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1.
Plusieurs méthodes de prévision du développement du maïs ont été testées par l'Association Générale des Producteurs de Maïs en France depuis 1977. Elles sont toutes basées sur le cumul des températures moyennes journalières (base 6°C). Différents stades du mais déterminent la date du départ de ces cumuls. Les résultats obtenus montrent que le développement précoce est fonction des conditions de milieu et des caractéristiques génétiques de l'hybride considéré. Une connaissance minimale du génotype est nécessaire pour pouvoir réaliser une prévision correcte. Le rythme d'apparition des feuilles et leur nombre total sur la plante adulte semblent être des critères utilisables pour améliorer les techniques actuelles de prévision des dates de floraison.  相似文献   

2.
Competitive interactions among Chenopodium suecicum, Amaranthus retroflexus and maize were investigated in a series of variously arranged plot and pot experiments. In the initial phase of growth, C. suecicum occupied the available space more rapidly than A. retroflexus. In later stages of growth, the competitive influence of A. retroflexus on C. suecicum became greater than that of C. suecicum on A. retroflexus. The competitive ratio between C. suecicum and A. retroflexus was dependent on the total density of the stand. At low densities, A. retroflexus was more competitive than C. suecicum, while at high densities the opposite was true. According to the indices of competition, maize yields were affected more by C. suecicum than by A. retroflexus. Reciprocal yield models demonstrated that one A. retroflexus and one C. suecicum plant were competitively equivalent to 0.26 and 1.05 maize plants, respectively, as measured by the effects on maize biomass, while one maize plant was approximately equivalent to 5.5 weed plants, as measured by the effects on weed biomass. In the replacement series of the weeds, the presence of maize reduced the competitive ability of A. retroflexus against C. suecicum. Yield losses of maize increased as the proportion of C. suecicum plants in the mixture increased. C. suecicum plants which were seeded before the crop and those which were not removed until later than 32 days after crop emergence significantly lowered the maize yield. Interaction de Chenopodium suecicum J. Murr, et de Amaranthus retroflexus L. chez le maïs Les interactions compétitives entre Chenopodium suecicum, Amaranthus retroflexus et le maïs ont étéétudiées dans plusieurs expériences au champ et en pots. Lors de la phase initiale de croissance, C. suecicum occupait l'espace disponible plus rapidement que A retroflexus. Dans les phases ultérieures de croissance, l'effet compétitif de A. retroflexus sur C. suecicum devenait supérieur à celui de C. suecicum sur A. retroflexus. Le rapport de compétition entre C. suecicum et A. retroflexus dépendait de la densité globale de l'implantation. A faibles densités, A retroflexus était plus compétitif que C. suecicum, alors qu'à hautes densités l'inverse était vrai. Selon les indices de compétition, les rendements de mais étaient plus affectés par C. suecicum que par A. retroflexus. Des modèles de rendement réciproque ont montré que, du point de vue de l'aptitude è la compétition mesurée par les effets sur la biomasse du maïs, une plante de A. retroflexus et une plante de C. suecicumétaient respectivement équivalentes à 0.26 et 1.05 plantes de maïs. Une plante de maïs était approximativement équivalente à 5.5 mauvaises herbes, son aptitude à la compétition étant mesurée par son effet sur la biomasse des mauvaises herbes. Dans des séries de remplacement des mauvaises herbes, la présence du maïs réduisait l'aptitude à la compétition de A. retroflexusà l'égard de C. suecicum. Les pertes de rendement du maïs augmentaient en même temps que la proportion de C. suecicum dans la culture mélangée. Les plantes de C. suecicum qui étaient semées avant la culture et celles qui n'étaient pas enlevées dans les 32 jours qui suivaient la Ievée de la culture réduisaient de manière significative le rendement du maïs. Konkurrenz von Chenopodium suecicum Murr. und Amaranthus retroflexus L. mit Mais In verschiedenen Freiland- und Topfversuchen über Konkurrenzbeziehungen zwischen Chenopodium suecicum, Amaranthus retroflexus und Mais nahm Chenopodium suecicum in der frühen Wachstumsphase den verfügbaren Raum schneller ein als A. retroflexus. Später wurde die Konkurrenzkraft von Amaranthus retroflexus gegenüber C. suecicum größer als die von C. suecicum gegenüber Amaranthus retroflexus. Das Konkurenzverhältnis der beiden Arten hing von der Bestandesdichte ab. Bei geringer Dichte war A. retroflexus konkurrenzstärker, bei hoher C. suecicum. Entsprechend den Konkurrenzindices wurde der Maisertrag von C. suecicum stärker als von Amaranthus retroflexus beeinträchtigt. Auf der Grundlage der Mais- bzw. Unkraut-Biomassebildung wurde ein reziprokes Ertragsmodell entwickelt, nach dem das Konkurrenzäquivalent von 1 Pflanze Amaranthus retroflexus oder von 1 Pflanze Chenopodium suecicum 0–26 oder 1–05 Maispflanzen bzw. von 1 Maispflanze 5.5 Unkrautpflanzen entsprach. In Unkraut-Substitutionsversuchen setzte der Mais die Konkurrenzkraft von Amaranthus retroflexus gegenüber Chenopodium suecicum herab. Die Maisertragsverluste nahmen mit steigendem Chenopodium-Anteil zu. Vor dem Mais gesäte und erst 32 Tage nach dem Auflaufen des Maises gejätete Chenopodiumsuecicum-Pflanzen minderten den Maisertrag.  相似文献   

