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1.
Summary In 1958 a relatively random selection of 20 samples of Dutch potato varieties from the same variety test field of the Institute for Research on Varieties of Field Crops, Wageningen, was examined for sweetening during a storage period of two months at 2°C. In 1959 the investigation was repeated with 12 of these varieties which showed considerable differences from each other as regards sugar accumulation. A comparison of the results in both years showed that there is a good indication that the differences with respect to the accumulation of reducing sugars are reproducible from one year to another. In both yearsRode Star, Noordeling andMaritta accumulated very little reducing sugar, where asClimax andAlpha accumulated it to a very marked extent. No evidence was found for such a reproduction of differences with respect to the accumulation of non-reducing sugars. Chromatographic investigation showed that the reducing sugar fraction consists of glucose and fructose, where as the non-reducing fraction only contains saccharose.
Zusammenfassung Im Jahre 1958 wurde ein verh?ltnism?ssig willkürliches Assortiment von 20 niederl?ndischen Kartoffelsortenproben — bezogen von demselben Versuchsfelde des Instituts für Sortenprüfung Landwirtschaftlicher Kulturpflanzen, Wageningen — untersucht mit dem Zweck das Süsswerden w?hrend einer Lagerung von 2 Monaten bei 2°C nachzuprüfen. Die Untersuchung wurde im Jahre 1959 mit 12 von diesen Sorten wiederholt, welche gegenseitig bedeutende Unterschiede hinsichtlich der Zuckeranh?ufung zeigten. Der Vergleich der Ergebnisse von beiden Jahren führte zum Schluss, dass die gegenseitige Unterschiede hinsichtlich der Akkumulation von reduzierenden Zuckern sich wahrscheinlich wiederholen. In beiden Jahren war die Anh?ufung von reduzierenden Zuckern beiRode Star, Noordeling undMaritta nicht sehr bedeutend, w?hrendClimax undAlpha eine hohe Akkumulation zeigten. Hinsichtlich der Akkumulation von nicht-reduzierenden Zuckern wurde eine derartige Wiederholung von wechselseitigen Differenzen nicht gefunden. Aus chromatographischen Untersuchungen ging hervor dass Glukose und Fruktose den reduzierenden Teil bilden, w?hrend Saccharose der einzige nicht-reduzierende Zucker ist.

Résumé En 1958, une collection d'échantillons assez arbitrairement composée de 20 variétés hollandaises de pommes de terre — re?ue d'un seul champ d'essais de l'Institut des Recherches sur les Variétés de Plantes de Grande Culture à Wageningen — a été étudiée dans le but d'observer l'augmentation de la teneur en sucre durant 2 mois de conservation à 2°C. L'étude a été répétée en 1959 pour 12 de ces variétés, entre lesquelles existaient de fortes différences quant à l'accumulation de sucres. La comparaison des résultats des deux années a amené à conclure que les différences entre les variétés en ce qui concerne l'accumilation de sucres réducteurs se reproduisent probablement d'une année à l'autre. Dans l'une et l'autre année, l'accumulation de sucres réducteurs dans lesRode Star, Noorderling etMaritta était peu importante, tandis que lesClimax et lesAlpha présentaient une forte accumulation. Pour ce qui est de l'accumulation de sucres non réducteurs, il n'a pas été constaté de telle répétition des différences entre les variétés. Les essais chromatographiques ont permis de constater que le glucose et le fructose constituent la part réductrice, tandis que le saccharose est le seul sucre non réducteur.
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2.
Summary The rates of respiration of potato tubers in storage were determined with a number of commercial cultivars and breeding lines in 1972 and, in a more systematical way, with six commercial cultivars in 1973. The ranges of respiration rates in mg CO2 kg−1 h−1 during the main storage period were 1.5–4.0 at 2.5°C, 1.5–2.5 at 5.0°C, 1.0–2.0 at 7.5°C, 1.0–3.0 at 10.0°C, 1.5–5.5 at 12.5°C and 2.5–12.5 at 15.0°C. At the start of the storage season, the rates, particularly at 2.5 and 5.0°C, were higher than during the main storage period. During late winter and early spring the rate of respiration of the tubers stored at the highest temperatures increased considerably. The minimum rates of respiration were found in December, except at 2.5°C when the minimum was in February. The rate of respiration was a clear characteristic of the cultivar, independent form both earliness in the field and length of dormant period. The rate of respiration increased noticeably when sprouts were at least 1 cm long.
Zusammenfassung Die Atmungsrate von Kartoffeln, die bei verschiedenen Temperaturen gelagert waren, wurde gemessen, indem Kartoffelproben von ungef?hr 2 kg mehrere Stunden in verschlossenen Weithalsflaschen lagen und der CO2-Gehalt (in %) in einer Luftprobe mit einem Lloyd Gasanalysator bestimmt wurde. Wenn die Versuchszeit so gew?hlt wurde, dass die CO2-Konzentration 3% nicht überschritt, hatte es keinen hemmenden Einfluss auf die Atmungsrate (Abbildung 1). Im bereich des Knollengewichtes. (70–250 g), der in einem Vorversuch gew?hlt wurde, zeigte die Knollengr?sse keine Beziehung zur Atmungsrate. In den Hauptversuchen war der Bereich viel kleiner. 1972 wurden die Atmungsraten von vielen Handelssorten und Zuchst?mmen im Oktober, Janu?r, M?rz und Mai w?hrend der Lagerung bei 2,5, 5,0, 7,5, 10,0, 12,5 und 15°C gemessen, mit Ausnahme der Proben, die bei 12,5 und 15°C gelagert waren und die nach der Messung im Januar wegen Keimung verworfen wurden. Tabelle 1 zeigt signifikante Unterschiede in der Atmung zwischen den bei 7.5°C gelagerten Sorten. Eine hoch signifikante Interaktion bestand zwischen der Lagertemperatur (5,0, 7,5, 10°C) und der Lagerungsdauer, verursacht durch eine sehr hohe Atmungsrate bei 5,0°C im Oktober (Tabelle 2). Abb. 2 zeigt den betr?chtlichen Einfluss der Keimung auf die Atmung w?hrend der Lagerung bei 12,5 und 15°C. Die Beziehung zwischen der Temperatur und der Atmungsrate im Januar 1973 war sehr verscheiden von der im Oktober 1972 (Abb. 3). 1973 wurden bei gleichen Lagertemperaturen nur 6 Handelssorten verwendet. Die Atmungsraten wurden von November bis M?rz monatlich gemessen. Im April und Juni wurden nur die bei 10°C und tiefer gelagerten Proben gemessen. Tabelle 3 zeigt die Varianzanalyse der Ergebnisse von November bis M?rz. Die Ver?nderungen, die aus Tabelle 3 ersichtlich sind, wurden haupts?chlich durch sortenspezifische Reaktionen auf die vielen unterschiedlichen Kombinationen zwischen Lagertemperatur und-dauer verursacht. Die Abb. 4 und 5 zeigen die Ergebnisse für die Sorten Katahdin und Russet Burbank. Um eine durch die Keimung verursachte Steigerung der Atmung messen zu k?nnen, mussen die Keime 1 cm oder l?nger sein (Abb. 6). Die Beziehung zwischen der Lagertemperatur und der Atmungsrate ?nderte sich in der Lagerperiode kontinuierlich, vor allem bei Temperaturen von 10°C oder h?her (Abb. 7). Wie 1972 lag das Minimum der Atmungsrate bei 7,5°C. Im Dezember war bei fast allen Temperaturen die geringste Atmungsrate erreicht, bei 2,5°C jedoch erst einen oder 2 Monate sp?ter. Keine Beziehung ergab sich zwischen der Atmung und der Frühreife einer Sorte oder der L?nge ihrer Keimruhe.

Résumé L'intensité respiratoire des tubercules conservés à différentes températures a été mesurée sur des échantillons de 2 kg environ, enfermés pendant plusieurs heures dans des bouteilles à large goulot, en déterminant le pourcentage de gaz carbonique de l'air à l'aide d'un analyseur de gaz Lloyd. Si la durée de l'expérience est telle que la concentration en gaz carbonique ne dépasse pas 3%, il n'y a pas d'effet inhibiteur sur l'intensité respiratoire (fig. 1). Au cours d'une expérience préliminaire effectuée sur une gamme de poids de tubercules (70 à 250 g), aucune relation entre le calibre et l'intensité respiratoire n'a pu être mise en évidence. Dans l'expérimentation principale, la gamme de poids était beaucoup plus petite. En 1972, l'intensité respiratoire de nombreuses variétés a été mesurée en octobre, janvier, mars et mai après une conservation à 2,5°C, 5.0°C, 7,5°C, 10,0°C, 12,5°C, et 15,0°C, à l'exception des échantillons stockés à 12,5°C et 15,0°C qui avaient été éliminés après la mesure de janvier à cause de leur germination. Des différences significatives ont été enregistrées entre les variétés stockées à 7,5°C (tableau 1). Une interaction hautement significative a été constatée entre la température (5,0, 7,5 et 10,0°C) et la durée de conservation, provoqué principalement par une intensité respiratoire très élevée à 5,0°C en octobre (tableau 2). A 12,5 et 15,0°C la germination a un effet considérable sur l'intensité respiratoire. La relation entre température et intensité respiratoire en janvier 1973 était très différente de celle d'octobre 1972 (figure 3). En 1973, les mêmes températures furent étudiées mais avec seulement 6 variétés. L'intensité respiratoire a été déterminée chaque mois, de novembre à mars. Les mesures ont aussi été effectuées en avril et juillet, mais uniquement sur des échantillons conservées à 10°C et moins de 10°C. L'analyse de variance des résultats obtenus de novembre à mars est présentée dans le tableau 3. Les variations enregistrées sont d?es principalement à la réaction spécifique des variétés aux différentes combinaisons température-durée de conservation. Les figures 4 et 5 donnent les résultats obtenus avec les variétés Katahdin et Russet Burbank. Les germes doivent avoir 1 cm de long pour qu'une élévation de l'intensité respiratoire provoquée par la germination soit mesurable (figure 6). La relation entre température et durée de conservation évolue continuellement au cours du stockage particulièrement à 10°C et au-dessus de 10°C (figure 7). Comme en 1972, une intensité respiratoire minimale a été constatée à 7,5°C. Les intensités respiratoires les plus basses ont été observées en décembre, sauf pour la température de 2,5°C (un ou deux mois plus tard). Aucune relation n'a été trouvée entre l'intensité respiratoire et la précocité ou la durée du repos végétatif des variétés.
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3.
Summary Mature tubers, from 13 centres between 211 and 837 km N of 50 N, were stored at 10°C in 1966 and 1967, and always showed an initial rise in reducing sugar. In 1966 this obliterated the effect of latitude upon sugar content. At harvest, 20 crops had a sugar content acceptable for processing. A few weeks later only 2 were acceptable. The increased sugar decreased on transfer to 20°C, the samples behaving similarly, and thus showing no effect of latitude of growing centre after ‘conditioning’. Such treatment, being slow, would be commercially practicable only if the desired changes were small. The start of sprout growth at 10°C, and accompanying start of carbohydrate mobilization, showed no effect of latitude. Nor did the amount of sugar accumulated at 2 C, despite a suggestion of an effect on initial rate of sweetening. The initial rate of subsequent de-sweetening at 20°C was positively correlated with the amount of accumulated sugar.
Zusammenfassung Reife Knollen der Sorte Record, die in den Jahren 1966 und 1967 an 13 Zentren zwischen 211 und 837 km N des 50 N angebaut wurden. wurden bei 10°C gelagert. In jedem Fall erfolgte in den ersten paar Wochen der Lagerung ein Ansteigen des Gehaltes an reduzierenden Zukkern (Tabellen 1 und 2), 1966 überdeckte dieser Anstieg den Einfluss der Distanz n?rdlich des Anbauzentrums auf den Zuckergehalt, der w?hrend des Wachstums und bei der Reife augenscheinlich war. Bei der Ernte wiesen 20 Best?nde einen für die Verarbeitung annehmbaren Zuckergehalt auf, aber nach dem Ansteigen zu Beginn der Lagerung waren nur noch zwei annehmbar (Tabelle 3). Sp?ter besserte sich dies etwas. Aber nur in einem Fall sank der Zuckergehalt auf den Stand zur Zeit der Ernte (Tabellen 1 und 2). Eine Anzahl anderer Sorten zeigten ein ?hnliches Verhalten (Tabelle 4). Nach verl?ngerter Lagerung (Mai–Juni) steig der Zuckergehalt, besonders der Saccharose, was für das altersbedingte Süsswerden charakteristisch ist (Tabellen 1, 2 und 4). Die dafür verantwortliche Mobilisierung des Kohlehydrats beginnt sehr bald nach Beginn des Keimwachstums, aber sie verursacht das Süsswerden nur dann, wenn die Mobilisierung die Ansprüche des Wachstums übersteigt. Bei handelsüblicher Lagerung mit Keimverhinderung k?nnte das Süsswerden gef?hrlicher sein als hier verzeichnet. Der Beginn des Keimwachstums unterschied sich zwischen den Sorten (Tabelle 7), aber er zeigte keinen Einfluss des Anbauzentrums, obwohl sich die Wachstumsrate unterschied, indem sie oft, aber nicht ausschliesslich, bei den Mustern aus dem fernen Norden kleiner war (Tab. 5, 6). Muster der Ernte 1966, die am Anfang der Lagerperiode von 10°C auf 20°C gebracht wurden, wiesen eine Abnahme im Gehalt an reduzierenden Zuckern auf, sie war aber nicht mehr von Bedeutung, wenn die Knollen sp?ter, nach Beginn des altersbedingten Süsswerdens, umgelagert wurden (Tabelle 8). Die Abnahme war in jedem Fall ?hnlich. Es war kein Einfluss des Breitengrades des Anbauzentrums festzustellen. Ein Einzelversuch über Zuckeranh?ufung bei 2°C zeigte keinen Einfluss der Lage des Anbauzentrums auf die am Schluss angeh?ufte Menge, obwohlauch diese betr?chtlich schwankte (Tabelle 9). Es gab einen deutlich positiven Einfluss des Ortes auf die Zuckerakkumulationsrate, der jedoch einer Best?tigung bedarf. Die nachfolgende Rekonditionierung durch Lagerung bei 20°C war im Mai gleich wirksam wie im M?rz. Die Rate war mit der bei der Umlagerung auf 20°C vorhandenen Zuckermenge positiv korreliert (Tabelle 10).

