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1.
R. DE  PRADO  E. ROMERA  J. JORRIN 《Weed Research》1993,33(5):369-374
The effects of the chloroacetamide herbicides acetochlor, alachlor and propachlor and the pho-tosynthesis-inhibiting herbicides linuron, prometryn and terbutryn on sunflower (Helianthus annuus L.) and atrazine-sensitive and -resistant Amaranthus hybridus L. biotypes were investigated under laboratory conditions. Sunflower tolerated all three chloroacetamides in pre-emergence applications of 1.5–5.0 kg a.i. ha?1 in growth assays. Sunflower also survived doses of 0.5–1.0 kg a.i. ha?1 of linuron, prometryn and terbutryn, although growth reduction and chlorosis of treated plants was observed. These three herbicides inhibited photosynthetic electron transport in in vitro Hill reaction and fluorescence assays and, with terbutryn, photosynthesis recovered upon transfer of the leaves from herbicide solutions to water. The practical significance of these results for the control of weeds in sunflower cultivation in Spain are discussed. Effets d'herbicides chloroacétamides et d'herbi-cides inhibiteurs de la photosynthèse sur la crois-sance et la photosynthèse du tournesol (Helianthus annuus L.) et de Amaranthus hybridus L. Les effets des herbicides chloroacétamides acétochlor, alachlor et propachlor ainsi que des herbicides inhibiteurs de la photosynthèse linuron, prometryne et terbutryne, ont étéétudiés sur le tournesol (Helianthus annuus L.) et sur des biotypes sensibles et résistants d'Amaranthus hybridus L. en conditions de laboratoire. La croissance du tournesol n'était affectée par au-cun des trois chloroacétamides appliqués en prélevée (1,5–5,0 kg m.a. ha?1). Le linuron, la terbutryne et la prometryne (0,5–1,0 kg m.a. ha?1) occasionnaient des réductions de croissance et des chloroses sur le tournesol mais les plantes survivaient. Ces trois herbicides in-hibaient le transport d'électrons photosyn-thétique observé par des mesures de fluorescence et, in vitro par la réaction de Hill. Dans le cas de la terbutryne, la photosynthèse reprenait après transfert des feuilles des solutions d'herbicides dans 1'eau. La signification pratique de ces résultats pour la lutte contre les mauvaises herbes du tournesol en Espagne est discutée. Wirkung von Chloracetamiden und Photosyn-these-hemmenden Herbiziden auf Wachstum und Photosynthese der Sonnenblume (Helianthus annuus L.) und Amaranthus hybridus L. Die Wirkung der Chloracetamid-Herbizide Acetochlor, Alachlor und Propachlor und der Photosynthese-hemmenden Herbizide Linuron, Prometryn und Terbutryn auf die Sonnenblume (Helianthus annuus L.) und Atrazin-empfindliche sowie-unempfindl Amaranthus-hybridus-Biotypen wurde unter Laborbedin-gungen untersucht. In Wachstumstests tolerierte die Sonnenblume alle 3 Chloracetamide bei Vorauflaufanwendung von 1,5 bis 5,0 kg AS ha?1. Auch Dosen von 0,5 bis 1,0 kg AS ha?1 von Linuron, Prometryn und Terbutryn wurden vertragen, aber der Wuchs war beeinträchtig, und Chlorosen wurden beobachtet. Diese 3 Herbizide hemmten den photosynthetischen Elektronentransport bei Versuchen zur Invitro-Hill-Reaktion und Fluoreszenz, und bei Terbutryn stellte sich die Photosynthese nach Überführen der Blätter von der Herbizidlösung auf Wasser wieder ein. Die praktische Bedeutung dieser Ergebnisse für die Unkrautbekämpfung in Sonnenblumenkulturen in Spanien wird diskutiert.  相似文献   

2.
The effects of soyabean Glycine max (L.) Merr. row width, date of planting and year on threshold levels of jimsonweed (Datura stramonium L.) and on jimsonweed seed production were examined over 3 years. Natural infestations of jimsonweed were employed and densities were determined at 3 weeks after planting and also at soyabean harvest. Date of planting affected emergence of both soyabean and jimsonweed seedlings, whereas row width affected weed seedling mortality. Percentage soyabean yield losses attributable to jimsonweed, over all treatments, were greater in the 2 years with above-average rainfall than in the one dry year. Slopes of regression equations and estimates of threshold densities varied significantly among years and between initial and final density counts. The number of jimsonweed seed capsules produced per plant and the number of seeds per capsule declined with jimsonweed density, but the mean number of seeds produced per m2 remained fairly constant over a wide density range. Jimsonweed seed production did not decline significantly until well below the threshold densities determined for soyabean yields. Les facteurs du seuil de nuisibilité et de la production de graines chez Datura stramonium L. dans les cultures de soja (Glycine max. (L.) Merr.) L'influence de l'écartement des rangs de soja, Glycine max (L) Merr., de la date de semis, et de l'année, sur le seuil de nuisibilité et la production de graines chez le Datura stramonium L., a étéétudiée durant 3 années. Les études ont été effectuées sur des infestations naturelles de datura, dont les densités ont été déterminées 3 semaines après le semis ainsi qu'à la récolte. La date du semis influence à la fois la levée du soja et celle du datura, alors que l'écartement des rangs influe sur la mortalité des graines de l'adventice. Dans tous les traitements, les pertes de rendement attribuables au datura ont été plus importantes durant les 2 années où les précipitations on été supérieures à la moyenne que durant une année sèche. Les pentes des équations de régression et les estimations de seuils de nuisibilité variaient d'une manière significative selon les années et entre les comptages initiaux et finaux. Le nombre de capsules par plane et le nombre de graines par capsule diminuaient avec la densité des datura, mais le nombre moyen de graines produites par m2 est resté assez constant dans une large gamme de densité. La production de graines de datura n'a décliné significativement que pour une densité de plantes située bien en dessous du seuil de nuisibilitéà l'égard des rendements du soja. Faktoren, welche die Schädigungsschwelle und Samenproduktion von Stechapfel (Datura Stramonium L.) in Sojabohnen (Glycine max (L.) Merr.) beeinflussen Während drei Jahren wurde in Sojabohnen der Einfluss von Reihendistanz und Saatzeitpunkt auf die Schädigungsschwelle und Samenproduktion von Stechapfel (Datura stramonium L.) untersucht. Diese Studie basierte auf den natürlichen Stechapfelpopulationen; die Zählungen der Populationsdichten erfolgten drei Wochen nach der Sojasaat und bei der Ernte. Der Saattermin beeinflusste das Auflaufen der Sojabohnen und der Stechapfelsämlinge, während die Reihendistanz die Mortalität der Unkrautsämlinge veränderte. Die Steigung der Regressionsgeraden und die Schätzungen der schädigenden Populationsdichte variierten signifikant in den einzelnen Jahren und zwischen der ersten und letzten Zählung. Die Anzahl der von den Stechapfelindividuen produzierten Samenkapseln pro Pflanze und Samenmenge pro Kapsel nahm mit zunehmender Populationsdichte ab; die pro m2 gebildete Samenzahl blieb jedoch über einen weiten Bereich verschiedener Populationsdichten relativ konstant. Die von der Stechapfelpopulation produzierte Samenmenge nahm bis weit unter die für die Sojabohen schädigende Populationsschwelle nicht signifikant ab.  相似文献   