3.
La deltaméthrine appliquée en pulvérisation à la dose de 20 g ha-1 au stade 1 mà 1,20 m du maïs exerce une toxicité marquée sur une population de syrphes en phase d'installation. Le traitement a un effet également négatif sur microhyménoptères adultes, mais neutre en revanche sur une population de Scymnus arrivant 3 semaines plus tard. Le chlorpyriphoséthyl appliqué au stade ‘70% panicules visibles’a un impact plus limité que la deltaméthrine sur syrphes et microhymenoptères, par contre sa toxicité est plus marquée à l'égard de Scymnus. Comme, pendant toute la durée de l'essai, la population de Rhopalosiphum padi dans les deux parcelles traitées est restée inférieure ou comparable à celle du témoin, l'hypothèse d'une relation entre la destruction de certains auxiliaires et la proliferation de pucerons n'est pas vérifiée. Néanmoins, dans trois des 15 essais sur la valeur pratique de la deltaméthrine contre O. nubilalis menés en France en 1980–1983, les populations de pucerons ont augmenté significativement en fin de saison. Les causes du phénomène sont encore mal percues.  相似文献   

4.
The responses of Chenopodium album L. and Senecio vulgaris L. to inter- and intra-specific competition were investigated in both additive and replacement series experiments under glasshouse conditions. When grown with tomato the two weed species had similar effects on shoot dry weight at low densities but 5. vulgaris showed more competitive effect at higher densities. Weed density did not affect the concentrations of N, P, K, Ca or Mg in tomato shoots but dry matter and total amounts of nutrients were reduced increasingly with the increase in density of both weeds. The concentration of nutrients in the shoots of the weeds was not affected by density but dry matter yield and total nutrient accumulation per plant fell as the density increased. The concentrations of N, P, K and Mg in the shoots were higher in C. album than S. vulgaris but that of Ca was lower. In a replacement series experiment the two weed species behaved differently. With C. album, both dry matter yield and total nutrient per plant were reduced as its proportion in the mixture increased but, with S. vulgaris, dry matter per plant increased with its proportion in the mixture. One plant of C. album grown with five S. vulgaris gave a higher shoot dry weight than when present in higher proportions or in a pure stand. In a pure stand of six plants the shoot dry weight per plant of C. album was 26% of that of one plant grown with five S. vulgaris. In comparison, the shoot dry weight of one S. vulgaris in pure stand was 120% of that of one plant grown with five C. album. The reduction in growth of C. album was associated with a greater reduction in its ability to accumulate K than other elements. The competition index (CI) of C. album in terms of dry weight decreased with its proportion in the mixture but the reverse was true for S. vulgaris. The relative competitive ability index (RCAI) of C. album was almost 3–5 times that of S. vulgaris. The results showed that differences between the weeds in inter- and intraspecific competition were closely related to the growth of their root systems. Compétition inter- et intraspécifique du chénopode (Chenopodium album L.) et du senecon (Senecio vulgaris L.) Les réponses du chénopode (Chenopodium album L.) et du sénecon (Senecio vulgaris L.) à la compétition inter- et intra-spécifique ont étéétudiées en serre lors d'expériences à séries additives ainsi qu'à séries de remplacement. Quand elles étaient cultivées avec des tomates, les deux mauvaises herbes avaient des effets similaires sur la matière sèche des parties aériennes à faibles densités, mais S. vulgaris se montrait plus compétitif à fortes densités. La densité des mauvaises herbes n'affectait pas les concentrations en N, P, K, Ca et Mg dans les parties aériennes de la to-mate. Par contre, la matière séche et les quantités totales de nutriments étaient d'autant plus réduites que la densité des deux mauvaises herbes était élevée. La concentration en nutriments dans les parties aeriennes des mauvaises herbes n'était pas affectée par leur densité mais le rendement en matière sèche et l'accumulation totale de nutriments par plante décroissaient lorsque la densité augmentait. Les concentrations en N, P, K et Mg dans les parties aériennes étaient plus élevées chez C. album que chez S. vulgaris mais celle de Ca était plus basse. Dans une expérience à séries de remplacement, les deux espèces de mauvaises herbes se comportaient différemment. Chez C. album, le rendement en matière sèche ainsi que la quantité totale de nutriments par plante diminuaient lorsque sa proportion dans le mélange augmentait mais, chez S. vulgaris, la matière sèche par plante augmentait avec sa proportion dans le mélange. Un pied de C. album cultivé avec 5 pieds de S. vulgaris produisait davantage de matière sèche aérienne que lorsqu'il était présent en proportions plus importantes ou en culture pure. Dans une culture pure de 6 plantes, la matière sèche aérienne par pied de C. album représentait 26% de celle d'une plante cultivée avec 5 pieds de S. vulgaris. En comparaison, la matière sèche aérienne par pied de S. vulgaris en culture pure représentait 120% de celle d'une plante cultivée avec 5 pieds de C. album. La réduction de croissance de C. albumétait associée à une réduction de sa capacitéà accumuler K, qui était plus marquée que pour les autres éléments. L'Indice de Compétition de C. album en terme de matière sèche diminuait avec sa proportion dans le mélange, mais l'inverse était vrai pour S. vulgaris. L'Indice Relatif d'Aptitude à la Compétion de C albumétait presque 3,5 fois plus élevé que celui de S. vulgaris. Les résultats montraient que les différences entre les mauvaises herbes en ce qui concerne la compétition inter- et intra-spécifique étaient étroitement liées à la croissance de leur système racinaire. Inter- und intraspezifische Konkurrenz des Weißen Gänsefußes (Chenopodium album L.) und des Gemeinen Greiskrauls (Senecio vulgaris L.) Die inter- und intraspezifische Konkurrenz von Chenopodium album und Senecio vulgaris wurde sowohl in additivem als auch substitutivem Versuchsansatz im Gewächshaus untersucht. In Mischbeständen mit Tomate hatten beide Unkrautarten bei geringer Pflanzendichte eine ähnliche Wirkung auf die Sproß-Trockenmasse, doch Senecio vulgaris war bei hohen Dichten konkurrenzstärker. Die Unkrautdichte hatte keinen Einfluß auf den N-, P-, K-, Ca- oder Mg-Gehalt der Tomatensprosse, aber die Trockenmasse und der gesamte Nährstoffgehalt nahm mit zunehmender Dichte der beiden Unkräuter ab. Der Nährstoffgehalt in den Sprossen der Unkräuter wurde durch die Pflanzendichte nicht beeinflußt, aber die Trockenmasse und der gesamte Nährstoffgehalt nahm mit zunehmender Dichte der beiden Unkräuter ab. Der N-, P-, K-und Mg-Gehalt war bei Chenopodium album höher als bei Senecio vulgaris, doch der Ca-Gehalt war niedriger. In einem substitutiven Versuchsansatz verhielten sich die beiden Unkrautarten verschieden. Bei Chenopodium album wurden sowohl die Trockenmasse als auch der gesamte Nährstoffgehalt pro Pflanze im selben Maße reduziert, wie sein Verhältnis im Mischbestand zunahm; bei Senecio vulgaris stieg die Trockenmasse pro Pflanze mit seinem Anteil im Mischbestand an. Chenopodium album entwickelte bei einem Mischungsverhältnis von l Pflanze zu 5 Senecio-vulgaris-Pflanzen eine höhere Sproß-Trockenmasse als bei höheren Verhältnissen oder im Reinbestand. In einem Reinbestand von 6 Pflanzen war bei Chenopodium album die Sproß-Trockenmasse pro Pflanze 26 % der Masse einer Pflanze, die mit 5 Senecio-vulgaris-Pflanzen wuchs. Bei Senecio vulgaris dagegen war die Sproß-Trockenmasse pro Pflanze im Reinbestand 120 % der Masse einer Pflanze, die mit 5 Chenopodium-album-Pflanzen wuchs. Mit der Wuchshemmung ging bei Chenopodium album eine Abnahme seiner Fähigkeit, K und andere Nährstoffe aufzunehmen, einher. Der Konkurrenzindex von Chenopodium album, bezogen auf die Trocken-masse, nahm mit seinem Anteil in den Mischbeständen ab, während bei Senecio vulgaris das Gegenteil der Fall war. Die relative Konkurrenzfähigkeit von Chenopodium album war fast 3.5mal so groß wie die von Senecio vulgaris. Die Unterschiede der inter- und intraspezifischen Konkurrenz der beiden Unkrautarten stand in enger Beziehung zur Entwicklung ihres Wurzelsystems.  相似文献   

