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相似文献
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1.
G. Mathys 《EPPO Bulletin》1975,5(2):87-100
L'étude des répercussions des herbicides sur la biosphère a suscité un vif intérêt depuis que la sauvegarde de l'environnement est devenue une préoccupation prioritaire. La documentation qui s'y réfère est encore fragmentaire; elle concerne l'impact de ces produits sur la faune sauvage, les poissons et les abeilles, ainsi que sur le sol et l'eau en général. Il est fait état des recherches dans ces domaines et des conclusions que l'on peut en tirer. L'eau demeure un point vulnérable dans le cadre des applications de certains herbicides en raison des dangers de contamination par la dérive et des possibilités d'infiltration dans les zones de captage d'eau potable.  相似文献   

2.
L. LANIER 《EPPO Bulletin》1986,16(2):255-263
Les eucalyptus constituent—au moins au meme titre que les genres Pinus et Populus—l'un des genres d'arbres forestiers les plus importants à l'échelle mondiale, et en particulier par l'extension considérable des reboisements (plus de 4 millions d'ha) en régions tropicales, sahéliennes et tempérées chaudes. L'article tente de faire le point sur les problèmes posés par les maladies pouvant gener cet effort de reboisement, notamment en région méditerranéenne, et souligne l'importance et l'avenir des eucalyptus dans cette région. Il est procédéà un inventaire général, à l'échelle mondiale, des maladies des eucalyptus et de l'importance des parasites en cause. Un certain nombre d'entre eux sont étudiés plus en détail, selon qu'ils sont présents dans le pays d'origine des eucalyptus ou dans les zones où ils ont été introduits. Une section est réservée à la région méditerranéenne, où certaines maladies s'en prenant aux racines, aux rameaux, aux feuilles ou au bois ont été identifiées; pour l'instant, la plupart d'entre elles ne sont pas trop graves. Enfin, des propositions et des règles de protection phytosanitaire, visant à restreindre les risques d'introduction des parasites les plus dangereux ou d'extension de ceux existant actuellement, sont citées, en insistant sur les risques de transport de maladies d'une région à une autre par l'intermédiaire des échanges de matériel végétal autres que les graines.  相似文献   

3.
4.
M. HABERT 《EPPO Bulletin》1988,18(3):423-427
Depuis l'automne 1983, le groupe de travail français pluriorganismes (ACTA-INRA-SPV) consacréà l'étude d'Arvicola terrestris scherman a créé et mis en place un réseau d'observations par piégeage exhaustif sur une centaine de communes dans plusieurs régions (Auvergne, Limousin, Franche-Comté, Alsace, Lorraine, Rhône-Alpes). Les piégeurs reçoivent une formation succinte ainsi que des instructions leur permettant de réaliser trois piégeages dans l'année (printemps-été-automne) à l'aide de pièges pinces sur une bande de 100 ± 5 m (méthode Pascal-Meylan). Les fiches de piégeages et le matériel biologique sont collectés et contrôlés par le Service de la Protection des Végétaux. Les autopsies de la totalité des animaux capturés sont assurées par l'INRA ou le SPV. Les résultats sont centralisés au Laboratoire de la Faune Sauvage de l'INRA à Jouy-en-Josas, sous la forme de deux fichiers informatiques. L'analyse globale des premiers résultats des réseaux d'alerte a mis en évidence toute la complexité du phénomène de pullulation chez le campagnol terrestre. Contrairement à l'idée généralement répandue, le phénomène ne présente pas la synchronisation parfaite qu'on lui prête et ceci à diverses échelles: France, région, département, commune. En octobre 1985, en Franche-Comté, nous avons pu délimiter avec précision une zone de 15 communes qui présentait tous les signes précurseurs d'une poussée démographique avec des populations variant de 200 à 370 campagnols à l'hectare. En 1986, plus d'une centaine de communes étaient touchées, regroupées en une zone relativement homogène centrée sur la zone pionnière, avec des densités variant de 200 à 500 campagnols à l'hectare. L'analyse de l'évolution locale des cinétiques de population va nous permettre à terme de diagnostiquer les diverses phases du cycle (croissance, déclin) et en conséquence le déclenchement des alertes agricoles.  相似文献   