3.
Interspecific competition between Amaranthus chlorostachys Willd. and sunflower (Helianthus annuus L., NSH-33 hybrid) in pure and mixed stands of the same density was studied in small plot experiments to elucidate the ecophysiological responses of the competing species under drought stress. When grown in a mixed stand the extremely low intensity of transpiration in A. chlorostachys resulted in a difference in the water use efficiency (WUE) values of net photosynthesis between the two species. The values were higher in A. chlorostachys. Interspecific competition reduced the total individual plant weight to a greater extent in sunflower than in the weed species by the end of the growing season. Reproductive effort was higher in A. chlorostachys than sunflower and, in our opinion, best reflects the outcome of competi-tion. On the basis of the correlation between WUE and reproductive allocation, reproduc-tive effort in sunflower and A. chlorostachys in both intra- and interspecific competition is determined by the value of WUE, which latter is also of prime importance in drought stress tolerance. Approche écophysiologique de la compétition entre Amaranthus chlorostachys et le tournesol (Helianthus annuus) en condition de stress hydrique La compétition interspécifique entre Amaranthus chlorostachys Willd. et le tournesol (Helianthus annuus L. hybride NSH 33) dans des stations mixtes et simples de densité de plantes identiques (espacement de 35 × 35 cm) a étéétudié dans une expérimentation de plein champ en petites parcelles. Notre but était d'éclairer les réponses écophysiologiques des espèces en compétition (compétition inter et intra spécifique) sous stress hydrique et de mettre en lumière les corrélations entre les processus ecophysiologiques adéquats et les paramètres de la production de biomasse quan-tifiant le résultat de la compétition. Quand la culture a été faite dans des stations mixtes, la très faible intensité de transpiration chez A. chlorostachys a abouti à une différence ultérieure entre les valeurs de l'efficacité de l'utilisation (WVE) de l'eau dans la photosynthèse chez les 2 espèces: celle-ci était plus élevée chez A. chlorostachys. La compétition interspécifique a réduit le poids total des plantes individuelles de faon plus importante chez le tournesol que chez la mauvaise herbe à la fin de la saison de croissance. L'importance de la reproduction, qui à notre avis reflète le mieux le résultat de la compétition exprimée dans une aptitude à se reproduire plus élevée chez A. chlorostachys que chez le tournesol. Sur la base de la corrélation entre WVE et l'aptitude à se reproduire, l'importance de la reproduction chez le tournesol et A. chlorostachysà la fois en compétition intra et inter spécifique est déterminée par la valeur de WVE, qui est aussi de première importance dans la tolérance au stress hydrique. Ökophysiologische Untersuchung der Konkurrenz zwischen Amaranthus chlorostachys und Sonnenblume (Helianthus annuus) unter Trockenstreβ Die Konkurrenz zwischen Amaranthus chlorostachys Willd. und der Sonnenblume (Helianthus annuus L., ‘NSH-33’) in Rein- und Mischbeständen gleicher Pflanzendichte (Abstand 35 cm) wurde in Feldversuchen auf kleinen Parzellen untersucht. Die ökophysiologische Reaktion der konkurrierenden Arten (bei intra- und interspezifischer Konkurrenz) unter Trockenstreß, die Beziehungen zwischen den relevanten ökophysiologischen Prozessen und die Biomasseproduktion unter dem Einfluß der Konkurrenz sollten bestimmt werden. In Mischbeständen führte die extrem niedrige Intensität der Transpiration von Amaranthus chlorostachys zu einer noch verstärkten Differenz zwischen den Werten der Wasserausnutzung (WUE) der Netto-Photosynthese der beiden Arten, die bei Amaranthus chlorostachys höher waren. Die interspezifische Konkurrenz verringerte die Einzelpflanzenmasse bei der Sonnenblume zum Ende der Vegetationsperiode stärker als beim Unkraut. Der Repro-duktions-Aufwand, der unserer Meinung nach die Konkurrenzwirkung am besten widerspiegelt, war bei Amaranthus chlorostachys höher als bei der Sonnenblume. Er wird bei beiden Arten sowohl bei intra- als auch interspezifischer Konkurrenz durch den Wert der WUE bestimmt, die auch für die Trockenstreß-Toleranz sehr wichtig ist.  相似文献   

4.
Field experiments were conducted from 1989 to 1992 to determine the effects of pre-emergence herbicides in sunflower (Helianthus armuus L.) on: (1) the control of Orobanche cemua Loefl. (broomrape) and (2) crop damage and crop yield. Herbicides tested belong to the imidazolinone, sulfonylurea and substituted amide families. Imazethapy r (20–40 g ha?1), imazapy r (12.5–25 gha?1) and chlorsulfuron (4–6 gha?1) controlled broomrape efficiently without crop injury. With good O. cernua control and good crop tolerance, sunflower seed yield from these treatments were generally similar to the non-infested checks and higher than the infestedchecks. Imazaquin (20–40 gha?1), triasulfuron(4gha?1), pdmisulfuron(3g ha?1), acetochlor (4–4 kg ha?1) and metazachlor (2 kg ha?1) were less effective. Imazamethabenz (200–600 g ha?1) and metolachlor (3–3 kg ha?1) were ineffective. Wetconditions aftercropsowing considerably decreased O. cemua control with pre-emergence herbicides probably caused by enhanced degrädation. Des herbicides de prelevee pour la lutte contre Vorobanche (Orobanche cemua Loefl.) dans le toumesol (Helianthus annuus L.) Des expérimentations au champ ont été conduites de 1989 á 1992 pour determiner les effets d'herbicides de pré1evée du toumesol sun (a) la destruction de l'orobanche (Orobanche cernua Loefl.) et (b) la phytotoxcité sur la culture. Les herbicides testés appartenaient aux imidazolinones, aux sulfonylurdes et aux amides substituées. L'imazethapyr (20 á 40 gha?1), l'imazapyr (12,5 á25gha?1)et le chlorsulfuron (4 á 6 gha?1) détruisaient efficacement l'orobanche sans occasionner de phytotoxidt6 sur la culture. Dans ces conditions, les rendements étaient généralement semblables à ceux des témoins non infestés et supérieurs à ceux des témoins infestés. L'imazaquin (20 à 40 g ha?1), le triasulfuron (4 gha?1), le primisulfuron (3 g ha?1), lacétolachlor (4,4 kg ha?1) et le métazachlor (2 kg ha?1) étaient moins efficaces. L'imazaméthabenz (200 á 600 g ha?1) et le métolachlor (3,3 kg ha?1) etaient inefficaces. Des conditions humides aprfes le semis diminuaient considérablement la destruction de O. cemua par les herbicides de prélevée, probablement à cause d'une dégradation plus élevée. Vorauflaufherbigide zur Bekdmpfung der Sommerwurz Orobanche cemua Loefl. in Sonnenblume (Helianthus annuus L.) Zwischen 1989 und 1992 wurden in Sonnenblume Feldversuche zur Wirkung von Vorauflaufherbiziden aus den Gruppen der Imidazolinone, Sulfonylharnstoffe und substitutierten Amide auf die Sommerwurz Orobanche cernua und auf Kulturpflanzenschaden sowie den Ertrag durchgefuhrt. Mit Imazethapyr (20 bis 40 g ha?1), Imazapyr (12,5 bis 25 g ha?1) und Chlorsulfuron (4 bis 6 g ha?1) lieβ sich die Sommerwurz wirksam bekampfen, ohne daβ Schaden an der Sonnenblume auftraten, und die Ertrage waren allgemein ahnlich oder hoher als bei der nichtparasitierten Kontrolle. Imazaquin (20 bis 40 ha?1), Triasulfuron (4 g ha?1).Primisulfuron (3 g ha ?1). Acetochlor (4,4 kg ha ?1 und Metazachlor (2 kg ha ?1) waren weniger wirksam. Imazamethabenz (200 bis 600 g ha?1) und Metolachlor (3,3 kg ha?1) hatten keine Wirkung. Bei Niederschlagen nach der Saat der Sonnenblume war die Bekampfung der Sommerwurz mit Vorauflaufherbiziden vermutlich wegen verstärkten Abbaus erheblich schwächer.  相似文献   

