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1.
L. LANIER 《EPPO Bulletin》1986,16(2):255-263
Les eucalyptus constituent—au moins au meme titre que les genres Pinus et Populus—l'un des genres d'arbres forestiers les plus importants à l'échelle mondiale, et en particulier par l'extension considérable des reboisements (plus de 4 millions d'ha) en régions tropicales, sahéliennes et tempérées chaudes. L'article tente de faire le point sur les problèmes posés par les maladies pouvant gener cet effort de reboisement, notamment en région méditerranéenne, et souligne l'importance et l'avenir des eucalyptus dans cette région. Il est procédéà un inventaire général, à l'échelle mondiale, des maladies des eucalyptus et de l'importance des parasites en cause. Un certain nombre d'entre eux sont étudiés plus en détail, selon qu'ils sont présents dans le pays d'origine des eucalyptus ou dans les zones où ils ont été introduits. Une section est réservée à la région méditerranéenne, où certaines maladies s'en prenant aux racines, aux rameaux, aux feuilles ou au bois ont été identifiées; pour l'instant, la plupart d'entre elles ne sont pas trop graves. Enfin, des propositions et des règles de protection phytosanitaire, visant à restreindre les risques d'introduction des parasites les plus dangereux ou d'extension de ceux existant actuellement, sont citées, en insistant sur les risques de transport de maladies d'une région à une autre par l'intermédiaire des échanges de matériel végétal autres que les graines.  相似文献   

2.
D. CADAHIA 《EPPO Bulletin》1986,16(2):265-283
Ce travail résume la situation phytosanitaire du genre Eucalyptus en se référant aux insectes ravageurs qui mettent en danger les plantations artificielles dans le monde et plus particulièrement dans le bassin Méditerranéen. Parmi les 54 espèces citées, 10 ont dépassé les frontières de leur aire d'origine et, parmi ces derniers, 6 se trouvent sur d'autres continents et 3 dans la région méditerranéenne. Il est fait état aussi des mesures phytosanitaires touchant à la quarantaine, mises en place pour l'Eucalyptusà l'initiative de l'OEPP. Les ravages causés par les insectes polyphages dans la région méditerranéenne sont récapitulés. Les 3 insectes mentionnés sont spécifiquement inféodés au genre Eucalyptus et causent des dégats en région méditerranéenne. La présente étude s'y attache en précisant leur extension et les moyens de lutte susceptibles d'etre mis en oeuvre. En ce qui concerne Ctenarytaina eucalypti quia atteint nos régions durant les années soixante, on assiste à son extension, mais l'action des syrphides prédateurs parvient à en contenir les populations. Quant àGonipterus scutellatus apparu en région méditerranéenne vers 1975, il n'a pas connu l'extension à laquelle on pouvait s'attendre en tenant compte de son potentiel de dispersion élevé. L'espèce demeure peu préoccupante, mais doit faire l'objet d'attention surtout sur les eucalyptus ornementaux où les dégats peuvent etre sensibles. Elle se rencontre sur la Riviera italienne et dans le Midi de la France où ses populations sont controlées par le parasite oophage Patasson nitens. Au cours des dernières années, le ravageur le plus redoutable est certainement Phoracantha semipunctata qui s'est répandu dans la partie occidentale du bassin Méditerranéen. En ce moment, seules la France, la Yougoslavie et la Grèce sont demeurées indemnes. Cette diffusion rapide est à mettre en rapport avec l'état d'extreme déficience des arbres, essentiellement du à la sécheresse et à la pauvreté des sols. La stratégie de lutte menée en Italie s'est révéléc efficace; elle consiste à intervenir dès le début de l'attaque des peuplements en pratiquant des coupes et en utilisant rapidement le bois affecté. De cette facon, l'importance des populations s'est vue considérablement réduite. D'une facon générale, les racines ont donné des repousses vigoureuses sauf dans les cas où les coupes ont été faites tardivement. L'expérience espagnole de lutte par des arbres-pièges sur de vastes étendues est également très intéressante. Par ce moyen il a été possible d'observer une réduction moyenne des populations de 75% avec une rentabilité de 246–611%.  相似文献   