5.
Des travaux antérieurs ayant permis de démontrer que des souches non pathogènes de Fusarium sont impliquèes dans les mécanismes de résistance des sols aux fusarioses, nous avons tenté d'utiliser des souches de Fusarium sélectionnées pour lutter contre ces maladies. Les bons résultats obtenus en conditions expérimentales nous ont conduits à mettre en place un réseau d'expérimentation en conditions normales de culture dans des serres de production de tomates et de melons. Le premier problème à résoudre est celui de la production massive d'inoculum, de sa conservation et de son introduction dans les sols et substrats de cultures. La production de l'inoculum est réalisée en fermenteur, les propagules produites soni récupérées par filtration et mélangées avec du talc, support inerte qui après avoir été séché assure la conservation et la distribution de cet inoculum dans des conditions satisfaisantes. Les quantités d'inoculum produites en 1985–86 ont permis de réaliser plusieurs essais de lutte dans des conditions normales de production. L'inoculum protecteur est apporté, soit dans les substrats de culture hors sol au moment de leur ensachage, soit dans les sols en place, immédiatement après leur désinfection au bromure de méthyle. L'installation de la souche protectrice est suivie régulièrement grace à des analyses microbiologiques et la gravité de la maladie est notée régulièrement en cours de culture. Les résultats enregistrés en 1986, variables d'une situation à l'autre, ne permettent pas de porter un jugement définif sur l'intéret de ce procédé de lutte. Ils sont cependant intéressants et permettent d'organiser sur des bases plus solides notre campagne d'expérimentation 1986–87.  相似文献   

6.
Les maladies dues à des micro-organismes vivant dans le sol ne peuvent être caractérisées sans prendre en compte l'ensemble des composants du sol (physiques, chimiques et microbiologiques) où elles se manifestent. C'est pourquoi le concept de potentiel'infectieux du sol proposé se définit comme la quantité d'énergie pathogène stockée et disponible dans le sol. L'expression au champ du potentiel infectieux dépend des facteurs climatiques. Le potentiel infectieux du sol est mesuréà l'aide d'un test biologique appliqué en conditions standards. La relation obtenue entre la quantité de sol et le taux de mortalité sur la population de plantes est modélisée sur la base d'une compétition entre l'agent pathogène et la microflore totale du sol à partir d'un modèle de Lotka-Volterra. Le test biologique et le modèle permettent de caractériser les sols, de déterminer la réceptivité d'un sol à un parasite, de prévoir certains risques de maladie, d'estimer le poids des facteurs climatiques sur la maladie et de prendre en compte les effets directs et indirects des pesticides.  相似文献   