Résumé Des tubercules m?rs de la variété Record, cultivée dans 13 centres situés entre 211 et 837 km au nord du 50e degré de latitude nord, ont été conservés à 10°C. Dans chaque cas, il y a eu une augmentation de la tencur en sucres réducteurs durant les premières semaines de stockage (tableaux 1 et 2). En 1966, cette élévation a masqué l'effect de la localisation des centres de culture sur les sucres réducteurs; celle-ci étant apparente pendant les périodes de végétation et de stockage. A la récolte, 20 lots ont eu une teneur en sucres acceptable pour la transformation mais, après leur élévation pendent la période de stockage, 2 lots seulement convenaient (tableau 3). On observait une amélioration par la suite mais, dans un cas seulement, la concentration revenait au taux initial (tableaux 1 et 2). Un certain nombre de variétés se comportaient de fa?on identique (tableau 4). Après une conservation prolongée (mai–juin), on notait une augmentation de la teneur en sucres, notamment en saccharose, caractéristique du ‘sucrage’ d? à la sénescence (tableaux 1, 2 et 4). La mobilisation des hydrates de carbone responsables de ce phénomène s'effectuait aussit?t après le démarrage de la germination et ne causait le ‘sucrage’ que lorsqu'elle excédait la quantité nécessaire à la croissance des germes. Dans le stockage pour la commercialisation avec utilisation d'inhibiteurs de germination, le ‘sucrage’ pourrait être plus important que celui mentionné ici. Le démarrage de la germination variait selon les variétés (tableau 7) mais la localisation des différents centres n'avait pas d'effet sur lui: toutefois, les taux de croissance étaient différents, étant souvent mais pas exclusivement moindre, pour les échantillons provenant des centres de culture les plus éloignés (tableaux 5 et 6). Les échantillons récoltés en 1966 et stockés rapidement à 10 et 2°C ont montré une diminution de leur teneur en sucres réducteurs, qu'il n'était plus possible d'apprécier lorsque les tubercules avaient été stockés plus tardivement, au moment où le ‘sucrage’ d? à la sénescence était déclenché (tableau 8). La diminution de la teneur en sucres était identique dans tous les cas, démontrant l'absence d'effet de la latitude des centres de cultures. Un seul essai sur l'accumulation des sucres dans les tubercules conservés à 20°C a montré cette absence d'effet de la latitude des centres de culture sur la concentration finale en sucres: cependant, des variations considérables ont été observées (tableau 9). Il y avait un effet positif apparent de la latitude qui demandait une confirmation. Par la suite, la diminution du taux de sucres par un temps de passage des lots à 20°C a été observée de la même manière en mai qu'en mars. Le taux était en corrélation positive avec la quantité de sucres présente au moment du transfer à 20°C (tableau 10).
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4.
Summary Tubers of cv. Record (the major UK crisping cultivar) were stored at 10°C for up to 320 days. Throughout storage, the levels of reducing sugar in the tissue surrounding the basal eye were considerably higher than those round the apical eye but the difference in sucrose between the two tissues was not as marked. During storage, there was an initial peak in total reducing sugar content, possibly associated with the break in dormancy, and a second peak associated with vigorous sprout growth. Regular removal of sprouts caused reducing sugar levels to continue to fall, after the initial rise, for much longer than in spouting tubers and for the final sweetening to be considerably delayed, suggesting that the stage of sweetening subsequent to break of dormancy is possibly under the control of sprout growth. However, even in such material sugars may eventually rise, possibly due to ageing of the tuber.
Zusammenfassung ?nderungen bei Zuckern bei der Sorte Record (der bevorzugten Sorte für Crisps im Vereinigten K?nigreich) erfolgten w?hrend 320-t?giger Lagerung bei 10 °C (einer von Kartoffelverarbeitern bevorzugten Lagerungstemperatur zur Verhinderung von Süsswerden bei niedrigen Temperaturen) entsprechend dem Effekt des Keimwachstums. Betr?chtlich h?here Gehalte reduzierender Zucker als im Bereich der apikalen Augen (Abb. 2) konnten w?hrend der Lagerung durchweg im Bereich der basalen Augen gefunden werden (Abb. 1). Der Unterschied im Gehalt an Saccharose zwischen beiden Gewebezonen, war nicht so betr?chtlich wie bei reduzierenden Zuckern (Abb. 3 u. 4). Zwei Maxima im Gesamtgehalt an reduzierenden Zuckern zeigten sich w?hrend der Lagerung (Abb. 1 u. 2), ein initiales maximum, m?glicherweise mit dem Abbruch der Dormanz assoziiert, und ein zweites in Verbindung mit kr?ftigem Keimwachstum (Abb. 5). Regelm?ssiges manuelles Abkeimen ergab nach anf?nglichem Anstieg ein viel l?ngeres kontinuierliches Absinken als in keimenden Knollen, ausserdem verz?gerte sich das sp?te Süsswerden betr?chtlich (Abb. 1 u. 2). Dies l?sst vermuten, dass Süsswerden anschliessend an den Abbruch der Dormanz m?glicherweise vom Keimwachstum bestimmt wird. Allerdings wird auch in derartigem Material, wahrscheinlich entsprechend dem Knollenalter, der Gehalt an Zuckern schliesslich ansteigen.

Résumé Les modifications de la teneur en sucres survenant dans les différentes parties des tubercules au cours de la conservation ont été suivies pendant 320 jours à 10 °C (température utilisée par les transformateurs jour éviter le ‘sucrage’ d? aux basses températures) chez. Record (principale variété du Royaume-Uni pour la fabrication des chips) en relation avec la croissance des germes. Un taux nettement plus important de sucres réducteurs a été trouvé dans les tissus avoisinant l'oeil de la base du tubercule (Fig. 1) que dans ceux entourant l'oeil apical (Fig. 2) tout au long de la période de conservation. La différence en saccharose entre les deux tissus n'était pas aussi marquée que pour celle des sucres réducteurs (Fig. 3 et 4). En ce qui concerne les sucres réducteurs totaux, deux pics ont été trouvés pendant la conservation (Fig. 1 et 2); le premier pic correspond vraisemblablement à la levée de dormance, le second à la croissance vigoureuse des germes (Fig. 5). Un égermage manuel continu conduisait à un abaissement des taux de sucres réducteurs après le premier pic plus long que pour les tubercules non égermés et le ‘sucrage’ final apparissait beaucoup plus tardivement (Fig. 1 et 2), suggérant que le stade de ‘sucrage’ consécutif à la levée de dormance est vraisemblablement sous le contr?le de la croissance des germes. Cependant, dans un tel matériel, le taux des sucres peut éventuellement augmenter sous l'effet du vieillissement du tubercule.
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5.
Zusammenfassung Achtj?hrige Untersuchungen zeigen, dass Sorte, Standort und Jahr einen signifikanten Einfluss auf die Neigung von Kartoffelknollen zur Zuckerbildung w?hrend mehrmonatiger Lagerung bei 4°C ausüben. Dabei ist das Jahr besonders in der zweiten Lagerphase (Januar–April) von entscheidender Bedeutung für das Ausmass der genetisch bedingten Zuckerbildung. Mittlere Tagestemperatur und Niederschlagsmenge w?hrend der gesamten Vegetationsdauer stehen in enger Beziehung zum Gehalt an reduzierenden Zuckern unmittelbar nach der Ernte, w?hrend die Niederschlagsmenge w?hrend und nach der Blüte die Neigung zur Zuckerbildung w?hrend der Lagerung eindeutig bestimmt. Die Varianzkomponentensch?tzung ergab einen Anteil des genetischen Effekts von≥91% und l?sst damit bei züchterischer Bearbeitung dieses Merkmals einen deutlichen Fortschritt erwarten.
Summary Eleven potato cultivars were grown at four sites (Gross Lüsewitz, Tützpatz, Vollenschier, Vellahn) from 1974 to 1981 and the tendency to form sugars during storage at 4°C was determined with healthy graded (40–60 mm) tubers. Reducing sugar content was determined colorimetrically on three occasions: 1) immediately after harvest, 2) after 4–8 weeks storage at 12°C and 10 weeks at 4°C, 3) after a further 10 weeks at 4°C. Analysis of variance showed that sugar development was influenced significantly by cultivar, site and year (Table 1). Cultivars differed considerably for increases in reducing sugars during the first 10 weeks storage at 4°C (Table 2). Correlation coefficients could be derived between the sugar contents at each of the sampling dates, although no definite prediction could be made from the values immediately after harvesting about the expected sugar contents of each of the genotypes. The site and above all the year influenced both the absolute content of reducing sugars at each date and the increase in sugar formation (Tables 3 and 4). The effect of year and to some extent also the site differences could be attributed to meteorological phenomena: day temperature and amount of precipitation. High day temperatures and low levels of precipitation during the growing period produced low reducing sugar contents, while precipitation during or after flowering determined the absolute value and increase of reducing sugars during storage at 4°C. From the variance components, the proportion attributable to the genetic component was estimated to be ≧91% and therefore definite advances should be expected through breeding. Preliminary results are presented.

Résumé Pendant les années 1974 à 1981, 11 variétés de pommes de terre ont été cultivées dans 4 lieux (Gross Lüsewitz, Tützpatz, Vollenschier, Vellahn). Sur des tubercules sains, du calibre 40–60 mm, les sucres ont été analysés pendant la conservation à 4°C. La teneur en sucres réducteurs a été déterminée par la méthode colorimétrique aux périodes suivantes: 1) sit?t après la récolte, 2) après 4–8 semaines d'entreposage à 12°C suivie d'une conservation de 10 semaines à 4°C, 3) après 10 semaines supplémentaires de conservation à 4°C. II ressort de l'analyse de variance que la formation de sucre pendant la conservation ait été influencée de manière significative par la variété, le lieu de culture et l'année (tabl. 1). Entre les variétés des écarts importants dans la formation de sucres sont particulièrement observés pendant les 10 premières semaines de la conservation à 4°C (tabl. 2). Les corrélations entre taux de sucres aux différentes dates permettent de conclure qu'un dosage de sucres sit?t après la récolte ne donne pas une information fiable pour chaque génotype sur leur accumulation pendant la conservation. Le lieu et particulièrement l'année exercent une influence prédominante sur la formation de sucres (tabl. 3 et 4). L'influence de l'année ainsi que les différences entre lieux proviennent principalement des températures journalières et des précipitations. Les températures de jour élevées et de faibles précipitations pendant la période de végétation ont pour effet un taux de sucres bas à la récolte, tandis que les précipitations pendant la période de floraison et après la floraison déterminent le taux absolu de sucres ainsi que leur formation pendant la conservation à 4°C. L'estimation de la variance donne un effet génétique de≧91%, ce qui permet d'espérer d'importants progrès par la sélection. Les premiers résultats à ce sujet sont présentés dans ce travail.
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6.
Summary In 1958 a selection of 30 samples of crosses between Western European and South American potato varieties (S. tuberosum subsp.tuberosum andS. tuberosum subsp.andigena) from the same test field of the Foundation for Plant Breeding, Wageningen, was examined for sweetening during a storage period of two months at 2°C. In 1959 the investigation was repeated with 10 of these crosses which showed considerable differences from each other as regards sugar accumulation. A comparison of the results in both years showed that there is a good indication that the differences with respect to the accumulation of reducing sugars are reproducible from one year to another. Generally speaking it cannot be concluded that crossing of Western European varieties with South American ones increases the tendency to sweetness of the former. In the case ofMaritta however, it was demonstrated, that this variety is liable to lose its favourable characteristic: the very small accumulation of reducing sugar at low temperature. Wageningen, 22nd April 1960
Zusammenfassung In 1958 wurde eine Auswahl von 30 Mustern von Kreuzungen zwischen westeurop?ischen und südamerikanischen Kartoffelsorten (S. tuberosum subsp.tuberosum undS. tuberosum subsp.andigena) — welche demselben Versuchsfeld der Stiftung für Pflanzenzüchtung in Wageningen entstammen — im Laufe der Lagerungszeit der Knollen von 2 Monaten bei 2°C. auf ihren Süss-stoffgehalt geprüft. In 1959 wurden die Untersuchungen bei 10 Kreuzungen wiederholt, wobei sich hinsichtlich der Zuckerakkumulation zwischen den Kreuzungen grosse Unterschiede zeigten. Aus dem Vergleich der Untersuchungen beider Jahre ergeben sich gute Anzeichen dafür, dass die sich hinsichtlich der Zuckerakkumulation gezeigten Unterschiede von einem zum anderen Jahre reproduzieren lassen. Im allgemeinen kann man jedoch nicht darauf schliessen, dass die Kreuzung von westeurop?ischen Sorten mit südamerikanischen die Tendenz der ersteren zum Süsserwerden erh?ht. Bei der SorteMaritta hat es sich aber dennoch gezeigt, dass diese Sorte eine Neigung zum Verlust dieses vorteilhaften Merkmals: zur sehr schwachen Akkumulation von reduzierendem Zucker bei niedrigen Temperature besitzt.

