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1.
D. CADAHIA 《EPPO Bulletin》1986,16(2):265-283
Ce travail résume la situation phytosanitaire du genre Eucalyptus en se référant aux insectes ravageurs qui mettent en danger les plantations artificielles dans le monde et plus particulièrement dans le bassin Méditerranéen. Parmi les 54 espèces citées, 10 ont dépassé les frontières de leur aire d'origine et, parmi ces derniers, 6 se trouvent sur d'autres continents et 3 dans la région méditerranéenne. Il est fait état aussi des mesures phytosanitaires touchant à la quarantaine, mises en place pour l'Eucalyptusà l'initiative de l'OEPP. Les ravages causés par les insectes polyphages dans la région méditerranéenne sont récapitulés. Les 3 insectes mentionnés sont spécifiquement inféodés au genre Eucalyptus et causent des dégats en région méditerranéenne. La présente étude s'y attache en précisant leur extension et les moyens de lutte susceptibles d'etre mis en oeuvre. En ce qui concerne Ctenarytaina eucalypti quia atteint nos régions durant les années soixante, on assiste à son extension, mais l'action des syrphides prédateurs parvient à en contenir les populations. Quant àGonipterus scutellatus apparu en région méditerranéenne vers 1975, il n'a pas connu l'extension à laquelle on pouvait s'attendre en tenant compte de son potentiel de dispersion élevé. L'espèce demeure peu préoccupante, mais doit faire l'objet d'attention surtout sur les eucalyptus ornementaux où les dégats peuvent etre sensibles. Elle se rencontre sur la Riviera italienne et dans le Midi de la France où ses populations sont controlées par le parasite oophage Patasson nitens. Au cours des dernières années, le ravageur le plus redoutable est certainement Phoracantha semipunctata qui s'est répandu dans la partie occidentale du bassin Méditerranéen. En ce moment, seules la France, la Yougoslavie et la Grèce sont demeurées indemnes. Cette diffusion rapide est à mettre en rapport avec l'état d'extreme déficience des arbres, essentiellement du à la sécheresse et à la pauvreté des sols. La stratégie de lutte menée en Italie s'est révéléc efficace; elle consiste à intervenir dès le début de l'attaque des peuplements en pratiquant des coupes et en utilisant rapidement le bois affecté. De cette facon, l'importance des populations s'est vue considérablement réduite. D'une facon générale, les racines ont donné des repousses vigoureuses sauf dans les cas où les coupes ont été faites tardivement. L'expérience espagnole de lutte par des arbres-pièges sur de vastes étendues est également très intéressante. Par ce moyen il a été possible d'observer une réduction moyenne des populations de 75% avec une rentabilité de 246–611%.  相似文献   

2.
M. HABERT 《EPPO Bulletin》1988,18(3):423-427
Depuis l'automne 1983, le groupe de travail français pluriorganismes (ACTA-INRA-SPV) consacréà l'étude d'Arvicola terrestris scherman a créé et mis en place un réseau d'observations par piégeage exhaustif sur une centaine de communes dans plusieurs régions (Auvergne, Limousin, Franche-Comté, Alsace, Lorraine, Rhône-Alpes). Les piégeurs reçoivent une formation succinte ainsi que des instructions leur permettant de réaliser trois piégeages dans l'année (printemps-été-automne) à l'aide de pièges pinces sur une bande de 100 ± 5 m (méthode Pascal-Meylan). Les fiches de piégeages et le matériel biologique sont collectés et contrôlés par le Service de la Protection des Végétaux. Les autopsies de la totalité des animaux capturés sont assurées par l'INRA ou le SPV. Les résultats sont centralisés au Laboratoire de la Faune Sauvage de l'INRA à Jouy-en-Josas, sous la forme de deux fichiers informatiques. L'analyse globale des premiers résultats des réseaux d'alerte a mis en évidence toute la complexité du phénomène de pullulation chez le campagnol terrestre. Contrairement à l'idée généralement répandue, le phénomène ne présente pas la synchronisation parfaite qu'on lui prête et ceci à diverses échelles: France, région, département, commune. En octobre 1985, en Franche-Comté, nous avons pu délimiter avec précision une zone de 15 communes qui présentait tous les signes précurseurs d'une poussée démographique avec des populations variant de 200 à 370 campagnols à l'hectare. En 1986, plus d'une centaine de communes étaient touchées, regroupées en une zone relativement homogène centrée sur la zone pionnière, avec des densités variant de 200 à 500 campagnols à l'hectare. L'analyse de l'évolution locale des cinétiques de population va nous permettre à terme de diagnostiquer les diverses phases du cycle (croissance, déclin) et en conséquence le déclenchement des alertes agricoles.  相似文献   

