physiological age of caught adults was estimated by ovaries development of dissected females. Results show that as females as males are caught in this trap design. Trapped females on age plots X+2 old (see text), overwintered at this place. The majority have already laid their eggs in the previous year. Females which have not yet laid eggs, were also caught. All these females were mostly caught in traps along the plot edge. The catches mainly took place early in the growing season. Trapped females on age plots X+1 old, also belong to two different physiological aged populations. Some females have laid eggs in 1990, and the main part had not laid eggs yet. The catches took place up to May. The catches in age plots X are higher and later. They are composed of eggs laying females. Catches occur in May and June. This trap design attracts weevils in the same way as fresh stumps do. Therefore, it lures weevils in the reproductive period. So, it is quite understandable that very few young weevils, that are going to overwinter without reproduction, can be found in these traps. These young weevils are sensitive to other stimulus and it is may be, only by chance, that they are found in this trap type. Furthermore, it seems that in this area, the large pine weevil could run its life cycle only in a year. It might be the consequence of the anormaly warm weather of 1989 and 1990. We observed that insects grown in logs burried in the ground early in the growth season, left them at the end of that season. So, this trapping method seems suitable to be used for survey of weevils populations during their eggs laying period. It could be used in a study for forecasting future damages, but in this case, it would be necessary to take the amount of development supports, i.e. density of fresh pine stumps on the plot, in account.

Resumé En 1991, une étude a été faite en forèt domaniale d'Orléans pour vérifier si la population des adultes d'hylobes (Hylobius abietis L.) capturés dans de pièges bocaux enfoncés en terre et contenant un appât constituté par l'éthanol et l'alpha-pínène, pouvait constituer un échantillon représentatif de la population générale présente en forêt. Cette étude a été conduite sur des parcelles où l'exploitation du vieux peuplement de pins avait été faite soit dans l'hiver 1988–1989, soit dans l'hiver 1989–1990, soit enfin au cours de l'hiver 1990–1991. On a admis que dans la région étudiée, les femelles pondent, au printemps, dans les souches de pins qui ont été abattus l'hiver précédent. Les adultes de la nouvelle génération sortent de terre au cours de l'été de la deuxième saison de végétation qui suit l'exploitation, hivernent après s'être alimentés (et avoir éventuellement causé des dégâts). Ces jeunes adultes pondent au printemps de la troisième saison de végétation et s'alimentent à nouveau (et causent à nouveau éventuellement des dégâts). L'âge physiologique des insectes capturés a été déterminé par l'état de développement des ovaires constaté par dissection des femelles. Nos résultats montrent que l'on capture dans ces pièges la même proportion de femelles que de mâles. Les femelles capturées sur les parcelle d'âge X+2 ont hiverné à cet endroit. La majorité avait déjà pondu l'année précédente. Mais on a aussi trouvé des femelles qui n'avaient pas encore pondu. Toutes ces femelles ont été surtout capturées dans les pièges situés en bordure de la parcelle. Les captures ont eu lieu surtout en début de période de végétation. Les femelles capturées sur les parcelles d'âge X+1 appartenaient aussi à deux populations d'âge physiologique différent. Certaines femelles avaient déjà pondu en 1990, les autres (la majorité) n'avaient pas encore pondu. Les captures ont eu lieu jusqu'en mai. Les captures de femelles sur les parcelles d'âge X sont plus abondantes plus tardivement. Ce sont des femelles qui sont en cours de ponte. Les captures ont surtout lieu en mai et juin. Ce type de piège attire les insectes de la même façon que les souches fraîches. Il attire donc des insectes en cours de période de reproduction. Il est normal donc qu'on n'y trouve que très peu de jeunes insectes qui vont hiverner, sans se reproduite. Ils sont sensibles à d'autres stimulus et c'est sans doute par hasard qu'on les retrouve dans ces pièges. Par ailleurs, il apparaît que dans cette région, l'hylobe peut parcourir son cycle de développement en une seule année et non en deux, comme on l'admet généralement. Cela est peut-être dû à ce que les années 1989 et 1990 ont été anormalement chaudes. Nous avons pu constater que les insectes qui s'étaient développés dans des rondins enfouis au début de la saison de végétation, les avait quittés à la fin de cette même saison. Cette méthode de piégeage apparaît donc appropritée à suivre les populations de l'insecte pendant sa période de ponte. On devrait pouvoir l'utiliser dans une étude de prévision des attaques ultérieures, mais en tenant compte de la quantité des licus de ponte, c'est-à-dire de la densité des souches fraîches de pin sur la parcelle.