Résumé En 1958, une collection de 30 échantillons d'hybrides de variétés de pommes de terre d'Europe occidentale et d'Amérique du Sud (S. tuberosum subsp.tuberosum etS. tuberosum subsp.andigena), provenant du même champ d'essais de la Fondation pour l'Amélioration des Plantes de Grande Culture à Wageningen, a été étudiéc en ce qui concerne l'accumulation de sucres durant une conservation de deux mois à 2°C. En 1959, l'essai a été répété avec 10 de ces hybrides qui avaient présenté des différences considérables en ce qui concerne l'accumulation de sucres. La comparaison des résultats des deux années a permis de constater que très probablement, les différences en ce qui concerne l'accumulation de sucres réducteurs sont reproductibles d'une année à l'autre. Généralement parlant, on ne peut conclure que l'hybridation de variétés d'Europe occidentale avec dex variétés d'Amérique du Sud augmente la tendance des premières à accumuler des sucres. Pour ce qui est deMaritta, cependant, il a été démontré que cette variété peut perdre sa qualité favorable: la très faible accumulation de sucres réducteurs à basse température.
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7.
Summary Potato leaf roll virus (PLRV) was usually better transmitted byMyzus persicae from source plants kept during the pre-acquisition period at 12°C than from those kept at 26°C. Significantly more plants became infected when PLRV was acquired or inoculated at 26°C than at 12°C. The effect of temperature during the acquisition feeding period was found to be greater than that of temperature during the inoculation feeding period. PLRV was most frequently transmitted when it was both acquired and inoculated at 26°C.
Zusammenfassung Der Einfluss der Temperatur auf die übertragung des Kartoffel-Blattrollvirus (PLRV) durchMyzus persicae wurde in drei Perioden vor der Infektion der Pflanzen mit diesem Virus ermittelt: Vegetationsperiode vor Aufnahme durch die Virusquellen, Periode w?hrend der Virusaufnahme und der Inokulationsperiode. Die Untersuchungen wurden in temperaturkonstanten Kammern und im Gew?chshaus mit Pflanzen der Kartoffelsorte Osa als Quelle mit ausgew?hlten PLRV-Isolaten durchgeführt. Das Virus wurde aufPhysalis floridana und Kartoffelsorten unterschiedlicher Anf?lligkeit übertragen. Die H?ufigkeit der PLRV-übertragung durchM. persicae sank mit ansteigender Temperatur, zu welcher die Quellenpflanzen in der Periode vor der Virusaufnahme aufwuchsen (Abb. 2 und 3), obwohl dieser Effekt ausgeschaltet werden konnte, wenn das Virus durch die Blattl?use bei h?herer Temperatur aufgenommen wurde (Abb. 2). Die H?ufigkeit der PLRV-übertragung durch Blattl?use war nach einer Aufnahmeperiode bei 26°C signifikant gr?sser als bei 12°C (Abb. 2 bis 4). Der Einfluss h?herer Temperatur k?nnte stark genug sein, die Unterschiede in der PLRV-übertragung durch den Einfluss auf die Quellenpflanzen in der Vor-Aufnahmezeit zu eliminieren oder zu vermindern (Abb. 2). ?hnliches zeigte sich bei zunehmendem Alter der Quellenpflanzen (Abb. 1). Eindeutig mehr Pflanzen wurden infiziert, wenn PLRV bei 26°C anstatt 12°C inokuliert wurde (Abb. 3 und 4). Der Einfluss der Temperatur war in der Aufnahmeperiode gr?sser als in der Inokulationsperiode. Eine signifikant gr?ssere Population vonP. floridana und/oder Kartoffelpflanzen wurden infiziert, wenn PLRV durchM. persicae bei 26°C aufgenommen und inokuliert wurde (Abb. 3 und 4). Darüberhinaus war der Einfluss h?herer Temperatur, w?hrend beider Aufnahmeperioden angewendet, günstiger für visuelle und serologische (ELISA) Differenzierung der resistenten und anf?lligen Kartoffeln, gemessen an der H?ufigkeit infizierter Pflanzen (Abb. 4).

Résumé L'influence de la température sur la transmission du virus de l'Enroulement de la pomme de terre (VEPT) parMyzus persicae a été déterminée à trois périodes précédant l'infection des plantes par ce virus: période de végétation des plantes sources de virus avant acquisition (pré-acquisition), période d'acquisition, période d'inoculation. Les recherches ont été réalisées dans des salles à température contr?lée et en serre: des pommes de terre du cultivar Osa, infectées par des isolats sélectionnés de VEPT ont été utilisées comme plantes sources. Le virus a été transmis àPhysalis floridana et à des cultivars de pomme de terre de différentes sensibilités à l'infection par le VEPT. La fréquence de transmission du VEPT parM. persicae décro?t avec l'augmentation de la température à laquelle les plantes sources de virus ont été cultivées lors de la période de pré-acquisition (Figs 2 et 3), bien que cet effet ait pu être éliminé quand le virus a été prélevé par les pucerons à température plus élevée (Fig. 2). La fréquence de transmission du VEPT par les pucerons a été significativement plus grande après une période d'acquisition à 26° qu'à 12°C (Figs 2–4). L'effet de la température la plus élevée a pu être suffisamment fort pour supprimer ou réduire les différences de transmission du VEPT causées par l'effet de la température sur les plantes sources lors de la période de pré-acquisition (Fig. 2) ou par l'augmentation de l'age des plantes sources (Fig. 1). Un nombre significativement plus grand de plantes a été infecté quand le VEPT était inoculé à 26°C qu'à 12°C (Figs 3 et 4). L'effet de la température s'est avéré avoir une importance plus grande pendant la période d'acquisition que pendant la période d'inoculation. Une proportion significativement plus élevée deP. floridana et/ou de plants de pomme de terre a été infectée quand le VEPT était à la fois acquis et inoculé parM. persicae à 26°C (Figs 3 et 4). De plus, une température plus élevée appliquée pendant les deux périodes d'alimentation des pucerons s'est montrée plus favorable pour différencier visuellement et sérologiquement (ELISA) les pommes de terre résistantes, modérément résistantes et sensibles, lorsqu'on se base sur la fréquence des plantes infectées (Fig. 4).
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8.
Summary The influence of storage temperature and storage period on sprouting capacity and incubation period has been studied for 3 years with cvs. Jaerla and Désirée, stored at 4°C and 12°C, as a part of a combined study on the effect of physiological age on growth vigour. During storage the sprouting capacity gradually increased to a maximum and then declined. The maximum sprouting capacity was reached about 80 to 100 days earlier when tubers were stored at 12°C than at 4°C, and it was reached about 50 days earlier by cv. Jaerla than by cv. Désirée at both storage temperatures. The incubation period deereased linearly with time for both cultivars at both storage temperatures, being most rapid at 12°C, and the period was shorter for cv. Jacrla than for cv. Désirée during the whole storage period.
Zusammenfassung In der allgemeinen Einführung wird das Ziel der gemeinsamen Forschung, den Einfluss des physiologischen Alters auf die Wachstumintensit?t zu untersuchen, beschrieben, und es werden spezielle Ausdrücke definiert, die in dieser und in den folgenden Mitteilungen verwendet werden. In dieser gemeinsamen dreij?hrigen Untersuchung (1979–1981) sind Pflanzknollen der Sorten Jaerla und Désirée aus gleicher Herkunft verwendet worden, die bei 4°C und 12°C gelagert wurden (Tab. 1). Es wird der Einfluss der Lagerzeit und der Temperatur auf das Keimgewicht diskutiert, auf den Gewichtsverlust durch Atmung und Verdunstung und auf die Keimungskapazit?t. die Keiml?nge und auf die Inkubationsperiode. Bei einer Lagertemperatur von 12°C wurden das Keimgewicht pro Knolle und der durch Atmung und Verdunstung bedingte Gewichtsverlust der Knollen und Keime kr?ftig stimuliert (Tab. 2). Bei beiden Sorten wurde w?hrend der Lagerung bei 12°C eine exponentielle Beziehung zwischen dem Keimgewicht und dem Gewichtsverlust durch Atmung und Verdunstung gefunden. wobei die Sorte Jaerla einen h?heren Gewichtverlust pro Keim aufwies (Abb. 1). Die bei 12°C gelagerten Knollen der Sorte Jaerla keimten früher als diejenigen der Sorte Désirée und erreichten eine h?heres durchschnittliches Keimgewicht. Die Keimungskapazit?t und die Inkubationsperiode wurden w?hrend der Lagerung in Abst?nden durch Entkeimen der Knollen und Wiederaustreiben lassen bei 18°C bestimmt. Die Keimungskapazit?t wurde nach 4 Wochen bestimmt an Hand des Keimfrischgewichtes pro Knolle, ausserdem wurde die L?nge des l?ngsten Keimes bestimmt. Die Inkubationsperiode wurde definiert als der Zeitraum zwischen der Keimung und der Bildung kleiner Knollen an den Keimen. Die Keimungskapazit?t erreichte w?hrend der Lagerung ein Maximum, um danach abzufallen (Abb. 2). Dieses Maximum wurde etwa 80 bis 100 Tage früher erreicht, wenn die Knollen bei 12°C gelagert wurden. Bei beiden Lagertemperaturen war die maximale Keimungskapazit?t bei der Sorte Jacrla etwa 50 Tage früher erreicht als bei der Sorte Désiréc. Die maximale L?nge des l?ngsten Keimes korrespondiert in nahezu allen F?llen mit der maximalen Keimunskapazit?t, wobei zwischen beiden Merkmalen cine gute bis sehr gute lineare Beziehung besteht (Tab. 3). Bei beiden Sorten und beiden Lagertemperaturen verringerte sich die Inkubationsperiode linear mit der Zeit, und zwar am schnellsten bei der h?chsten Lagertemperatur. Die Inkubationsperiode der Sorte Jaerla war in allen F?llen kürzer als diejenige der Sorte Désirée (Abb. 3). Wenn das Maximum der Keimkapazit?t überschritten wird, besteht bei beiden Sorten und bei beiden Temperaturen, 4°C und 12°C, eine postive lineare Bezichung zwischen dem Abfallen der Keimungskapazit?t und der Verringerung der Inkubationsperiode (Tab. 4).

Résumé Dans l'introduction générale l'objectif des recherches concertées concernant l'influence de l'age physiologique sur la vigucur de croissance est décrit et plusieurs termes employés ici et dans plusieurs articles antérieurs sont définis. Les études ont été réalisées durant trois ans (1979–1981) avec des plants des variétés Jaerla et Désirée de même origine conservés à 4°C et 12°C (tableau 1). L'influence de la durée et de la température de conservation sur le poids de germes, les pertes de poids par évapotranspiration, la capacité germinative, la longueur des germes et la période d'incubation est discutée. Le poids de germes par tubercule, les pertes de poids dues à l'évapotranspiration et la germination sont fortement stimulés à 12°C (tableau 2). Il existe une relation exponentielle entre le poids de germes et les pertes de poids des tubercules dues à l'evapo-transpiration pour les deux variétés convervées à 12°C, avec toutefois une perte plus élevée par poids de germes pour la variété Jaerla (figure 1). Les tubercules de cette dernière conservés à 12°C germent plus rapidement que ceux de Désirée et ont un poids moyen de germes plus élevé. La capacité germinative et la période d'incubation sont déterminés à intervalles réguliers durant la conservation par égermage des tubercules suivi d'une germination à 18°C. La capacité germinative est déterminée après quatre semaines par la mesure du poids frais des germes par tubercule et la longueur du plus long germe. La période d'incubation est définie comme étant le temps s'écoulant entre le début de la germination et la formation de petits tubercules sur les germes. La capacité germinative durant la conservation augmente dans le temps puis décline (figure 2). Le maximum est d'environ 80 à 100 jours plus précoce lorsque les tubercules sont conservés à 12°C. Pour les deux températures de conservation, la capacité germinative maximum est pour Jaerla approximativement de 50 jours plus précoce que pour Désiréc. La longueur maximum du plus long germe correspond dans preque tous les cas au maximum de capacité germinative avec une haute ou très hute corrélation (tableau 3). La période d'incubation diminue linéairement avec le temps pour les deux variétés et les deux températures de conservation, bien que plus rapidement pour la température la plus élevée. La période d'incubation de la variété Jaerla est dans tous les cas plus courte que celle de Désirée (figure 3). Lorsque la capacité germinative maximum est passée, il existe une elation linéaire positive entre la diminution de celle-ci et la diminution de la période d'incubation au sein de la même variété pour 4°C et 12°C (tableau 4).
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9.
The distribution of dry matter during growth of a potato crop   总被引:1,自引:0,他引:1  
Summary The distribution of dry matter increments to the plant parts of a potato crop was determined by analysing data from experiments in which potato plants were harvested periodically during the early stages of their growth. The distribution tended to follow a regular pattern if expressed as a function of phenological development stage represented by the effective temperature sum. The influence of cultivar, soil type, nitrogen dressing, seed size, and plant density on this distribution pattern is discussed.
Zusammenfassung Die Verteilung des Trockensubstanzertrages in den verschiedenen Pflanzenteilen eines Kartoffelbestandes wird an Hand von Analysenwerten aus Versuchen bestimmt, in denen Kartoffelpflanzen w?hrend früher Wachstumsstadien in periodischen Abst?nden geerntet wurden. Um die Zuordnung des Trockengewichtsertrages zu den verschiedenen Pflanzenteilen eines Kartoffelbestandes zu analysieren, wurde ein Verfahren verwendet, in dem der gesamte Trockengewichtszuwachs zwischen aufeinanderfolgenden Ernten berechnet und dessen Verteilung in den Organen als eine Fraktion von der gesamten Zunahme ausgedrückt wird. Die Verteilung steht in Beziehung zu einer effektiven Temperatursumme mit einer unteren Temperaturschwelle von 7°C, einer Optimaltemperatur von 18°C und einer Maximaltemperatur von 29°C. Aus Analysen einer grossen Anzahl von Versuchen ergab sich der Schluss, dass die Verteilungsmuster zwischen Bl?ttern und Knollen approximiert werden k?nnen durch lineare Bezüge mit konstanten Neigungen, die für alle Situationen zutreffen. Abb. 1, A-F zeigt, dass Unterschiede zwischen den Sorten durch eine Verschiebung in der Geraden entlang der Temperatursummenachse dargestellt werden k?nnen. Die den Stengeln zugeordnete Fraktion kann als Erg?nzung zu derjenigen in den Bl?ttern und Knollen betrachtet werden. Wenn die in den Bl?ttern verteilte Fraktion vor dem Kollenansatz abnimmt, wie bei der Sorte Irene (Abb. 1, D), dann erh?ht sich die Fraktion in den Stengeln. Zusammen mit unzureichender Sinkkapazit?t konnte eine abnehmende Wachstumsrate im gesamten Bestand erwartet werden. In diesen Versuchen ergab sich deutlich eine Korrelation zwischen der Wachstumsrate w?hrend der linearen Wachstumsphase und der Zeit des Knollenansatzes, die als eine Temperatursumme ausgedrückt wird (Abb. 2). Der Vergleich des Verteilungsmusters der Sorte Irene, die auf einem sandigen Boden wuchs (Abb. 1, D) mit demjenigen der gleichen Sorte von einem Lehmboden (Abb. 3) zeigt, dass nach den Masseinheiten der Temperatursummen der Knollenansatz auf dem Lehmboden früher erfolgte. Ein h?heres Stickstoffniveau verz?gerte den Beginn des Knollenansatzes und verl?ngerte die Periode der konstanten Zuwanderung zu den Bl?ttern. Gleichzeitig wird das Stengelwachstum gef?rdert (Abb. 4, A-D). In Best?nden, die aus gr?sseren Pflanzkartoffeln erwuchsen, wird der Knollenansatz beschleunigt und die Periode der konstanten Zuwanderung zu den Bl?ttern verkürzt (Abb. 4, A-D). In Versuchen mit unterschiedlichen Pflanzdichten wurde keine gr?ssere Differenz im Verteilungsmuster der Biomasse beobachtet. Versuche, in denen die Verteilung der Trockensubstanz durch die Behandlung mit einem Wachstumshemmer (Daminozid) beeinflusst werden sollte, zeigten unterschiedliche Ergebnisse. Manchmal wurde überhaupt keine Wirkung festgestellt (Abb. 5), in anderen Versuchen begünstigte der Wachstumshemmer jedoch die Zuwanderung der Trockensubstanz zu den Knollen auf Kosten der Stengel. Die Wirkung des Daminozids variierte auch in den Endertr?gen, weil oft das Laub in der sp?teren Jahreszeit wieder austrieb. Zusammenfassend kann gesagt werden, dass die verschiedenen Abl?ufe im Bestand, wie die Beendigung der konstanten Zuwanderung zu den Bl?ttern und der Beginn des Knollenansatzes durch genetische Faktoren, durch die Tempertur, die Stickstoffverfügbarkeit und die Pflanzgutgr?sse beeinflusst werden. Ist einmal die zeitliche Regelung dieser Abl?ufe festgelegt, dann ist das Verteilungsmuster durch Verwendung der Verteilungsgraden mit konstanter Neigung quantitativ bestimmbar.