3.
La région d'Angers (Maine-et-Loire), zone importante de production de pommes, est particulièrement exposée aux dégâts causés par Venturia inaequalis, agent de la tavelure. L'équipement de stations avec un thermohumectographe KIT-INRA et un pluviomètre a permis une étude préalable à l'établissement d'un réseau d'avertissements. Les données collectées à partir des appareils sont interprétées selon les courbes de Mills (avec une modification liée aux risques élevés en Val de Loire). L'interprétation en 1980 et 1981 a été réalisée localement. L'épidémie particulièrement grave en 1981 a permis de préciser la valeur de la méthode d'interprétation et de déterminer l'hétérogénéité des contaminations à l'échelle du département (120 × 80 km). A partir des données obtenues, il est possible de mieux définir les mailles du réseau et de « régionaliser » les informations en vue d'une extension en 1982, prévoyant une centralisation des données et la diffusion par répondeur téléphonique d'un message d'avertissement. Les résultats attendus portent avant tout sur une amélioration de la qualité de la lutte chimique, sur une réduction du nombre des interventions et sur une meilleure utilisation des possibilités offertes par les applications curatives.  相似文献   

4.
5.
Dans le cadre d'un groupe de travail «Modélisation du Botrytis» l'Institut Technique de la Vigne et du Vin en France a entrepris l'étude des réactions de ce parasite à des conditions d'humectation contrôlées. L'essai est réalisé sur une vigne adulte, sous abri plastique; il couvre 1600 m2 et permet, grâce à un dispositif de brumisan'on, l'étude comparative de 12 régimes d'humectation distincts. Après quatre années successives d'expérimentation, basée sur des protocoles évolutifs, les résultats mènent à des observations intéressantes, mais qu'il est toutefois prudent de ne pas étendre inconsidérément à l'ensemble des cépages ou vignobles. L'effet des humectations successives n'est pas obligatoirement additif, une longue période de sécheresse entre la floraison et la véraison aggravant considérablement les attaques à ce dernier stade. Une même durée d'humectation à la véraison ou 12 jours avant la récolte provoque des dégâts identiques. Les contaminations peuvent s'effectuer simplement en présence d'une humidité relative élevée, sans présence d'eau sous forme liquide; cette HR élevée est capable de créer et surtout d'aggraver fortement les foyers de B. cinerea. Les contaminations artificielles ont eu un effet significatif lors de la floraison. A la véraison l'effet est masqué par l'inoculum naturel. L'étude de la réaction de Botrytis cinereaà différentes durées d'HR élevée reste délicate, un seuil exact restant difficile à estimer vu le niveau de précision des appareils utilisés. En outre, le modèle mis au point par Strizyk a fait preuve d'une précision accrue au fil des expérimentations successives; il semble donc bien adapté au cépage méridional utilisé. La stratégie de traitement a permis de réduire de moitié le nombre d'applications de fongicides dans l'essai, l'expérimentation prouvant toutefois qu'une réduction supplémentaire était possible. Il apparaît donc que cette stratégie, basée sur le modèle Botrytis, est prometteuse mais nécessite encore quelques adaptations afin de la rendre encore plus performante. L'étude des réactions de B. cinereaà certains facteurs climatiques permet done, outre l'amélioration de la lutte contre ce parasite, une meilleure connaissance de ses facteurs d'évolution. Il est possible qu'à l'avenir le facteur humidité relative, alliéà l'hiumectation, procure une fiabilité optimale du modèle, et probablement de la stratégie de lutte en découlant.  相似文献   