7.
Dans le cadre d'un groupe de travail «Modélisation du Botrytis» l'Institut Technique de la Vigne et du Vin en France a entrepris l'étude des réactions de ce parasite à des conditions d'humectation contrôlées. L'essai est réalisé sur une vigne adulte, sous abri plastique; il couvre 1600 m2 et permet, grâce à un dispositif de brumisan'on, l'étude comparative de 12 régimes d'humectation distincts. Après quatre années successives d'expérimentation, basée sur des protocoles évolutifs, les résultats mènent à des observations intéressantes, mais qu'il est toutefois prudent de ne pas étendre inconsidérément à l'ensemble des cépages ou vignobles. L'effet des humectations successives n'est pas obligatoirement additif, une longue période de sécheresse entre la floraison et la véraison aggravant considérablement les attaques à ce dernier stade. Une même durée d'humectation à la véraison ou 12 jours avant la récolte provoque des dégâts identiques. Les contaminations peuvent s'effectuer simplement en présence d'une humidité relative élevée, sans présence d'eau sous forme liquide; cette HR élevée est capable de créer et surtout d'aggraver fortement les foyers de B. cinerea. Les contaminations artificielles ont eu un effet significatif lors de la floraison. A la véraison l'effet est masqué par l'inoculum naturel. L'étude de la réaction de Botrytis cinereaà différentes durées d'HR élevée reste délicate, un seuil exact restant difficile à estimer vu le niveau de précision des appareils utilisés. En outre, le modèle mis au point par Strizyk a fait preuve d'une précision accrue au fil des expérimentations successives; il semble donc bien adapté au cépage méridional utilisé. La stratégie de traitement a permis de réduire de moitié le nombre d'applications de fongicides dans l'essai, l'expérimentation prouvant toutefois qu'une réduction supplémentaire était possible. Il apparaît donc que cette stratégie, basée sur le modèle Botrytis, est prometteuse mais nécessite encore quelques adaptations afin de la rendre encore plus performante. L'étude des réactions de B. cinereaà certains facteurs climatiques permet done, outre l'amélioration de la lutte contre ce parasite, une meilleure connaissance de ses facteurs d'évolution. Il est possible qu'à l'avenir le facteur humidité relative, alliéà l'hiumectation, procure une fiabilité optimale du modèle, et probablement de la stratégie de lutte en découlant.  相似文献   

8.
Residus d'atrazine el de ses metabolites après une utilisation prolongée De I'atrazine a été appliquée dans un champ cultivé en maïs (Zea mays L.) pendant 20 annees consecutives, a des doses allant de 1.40 a 2.24 kg/ha. L'analyse d'échantillons de sol prélevés 6 et 12 mois après la derniere application a révélé la presence de residus du produit et de ses analogues hydroxy monodealkyles. Les jeunes pousses et les racines de plantes d'avoine (Avena saliva L.) cultivees dans le champ contenaient de l'hydroxytriazine (2-hydroxy-4-éthylamino-6-isopropyl-amino-i-triazine) et l'un de ses analogues monodealkyles sous la forme conjuguée. De l'avoine et de la fléole (Phleum pralense L.), cultivees sur le sol traité, dans une chambre de culture, donnèrent des resultats analogues. Les resultats suggèrent que les applications d'atrazine répétées a long terme annuellement pour le désherbage du maïs conduisent a la persistance dans le sol de certains de ses produits de degradation, principalement des analogues hydroxylés, un an apres la derniere application d'herbicide. Il est concevable que de tels résidus puissent pénétrer dans les cultures vivrières implantées dans un sol traite a 1'atrazine, dans 1'année ou les annees qui suivent la cessation d'un traitement a long terme.  相似文献   

9.
La mise au point à Stuttgart (RFA) en 1974 d'un appareil électronique simple permettant d'intégrer la température, l'humidité relative et l'humectation a permis de mettre en valeur des courbes de Mills, ce qui a facilité la prévision des attaques de tavelure sur pommiers. Les données fournies par les thermohumectographes Bazier et KIT-INRA ont été utilisées en 1975–1976 pour les prévisions de tavelure, dans la moyenne vallée du Rhône. Etant donné que les résultats pratiques se sont révélés satisfaisants, tant sur le plan de l'efficacité que sur celui du coût, il a paru intéressant en 1977 d'établir dans les départements de la Drôme et de l'Ardèche un réseau d'information reposant sur 15 stations d'observations recouvrant environ 4000 ha de vergers de pommiers et de poiriers. Un système amélioré de prévisions qui s'inspire du modèle de Strizyk est à l'étude en 1982.  相似文献   