5.
In 1986, the Working Group on Biological Control within the European Weed Research Society planned a weed survey in 10 major crop systems throughout Europe. They were: (1) winter and (2) spring cereals, (3) maize and sorghum, (4) potatoes, (5) sunflower and soya, (6) colza (winter rapeseed), (9) sugar beet and (10) temperate orchards and irrigated Mediterranean orchards. Questionnaires were sent out to prominent weed scientists in all 26 European countries to rate the abundance and frequency of important weeds according to three classes for all crop systems in their respective countries. The results of the survey are presented. Based on the per cent of maximum score attained by individual weed species the 15 most important weeds were determined for each crop, and the 20 top scoring weeds for all crop systems combined. The prospects for biological control of weeds in Europe are discussed. Etude européenne des mauvaises herbes de dix cultures majeure.s en vue d'identifier les possi-bilités de lutte biologique En 1986, le Groupe de travail sur la lutte biologique au sein de la Société Europeenne de Mal-herbologie (European Weed Research Society) a organisé une enquete sur les mauvaises herbes présentes dans dix cultures majeures d'Europe: (1) céréales d'hiver et (2) d'été, (3) maïs et sorgho, (4) pomme de terre, (5) tournesol et soja, (6) colza, (7) cultures légumières, (8) vignes et verges méditerranéens non irrigués, (9) bet-terave à sucre et (10) vergers de la zone tem-pérées et méditerranéens irrigués. Des questionnaires ont été envoyés à des mal-herbologues reconnus des 26 pays européens pour, au moyen d'une classification à trois niveaux, évaluer dans leur pays 1'abondance et la fréquence des mauvaises herbes importantes dans ces systèmes de culture. Les résultats de 1'enquête sont présentés. Les 15 mauvaises herbes les plus importantes ont été déterminées pourchaque culture en fonc-tion du pourcentage du score maximum atteint par les différentes espèces, ainsi que les 20 mauvaises herbes obtenant les plus haul scores pour toutes les cultures combinées. Les possibilités de lutte biologique centre les mauvaises herbes en Europe sont discutees. Erhebung über die Verbreitung europäischer Unkrautarten als mögliche Zielefiir eine biologis-che Bekämpfung in zehn Hattptkultiiren Die Arbeitsgruppe ‘Biologische Bekämpfung’ der Europäischen Gesellschaft für Herbologie plante 1986 eine Unkrautaufnahme in 10 großen Kulturen in ganz Europa: (1) Wintergetreide. (2) Sommergetreide, (3) Mais und Sorghum, (4) Kartoffel, (5) Sonnenblume und Soja, (6) Winterraps, (7) Gemüse, (8) Wein und nichtbewässerte mediterrane Obstkulturen, (9) Zuckerrübe und (10) mitteleuropäische und bewässerte mediterrane Obstkulturen. Das Ergebnis einer Umfrage in allen 26 europäischen Ländern über die Abundanz und Frequenz wichtiger Unkräuter wird dargestellt. Die 15 für jede Kultur wichtigsten Arten und die 20 allgemein häufigsten Arten wurden bestimmt. Die Möglichkeiten der biologischen Unkrautbekämpfung in Europa werden diskutiert.  相似文献   

6.
In field experiments, sunflower (Helianthus annuus L. cv. Hybrid 894) showed sufficient tolerance to metribuzin to permit use of this herbicide to control selectively several broad-leaved weeds, including wild mustard (Sinapis arvensis L.). Metribuzin, at rates up to 0.3 kg ai ha−1, applied pre-emergence to sunflower and soil incorporated to a depth of 2.5 cm with a spike tooth harrow, did not injure sunflower plants growing in clay loam soil containing 5.3% O.M. A similar treatment injured sunflowers planted in a fine sandy loam soil with 4.5% O.M. Results from controlled-environment studies supported the field results. Metribuzin as a postplant, shallow incorporation treatment offers a practical method for the selective control of wild mustard and other broad-leaved weeds in sunflowers grown on clay loam soils. Effet de la méthode d'incorporation et du type de sol sur la sélectivité de la métribuzine chez le Tournesol (Helianthus annuus L.) Au cours d'essais au champ, la métribuzine a été suffisamment bien tolérée par le tournesol (Helianthus annuus L. cv. Hybrid 894) pour pouvoir être utilisée pour le contrôle sélectif de plusieurs dicotylédones, y compris la moutarde sauvage (Sinapis arvensis L.). La métribuzine, jusqu'à la dose de 0,3 kg ma ha−1, appliquée en pré-levée et incorporée à la profondeur de 2,5 cm avec une herse à dents, n'a pas été phytotoxique pour le tournesol cultivé sur un sol limonoargileux contenant 5,3% de matière organique. Un traitement similaire s'est montré phytotoxique pour les tournesols dans un sol fin limonosableux avec 4,5% de matière organique. Les résultats d'études en conditions contrôlées concordent avec les observations au champ. La métribuzine administrée en traitement de postsemis à faible profondeur offre une possibilité pratique de contrôle sélectif de la moutarde sauvage et d'autres dicotylédones chez le tournesol cultivé sur les sols limono-argileux. Einfluss von Einarbeitungsmethode und Bodentyp auf die Selektivität von Metribuzin in Sonnenblumen (Helianthus annuus L.) In Feldversuchen zeigten Sonnenblumen (Helianthus annuus L. cv. Hybride 894) gegenûUber Metribuzin eine genügend höhe Toleranz, um den Einsatz dieses Herbizids zur selektiven Bekämpfung verschiedener breitblättriger Unkräuter, incl. Ackersenf (Sinapis arvensis L.), zu ermöglichen. In tonigem Lehm mit 5,3% organ. Substanz bewirkte Metribuzin in Dosierungen bis zu 0,3 kg ai ha−1 preemergent in Bezug auf Sonnenblume appliziert und in eine Tiefe von 2,5 cm eingehackt, an der Kultur keine Schäden. In feinem sandigen Lehm mit 4,5% organ. Substanz wurden die Sonnenblumen durch eine ähnliche Behandlung geschädigt. Ergebnisse von Untersuchungen unter kontrollierten Umweltbedingungen bestätigten die Feldresultate. Metribuzin, nach der Aussaat flach eingearbeitet, ermöglicht auf tonigen Lehmböden eine selektive Bekämpfung von Ackersenf und anderen breitblättrigen Unkräutern.  相似文献   