6.
Dans une période où l'on parle de plus en plus de lutte raisonnée, il nous a paru utile d' essayer de prévoir les périodes d'évolution de la pourriture grise pour éviter les traitements systematiques décidés a priori sans connaître les conditions climatiques à venir. Nous avons done experimenté, en nous inspirant d' une étude faite á propos de Botrytis cinerea sur fraisier, une méthode utilisant les températures moyennes journalières et une humidité relative supérieure à 90 %. Le but poursuivi dans cette expérimentation est double: a) introduction d' une façon plus compléte des données climatiques, et notamment de l'humidité relative, dans les critzères d'appréciation pour améliorer la technique de lutte qui est actuellement basée sur des interventions à trois stades végétatifs de la vigne, la quatriéme ayant lieu 3 semaines avant la récolte (méthode standard); b) étude de la possibilityé de supprimer les traitements qui se révéleraient inutiles, ce qui est un des objectifs des avertissements agricoles. II serait alors recouru au réseau climatique du Service de la Protection des Végétaux pour fournir, à l' ensemble des viticulteurs d'une région, les indications sur la lutte à entreprendre. Les expérimentations réalisées pendant quatre ans ont donné des résultats intéressants; elles devront étre reprises pour définir les critères à prendre en considération et la façon de les utiliser: températures (diurnes ou nocturnes), humectation des organes de la vigne, humidité. II semble en effet que l' humidité puisse apporter, aussi bien pour cette technique simple que pour la modélisation, des éléments utiles. Les comparaisons faites en 1980, à partir d' une étude sur la modélisation, font apparaître une bonne similitude entre cette stratégie nouvelle et les données fournies (températures moyennes, humidité relative supérieure à 90 %) par un poste météorologique à 2 m, situéà 25 km de la parcelle expérimentale.  相似文献   

7.
L. GARDAN  M. DEVAUX 《EPPO Bulletin》1987,17(2):241-250
Découverte aux Etats-Unis en 1913 par Barss, la bactériose du noisetier est maintenant présente en Italie, Turquie, France, Yougoslavie, Royaume-Uni, URSS, Afrique du Nord et Australie. En France, elle est présente dans les marcottières et dans les vergers. La maladie se manifeste par des annulations de bourgeons, des nécroses de pousses herbacées et de rameaux et par des chancres. Des taches sont aussi observées sur les feuilles, les cupules des fruits et sur la coque (talon noir). La bactérie a une phase épiphylle puisque 104–108 cfu par feuille sont détectées pendant toute la période végétative dans les marcottières et les vergers. Cette phase épiphylle est reproduite par pulvérisation d'une suspension bactérienne. Au microscope électronique à balayage les bactéries ont été localisées. Elles ont aussi été détectées à la surface et dans les bourgeons (10–107 bactéries). Dans les vergers malades le taux de bourgeons contaminés varie de 0 à 90%. Par inoculation des bourgeons par piqûre, les tissus se révèlent sensibles d'octobre à juin. Les méthodes de lutte consistent à produire de jeunes plants sains, à tailler les organes malades et à pulvériser des produits cupriques au printemps et à l'automne.  相似文献   

8.
M. MARTELLI 《EPPO Bulletin》1986,16(2):359-368
L'article passe en revue les ravageurs les plus importants du fraisier, groupés par référence à la partie de la plante attaquée (racines, collet, feuilles, fleurs et fruits). La mise en oeuvre de techniques modernes de production (remplacement des systèmes pérennes par la culture annuelle) a apporté d'important changements dans la composition des ravageurs. Ceci est vrai surtout pour les divers curculionides dont les larves radicicoles rendaient la culture pluri-annuelle difficile. En ce qui concerne la lutte, il est essentiel de pratiquer les traitements chimiques au bon moment, si possible à l'aide de produits sélectifs, d'assurer une bonne pratique culturale (exemple de Tetranychus urticae) et de développer des systèmes intégrés pour lesquels le cultivateur devrait recevoir des instructions précises mais simples. Enfin, mention est faite de l'intéret que présente la disponibilité de matériel de plantation sain.  相似文献   

9.
Les auteurs exposent une partie d'une série d'études préliminaires de plein champ effectuées en 1981 en Alsace, sur Lobesia botrana. Ces observations sur la biologie de l'insecte sont destinées à adapter ultérieurement au vignoble alsacien le modèle de prévision, mis au point dès 1979 par Touzeau pour la région Midi-Pyrénées. Le modèle se réfère à l'apparition des différents stades et des différentes générations de ce ravageur. Chacune des observations effectuées est déterminée par les sous-modèles qui prennent en compte l'évolution de l'espèce au cours d'une saison en fonction de données climatologiques bien définies (sommes de températures plus particulièrement). Seuls sont abordés dans cet exposé les résultats et les observations portant sur la génération printanière.  相似文献   

