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1.
Plants of Salvia reflexa Hornem. grown in pots of soil were subjected to drought treatments in glasshouse conditions. Quite short durations of water stress significantly decreased leaf area, top and root dry weight and the plants rapidly adjusted their water loss below potential evaporation rates. The plants survived and recovered from periods of drought for up to 30 days but plants dehydrated, even after short droughts, did not attain the growth rates of undroughted plants. In an infertile soil, S. reflexa plants demonstrated a large requirement for applications of phosphorus. With phosphorus applied, the species was also very responsive to nitrogen, and where both nitrogen and phosphorus were applied there were smaller responses to sulphur and potassium. Etudes sur Salvia reflexa Hornem. IV. Influence exercée sur la croissance et le développement de l'espèce par la fréquence des arrosages, la sécheresse et l'apport d'aliments Salvia reflexa Hornem., cultivé en vases de végétation, a été soumis à des régimes de sécheresse en conditions de serre. Une sécheresse, même de durée assez courte, a amené une diminution significative de la surface foliaire et du poids sec des parties aériennes ainsi que des racines; les plantes ont vite fait d'adapter leur perte d'eau à des niveaux inférieurs au taux potentiel d'évaporation. Elles ont survécu et se sont remises après des sécheresses de 30 jours maximum mais les plantes déshydratées, même pendant des sécheresses de courte durée, n'ont plus atteint le taux de croissance des plantes i indemnes de sécheresse. En terre pauvre, les plantes de S. reflexa ont exigé de grands apports de phosphore. Après les apports de phosphore, l'espéce a également fait preuve d'un grand besoin d'azote. En présence de phosphore et d'azote, la réponse aux apports de soufre et de potassium était moins forte. Untersuchungen an Salvia reflexa Hornem. IV. Einfluss von Wasserversorgung und Düngung auf das Wachstum In Gewächshausversuchen mit Salvia reflexa Hornem, nahmen bei relativ kurzzeitiger Trockkenperiode die Blattfläche und die Trockenmasse des Sprosses sowie der Wurzeln signifikant ab, so dass die Pflanzen die Transpiration schnell unter die potentielle Evaporationsrate senkten. Sie überlebten Trockenperioden von bis zu 30 Tagen und erholten sich wieder, erreichten aber, auch nach kurzem Wassermangel, nicht dieselben Wachstumsraten wie Pflanzen, die nicht dieser Belastung unterworfen waren. Auf einem nährstoffarmen Boden zeigten S.-reflexa-Pflanzen einen hohen Phosphatbedarf. Nach Phosphatdüngung braucht die Art auch viel Stickstoff. Bei N + P-versorgten Pflanzen ist der Bedarf an Schwefel und Kalium gering.  相似文献   

2.
Some germination of Salvia reflexa Hornem. could occur from 4 to 39°C, with good germination between 12 and 32°C and the best germination at 28 and 32°C. Rate of germination and total germination were decreased as osmotic potential of the germination medium increased from -0.4 to - 1.4 MPa. Germination thus occurred at a higher osmotic potential than in most species previously reported. This wide tolerance of environmental factors affecting germination should enable S. reflexa to be competitive over a wide range of field conditions. In field studies of emergence, when new seed formation was prevented, germination occurred in spring as soils warmed up and rainfall became adequate and continued to mid-summer when drought occurred. When seed fall was allowed from these spring emerging plants there was a further period of autumn germination, but this was not evident in disturbed plots with no seed return. These patterns conformed with expectations based on laboratory germination studies. Etudes sur Salvia reflexa Hornem. III. Facteurs qui en règlent la germination Salvia reflexa Hornem. est capable de germer à des températures allant de 4 à 39°C; une bonne germination a lieu entre 12 et 32°C et la meilleure se produit à 28–32°C. Le taux de germination ainsi que la germination globale ont baisséà mesure qu'augmentait de ?0, 4 à?1, 4 MPa le potentiel osmotique du milieu de germination. La germination s'est donc produite à un potentiel osmotique plus élevé que chez la plupart des espèces signalées précédemment. Cette large