7.
In oil palm seedlings grown in polybags, delaying the initial hand-weeding of both the polybags and the intervening ground by up to 16 weeks after sowing and subsequently weeding at intervals of 2–6 weeks, had no adverse effects on seedling growth. A delay of initial weeding for 20 weeks after sowing and weeding intervals of 8 weeks retarded seedling growth, particularly number of leaves/plant, plant height and girth, leaf area index and seedling dry weight. Initial weeding delayed beyond 4 weeks after sowing and weeding intervals longer than 2 weeks progressively increased both weed growth and the number of oil palm seedlings affected by blast caused by Rhizoctonia lamellifera Small and Pythium splendens Braun. The seedling population at the end of the experiment was, however, similar in all the weeding treatments. Plant height was the only parameter of seedling growth significantly influenced by different combinations of weeding the polybags and the intervening ground separately at intervals of 4, 8 and 12 weeks respectively, starting after sowing. In view of these findings, four to six weedings after sowing, rather than the present monthly weedings, are recommended over a 12-month period in a polybag oil palm nursery. Effets de l'époque et la fréquence des sarclages sur des jeunes plants de palmier à l'huile (Elaeis guineensis Jacq.) cultivés en polysac Pour les jeunes plants de palmier à l'huile cultivés en polysacs, retarder jusqu'à 16 semaines après le semis le premier sarclage manuel des polysacs ainsi que du sol avoisinant et sarcler ensuite à l'intervalles de 2–6 semaines n'a pas nui à la croissance des jeunes plants. Cette croissance a été réduite quand le premier sarclage a été retardé jusqu'à 20 semaines après le semis et que les sarclages ultérieures ont eu lieu à des intervalles de 8 semaines. La réduction s'est fait voir surtout dans le nombre de feuilles par plante, la hauteur et la circonférence des plantes, l'index ce la surface foliaire et le poids sec des plants. Lorsque le premier sarclage a été retardé jusqu'à plus de 4 semaines après le semis et que les sarclages se sont faits à intervalles de plus de 15 jours, l'enherbement est devenu progressivement plus fort ainsi que le nombre de jeunes palmiers touchés par la brûlure provoquée par Rhizoctonia lamellifera Small et Pythium salendens Braun. Néanmoins la population déjeunes plants à la fin de l'expérience était semblable pour tous les systèmes de sarclage. Seule la hauteur des jeunes plants a témoigné d'une influence significative lorsque les polysacs et le sol avoisinant ont été désherbé indépendamment l'un de l'autre à intervalles de 4, 8 et 12 semaines respectivement, à partir du semis. A base de ces résultats, on conseille 4–6 sarclages pendant 12 mois à partir du semis, au lieu des sarclages mensuels pratiqués actuellement dans les pépinières de palmier à l'huile. Ueber die Wirkung von Anzahl und Zeitpunkt der Handjätungen in Oelpalmen-Baumschulen (Elaeis guineensis Jacq.) In dieser Studie wird untersucht, welchen Einfluss der Zeitpunkt der ersten Handjätung und die Intervalle zwischen den folgenden manuellen Unkrautentfernungen auf die Entwicklung der in Kunststoffbehältern kultivierten Sämlinge der Oelpalme ausüben. Es wurde kein negativer Einfluss auf des Wachstum der Sämlinge beobachtet, wenn die erste Handjätung bis zu 16 Wochen nach der Aussaat verzögert worden war und die späteren Jätungen in Intervallen von 2–6 Wochen ausgeführt wurden. Hingegen hatten ein Hinausschieben der ersten Entunkrautung auf 20 Wochen nach der Aussaat und Intervalle von 8 Wochen zwischen den weiteren Jätungen eine negative Auswirkung auf die Entwicklung der Sämlinge, insbesondere auf die Anzahl Blätter pro Pfianze, Pflanzenhähe und Stammumfang, Blattflächenindex und Trockengewicht der Sämlinge. Erfolgte die erste Unkrautentfernung später als 4 Wochen nach der Saat und wurden die Intervalle zwischen den späteren Jätungen auf mehr als 2 Wochen ausgedehnt, nahmen in steigendem Masse die Unkrautentwicklung und die Anzahl der durch Rhizoctonia lamellifera Small und Pythium splendens Braun. befallenen Oelpalmensämlinge zu. Immerhin waren am Ende des Versuchs die Sämlingspopulationen in alien Versuchsvarianten ähnlich. Die Pflanzenhöhe war der einzige Parameter des Sämlingswachstums, der durch die verschiedene Kombinationen der separaten Jätungen der Plastikbehälter und des dazwischenliegendun Terrains in Intervallen von 4, 8 und 12 Wochen nach der Aussaat signifikant beeinflusst wurde. Aufgrund der vorliegenden Resultate sind viersechs manuelle Unkrautentfernungen über eine Periode von 12 Monaten verteilt, den heuteüblichen monatlichen Jätungen in Oelpalmen-Baumschulen vorzuziehen.  相似文献   

8.
D. PAYEN 《EPPO Bulletin》1983,13(2):277-281
Un facteur limitant de la contamination du tournesol par Sclerotinia sclerotiorum a été mis en évidence. Ce facteur concerne la présence d'eau libre à la surface du capitule durant 40 heures consécutives; il est sous l'étroite dépendance des conditions climatiques. Un modèle opérationnel a été mis au point pour déterminer, en fonction des paramètres météorologiques standards, la durée d'humectation des capitules de tournesol. Les résultats du modèle ont été confrontés à des observations et ont montré son aptitude à mettre en évidence les longues durées d'humectation. Une simulation a ensuite été effectuée sur une période de 30 années dans plusieurs régions de culture du tournesol, afin de délimiter les zones où le climat est favorable aux épidémies de Sclerotinia sclerotiorum et de déterminer ainsi la potentialité climatique de la maladie en France.  相似文献   

9.
In pot experiments on Panicum repens manual and chemical defoliation at intervals of 2–6 weeks decreased the growth of shoots, roots and new rhizomes and reduced the carbohydrate reserves. The most frequent manual defoliation did not completely suppress growth even when continued for 9 months. The plants were killed, however, by application of paraquat at doses of 0–14-0′56 kg/ha every 2 weeks for a period of 3 months. It is suggested that repeated mechanical defoliation may help to reduce plant vigour and limit the rate of spread in the field and that it may be possible to develop a method of more permanent control based on repeated application of paraquat. Quelques effets de la ddfoliation manuelle et chimique sur la croissance el les reserves en hydrates de carbone de Panicum repens (L.) Beauv. Dans des expériences en pots sur Panicum repens, des défoliations manuelles et chimiques effectuées à des inter-valles de 2 à 6 semaines ont diminué la croissance de la partie aérienne, des racines, et des nouveaux rhizomes et ont réduit les réserves en hydrates de carbone. Dans la plupart des cas, Ia défoliation manuelle n'a pas complétement supprimé la croissance, mêmc lorsquété a ete poursuivie pendant 9 mois. Toutefois, les plantes ont été tuées par une application de paraquat à des doses de 0,14 à 0,56 kg/ha, toutes les deux semaines pendant une pédode de 3 mois. Ceci suggére que les défoliations mécaniques répétées peuvent contribuer à la réduction de la vigueur de la plante et à la limitation du taux d'infestation au champ, ce qui rendrait possible l'établissement d'une méthode de lutte plus définitive, basée sur des applications répétées de araquat. Einige Auswirkungen von mechanischer und chemischer Blattabtötung auf das Wachstum und die Kohlehydratreserven von Panicum repens (L.) Beauv. Bei Topfversuchen mit Panicum repens verminderte mechanische und chemische Blattabtötung in AbstSaUden von 2–6 Wochen das Wachstum von Spross, Wurzel und neuen Rhizomen. Ebenso wurden die Kohlehydratreserven herabgesetzt. Die in Abstönden von zwei Wochen durchgeführte mechanische Blattabtötung führte auch nach neun Monaten nicht zu einer vollständigen Unterdrückung des Wachstums. Jedoch wurden die Pftanzen durch Paraquat abgetötet wenn dieses in zweiwöchigem Abstand drei Monate hin-durch in Aufwandmengen von 0.14–0.56 kg/ha angewandt wurde. Es wird angenommen, dass wiederholte mechanische Blattabtötung dazu beilrägt, die Widerstandsfähigkeit der Pflanzen zu vermindern und die Ausbreitung im Feld zu begrenzen, Es wird der Hoffnung Ausdruck gegeben, dass es möglich sein wird, eine Methode fur länger anhaltende Bekämpfung auf der Grundlage von wiederholt ausge-brachtem Paiaquat zu entwickeln.  相似文献   

