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1.
Dans le cadre d'un programme de lutte intégrée, deux essais de lutte contre la 3e génération de Prays oleae (en petite parcelle et à grande échelle) avaient pour but d'étudier les possibilités de remplacement des insecticides habituellement utilisés par d'autres produits spécifiques et peu toxiques. Bacillus thuringiensis avail entraine un taux de mortalité larvaire proche de 50% alors que l'effet du diflubenzuron n'était pas net comparativement au témoin. La deltaméthrine s'est révélée efficace pratiquement à 100%. Toutefois, le controle des chrysalides dans les bandes-pièges en carton ondulé avait montre une certaine efficacité des deux produits testés qui s'est traduite par une réduction des populations émergeantes de l'ordre de 74 à 79% par rapport au témoin. Il faut préciser que B. thuringiensis n'agit que sur les stades larvaires, alors que le diflubenzuron a une action lente qui se poursuit jusqu'au stade nymphose (mortalité des chrysalides pouvant atteindre 40%). L'action des deux produits s'est poursuivie jusqu'à la génération suivante, mais sculement dans les grandes parcelles. L'effet de la deltaméthrine est plus fortement ressenti à la génération suivante. Les deux produits, et notamment B. thuringiensis, ont présenté l'avantage de préserver la faune auxiliaire en comparaison avec la deltaméthrine qui l'a detruite totalement.  相似文献   

2.
Plusieurs méthodes de prévision du développement du maïs ont été testées par l'Association Générale des Producteurs de Maïs en France depuis 1977. Elles sont toutes basées sur le cumul des températures moyennes journalières (base 6°C). Différents stades du mais déterminent la date du départ de ces cumuls. Les résultats obtenus montrent que le développement précoce est fonction des conditions de milieu et des caractéristiques génétiques de l'hybride considéré. Une connaissance minimale du génotype est nécessaire pour pouvoir réaliser une prévision correcte. Le rythme d'apparition des feuilles et leur nombre total sur la plante adulte semblent être des critères utilisables pour améliorer les techniques actuelles de prévision des dates de floraison.  相似文献   

3.
Les résultats obtenus montrent que l'activité biocide du bromure de méthyle est correctement mesurée par le produit C1T (concentration du bromure de méthyle dissous en mmole 1?1 x temps d'exposition en heures des organismes au toxique), mesure qui convient spécialement aux traitements du sol, le gaz y étant présent en solution aqueuse. Les valeurs de C1T qui produisent un effet léthal varient selon les particularitiés morphologiques des organismes et la température pour des raisons de réactions biochimiques et de cinétiques d'échanges physico-chimiques. Il existe de plus un seuil de concentration minimale en deçà duquel l'effet pesticide n'est plus perceptible. Dans nos conditions standardisées de mesure, il apparaît que l'effet nématicide et herbicide se manifeste pour des C1T semblables, alors que les champignons et surtout les bactéries sont plus résistants. Ainsi, les perturbations observées sur la flore bactérienne du cycle de l'azote à la suite d'un traitement ne sont généralement que temporaires. Il est prudent toutefois d'éviter les traitements à fortes doses.  相似文献   

4.
Les pertes de récoltes dues aux nématodes sont importantes et difficiles à réduire, en raison même de la nature des dommages et des relations multiples qui existent entre la plante-hôte et le ravageur. Ainsi, en dehors des dégâts directs, les nématodes peuvent déclencher ou favoriser le développement d'autres maladies, ou agir en tant que vecteur. d'incidence économique est aussi bien quantitative que qualitative. Les semences ou le matériel destinéà la reproduction, qui sont contaminés, devraient être systématiquement détruits ou désinfectés. Le coût des traitements, l'amélioration des pratiques culturales en matière de fumure, irrigation ou assole-ment doivent faire l'objet d'études consciencieuses, de fa?on à assurer une protection économique. Pour mesurer et chiffrer les pertes, on peut utiliser divers critères: essais de pathogénicité en conditions artificielles, traitements de plein champ plus ou moins sélectifs, établissement de formules de corrélation entre les densités de populations révélées par l'analyse du sol et les diminutions de récoltes observées ou escomptées. Les préjudices causés par les nématodes aux diverses cultures européennes sont du même ordre que ceux qui ont été constatés aux Etats-Unis et sétablissent comme suit: 5 % pour les céréales et le maïs, 10 % environ pour la pomme de terre, la betterave et les diverses cultures maraîchères ou ornementales (ce pourcentage est probablement dépassé pour les cultures fruitières). Ces données montrent que l'on sous-estime en général l'importance économique des divers nématodes phytophages, et justifient les mesures préconisées pour en limiter la propagation.  相似文献   