tolérance de facteurs qui influent sur la germination donnerait à.V. reflexa une capacité de concurrence dans une large gamme de conditions sur le terrain. Dans des études de la levée au champ, lorsque la production de graines nouvelles avaient été bloquée, la germination s'est produite au printemps à mesure que le sol se réchauffait et que la précipitation devenait suffisante; elle a continué jusqu'à la sécheresse du plein éte. Lorsque les graines de ces plantes qui avaient levé au printemps ont pu tomber, une germination ultérieure a eu lieu en automne; ce phénomène ne s'est pas produit dans des parcelles remuées et sans chute de graines dans le sol. Ces modalilés s'accordent aux prévisions faites à base d'études de germination en laboratoire. Untersuechungen an Salvia reflexa Hornem. III. Keimung Samen von Salvia reflexa Hornem. keimten zwischen 4 und 39°C, aber im wesentlichen zwischen 12 und 32°C, und das Optimum lag bei 28 bis 32°C. Mit dem Ansteigen des osmotischen Potentials des Keimmediums von - 0, 4 auf - 1, 4 MPa nahm die Keimrate ab. Die Keimung lag also bei einem höheren osmotischen Potential als bei den meisten Arten. über die vorher berichtet wurde. Diese weite physiologische Spanne der Keimung sollte es S. reflexa erlauben, unter verschiedenen ökologischen Bedingungen mit anderen Arten zu konkurrieren. In Feldversuchen keimten die Samen vom Frühjahr, nachdem sich die Böden erwärmten und ausreichend Niederschlag gefallen war, bis zum hohen Sommer, wenn die Trockenzeit einsetzte. Konnten die im Frühjahr gekeimten Pflanzen aussamen, gab es im Herbst eine neue Keimperiode. Dieses Verhalten war von den Laborversuchen her zu erwarten.  相似文献   

3.
Results arc reported of two experiments done during 1971–76. which investiga ted the germination and longevity in soil of seeds of Agropyron repens L. Beauv. and Agrostis gigantea Roth. The effects of different cultivation regimes and paraquat were investigated in a field experiment and the effects of different frequencies of cultivation in a sandy loam and silty loam soil were studied in the glasshouse. Seeds of neither species were innately dormant and most germination occurred during the first autumn. Agrostis seeds germinated most readily on the soil surface and persisted longest where the seeds were incorporated in soil al the outset and not cultivated in the spring. In contrast. Agropyron seeds germinated most readily when incorporated in soil at the cutset and their depletion was largely independent of cultivations in the spring; they persisted longest where they remained on the soil surface dtiring the firstautumn. Paraquat, sprayed on to dry seeds, greatly decreased the number of Agropyron seeds, giving emerged seedlings early during the first autumn but did not afTect the number emerging after this. Agrostis was aflected little by paraquat. Agrostis seeds were more persistent than Agropyron in most treatments of both experiments; in the field, on average, only abotit 0.3% of Agropyrim seeds gave emerged seedlings during the fourth year whereas about three times as many Agrostvis seedlings would be expected to emerge during the fifth year. The number of seedlings, particularly of Agrostis. emerging in consecutive years did not decrease continuously from year to year. There was some indication that longevity of Agrostis seeds might be greater in a sandy loam than in a silly loam soil. The much smaller percentage of seeds accounted for in the field than in the glasshouse is emphasised and the implications of the findings to practical control measures, particularly that depletion of seed reserves is dependent on initial cultivations, are briefly discussed. Germination et longévité des sentences d' Agropyron repens L. Beauv. et d'Agrostis gigantea Roth, dans le sol, en relation avec different régimes de culture. Les auteurs rapportent les résultats de deux expériénces effectuées de 1971 à 1976, destinées àétudier la germination et la longevité dans le sol des seremencesd d' Agropyron repens(L.) Beauv. et d'Agrostis gigantea Roth. Les effets de différents régimes de culture et du paraquat ont étéétudiés dans une expérience au champ et les effets de différentes fréquences de culture, dans un sol de limon sableux et dans un limon fm ont étéétudies en serre. Les