3.
D. PAYEN 《EPPO Bulletin》1983,13(2):277-281
Un facteur limitant de la contamination du tournesol par Sclerotinia sclerotiorum a été mis en évidence. Ce facteur concerne la présence d'eau libre à la surface du capitule durant 40 heures consécutives; il est sous l'étroite dépendance des conditions climatiques. Un modèle opérationnel a été mis au point pour déterminer, en fonction des paramètres météorologiques standards, la durée d'humectation des capitules de tournesol. Les résultats du modèle ont été confrontés à des observations et ont montré son aptitude à mettre en évidence les longues durées d'humectation. Une simulation a ensuite été effectuée sur une période de 30 années dans plusieurs régions de culture du tournesol, afin de délimiter les zones où le climat est favorable aux épidémies de Sclerotinia sclerotiorum et de déterminer ainsi la potentialité climatique de la maladie en France.  相似文献   

4.
Au Maroc, la mineuse de la tomate Tuta absoluta (Lepidoptera: Gelechiidae) a été signalée pour la première fois en avril 2008 dans la région de Nador, puis s'est propagée rapidement dans toutes les régions de production de tomates. Depuis sa signalisation, des efforts ont été déployés par la profession et les départements techniques du Ministère de l'Agriculture de la Pêche Maritime (MAPM) pour faire face à ce fléau. Le plan d'action 2008–09 se basait sur la surveillance, les approches techniques de lutte dans le cadre d'un programme de protection intégrée, la sensibilisation et l'encadrement des agriculteurs et la production de supports d'information et de vulgarisation. Pour inciter les agriculteurs à adopter une approche de lutte intégrée contre ce ravageur, des subventions ont été mises en place par le MAPM, pour l'acquisition du filet insect proof et de capsules de phéromone à utiliser pour le piégeage de masse. L’ONSSA a également autorisé de nouvelles spécialités phytosanitaires pour lutter contre T. absoluta en cultures de tomate et de pomme de terre. Cette stratégie a fait l'objet d'une évaluation qui a permis de définir un plan d'action pour 2010–11. Ce plan d'action suit les mêmes axes que la campagne précédente tout en mettant l'accent sur la surveillance du ravageur en cultures de tomates de plein champ, le renforcement du programme de sensibilisation et d'encadrement des agriculteurs et le lancement d'un programme de suivi des résidus de produits phytosanitaires dans les tomates. En 2010–11, les attaques de la mineuse de la tomate ont toujours été maitrisées.  相似文献   

5.
J. P. MOREAU 《EPPO Bulletin》1980,10(4):469-474
La persistence de populations de doryphores à des niveaux élevés dans certaines régions de France (et en Europe du Nord au-delà du 45e degré de latitude) a deux causes possibles: la culture de variétés précoces et tardives situées les unes à cǒté des autres, principalement en petites parcelles, et la synchronisation entre les stades de développement de l'insecte et de la plante. La résistance de la pomme de terre à cet insecte a étéétudiée depuis longtemps. Des croisements entre des espèces sauvages de solanacées et Solarium tuberosum ont constitué l'essentiel des directions suivies. De grandes difficultés ont été rencontrées, surtout dans l'obtention d'hybrides à partir des graines, à cause de la variabilityé géographique des réponses de l'insecte et des relations inverses entre la productivityé et les niveaux de glycoalcaloïdes dans les tubercules. A l'heure actuelle, la recherche est surtout axée sur le choix de variétés de S. tuberosum, en fonction de facteurs écologiques et culturaux, et de la physiologie de la plante. Dans le présent travail, sept variétés ont été plantées dans les conditions de plein champ. La ponte des femelles de doryphore, le nombre de larves obtenues, la consommation du feuillage et le rendement de la culture ont été considérés. Un variété (Résy), qui est peu sensible au mildiou, s'est montrée défavorable à la fois aux adultes et aux larves pendant trois années consécutives. Ainsi l'emploi judicieux d'une ou de plusieurs variétés peut affecter la dynamique des populations de ce ravageur. L'utilisation raisonnée des variétés peut ětre utilisée dans des programmes de protection intégrée contre les ennemis de la pomme de terre.  相似文献   