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16.
Interactions betweenGliricidia sepium (Jacq.) Steud., the crops maize and upland rice, and soil conditions were investigated in an alley cropping experiment on aFerralic Cambisol/Plinthic Lixisol in the rainforest area of the Côte d'Ivoire. Conventional and mulched sole cropping treatments were included for comparison. Hedgerow integration significantly reduced N and Mg losses from the soil. These effects were neither observed in the mulched sole cropping treatment nor reduced by hedgerow root barriers, suggesting that they were not direct consequences of the input of hedgerow biomass into the soil. Crop yields were increased in the central part of the alleys as compared to sole cropping, but the effect was offset by the loss of cropped surface which was occupied by the hedgerows and by yield depressions at the tree-crop interface.Gliricidia mulch increased foliar nutrient concentrations of maize; however, unlike mineral fertilizer the mulch had no influence on the imbalance between low P and high K levels in maize leaves. Nutrient accumulation in the dry season vegetation tended to be higher in alley cropping than in sole cropping. Weeds were particularly efficient in accumulating those nutrients which were relatively low in the hedgerow biomass. Necessary improvements to the cropping system are discussed. The optimum composition of fertilizers in mulching systems deserves attention.
Résumé Les interactions entreGliricidia sepium (Jacq.) Steud., les cultures vivrières maïs et riz pluvial et le sol dans un dispositif de culture en couloirs ont été analysées sur sol ferralitique (Ferralic Cambisol/Plinthic Lixisol) en zone forestière de la Côte d'Ivoire. La culture pure, sans et avec l'apport de mulch, a été mise en comparaison. La présence des haies réduit les pertes en azote et en magnésium. Ces effets ne sont pas constatés sur des parcelles de culture pure recevant un mulch provenant des émondes de haies, et ne sont pas diminués par une barrière de racines entre les haies et les cultures. Ils ne sont donc pas la simple conséquence de l'apport au sol de biomasse des haies. Le rendement des cultures est amélioré dans la partie centrale des couloirs cultivées en comparaison avec la culture pure, mais cet effet est annihilé par la réduction de la surface cultivée et l'effet dépressif constaté au voisinage des haies. L'apport d'un mulch deGliricidia améliore l'état nutritionnel du maïs, jugé par le diagnostic foliaire. Cependant, en absence de fertilisation minérale, le mulch n'a pas d'influence sur le déséquilibre nutritionnel P/K du maïs en défaveur de la nutrition phosphorique. Les accumulations de nutriments au cours de la saison sèche ont tendance à être plus importantes sur les parcelles cultivées en couloirs par rapport à celles en culture pure. Les adventices sont particulièrement performantes pour accumuler des éléments peu présents dans la biomasse des haies. Des améliorations necessaires du système de culture sont discutées. La meilleure composition des engrais dans des systèmes de mulch mérite attention.
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17.