semenees des deux espéces ne se sont pas révélées naturellement dormantes et la plus grande partie de la germination s'est produite durant le premier automne, Les semenees d'Agrostis ont germé plus aisément à la surface du sol et ont persisté plus longtemps là oü les semenees ont été incorporées dans le sol dés le début el non irultivées au printemps. En revanche, tes sentences d’ Agropyron ont germé plus aisément lcirsqu'elles ont été incorporées dans les sol dés le debut et leur épuisement a été en grande partie indépendant des facons culturales effectuées au printemps; elles ont persisté plus longtemps lä oü elles sont restées à la surface du sol durant le premier automne. Le paraquat, pulvérisé sur les semenees séches, a diminué de facon importante le nombre de semenees d'Agropyron donnant des levées précoces de plantules durant le premier automne; par la suite, le paraquat n'a pas eu d'effet sur le nombre des levées. L'Agrostis a été peu aftecté par le paraquat. Les semenees d’ Agrostis se sont montrées plus persistantes que celles ti’ Agropyron dans la plupart des conditions des deux expériences; au champ environ 0,03% seulement en moyennede semenees d'Agropyron ont levé au cours de la quatriéme année alors que trois fois autani de levées d'Agrostisétaient attendues au cours de la cinquiéme année. Le nombre de plantules d’Agrosits en particulier. levant au cours des annees consecutives n'a pas continuellement diminué d'année en année, ll y a quelques raisons de penser que la longévité des semenees d'Agrostis pourrait étre plus grande dans un limon sableux que dans un limon fin. Les auteurs insistent sur le fait que le pourcentage de semenees enregistré au champ a été beaucoup plus faible qu'en serre. Les implications des constatations faites dans les mesures pratiques de lutte sont briévement discutées, en particulier le fait que la diminution des reserves des semenees dépend des facons culturales initiates. Keimung und Lebensdauer der Samen von Agropyron repens L. Beauv. und Agrostis gigantea Roth, im Boden in Be:iehung zu unterschiedlicher Bodenhearbeitung Es wird üher Versuche berichiet, die in der Zeit von 1971–1976 durchgeführt wurden. und in denen die Keimung und die Lebensdauer der Samen von Agropyron repens (L.) Beauv. und Agrostis gigantea Roth, im Boden untersucht wurden. In einem Feldversuch wurde die Wirkung verschiedener Bodenbearbeitungen und von Paraquat untersucht. und in einem Gewâhshausversuch die Wirkung unterschiedlichcr Abstände in der Bodenbearbeitung bei cinem saodigen Lehmboden und einem Schluff-Lenmbodcn. Bei keiner der beiden Arten waren die Samen endogen dormant, und die mcisten keimten im ersten Herbst. Die Samen von Agrostis keimten am schnellsten auf der Bodenoberfläche und überlebten am längsten, wenn sie am Anfang eingearbeitet wurden. der Boden im Frühjahr aber niirht bearbeitet wurde. In Gegensatz dazu keimten die Samen von Agropyron am schnelllsten, wenn sie am Anfang eingearbeitel wurden, und die Erschöpfung des Samenvorrats war unabhängig von Bodenbearbeirtungen im Frühjahr; sie überlebten am längsten, wenn sie im ersten Herbsi auf der Bodenoherflächc verblieben. Wurde Paraquat auf trockene Samen gespritzl. dann nahmen die Agropyron-Sdmen stark ab, da im Frühberbst des ersten Jahres Pflanzen aufliefen, was aber keine Auswirkung auf die Anzahl der auflaufenden Pflanzen in der Folgezeit hatte. Bei Agrostis wirkte Paraquat nur schwach. In den meisten Varianien der beiden Versuche überlebten mehr Samen von Agrostis ah von .Agropyron. Im vicrten Jahr des Feldvcrsuchs liefen durchschnittlich etwa 0,03% der Agropvron-Samcn auf, während bei .Agrostis im fünften jahr etwa dreimal soviel erwartet werden können. Die Zahl der in den Folgejahren a ufgelaufenen Keimpflanzen nahm bcsounders bei Agrostis nicht kontinuierlich von Jahr zu Jahr ab. Es gab einige Hinweise dafür. dass die Lebensdauer von .Agrostiis-Samen im sandigen Lehmboden grösser sein könnte als im Schluff-Lehm- boden. Es wird auf den wesentlich geringeren Prozentsatz an Samen unter Feld- als unter Gewächshausbedingungen hingewiesen. Die Folgen diescr BEfunde für die praktische Bekämplung, insbesondere, dass dcr SamenvorraT im Boden von der ersten Bodenbearbeitung abhängig ist, werden kurzdiskutiert.  相似文献   

4.
