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1.
Des six especes d' Aelia présentes en Espagne, seules A. germari et A. rostrata provoquent des dégâts importants dans les cultures céréalières, en Andalousie occidentale et en Vieille-Castille respectivement. A. rostrata hiberne surtout dans les montagnes (950-1 200 m) du nord de la région, sur des plantes–refuges telles qu' Arctoslaphylos uva-ursi, Avena elatior et Juniperus communis. Selon les conditions météorologiques, la migration vers les champs de céréales a lieu vers la mi-mai. Normalement, la ponte se produit au début de juin et les adultes de la nouvelle génération retournent vers les lieux d'hibernation dés le début d'aout, l'espèce étant univoltine en Vieille-Castille. La lutte chimique pratiquée depuis les années soixante était initialement basée sur des produits tels que le fenthion et le malathion, appliqués souvent par voie aérienne sur de grandes surfaces. Actuellement, la préférence va au trichlorfon, normalement épandu par poudrage terrestre seulement sur les foyers d'infestation. Les dates de traitement sont choisies afin d'éviter tout effet néfaste sur les oophages ( Asolcus, Trissolcus , etc.) dont Fimportance est reconnue en Espagne.  相似文献   

2.
Ch. BOUCHET 《EPPO Bulletin》1983,13(3):547-554
Les expérimentations ont été réalisées en France de 1980 à 1982 par l'ACTA (Association de Coordination Technique Agricole), l'ITCF (Institut Technique des Céréales et des Fourrages) et ITTB (Institut Technique de la Betterave Industrielle). Les techniques et volumes comparés ont été les suivants: 450 ou 300 l/ha (reference), 150, 100 et 75 l/ha en pulvérisation à jet projeté et 25 l/ha en pulvérisation centrifuge (Girojet TECNOMA). Les essais ont porté prindpatement sur les céréales et sur les betteraves. L'efficacité des herbicides sur céréales est pratiquement identique à tous les volumes compris entre 450 et 75 l/ha, pourvu que l'on traite en situation favorable (dose, stade, etc.). Elle devient légèrement moins bonne aux volumes les plus faibles dès que l'ons'éloigne des conditions idéales. Les résultats obtenus avec la pulvérisation centrifuge sont beaucoup plus aléatoires, surtout sur graminées. Les essais fongiddes sur céréales en végétation ont donné, contre le piétin-verse, des résultats pratiquement équivalents à tous les volumes, y compris 25 l/ha. Les essais herbicides de postlevée sur betteraves ont montré une efficacité comparable aux volumes entre 60 et 150 l/ha. Par contre, la pulvérisation centrifuge à 25 l/ha a donné une efficacité herbicide nettement inférieure.  相似文献   

3.
G. Clamot 《EPPO Bulletin》1982,12(4):439-443
Deux sources de résistance ont été utilisées pour la sélection de lignées &d'avoines résistantes à Heterodera avenae: CI 3445 et Nelson. Seules des descendances àrésistance intermédiaire (quelques kystes par plante) ont pu être sélectionnées au départ de CI 3445. En revanche, des lignées totalement résistantes ont pu être produites á partir de Nelson. Une méthode &d'évaluation de la résistance permettant &d' examiner rapidement un grand nombre de plantes s'est révélée discriminante pour les lignées hotes. Elle n'a pas permis de différencier les lignées totalement résistantes des lignées àrésistance intermédiaire. Cette méthode peut être appliquée au ≪ screening ≫ des lignées en cours de sélection. Elle doit être répétée pendant deux ou trois générations en raison du caractére bigénique et dominant de la résistance. Il est nécessaire, pour caractériser avec précision le degré de résistance des lignées en fin de sélection, de faire appel àune méthode plus normalisée, basée sur &l' utilisation de substrats artificiellement infestés et le dénombrement complet des kystes formés sur le système racinaire.  相似文献   