6.
Le nématode des pins (Bursaphelenchus xylophilus), très certainement originaire d'Amérique du Nord et introduit au Japon où il dévaste les forêts, a été signalé en 1979 sur Pinus pinaster dans le sud-ouest de la France, en association avec des taches de dépérissement à propagation lente. Il s'agit en fait d'une souche morphologiquement proche de B. mucronatus, espèce non virulente décrite au Japon en 1979. Elle s'en distingue cependant par différents caractères biologiques, dont un pouvoir pathogène plus élevé vis-à-vis des jeunes pins et la possibilité de donner des croisements fertiles avec B. xylophilus. Elle pourrait jouer un rôle de sensibilisation à d'autres agents pathogènes. On doit done considérer que B. xylophilus n'est pas, comme on aurait pu l'espérer, endémique et peu virulent en France. Les risques d'introduction et d'extension du nématode des pins en Europe demeurent, par conséquent, entiers et redoutables. Les bois de conifères massifs, dans lesquels peuvent survivre les larves des insectes vecteurs, sont les voies d'introduction les plus à craindre et il existe, parmi les espèces européennes de xylophages, des insectes potentiellement capables de prendre le relais et de répandre la maladie qui est plus à redouter dans les régions àétés chauds. Une surveillance attentive, avec analyse nématologique de tout foyer nouveau de dépérissement des coniféres, et une calcination immédiate de tout arbre atteint sont des nécessités absolues pour enrayer une éventuelle extension.  相似文献   

7.
M. PASCAL 《EPPO Bulletin》1988,18(3):381-392
A l'issue de deux phases de forte densité des populations d'Arvicola terrestris scherman en France, un groupe de travail inter-organismes ACTA-INRA-SPV a été constitué pour entreprendre un programme de recherche sur ce rongeur, dans le but d'en contrôler les populations. C'est à l'INRA que revient le rôle de coordonner les travaux et notamment d'assurer les études sur la biologie de l'espéce. L'ACTA a mené des études en captivité, ainsi qu'une expérimentation de plein champ en Haute-Savoie. Enfin, le SPV a pris la responsabilité de l'évaluation au champ des rodenticides et du développement d'un systéme de prévision en Franche-Comté et en Auvergne-Limousin. L'article résume les 8 années de travaux et souligne les questions restées en suspens. II cherche à situer le problème d'A. terrestris dans la problématique plus vaste de l'étude des rongeurs ravageurs de cultures en France et débouche sur l'analyse des choix des thématiques scientifiques qu'il convient de développer dans le contexte agricole moderne.  相似文献   

8.
Il a été démonstré que les Fusarium spp., et en particulier les F. oxysporum, jouent un role dominant dans les mécanismes de résistance aux fusarioses vasculaires de certains sols. Vu l'activité très differente des souches isolées de ces sols et la nécessité d'appliquer des méthodes de lutte biologique efficaces contre les fusarioses vasculaires, il importe de choisir les souches les plus actives. La méthode décrite utilise, comme modèle d'étude, le couple lin-F. oxysporum f. sp. lini et repose sur l'évaluation de l'antagonisme exprimé par des souches de Fusarium non pathogènes introduites et incubées à 25°C pendant 20 j dans un sol préalablement traitéà la chaleur (100°C, 60 min). Elle a permis de travailler sur un nombre élevé de plantes et avec des quantités de terre très limitées et d'obtenir rapidement les resultats. Elle s'est révélée très sensible et a permis de sélectionner les souches, soit sur leur aptitude à coloniser le sol, soit sur leur aptitude à coloniser les racines de la plante et à y induire d'éventuels phénomènes post-infectieux de défense.  相似文献   

9.
G. IPERTI  J. BRUN  C. SAMIE 《EPPO Bulletin》1983,13(2):235-240
La température, l'humidité relative, la force et la direction du vent, l'intensité lumineuse ne représentent pas les seuls facteurs météorologiques qui influent sur le comportement migratoire d'une espèce de coccinelle aphidiphage, Semladalia undecimnotata. Aussi, la mise en place d'un dispositif appropriéà la mesure des composantes du climat a permis de prendre en considération le degré de turbulence de l'air représenté par l'indice de Richardson. Lors de l'interprétation des résultais obtenus, l'utilisation de la régression factorielle a rendu possible la mise au point d'un modèle prédictif du comportement d'envol des coccinelles où cette nouvelle donnée joue un rôle très important De plus, l'analyse de correspondance effectuée avec les différents paramètres temporels, physiologiques et climatologiques retenus a permis de mettre en évidence les conditions météorologiques nécessaires à l'obtention d'indices de Richardson suffisamment élevés pour faciliter surtout l'envol de la fraction la plus intéressante d'une population de coccinelles, celle des femelles.  相似文献   