10.
R. TRAMIER 《EPPO Bulletin》1986,16(2):299-310
L'importance des agents pathogènes d'origine tellurique croit avec la pratique de plus en plus fréquente de la monoculture, principalement dans les régions méditerranéennes où, pour profiter des conditions climatiques exceptionnelles, la culture sous abri se développe considérablement. L'accumulation des parasites rend indispensable les traitements de sol et l'expérience acquise en ce domaine s'étend progressivement aux cultures de plein air. L'article passe rapidement en revue les principales maladies provoquées, en région méditerranéenne, par les champignons et bactéries du sol, ainsi que par certains virus transmis par les champignons du sol. La désinfection du sol par la vapeur, et surtout par l'utilisation de fongicides fumigants (bromure de méthyle et produits è base de métam-sodium principalement), constitue le mode de traitement le plus répandu. Doués d'un large spectre d'efficacité, ces fongicides éliminent ou réduisent la plupart des champignons, souvent sans modifier profondément l'équilibre biologique des sols traités. Grace à l'évolution du matériel d'épandage des fumigants, on entrevoit leur application sur de grandes surfaces. A ces interventions chimiques s'ajoutent également les méthodes de lutte biologique qui découlent des connaissances acquises par l'étude des sols suppressifs. Déjà pour la tomate et l'oeillet, ces applications deviennent imminentes pour lutter contre la fusariose vasculaire. Quel sera l'avenir de la solarisation susceptible de concurrencer les fumigants? Les facteurs économiques prédomineront dans le choix de la méthode. Pour les cultures sous abri, privilégiées dans les pays méditerranéens, l'adoption de cultures hors-sol en substrats constitue l'une des méthodes de lutte les plus efficaces contre les parasites d'origine tellurique et apporte en meme temps une plus-value considérable par rapport aux cultures traditionnelles.  相似文献   

11.
La DE50 de vinchlozoline pour des souches de Botrytis cinerea isolées de 1980 à 1984 varie de 2 μM a plus de 300 μM de vinchlozoline, néanmoins 93% des souches présentent une DE50 comprise entre 2 et 24 μM. En l'absence de fongicide, la capacité saprophytique et pathogéne des souches résistantes est dans l'ensemble égale ou légèrement inferieure à celle des souches sensibles. En présence de vinchlozoline, à des concentrations inhibant les souches sensibles, les souches résistantes colonisent les féves, les paprikas ou les rondelles de concombre; toutefois, les substrats traités sont généralement moins rapidement colonisés que les témoins non traités. Ce retard augmente avec la concentration en fongicide et diminue lorsque le niveau de résistance de la souche croît; les souches à DE50 supérieure á 300 μM de vinchlozoline ne sont plus affectées par le traitement. L'association de la vinchlozoline avec d'autres fongicides présente un effet synergique sur certaines souches. Le mélange vinchlozoline+tolylfluanide réduit la fréquence d'apparition de colonies résistantes in vitro. Les souches + DE50 supérieure à 300 μM sont plus sensibles aux pressions osmotiques élevées quc les souches sensibles.  相似文献   

12.
G. IPERTI  J. BRUN  C. SAMIE 《EPPO Bulletin》1983,13(2):235-240
La température, l'humidité relative, la force et la direction du vent, l'intensité lumineuse ne représentent pas les seuls facteurs météorologiques qui influent sur le comportement migratoire d'une espèce de coccinelle aphidiphage, Semladalia undecimnotata. Aussi, la mise en place d'un dispositif appropriéà la mesure des composantes du climat a permis de prendre en considération le degré de turbulence de l'air représenté par l'indice de Richardson. Lors de l'interprétation des résultais obtenus, l'utilisation de la régression factorielle a rendu possible la mise au point d'un modèle prédictif du comportement d'envol des coccinelles où cette nouvelle donnée joue un rôle très important De plus, l'analyse de correspondance effectuée avec les différents paramètres temporels, physiologiques et climatologiques retenus a permis de mettre en évidence les conditions météorologiques nécessaires à l'obtention d'indices de Richardson suffisamment élevés pour faciliter surtout l'envol de la fraction la plus intéressante d'une population de coccinelles, celle des femelles.  相似文献   