4.
L. VEZINA 《Weed Research》1990,30(1):71-79
Des expériences ont été conduites sur terrain infesté par la prèle de champs, à Saint-Simon, dans la province de Québec au Canada, du printemps 1985 à l'automne 1987. Elles ont été réalisées pour mesurer d'une part l'effet répressif de diverses successions d'interventions herbicides effectuées dans l'orge et le maïs-grain cultivés en rotation et d'autre part l'influence de ces deux cultures sur l'évolution de trois peuplements de la prèle des champs. L'orge s'est avérée plus compétitive que le maïs-grain à l'égard de la mauvaise herbe. L'orge a empêché les peuplements de prêle d'augmenter au fil des années alors que dans les parcelles de maïs-grain les densités de tiges ont connu annuellement une hausse. Le MCPA amine utilisé tôt en post-levée des cultures ne réprime la plante que temporairement et n'exerce après quelques années aucun effet significatif sur les densités de tiges. Dans le maïs, les applications d'une association de bromoxynil et de MCPA effectuées tardivement entre les rangs ont entraîné après deux années d'utilisation sur trois, une diminution de 8% de la densité des tiges dans le peuplement. Dans les parcelles témoins le nombre de tiges a augmenté en trois ans de 60%. L'application d'amitrole après la récolte de l'orge, sur une repousse de la plante et sur ses parties aériennes épargnées par le passage de la moissonneuse-batteuse, a permis une répression efficace de longue durée. L'utilisation du MCPA aminé au cours des printemps suivants a retardé le rétablissement de l'adventice.  相似文献   

5.
Cet article présente les premières listes de nématodes parasites des plantes (Tylenchida et Dorylaimida) des départements français d'Amérique: Guadeloupe, Martinique et Guyane. Ces listes ont étéétablies suite aux nombreuses enquêtes faunistiques en nématologie conduites dans ces départements depuis les premiers résultats d'analyses nématologiques de Scotto La Massèse en 1968. L'inventaire général comporte 171 entrées taxinomiques, réparties en 42 genres et 18 nouvelles espèces. Ainsi, à la Guadeloupe, 82 espèces ont été inventoriées dont 3 espèces nouvelles; à la Martinique, 87 espèces ont été inventoriées dont 7 espèces nouvelles; et en Guyane, 97 espèces ont été inventoriées dont 8 espèces nouvelles. Quelques-unes de ces espèces sont sur les listes A1 et A2 de l'OEPP ( Aphelenchoides besseyi A2/122, Radopholus similis A2/126, Xiphinema americanum sensu lato A1/150 et Xiphinema rivesi A2/262). L'intérêt de telles études en nématologie est discuté ainsi que les dispositions réglementaires quant à la présence d'espèces économiquement importantes ou réglementées, au regard de l'accroissement des échanges inter-îles ou intercontinentaux et des risques phytosanitaires encourus, que ce soit dans les départements français d'outre-mer (DOM) ou les pays et territoires d'outre-mer (PTOM).  相似文献   

6.
La caractérisation des pathotypes ď Heterodera avenae en France montre le rôle discriminant de plusieurs cultivars ďAvena sativa. Malgré un allongement de sa période de culture par un semis en automne (mois de decembre), le cultivar de type printemps Noire de Moyencourt est un hôte mediocre pour les pathotypes Fr 1 et Fr2 mais excellent pour les pathotypes Fr3 et Fr4. Cette relation entre les nématodes et le végétal paraît ďordre génétique, car les résultats sont confirmés par des données obtenues en conditions normalisées de culture et ďinfestation (plantes cultivées sur gélose en boîtes de Pétri et infestées par un nombre déterminé de larves). Nous avons également vérifié qu'A. sativa cv. Prieuré de type hiver différencie Fr2 et Frl en multipliant fortement le premier pathotype et faiblement le second. ďautres études en conditions normalisées ont montré des différences dans la capacityé des pathotypes àformer des femelles sur diverses céréales. Le pathotype septentrional Fr4 se multiplie mieux sur les cultivars ďAvena que sur Hordeum ou Triticum. A ľopposé, les pathotypes méridionaux Frl et Fr2 se développent le plus sur Hordeum et sur Triticum. Les différences dans la capacityé chez ces pathotypes àse développer en femelles nous paraissent également génétiques;elles devraient être recherchées chez les entités physiologiques ďH. avenae ďautres pays.  相似文献   