10.
In both field and laboratory studies it was shown that C. nutans ssp. nutans requires vernalization for floral initiation. Short days before the vernalization period reduced both the need for vernalization and for subsequent long days. In a field experiment, seedlings were planted over a 12 month period at three densities and two soil fertility levels and their development recorded. Here also plants did not become reproductive unless exposed to low temperatures during winter, but uneven development resulted when exposure to chilling was shortened. Density and fertility treatments did not significantly affect plant development. Growing degree day and vernalization degree sums were calculated to predict bolting dale. The pattern of development in C. nutans is discussed in relation to its adaptability and to the optimum timing of herbicide application in Australia. Recherches biologiques sur Carduus nutans (L.) ssp. nutans II. Vernalisation et dévebppement phénoiogique Dans des expériences aussi bien au champ qu'en laboraioire, il a été constaté que C. nutam ssp. nutans exige une vernalisation pour permettre l'initiation florale. Des jours courts avant la période de vernalisation ont réduit à la fois le besoin de vernalisation et de jours longs consecutifs. Dans une expérience au champ, les plantules ont été repiquées au cours d'une période de 12 mois, à trois densités et à deux niveaux de fertiltié du sol; leur développement a été enregistré. Ici aussi, les plantes ne sont devenues reproduettves quà condition d'avoir été exposées à des températures basses pendant l'hiver. Lorsque la durée de l'exposition au froid a été raccourcic, ilen est resulté un développement irrégulier. La densité et les traitements fertilisants n'ont pas affecté significativement le développcment des plantes. Les sommes de temperatures journalières ont ete calculées. ainsi que pour la vern a lisation en vue de prévoir la date de levée. Les modalités du développement de C. nutans sont discutées en relation avec son adaptabilité et l'epoque optimale du traitement herbicide en Australie. Untersuchungen zur Biologic von Carduus nutans (L.) ssp. nutans II. Vernalisation und phänologische Entwicklung Sowohl mit Feld-, als auch in Laborversuchen wurde gezeigt, dass C. nutains ssp. nutans für die Bildung von Blülenknospen eine Vernalisierung benötigt. Kurzlagbedingungen vorder Vernalisationsperiode reduzierten den Vernalisationsbedarf und die anschliessenden Langtagbedingungen. In einem Feldversuch wurden Samlinge über 12 Monate bei drei verschiedenen Pflanzendichten und zwei Düngestufen gepflanzt und ihre Fniwicklung verfolgt Auch hier gingen die Pflanzen nicht in die reproduktive Phase über, wenn sie im Winter nicht niedrigen Temperaturen ausgesetzt waren: verkürzte Kälteperioden hatten eine unglciehmässige Entwicklung zur Folge. Pflanzeudichte und Dungung wirklen sich nicht signifikant auf die Lntwicklung der Pflanzen aus. Mit Hilfe der Tageslänge und Vernalisationsdaten wurde der Zeitpunkt des Schossens der Pflanzen vorhergesagt. Die Art und Weise der lint wicklung von C. nutans wird mit der Anpassungsfähigkeit dieser Pflanze und dem günstigsten Zeitpunkt fur die Herbizidbehandlung unter australischen Verhältnissen in Beziehung gebracht.  相似文献   

11.
In four field experiments on a sandy loam, granular propachlor gave similar weed control to the wettable powder formulation but sometimes caused greater injury to drilled cabbage (Brassica oleracea L. var. capitata). Propachlor incorporated to 3 cm before drilling gave slightly poorer weed control than when surface-applied after drilling. A combination of 056 kg/ha trifluralin incorporated and 2·18 or 4·37 kg/ha propachlor after drilling gave better weed control than 1·12 kg/ha trifluralin or 4·37 kg/ha propachlor applied alone, and the marketable yields did not differ significantly from those of hand-weeded controls. When 4·37 kg/ha propachlor was incorporated with 0·56 kg/ha trifluralin before drilling the results were almost as good, and suggest that at suitable doses the two herbicides might be applied in one operation. Traitements combinés avec le propachlore et la trifluraline pour le désherbage du chou Dans quatre essais au champ sur un limon sableux, le propachlore granulé a donné un désherbage analogue à celui obtenu avec la formulation en poudre mouillable mais a provoqué parfois des dommages plus importants au chou cabus (Brassica oleracea L. var. capitata). Le propachlore incorporféà la profondeur de 3 cm avant le semis a eu un effet désherbant légérement plus faible qu'en traitement de surface aprés le semis. La combination d'une application de trifluraline incorporée à la dose de 0,56 kg/ha avec un traitement au propachlore aux doses de 2,18 et 4,37 kg/ha aprfès le semis, a donnféa une meilleure efficacité que 1,12 kg/ha de trifluraline ou 4,37 kg/ha de propachlore appliqués seuls, et les productions commercialisables n'ont pas été différentes de celles obtenues avec les témoins désherbés k la main. Lorsque le propachlore a été incorporé, à la dose de 4,37 kg/ha en association avec 0,56 kg/ha de trifluraline avant le semis, les résultats ont été presque aussi bons, ce qui suggère que à des doses convenables les deux herbicides peuvent être appliqués en une seule opération. Unkrautbekämpfung in Kohl mit kombinierten Behandlungen von Propachlor und Trifluralin In vier Feldversuchen auf sandigem Lehm wurde mit Propachlor-Granulat und Propachlor-Spritzpulver das Unkrautetwa gleieh gut bekämpft. Das Granulat verursaehte aber manchmal grossere Schäden bei gesätem Kohl (Brassica oleracea L. var. capitata). Wenn Propaehlor vor der Saat 3 cm tief eingearbeitet wurde, hatte man eine geringfugig schlechtere Unkräutbekampfung als bei Bodenbehandlung nach der Saat. Eine Kombination von 0,56 kg/ha Trifluralin (Einarbeitung) und 2,18 oder 4,37 kg/ha Propachlor nach der Saat, führte zu einer besseren Unkräutbekampfung als 1,12 kg/ha Trifluralin oder 4,37 kg/ha Propachlor alleine und die vermarktbaren Brnten entsprachen etwa denen der gejäteten Kontrollparzellen. Wenn 4,37 kg/ha Propachlor mit 056 kg/ha Trifluralin vor der Saat eingearbeitet wurden, waren die Ergebnisse fast genauso gut und lassen vermuten, dass bei entsprechenden Aufwandmengen die beiden Herbizide in einem Arbeitsgang ausgebracht werden könnten.  相似文献   

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Possible mechanism(s) of resistance to auxinic herbicides in wild mustard (Sinapis arvensis L.) were investigated by characterizing responses of susceptible and resistant biotypes to 2,4-D, di-camba or picloram. No differences between bio-types were observed in absorption, translocation, or metabolism of foliar-applied radiolabelled herbicides. In contrast, the levels of ethylene production varied between biotypes. The susceptible biotype produced twofold and sixfold more ethylene than the resistant biotype within 4 h and 44 h of herbicide application, respectively. These results suggest that the mechanism of resistance in wild mustard is not due to differences in absorption, translocation, or metabolism. Ethylene production studies imply that resistance to auxinic herbicides may be attributed to altered target site(s) of action. Bases physiologiques de la résistance aux herbicides auxiniques d'un biotype de moutarde des champs (Sinapis arvensis L.) Les mécanismes possibles de la résistance aux herbicides auxiniques chez la moutarde des champs (Sinapis arvensis L.) ont été recherchés en caractérisant les réponses de biotypes résis-tants et sensibles au 2,4-D, au dicamba et au pi-clorame. Aprés application des herbicides radioactifs sur le feuillage, aucune différence d'absorption, de migration ou de métabolisme n'a été observée. Par contre, la production d'éthylene différait entre les biotypes. Le biotype sensible produisait 2 et 6 fois plus d'éthylène que le biotype sensible, respectivement 4 et 44 heures après l'application d'herbicide. Ces résultats sug-gèrent que la résistance aux herbicides auxiniques chez la moutarde des champs n'est pas due à des différences d'absorption, de migration ou de métabolisme mais pourrait provenir d'une altération du site d'action. Physiologische Untersuchung der Resistenz eines Acker-Senf-(Sinapis arvensis-) Biotyps gegenüber Wuchsstoffherbiziden Der mögliche Mechanismus der Resistenz gegenüber Wuchsstoffherbiziden beim Acker-Senf (Sinapis arvensis L.) wurde unhand der Reaktion von empfindlichen und resistenten Biotypen gegenüber 2,4-D, Dicamba oder Picloram untersucht. Hinsichtlich Absorption, Translokation oder Metabolismus der auf die Blätter applizierten, radioaktiv markierten Her-bizide wurden keine Unterschiede beobachtet. Die Ethylenbildung variierte jedoch zwischen den Biotypen. Der empfindliche produzierte in-nerhalb 4 oder 44 Stunden nach der Herbizid-applikation 2-bzw. 6mal mehr Ethylen als der resistente. Aus den Ergebnissen läßt sich schließen, daß beim Acker-Senf der Resisten-zmechanismus nicht in der Absorption, der Translokation oder dem Metabolismus liegt, sondern die Ethylenbildung daran beteiligt ist, wo die Wirkorte fur die Wuchsstoffherbizide liegen.  相似文献   