5.
In order to estimate yearly variations and accuracy of prediction of maize yield losses due to weeds, we used supplementary maize individuals that mimic weeds and reduce the experimental variability. Biomass decrease at various growth stages and grain yield losses of maize were interpreted through regression analyses in terms of density and biomass of supplementary individuals. Comparison of losses due to weeds and supplementary maize does not allow the calculation of equivalent weed-maize density or biomass at the same competitive effect. In most cases regression curves obtained in maize-maize experiments were different from one year to another. The use of results from several trials, previously published, on the effect of plant spacing on maize yield over a number of years also showed a large variation in predicted values, which confirmed the inaccuracy of an empirical predictive model using weed density and biomass. Limites d'un modèle simple de prédiction des pertes de rendement dans le maïs Afin d'évaluer les variations annuelles et l'incertitude liées à la prédiction des pertes de rendement dues aux mauvaises herbes chez le maäs, nous avons utilisé des pieds supplémentaires de maäs pour simuler les mauvaises herbes et réduire la variabilité expérimentale. Les pertes de biomasses à différents stades du développement et les pertes de rendement en grain ont été interprétées par des analyses de régression en fonction de eadensité et de la biomasse des plantes supplémentaires de maäs. La comparaison avec les pertes dues aux mauvaises herbes n'a pas permis d'aboutir à des fonctions de densité ou de biomasse équivalentes pour le même effet compétitif. Les régressions obtenues dans le système maäs-maäs ont été le plus souvent différentes d'une année à l'autre. L'utilisation des résultats de nombreux essais pluriannuels déjà publiés sur l'effet de la densité de semis sur le rendement du maäs a montréégalement une forte incertitude sur les valeurs prédites, ce qui confirme l'imprécision d'un modèle empirique de prédiction de la compétition fondé sur la densité et la biomasse des mauvaises herbes. Grenzen eines einfachen Modells zur Vorhersage von Ertragsverlusten beim Mais Zur Abschätzung der jährlichen Schwankungen und der Genauigkeit der Vorhersage von Ertragsverlusten beim Mais infolge Unkrautkonkurrenz wurden zusätzliche Maispflanzen eingesetzt, um die Wirkung von Unkräutern zu simulieren und die Versuchsgenauigkeit zu erhöhen. Die Abnahme der Biomasse in verschiedenen Entwicklungsstadien und die Ertragsverluste des Maises wurden anhand der Dichte und der Biomasse der zusätzlichen Maispflanzen regressionsanalytisch untersucht. Durch Vergleich der Verluste durch Unkräuter und zusätzliche Maispflanzen kann eine äquivalente Unkraut-Mais-Dichte oder -Biomasse für die gleiche Konkurrenzwirkung nicht gefunden werden. Von Jahr zu Jahr waren die Regressionskurven der Mais-Mais-Versuche meistens verschieden. Bei der Verarbeitung von früher veröffentlichten Ergebnissen aus verschiedenen Versuchen in einer Reihe von Jahren zur Wirkung der Pflanzdichte auf den Ertrag beim Mais zeigte sich ebenso eine groβe Variation der vorhergesagten Werte, wodurch die Ungenauigkeit eines empirischen Prognose-Modells auf der Grundlage von Unkrautdichte und -biomasse bestätigt wurde.  相似文献   