10.
R. KOPP 《EPPO Bulletin》1988,18(3):393-400
Arvicola terrestris scherman est un rongeur fouisseur dont le régime alimentaire n'a été que très peu étudié bien que les dégâts qu'il occasionne dans les prairies soient très importants, surtout lors des pullulations cycliques. Les méthodes classiques d'investigations (analyses des contenus stomacaux, des réserves alimentaires, etc.) ne rendent que partiellement compte des choix réels. En outre, les travaux effectués sur le terrain ne permettent pas de tirer de conclusions précises sur le sujet, notamment en raison de la grande diversité des espèces végétales présentes. C'est pourquoi nous avons choisi une approche expérimentale: un ‘essai en pâture’ adapté aux campagnols. L'expérience s'est déroulée dans un terrarium de 6 ± 3 m, disposé en pleine terre. Les campagnols placés dans le terrarium avaient le choix entre 12 plantes, cultivées séparément sur de petites parcelles. Ils pouvaient se nourrir, soit en surface, soil à partir de leurs galeries souterraines et restaient ainsi dans des conditions proches de celles de la prairie. Les préférences ont été déduites selon trois méthodes: la comparaison des quantités de matière séche récoltées dans le terrarium et dans un témoin identique, l'observation des signes d'activité des campagnols et l'évolution du recouvrement de la végétation dans chaque parcelle. Les trois ont donné des résultats semblables. Ce premier essai réalisé en 1986 a permis de mettre en évidence une nette préférence pour Medicago sativa, Taraxacum officinale et Trifolium pratense; aucune des graminées présentées n'a été très appréciée malgré leur bonne qualité fourragère.  相似文献   

11.
Les auteurs exposent une partie d'une série d'études préliminaires de plein champ effectuées en 1981 en Alsace, sur Lobesia botrana. Ces observations sur la biologie de l'insecte sont destinées à adapter ultérieurement au vignoble alsacien le modèle de prévision, mis au point dès 1979 par Touzeau pour la région Midi-Pyrénées. Le modèle se réfère à l'apparition des différents stades et des différentes générations de ce ravageur. Chacune des observations effectuées est déterminée par les sous-modèles qui prennent en compte l'évolution de l'espèce au cours d'une saison en fonction de données climatologiques bien définies (sommes de températures plus particulièrement). Seuls sont abordés dans cet exposé les résultats et les observations portant sur la génération printanière.  相似文献   

12.
Depuis 3 ans des souches de Pseudocercosporella herpotrichoides résistantes aux benzimidazoles (bénomyl, cabendazime, thiabendazole) et aux thiophanates (thiophanate-méthyl) sont décelées sur blé d'hiver en France. La résistance croisée positive entre ces fongicides ainsi que la résistance croisée négative vis-à-vis de phényl-carbamates (ex. barbane) sont des caractéristiques générales. Les niveaux de résistance peuvent étre variables avec cependant prédominance de deux catégories de souches résistantes (dont les niveaux de résistance respectifs vis-à-vis du thiabendazole sont voisins de 10 et de 100). En outre, des expérimentations en conditions contrôlées indiquent que la résistance n'affecte ni l'agressivité ni la compétitivité de P. herpotrichoides. Pour pouvoir suivre l'évolution des fréquences des souches résistantes aux benzimidazoles dans la nature, diverses méthodes ont ét expérimentées; celle qui est actuellement retenue et développéc dans les laboratoires de l'INRA (Institut National de la Recherche Agronomique), du Service de la Protection des Végétaux, de l'ITCF (Institut Technique des Céréales et des Fourrages) et de certaines firmes est basée sur l'étude de l'effet du carbendazime sur des implants mycliens. Chaque analyse porte sur 10 à 30 isolats par parcelle. Malgré un nombre élevé d'analyses il est difficile d'avoir une cartographie exacte de la répartition des souches résistantes; il est toutefois clair que les fréquences des souches résistantes sont les plus élevées dans les zones d'utilisation intensive des benzimidazoles (Nord et Bassin parisien) qui peuvent devenir inefficaces. Actuellement, le seul fongicide susceptible de remplacer ces benzimidazoles est un inhibiteur des strols: le prochloraz. Au champ il possède une activitééquivalcnte en l'abscnce ou en présence de souches résistantes aux benzimidazoles et les sondages réalisés jusqu'à maintcnant n'indiquent aucune résistance vis-à-vis de ce fongicide.  相似文献   