5.
E. BRUNEL  M. LAHMAR 《EPPO Bulletin》1983,13(2):201-207
Dans les conditions de l'ouest de la France, la mouche de la carotte, Psila rosae, et la mouche du chou, Delia brassicae, ont une biologie très voisine par le nombre de générations, la faculté des adultes à pondre peu après leur éclosion et leur capacitéà résister au froid hivernal qui se traduit par un arrêt de développement du type diapause. Les pupes de P. rosae, formées d'octobre à janvier, et de D. brassicae, formées d'octobre au début de novembre, peuvent servir d'éléments pour définir le début des éclosions printanières, à condition de les soumettre à un, deux ou trois chocs thermiques de 2–4 ou 6 jours à 15 ou 20°C. Ces chocs ont été appliqués à partir de la fin janvier, après rupture de la diapause, c'est-à-dire au moment où la pupe poursuit son évolution en relation avec les sommes de températures. Pour P. rosae, la longueur du choc thermique n'a pas eu d'incidence, mais le développement de l'insecte a été réduit en fonction du nombre de chocs. En çe qui concerne D. brassicae, la situation était plus complexe: à 15°C, un choc thermique n'avait pas d'effet, mais les chocs subséquents ont accéléré le développement; à 20°C, un ou plusieurs chocs de 2 ou 4 jours demeurèrent sans grande conséquence, alors qu'un choc de 6 jours a sensiblement accéléré l'évolution. La répétition des chocs est restée sans conséquence sur les résultats. Les sorties des adultes se sont trouvées avancées de 20 jours pour P. rosae et de 40 jours pour D. brassicae. Le modèle d'éclosion de ces deux espèces n'a pas été affecté.  相似文献   

6.
Les auteurs exposent une partie d'une série d'études préliminaires de plein champ effectuées en 1981 en Alsace, sur Lobesia botrana. Ces observations sur la biologie de l'insecte sont destinées à adapter ultérieurement au vignoble alsacien le modèle de prévision, mis au point dès 1979 par Touzeau pour la région Midi-Pyrénées. Le modèle se réfère à l'apparition des différents stades et des différentes générations de ce ravageur. Chacune des observations effectuées est déterminée par les sous-modèles qui prennent en compte l'évolution de l'espèce au cours d'une saison en fonction de données climatologiques bien définies (sommes de températures plus particulièrement). Seuls sont abordés dans cet exposé les résultats et les observations portant sur la génération printanière.  相似文献   

7.
W. Mueller 《EPPO Bulletin》1974,4(3):347-355
Les méthodes biomété orologiques qui intéressent les biologistes appelé s à développer des systèmes de lutte intégrée se distinguent nettement de la climatologie traditionnelle de l'abri. D'une façon générale, les différences peuvent se résumer comme suit: –les investigations se font essentiellement à l' échelle microclimatique; –les instruments sont très élaborés et particulièrement adaptés au but recherché; –l'établissement du réseau d'observations et les périodes d'études dependent des exigences biologiques; –la durée des périodes d'observation est limitée et la densité du réseau climatologique relativement faible grâce au recours à l'échantillonnage représentatif. L'interprétation des résultats biométéorologiques est en général difficile puisqu'il y a souvent superposition de deux ou d'un nombre plus élevé de facteurs. II est done prudent d'inclure également, dans l'appréciation générale, les données de laboratoire et de s'efforcer de remplacer les données plus ou moins empiriques par des fonctions précises. Cette approche est proposée sous la forme d'une étude quantitative du bilan énergétique et hydrique des ravageurs. On peut ainsi obtenir des résultats de portée étendue, reposant sur des données physiques, d'une part, et des renseignements quantitatifs, d'autre part. Un certain nombre de facteurs simples ou composés tels que le vent et la faculté de refroidissement sont à considérer dans les études biométéorologiques puisqu'ils contribuent à caractériser, et partant, à prévoir le comportement des espèces (par exemple l'activité de vol du carpocapse des pommes). En définissant des « types de temps » favorables à l'activité d'un ravageur, il serait possible de prévoir le comportement de l'espèce en question. Enfin, l' étude conjointe des vues prises par satellites à l'aide de films à infrarouge, thermiquement sensibles, et des observations biométéorologiques faites au sol apportera sur le plan macro- et méso-climatique des éléments eminemment utiles au développement de la lutte intégrée.  相似文献   