7.
Les nématodes appartenant au genre Meloidogyne peuvent être considérés à I'échelle mondiale comme le groupe le plus important de ces parasites. Les « anguillules des racines noueuses >>, ou « rootknot nematode « des auteurs anglosaxons, ont été longtemps jugées comme étant graves seulement dans les pays tropicaux ou méditerranéens chauds. Les différentes espèces sont souvent difficiles à distinguer on les a confondues jusqu'à une date récente et nombre d'entre elles restent encore à décrire — neuf ont été signalées en Europe.
La fréquence et la gravité des attaques semblent augmenter dans les régions méditerranéennes, surtout sur cultures maraîchères, florales, fruitières et sur coton ( M. arenaria [Neal] Chitwood, M. incognita [Kofoid et White] Chitwood, M. javanica [Treub] Chitwood). Ces espèces posent aussi de graves problèmes dans toutes les serres européennes. En Europe occidentale, M. hapla Chitwood attaque de multiples cultures légumières: M. naasi Franklin, découvert et décrit récemment, devient un ennemi grave des céréales. Les pertes dues à ces nématodes représentent plusieurs pour cent du produit brut des cultures intéressées dans les aires géogra-phiques infestées.  相似文献   

8.
Un écotype méridional, situé en climatàinfluence méditerranéenne, est caractérisé par un cycle d'éclosion hivernal. Le déclenchement de ce cycle, qui correspond àla levée d'une diapause estivale obligatoire, se produit par l'abaissement des températures en dessous de 10oC, alors que son arrét intervient au printemps quand la température remonte au-dessus de 10oC. Un autre écotype, en situation septentrionale et en climat océanique plus ou moins tempéré, présente une activité plutôt printanière;l'éclosion de cet écotype, inhibée pendant l'été et l' automne, se produit entre 5 et 15oC, mais le relèvement des températures à10 ou 15oC après un séjour àbasse température (5oC) stimule durablement la sortie des larves. Le décalage dans les cycles d' activité de ces écotypes se maintient mème après leur transfert dans des situations climatiques intermédiaires (Rennes) ou opposées. II représente une des causes de variation de la nuisibilité de ces écotypes, que l'on constate selon les céréales cultivées et les régions. II doit étre en outre pris en considération pour l'application éventuelle de nématicides àpersistance d'action limitée.  相似文献   

9.
Les infections dues à Botrytis cinerea entraînent des pertes variables, mais souvent considérables. La diversité de la conformation orographique et la variabilityé climatique de chaque zone viticole qui en découle, d'une part, et la diversité des cépages, d'autre part, rendent difficile la mise en place d'un service central d'avertissement. La préférence est par conséquent donnée à la méthode de protection qui repose sur trois traitements appliques en fonction des stades phénologiques. Les viticulteurs les plus avertis sont cependant en mesure de combiner cette méthode rigide avec celle plus logique qui se base sur l'évolution des données météorologiques. Pour les cépages les plus sensibles et de haute qualityé, le programme de traitement contre B. cinerea est réalisé a l'aide de la vinchlozoline, qui permet d'obtenir des indices de protection de l'ordre de 80–90 %. Après six ans d'application des imides cycliques sur les mêmes vignobles expérimentaux, on n'a pas observé l'apparition de souches de B. cinerea résistantes à ces fongicides. Une expérimentation en cours est destinée à réduire le potentiel de l'inoculum hivernant, et examine les possibilityés de stopper une épidémie. Elle porte, de plus, sur l'emploi de mélanges de produits et sur l'alternance de ceux-ci. Des perspectives intéressantes s'ouvrent par l'emploi d'antagonistes microbiens et par l'amélioration génétique.  相似文献   