6.
Eight amino-substituted derivatives of 1-amino-benzotriazole (ABT) were synthesized and tested. N-acetyl-N-methyl ABT (AcMeABT) was found to kill maize (Zea mays L.) hybrid Pioneer 3737 at 5 kg ha?1 dose while ryegrass (Lolium perenne L.) was unaffected. The analogous N-propionyl-N-methyl ABT had an activity similar to AcMeABT whereas other N-acyl-N-alkyl derivatives had only moderate or no effects on maize. AcMeABT was considerably toxic to oats (Avena sativa L.) and sorghum (Sorghum bicolor L.) as well. Unlike ABT, AcMeABT did not show any in vitro inhibitory effect on cytochrome P-450 enzymes of maize microsomes. However, in vivo AcMeABT pre-treatment significantly decreased the microsomal cytochrome P-450 level of aetiolated maize seedlings. Moreover, a subtoxic dose of AcMeABT was a weak antagonist of a toxic dose of EPTC in maize in vivo. These data predict the involvement of cytochrome P-450 enzyme in the mode of action of AcMeABT. N-acyl-N-alkyl l-aminobenzotriazoles: phyto-toxicité, antagonisme avec l'EPTC et effets sur le cytochrome P-450 du maïe Huit dérivés sur le groupement amine de l'1-aminobenzotriazole (ABT) ont été synthétisés. Une dose 5 kg ha?1 de N-acétyl-N-méthyl ABT (AcMeABT) détruisait le maïs (Zea mays L.) hy-bride Pioneer 3737 alors que le raygrass (Lolium perenne L.) n'était pas affecté. L'analogue N-propionyl-N-méthyl ABT avail une activité simi-laire à celle de l' AcMeABT, alors que les autres dérivés N-acyl-N-aklyl n'avaient que des effets nuls ou faibles surle maïs. L'AcMeABTétait très toxique à l'égard de l'avoine (Avena sativa L.) et du sorgho bicolore (Sorghum bicolor L.). Con-trairement à l'ABT, l'AcMeABT n'inhibait pas in vitro les enzymes P-450 des microsomes du maïs. Cependant, un pré-traitement in vivo a l'AcMeABT diminuait significativement le niveau de cytochromes P-450 microsomaux de jeunes plantes étiolées de maïs. En outre, une dose subtoxique d'AcMeABT avail sur maïs in vivo un effet antagoniste faible contre une dose loxique d'EPTC. Ces données suggèrent l'impli-cation d'enzymes cytochrome P-450 dans le mode d'action de l'AcMeABT. Phytotoxizität, Antagonismus gegenüber EPTC und Wirkungen auf das Cytochrom P-450 von N-Acyl-N-alkyl-1-aminobenztriazolen Bei Versuchen mit 8 Amino-subslituierten Deri-vaten von 1-Aminobenzotriazol (ABT) war N-Acetyl-N-methyl-1-aminobenztriazol (AcMeABT) mit 5 kg ha?1 für Mais (Zea mays L.) ‘Pionier 3737’ phyloloxisch, für Deulsches Weidelgras (Lolium perenne L.) nicht. Das analoge N-Propionyl-N-methyl-1-aminobenztriazol war ähnlich wirksam wie AcBeABT, andere Deri-vale kaum oder gar nichte. AcMeABT war für Saat-Hafer (Avena sativa L.) und Sorghumhirse (Sorghum bicolor L.) erheblich phytotoxisch. Anders als ABT zeigte AcMeABT in vitro keine Hemmwirkung auf das Cytochrom P-450 in Mais-Mikrosomen, in vivo jedoch nahm der Cy-tochrom-P-450-Gehalt etiolierter Mais-keimpflanzen nach AcMeABT-Behandlungen signifikantab. Außerdem war eine subtoxische Dosis von AcMeABT schwach antagonistisch für eine für Mais toxische EPTC-Dosis. Diese Daten weisen auf die Beteiligung des Cytochrom-P-450-Enzyms an der Wirkungsweise des AcMeABT hin.  相似文献   

7.
L'hypothèse de travail proposée pour l'analyse des cycles de population de Microtus arvalis intègre à la fois le rôle de la prédation et l'influence de la structure du paysage. Par sa composante liée à la prédation, cette hypothèse engage les recherches au niveau d'investigation des peuplements, aussi bien des Microtidae que des petits prédateurs spécialistes qui leur sont associés. Par sa composante liée à la structure du paysage et par son approche comparative dans le temps et dans l'espace, elle situe ces recherches à une échelle de perception suffisamment large pour que notre vision des phénoménes biologiques analysés soit moins ponctuelle et par conséquent moins naïve. Enoncée à l'origine pour l'étude du couple Microtus arvalis/Mustela nivalis cette hypothese peut utilement être transposéà l'analyse du couple Arvicola terrestris/Mustela erminea, en raison des nombreuses similitudes écologiques observées entre ces espèces. Les premiers indices analysés dans cette perspective concernent, d'une part, un suivi diachronique des différentes populations de rongeurs et de petits Mustelidae présents sur un terrain d'étude situé en Franche-Comté (France) et, d'autre part, une comparaison de la cartographie des dégâts dus àA. terrestris avec celle des surfaces agricoles utiles consacrées aux céréales dans les différents cantons de cette région. Sans présenter de valeur démonstrative les coïncidences observées entre les cinétiques des différentes populations et entre les cartes de répartition présentées accréditent, à notre sens, l'intérêt de la démarche retenue.  相似文献   