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A study on the population dynamics of broom-rape (Orobanche crenata Forskal) in faba bean (Viciafaba L.) was conducted in two locations for 8 years. The O. crenata seed bank increased every year in the 20-cm depth arable layer until it reached approximately 4 million (M) seeds m?2. Seed viability ranged between 53% and 68%, approximately half of the seeds remaining dormant. About 3 × 10?3% of the seed bank became attached to the root system of the faba beans. Only 9% of the attached broomrapes developed and emerged from the soil, possibly reflecting high levels of intraspecific competition. Maximum broomrape seed production for a population of 53 emerged broomrapes per m2 was approximately 4 M seeds m?2. About 43% of the seeds produced were not incorporated into the soil, most probably as a result of their degradation, decomposition or dispersion. Stock semencier et autres paramètres démographiques de I'orobanche crénelée (Orobanche crenata Forsk.) dans des cultures de féverolle (Vicia faba L.) Une étude de la dynamique de populations d'orobanche crénelée (Orobanche crenata Forsk.) dans des cultures de féverolle (Viciafaba L.) a été menée pendant 8 années sur deux sites. Le stock semencier de O. crenata a augmenteéchaque année dans la couche (20 cm) arable du sol jusqu'à atteindre 4 millions (M) de graines m?2. La viabilité des graines était comprise entre 53 et 68%, approximativement la moitié d'entre elles présentaient une dormance. Environ 3 × 10?3% du stock semencier adhérait au système racinaire de la féverolle. Seulement 9% des orobanches adhérantes se développaient et levaient, ce qui pourrait refléter une compétition intraspécifique importante. La production maxi-male de graines par une population de 53 orobanches levées au m2était d'environ 4 M graines m?2. Environ 43% des graines produites n'étaient pas incorporées au sol, très prob-ablement en raison de leur dégradation, de leur décomposition ou de leur dispersion. Bodensamenbank und andere populationsde-mographische Parameter der Sommerwurz Orobanche crenata Forsk. in Bestanden der Acker-Bohne (Vicia faba L.) Bei einer Untersuchung der Populationsdy-namik der Sommerwurz Orobanche crenata Forsk. in Beständen der Acker-Bohne (Vicia faba L.) an 2 Orten über 8 Jahre hin nahm die Bodensamenbank in der Pflugzone von 20 cm Tiefe jedes Jahr zu, bis sie rund 4 Millionen Samen m?2 erreichte. Die Lebensfähigkeit der Samen lag bei 53 bis 68%, etwa die Hälfte war dormant. Ungefähr 3 × 10?3% kamen mit den Bohnenwurzeln in Berührung. Nur 9% davon entwickelten sich und wuchsen heran, worin vielleicht der hohe Grad intraspezifischer Konkurrenz zum Ausdruck kommt. Die höchste Zahl gebildeter Samen eines Sommer-wurzbestands von 53 Pflanzen m?2 war rund 4 Millionen. Etwa 43% der gebildeten Samen gelangten nicht in den Boden, wahrscheinlich weil sie zerstört oder verweht wurden.  相似文献   

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Mit den Herbiziden Dicuran (Chlortoluron) und Tramat (Ethofumesat) wurden Freiland- und Laborversuche zur Untersuchung des Abbauverhaltens und der Wirkung auf Nachbaukulturen durchgeführt. Diese dienten der Validierung des Abbausimulations- und des Nachbauprognosemodells des Expertensystems HERBASYS. Die für die Abbausimulation benötigten Modellparameter wurden unter unterschiedlichen Inkubationsbedingungen für verschiedene Böden (toniger Schluff, schluffiger Sand, schluffiger Ton) bzw. mit Hilfe eines iterativen Schätzverfahrens (WALKBACK) ermittelt. Der Abbau beider Wirkstoffe wurde durch die Erhöhung von Bodentemperatur und -feuchte beschleunigt, sofern nicht der Optimalbereich überschritten war. Unter Freilandbedingungen war an den verschiedenen Standorten der Wirkstoffverlust witterungsabhängig, ein deutlicher Zusammenhang mit sorptionsbestimmenden Eigenschaften hingegen war nicht erkennbar. Die simulierten Rückstandsgehalte stimmten insgesamt gut mit den im Freiland gemessenen überein. Eine übertragung der für bestimmte Wirkstoff-Boden-Kombinationen ermittelten Abbauparameter auf andere Standort- und Klimabedingungen war möglich. In Langzeit-Biotesten mit nichtsorptivem Substrat wurden Dosis-Wirkungs-Beziehungen zwischen Chlortoluron und Ethofumesat und verschiedenen Kulturpflanzen ermittelt und in Feldversuchen die Reaktion der Kulturen auf die Herbizide untersucht. Die aus den für den Nachbautermin simulierten Gesamtrückständen und der Sorption berechneten verfügbaren Rückstände wurden für die Nachbauprognose mit den Kenngrößen der Dosis-Wirkungs-Beziehungen verglichen. Das Nachbaurisiko wurde an den verschiedenen Standorten insgesamt gut prognostiziert. Field and laboratory experiments to validate predictory models of the expert system HERBASYS applied to problems of crops following the use of herbicides Field and laboratory studies were conducted with the herbicides Dicuran (chlorotoluron) and Tramat (ethofumesate) to investigate their breakdown behaviour and effects on subsequent crops. These studies served to validate the simulation of breakdown and the predictions for subsequent crops of the expert system HERBASYS. The parameters necessary for the simulation of breakdown were ascertained under different incubation conditions for various soils (clay loam, loamy sand, loamy clay) and with the aid of an iterative method of assessment (WALKBACK). The breakdown of both active substances was accelerated by increases in soil temperature and moisture, insofar as the optimum levels were not exceeded. In the field, breakdown at the various sites was dependent on weather conditions but no clear relationship with sorption-determining properties could be established. The simulated residues accorded well with those measured in the field and it is possible to transfer the breakdown parameters determined for one chemicalsoil combination to other site and climate conditions. In long-term bioassays with nonsorptive substrates dose-effect relationships were established between chlortoluron and ethofumesate and various crop plants and the reaction of the crops to the herbicides was investigated in field tests. The effects of available residues on subsequent crops, as calculated from sowing date and sorption, were compared with those known from the dose-effect relationships. In general, the risk to subsequent crops was well forecasted. Validation par des expériences au champ et au laboratoire des modèles prédictifs du système expert HERBASYS appliqués aux problèmes de cultures succédant à des traitements herbicides Nous avons mené des études au champ et au laboratoire avec les herbicides Dicuran (chlortoluron) et Tramate (éthofumesate) pour étudier leur dégradation et leurs effets sur les cultures suivantes. Le but était de valider les simulations de dégradation et les prédictions valables pour les cultures suivantes dans le cadre du système expert HERBASYS. Les paramètres nécessaires pour simuler la dégradation ont été définis sous différentes conditions d'incubation, pour des sols variés (limon, limon sableux, limon argileux), à l'aide d'une méthode iterative d'évaluation (WALBACK). La dégradation des deux matières actives était accélérée par des accroissements de la température du sol et de son humidité, tant que les niveaux optimums n'étaient pas dépassés. Au champ, la dégradation observée sur différents sites dépendait des conditions météorologiques, mais aucune relation claire avec les propriétés d'adsorption des sols n'a pu être établies. Les teneurs en résidus déterminées par simulation étaient en accord avec celles mesurées au champ et il était possible de transposer les paramètres de dégradation déterminés pour un combinaison matière active-sol à d'autres sites et à d'autres conditions météorologiques. Dans des essais biologiques à long terme sur des substrats non adsorbants, des relations dose-effet ont étéétablies pour le chlortoluron et l'ethofumesate et différentes cultures, et la réponse des cultures aux herbicides a étéétudiée au champ. Les effets des résidus sur les cultures suivantes, dont la teneur était calculée à partir de la date de semis et de l'adsorption, ont été comparées avec ceux déduits des relations dose-effet. En général, le risque pour les cultures suivantes était bien prédit.  相似文献   