8.
C. SAMIE 《EPPO Bulletin》1983,13(2):15-20
Le chercheur, qui étudie l'action du climat sur la croissance et le développement d'une espèce animale ou végétale est entraîné vers une analyse de plus en plus fine des phénomènes bioclimatiques: il travaille donc à une échelle de temps et d'espace adaptée à l'organisme considéré. L'utilisation opérationnelle, en météorologie agricole, va imposer une transposition des résultats et la référence à un climat qui n'est généralement exprimé que grâce à des mesures normalisées, faites au moyen d'appareils déterminés, installés dans des conditions uniformes. Sans aller jusqu'à l'établissement de véritables fonctions de transfert liant le microclimat au mésoclimat, nous avons pu, grâce à la mise en ?uvre de matériel de campagne, pendant des périodes assez courtes, mettre en évidence quelques relations entre les microclimats locaux et le mésoclimat défini par l'abri météorologique: influence de la végétation environnante (haie, clairière, lisière) et de la topographie en fonction des types de temps; ceci dans le cadre d'une étude de la représentativité des mesures de température sous abri dans le massif du Ventoux (Provence, France).  相似文献   

9.
La semence contaminée représente un facteur de dissémination capital pour Ditylenchus dipsaci. La pratique de la fumigation au bromure de méthyle permet l'éradication des individus anabiotiques contenus dans les lots de semences. L'étude de plusieurs techniques au cours de diverses combinaisons de concentration (C) et de durée (T) montre que pour la fumigation de lots de luzerne l'éradication de D. dipsaci est atteinte, par exemple, à pression atmosphérique avec 80 g/m3 pendant 16 h (C x T théorique de 1280), ou après vide préalable avec 50 g/m3 pendant 20 h (C x T théorique de 1000). Si aucune altération de la faculté germinative n'est observée, même apres un delai de 2 ans après le traitement, on constate qu'un certain effet fongicide peut se révéler intéressant. Avec Vicia faba, les cssais préliminaires indiquent que pour cette espèce à grosse graine, le nématode est mieux protégé dans les cotylédons. La limite entre l'action nématicide et phytotoxique est restreinte; la technique du vide partiel pourrait présenter un intérêt. Pour l'ail, l'éradication de D. dipsaci est possible par la fumigation des têtes entières, mais un effet phytotoxique est à redouter au-delà d'un produit C x T théorique de 800. Cette phytotoxicité, grave si la dormance de l'ail est levée, peut s'expliquer par une adsorption marquée. Il est néccssaire de poursuivre l'expérimentation en évaluant les risques présentés par d'éventuels résidus bromés dans les caïeux et en réétudiant l'utilisation de la phosphine, malgré son efficacité insuffisante lors de premiers essais.  相似文献   

10.
B. DIGAT 《EPPO Bulletin》1987,17(2):281-286
Le pelargonium (Pelargonium x hortorum et P. x hederaefolium) représente en France et dans la CE l'une des plus importantes cultures florales en pot. Cependant, dans les établissements de multiplication, cette plante est soumise à des attaques fréquentes de bactérioses causées par Xanthomonas campestris pv. pelargonii et, à un degré moindre, par la bactérie des galles feuillées Rhodococcus fascians. La bactériose due àX. c. pv. pelargonii se caractérise par de longues périodes de latence durant lesquelles les symptômes de la maladie peuvent disparaître, bien que la bactérie puisse être présente à la surface des feuilles ou même dans le système racinaire de la plante. Par conséquent, la sélection visuelle est insuffisante et il est devenu nécessaire de mettre au point des méthodes de détection suffisamment fiables et économiquement rentables pour être adoptées par les multiplicateurs eux-mêmes. Trois méthodes sont actuellement proposées: l'isolement de la bactérie sur milieu de culture, l'histofluorescence et l'immunofluorescence. Le principe de chaque méthode est brièvement rappelé et la comparaison des méthodes est effectuée en mettant l'accent sur les avantages et les inconvénients de chacune d'entre elles. Un schéma type de sélection sanitaire vis-à-vis des bactérioses du pelargonium pour un établissement multiplicateur est proposé. L'organisation générale de la certification sanitaire en France et les relations entre les organismes qui la contrôlent et y prennent part sont rappelées. En définitive, l'application de la certification sanitaire semble bien avoir pour conséquences directes une amélioration de la qualité des plants de pelargonium ainsi qu'une augmentation de la productivité des établissements multiplicateurs français depuis ces 10 dernières années.  相似文献   