10.
E. BRUNEL  M. LAHMAR 《EPPO Bulletin》1983,13(2):201-207
Dans les conditions de l'ouest de la France, la mouche de la carotte, Psila rosae, et la mouche du chou, Delia brassicae, ont une biologie très voisine par le nombre de générations, la faculté des adultes à pondre peu après leur éclosion et leur capacitéà résister au froid hivernal qui se traduit par un arrêt de développement du type diapause. Les pupes de P. rosae, formées d'octobre à janvier, et de D. brassicae, formées d'octobre au début de novembre, peuvent servir d'éléments pour définir le début des éclosions printanières, à condition de les soumettre à un, deux ou trois chocs thermiques de 2–4 ou 6 jours à 15 ou 20°C. Ces chocs ont été appliqués à partir de la fin janvier, après rupture de la diapause, c'est-à-dire au moment où la pupe poursuit son évolution en relation avec les sommes de températures. Pour P. rosae, la longueur du choc thermique n'a pas eu d'incidence, mais le développement de l'insecte a été réduit en fonction du nombre de chocs. En çe qui concerne D. brassicae, la situation était plus complexe: à 15°C, un choc thermique n'avait pas d'effet, mais les chocs subséquents ont accéléré le développement; à 20°C, un ou plusieurs chocs de 2 ou 4 jours demeurèrent sans grande conséquence, alors qu'un choc de 6 jours a sensiblement accéléré l'évolution. La répétition des chocs est restée sans conséquence sur les résultats. Les sorties des adultes se sont trouvées avancées de 20 jours pour P. rosae et de 40 jours pour D. brassicae. Le modèle d'éclosion de ces deux espèces n'a pas été affecté.  相似文献   

11.
M. HABERT 《EPPO Bulletin》1988,18(3):423-427
Depuis l'automne 1983, le groupe de travail français pluriorganismes (ACTA-INRA-SPV) consacréà l'étude d'Arvicola terrestris scherman a créé et mis en place un réseau d'observations par piégeage exhaustif sur une centaine de communes dans plusieurs régions (Auvergne, Limousin, Franche-Comté, Alsace, Lorraine, Rhône-Alpes). Les piégeurs reçoivent une formation succinte ainsi que des instructions leur permettant de réaliser trois piégeages dans l'année (printemps-été-automne) à l'aide de pièges pinces sur une bande de 100 ± 5 m (méthode Pascal-Meylan). Les fiches de piégeages et le matériel biologique sont collectés et contrôlés par le Service de la Protection des Végétaux. Les autopsies de la totalité des animaux capturés sont assurées par l'INRA ou le SPV. Les résultats sont centralisés au Laboratoire de la Faune Sauvage de l'INRA à Jouy-en-Josas, sous la forme de deux fichiers informatiques. L'analyse globale des premiers résultats des réseaux d'alerte a mis en évidence toute la complexité du phénomène de pullulation chez le campagnol terrestre. Contrairement à l'idée généralement répandue, le phénomène ne présente pas la synchronisation parfaite qu'on lui prête et ceci à diverses échelles: France, région, département, commune. En octobre 1985, en Franche-Comté, nous avons pu délimiter avec précision une zone de 15 communes qui présentait tous les signes précurseurs d'une poussée démographique avec des populations variant de 200 à 370 campagnols à l'hectare. En 1986, plus d'une centaine de communes étaient touchées, regroupées en une zone relativement homogène centrée sur la zone pionnière, avec des densités variant de 200 à 500 campagnols à l'hectare. L'analyse de l'évolution locale des cinétiques de population va nous permettre à terme de diagnostiquer les diverses phases du cycle (croissance, déclin) et en conséquence le déclenchement des alertes agricoles.  相似文献   

12.
13.
La lutte contre Prays oleaeà l'aide de l'entomopathogène Bacillus thuringiensis s'est révélée particulièrement intéressante. Les résultats d'essais de valeur pratique en 1981–83 ont confirmé la forte mortalité de la génération anthophage et la réduction de l'infestation des fruits en juin. Par ailleurs, les substances inhibitrices de la croissance (triflumuron et diflubenzuron) semblent prometteuses contre P. oleae. Après application contre la génération anthophage, les deux produits réduisent fortement le nombre de papillons émergeant des fruits. De plus, le triflumuron appliqué sur fruits bloque la pénétration de ceux-ci par les larves. Le piégeage en masse de Dacus oleae, notamment à l'aide de phéromones, ouvre de nouvelles et intéressantes perspectives. Enfin, l'utilisation d'antibiotiques permet de tuer la bactérie symbiotique de D. oleae. L'utilisation de ces armes non toxiques est à envisager dans les programmes de lutte dirigée ou intégrée en oléiculture.  相似文献   