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Growing trap and catch crops to decrease infestation of Egyptian broomrape (Orobanche aegyptiaca Pers.) was tested in a 2-year field experiment supported by two pot experiments. Growing flax (Linum usitatissimum L.) in two successive winter seasons or one summer cropping with mung beans (Phaseolus aureus Roxbg.) reduced early infestation of the parasite and significantly increased tomato (Lycopersicum esculentum Mill.) vigour and production. However, the efficacy of using trap and catch crops for broomrape control in a heavily infested field was limited. Orobanche aegyptiaca attacked clover (Trifolium alexandrinum L.), flax and mung bean and developed inflorescences. Various sources of the parasite showed different degrees of virulence to flax, from heavy attack and severe damage, to sparse attachment with no production of flowering shoots. The virulent subspecies attacked flax all year round, causing severe damage. Vetch (Vicia saliva L.) var. Sadot was not parasitized by O. aegyptiaca. Effets du lin (Linum usitatissimum L.)et d'autres plantes cultivées comme plantes pièges et hôtes pour lutter contre l'orobanche égyptienne (Orobanche aegyptiaca Pers.) L'utilisation de plantes cultivées comme pièges et hôtes pour diminuer l'infestation par l'orobanche égyptienne (Orobanche aegyptiaca Pers.) a fait l'objet d'une expérimentation au champ sur deux ans ainsi que de deux expériences en pots. Si du lin (Linum usitatissimum L.) était cultivé sur deux saisons hivernales successives ou lors d'une saison estivale avec de l'ambérique (Phaseolus aureus Roxbg.), l'infestation précoce de la tomate (Lycopersicum esculentum Mill.) par le parasite était réduite, et sa vigueur ainsi que sa production étaient significativement augmentées. Cependant, l'efficacité des plantes cultivées pièges et hôtes pour lutter contre l'orobanche égyptienne dans des champs fortement infestés était limitée. Orobanche aegyptiaca attaquait le trèfle (Trifolium alexandrinum L.), le lin et l'ambérique, et développait des inflorescences. Différentes sources du parasite montraient des degrés variés de virulence à l'égard du lin, allant d'attaques importantes qui occasionnaient de sévères dommages, jusqu'à des infestations éparses qui ne produisaient pas de tiges florales. Les espèces virulentes attaquaient le lin tout au long de l'année et causaient des dommages importants. La vesce (Vicia sauva L.) variété Sadot n'était pas parasitée par O. aegyptiaca. Saat-Lein (Linum usitatissimum L.) und andere Kulturen als Fangpflanzen und Zwischenfrüchte zur Bekämpfung von Orobanche aegyptica Pers. In einem 2 ährigen Freiland- und 2 Gefäßversuchen wurden Fangpflanzen und Zwischenfrüchte zur Minderung der Verunkrautung mit Orobanche aegyptica untersucht. Nach dem Anbau von Saat-Lein (Linum usitatissimum L.) in 2 aufeinanderfolgenden Wintern oder einer Sommerkultur der Mungo-Bohne (Phaseolus aureus Roxbg.) war bei der Tomate (Lycopersicum esculentum Mill.) der frühe Befall durch den Parasiten herabgesetzt und Wachstum und Ertrag signifikant erhöht. Die Wirksamkeit des Anbaus von Fangpflanzen und Zwischenfrüchten zur Bekämpfung der Sommerwurz war jedoch auf stark verseuchten Feldern begrenzt. Orobanche aegyptica befiel Trifolium alexandrinum L., Saat-Lein und Mungo-Bohne und entwickelte Blüten. Die Virulenz verschiedener Herkünfte des Parasiten variierte von schwerem Befall und starkem Schaden bis schwachem Befall ohne Blütenbildung. Die virulente Unterart befiel den Lein das ganze Jahr über und führte zu schwerem Schaden. Die Sorte ‘Sadot’ der Saat-Wicke (Vicia sativa L.) wurde von O. aegyptica nicht befallen.  相似文献   

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Two biotypes of Sorghum halepense (L.) Pers., (Johnson grass) one which overwinters and one which does not overwinter from rhizomes at the northern limit of their North American ranges, were compared for rhizome production, rhizome survival and physiological tolerance to cold. The two biotypes differed in both the amount and depth of rhizome production under field conditions, with the non-overwintering biotype producing very few rhizomes 20 cm below the soil surface. Rhizome survival was clearly related to depth of burial for both biotypes. Survival was much reduced in the top 20 cm of soil and increased at greater depths to nearly 100% survival at depths of 40 to 50 cm. Differences in rhizome survival were apparent between the two biotypes and under the two climatic conditions tested, with greatly reduced survival of the overwintering biotype in the more extreme northern field plot. Similar levels of cold hardiness were observed in both hardened seedlings and rhizomes of the two biotypes. These levels were low and, in general, would not provide major protection against freezing temperatures. La profondeur des rhizomes; facteur critique de la siurvie hivernale de Sorghum halepense (L.) Pers. (Sorgho d'Alep) Deux biotypes de Sorghum halepense (L.) Pers. (Sorgho d'Alep), l'un capable et l'autre incapable d'hiverner à l'état de rhizomes à la limite septentrionale de leurs aires nord-américaines, ont été comparés pour leur production en rhizomes, la survie de ces rhizomes et la tolérance physiologique au froid. Les deux biotypes différaient à la fois par la quantité et le niveau de profondeur de leur production de rhizomes au champ :le biotype incapable d'hiverner produisait très peu de rhizomes à une profondeur de 20 cm. La survie des rhizomes était clairement reliée à la profondeur d'enfouissement pour les deux biotypes. La survie était réduite dans les premiers 20 cm de sol et augmentait avec la profondeur jusqu'à presque 100%à des profondeurs de 40 à 50 cm. Des différences de survie des rhizomes étaient apparentes entre les deux biotypes sous les deux conditions climatiques étudiées, le biotype capable d'hiverner présentant un taux de survie fortement réduit dans la parcelle expérimentale située le plus au Nord. Des niveaux similaires d'endurcissement au froid ont été observés dans des plantules et des rhizomes endurcis des deux biotypes. Ces niveaux étaient bas et en général ne fournissaient pas de protection majeure contre le gel. Tiefenlage der Rhizome: der kritische Faktor fur das Ueberleben von Sorghum halepense (L.) Pers. während des Winters Zwei Biotypen von Sorghum halepense (L.) Pers. von der nördlichen Grenze ihres Verbreitungsgebietes in N-Amerika wurden in Bezug auf Rhizomproduktion, Ueberleben ihrer Rhizome und physiologisch bedingte Kälteresistenz miteinander verglichen. Der eine der beiden Biotype überwintert nicht, der andere überwintert, d.h. reproduziert neues Wachstum aus den bestehen-den Rhizomen. Die beiden Typen zeigten unter Feldbedingungen Unterschiede in der Rhizom-bildung, sowohl bezüglich Menge und Tiefenlage der neubildung, wobei der nicht überwinternde Biotype sehr wenig Rhizome tiefer als 20 cm unter der Bodenorberfläche bildet. Das Ueberleben während des Winters war für beide Biotypen eindeutig mit der Tiefenlage der Rhizomasse korreliert. Die Uebelebensrate war in den obersten 20 cm sehr reduziert und nahm mit zunehmen der Tiefe bis zu fast 100% in 40–50 cm Tiefe zu. Es wurden eindeutige Unterschiede in der Ueberlebensrate zwischen den beiden Biotype unter den zwei untersuchten Klimabedingungen festgestellt, wobei ein stark verringertes Ueberle-benspotential des überwinternden Typs unter den extremeren nördlicheren Feldbedingungen beobachtet wurde. Abgehärtete Sämlinge und Rhizome beider Biotypen wiesen einen ähnlichen Grad von Kälteresistenz auf. Diese Resistenz war relativ gering und stellte in der Regel keinen genügenden Schutz gegen Frost dar.  相似文献   