11.
Des 1980, la résistance aux imides cycliques (I. C.) s'est généralisée dans les populations de Botrytis cinerea sur fraisiers remontants, traités de 3 à 10 fois de juillet à septembre avec des I. C., le taux moyen de fraises présentant des conidies résistantes étant de 72%. Une diminution progressive du taux de résistance est observée après l'arrêt des traitements, mais est suivie d'une forte augmentation 5 à 6 semaines apres la reprise des traitements l'année suivante. L'efficacité des traitements à la vinchlozoline (500 g ha?1) est passée de 94%, pour les essais de 1973 à 1978, à 48% pour ceux établis de 1979 à 1984. Durant cette derniére période, le mélange vinchlozoline (500 g ha?1)+ thirame (1600 g ha?1) a présenté une efficacité de 78% et le tolylfluanide a donné une efficacité de 67%. Sur fraisiers de saison, traités 1 à 6 fois au moment de la floraison, une résistance aux I. C. a été observée en 1980 dans sept des 10 champs analysés, avec un taux moyen de 22%. La résistance ne s'y développe que tardivement et principalement dans les cultures de 2 ans, traitées déjà l'année précédente avec des I. C. Dans les essais, l'efficacité de la vinchlozoline s'est maintenue á 92% entre 1973 et 1984.  相似文献   

12.
Le nématode des racines noueuses des graminées, Meloidogyne naasi Franklin, est à l'origine de dégâts surtout apparents sur betteraves, mais touchant également les céréales de printemps. Ce nématode ne développe qu'une génération par an. Il passe l'hiver sous forme de juvéniles J2 maintenus en quiescence dans les coques ovaires. L'éclosion simultanée au printemps est à l'origine des dégâts constatés sur les jeunes plantules attaquées. Les céréales d'hiver, telles que blé et escourgeon, ne paraissent pas subir de dégâts notables en raison de leur stade de développement au moment de l'attaque.  相似文献   

13.
P. FRANQUIN 《EPPO Bulletin》1983,13(2):157-161
Est présenté un modèle fréquentiel global de la période climatique de végétation des cultures. Ce système s'applique en particulier à l'ajustement dans la saison des cycles de développement des cultivars. Quand la variabilité interannuelle des températures est grande, il convient d'évaluer la durée des cycles de développement, non pas en nombre de jours, mais en somme de degrés-jour. Somme de degrés-jour et nombre de feuilles à l'initiation de la floraison peuvent être estimés chez les cultivars photopériodiques au moyen de formules développées par modélisation des relations de l'oscillation exogène jour/nuit avec l'oscillation circadienne endogène de la plante.  相似文献   

14.
Des expériences conduites en 1963 avec des pupes de Rhagoletis cerasi ont révélé qu'une température de base de 5°C et une somme de températures effectives de 430 degrés-jours étaient nécessaires pour le début du vol. A partir des températures du sol (à 5 cm de profondeur) et des stations d'observation des pupes implantées sous les cerisiers, on a pu mettre en évidence une forte corrélation entre les dates de début de vol calculée et observée, et classer les principales régions de Suisse productrices de cerises en zones précoce, moyenne et tardive en ce qui concerne le développement de Rhagoletis cerasi. Utilisés avec le système de prévision mis au point au nord de la Suisse pour les vergers de cerisiers, les présents outils de prévision autorisent une estimation précise de la première apparition du ravageur et de la maturation du fruit dans les régions spécifiées. Quant au système de prévision pour Eupoecilia ambiguella, il utilise les sommes de températures maximales journalières à partir du 1er janvier. Il existe une bonne corrélation entre la date correspondant à 950 degrés-jours et le début du premier vol. Les données obtenues au cours du vol de la première génération permettent de prévoir le début, le maximum et la durée probable du second vol, qui est d'une importance économique beaucoup plus grande.  相似文献   