In the Bamileke country (West Cameroon), farmers use pole-cutting practice for plantation tree and hedge management. Depending on the species, this practice follows certain rules for gathering, conditioning and planting of pole-cuttings. The main function of the living fences determines the length of the cuttings, the space between them, the hedge structure and its latticing with raffia bamboo. Pole-cutting practice enables farmers to set up pigs, goats and sheep enclosures in the crop fields, as well as to demarcate the family lots. Trees stemming from pole-cutting are pollarded to supply the family group with the majority of their wood product requirements. Pole-cutting practice fulfills the needs of several farmers such as rapid delimitation of land, animal enclosures, firewood, construction wood, timber and cutting production. However, this practice needs a fine hedge management. With decreasing sheep and goat herds and the frequent absence of the farmer, techniques of hedge management are changing.
Résumé En pays Bamiléké, sur les hauts plateaux de l'ouest du Cameroun, les paysans utilisent la technique des macro-boutures pour la gestion de leur parc arboré. L'utilisation du macrobouturage suit un certain nombre de règles pour la récolte des boutures, leur conditionnement et leur plantation, qui dépendent de l'espèce bouturée. La fonction principale de la haie détermine la longueur et l'espacement des boutures, leur organisation et leur palissage avec du bambou raphia. Cette technique contribue à la construction de haies séparant l'espace cultivé des parcs à bétail d'une part, et marquant les limites de leur concession d'autre part. Elle répond utilement à un certain nombre de besoins: marquage rapide de limites foncières; séparation élevage/agriculture; fourniture de la majeures parties des besoins de la famille en produits forestiers par une taille en tétard. Mais elle réquière une gestion fine des haies. Avec la diminution des troupeaux et l'abscence fréquente du chef de famille, les techniques de gestion du parc arboré évoluent.
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18.
Research was conducted during a 10-month period (August '89–May '90) in Arrondissement de Koumpentoum, Région de Tambacounda, Sénégal to evaluate factors influencing the adoption and farmer perceptions of the risks associated with agroforestry. Variables have been identified that are significant to agroforestry adoption and predictive equations are formulated. Land ownership and labor availability are identified as the two most significant factors which contribute to agroforestry adoption. They contribute to the sense of security of a producer thereby reducing the aversion to risking agroforestry adoption.
Précis On a fait des recherches pendant une période de dix mois (du mois d'août 89 au mois de mai 90) dans l'arrondissement de Koumpentoum, Région de Tambacounda au Sénégal pour évaluer les facteurs qui influencent l'adoption de l'agroforesterie et la perception du fermier du risque associé à l'adoption d'agroforesterie. On a indentifié les variables qui sont importantes à l'agroforesterie, et les équations prophétiques sont formulées. Le droit de propriété et la disponibilité de travail sont indentifiés comme étant les deux facteurs les plus importants qui contribuent au choix de l'agroforesterie. Ces facteurs contribuent au sentiment de sécurité d'un producteur, et de ce fait, ils réduisent l'aversion pour le risque de l'adoption de l'agroforesterie.
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19.