10.
Une recherche des bactérioses de la pomme de terre de consommation a été entreprise en Algérie. Les prospections dans le littoral algérois et les analyses des plants et tubercules par des moyens de diagnostic adéquats nous ont permis de confirmer, pour la premiere fois, la présence de deux bactérioses potentiellement graves: la pourriture annulaire due à Clavibacter michiganensis ssp. sepedonicus et la jambe noire due à Erwinia carotovora ssp. alroseptica. En revanche, aucun cas de Pseudomonas solanacearum n'a été dépisté.  相似文献   

11.
J. Stancic  A. Yana 《EPPO Bulletin》1971,1(2):123-130
Depuis quelques années, les services de la protection des végétaux et les organismes de recherche des pays de l'Afrique du Nord se penchent sur le problème de la technique de lutte chimique à appliquer dans les conditions climatiques et culturales spécifiques de cette zone. Les premiers essais de traitements aériens à bas et très bas volume contre Ceratitis capitata Wied. sur agrumes ont été entrepris en Tunisie en 1967. Ces essais ont été beaucoup intensifiés en 1968 et étendus également en Libye à la lutte contre Dacus oleae Gmel. sur l'olivier. Cette nouvelle technique a donné des résultats très encourageants. Les produits insecticides, qui ont été testés à bas et à très bas volume, sont le Malathion LV (96% m.a.) contre C. capitata et le Malarhion LV, le phosphamidon (50 et 100% m.a.) et le dicrotophos (100% m.a.) contre D. oleae. Le rapport insecticide/attractif a étéégalement étudié.  相似文献   

12.
Le feu bactérien présente un grand danger pour les vergers de poiriers et de pommiers en Espagne et fait ainsi l'objet d'un arrété spécial du Ministére de 1'Agriculture. Aprés une étude conjointe préliminaire, menée par l'INIA et le Service de la protection des végétaux afin d'évaluer la situation, trois équipes de travail (Madrid, Valence et Saragosse) ont été constituées pour assurer la supervision des zones fruitières. Un centre de documentation informe les techniciens, pépiniéristes et arboriculteurs sur les particularités de la maladie et des colloques spéciaux sont organisés. Les dispositions de quarantaine sont améliorées au gré des nouvelles connaissances, et le budget réservéà l'ensemble des mesures s'éléve à 14 millions de pesetas. La question de savoir si, lors de l'apparition d'un premier foyer, les services officiels pourront intervenir assez rapidement et avec suffisamment de moyens demeure néanmoins sans réponse.  相似文献   

13.
J. Stockel 《EPPO Bulletin》1976,6(5):413-426
L'efficacité curative de 2 régulateurs de croissance ou analogues de l'hormone juvénile des insectes (Altosid et Altozar) a étéétudiée en laboratoire sur 2 ravageurs des céréales entreposées: Sitotroga cerealella Oliv. et Sitophilus granarius L. Les résultats ont été compareés à l'efficacité du malathion.
Les 2 substances testées n'ont qu'un faible pouvoir de pénétration dans le grain. Elles prolongent la période de développement postembryonnaire chez Sitotroga cerealella . Si l'Altosid est totalement inefficace chez cette espèce, l'Altozar en revanche entraîn une mortalité postembryonnaire d'environ 30 % de la population par troubles de la métamorphose et induit, chez 20 % des mâles qui émergent normalement, une stérilité par bloquage de la spermatogenese, sans affecter leur comportement sexuel (recherche de la femelle, copulation). Sur Sitophilus granarius , l'Altozar prolonge également la période de développement larvaire et nymphal, mais n'entraîne pas de diminution significative de la population.  相似文献   