Résumé La distribution de la matière sèche au niveau des différentes parties des plantes d'une culture de pomme de terre est déterminée à partir de résultats d'essais dans lesquels on a procédé à plusieurs arrachages périodiques durant les premiers stades de la croissance. A cet effet, on a calculé l'augmentation de matière sèche entre 2 récoltes successives et exprimé la répartition de celle-ci au niveau des différents organes en fraction de cette augmentation totale. La répartition est mise en relation avec la somme des températures effectives en considérant un seuil minimal de 7°C, une température optimale de 18°C et une température maximale de 29°C. L'analyse d'un grand nombre d'essais montre que le modèle de distribution entre les feuilles et les tubercules peut être évalué par des relations linéaires de pentes constantes, valables pour toutes les situations. La figure 1, A-F, montre que les différences entre les variétés peuvent être représentées par un déplacement des droites de distribution sur l'axe des sommes de températures. La fraction attribuée aux tiges peut être considérée comme le complément de celle des feuilles et des tubercules. Lorsque la fraction accumulée au niveau des feuilles décro?t avant l'initiation des tubercules, comme dans le cas de la variété Irène (fig. 1, D), celle des tiges augmente. Lorsque la capacité d'absorption est insuffisante, on peut prévoir une diminution du taux de croissance de la culture. Dans ces essais, on observe en fait une corrélation entre le taux de croissance au cours de la phase linéaire de la croissance et le moment d'initiation des tubercules exprimé en somme de températures (fig. 2). La comparaison du modèle de distribution de la variété Irène cultivée en sol sableux (fig. 1, D) avec celui de cette même variété cultivée en sol argileux (fig. 3) montre qu'en termes de sommes de température l'initiation des tubercules est plus précoce en sol argileux. Un niveau élevé d'azote retarde le départ de la phase d'initiation des tubercules et allonge la durée d'accumulation constante au niveau des feuilles. En même temps, la croissance des tiges est favorisée (fig. 4, A-D). Dans une culture issue de plants de gros calibres, l'initiation des tubercules est avancée et la durée d'accumulation constante au niveau des feuilles raccourcie (fig. 4, A-D). Les études concernant la densité de plantation, n'ont montré aucune différence importante des modèles de distribution de la matière sèche. Des essais conduits à l'aide de retardateurs de croissance (daminozide), dans le but de modifier la distribution de la matière sèche, aboutissent à des résultats variables. Parfois, aucun effet n'est observé (fig. 5), alors que dans d'autres essais, en effet, le retardateur de croissance favorise l'accumulation de matière sèche vers les tubercules au dépend des tiges. Au niveau du rendement final, les effets du daminozide varient également, en raison le plus souvent d'une reprise de la végétation en fin de saison. En conclusion, les différentes phases d'une culture telles que la fin d'accumulation constante vers les feuilles et le début de l'initiation des tubercules sont influencées par les facteurs génétiques, la température, la disponibilité en azote et le calibre du plant. Une fois que le déroulement de ces phases est fixé, le modèle de distribution est quantifié par les droites de distribution à pente constante.
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10.
P. Thomas 《Potato Research》1982,25(2):155-164
Summary Histochemical evaluation of the wound-induced suberization and periderm formation, the processes of wound healing, in potato tubers (Solanum tuberosum L.) showed that both the processes occur most rapidly at 25°C. Wound-healing is delayed at 10 or 15°C while a temperature of 35°C prevented periderm formation and retarded suberization. Gamma irradiation up to 100 Gy, the optimal dose for sprout inhibition, did not affect suberization, which suggests that the DNA-replicating mechanism is more radiation-sensitive than suberin biosynthesis. A dose of 20 to 30 Gy, which had no effect on sprouting inhibited wound periderm formation indicating that meristems in resting buds are apparently less sensitive to irradiation than nuclei of the potential periderm cells. It seems probable that a major cause for the bacterial soft rot occurring in tubers when stored under high tropical ambient temperatures or when irradiated for sprout inhibition is due to an impairment of the wound periderm formation.
Zusammenfassung Um die m?glichen Gründe für den gesteigerten mikrobiellen Abbau von Kartoffeln w?hrend der Lagerung unter tropischen Umweltbedingungen oder nach der Bestrahlung mit R?ntgenstrahlen zur Keimhemmung aufzukl?ren, wurde der Einfluss von Temperatur und Bestrahlung auf die durch Verletzung induzierte Suberin-und Peridermentwicklung untersucht. Es zeigte sich, dass sowohl die Suberinisierung als auch die Peridermentwicklung bei 25°C schneller verlaufen, w?hrend sie bei 10–15°C verlangsamt sind. Temperaturen über 35°C verhindern die Peridermbildung und verz?gern die Suberinisierung (Tabelle 1). Das Ausmass der Polyphenolbildung war im 1 mm unter der Verletzung bei 20, 25 und 28–30°C ?hnlich der bei 10°C und 15°C w?hrend es bei 35°C verringert war (Abb. 2). Histochemische Untersuchungen zeigten, dass die Suberinisierung in unbestrahlten Knollen und in Knollen, die bis zu 100 Gy erhalten hatten, der optimalen Dosis für die Keimhemmung, im gleichen Ausmass erfolgte (Tabelle 2). Aus diesen Ergebnissen wird geschlossen, dass der Verdopplungsmechanismus der DNS auf Bestrahlung empfindlicher reagiert als die Suberinsynthese. Der Gehalt an Polyphenolen in den suberinisierten Zellschichten war in bestrahlten Knollen vergleichsweise h?her (Tabelle 3). 20–30 Gy an R?ntgenstrahlen reichten aus, um die Wundperidermbildung zu unterbinden (Tabelle 2 und Abb. 1), w?hrend für die Keimhemmung eine Minimaldosis von 50 Gy ben?tigt wurde. Das bedeutet, dass die Meristeme in den ruhenden Knospen auf die Bestrahlung weniger empfindlich reagieren als die Kerne in den potentiellen Peridermzellen. Die suberinisierten Zellschichten k?nnen von der Wundoberfl?che unbestrahlter Knollenh?lften leicht abgeschoben werden, w?hrend das bei Knollen, die einer Bestrahlung von 20 Gy und mehr ausgesetzt waren, nicht m?glich ist. Dieser Unterschied k?nnte als Methode zur Identifizierung bestrahlter Knollen verwendet werden. Die Ergebnisse zeigen, dass die Sch?digung der Wundperidermentwicklung ein Hauptgrund für die gesteigerte mikrobielle F?ule von Kartoffelknollen w?hrend der Lagerung bei tropischen Temperaturen oder nach Bestrahlung zur Keimhemmung ist.

Résumé L'influence de la température et de l'irradiation sur la subérisation d'une blessure occasionnée et sur le développement du périderme a été étudiée, dans le but d'expliquer les déchets de pourritures microbiennes sur des tubercules mis en conservation sous des conditions de climat tropical ou à la suite d'une exposition aux rayons gamma en vue de l'inhibition de la germination. Le développement du périderme et la subérisation se sont effectués rapidement à 25°C mais les réactions ont été retardées à 10 ou 15°C. Une température de 35°C a empêché la formation de périderme et retardé la subérisation (tableau 1). Le taux de polyphénol dans la 1ère couche d'1 mm sous la blessure était sensiblement le même à 10, 15, 20, 25 et 28–30°C mais il avait diminué à 35°C (figure 2). Les résultats de l'analyse hystochimique ont montré que la subérisation avait progressé à vitesse égale pour des tubercules non-irradiés et des tubercules irradiés à plus de 100 Gy, dose optimale correspondant à l'inhibition de la germination. Ces résultats suggèrent que le mécanisme de réplication de l'ADN est plus sensible à la radiation que la biosynthèse de la subérine. Le niveau de polyphénols dans les couches cellulaires en voie de subérisation était plus élevé dans les tubercules irradiés que dans les tubercules non irradiés (tableau 3). 20 à 30 Gy de rayons gamma ont suffi pour empêcher la formation du périderme de cicatrisation (tableau 2 et figure 1) tandis que la dose minimale nécessaire à l'inhibition de la germination était de 50 Gy. Les méristèmes de germes en dormance seraient donc moins sensibles à l'irradiation que les noyaux des cellules du périderme potentiel. Les couches cellulaires subérisées peuvent facilement se détacher de la surface endommagée lorsqu'il s'agit de tubercules non irradiés, tandis qu'elles sont difficilement séparables dans le cas de tubercules exposés à 20 Gy ou plus. Cette différence peut conduire à une méthode d'identification des tubercules irradiés. La recrudescence des pourritures microbiennes sur tubercules mis en conservation à des températures tropicales ou exposés aux rayons gamma en vue d'inhibition de la germination, semble liée principalement au ralentisement du développement d'un périderme de cicatrisation.
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11.
Summary Wide differences in chemical composition occurred between potato tubers grown with nitrogen fertilizer rates of 60 and 200 kgN per hectare, respectively. The analyses were made in November–December The storage temperature was 6–8°C. It was found that the tubers from plants grown at the higher nitrogen level contained less glucose. The varietiesBintje andFlora differed significantly as regards glucose. fructose and sucrose contents. The differences in these components between the varietiesGiewont andEpoka were not significant.
Zusammenfassung Eine grosse Differenzierung der chemischen Zusammensetzung der Kartoffelknollen wurde durch verschiedene N-Gaben (60 und 200 kg N/ha) erzielt. Die chemische Analyse der Knollen wurde w?hrend der Ruheperiode (November, Dezember) durchgeführt. Die Lagertemperatur der Knollen betrug 6–8°C. Knollen mit gr?sseren Konzentrationen von Stickstoff haben einen geringeren Gehalt an Glukose und Fruktose (Tabelle 1). Es besteht eine Korrelation zwischen N-Konzentration und Glukosegehalt in Knollen (Tabelle 2). In tabelle 3 sind die Differenzierungsniveaus des Zuckergehaltes der analysierten Sorten zusammengestellt. BeiBintje undFlora konnten bezüglich des Gehalts an Glukose, Fruktose und Saccharose statistisch gesicherte Sortenunterschiede festgestellt werden. In den SortenGiewont undEpoka ist der Gehalt an Glukose, Fruktose und Saccharose ungef?hr gleich.