13.
En dehors des mesures classiques de prophylaxie applicables à toute denrée stockée, la lutte chimique par fumigation à pression atmosphérique ou sous bâche constitue aux Etats-Unis une technique courante pour la désinsectisation des pruneaux stockés. L'expérimentation dont il est fait état ici se réfère à l'étude de l'efficacité du bromure de méthyle et du phosphure d'hydrogène sur les principales espèces d'insectes et d'acariens des pruneaux. Elle a été entreprise par le laboratoire de l'INRA, à Bordeaux, et concerne la fumigation expérimentale en chambre à pression atmosphérique, et des essais entrepris sous bâche, réalisés dans les conditions de la pratique. Les normes de traitement sont calculées par référence au produit de la concentration du fumigant en mg/1 et du temps d'exposition en heures (CT). Afin d'écarter les risques inhérents aux résidus, les concentrations de fumigants ont été réduites au minimum, tout en prolongeant dans la mesure du possible le temps d'exposition.
  • 1 ) Fumigations expérimentales Pour le bromure de méthyle, un CT de 144 mgh/l donne une efficacité totale sur les principales espèces suivantes: Carpophilus ligneus Murr., Plodia interpunctella Hbn., Nemapogon granella L. et l'acarien Carpoglyphus lactis L. Ce CT, qui représente le cinquième de la norme préconisée par la FAO (768 mgh/l) a été réalisé par une exposition au gaz de 18 h (8 mg/l × 18 h). En ce qui concerne le phosphure d'hydrogène, le CT de 36 mgh/l (FAO: 180 mgh/l) assure une efficacité totale contre les principales espèces d'insectes. Une exposition de 72 h à la concentration de 0,5 mg/l s'est révélée satisfaisante. Contre les acariens, l'efficacité totale requiert un CT de 324 mgh/l (4,5 mg/l pendant 72 h). Cette dose est le double de celle recommendée par la FAO.
  • 2 ) Essais pratiques Le bromure de méthyle émis sous bâche en plastique assure la mortalité de toutes les espèces d'insectes et d'acariens testés en 24 h, le CT étant de 384 mgh/l (16 mg/l × 24h).
  • 3 ) Résidus Les analyses révèlent que pour les CT avec une longue exposition, les résidus sont demeurés, tant pour le bromure de méthyle que pour le phosphure d'hydrogène, inférieurs aux limites admises (CH3 Br: 6 ppm; et PH3: 0,003 ppm).
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14.
Les pertes de récoltes dues aux nématodes sont importantes et difficiles à réduire, en raison même de la nature des dommages et des relations multiples qui existent entre la plante-hôte et le ravageur. Ainsi, en dehors des dégâts directs, les nématodes peuvent déclencher ou favoriser le développement d'autres maladies, ou agir en tant que vecteur. d'incidence économique est aussi bien quantitative que qualitative. Les semences ou le matériel destinéà la reproduction, qui sont contaminés, devraient être systématiquement détruits ou désinfectés. Le coût des traitements, l'amélioration des pratiques culturales en matière de fumure, irrigation ou assole-ment doivent faire l'objet d'études consciencieuses, de fa?on à assurer une protection économique. Pour mesurer et chiffrer les pertes, on peut utiliser divers critères: essais de pathogénicité en conditions artificielles, traitements de plein champ plus ou moins sélectifs, établissement de formules de corrélation entre les densités de populations révélées par l'analyse du sol et les diminutions de récoltes observées ou escomptées. Les préjudices causés par les nématodes aux diverses cultures européennes sont du même ordre que ceux qui ont été constatés aux Etats-Unis et sétablissent comme suit: 5 % pour les céréales et le maïs, 10 % environ pour la pomme de terre, la betterave et les diverses cultures maraîchères ou ornementales (ce pourcentage est probablement dépassé pour les cultures fruitières). Ces données montrent que l'on sous-estime en général l'importance économique des divers nématodes phytophages, et justifient les mesures préconisées pour en limiter la propagation.  相似文献   