14.
Des prospections ont été faites durant les mois d'avril et de mai 2000 dans 174 parcelles réparties sur six étages et sous-étages bioclimatiques afin d'identifier les champignons associés à la pourriture du pied du blé en Tunisie. Environ 1600 isolats ont été obtenus à partir de la base des plantes de blé malades. Les champignons les plus fréquemment isolés ont été Fusarium culmorum (70%) et Gibberella zeae (21,5%). Gibberella avenacea et Cochliobolus sativus ont été isolés à la fréquence respective de 5,3% et 4,1%. L'identification moléculaire par PCR a été utilisée afin de distinguer entre les groupes 1 et 2 de G. zeae. Seuls les membres du groupe 1 ont été isolés au cours de ces prospections. Les fréquences de F. culmorum et G. zeae groupe 1 a varié en fonction des régions climatiques. F. culmorum a été dominant dans l'humide, tandis que G. zeae groupe 1 a été absent de cette région et sa fréquence a augmenté en allant vers les étages semiaride et aride.  相似文献   

15.
Spilocuea oleagina provoque en Crète des dégâts importants sur les cultivars d'olivier Mastoidis et Kalamon. Les fongicides cupriques suivants ont été testés contre la maladie: sulfate de cuivre (BBS 25), oxychlorure de cuivre (Virifix 50), sels cupriques des acides gras et résineux (Tenn Cop 5E) et sulfate ammoniacal de cuivre (Copac E). Deux traitements ont été effectués pendant les périodes critiques pour la Crète (début octobre, fin février) sur des arbres du cv. Kalamon. L'efficacité a étéévaluée par dénombrement des feuilles infectéès et des taches par feuille, sur échantillons prélevés dans la couronne des arbres traités. Pour estimer l'action phytotoxique des fongicides testés, on a ramasséà l'aide d'un filet plastique toutes les feuilles tombées. Les sels cupriques et le sulfate de cuivre ont montré la meilleure efficacitéà l'egard du pathogène. On a constaté de plus, 8 mois après le premier traitement chimique, une chute négligeable des feuilles saines.  相似文献   

16.
Des études en laboratoire et en serre ont montré que la présence simultanée d' iprodione et d' huile dans un rapport déterminé au sein d' une formulation crème fluide améliorait la persistance d' action du fongicide. Cette formulation connue sous le numéro de code EXP 1861 et titrant 25 % d' iprodione a été expérimentée depuis 1977 contre la pourriture grise de la vigne ( Botrytis cinerea ). Sur une série de 25 essais de plein champ dont l' infestation des parcelles témoins est supérieure á 20 % (moyenne d' infestation 38,2 %), la répartition des essais en fonction des normes retenues par le « groupe de travail pourriture grise de la vigne >> est la suivante: 22 essais sur 25 réalisés répondent au critere d' efficacité supérieure a 50 %, 18 essais sur 22 répondent au critère du niveau d'infestation inférieur á 20% dans la parcelle traitée. Cette expérimentation situe l' EXP 1861 a un niveau d' efficacite moyen de 75 % environ. Des essais spécifiques ont montré que cette formulation était sans effets phytotoxiques sur la vigne et que le produit n'affectait, ni le processus normal des fermentations, ni les qualityés organoleptiques des vins. Enfin, il faut signaler que l' EXP 1861 tout comme Rovral PM 50 possède une bonne activité sur les maladies causées par les champignons appartenant aux genres Rhizopus, Penicillium, Mucoret Alternaria qui peuvent, par les pourritures qu'ils developpent, entraîner des altérations graves dans les vins.  相似文献   

17.
A partir de 108 stations dans lesquelles des relevés on été effectués en hiver puis en été dans les vergers d'agrumes de la région du Gharb, 216 espéces adventices appartemant à 47 families botaniques ont été recensées. Les annuelles (76%) et I'élément méditerranéen (54%) sont prépondérants et caractérisenl cette flore. Les notations d'abondance et de fréquence ont permis de dégager 29 espéces ayant une nuisibililé non négligeuble vis à vis des agrumes. Dix de ces espéees sont des géophytes particuliérement redoutables. Les variables édaphiques, texture et teneur en calcaire total, ont été les plus déterminantes pour expliquer la distribution des adventices dans la zone d'étude. La comparaison des diflérentes projections des modalités des facteurs à I'aide de 1'Analyse Factorielle des Correspondances a permis d'individualiser trois groupes homogenes d'especes.  相似文献   