8.
M. PASCAL 《EPPO Bulletin》1988,18(3):381-392
A l'issue de deux phases de forte densité des populations d'Arvicola terrestris scherman en France, un groupe de travail inter-organismes ACTA-INRA-SPV a été constitué pour entreprendre un programme de recherche sur ce rongeur, dans le but d'en contrôler les populations. C'est à l'INRA que revient le rôle de coordonner les travaux et notamment d'assurer les études sur la biologie de l'espéce. L'ACTA a mené des études en captivité, ainsi qu'une expérimentation de plein champ en Haute-Savoie. Enfin, le SPV a pris la responsabilité de l'évaluation au champ des rodenticides et du développement d'un systéme de prévision en Franche-Comté et en Auvergne-Limousin. L'article résume les 8 années de travaux et souligne les questions restées en suspens. II cherche à situer le problème d'A. terrestris dans la problématique plus vaste de l'étude des rongeurs ravageurs de cultures en France et débouche sur l'analyse des choix des thématiques scientifiques qu'il convient de développer dans le contexte agricole moderne.  相似文献   

9.
M. PASCAL 《EPPO Bulletin》1988,18(3):429-434
Suite à une étude diachronique d'élements de cinétique d'une population locale (Sombacour, Doubs, France) d'Arvicola terrestris scherman, il semblait possible de fonder le diagnostic de la phase de croissance du cycle de pullulation de cette espèce sur le simple examen de l'évolution numérique des effectifs des populations. Afin de vérifier cette hypothèse a l'échelle régionale, un réseau d'observation a été mis sur pied par le Service de la Protection des Végétaux de Franche-Comté et couvre, depuis octobre 1983, 80 communes du Doubs et du Jura. Il a permis de déclencher une alerte agricole de façon rationnelle et graduellement dans l'espace et le temps, en octobre 1985, avril 1986 et octobre 1987. Une analyse comparative de certains critères morphologiques et de l'intensité du flux de dispersion dans deux situations (la premiere en phase de forte densité du cycle de pullulation, la seconde en phase de déclin) a permis d'échafauder une méthode opérationnelle qui demande confirmation et permettrait le diagnostic fondé de la phase de déclin.  相似文献   

10.
Y. LEVY  S. STRIZYK 《EPPO Bulletin》1985,15(4):527-537
L'action de la synergie entre deux fongicides à caractéristique unisite et multisite et le contrôle des sous-populations, dites résistantes et sensibles au même unisite, sont décrits par l'intermédiaire d'un modèle bio-mathématique. Les paramètres suivants sont introduits dans le modèle:
  • 1) taux apparent d'infection (Sensu Van der Planck);
  • 2) efficacité de chaque fongicide seul sur le développement de la population sensible et résistante;
  • 3) efficacité du mélange sur chaque sous-population;
  • 4) répartition du mélange sur la plante;
  • 5) dégradation du fongicide;
  • 6) croissance de la plante assurant une moins grande efficacité de la couverture par le fongicide.
Les simulations montrent que l'efficacité de lutte dépend du niveau de la synergie entre fongicides. L'évolution de la population résistante dépend largement de la forme de la synergie du mélange vis-à-vis des souches sensibles et résistantes. Quand la synergie est plus forte vis-à-vis des souches résistantes quc vis-à-vis des souches sensibles, alors la population des souches résistantes tend à décroitre. Dans le cas contrairc, la population des souches résistantes augmente rapidement. Toutefois, cette augmentation dépend du taux d'infection. Nous concluons qu'il est nécessaire de tester l'action du synergisme vis-à-vis des differentes souches avant de commercialiser un mélange de fongicides.  相似文献   

11.
12.
Summary. The influence of light, potassium nitrate and temperature on the germination of two samples of black seeds of Chenopodium albian L. was investigated. At constant temperature (23°C), light and nitrate together promoted germination of the younger (8–11-month-old) seed, which was insensitive to cither factor applied separately. Germination of older (32–35-month-old) seed was increased by both light and nitrate applied either separately or together, but there was no consistent interaction. While the older seed was generally indifferent to light, germination of the younger seed treated with nitrate was greatly promoted by relatively short periods of white light. Four minutes of light 36 hr after the initial moistening was as effective as 16 min and almost as effective as daily light exposure, in promoting germination of the younger seed. Long photoperiods slightly inhibited germination as compared with short photoperiods. Sensitivity of the younger seed to light varied with nitrate concentration, temperature, duration of imbibition in the dark prior to exposure, and time of nitrate application. Alternating temperatures (10–30°C daily) increased the sensitivity to light and to nitrate given either separately or together. Drying the younger seed for short periods after treatment with light and nitrate did not influence the response to either factor. Influence de la lumière, du nitrate de potassium et de la température sur la germination de Chenopodium album L. Résumé. L'influence de la lumiére, du nitrate de potassium et de la température sur la germination de deux lots de graines noires de Chenopodium album L. a étéétudiée. A température constante (23°C), la lumière et le nitrate appliqués ensemble provoquérent la germination des plus jeunes semences (agées de 8 à 11 mois), lesquelles ne réagirent pas à chacun des deux faeteurs appliqué séparément. La germination de semences plus âgées (32 à 35 mois) fut accrue par la lumière et par le nitrate, appliqués soit séparément, soit ensemble, mais il n'y eut pas d'interaction logique entre ces deux faeteurs. Alors que les semences les plus âgées furent généralement indifférentes à la lumiére, la germination des semences plus jeunes traitées par le nitrate fut fortement augmentée par des périodes relativement courtes d'éclairage en lumière blanche. Trente-six heures après l'humidification initiale, quatre minutes de lumiére furent aussi efficaces que seize minutes et presque aussi eflicaces que l'exposition à la lumiére du jour, pour provoquer la germination des jeunes semences. De longues photopériodes inhibérent légérement la germination par rapport á des photopériodes courtes. La sensibilite des jeunes semences à la lumière varia avec la teneur en nitrate, la concentration, la temperature, la durée de l'inhibition à l'obscurité avant l'exposition à la lumiére et l'epoque d'application du nitrate. Les variations de températures (entre 10 et 30°C dans la même journée) accrurent la senaibilitéà la lumière et au nitrate, appliquéés soit séparément soit ensemble. Le séchage des semences les plus jeunes pendant de courtes périodes après le traitement au nitrate et l'exposition à la lumière n'eut pas d'influence sur la résponse à I'un ou l'autre de ces facteurs. Einfluss von Licht, Kaliumnitrat und Temperatur auf die Keimung von Chenopodium album L. Zusammenfassung. Der Einfluss von Licht, Kaliumnitrat und Temperatur auf die Keimung zweier Proben schwarzer Samen von Chenopodium album wurde untersucht. Bei konstanter Temperatur (23°C) fordertcn Licht und Nitrat zusammen, nicht jedoch die beiden Faktoren fur sich allein, die Keimung der jüingeren Samen (8–11 Monatealt). Die Keimung älterer Samen (32–35 Monate alt) wurde durch Licht und Nitrat sowohl bei gemeinsamer als auch bei getrennter Anwendung erhiiht, wobei zwischen beiden Faktoren keine sichere Interaktion bestand. Während die ältercn Samen normalerweise gegenüber Licht indifferent waren, wurde die Keimung der jungeren mit Nitrat behandelten Samen durch verhaltnismässig kurze Perioden weissen Lichts stark gefördert. Eine Belichtungsdaucr von 4 Minuten, gegeben 36 Stunden nach Beginn des Einquellcns, fordcrtc die Keimung der jungeren Samen gleich stark wie eine solche von 16 Minuten und nahezu so stark wie eine tägliche Bclichtung. Lange Photoperioden hemmten die Keimung im Vergleich zu kurzen etwas. Die Reaktion der jungeren Samen aufdas Lieht hing von der Nitratkonzentration, der Temperatur, der Einquclldauer im Dunkeln vor der Bclichtung und dem Zeitpunkt der Nitratapplikation ab, Tamperaturweehsel (täiglicher Wechsel zwischen 10 und 30°C) erhohte die Empfindlichkeit gegenüber Licht und Nitrat sowohl bei gcmeinsamer als auch bei alleiniger Anwendung. Kurzzeitiges Rücklrocknen der Samen nach Licht- und Nitratapplikation beeinflusste die Reaktion der Samen auf diese beiden Faktoren nicht.  相似文献   