15.
L. LANIER 《EPPO Bulletin》1986,16(2):255-263
Les eucalyptus constituent—au moins au meme titre que les genres Pinus et Populus—l'un des genres d'arbres forestiers les plus importants à l'échelle mondiale, et en particulier par l'extension considérable des reboisements (plus de 4 millions d'ha) en régions tropicales, sahéliennes et tempérées chaudes. L'article tente de faire le point sur les problèmes posés par les maladies pouvant gener cet effort de reboisement, notamment en région méditerranéenne, et souligne l'importance et l'avenir des eucalyptus dans cette région. Il est procédéà un inventaire général, à l'échelle mondiale, des maladies des eucalyptus et de l'importance des parasites en cause. Un certain nombre d'entre eux sont étudiés plus en détail, selon qu'ils sont présents dans le pays d'origine des eucalyptus ou dans les zones où ils ont été introduits. Une section est réservée à la région méditerranéenne, où certaines maladies s'en prenant aux racines, aux rameaux, aux feuilles ou au bois ont été identifiées; pour l'instant, la plupart d'entre elles ne sont pas trop graves. Enfin, des propositions et des règles de protection phytosanitaire, visant à restreindre les risques d'introduction des parasites les plus dangereux ou d'extension de ceux existant actuellement, sont citées, en insistant sur les risques de transport de maladies d'une région à une autre par l'intermédiaire des échanges de matériel végétal autres que les graines.  相似文献   

16.
W. Mueller 《EPPO Bulletin》1974,4(3):347-355
Les méthodes biomété orologiques qui intéressent les biologistes appelé s à développer des systèmes de lutte intégrée se distinguent nettement de la climatologie traditionnelle de l'abri. D'une façon générale, les différences peuvent se résumer comme suit: –les investigations se font essentiellement à l' échelle microclimatique; –les instruments sont très élaborés et particulièrement adaptés au but recherché; –l'établissement du réseau d'observations et les périodes d'études dependent des exigences biologiques; –la durée des périodes d'observation est limitée et la densité du réseau climatologique relativement faible grâce au recours à l'échantillonnage représentatif. L'interprétation des résultats biométéorologiques est en général difficile puisqu'il y a souvent superposition de deux ou d'un nombre plus élevé de facteurs. II est done prudent d'inclure également, dans l'appréciation générale, les données de laboratoire et de s'efforcer de remplacer les données plus ou moins empiriques par des fonctions précises. Cette approche est proposée sous la forme d'une étude quantitative du bilan énergétique et hydrique des ravageurs. On peut ainsi obtenir des résultats de portée étendue, reposant sur des données physiques, d'une part, et des renseignements quantitatifs, d'autre part. Un certain nombre de facteurs simples ou composés tels que le vent et la faculté de refroidissement sont à considérer dans les études biométéorologiques puisqu'ils contribuent à caractériser, et partant, à prévoir le comportement des espèces (par exemple l'activité de vol du carpocapse des pommes). En définissant des « types de temps » favorables à l'activité d'un ravageur, il serait possible de prévoir le comportement de l'espèce en question. Enfin, l' étude conjointe des vues prises par satellites à l'aide de films à infrarouge, thermiquement sensibles, et des observations biométéorologiques faites au sol apportera sur le plan macro- et méso-climatique des éléments eminemment utiles au développement de la lutte intégrée.  相似文献   

17.
Au Maroc, la mineuse de la tomate Tuta absoluta (Lepidoptera: Gelechiidae) a été signalée pour la première fois en avril 2008 dans la région de Nador, puis s'est propagée rapidement dans toutes les régions de production de tomates. Depuis sa signalisation, des efforts ont été déployés par la profession et les départements techniques du Ministère de l'Agriculture de la Pêche Maritime (MAPM) pour faire face à ce fléau. Le plan d'action 2008–09 se basait sur la surveillance, les approches techniques de lutte dans le cadre d'un programme de protection intégrée, la sensibilisation et l'encadrement des agriculteurs et la production de supports d'information et de vulgarisation. Pour inciter les agriculteurs à adopter une approche de lutte intégrée contre ce ravageur, des subventions ont été mises en place par le MAPM, pour l'acquisition du filet insect proof et de capsules de phéromone à utiliser pour le piégeage de masse. L’ONSSA a également autorisé de nouvelles spécialités phytosanitaires pour lutter contre T. absoluta en cultures de tomate et de pomme de terre. Cette stratégie a fait l'objet d'une évaluation qui a permis de définir un plan d'action pour 2010–11. Ce plan d'action suit les mêmes axes que la campagne précédente tout en mettant l'accent sur la surveillance du ravageur en cultures de tomates de plein champ, le renforcement du programme de sensibilisation et d'encadrement des agriculteurs et le lancement d'un programme de suivi des résidus de produits phytosanitaires dans les tomates. En 2010–11, les attaques de la mineuse de la tomate ont toujours été maitrisées.  相似文献   