Zusammenfassung Mit dem neuen deutschen Pflanzenschutzgesetz wird eine neue Epoche des Pflanzenschutzdenkens eingeleitet, das den Schutz der pflanzlichen Produktion und ihrer Erträge vor Schadorganismen (Schädlingen) und Krankheiten zwar in den Mittelpunkt stellt, das aber die Pflanzenschutztechnik, insbesondere die Anwendung von chemischen Pflanzenschutz- und Vorratsschutzmitteln, von der Beachtung wirksamer Schutzvorschriften für die Gesundheit von Mensch, Tier und Natur (Ökosystem) abhängig macht. Dabei werden auf gesetzlichem Wege erstmalig auch biologisch-ökologische bzw. biologisch-chemisch kombinierte (integrierte) Verfahren den Maßnahmen des Pflanzen- und Vorratsschutzes zugeordnet. Es wird erläutert, wie dadurch auch die wissenschaftliche Forschung (biologische Schädlingsbekämpfung) gefördert wird. Die im Gesetz der Landwirtschaft, der Mittel-industrie, dem Pflanzenschutz-Lohnunternehmen, der Forschung und dem praktischen Pflanzenschutzdienst gestellten Aufgaben lassen das Zusammenwirken von Biologie, Ökologie, Phytomedizin, Chemie, Toxikologie und Medizin (Hygiene) erkennen. Die angestrebte Synthese zwischen den Belangen des Pflanzen- und Vorratsschutzes, des Gesundheits-, Tier- und Naturschutzes erscheint im gesetzlichen Rahmen ohne unzumutbare Belastung der Landwirtschaft praktikabel gelungen. Nutznießer der strengen Vorschriften in Verbindung mit der geltenden Höchstmengen-Verordnung (Begrenzung der Pflanzenschutz-Vorratsschutz-Mittelrückstände) soll in erster Linie der Konsument sein. Die Gewähr für seinen Schutz wird vor allem durch die obligatorische Prüfung, Zulassung und Kennzeichnung aller Pflanzenschutz- und Vorratsschutzmittel gegeben. Die Erfüllung der Bedingungen für ihre Zulassung schließt bei sachgerechter Mittelanwendung Gefahren, Risiken und Schäden praktisch aus. Das Gesetz läßt Wilikür nicht mehr zu und setzt ausreichendes Fachwissen und Verantwortungsbewuß tsein des Praktikers voraus. Die wichtigsten Vorschriften des Gesetzes, u. a. auch die Arbeitsteilung zwischen Forschung, Prüfung, Kontrolle und Pflanzenschutzexekutive, werden erläutert, die Bedeutung des Gesetzes für die künftige Entwicklung gewürdigt.
Summary The latest German Plant Protection Act initiates a new epoch in plant protection thinking in so far as it puts a momentum on the protection of plant production and its crop yields against pests and diseases but makes plant protection techniques, in particular the use of pesticides, dependent on the observance of effective provisions for the safeguard of human health, animal health and nature (eco-system). Thus, for the first time, combinations (integration) of biological-ecological and/or biological-chemical methods are by law included in plant and stock protection procedures. An explanation is given of how this contributes to promoting scientific research (biological pest control). The tasks set by this Act to agriculture, industries, wage-paying plant protection enterprises, research and plant protection field services show that there is an interaction of biology, ecology, phyto-medicine, chemistry, toxicology and medicine (hygenics). This Act seems to have established a practical synthesis of the issues of plant and stock protection, public health, animal health and conservation of nature without imposing intolerable duties into agriculture. The consumer is first and foremost to be the beneficiary from the rigid regulations on maximum tolerances (fixed tolerances for pesticide residues). The main safeguards of consumer protection are compulsory inspectation, licensing and labelling of any type of pesticide. Fulfilling the requirements for licensing practically excludes any hazard, risk or damage provided that the substances are properly used. The Act makes no allowance for arbitraryness and demands technical knowledge and responsibility on the part of the executive. The important provisions of the Act, e. g. division of labour between research, testing, control and executive are elucidated and an outlook is given on the significance of the Act for the development in the future.