15.
B. DIGAT 《EPPO Bulletin》1988,18(1):29-35
De nombreux travaux montrent que certaines souches de rhizobactéries appartenant au groupe Pseudomonas fluorescens-putida ont un effet positif sur la croissance des plantes et sur leur protection vis-à-vis des agents pathogènies du sol. Si tous les modes ?action de ces bactéries telluriques sont encore loin ?être compris, on observe cependant une corrélation constante entre ?intensité de la production de pigments fluorescents (sidérophores), la capacitéà produire un antagonisme in vitro et la stimulation de la croissance des plantes. Le principe de la bactérisation est ?introduire une population bénéfique dans un milieu et de ?y maintenir ou de lui faire atteindre un niveau suffisant afin ?obtenir finalement les effets voulus. Il a done été nécessaire de suivre la dynamique des populations introduites dans plusieurs types de milieux de plus en plus complexes: cultures in vitro, substrats artificiels et substrats naturels. Ceci a permis ?obtenir de précieux renseignements sur ?évolution des populations en conditions contrôlées de température et ?HR. Les résultats obtenus montrent que: (1) la bactérisation est ?autant plus efficace qélle est réalisée précocement dans un milieu biologiquement simple. Aussi ?enrobage microbiologique des sentences et des boutures ainsi que le bactérisation de plantules in vitro peuvent donner de bons résultats. Corrélative-ment, le maintien des populations dans un biotope est ?autant plus difficile à réussir que celui-ci est biologiquement complexe; (2) le biotope doit offrir à la population introduite la possibilité de se maintenir, ?y trouver des éléments assimilables et de éy multiplier activement. Ceci est malheureusement pas le cas pour certains substrats artificiels et naturels dans lesquels le maintien de la population est encore problématique et nécessite des ‘rappels’ de bactérisation; (3) les caractères intrinséques de la souche sélectionnée en vue de la bactérisation sont déterminants; (4) il est nécessaire de maintenir une quantité minimale de cellules bactériennes au niveau du systéme racinaire pour obtenir un effet sur ?amélioration de la croissance de la plante. Le seuil minimal de biostimulation se situe fréquemment aux environs de 104 bacteries par cm de racine (betterave sucrière, laitue, pelargonium, chrysanthème). Mais le seuil de biosaturation varie davantage selon ?espèce végétale considérée et le stade physiologique.  相似文献   

16.
La DE50 de vinchlozoline pour des souches de Botrytis cinerea isolées de 1980 à 1984 varie de 2 μM a plus de 300 μM de vinchlozoline, néanmoins 93% des souches présentent une DE50 comprise entre 2 et 24 μM. En l'absence de fongicide, la capacité saprophytique et pathogéne des souches résistantes est dans l'ensemble égale ou légèrement inferieure à celle des souches sensibles. En présence de vinchlozoline, à des concentrations inhibant les souches sensibles, les souches résistantes colonisent les féves, les paprikas ou les rondelles de concombre; toutefois, les substrats traités sont généralement moins rapidement colonisés que les témoins non traités. Ce retard augmente avec la concentration en fongicide et diminue lorsque le niveau de résistance de la souche croît; les souches à DE50 supérieure á 300 μM de vinchlozoline ne sont plus affectées par le traitement. L'association de la vinchlozoline avec d'autres fongicides présente un effet synergique sur certaines souches. Le mélange vinchlozoline+tolylfluanide réduit la fréquence d'apparition de colonies résistantes in vitro. Les souches + DE50 supérieure à 300 μM sont plus sensibles aux pressions osmotiques élevées quc les souches sensibles.  相似文献   

17.
Depuis 3 ans des souches de Pseudocercosporella herpotrichoides résistantes aux benzimidazoles (bénomyl, cabendazime, thiabendazole) et aux thiophanates (thiophanate-méthyl) sont décelées sur blé d'hiver en France. La résistance croisée positive entre ces fongicides ainsi que la résistance croisée négative vis-à-vis de phényl-carbamates (ex. barbane) sont des caractéristiques générales. Les niveaux de résistance peuvent étre variables avec cependant prédominance de deux catégories de souches résistantes (dont les niveaux de résistance respectifs vis-à-vis du thiabendazole sont voisins de 10 et de 100). En outre, des expérimentations en conditions contrôlées indiquent que la résistance n'affecte ni l'agressivité ni la compétitivité de P. herpotrichoides. Pour pouvoir suivre l'évolution des fréquences des souches résistantes aux benzimidazoles dans la nature, diverses méthodes ont ét expérimentées; celle qui est actuellement retenue et développéc dans les laboratoires de l'INRA (Institut National de la Recherche Agronomique), du Service de la Protection des Végétaux, de l'ITCF (Institut Technique des Céréales et des Fourrages) et de certaines firmes est basée sur l'étude de l'effet du carbendazime sur des implants mycliens. Chaque analyse porte sur 10 à 30 isolats par parcelle. Malgré un nombre élevé d'analyses il est difficile d'avoir une cartographie exacte de la répartition des souches résistantes; il est toutefois clair que les fréquences des souches résistantes sont les plus élevées dans les zones d'utilisation intensive des benzimidazoles (Nord et Bassin parisien) qui peuvent devenir inefficaces. Actuellement, le seul fongicide susceptible de remplacer ces benzimidazoles est un inhibiteur des strols: le prochloraz. Au champ il possède une activitééquivalcnte en l'abscnce ou en présence de souches résistantes aux benzimidazoles et les sondages réalisés jusqu'à maintcnant n'indiquent aucune résistance vis-à-vis de ce fongicide.  相似文献   