Résumé On a obtenu une grande variation de la composition chimique des tubercules par l'application de diverses doses d'engrais azoté-60 et 200 kg/ha. L'analyse chimique des tubercules fut effectuée pendant la période de repos, de novembre à décembre. La température de stockage était de 6 à 8°C. Les tubercules obtenus avec la plus forte concentration azotée montraient la plus faible teneur en glucose et fructose (tableau 1). Les données du tableau 2 révèlent l'existence d'une corrélation entre la concentration en azote et la teneur en glucose des tubercules. Les résultats de l'analyse de la variance des teneurs en sucres des différentes variétés figurent dans le tableau 3. Chez les variétésBintje etFlora, les teneurs en glucose, fructose et saccharose diffèrent essentiellement. Par contre chez les variétésGiewont etEpoka les teneurs sont à près identiques.
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12.
Summary Absolute levels of teenazene in 92 samples analysed after treatment at 135 mg kg1 and storage under various conditions ranged from 0.1 3.9mg kg1 in washed tubers. These levels are cultivar dependant and decline in a logarithmic fashion with time, indicating that the rate of residue decay is linearly dependant on the concentration of tecnazene present. Residues decline even under restricted ventilation but the rate of deeline is considerably accelerated by allowing air to circulate freely around the tubers. Storage at 12°C produced a significantly faster rate of deeline than storage at 8°C. A statistical model has been constructed to describe the process of residue decay.
Zusammenfassung Tecnazene wird allgemein sowohl bei Speisewie bei Saatkartoffeln als Keimhemmungsmittel und Fungizid verwendet. Da es flüchtig ist, verschwindet es stufenweise von den gelagerten Knollen. Es wird angenommen, dass die Nachkommenschaft mit unbehandeltem Pflanzgut vergleichbar ist, vorausgesetzt dass die Knollen einige Wochen vor dem Auspflanzen belüftet werden. Zweck dieser Arbeit war, den Prozess der Verflüchtigung von Tecnazene quantitativ zu bestimmen und ihn in Zeitsabschnitten der jeweiligen Lagerungsbedingungen zu erkl?ren. Vier Sorten wurden mit der empfohlenen Menge von 135 mg kg1 behandelt und w?hrend 4 Wochen unter Bedingungen gehalten, die denjenigen der losen Lagerung vergleichbar sind. W?hrend der folgenden 8 Wochen wurden sie verschiedenen Lagerungsverfahren unterworfen. Partien wurden w?hrend 8, 5, 3, 0 Wochen vor dem Auspflanzen belüftet. Muster für die Rückstandsanalyse wurden vor und nach der Belüftungsperiode entnommen. Die gewonnenen Werte sind in Tabelle 1 aufgeführt. Es wurde ein statistisches Modell erstellt, um den Tecnazene-Verlust zu beschreiben. Der Rückstand kann zu jedem Zeitpunkt im Lauf der verschiedenen Lagerungsverfahren für die i. Sorte vorausgesagt werden mit der Formel: Rückstand = Exp (μ i +β i × Wochen normaler Lagerung + δi (Temp) × Wochen Belüftung + ? σ i 2 ) Die Sch?tzungen für die Parameter nach der Methode der kleinsten Quadrate sind in Tabelle 2 für jede Sorte aufgeführt. Die sich daraus ergebenden Abnahmekurven sind in Abb. 1 dargestellt. Das Ausmass der Rückst?nde ist sortenabh?ngig, und obwohl sie unter Bedingungen beschr?nkter Belüftung abnehmen, wird das Ausmass der Abnahme bedeutend beschleunigt, wenn die Luft frei um die Knollen zirkulieren kann. Lagerung bei 12°C brachte eine signifikant schnellere Abnahmerate als Lagerung bei 8°C. Physikalische und biologische Erkl?rungen dieser Beobachtungen werden in Betracht gezogen.

Résumé Le Tecnazène est largement employé comme inhibiteur de germination et comme fongicide, à la fois sur pomme de terre de consommation et de plant. Etant volatil, il est progressivement éliminé des tubercules stockés. Il est admis que les plants traités ont un rendement comparable à celui de plants non traités, à la condition qu'ils soient aérés durant plusieurs semaines a vant la plantation. L'objet de ce travail est de quantifier le processus de perte en Tecnazène et de l'expliquer en fonction des conditions de conservation. Quatre variétés ont été traitées à la dose recommandée de 135 mg kg1, et conservées dans des conditions de type stockage en vrac pendant 4 semaines. Elles ont été ensuite soumises à différentes modalités de conservation pendant une période de 8 semaines. Les lots ont été aérés pendant 8, 5, 3, 0 semaines avant la plantation, et les échantillons destinés à l'analyse des résidus ont été pris avant et après la période d'aération. Les résultats obtenus figurent au tableau I. Un modèle statistique décrit le processus de pertes en Tecnazène, et le niveau de résidus pour chaque variation de régime de stockage peut être prévu pour chaque variété par l'expression: Résidu = exp (μ i +β i × durée de stackage normal en semaines + δi (température) × nombre de semaines d'aération + ? σ i 2 ) Le tableau 2 présente pour chaque variété l'estimation des paramètres de cette expression par la méthode des moindres carrés, et les courbes décroissantes résultantes sont tracées en figure 1. Les niveaux de résidus dépendent des variétés, et bien qu'ils diminuent en condition de faible ventilation, le rythme de diminution est considérablement accéléré par une libre circulation d'air à travers les tubercules. La conservation à 12°C accélère significativement la chute du taux de résidus par rapport à une conservation à +8°C. A partir de ces observations, des explications physiques et biologiques sont proposées.
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13.
Summary In the Introduction general methods are described to assess inocolum of several potato diseases on seed tubers; on the progeny tubers during growth, at harvest and after 4 different storage regimes. Assessments were made in up to 26 commercial King Edward crops in each of 5 years, and up to 13 crops from ‘healthier’ seed, derived from stem cuttings, in 4 years. Results are reported from the work on black scurf (Rhizoctonia solani). Stem canker incidence was more closely related to the incidence of sclerotia on seed tubers than was the frequency ofRhizoctonia hyphae on growing tuber surfaces. Incidence of sclerotia on stored tubers was better related to the amount of surface colonization during growth than that of stem canker. Assessments on harvested and stored progeny of ‘healthier’ seed were correlated with those on adjacent commercial crops, indicating spread or, more likely, a common source of inocolum.
Zusammenfassung In einer Studie wurde das Auftreten verschiedener Krankheiten im Erntegut der Sorte King Edward untersucht, die zwischen 1971 und 1975 in dem Fenland-Gebiet von Ostengland gewachsen war. Jedes Jahr wurden zwischen 15 und 26 Proben von Marktware untersucht und zwischen 1972 und 1975 wurde ‘gesünderes’ Pflanzgut (das von Stecklingen abstammte) auf dem selben Feld wie einige der Proben der Marktware gepflanzt (Tab. 1). Die Feststellung des Inokulums oder der Krankheit wurde an Pflanzgutproben, an Pflanzen w?hrend des Wachstums und an Knollen der Nachkommenschaft zum Erntezeitpunkt genommen. Geerntete Knollen wurden auch einheitlich verletzt und bei 3°C und 10°C gelagert, mit oder ohne zweiw?chige Wundheilperiode bei 15°C. Nach 3–4 Monaten erfolgte die Feststellung des Krankheitsbefalls. Die Auswertung der Ergebnisse wurde durch Regression zwischen allen m?glichen Paaren der Ergebnisse für jede Krankheit durchgeführt, wobei jedes Jahr sowohl getrennt als auch alle Jahre kombiniert genommen wurden. Die Regressionen wurden auch für das ‘gesündere’ Erntegut, das mit der entsprechenden Marktware übereinstimmte, durchgeführt. Rhizoctonia solani wurde auf dem Pflanzgut und auf dem nachfolgenden Erntegut als Prozentbefall mit Sklerotien angegeben, der Myzelbelag auf der Knollenoberfl?che rund um die Augen wurde durch mikroskopische Untersuchung von Augenstücken festgestellt und das Auftreten von Weisshosigkeit wurde w?hrend des Wachstums gesch?tzt. Das durchschnittliche Auftreten von Inokulum oder Krankheitsbefall auf Marktware (Tab. 2) zeigte, dass 1975 der Befall der Augen am h?ufigsten war und dass 1971 und 1975 der Krankheitsbefall im Lager am gr?ssten war. ‘Gesünderes’ Pflanzgut hatte gew?hnlich weniger Pocken als der Durchschnitt der Marktware aber der Befall der Augen der Tochterknollen w?hrend des Wachstums und zur Ernte war gr?sser und auf gelagerten Knollen wurden mehr Pocken gefunden (Tab. 3). Unter den nassen Erntebedingungen 1974 traten mehr Pocken auf den bei 10°C gelagerten Knollen auf als auf den bei 3°C, aber es ergaben sich keine Unterschiede in anderen Jahren. Die Signifikanz der Regressionen zwischen den Erhebungen, die nach verschiedenen Methoden oder zu verschiedenen Zeitpunkten (Tab. 4) gemacht wurden und Diagramme der signifikanten Regressionen in einzelnen Jahren (Abb. 1) zeigten, dass makroskopische und mikroskopische Bestimmungen auf dem Pflanzgut (Abb. la) und Befall der Schale rund um die Augen und Weisshosigkeit w?hrend des Wachstums (Abb. 1d) in allen Jahren miteinander verbunden waren. Die Weisshosigkeit stand h?ufiger in Beziehung zum Ausmass des Pockenbesatzes des Pflanzgutes (Abb. 1b) als der Befall der Augen (Abb. 1c). Dies führt zu der Annahme, dass die meisten Stengelinfektionen vom Inokulum des Pflanzgutes ausgingen w?hrend der Befall der Schale rund um die Augen auch durch andere Inokulumquellen (z.B. den Boden) beeinflusst wurden. Der Befall der Augen zur Ernte stand in jedem Jahr in Beziehung zum Befall w?hrend des Wachstums (Abb. 1e) und in 4 Jahren stand das Ausmass des Pockenbesatzes auf gelagerten Knollen in Beziehung zum Augenbefall w?hrend des Wachstums und zur Ernte (Abb. 1f und 1g). Die mikroskopische Untersuchung w?hrend des Wachstums gibt daher eine vernünftige Sch?tzung des Krankheitsbefalls im Lager. Wenn die Erhebungen des ‘gesünderen’ Pflanzgutes mit denen gleichartiger Marktware verglichen wurden (Abb. 2), ergaben sich signifikante Verbindungen für den Augenbefall w?hrend des Wachstums und zur Ernte, für den Pockenbesatz auf gelagerten Knollen, aber nicht für die Weisshosigkeit. Dies weist auf eine Verbreitung des Inokulums, auf die Bedeutung der allgemeinen Bodenbeschaffenheit oder, wahrscheinlicher, eine gemeinsame Quelle des Inokulums, vielleicht im Boden hin.

Résumé Une étude a été entreprise sur la variété King Edward, pour conna?tre l'incidence de différentes maladies. Cette étude s'est déroulée de 1971 à 1975 dans la région de Fenland en Angleterre Orientale. Chaque année, on a examiné entre 15 et 26 lots commerciaux; entre 1972 et 1975 des semences ‘plus saines’ (provenant de bouturage) ont été plantées dans le même champ que les lots commerciaux (tableau 1). Les estimations d'inoculum ou de maladie ont été faites sur des échantillons de tubercules de semence, sur des plantes en course de croissance, et sur les tubercules-fils à la récolte. Les tubercules-fils récoltés ont été également endommagés de manière uniforme et conservés à 3°C et 10°C, avec ou sans période initiale de cicatrisation des blessures de 2 semaines à 15°C. L'incidence de la maladie a été estimé après 3–4 mois. Les résultats ont été analysés par régressions entre toutes les paires possibles de données pour chaque maladie, en prenant séparément chaque année et toutes les années combinées. Les régressions ont aussi été faites à partir des estimations provenant des lots ‘plus sains’, et des estimations correspondantes provenant des lots commerciaux adjacents. L'estimation du rhizoctone a été faite par notation du pourcentage de sclérotes sur les tubercules de semence et sur les tubercules-fils en conservation. La colonisation de la peau, autour des yeux, par du mycelium deRhizoctonia solani a été déterminée par examen microscopique au niveau des yeux. L'incidence des nécroses sur tige a été estimée au cours de la croissance. L'incidence moyenne de l'inoculum ou de la maladie sur les lots commerciaux (tableau 2) a montré que la colonisation du tubercule au niveau des yeux a été plus fréquente en 1975, et que l'incidence de la maladie en cours de conservation a été plus forte en 1971 et 1975. Les tubercules de semence ‘plus saine’ ont eu moins de rhizoctone que la moyenne des lots commerciaux, mais la colonisation des tubercules-fils, au niveau des yeux pendant la période de croissance et à la récolte a été plus grande. On a également trouvé plus de sclérotes sur les tubercules conservés (tableau 3). En 1974, les conditions de récolte étant plus humides, il y avait plus de sclérotes sur les tubercules conservés à 10°C que sur ceux conservés à 3°C; mais, pour les autres années, il n'y avait aucune différence entre les traitements. La signification des régressions entre les estimations faites par différentes méthodes ou à différentes époques (tableau 4), et les graphiques relatifs aux régressions significatives pour chacune des années (Fig. 1) ont montré qu'il y avait toutes les années des relations entre les estimations macroscopiques et microscopiques sur la semence (Fig. 1 a), la colonisation de la peau autour des yeux et les nécroses des tiges en cours de végétation (Fig. 1d). Les nécroses sur tige étaient plus fréquemment en rapport avec les sclérotes portés par la semence (Fig. 1b) qu'ac la colonisation au niveau des yeux du tubercule (Fig. 1c). Les auteurs suggèrent donc que la plupart de la contamination de la tige provient de l'inoculum présent sur le tubercule de semence mais que la colonisation de la peau autour des yeux est également influencée par d'autres sources d'inoculum (par ex. le sol). Chaque année, la colonisation des yeux à la récolte était en relation avec celle en cours de croissance (Fig. 1c). Pour les 4 années, la quantité de sclérotes sur les tubercules conservés était en rapport avec l'incidence de la colonisation au niveau des yeux pendant la croissance et à la récolte (Figures 1f et 1g). Les estimations faites en cours de croissance donne donc une estimation correcte de l'incidence de la maladie en cours de conservation. Quand on compare les résultats des lots ‘plus sains’ et ceux des lots commerciaux adjacents, il y a des associations significatives pour la colonisation des yeux durant la croissance et à la récolte, pour les sclérotes sur les tubercules conservés, mais pas pour les nécroses sur tige. Ceci suggère la dispersion de l'inoculum, l'importance des conditions de sol ou plus vraisemblablement la présence d'une source commune d'inoculum au niveau du sol.
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14.
Summary Maps were made of the distributions of tubers of plants of 15 potato varieties growing in the field. Although distribution was mainly a varietal characteristic, there was some evidence that it could be affected by soil type and seasonal differences. Varieties with short stolons (e.g.Ulster Tarn) not only had tubers tightly clustered, but tended to have many near the soil surface. As the proportions of long stolons increased, so the clustering diminished and tubers were usually deep and widely spread in varieties with mostly long stolons (e.g.Arran Viking). The proportion of tubers infected by blight decreased with increasing depth. In 1960, when tuber infection was common, more than half the tubers in the top 5.1 cm of soil were infected, but only an accasional one was blighted 15.2 cm below the surface.
Zusammenfassung Bei Pflanzen von fünfzehn Sorten wurde die Verteilung der Knollen mit Hilfe eines horizontalen Gitters aufgezeichnet (Abb. 1), indem der Erddamm systematisch abgetragen wurde. Die horizontale Verteilung wurde auf kariertes Papier (?hnlich eingeteilt wie das Gitter) übertragen (Abb. 2A). Diese Darstellungen wurden verwendet, um, zusammen mit Messungen der Tiefenlage der Knollen, Aufzeichnungen über die vertikale Anordnung der Knollen zu erm?glichen (Abb. 2B). Die Vorlagen dienten zur Bestimmung der H?ufigkeit, mit welcher Knollen innerhalb 2,5 cm breiter, konzentrischer Ringe rund um die Saatknolle in jeder horizontalen Schicht vorkamen. Sie dienten ebenfalls dazu, um die H?ufigkeit der Knollen innerhalb 2,5 cm breiter, horizontaler Streifen über und unter der Bodenoberfl?che (an einem Punkt senkrecht über den Saatknolle) für jede vertikale Verteilung festzustellen. Die gleichen Unterlagen wurden für graphische Darstellungen gebraucht, die den kumulativ gerechneten Prozentwert an Knollen zeigen, die-mit der Saatknolle als Mittelpunkt — innerhalb von gegebenen, horizontalen Umkreisen in gegebenen Tiefen unter der obersten Knolle vorkamen. Die Ergebnisse von drei Gruppen zu je fünf Pflanzen der SorteUlster Ensign wurden verglichen, indem beide Methoden (Abb. 3) angewendet wurden. Es ergaben sich aber nur kleine Unterschiede zwischen den Gruppen. In der Folge wurden gew?hnlich fünf Pflanzen jeder Sorte aufgezeichnet. In Tabelle 1 werden die fünfzehn Sorten verglichen. Bei Sorten mit kurzen Stolonen (z.B.Ulster Tarn) waren die Knollen nicht nur an einem Haufen eng beisammen, sondern sie neigten ?fters auch dazu, nahe der Bodenoberfl?che zu liegen. Mit zunehmender L?nge der Stolonen lagen die Knollen weniger dicht beisammen, und bei Sorten mit sehr langen Stolonen (z.B.Arran Viking) befanden sich die Knollen meistens tief und weit auseinander im Boden. Sorten extremer und mittlerer Typen werden in den Abb. 4 und 5 verglichen. Es ergaben sich einige Anzeichen dafür, dass die Knollenverteilung durch Bodenart und saisonbedingte Unterschiede beeinflusst werden k?nnte. Mit zunehmender Tiefe nahm der Anteil an Knollen, die von Braunf?ule befallen waren, ab (Abb. 6). Im Jahre 1960, als Knolleninfektionen h?ufig waren, befanden sich in der obersten, 5,1 cm umfassenden Bodenschicht mehr als die H?lfte der befallenen Knollen, dagegen fand man 15,2 cm unter der Oberfl?che nur vereinzelt eine Kranke Kartoffel. Obwohl 1960 die meisten oberfl?chlich liegenden Knollen am Kronenende angesteckt wurden, die tiefer liegenden jedoch am Nabelende, war 1962 in allen Tiefen das Kronenende h?ufiger befallen als jeder andere Teil (Tabelle 2).