Résumé La récente loi relative à la protection des plantes est à l'origine d'une nouvelle époque en ce qui concerne la conception de la «protection des plantess», représentant une concentration sur la protection de la production végétale et le rendement des cultures contre les organismes nuisibles («parasites») et les maladies des plantes, instituant, cependant, pour la technique de la protection des plantes et particulièrement pour l'application des pesticides une dépendance de l'observation de rè glements efficaces pour la protection de la santé de l'homme, de l'animal et de la conservation de la nature (éco-système). Ainsi, pour la premierè fois, une combination (intégration) de méthodes biologiques-écologiques ou biologiques-chimiques avec les mesures de la protection des plantes et des aliments stockés est réalisé par la législation. Une explication est donnée, comment cela représente une contribution à l'encouragement de la recherche scientifique (lutte biologique contre les parasites). Les tâches attribuées par la loi à l'agriculture, à l'industrie, aux entrepreneurs dans le domaine de la protection des plantes, à la recherche et au Service de Protection de Végétaux montrent l'interaction de la biologie, de l'écologie, de la phyto-médecine, de la chimie, de la toxicologie et de la médecine (hygiène). La loi semble avoir réussi en é tablissant une synthèse praticable entre les intérêts de la protection des plantes et des aliments stockés et ceux de la protection de la santé de l'homme, de l'animal et de la conservation de la nature, sans imposer à l'agriculture une charge excessive. Le consommateur sera, en premier lieu, le béné ficiaire des règlements rigides du décret en force sur les tolérances maximales (fixation de tolérances pour les résidus des pesticides). La garantie pour sa protection consistera surtout dans l'inspection obligatoire, dans l'admission et dans le marquage de tous les pesticides. Si les conditions pour l'admission sont remplies et le pesticide est employé dans une manière appropriée, il n'y aura pratiquement pas de dangers, risques et dommages. La loi supprime l'arbitraire et exige un degré suffisant de connaissances techniques et de responsabilité chez les organes dans la pratique. Les règlements importants de la loi, p. ex. la division du travail entre la recherche, le contrôle et l'exécutive de la protection des plantes sont expliqués et le rôle de la loi est reconnu en vue du développement futur.
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20.
The effects of Cassia siamea, Albizia lebbek, Acacia auriculiformis, and Azadirachta indica on soil fertility have been studied on five-year-old fallows on Ferric Acrisols in Central Togo. Litter quality and soil fertility under the four species were significantly different. Topsoil pH increases significantly with increasing litter Ca levels. Cassia siamea and Azadirachta indica were superior in enriching the sandy-loamy topsoils with Calcium and in increasing soil pH. Under Acacia, which had the highest biomass production, litter accumulation appeared to be responsible for the low mineral soil Ca and P values. In addition, topsoil pH under Acacia was lower than under grass or bush fallow or the other species. Slow litter mineralization of Acacia auriculiformis was probably caused by the thick, leathery consistence and high tannin content of its litter. Due to its high biomass production supporting soil acidification pure Acacia auriculiformis stands seemed to be less favourable for improving soil fertility on planted fallows but more suited for firewood plantations and topsoil protection. The foliage as well as the litter and topsoil under Albizia showed narrow C/N- and C/P-ratios resulting in easily mineralizable organic matter. All tree species tested were superior to natural grass/herb fallow in building up surface soil fertility. However, differences with natural bush fallow were not significant.
Résumé Au bout de cinq ans des differences fortement significative ont été trouvées quant aux caractères de la litière et de la fertilité des jachères arborées avec Cassia siamea, Albizia lebbek, Acacia auriculiformis et Azadirachta indica, respectivement. ll y a une corrélation positive entre le pH de l'horizon superficiel et la teneur en Ca dans la litière: l'enrichissement du sol sable-limoneux en Ca et le pH sont plus élevés sous Cassia siamea et Azadirachta indica que sous les autres espèces. Acacia se caractérise par la plus grande production en biomasse, donc une accumulation importante de litière sur le sol, ce qui entraîne les plus faibles teneurs en P et Ca dans l'horizon de surface. En plus, il semble qu'elle fait diminuer le pH parce que les valeurs trouvées sont inférieures à celles des parcelles témoin ou des autres espèces. La mineralisation retardée de la litière de Acacia auriculiformis depend probablement de la consistence des feuilles et du content élevé de tannine. Acacia est par consequent moins favorable à des jachères plantées mais plutôt efficace quant à la production du bois de feu et la protection du sol contre l'érosion. Vu les petits rapport C/N et C/P dans les feuilles, la litière et dans l'horizon superficiel d'Albizia, on peut supposer que sa matière organique soit plus facilement décomposable. Toutes les espèces d'arbre étudiées sont plus capables de lever la fertilité des sols que les herbes des parcelles témoin. La comparaison avec une jachère spontanée d'arbustes ne fait pas apparâitre d'effets significatifs.
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