13.
Au Maroc, la mineuse de la tomate Tuta absoluta (Lepidoptera: Gelechiidae) a été signalée pour la première fois en avril 2008 dans la région de Nador, puis s'est propagée rapidement dans toutes les régions de production de tomates. Depuis sa signalisation, des efforts ont été déployés par la profession et les départements techniques du Ministère de l'Agriculture de la Pêche Maritime (MAPM) pour faire face à ce fléau. Le plan d'action 2008–09 se basait sur la surveillance, les approches techniques de lutte dans le cadre d'un programme de protection intégrée, la sensibilisation et l'encadrement des agriculteurs et la production de supports d'information et de vulgarisation. Pour inciter les agriculteurs à adopter une approche de lutte intégrée contre ce ravageur, des subventions ont été mises en place par le MAPM, pour l'acquisition du filet insect proof et de capsules de phéromone à utiliser pour le piégeage de masse. L’ONSSA a également autorisé de nouvelles spécialités phytosanitaires pour lutter contre T. absoluta en cultures de tomate et de pomme de terre. Cette stratégie a fait l'objet d'une évaluation qui a permis de définir un plan d'action pour 2010–11. Ce plan d'action suit les mêmes axes que la campagne précédente tout en mettant l'accent sur la surveillance du ravageur en cultures de tomates de plein champ, le renforcement du programme de sensibilisation et d'encadrement des agriculteurs et le lancement d'un programme de suivi des résidus de produits phytosanitaires dans les tomates. En 2010–11, les attaques de la mineuse de la tomate ont toujours été maitrisées.  相似文献   

14.
R. Cassini 《EPPO Bulletin》1975,5(2):141-151
En France, le maïs est souvent produit en monoculture ou placé en tête d'un assolement réduit à la rotation maïs-blé, avec quelques variantes. D'autre part, cette culture s'étend vers des zones climatiques plus marginales à la faveur des nouveaux hybrides. Ces conditions, auxquelles s'ajoute l'uniformité des variétés, sont favorables au développement des maladies. Deux types de problèmes sont examinés dans le cadre de cette évolution; ils se rattachent aux affections suivantes: 1) les maladies communes au maïs et aux céréales à paille, comprenant notamment Fusarium roseum (Link) Sn. et H., et 2) les maladies spécifiques du maïs; elles se réfèrent àHelminthosporium turcicum Pass., H. maydis Nisikado et Miyake, race T et Kabatiella zeae Narita et Hiratsuka. Les possibilités de lutte contre ces différentes maladies sont examinées ainsi que les mécanismes qui peuvent être rendus responsables de leur virulence et de leur extension.  相似文献   