18.
par R. LAFON 《EPPO Bulletin》1982,12(2):189-192
La lutte chimique contre la pourriture grise de la vigne est réalisée au moyen d'applications de fongicides à chacune des quatre époques déterminées par la « méthode standard >>. Cette façon de procéder assure régulièrement de bons résultats, mais a posteriori on constate souvent que les quatre traitements ne sont pas toujours nécessaires. Il était done intéressant de rechercher le moyen de prévoir l'utilityé de chaque traitement. L'application expérimentale du modèle de Strizyk a été faite dans ce sens. Avant chaque traitement de la « méthode standard >>, le taux de maladie potentielle est calculé et comparéà une valeur de référence limite. Le résultat de cette comparaison indique si le traitement doit être exécuté ou non. Plusieurs essais ont été réalisés en 1980 dans différents vignobles de France avec des résultats trés encourageants. En général, deux traitements ont étééconomisés sans diminuer la protection à l'égard de la maladie.  相似文献   

19.
Résumé. La folle-avoine ( Avena fatua L.) est en grande expansion dans les cultures d'orge de printemps, en France. Le barbane, le di-allate, la triazine G 34361, le dichlobénil ont été expérimentés, pour détruire sélectivement cette adventice. Ces essais, réalisés en 1961, avaient pour but de déterminer l'action de ces produits sur la folle-avoine, et quelques variétés d'orge, et d'en déduire les conditions pratiques d'emploi.
La dose de 0,7.5 kg/ha de barbane, permet de détruire 80–95% de la population de folle-avoine, lorsqu'elle a 2–3 feuilles. Une bonne régularité de la leveé de l'adventice est un facteur essentiel de réussite des traitements. Les variétés: Rika, Piroline, Irma, Ingrid, Alouette, Wisa, Carlsberg II, peuvent être traitées à la dose précédente sans risque de diminuer leur rendement. La variété Aurore est apparue la plus sensible; des essais ultérieurs seront réalisés pour déterminer s'il est possible de la traiter avec le barbane.
Le di-allate, utilisé avant le semis de l'orge, à la dose de 1 kg/ha, permet une bonne destruction de la folle-avoine, sans nuire à la céréale, sauf dans certaines conditions de sol (terre sableuse). La dose de 2 kg/ha provoque généralement une diminution importante du rendement de l'orge.
La triazine G 34361, utilisée en post émergence et le dichlobénil utilisé en préémergence, n'ont pas une sélectivité suffisante pour detruire la folle-avoine dans l'orge.
Versuche zur Flughaferbekämpfung in Sommergerste  相似文献   

20.
Le mildiou du tournesol causé par Plasmopara halstedii est une maladie économiquement importante. Les dégâts sont particulièrement redoutés lors des printemps humides. En absence de cultivars de tournesol génétiquement résistants, seul le traitement des semences avec des produits systémiques est envisageable. Cette étude a été réalisée pour analyser, sous des conditions contrôlées (chambre de culture), et en plein champ, l'efficacité en traitement de semence de 11 formulations chimiques. Les expérimentations montrent que seules les formulations à base de métalaxyl ou d'oxadixyl assurent un contrôle appréciable du champignon. Celles-ci peuvent assurer une protection totale, sans aucune phytotoxicité sur les plantes, à la dose de 2,5 g de produit commercial par kg de semence pour la formulation '10% métalaxyl+48% mancozèbe' et à la dose de 3 g de produit commercial pour les associations: '10% oxadixyl+56% propinèbe' et '8% oxadixyl+56% mancozèbe+3,2% cymoxanil'.  相似文献   

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