Résumé Les répartitions de tubercules chez des plantes de quinze variétés ont été déterminées au moyen d'une grille horizontale (Fig. 1) après enlèvement systématique de la terre de la butte. Les répartitions horizontales sont portées sur papier quadrillé marqué de la même fa?on que la grille (Fig. 2A) et ces représentations, en même temps que les mesures de profondeur des tubercules, sont utilisées pour réaliser les représentations des répartitions verticales (Fig. 2B). Les représentations sont utilisées pour établir la fréquence avec laquelle les tubercules apparaissent, pour chaque répartition horizontale, dans des cercles concentriques de 2,5 cm de large autour du tuberculemère et, pour chaque répartition verticale, dans chaque bande horizontale de 2,5 cm de large audessus et en-dessous de la surface du sol à un point verticalement au-dessus du tubercule-mère. Les mêmes données sont utilisées pour établir les graphiques montrant les pourcentages cumulatifs de tubercules apparaissant dans des rayons horizontaux donnés à partir du tubercule-mère et à des profondeurs données en-dessous du tubercule le plus élevé. On compare les deux méthodes au moyen des résultats établis sur trois groupes de cinq plantesUlster Ensign (Fig. 3) et on a trouvé peu de différence entre les groupes. En conséquence les représentations portent habituellement sur cinq plantes de chaque variété. Le Tableau 1 rapporte la comparison de quinze variété. Les variété à courts stolons (par ex.Ulster Tarn) non seulement produisent des tubercules fortement groupés, mais également tendent à en produire beaucoup à proximité de la surface du sol. Si les proportions de longs stolons augmentent, le groupement diminue et, chez les variétés (par ex.Arran Viking) qui ont le plus souvent des longs stolons, les tubercules sont généralement profonds et largement dispersés. Les variétés représentant les types extrêmes et intermédiaires sont comparées dans Fig. 4 et 5. Il y a quelque preuve que la répartition des tubercules est influencée par le type de sol et les différences de saison. La proportion de tubercules infectés par le mildiou, décroit avec l'augmentation de la profondeur (Fig. 6). En 1960, alors que l'infection des tubercules était fréquente, plus de la moitié des tubercules situés à la profondeur 5,1 cm du sol étaient infectés, mais ce n'était qu'occasionnellement qu'un tubercule situé à 15,2 cm en-dessous de la surface était atteint. Quoique en 1960 les tubercules placés les plus superficiellement étaient infectés à la couronne et les tubercules situés plus profondément l'étaient au hile, en 1962 la couronne était plus souvent infectée qu'aucune autre partie à toutes les profondeurs (Tableau 2).
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15.
Summary The rate of healing was shown to increase approximately three-fold between 5 and 10°C, and threefold between 10 and 20°C. Oxygen partial pressures lower than, and CO2 partial pressures higher than those in the atmosphere had a progressively inhibitory effect on suberin and periderm formation. A method is described for maintaining humidities to within 1% r.h (relative humidity) of that desired. At 20°C, healing was most rapid between 70 and 100% r.h., and at 10°C between 80 and 100% r. h. Proliferation sometimes occurred at humidities close to 100% r.h. Considerable variation was found in the healing rates of different tubers, due to their differing physiological states. Varietal differences were slight, but it was thought that differences may be more marked earlier in the storage period.
Zusammenfassung Hauptzweck dieser Publikation war, den Einfluss von Temperatur, relativer Feuchtigkeit und verschiedener Gasmischungen auf die Wundheilung der Kartoffelknolle aufzuzeigen. Auch die in den wundheilenden Reaktionen von verschiedenen Knollen innewohnende Variation wurde untersucht. Partien von verletzten Knollen wurden bei unterschiedlichen Umweltsbedingungen verschieden lange Zeit aufbewahrt (Tabelle 2). Je nach ihrem physiologischen Zustand wurde zwischen den Knollen eine betr?chtliche Schwankung im Mass der Suberin- und der Peridermbildung gefunden. Fünf Sorten von Kartoffelknollen wurden verminderten Sauerstoff-Teildrucken von 0, 1, 3, 5, 10 und 21% O2 (Luft) w?hrend Perioden bis zu 14 Tagen bei 20°C ausgesetzt (Abb. 2). Jede Herabsetzung der O2-Konzentration in der Luft erzeugte einen fortschreitenden Hemmungseffekt auf die Wundheilung. Bei der Sorte Majestic Brachten herabgesetzte O2-Konzentrationen bei 10°C den gleichen hemmenden Einfluss hervor (Abb. 3), w?hrend 5, 10 und 15% CO2 auch die Suberinbildung allm?hlich hemmten. Sorten-unterschiede traten nicht deutlich hervor, obwohl man gedacht hat, dass Unterschiede in der früheren Lagerperiode klarer hervortreten k?nnten. Abb. 4 zeigt die Einflüsse von 5, 10 und 20°C auf die Wundheilung bei vier Sorten. Die Rate der Suberin- und Peridermbildung erh?hte sich ann?hernd um das Dreifache zwischen 5 und 10°C, und um das Dreifache zwischen 10 und 20°C. Es wird eine Methode zur Kontrolle der relativen Luftfeuchtigkeit bis zu 1% Genauigkeit beschrieben (auch Abb. 1). Bei 20°C wurde bei relativen Luftfeuchtigkeiten zwischen 70% und 100% nur ein kleiner Unterschied im Mass der Wundheilung festgestellt. Bei 10°C war dei Heilung am schnellsten bei einer relativen Luftfeuchtigkeit zwischen 80 und 100%. Bei relativen Luftfeuchtigkeiten nahe bei 100% traten manchmal Wucherungen auf.

Résumé Le but principal de cette publication est de montrer les effets de la température, de l'humidité relative et de divers mélanges gazeux sur la cicatrisation des blessures du tubercule de pomme de terre. L'auteur a également recherché les variations individuelles des réactions de cicatrisation dans différents tubercules. Des groupes de tubercules blessés sont conservés dans diverses conditions de milieu pendant diverses longueurs de temps (tableau 2). Une variation considérable dans la vitesse de formation de subérine et du périderme appara?t entre les tubercules, variation due à différents états physiologiques. Des tubercules de cinq variétés de pomme de terre sont soumis à des pressions partiellement abaissées de 0, 1, 3, 5, 10 et 21% de O2 (air) pendant des périodes allant jusqu'à 14 jours à 20°C (fig. 2). Tout abaissement de la concentration en O2 de l'atmosphère a un effet inhibiteur progressif sur la cicatrisation. Chez la variété Majestic à 10°C, des concentrations diminuées en O2 ont le méme effet inhibiteur (fig. 3), tandis que 5, 10 et 15% de CO2 inhibent aussi progressivement la formation de subérine. Les différences variétales ne sont pas clairement marquées, quoiqu'on pense que les différences peuvent être plus prononcées plus t?t dans la période de stockage. La figure 4 montre les effets des températures de 5, 10 et 20°C sur la cicatrisation chez quatre variétés. La vitesse de formation de la subérine et du périderme augmente d'environ 3 fois entre 5 et 10°C et de 3 fois entre 10 et 20°C. L'auteur décrit une méthode de contr?le de l'humidité dans les limites de 1% d'humidité relative (r.h.) (voir aussi fig. 1). A 20°C, on observe peu de différence dans les vitesses de cicatrisation aux humidités comprises entre 70 et 100% de r.h. A 10°C, la cicatrisation est la plus grande entre 80 et 100% de r.h. Des proliférations apparaissent quelquefois à des humidités proches de 100% de r.h.
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16.
Summary The distribution patterns of dry matter, starch, reducing sugars and total nitrogen were studied in the varietyBintje, stored at 10 C with and without sprout inhibitor. The cortex contained more dry matter and starch, though less reducing sugars and total nitrogen than the medulla. The highest dry matter (starch) content was in the cortical layer of the middle part of the tuber. In the medullary region the lowest total nitrogen was towards the rose end. During storage the differences in carbohydrate contents between cortex and medulla increase. Storage appears to results in a small accumulation of sugars which was somewhat higher in the sprouting tubers not treated with inhibitor. There was no evidence of an influence of the sprout inhibitor (IPC, CIPC) on the distribution pattern.
Zusammenfassung Die vorliegende Ver?ffentlichung befasst sich mit Untersuchungen über die Verteilung und die Ver?nderungen von Inhaltsstoffen, wie Trockensubstanz, St?rke, reduzierende Zucker und Gesamtstickstoff in morphologisch verschiedenen Teilen der Kartoffelknolle (SorteBintje) w?hrend der Aufbewahrung bei 10 C. Ein Teil der Knollen wurde zu Beginn der Lagerung mit einem Gemisch von IPC und CIPC behandelt. In Tabelle 1 sind die verwendeten Zeichen erkl?rt. Es wurden getrennte Analysen vom Kronenende, vom mittleren Teil und vom Nabelende vorgenommen, wobei diese Partien noch in Markgewebe (Medulla) und Rindengewebe (Cortex) unterteilt worden sind (Abb. 1). Von jedem Muster wurden w?hrend der Aufbewahrungszeit vom November 1964 bis April 1965 monatliche Analysen durchgeführt. In Tabelle 2 und 3 sind die Ergebnisse zusammengefasst. Tabelle 4 zeigt die Ergebnisse einer Varianzanalyse für die Gehalte und auch für die Gehaltsdifferenzen zwischen Cortex und Medulla. Tabelle 5 zeigt, welche Gehaltsdifferenzen in der Knolle signifikant sind, w?hrend Tabelle 6 den Einfluss der Zeit auf die Differenz zwischen Cortex und Medulla illustriert. Bezüglich der Verteilung der genannten Inhaltsstoffe l?sst sich folgendes beobachten. Trockensubstanz- und St?rkegehalt sind im Rindengewebe h?her als im Markgewebe. Das Rindengewebe im mittleren Teil der Knolle weist einen H?chstgehalt für diese Stoffgruppe auf. Der Gehalt an reduzierenden Zuckern ist im Markgewebe h?her als im Rindengewebe. W?hrend der Aufbewahrung bei 10 C zeigt sich für Trockensubstanz (St?rke) und Zuckergehalt eine zunehmende Divergenz zwischen Mark und Rinde. Auch der Abbau von Kohlehydraten ist im Markgewebe ausgepr?gter als im Rindengewebe. Der Gesamtstickstoffgehalt ist im Markgewebe h?her als im Rindengewebe. Im Markgewebe l?sst sich der niedrigste Gehalt am Kronenende feststellen. Der Einfluss der Aufbewahrungszeit kennzeichnet sich im allgemeinen durch eine geringe Anh?ufung von Zuckern, welche, im Vergleich zu den behandelten Knollen, in den unbehandelten Knollen etwas h?her ist. Da die Wasserverluste bei keimenden Knollen h?her sind, zeigt der anfangs abnehmende Trockensubstanzgehalt am Ende der Aufbewahrungsperiode wieder eine Zunahme. Es war in diesem Falle nicht m?glich, diese Unregelm?ssigkeit zu korrigieren, da die Analysen nicht zur Erhaltung von absoluten Werten vorgenommen worden sind. Es konnte kein Einfluss der Keimhemmungsmittel auf die Verteilung der Inhaltsstoffe in den Knollen nachgewiesen werden. M?glicherweise k?nnte ein solcher bei einer l?ngeren Aufbewahrungszeit unter h?heren Temperaturbedingungen noch eintreten. Die Ergebnisse k?nnen bei der Verarbeitung von Kartoffeln praktische Bedeutung haben, da beim Schneiden der Knollen mit dieser Verteilung zu rechnen ist.