18.
La désinsectisation des grains et des produits céréaliers par un choc thermique est un moyen simple de lutte curative qui peut être rapidement installé dans les entreprises agro-alimentaires. L'étude d'un procédé de désinsectisation thermique du blé et de ses produits de mouture dans un lit fluidiséà haut rendement est présentée. Il est montré qu'avec un équipement de laboratoire, puis à l'échelle pilote, les lits fluidisés à haute température (60 à 180°C) sont efficaces pour détruire rapidement l'infestation apparente ou cachée sans élever la température du produit au-dessus de 72°C et avec un refroidissement immédiat. Le choc thermique à des températures d'air n'excédant pas 120°C n'altère pas de façon significative l'ensemble des qualités technologiques des produits désinsectisés: blé tendre panifiable, blé dur et semoules. Le prix de revient global du traitement est comparable à celui d'une fumigation. Son usage systématique est possible sur une gamme de produits dérivés des céréales qui ne peuvent recevoir d'application avec un insecticide de contact.  相似文献   

19.
D. MUGNI RY 《EPPO Bulletin》1985,15(2):199-206
La résistance àGlobodera rostochiensis et àG. pallida chez la quasi-totalité des clones de pommes de terre connus s'exprime essentiellement par un blocage du développement des larves L2 et, pour les individus qui parviennent a se développer, par une orientation préférentielle vers le phénotype mâle. Tout effet défavorable sur les nématodes accentue ces deux phénomènes. Certains effets, tels que la compétition intraspécifique, le vieillissement des larves et les interactions avec la population choisie comme inoculum standard, sont analysés. Il en ressort que, quel que soil le type de test pratiqué, en pots ou en boîtes de Pétri, il faut porter la plus grande attention à l'origine de l'inoculum et l'idéal est d'utiliser une population se développant bien dans les clones sans résistance. Ce choix fait, il convient de limiter les niveaux de compétition intraspécifique: en boîtes de Pétri, un effectif de cinq larves par racine est un optimum; en pots, une densité de 0,25 larves par g de sol est souhaitable. Pour les tests exécutés en boîtes de Pétri, il faut veiller á ne pas utiliser des larves conservées trop longtemps á basse température, condition classique de conservation qui diminue leur potentiel infectieux.  相似文献   

20.
Dans une période où l'on parle de plus en plus de lutte raisonnée, il nous a paru utile d' essayer de prévoir les périodes d'évolution de la pourriture grise pour éviter les traitements systematiques décidés a priori sans connaître les conditions climatiques à venir. Nous avons done experimenté, en nous inspirant d' une étude faite á propos de Botrytis cinerea sur fraisier, une méthode utilisant les températures moyennes journalières et une humidité relative supérieure à 90 %. Le but poursuivi dans cette expérimentation est double: a) introduction d' une façon plus compléte des données climatiques, et notamment de l'humidité relative, dans les critzères d'appréciation pour améliorer la technique de lutte qui est actuellement basée sur des interventions à trois stades végétatifs de la vigne, la quatriéme ayant lieu 3 semaines avant la récolte (méthode standard); b) étude de la possibilityé de supprimer les traitements qui se révéleraient inutiles, ce qui est un des objectifs des avertissements agricoles. II serait alors recouru au réseau climatique du Service de la Protection des Végétaux pour fournir, à l' ensemble des viticulteurs d'une région, les indications sur la lutte à entreprendre. Les expérimentations réalisées pendant quatre ans ont donné des résultats intéressants; elles devront étre reprises pour définir les critères à prendre en considération et la façon de les utiliser: températures (diurnes ou nocturnes), humectation des organes de la vigne, humidité. II semble en effet que l' humidité puisse apporter, aussi bien pour cette technique simple que pour la modélisation, des éléments utiles. Les comparaisons faites en 1980, à partir d' une étude sur la modélisation, font apparaître une bonne similitude entre cette stratégie nouvelle et les données fournies (températures moyennes, humidité relative supérieure à 90 %) par un poste météorologique à 2 m, situéà 25 km de la parcelle expérimentale.  相似文献   

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