15.
The dose-response, foliar uptake, translocation and metabolism of the methylheptyl ester (MHE) of fluroxypyr were examined in lambs-quarters (Chenopodium album L.), wild buckwheat (Polygonum convolvulus L.), Canada thistle (Cirsium arvense L. Scop.) and field bindweed (Convolvulus arvensis L.). Under controlled environment growth room conditions, E50 values, determined from shoot dry weights of the susceptible species, wild buckwheat (16 g ha?1) and field bindweed (40 g ha?1), were markedly different than those of the tolerant species, lambsquarters (331 g ha?1) and Canada thistle (800 g ha?1). Regardless of species, more than 80% of applied [14C]fluroxypyr-MHE was absorbed by foliar surfaces 120 h after treatment. Translocation of radioactivity out of the treated leaves of susceptible species was significantly greater than that of tolerant species. For example, 120 h after treatment with [14C]-fluroxypyr-MHE, the proportion of applied radioactivity translocated in tolerant Canada thistle and lambsquarters was 15 and 10%, respectively, whereas in susceptible wild buckwheat and field bindweed it was 41 and 40% of applied radioactivity, respectively. High-performance liquid chromatography (HPLC) of plant extracts indicated four distinct chroma-tographic peaks common to all four species. More fluroxypyr was recovered in the susceptible species (70%) than in the tolerant species (30%), 120 h after application. Selectivity differences between the tolerant and susceptible species may be the result of enhanced metabolic transformation of the herbicide to more polar, non-phytotoxic compounds with limited mobility within the tolerant species. Les bases de la sélectivité du fluroxypyr La courbe dose effet, la pénétration foliaire, la migration et le métabolisme de Tester méthyle-heptyle (MHE) du fluroxypyr ont étéétudiés chez le chénopode blanc (Chenopodium album L.), la renouée faux-liseron (Polygonum con-vulvulus L.), le chardon des champs (Cirsium arvense L. Scop.) et le liseron des champs (Convolvulus arvensis L.). En conditions de crois-sance contrôlées, les valeurs ED50, déterminées à partir du poids de matière sèche des parties aériennes étaient nettement différentes chez les plantes sensibles et chez les plantes résistan-tes:renouée faux-liseron, 16 g ha?1; liseron des champs, 40 g ha?1; chénopode blanc, 331 g ha?1; chardon des champs, 800 g ha?1. Quelle que soit 1'espèce, plus de 80% du [14C]fluroxypyr-MHE pénétrait dans les feuilles en 120 h. La migration de la radioactivité hors des feuilles traitérs était significativement plus importante chez les plantes sensibles que chez les plantes tolérantes. Par exemple, 120 h après le traite-ment avec du [14C]fluroxypyr-MHE, la proportion de radioactivité appliquée qui avait migré dans le chardon des champs et le chénopode, tolérants, était respectivement 15 et 10%, alors que chez la renouée faux-liseron et le liseron des champs, sensibles, elle était respectivement 41 et 40%. Des analyses par HPLC des extraits de plantes montraient quatre pics chro-matographiques distincts dans chacune des quatre espèces. Davantage de fluroxypyr était retrouvé 120 h après 1'application chez les plantes sensibles que chez les plantes résistantes (70% contre 30%). Les différences de sensibilité entre espèces pourraient être dues chez les plantes tolérantes à un métabolisme plus important de l'herbicide en composés plus polaires, non phytotoxiques et peu mobiles. Grundlagen für die selektive Wirkung von Fluroxypyr Die Dosis/Wirkungs-Beziehung, Blattaufnahme, Translokation und Metabolismus des Methylheptyl-Esters (MHE) von Fluroxypyr wurden bei Weißem Gänsefuß (Chenopodium album L.), Gemeinem Windenknöterich (Polygonum convolvulus L.), Acker-Kratzdistel (Cirsium arvense (L.) Scop.) und Gemeiner Ackerwinde (Convolvulus arvensis L.) untersucht. Unter den kontrollierten Umweltbedingungen eines Phytotrons wurden anhand des Trockengewichts die ED50-Werte bestimmt, die bei den empfindlichen Arten Polygonum convolvulus mit 16 g ha?1 und Convolvulus arvensis mit 40 g ha?1 sich deutlich von denen der toleranten Arten Chenopodium album mit 331 g ha?1 und Cirsium arvense mit 800 g ha?1 unterschieden. Unabhängig von der Art waren mehr als 80 % der Aufwandmenge von [14C]-Fluroxypyr-MHE durch die Blattoberflächen 120 h nach der Behandlung aufgenommen. Die Translokation der Radioaktivität aus den behandelten Blättern war bei den empfindlichen Arten signifikant größer als bei den toleranten. Z. B. waren 120 h nach der Behandlung bei den toleranten Arten Cirsium arvense und Chenopodium album 15 bzw. 10 % der Radioaktivität transloziert, während es bei den empfindlichen Arten Polygonum convolvulus und Convolvulus arvensis 41 bzw. 40 % waren. Bei allen 4 Arten ergab eine HPLC-Untersuchung der Pflanzenextrakte 4 distinkte Peaks. Bei den empfindlichen Arten wurde 120 h nach der Anwendung mit 70 % mehr Fluroxypyr wiedergefunden als bei den toleranten (30 %). Die Selektivitätsunterschiede zwischen den toleranten und empfindlichen Arten könnten auf einen beschleunigten Metabolismus des Herbizids zu stärker polaren, nichphytotoxischen Stoffen mit eingeschränkter Mobilität bei den toleranten Arten zurückgeführt werden.  相似文献   

16.
Y. Baye  M. Bouhache 《EPPO Bulletin》2007,37(1):129-131
La compétition entre la morelle jaune (Solanum elaeagnifolium Cav.) et le maïs (Zea mays L.) a étéétudiée au champ au cours de la saison 2001. Des durées de compétition avec la morelle jaune plus ou moins longues, tardives et précoces ont été imposées à la culture au cours du cycle. Les résultats montrent que les paramètres de croissance (hauteur, surface foliaire, matière sèche) du maïs ont été affectés par la présence de la mauvaise herbe. Plus la durée de compétition est longue, plus ces paramètres sont réduits. Les principales composantes du rendement, à savoir le nombre de grains/épi et le poids de 1000 grains ont été fortement influencées par la morelle jaune. Il en est de même pour le rendement global qui diminue d’autant plus que la compétition avec l’adventice dure longtemps. Ce dernier a été réduit de 64% en cas de non désherbage. Pour des pertes de rendements tolérées de 15%, la période critique de sensibilitéà la mauvaise herbe serait située entre le stade floraison de la culture et le stade grain laiteux avancé. La mauvaise herbe arrive à accomplir parfaitement son cycle biologique lorsque aucun désherbage n’est effectué. Des désherbages se poursuivant jusqu’au stade grain pâteux de la culture ont permis de réduire la production de fruits de la mauvaise herbe.  相似文献   