13.
L'impact des facteurs climatiques et de leurs aléas sur les cultures est évident, et de ce fait l'agrométéorologie est un élément important dans la prévision des risques phytosanitaires. Les connaissances agrométéorologiques influent non seulement sur l'orientation de l'agriculture, notamment en comparant le climat et les exigences écoclirnatiques des cultures et de leurs parasites, mais sont importantes aussi dans le domaine phytosanitaire et lorsque doit être prise la décision d'une intervention. Les facteurs climatiques ont une incidence sur tous les niveaux de la production agricole, et partant, sur la santé des plantes. Dans cette optique, l'amélioration des systèmes pour recueillir les données, comprenant notamment la mise en place d'un réseau plus dense, pourrait être plus bénéfique à la prévision des risques phytosanitaires et à leur modélisation.  相似文献   

14.
Au Maroc, la mineuse de la tomate Tuta absoluta (Lepidoptera: Gelechiidae) a été signalée pour la première fois en avril 2008 dans la région de Nador, puis s'est propagée rapidement dans toutes les régions de production de tomates. Depuis sa signalisation, des efforts ont été déployés par la profession et les départements techniques du Ministère de l'Agriculture de la Pêche Maritime (MAPM) pour faire face à ce fléau. Le plan d'action 2008–09 se basait sur la surveillance, les approches techniques de lutte dans le cadre d'un programme de protection intégrée, la sensibilisation et l'encadrement des agriculteurs et la production de supports d'information et de vulgarisation. Pour inciter les agriculteurs à adopter une approche de lutte intégrée contre ce ravageur, des subventions ont été mises en place par le MAPM, pour l'acquisition du filet insect proof et de capsules de phéromone à utiliser pour le piégeage de masse. L’ONSSA a également autorisé de nouvelles spécialités phytosanitaires pour lutter contre T. absoluta en cultures de tomate et de pomme de terre. Cette stratégie a fait l'objet d'une évaluation qui a permis de définir un plan d'action pour 2010–11. Ce plan d'action suit les mêmes axes que la campagne précédente tout en mettant l'accent sur la surveillance du ravageur en cultures de tomates de plein champ, le renforcement du programme de sensibilisation et d'encadrement des agriculteurs et le lancement d'un programme de suivi des résidus de produits phytosanitaires dans les tomates. En 2010–11, les attaques de la mineuse de la tomate ont toujours été maitrisées.  相似文献   

15.
Le feu bactérien est une maladie de gravité très variable selon les cultures concernées (poirier, pommier, aubépine, cotoneaster, pyracantha). Elle est aussi plus ou moins destructive selon les régions où elle sévit et selon les années. Ces variations ont sans doute des causes multiples, dont l'une est à l'évidence le climat L'influence du climat sur le développement de la maladie a étéétudiée par plusieurs chercheurs. Seule Billing a mis au point en Angleterre, un système («système 1») qui tente de refléter les potentialités du feu bactérien pendant toute l'année végétative. Il est complété par un second système («système 2») intégrant davantage de données, qui précise les risques pendant la période de floraison principale des plantes-hôtes. L'introduction en France, dans le Nord et le Sud-Ouest, du feu bactérien a permis, sur quelques années, de mettre à l'épreuve ces systèmes, à partir d'observations précises: d'une part par un rapprochement entre l'activité globale du feu bactérien observée et celle qui est prévue selon l'étude climatique et, d'autre part, par une étude plus détaillée des dates d'apparition des symptômes à différentes périodes de l'année. Ces premières études ne permettent évidemment pas de porter un jugement définitif sur la validité globale des systèmes de Billing. On peut cependant avancer que, en ce qui concerne la première floraison des poiriers au moins, on n'a pas relevé de contradiction. Pour les secondes floraisons ou en période sèche (été), ou sur d'autres plantes-hôtes, des aménagements ou d'autres observations pourraient améliorer l'interprétation.  相似文献   