Résumé La présente publication relate les recherches sur la répartition et l'évolution des composants tels que substance sèche, amidon, sucres réducteurs et matière azotée totale dans les différentes parties morphologiques du tubercule (var.Bintje) au cours de la conservation à 10 C. Une partie des tubercules ont été traités au commencement de la conservation avec un mélange de IPC et CIPC. Tableau 1 donne la signification des symboles utilisés. On a exécuté des analyses séparées de l'extrémité de la couronne, de la section moyenne et du bout du hile, lesquelles parties ont en outre été partagées en tissu médullaire et tissu cortical (Fig. 1). Une analyse de contr?le était faite chaque mois sur chaque échantillon pendant la conservation de novembre 1964 à avril 1965. Les résultats sont rassemblés dans les Tableaux 2 et 3. Tableau 4 donne les résultats d'une analyse de la variance des teneurs et des différences de teneurs entre l'écorce et la moelle. Tableau 5 montre les différences de teneurs dans le tubercule qui sont significatives, tandis que le Tableau 6 illustre l'effet du temps sur les différences entre l'écorce et la moelle. On peut faire les observations suivantes au sujet de la répartition des composants sus-nommés. La matière sèche et la teneur en amidon sont plus élevées dans le tissu cortical que dans le tissu médullaire. Le tissu cortical de la partie médiane du tubercule montre la teneur la plus élevée des substances de ce groupe. La teneur en sucres réducteurs est plus élevée dans le tissu médullaire que dans le cortex. Pendant la conservation à 10 C, se révèle une divergence croissante entre la moelle et le cortex pour la matière sèche et la teneur en sucres. La dégénérescence des hydrates de carbone est également plus marquéc dans la moelle que dans le cortex. La teneur en matière azotéc totale est plus haute dans le tissu médullaire que dans le tissu cortical, tandis que dans la moelle la teneur la plus basse appara?t à la couronne. L'influence de la durée de conservation se caractérise d'une manière générale par une accumulation de sucres, laquelle est quelque peu plus haute dans les tubercules non traités que dans les tubercules traités. Comme les pertes d'eau sont plus élevées chez les tubercules en germination, la teneur en matières sèches, décroissante au commencement, montre de nouveau une augmentation à la fin de la période de conservation. Il n'a pas été possible de supprimer cette cause d'erreur car les analyses n'ont pas visé à des déterminations de valeurs absolues. On n'a décelé aucune influence des inhibiteurs de germination sur la répartition des composants du tubercule. Mais il est possible que cette influence se serait marquée par une période de conservation plus longue sous des conditions plus élevées de température. Ces résultats peuvent avoir une signification pratique pour l'industrie de la transformation des pommes de terre, puisque le sectionnement des tubercules met l'industriel devant cette répartition des composants.
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17.
Summary Potato tubers of Pimpernel, grown at 18 levels of K or NPK supply, were assessed for enzymic browning and after-cooking discoloration after different treatments. The influence of potassium supply during the previous 30 years and in the year of growing on enzymic browning was pronounced. Enzymic browning of the tubers showed a strong negative correlation with concentration of potassium in tubers and haulm sampled at harvest. A significant, but less strong relationship between tuber colour and potassium in tubers and haulm was found for after-cooking discoloration. An increase in enzymic browing and after-cooking discoloration took place during the first 3 months of storage, but not during the next 3 months. Less enzymic browning occurred after 3 months of storage at 12°C than at 3°C. Storing at 0°C for 3 days in the fall had little affect on enzymic browning, whereas conditioning at 16°C slightly decreased enzymic browning.
Zusammenfassung Aus zwei Langzeit-Feldversuchen wurden 1969 Kartoffelknollenmuster der Sorte Pimpernel gezogen. In diesem Versuch wurden 18 Stufen von K-oder NPK-Gaben verglichen (Tabellen 1 und 2). Die Verf?rbung von rohen und gekochten Knollen (Tabelle 3) wurde beurteilt, und in Knollen-und Krautmustern (Entnahme bei der Ernte) wurde der Kaligehalt bestimmt. Der Einfluss der Kaligabe w?hrend der vorhergehenden 30 Jahre und in Jahre 1969 auf die enzymatische Verf?rbung war deutlich (Abb. 1, Tabelle 4). Wo die Durchschnittsgaben von Kalium in früheren Jahren weniger als 70 kg/ha betrugen, trat eine betr?chtliche Verbesserung in der Farbe ein, wenn die Gabe im Anbaujahr von 100 auf 200 kg/ha erh?ht wurde (Abb. 2). Die Farbe der rohen Knollen war jedoch selbst bei einer Düngung mit 200 kg/ha unbefriedigend bei Parzellen, bei denen in früheren Jahren die Kaliversorgung im Boden auf einem tiefen Stand war. Die Verf?rbung nach dem Kochen war weniger ausgepr?gt und weniger beeinflusst durch die Kaligabe als die enzymatische Braunverf?rbung (Tabelle 4). Der Kaligehalt in % in Knollen und Kraut (Musterentnahme bei der Ernte) war in enger Beziehung zu der enzymatischen Braunverf?rbung, und es bestand eine signifikante, aber weniger enge Korrelation mit der Verf?rbung nach dem Kochen (Abb. 3 und 4). Die Braunverf?rbung der rohen Knollen und die Verf?rbung nach dem Kochen nahmen in den drei ersten Monaten der Lagerung zu, aber nicht w?hrend der drei folgenden Monate. Die Rohverf?rbung war nach einer dreimonatigen Lagerung bei 12°C schw?cher als bei 3°C. Setzte man Knollen für drei Tage im Herbst einer Temperatur von 0°C aus, so hatte dies wenig Einfluss auf die Rohverf?rbung (Tabelle 4). Konditionierung w?hrend 7 Tagen bei 16°C verbesserte die Farbe der rohen Knollen leicht (Tabelle 5). Die Ergebnisse umfassen vor allem die Stufen unter der optimalen Kaligabe. Ein Ueberschuss an Kali wurde wahrscheinlich nicht erreicht.

Résumé On a prélevé, en 1969, des échantillons de tubercules de pomme de terre, variété Pimpernel, dans des essais en champ de longue durée, dans lesquels ont été comparés 18 doses de K ou de NPK (tableaux 1 et 2). On a établi la décoloration sur les tubercules crus et cuits (tableau 3), et on a déterminé le potassium dans les tubercules et les tiges échantillonnés à la récolte. L'influence de l'approt de potassium au cours des trente années antérieures et au cours de la dernière année (1969) sur le brunissement enzymatique est prononcée (fig. 1, tableau 4). Là où les doses moyennes de potassium au cours des années précédentes sont inférieures à 70 kg/ha, il appara?t une amélioration considérable dans la couleur lorsque l'apport de potasse, lors de la dernière végétation, atteint 100 à 200 kg/ha (fig. 2). Cependant la couleur des tubercules crus n'est pas satisfaisante, même apr⪻s une fumure de 200 kg/ha sur les parcelles où le potassium du sol a été maintenu à un niveau bas pendant les années précédentes. Après cuisson, l'altération de la couleur est moins grave et moins influencée par l'approt potassique que le brunissement enzymatique (tableau 4). Le pourcentage de potassium dans les tubercules et les tiges, échantillonnés à la récolte, montrent une relation étroite avec le brunissement enzymatique, et une corrélation significative moins étroite avec la décoloration aprés cuisson (fig. 3 et 4). Le brunissement enzymatique et la décoloration après cuisson augmentent au cours des trois premiers mois de conservation, mais non pas durant les trois derniers mois. Il appara?t moíns de brunissement enzymatique après trois mois de conservation à 12°C plut?t qu'à 3°C. Soumettre brusquement les tubercules à 0°C pendant trois jours a peu d'effet sur le brunissement enzymatique (tableau 4). Le fait de placer les tubercules pendant 7 jours à 16°C améliore légèrement la couleur des tubercules crus (tableau 5). Les résultats se rapportent le plus exactement aux niveaux situés en-dessous de l'apport optimum de potassium. On n'a probablement pas atteint l'excès de potassium.
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18.
Summary Incidence of skin spot (Polyscytalum pustulans) was assessed macroscopically (skin spot) or microscopically (P. pustulans infection) on seed tubers, on progeny tubers and stems during growth and on tubers at harvest or after storage in up to 26 commercial King Edward crops in each of 5 years and up to 13 crops grown from ‘healthier’ seed in 4 years. Skin spot affected c. 50% seed tubers and at harvest c 20% tuber eyes were infected withP. pustulans. Skin spot was more frequent on tubers stored at 3°C than at 10°C and was decreased by an initial curing period of 2 weeks at 15°C. The incidence of stem lesions in 3 of 4 years and of tuber eye infection in 2 of 5 years (during growth) or 1 of 5 years (at harvest) was related to that of skin spot on seed tubers. Incidence of skin spot after storage was related to the frequency of eye infection during growth and at harvest in 3 years. After storage, disease incidence in crops grown from a stem cutting stock (‘healthier’ seed) was positively correlated with that of the commercial crops grown on the same field.
Zusammenfassung Zwischen 1971 und 1975 wurde in bis zu 26 Proben marktf?higer Ernten der Sorte King Edward das Auftreten der Tüpfelfleckenkrankheit auf Pflanzenkartoffeln und gelagerten Tochterknollen untersucht, sowie die Infektion mitPolyscytalum pustulans von Augen an Pflanzgut, an Tochterknollen w?hrend des Wachstums und zur Ernte und das Auftreten von L?sionen an der Stengelbasis (Adams et al., 1980). Zwischen 1972 und 1975 wurden diese Erhebungen auch an Erntegut, das aus ‘gesünderem’ Pflanzgut (das von Stecklingen abstammte) und benachbart zu Marktware aufgewachsen war, durchgeführt. Das durchschnittliche Auftreten von Infektion oder Krankheitsbefall auf Marktware (Tab. 1) zeigte, dass ca. 50% der Pflanzkartoffeln mit Tüpfelfleckenkrankheit befallen waren und zur Ernte waren ca. 20% der Knollenaugen mitP. pustulans infiziert. 1974 trat die Krankheit im Lager st?rker auf als in anderen Jahren, wahrscheinlich weil die Erntebedingungen sehr nass waren und die mit ins Lager gebrachte Erde Inokulum entheilt. Lagerung der Knollen bei 3°C erh?hte den Befall st?rker als bei 10°C und eine Wundheilperiode von 2 Wochen bei 15°C vor der Lagerung bei 3°C senkte den Krankheitsbefall sterk. ‘Gesünderes’ Pflanzgut war 1972–74 nicht von Tüpfelfleckenkrankheit befallen und das Ausmass von Infektion oder Krankheitsbefall war in den folgenden Ernten geringer als in der Marktware (Tab. 2). Die Signifikanz der Regressionen zwischen den Erhebungen des Krankheitsbefalls oder der Infektion, die nach verschiedenen Methoden oder zu verschiedenen Zeiten (Tab. 3) gemacht wurden und Diagramme der signifikanten Regressionen der einzelnen Jahre (Abb. 1 und 2) zeigten, dass das Auftreten von Augeninfektion und Tüpfelfleckenkrankheit auf Planzkartoffeln in allen Jahren signifikant verknüpft war (Abb. 1a). Ebenso war das Vorkommen von Stengell?sionen und Augeninfektionen w?hrend des Wachstums miteinander verbunden (Abb. 2a). Die H?ufigkeit von Stengelinfektionen stand in 3 von 4 Jahren in Beziehung zum Ausmass der Tüpfelfleckenkrankheit (Abb. 1b) und der Augeninfektion (Abb. 1c) des Pflanzgutes. Die Augeninfektion w?hrend des Wachstums war aber nur in wenigen Jahren (Abb. 1d) mit dem Krankheitsbesatz des Pflanzgutes verbunden. Geringere Beziehungen bestanden sogar zwischen den Ergebnissen bei der Ernte oder nach der Lagerung und denen des Pflanzgutes (Abb. 1e). Das Ausmass der Augeninfektion bei der Ernte stand in Beziehung zu dem w?hrend des Wachstums. der Verlauf der Regressionslinien (Abb. 2b) zeigte eine Zunahme zwischen den Daten der Probennahmen 1971 und 1975, aber eine deutliche Abnahme 1973, weil wahrscheinlich neu gebildete Augen nicht infiziert wurden. In drei Jahren war der Krankheitsbesatz im Lager mit dem der Augeninfektion w?hrend des Wachstums (Abb. 2c) oder zur Ernte (Abb. 2d) verknüpft. Diese Ergebnisse zeigen die Bedeutung der Pflanzkartoffel als Quelle des Inokulums und das Misslingen, Beziehungen zwischen den Erhebungen auf Pflanzkartoffeln und einigen anderen herzustellen war vielleicht auf Unterschiede in den Waschstumsbedingungen der Farmen zurückzuführen. Wurden die Ergebnisse ‘gesünderen’ Pflanzgutes mit denen benachbarter Marktware verglichen, so zeigte sich eine signifikante Beziehung unter Verwendung der Ergebnisse nach der Lagerung. Sie gibt Hinweise auf eine allgemeine Quelle des Inokulums, eine Verbreitung zwischen benachbarten Ernten oder auf die Wichtigkeit der allgemeinen Bodenbedingungen.