17.
Les résultats obtenus montrent que l'activité biocide du bromure de méthyle est correctement mesurée par le produit C1T (concentration du bromure de méthyle dissous en mmole 1?1 x temps d'exposition en heures des organismes au toxique), mesure qui convient spécialement aux traitements du sol, le gaz y étant présent en solution aqueuse. Les valeurs de C1T qui produisent un effet léthal varient selon les particularitiés morphologiques des organismes et la température pour des raisons de réactions biochimiques et de cinétiques d'échanges physico-chimiques. Il existe de plus un seuil de concentration minimale en deçà duquel l'effet pesticide n'est plus perceptible. Dans nos conditions standardisées de mesure, il apparaît que l'effet nématicide et herbicide se manifeste pour des C1T semblables, alors que les champignons et surtout les bactéries sont plus résistants. Ainsi, les perturbations observées sur la flore bactérienne du cycle de l'azote à la suite d'un traitement ne sont généralement que temporaires. Il est prudent toutefois d'éviter les traitements à fortes doses.  相似文献   

18.
M. HABERT 《EPPO Bulletin》1988,18(3):423-427
Depuis l'automne 1983, le groupe de travail français pluriorganismes (ACTA-INRA-SPV) consacréà l'étude d'Arvicola terrestris scherman a créé et mis en place un réseau d'observations par piégeage exhaustif sur une centaine de communes dans plusieurs régions (Auvergne, Limousin, Franche-Comté, Alsace, Lorraine, Rhône-Alpes). Les piégeurs reçoivent une formation succinte ainsi que des instructions leur permettant de réaliser trois piégeages dans l'année (printemps-été-automne) à l'aide de pièges pinces sur une bande de 100 ± 5 m (méthode Pascal-Meylan). Les fiches de piégeages et le matériel biologique sont collectés et contrôlés par le Service de la Protection des Végétaux. Les autopsies de la totalité des animaux capturés sont assurées par l'INRA ou le SPV. Les résultats sont centralisés au Laboratoire de la Faune Sauvage de l'INRA à Jouy-en-Josas, sous la forme de deux fichiers informatiques. L'analyse globale des premiers résultats des réseaux d'alerte a mis en évidence toute la complexité du phénomène de pullulation chez le campagnol terrestre. Contrairement à l'idée généralement répandue, le phénomène ne présente pas la synchronisation parfaite qu'on lui prête et ceci à diverses échelles: France, région, département, commune. En octobre 1985, en Franche-Comté, nous avons pu délimiter avec précision une zone de 15 communes qui présentait tous les signes précurseurs d'une poussée démographique avec des populations variant de 200 à 370 campagnols à l'hectare. En 1986, plus d'une centaine de communes étaient touchées, regroupées en une zone relativement homogène centrée sur la zone pionnière, avec des densités variant de 200 à 500 campagnols à l'hectare. L'analyse de l'évolution locale des cinétiques de population va nous permettre à terme de diagnostiquer les diverses phases du cycle (croissance, déclin) et en conséquence le déclenchement des alertes agricoles.  相似文献   

19.
Les pertes de récoltes dues aux nématodes sont importantes et difficiles à réduire, en raison même de la nature des dommages et des relations multiples qui existent entre la plante-hôte et le ravageur. Ainsi, en dehors des dégâts directs, les nématodes peuvent déclencher ou favoriser le développement d'autres maladies, ou agir en tant que vecteur. d'incidence économique est aussi bien quantitative que qualitative. Les semences ou le matériel destinéà la reproduction, qui sont contaminés, devraient être systématiquement détruits ou désinfectés. Le coût des traitements, l'amélioration des pratiques culturales en matière de fumure, irrigation ou assole-ment doivent faire l'objet d'études consciencieuses, de fa?on à assurer une protection économique. Pour mesurer et chiffrer les pertes, on peut utiliser divers critères: essais de pathogénicité en conditions artificielles, traitements de plein champ plus ou moins sélectifs, établissement de formules de corrélation entre les densités de populations révélées par l'analyse du sol et les diminutions de récoltes observées ou escomptées. Les préjudices causés par les nématodes aux diverses cultures européennes sont du même ordre que ceux qui ont été constatés aux Etats-Unis et sétablissent comme suit: 5 % pour les céréales et le maïs, 10 % environ pour la pomme de terre, la betterave et les diverses cultures maraîchères ou ornementales (ce pourcentage est probablement dépassé pour les cultures fruitières). Ces données montrent que l'on sous-estime en général l'importance économique des divers nématodes phytophages, et justifient les mesures préconisées pour en limiter la propagation.  相似文献   

20.
L'établissement d'un modèle de développement pour la tordeuse de la pelure, Adoxophyes orana, basé sur les sommes de températures, est primordial pour l'avertissement Il permet à l'arboriculteur d'effectuer un minimum d'échantillonnages des populations aux moments les plus opportuns, afin de prendre les décisions qui s'imposent pour l'application de la lutte dirigée. Les essais effectués en laboratoire et à l'extérieur ont montré que le seuil de développement des ?ufs est de 10°C, celui des larves de la génération d'été se situe entre 7 et 8°C, alors que celui des larves de la génération hivernante est de 10°C. Le seuil de développement pour la phase nymphale est légèrement supérieur à 10°C. En admettant une vitesse de développement proportionnelle à la température, les durées des phases embryonnaires et nymphales sont de 90 degrés-jours (dj) au-dessus du seuil de 10°C. Le développement larvaire de la génération d'été est en moyenne de 430 dj au-dessus du seuil de 7°C. Les implications de ce modèle pour l'avertissement établi par les services officiels ainsi que pour la stratégie de lutte contre la tordeuse de la pelure sont commentées dans ce travail.  相似文献   

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