16.
Armillaria obscura est un parasite agressif du pin maritime dans les Landes (Sud-Ouest de la France), alors qu'A. mellea est responsable de pertes importantes dans le vignoble bordelais. La fumigation au bromure de méthyle sous bâches est la méthode de désinfestation couramment utilisée. Des essais de laboratoire ont permis d'établir la DL 95 pour A. obscura dans des baguettes de bois (1738 g·h/m3). Si ces baguettes sont laissées en contact avec le sol pendant 15 jours après le traitement, il est constaté qu'elles sont colonisées par des Trichoderma. Ce résultat confirme l'expérience américaine selon laquelle A. mellea peut être éliminé par des doses sublétales, grâce à un effet indirect sur les antagonistes. Une série d'essais réalisés en plein champ à quatre stations dans le Sud-Ouest de la France a permis de comparer les produits CT déterminés dans le sol à la mortalité d'A. obscura; la DL 100 était proche de 2000 g·h/m3. Vu les valeurs des CT réels, il doit être possible de diminuer la dose couramment utilisée (100 g/m2), compte tenu de la diffusion rapide du fumigant dans les terrains sablonneux et de l'effet des antagonistes naturels à des doses sublétales.  相似文献   

17.
G. Mathys 《EPPO Bulletin》1977,7(3):601-629
L'alignement sur des méthodes normalisées reconnues constitue une simplification considérable du travail pour l'industrie et les instances officielles chargées dévaluer l'efficacité des nouveaux pesticides. Les résultats obtenus en application d'une méthode commune deviennent comparables et les extrapolations ou fractionnements de l'expérimentation sont alors relativement faciles. La France, en 1952 déjà, puis la République Fédérale d'Allemagne ont été parmi les premiers en Europe à reconnaître toute la valeur de létablissement de méthodes agréées par les services officiels et l'industrie. De son côté, le Comité Européen de Recherche sur les Mauvaises Herbes (EWRC) s'est penché sur létude des possibilités de parvenir à une entente sur la façon dévaluer l'efficacité des herbicides, alors que I'OEPP a commencé en 1971 ses travaux sur les rodenticides, insecticides, acaricides et nématicides, ainsi que sur les affections fongiques. Depuis, 5 méthodes intéressant 7 espèces de rongeurs ont été adoptées par les 35 pays membres de I'OEPP et publiées, alors que 5 méthodes concernant les champignons et 10 méthodes les insectes et acariens sont à l'impression; par ailleurs, 29 méthodes font présentement l'objet détudes appro-fondies. Depuis 1976, des contacts ont été pris avec l'ASTM (American Society for Testing and Materials) dans le dessein de parvenir à une harmonisation des technologies à l'échelle inter-régionale.  相似文献   

18.
A la suite des problèmes importants qui se sont posés, il y a une trentaine d'années, pour la qualité sanitaire des plants de fraisiers, certains pays décidèrent de codifier les conditions de production et de mettre en place une certification pour apporter aux utilisateurs des garanties quant à la pureté variétale et au bon état physiologique et sanitaire du plant. La certification des plants de fraisier existe dans un certain nombre de pays européens, tels que la Belgique, la France, la Grande-Bretagne, les Pays-Bas et la Suisse. Dans les pays où il n'existe pas de certification officielle, les pèpiniéristes, conscients de la nécessité de mettre sur le marché des plants de bonne qualité, assurent eux-memes une sélection sanitaire. Les schémas de production mis en place dans les différents pays ont donné satisfaction et la qualité sanitaire des plants vis-à-vis des principales maladies à virus ne pose plus, actuellement, de problème, ce qui ne semble pas encore etre le cas pour d'autres parasites tels que Phytophthora cactorum ou P. fragariae. L'article fait le point sur les règlements techniques de production de plants de fraisiers, l'importance et les objectifs de la certification, le role des organismes assurant son application ainsi que les conditions de multiplication utilisées.  相似文献   