Résumé De 1971 à 1975, on a évalué l'incidence de l'oosporiose sur les semences et sur les tubercules-fils en cours de conservation, la contamination dePolyscytalum pustulans sur les yeux des tubercules de semence et sur les tubercules-fils en cours de végétation et à la récolte, et l'importance des lésions à la base des tiges. L'étude a été faite sur 26 cultures commerciales de la variété King Edward (Adams et al. 1980). De 1972 à 1975, on a également étudié des cultures issues de semence ‘plus saines’ (dérivées de boutures) cultivées à c?té des lots commerciaux. L'incidence moyenne de la contamination ou de la maladie sur les lots commerciaux (tableau 1) a montré que 50% des tubercules de semence étaient atteints d'oosporiose, et que 20% des yeux étaient contaminés parP. pustulans à la récolte. La maladie s'est développée pendant la conservation en 1974 beaucoup plus que les autres années, probablement à cause des conditions d'humidité à la récolte ayant entra?né l'introduction de sol contaminé dans le local de stockage. La maladie s'est plus développée à 3°C qu'à 10°C dans le local de conservation, et une cicatrisation de deux semaines à 15°C avant stockage à 3°C a grandement diminué l'importance de la maladie. Les semences ‘plus saines’ ont été indemnes d'oosporiose en 1972/74 et les récoltes suivantes ont été moins touchées que les cultures commerciales (tableau 2). Les régressions effectuées sur les notations de maladie ou de contamination, par des méthodes différentes ou à des époques différentes (tableau 3) et les courbes de régressions significatives année par année (Fig. 1 et 2) montrent qu'il y a une corrélation significative tous les ans entre la contamination des yeux et l'apparition de l'oosporiose sur les tubercules de semence (Fig. 1a); de plus, les attaques sur les tiges et la contamination des yeux en cours de végétation sont également correlées (Fig. 2a). La fréquence de contamination des tiges est liées à l'apparition de l'oosporiose (Fig. 1b) et à la contamination des yeux sur les semences (Fig. 1c), trois années sur quatre, mais la relation entre la contamination des yeux en végétation et l'incidence de la maladie sur la semence est moins fréquente (Fig. 1d). Il y a eu de même moins de relations entre les notations à la récolte ou après stockage et celles sur semence (Fig. 1e). L'incidence de la contamination des yeux à la récolte s'est montrée liée à celle notée en végétation, les pentes des courbes de régression (Fig. 2b) montrant un accroissement de la contamination d'une date d'échantillonnage à l'autre en 1971 et 1975, alors qu'en 1973, on observe une décroissance apparente, probablement parce que les yeux récemment formés sont demeurés sains. Pour les 3 années, l'incidence de la maladie en conservation se montre liée à celle de la contamination des yeux en végétation (Fig. 2c) ou à la récolte (Fig. 2d). Ces résultats montrent l'importance du tubercule de semence en tant que source d'inoculum et les difficultés d'établir des relations entre les estimations sur les tubercules de semence et les autres, probablement dues aux conditions différentes de végétation entre les fermes. Quand on compare les notations des cultures ‘plus saines’ et celles de la série commerciale adjacente, on trouve une relation significative au niveau de l'incidence de la maladie en conservation, liée de toute évidence à une source commune d'inoculum, à une propagation entre cultures voisines ou à l'importance des conditions de sol.
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19.
Summary Experiments with ten potato varieties revealed that soft rot due toErwinia carotovora var.atroseptica is the major factor causing 30 to 70% losses during 2 to 4 months storage at tropical temperatures (27 32 C). Sodium hypochlorite wash or increased ventilation did not reduce the incidence of soft rot. Storage at 10–15 C markedly reduces soft rot but accelerates sprouting. Gamma irradiation at 10 krad completely suppresses sprouting regardless of storage temperature. Storage of irradiated potatoes under tropical temperatures is not feasible due to bacterial spoilage. However irradiated tubers can be stored with reduced losses (7 to 30%) for 5–6 months at 10–15 C. Irradiation also eliminates the egg and early larval stages of the tuber moth,Phthorimaea operculella (Zeller), a serious pest of stored potatoes in tropics. Irradiation followed by storage at 10 C thus offer an alternate method for potato storage in tropics.
Zusammenfassung Eine Reihe von Versuchen mit zehn indischen, im Handel bedeutsamen Kartoffelsorten wurde von 1971 bis 1975 durchgeführt, um die Verluste nach der Ernte zu bestimmen, die auf verschiedene Faktoren w?hrend der Lagerung von gammabestrahlten und unbestrahlten Knollen unter tropischen (28–32 C) und kühlen (4, 10 und 15 C) Bedingungen zurückzuführen sind. Einzelheiten über die Muster im Versuch 1975 sind in Tabelle 1 angegeben. Die Knollen wurden in einem60Co-Bestrahlungsger?t bestrahlt und in weitmaschigen Jutes?cken eingelagert. Die Ergebnisse sind in den Tabellen 2 bis 9 und den Abb. 1–3 dargestellt. Bei tropischen Umgebungstemperaturen wurde die Bakterien-Nassf?ule, verursacht durchErwinia carotovora var.atroseptica, als der Hauptfaktor befunden, der bei eingelagerten Produkten im Verlauf von 3 bis 4 Monaten Verluste von 50 bis 70% brachte. Das Waschen der Knollen in Natriumhypochlorit-L?sung (200 mg verfügbares Chlor pro Liter) oder Verbesserung der Lüftung durch Lagerung in Harassen verminderte das Vorkommen von Nassf?ule unter diesen Bedingungen nicht (Tabelle 5). Die mengenm?ssigen Verluste infolge Auskeimens. Ausschwitzens und Veratmung w?hrend der viermonatigen Lagerung bei Umgebungstemperaturen schwankten von 8 bis 13%. Obwohl die Gammabestrahlung bei 10 krad das Auskeimen bei allen Sorten vollst?ndig unterdrückte, ist die Lagerung von bestrahlten Knollen bei tropischen Umgebungstem-peraturen wegen der hohen bakteriellen Verderbnis nicht m?glich. Nassf?ule kann durch Lagerung der Knollen bei 10 oder 15 C bedeutend verringert werden; bei diesen Temperaturen wird jedoch das Auskeimen beschleunigt, die Knollen werden nach 3 Monaten Lagerung schrumpfig und unbrauchbar. Allein das Gewicht der abgenommenen Keime verursacht einen Verlust von 8 bzw. 16% des Anfangsgewichts der Knollen nach 3 bzw. 6 Monaten Lagerung (Tabelle 6). Eine Kombination von Bestrahlung, gefolgt von Lagerung besonders bei 10 C, scheint eine Alternative zu bieten, und die Lagerverluste auf ein Mindestmass herabzusetzen, obwohl die Verluste im allgemeinen gr?sser als die unter der konventionellen Kühllagerung bei 2–4 C beobachteten sind. Je nach Sorte und Jahreszeit schwankten die gesamten mengenm?ssigen Verluste bei bestrahlten Knollen w?hrend sechsmonatiger Lagerung bei 10 oder 15 C zwischen 7 und 30% gegenüber 5 bis 18% bei unbestrahlten Knollen und 2–4 C Lagertemperatur. Verwendung von Sorten mit besseren Lagerungseigenschaften und Auswahl gut verkorkter und gesunder Knollen für die Bestrahlung kann die Lagerverluste bei 10 bis 15 C weiter verringern. Bestrahlung bei 10 krad eliminierte auch die Eier und frühen Larvenstadien der KartoffelmottePhthorimaea operculella Zel., die eine der zerst?rerischten Sch?dlinge bei eingelagerten Kartoffeln in den Tropen ist (Abb. 1).

Résumé Une série d'essais portant sur dix variétés commer-cialement importantes, cultivées en Inde, a été réalisée de 1971 à 1975, pour évaluer, après la récolte, les pertes provoquées par différents facteurs pendant la conservation de tubercules irradiés et non irradiés et placés dans une ambiance tropicale (28–32 C) ou réfrigèrée (4, 10 et 15 C). Le détail des échantillons étudiés en 1975 est donné dans le tableau 1. Les tubercules ont été traités au Cobalt 60 et stockés dans des sacs de jute à grandes mailles. Les résultats sont présentés aux tableau 2 à 9 et figures 1–3. Dans une ambiance tropicale, la pourriture bacté-rienne provoquee parErwinia carotovora var.atroseptica est principalement responsable de 50 à 70% des pertes au cours de 3 à 4 moins de stockage. Le lavage des tubercules dans une solution d'hypochlorite de sodium (200 mg litre de chlore libre) ou l'amélioration de la ventilation en conservant dans des caisses de bois à claire-voie ne réduit pas l'importance de la pourriture sous ces conditions (tableau 5). Les pertes de poids provoquées par la germination, la transpiration et la respiration pendant 4 mois de conservation à température ambiante se situent entre 8 et 13%. Bien que l'irradiation gamma à 10 krad supprime totalement la germination de toutes les variétés, la conservation des tubercules irradiés dans une ambiance tropicale est irréalisable en raison des pertes élevées d'origine bactérienne. La pourriture humide peut être fortement réduite par une conservation à 10 ou 15 C. Cependant, à ces températures, la germination est accélérée, les tubercules se rident et sont inutilisables après 3 mois de stockage, les pertes de poids dues à la germination représentant 8 à 16% après respectivement 3 et 6 mois de conservation (tableau 6). La combinaison de l'irradiation et d'un stockage à 10 C permet de minimiser les pertes bien qu'en général, elles soient plus élevées que celles observées à 2–4 C. Suivant la variété, la saison, les tubercules irradiés perdent en 6 mois de conservation, à 10 ou 15 C, 7 à 30% de leur poids contre 5 à 18% pour les tubercules non irradiés stockés à 2·4 C. L'utilisation, pour l'irradiation, de variétés de bonne conservation choisies parmi celles dont les tubercules se cicatrisent bien, permet à 10 15 C, de réduire les pertes. L'irradiation à 10 krad élimine également les ocufs et les larves précoces de teignePhthorimaea operculella (Zeller) qui est un des insectes qui provoque le plus de dégats dans les stockages de pommes de terre sous les tropiques.
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20.
Summary The results of 91 analyses of the free amino acids of potato tubers, comprising a total of 31 varieties grown in England and Ireland between the years 1968–1973, are reported. Whilst a discriminant-analysis test on part of these results strongly indicated quantitative differences of amino acids between varieties, there was also evidence of differences due to location and year of growth.
Zusammenfassung Die freien Aminos?uren von 91 Proben von Kartoffelknollen, die insgesamt 31 Sorten vertreten, wurden mit 70% w?ssrigem ?thanol extrahiert (ausgenommen die 4 Proben des Jahres 1973) und durch Ionenaustauschchromatographie bestimmt. Der hohe Gehalt an Asparagin und Glutamin in diesen Extrakten verursachte grosse Schwierigkeiten und die Ergebnisse für diese Amide sollten mit Vorsicht betrachtet werden. Die Ergebnisse sind bezogen auf die Sorte (Tabelle 1), die Standorte (Tabelle 2), das Jahr (Tabelle 3) und auf die Zeit der Lagerung (Tabelle 4). Eine bis ins Einzelne gehende statistische Analyse der gesamten Ergebnisse wurde nicht durchgeführt, aber die Aminos?ureanalysen der 4 Sorten (gewachsen 1968) wurden der Diskriminanzanalyse unterworfen. Sie deuten auf sortenabh?ngige Unterschiedein der Zusammensetzung der Aminos?uren hin. Tabelle 2 vergleicht die Durchschnittsergebnisse der in England und Irland gepflanzten selben Sorten. Einige Aminos?uren scheinen durch den Standort st?rker beeinflusst zu sein und von diesen k?nen die Ver?nderungen bei Prolin und Tyrosin durch bekannte klimatische Einflüsse erkl?rt werden. Die j?hrlichen Durchschnittsergebnisse (Tabelle 3) zeigten, dass Ver?nderungen im Gehalt an Aminos?uren auftraten, aber dass das Gesamtbild der Aminos?urezusammensetzung im allgemeinen stabil blieb. Die Zusammensetzung der Aminos?uren in den Kartoffeln wurde durch eine kurze Lagerungsperiode nicht stark beeinflusst (Tabelle 4), obwohl Arginin eine best?ndige Zunahme zeigte. Das mag eher auf einer ?nderung der Bindung oder Anlagerung beruhen als auf einer Synthese von Arginin.

Résumé Les acides aminés libres de 91 échantillons de pommes de terre comprenant au total 31 variétés ont été extraits par de l'alcool à 70% (excepté pour les quatre échanitillons provenant des cultures de l'année 1973) et déterminés par chromatographie sur colonne. Les grandes quantités d'asparagine et de glutamine présentes dans les extraints sont la cause de difficultés considérables et les résultats obtenus avec ces amides seront à considérer avec prudence. Les résultats sont donnés par variétés (tableau 1), par lieu de culture (tableau 2), par année (tableau 3), et par durée de conservation (tableau 4). L'analyse statistique détaillée de l'ensemble de ces résultats n'a pas été effectuée mais les quatre variétés cultivées en 1968 ont été classées par une analyse discriminante indiquant l'interdépendance des variétés sur la base de leur composition en acides aminés. Le tableau 2 permet de comparer la moyenne des résultats obtenus pour une même variété cultivée en Angleterre et en Irlande. Un petit nombre d'acides aminés appara?t être grandement influencé par le lieu de culture et la variation des teneurs en proline et en tyrosine pourrait s'expliquer par l'effet bien connu des conditions climatiques. Les résultats moyens annuels (tableau 3) indiquent qu'il y a des variations dans les teneurs en acides aminés mais que globalement leur proportion oar rapport à l'ensemble est généralement stable. Les tests de conservation (tableau 4) indiquent que la composition en acides aminés des pommes de terre n'est pas fortement affectée par le stockage pendant une courte période bien que la teneur en arginine montre une augmentation importante. Ceci pourrait être attribué à une modification de son mode de fixation ou à sa localisation plut?t qu'à sa formation dans less tubercules.
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