14.
Dans une expérience de plein champ, où tous les facteurs déographiques et génétiques de concurrence étaient déterminés, des densités différentes d'une variété d'avoine de printemps (espèce considérée comme une graminée adventice) ont étéétablies dans une culture de blé de printemps. Sur la moitié des parcelles du dispositif expérimental, l'avoine a été détruite par une application de diclofopméthyl au stade 3 talles du blé. Les mauvaises herbes dicotylédones ont été désherbées soit à la même date que celle du traitement au diclofopméthyl (traitement précoce), soit deux semaines plus tard (traitement tardif). Les poids secs de la plants cultivée el des adventices ont été mesurés plusieurs fois au cours du cycle de la culture sur des échantillons. Toutes les densités de l'avoine de printemps ont réduit le rendement et certaines composantes du rendement du blé en fonction du traitement herbicide: les rendements du blé ont été moins diminués sur les parcelles traitées que sur les parcelles témoins, les mauvaises herbes dicotylédones ont été mieux détruites par le traitement précoce que par le traitement tardif au 2,4-D. D'après les résultats oblenus, l'existence d'interactions herbicides est susceptible de modifier les effets de compétition adventice.  相似文献   

15.
Le LM 2219 (nom commun proposé diféthialone), nouveau rodenticide antivitaminique K, fait preuve d'une excellente activité contre les rongeurs commensaux. Nous l'avons expérimenté contre les rongeurs des champs. En l'absence de données complètes d'écotoxicité et compte tenu des premiers résultats qui indiquent une toxicité non négligeable pour certaines espéces sauvages non cibles, il est proposé de restreindre son utilisation aux cas oú les appâts sont déposés sous le sol ou dans les terriers, c'est-à-dire à la lutte contre Arvicola terrestris et Pitymys duodecimcostatus. Pour ces deux espèces, la présentation d'un appât titréà 25 mg kg-1 pendant 24 h dans des essais de laboratoire avec ou sans choix de nourriture a entraîné une mortalité d'aumoins 90%. A. terrestrisétait un peu moins sensible que P. duodecimcostatus, les délais moyens de mortalitéétant augmentés de 5,9 j à 10,3 j. Dans des essais en nature (prairies permanentes du Jura et d'Auvergne), au printemps et en automne 1986, le LM 2219 a montré une efficacitéégale sinon supérieure à la bromadiolone, au 1/4 de la dose dans l'appât, même dans le cas d'une forte infestation d'A. terrestris. Pour P. duodecimcostatus un premier essai, réalisé dans de mauvaises conditions climatiques a montré une excellente activité pour le LM 2219 en comparaison avec la bromadiolone.  相似文献   

16.
Onze souches de Plasmopara viticola ont étè prélevées en diverses régions de France (Charentes, Beaujolais, Touraine) sur des parcelles ou les traitements avec des fongicides de la famille des anilides avaient manqué d'efficacité. Elles ont été mises en culture sur vignes en serre. Dix d'entre elles ont manifesté une forte résistance aux anilides; par contre, toutes se sont montrées sensibles à une application de phoséthyl-Al. Le phoséthly-Al conserve done son activité sur les souches de mildiou de la vigne devenues résistantes aux anilides.  相似文献   