18.
M. RID 《EPPO Bulletin》1981,11(3):213-224
L'explosion récente du feu bactérien dans les vergers de pomoidées du sud-ouest de la France crée pour ce pays et les contrées productrices de la zone méditerranéenne une situation très vulnerable. Le rôle des facteurs qui ont favorise cette extension est discuté: conditions climatiques (température élevée et fréquence des précipitations), structure variétale des vergers (dominance de cultivars sensibles et très sensibles), étalement des secondes floraisons jusqu'à l'automne, activité intense des insectes et des oiseaux. La nécessité d'une intensification des recherches adaptées aux systèmes de production de l'Europe méridionale est justifyée. Les recherches sont à l'heure actuelle orientées vers une méilleure connaissance des sources d'inoculum et de l'épidémiologie d'Erwinia amylovora dans les conditions du verger français, l'établissement de schémas de prevision des risques de développement de la maladie utilisables par l'ensemble des pays concernés et, avec leur concours, l'étude de la variabilityé de la bactérie qui conditionne l'orientation des programmes de sélection pour la résistance du poirier et du pommier. Les programmes mis en place sont complémentaires de ceux des Etats-Unis et de l'Europe du Nord, en demeurant tournés vers l'économie de la zone méditerranéenne.  相似文献   

19.
L. BOURNAS 《EPPO Bulletin》1983,13(3):499-504
Les progrès récents dans la conception des pulvérisateurs ont porté sur la précision des applications, en particulier pour les herbicides, l'augmentation du rendement horaire, la facilité de mise en ceuvre et les traitements en localisation. En ce qui concerae la precision des applications, on constate le développement et le perfectionnement, notamment à l'aide del'électronique, des systèmes de régulation à débit proportionnel à l'avancement. La suspension des grandes rampes, allant jusqu'à 24 m pour des pulvérisateurs portés en cultures basses, est constamment perfectionnée pour assurer une meilleure stabilité. Par ailleurs, la tendance à réduire les volumes par hectare entraîne une nouvelle étude des circuits de bouillie, notamment de la filtration. II est recouru aux buses à fente de petit calibre, pouvant travailler à basse pression (parfois moins de 2 bar), et la stabilité du rideau de pulvérisation sous rampe à bas volume par hectare est examinée de même que les organes de pulvérisation centrifuge permettant de descendre à moins de 50 l/ha. Les pulvérisateurs arboricoles et viticoles sont dotés de ventilateurs plus puissants et des souffleries sont étudiées pour un meilleur rendement à moindre bruit. Parmi les autres progrès on remarque le développement des systèmes de localisation pour les traitements de la vigne. Quant à la distribution des microgranulés phytopharmaceutiques, elle a fait l'objet de nombreuses adaptations, en particulierd'épandeurs d'engrais pneumatiq'ues ou de semoirs. Ainsi, des gammes de pulvérisateurs portables ou manuels, à pression liquide ou centrifuges, plus pratiques et légers, ont été développées.  相似文献   

20.
F. Spitz 《EPPO Bulletin》1977,7(2):165-175
Microtus arvalis (Pallas) a une histoire récente qui se rattache à celle des glaciations et de l'agriculture. Son écologie et son histoire sont liées et expliquent les particularités actuelles, entre autres le fait qu'il existe des zones presque dépourvues de campagnols et d'autres où ils pullulent régulièrement. Le présent travail résume nos connaissances sur la démographie de l'espèce. Après un rappel de quelques théories anciennes ou récentes, on évoque les principaux facteurs qui agissent sur les populations: la structure de l'environnement (les campagnols aiment les agrosystèmes peu intensifs et sont surtout affectés par l'importance des biotopes d'hiver disponibles), le climat et l'alimentation (qui déterminent leur rythme biologique saisonnier, et le modulent s'ils s'écartent de la normale), le comportement individuel et social (déplacements, compétition). Une synthèse est présentée de l'évolution de la situation des campagnols à diverses échelles (parcelle, région). Par référence à un exemple typique s'appuyant sur des éléments indiscutables, on estime qu'une pullulation «moyenne« (non aggravée par la sécheresse) amène des pertes largement supérieures à 120 FF/ha, ce qui justifie les investissements que l'on peut faire dans un système de prévision et dans une lutte préventive.  相似文献   

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