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Summary. A resumé of the fate of introductions of Callimorpha jacobaeae (L.) into Victoria, Australia in the 1930s and 1955–62 is given. The problems of acclimatization In the Southern hemisphere and methods by which the pupal diapause can be broken at a time satisfactory for the release of adult moths into the field are discussed. A method is described which gave a high percentage of emergence of adults. Insects of English origin introduced between 1955 and 1959 were severely affected by disease which killed the larvae, but insects introduced in 1961 and 1962 from central Europe did not suffer epizootics. Breeding of the 1961 and 1962 insects in field cages and organdie sleeves attached to ragwort plants is described. The effects of C. jacobaeae on ragwort, the various predators and parasites of C. jacobaeae and their effects on the establishment of the species for the control of ragwort in Victoria are discussed. Essais de lutte contre te séçon jacobée, Senecio jacobaea L., au moyen d'un Léptdoptére de la famille des Arctiidés, Callimorpha jacobaeae (L. dans Vitat de Victoria Résumé. L'auteur donne un resume du sort des introductions de Callimorpha jacobaeae (L.) dans rétat de Victoria (Australie) au cours des annees 1930 et 1955–62. Les probléemes de l'acclimatation dans I'hémisphére sud et les méthodes par lesquelles la diapose des pupes peut être rompue à un moment favorable pour le lâcher des adultes dans les champs sont discutés. Une méthode est décrite qui donne un pourcentage élevé de sorties d'adultes. Les insectes en provenance de l'Angleterre qui ont été introduits entre 1955 et 1959 ont été durement affecté par des maladies qui ont tué les larves, mais les inseetes introduits en 1961 et 1962 de I'Europe Centrale n'ont pas souffert d'épizooties. L'élevage des insectes de 1961 et 1962 dans des cages en plein air et dans des manches d'organdi fixées aux plantes de séneéon est décrit. Les effets de C. jacobaeae sur le séneçon, les prédateurs variés et les parasites de C. jacobaeae et leurs effets sur l'établissement des espèces pour la lutte contre le séneçon dans l'état de Victoria sont discutés. Untersuchungen zur Bekämpfung von Jakobskreuzkraut, Senecio jacobaea L., mit Callimorpha jacobaeae (L.) (Arctiidae: Lepidoptera) in Victoria Zusammenfassung. Es wird ein Überblick über den Ausgang von Versuchen zur Einführung von Callimorpha jacobaeae (L.) in Victoria, Australien, während der dreissiger Jahre und zwischen 1955–62 gegeben. Die Probleme der Akklimatisierung in der Südhemisphäre und Methoden zur Brcchung der Puppenruhe zu dem für den Flug der Schmetterlinge erwünschten Zeitpunkt werden diskutiert. Es wird eine Methode beschrieben mit der ein hoher Prozentsatz der Imagines zum Schlupfen gebracht werden konnte. Zwischen 1955–59 aus England eingeführte Insekten wurden stark von Krankheiten befallen, die die Larven abtöteten. Bei in den Jahren 1961 und 1962 aus Mitteleuropa eingeführten Insekten traten hingegen keine Epizootien auf. Die Aufzucht der Insekten in den Jahren 1961 und 1962 in Feldkäfigen und an mit Organzastoff umhüllten Kreuzkrautpflanzen wird beschrieben. Die Wirkung von Callimorpha jacobaeae auf das Jakobskreuzkraut, die verschiedenen Pradätoren und Parasiten von C. jacobaeae und deren Auswirkung auf die Ftablierung des Schmettertings zur Bekämpfung von Jakobskreuzkraut in Victoria werden diskutiert.  相似文献   

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Les teneurs en hydrates de carbone non structuraux (TNC) des racines, collets et tiges des in-dividus de la morelle jaune (Solarium elaeagnifolium Cav.) issue des bordures, champ de cotonnier et verger d'oliviers ont été déter-minées mensuellement pendant une année. Les racines et, dans une certaine mesure, les collets ont été les organes où les réserves glucidiques étaient les plus importantes. Ces glucides ont atteint leur niveau le plus bas au moment de la formation des boutons floraux. La reconstitution des réserves en TNC a lieu entre la floraison et la maturation des fruits sur une durée de 2, 4 et 5 mois pour les individus issus du champ de cotonnier, des bordures et du verger d'oliviers, respec-tivement. L'évolution des TNC est plus influencée par le stade phénologique de l'espèce que par rhumidité et la température du sol. Les implications de ces réquitals pour définir une stratégic de lutte centre la morelle jaune sont également discutées. Seasonal changes in non-structural carbohydrates in silver-leaf nightshade (Solanum elaeagnifolium Cav.) The levels of non-structural carbohydrates (TNC) in the roots, root collar and stems of S. elaeagnifolium collected from field margins, cotton fields and olive plantations were determined monthly over a period of 1 year. The roots, and to a certain extent the root collar, were the organs with the largest carbohydrate reserves. The carbohydrate level was lowest at the time of flower bud formation. There was a build-up of TNC reserves between flowering and fruit maturation over periods of 2, 4 and 5 months from plants growing in cotton fields, field margins and olive plantations respectively. Changes in TNC are influenced more by the phenological stage of the plant than by soil humidity or temperature. The implications of these findings in defining a control strategy for this weed are discussed. Saisonale Einlagerung von Kohlenwasserstoffen beim Ölweidenblättrigen Nachtschatten (Solanum eleagnifolium Cav.) Die Gehalte unstrukturierler Kohlenwasser-stoffe (TNC) des Wurzeln, des Wurzelhalses und des Sprosses von Solanum elaeagnifolium Cav. von Feldrainen, Baumwollfeldern und Olivengärten wurden monatlich über l Jahr hin bestimmt. Die Wurzeln und in bestimmten Maβe der Wurzelhals waren die Pflanzenteile, in denen die Kohlenwasserstoffe die wichtigsten Re-servesubstanzen waren; sie hatten ihr nie-drigstes Niveau zur Blütenbildung. Der Wiederaufbau dieser Reservestoffe zwischen der Blüte und der Fruchtreife dauerte bei den Pflanzen auf den Baumwollfeldern, den Feldrainen und den Olivengärten 2, 4 bzw. 5 Monate. Die Kohlenhydratbildung wurde mehrnach den Entwicklungsstadienals durch Boden feuchte und-temperatur beeinflußt. Die Aspekte dieserUntersuchungsergebnisse für die Bekämpfung dieses Unkrauts werden diskutiert.  相似文献   

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R. MOENS 《EPPO Bulletin》1988,18(2):277-282
L'attaque de mulots sur les semences de betteraves a été suivie en laboratoire et en plein champ. Des observations en cage ont démontré que le rongeur s'attaque aux graines de betteraves à partir du stade 00 (graines sèches) jusqu'au stade 06 (développement de la tigelle dans le sol) avec un maximum pendant le ramollissement de la graine (stades 01 et 02) et le début de la germination (stade 03). L'attaque s'arrête au cours de l'allongement, quand les cotylédons perdent leur contenu farineux (stade 07). Sur le terrain il fut constaté que le rongeur, après avoir détruit 20% d'un premier semis, n'a plus attaqué un second semis, lorsque des postes d'appâtage de noisettes traitées à la chlorophacinone (30 ml du Caïd huileux par kg) ont été installés sur les bords du champ. Les appâts ayant fourni aux mulots une nourriture de substitution, ceux-ci ont renoncéà rechercher les semences dans le sol. Quant à l'effet toxique du rodenticide, celui-ci semble insuffisant et trop tardif pour protéger les semis.  相似文献   

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