19.
M. PASCAL 《EPPO Bulletin》1988,18(2):249-256
L'élaboration de protocoles de tests en nature de produits rodenticides conduit régulièrement à se poser la question de la reproductibilité des expériences et de la validité de la comparaison des résultats obtenus par diverses équipes travaillant indépendamment. Ces comparaisons ne sont rationnellement possibles qu'à condition de prendre en compte les éléments de la biologie de l'espèce (place de l'expérience dans les cycles annuels et pluriannuels) et ceux du milieu (paysage, passé cultural). Ceci met en évidence le problème plus vaste de la variabilité de l'efficacité des traitements en fonction des facteurs évoqués ainsi que de la rémanence et des effets cumulés de traitements. Le protocole expérimental proposé dans cet article est loin de remplir toutes les exigences requises par un tel test, mais en constitue une approche.  相似文献   

20.
D. CADAHIA 《EPPO Bulletin》1986,16(2):265-283
Ce travail résume la situation phytosanitaire du genre Eucalyptus en se référant aux insectes ravageurs qui mettent en danger les plantations artificielles dans le monde et plus particulièrement dans le bassin Méditerranéen. Parmi les 54 espèces citées, 10 ont dépassé les frontières de leur aire d'origine et, parmi ces derniers, 6 se trouvent sur d'autres continents et 3 dans la région méditerranéenne. Il est fait état aussi des mesures phytosanitaires touchant à la quarantaine, mises en place pour l'Eucalyptusà l'initiative de l'OEPP. Les ravages causés par les insectes polyphages dans la région méditerranéenne sont récapitulés. Les 3 insectes mentionnés sont spécifiquement inféodés au genre Eucalyptus et causent des dégats en région méditerranéenne. La présente étude s'y attache en précisant leur extension et les moyens de lutte susceptibles d'etre mis en oeuvre. En ce qui concerne Ctenarytaina eucalypti quia atteint nos régions durant les années soixante, on assiste à son extension, mais l'action des syrphides prédateurs parvient à en contenir les populations. Quant àGonipterus scutellatus apparu en région méditerranéenne vers 1975, il n'a pas connu l'extension à laquelle on pouvait s'attendre en tenant compte de son potentiel de dispersion élevé. L'espèce demeure peu préoccupante, mais doit faire l'objet d'attention surtout sur les eucalyptus ornementaux où les dégats peuvent etre sensibles. Elle se rencontre sur la Riviera italienne et dans le Midi de la France où ses populations sont controlées par le parasite oophage Patasson nitens. Au cours des dernières années, le ravageur le plus redoutable est certainement Phoracantha semipunctata qui s'est répandu dans la partie occidentale du bassin Méditerranéen. En ce moment, seules la France, la Yougoslavie et la Grèce sont demeurées indemnes. Cette diffusion rapide est à mettre en rapport avec l'état d'extreme déficience des arbres, essentiellement du à la sécheresse et à la pauvreté des sols. La stratégie de lutte menée en Italie s'est révéléc efficace; elle consiste à intervenir dès le début de l'attaque des peuplements en pratiquant des coupes et en utilisant rapidement le bois affecté. De cette facon, l'importance des populations s'est vue considérablement réduite. D'une facon générale, les racines ont donné des repousses vigoureuses sauf dans les cas où les coupes ont été faites tardivement. L'expérience espagnole de lutte par des arbres-pièges sur de vastes étendues est également très intéressante. Par ce moyen il a été possible d'observer une réduction moyenne des populations de 75% avec une rentabilité de 246–611%.  相似文献   

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