17.
En dehors des mesures classiques de prophylaxie applicables à toute denrée stockée, la lutte chimique par fumigation à pression atmosphérique ou sous bâche constitue aux Etats-Unis une technique courante pour la désinsectisation des pruneaux stockés. L'expérimentation dont il est fait état ici se réfère à l'étude de l'efficacité du bromure de méthyle et du phosphure d'hydrogène sur les principales espèces d'insectes et d'acariens des pruneaux. Elle a été entreprise par le laboratoire de l'INRA, à Bordeaux, et concerne la fumigation expérimentale en chambre à pression atmosphérique, et des essais entrepris sous bâche, réalisés dans les conditions de la pratique. Les normes de traitement sont calculées par référence au produit de la concentration du fumigant en mg/1 et du temps d'exposition en heures (CT). Afin d'écarter les risques inhérents aux résidus, les concentrations de fumigants ont été réduites au minimum, tout en prolongeant dans la mesure du possible le temps d'exposition.
  • 1 ) Fumigations expérimentales Pour le bromure de méthyle, un CT de 144 mgh/l donne une efficacité totale sur les principales espèces suivantes: Carpophilus ligneus Murr., Plodia interpunctella Hbn., Nemapogon granella L. et l'acarien Carpoglyphus lactis L. Ce CT, qui représente le cinquième de la norme préconisée par la FAO (768 mgh/l) a été réalisé par une exposition au gaz de 18 h (8 mg/l × 18 h). En ce qui concerne le phosphure d'hydrogène, le CT de 36 mgh/l (FAO: 180 mgh/l) assure une efficacité totale contre les principales espèces d'insectes. Une exposition de 72 h à la concentration de 0,5 mg/l s'est révélée satisfaisante. Contre les acariens, l'efficacité totale requiert un CT de 324 mgh/l (4,5 mg/l pendant 72 h). Cette dose est le double de celle recommendée par la FAO.
  • 2 ) Essais pratiques Le bromure de méthyle émis sous bâche en plastique assure la mortalité de toutes les espèces d'insectes et d'acariens testés en 24 h, le CT étant de 384 mgh/l (16 mg/l × 24h).
  • 3 ) Résidus Les analyses révèlent que pour les CT avec une longue exposition, les résidus sont demeurés, tant pour le bromure de méthyle que pour le phosphure d'hydrogène, inférieurs aux limites admises (CH3 Br: 6 ppm; et PH3: 0,003 ppm).
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18.
Dans le cadre d'un programme de lutte intégrée, deux essais de lutte contre la 3e génération de Prays oleae (en petite parcelle et à grande échelle) avaient pour but d'étudier les possibilités de remplacement des insecticides habituellement utilisés par d'autres produits spécifiques et peu toxiques. Bacillus thuringiensis avail entraine un taux de mortalité larvaire proche de 50% alors que l'effet du diflubenzuron n'était pas net comparativement au témoin. La deltaméthrine s'est révélée efficace pratiquement à 100%. Toutefois, le controle des chrysalides dans les bandes-pièges en carton ondulé avait montre une certaine efficacité des deux produits testés qui s'est traduite par une réduction des populations émergeantes de l'ordre de 74 à 79% par rapport au témoin. Il faut préciser que B. thuringiensis n'agit que sur les stades larvaires, alors que le diflubenzuron a une action lente qui se poursuit jusqu'au stade nymphose (mortalité des chrysalides pouvant atteindre 40%). L'action des deux produits s'est poursuivie jusqu'à la génération suivante, mais sculement dans les grandes parcelles. L'effet de la deltaméthrine est plus fortement ressenti à la génération suivante. Les deux produits, et notamment B. thuringiensis, ont présenté l'avantage de préserver la faune auxiliaire en comparaison avec la deltaméthrine qui l'a detruite totalement.  相似文献   

19.
A. VIGOUROUX 《EPPO Bulletin》1986,16(3):527-532
Plus que d'autres espèces, le platane a vu récemment s'élargir l'éventail de ses parasites au point de devenir menacé. Depuis longtemps existaient partout en France plusieurs types d'affections: le champignon Gnomonia veneta qui défeuillait sévèrement les arbres lors des printemps frais et certains champignons lignivores. Mais se sont ajoutés depuis quelques années deux parasites foliaires notables, le champignon Microsphaera platani (oïdium) et l'insecte piqueur Corythuca ciliata. Enfin et surtout, se développe actuellement dans l'extrême sud-est du pays le redoutable parasite Ceratocystis fimbriata f.sp. platani, agent de la maladie du chancre coloré. Introduite à Marseille à la fin de la Seconde Guerre mondiale, la maladie est restée longtemps relativement localisée, mais connaît depuis quelques années une phase d'extension active. Des trous se créent dans des alignements de plusieurs petites villes de Provence et, ponctuellement, des peuplements importants ont été anéantis. En plus de la transmission par les outils d'élagage ou les chocs divers, on a constaté une transmission directe par contacts racinaires et des possibilités importantes de transport et de contamination par l'intermédiaire des engins de terrassement. D'énergiques mesures prophylactiques prenant en compte ces divers éléments commencent àêtre mises sur pied et des travaux de sélection de clones résistants sont envisagés.  相似文献   

20.
Les essais de lutte chimique contre Aonidiella aurantii (Mask.) sur citronniers en Sicile ont été réalisés à l'aide d'une série de produits organo-phosphoriques en partie mélangés avec des huiles blanches, et compareés à l'efficacité des huiles blanches appliquées seules. II est apparu que les meilleurs résultats sont obtenus contre les larves et les jeunes femelles, alors que pour les femelles matures il n'a pu être enregistré une mortalité suffisante. L'analyse statistique n'a pas révélé de différences significatives entre l'efficacité de l'huile blanche et celle des autres produits testés.  相似文献   

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