In both field and laboratory studies it was shown that C. nutans ssp. nutans requires vernalization for floral initiation. Short days before the vernalization period reduced both the need for vernalization and for subsequent long days. In a field experiment, seedlings were planted over a 12 month period at three densities and two soil fertility levels and their development recorded. Here also plants did not become reproductive unless exposed to low temperatures during winter, but uneven development resulted when exposure to chilling was shortened. Density and fertility treatments did not significantly affect plant development. Growing degree day and vernalization degree sums were calculated to predict bolting dale. The pattern of development in C. nutans is discussed in relation to its adaptability and to the optimum timing of herbicide application in Australia. Recherches biologiques sur Carduus nutans (L.) ssp. nutans II. Vernalisation et dévebppement phénoiogique Dans des expériences aussi bien au champ qu'en laboraioire, il a été constaté que C. nutam ssp. nutans exige une vernalisation pour permettre l'initiation florale. Des jours courts avant la période de vernalisation ont réduit à la fois le besoin de vernalisation et de jours longs consecutifs. Dans une expérience au champ, les plantules ont été repiquées au cours d'une période de 12 mois, à trois densités et à deux niveaux de fertiltié du sol; leur développement a été enregistré. Ici aussi, les plantes ne sont devenues reproduettves quà condition d'avoir été exposées à des températures basses pendant l'hiver. Lorsque la durée de l'exposition au froid a été raccourcic, ilen est resulté un développement irrégulier. La densité et les traitements fertilisants n'ont pas affecté significativement le développcment des plantes. Les sommes de temperatures journalières ont ete calculées. ainsi que pour la vern a lisation en vue de prévoir la date de levée. Les modalités du développement de C. nutans sont discutées en relation avec son adaptabilité et l'epoque optimale du traitement herbicide en Australie. Untersuchungen zur Biologic von Carduus nutans (L.) ssp. nutans II. Vernalisation und phänologische Entwicklung Sowohl mit Feld-, als auch in Laborversuchen wurde gezeigt, dass C. nutains ssp. nutans für die Bildung von Blülenknospen eine Vernalisierung benötigt. Kurzlagbedingungen vorder Vernalisationsperiode reduzierten den Vernalisationsbedarf und die anschliessenden Langtagbedingungen. In einem Feldversuch wurden Samlinge über 12 Monate bei drei verschiedenen Pflanzendichten und zwei Düngestufen gepflanzt und ihre Fniwicklung verfolgt Auch hier gingen die Pflanzen nicht in die reproduktive Phase über, wenn sie im Winter nicht niedrigen Temperaturen ausgesetzt waren: verkürzte Kälteperioden hatten eine unglciehmässige Entwicklung zur Folge. Pflanzeudichte und Dungung wirklen sich nicht signifikant auf die Lntwicklung der Pflanzen aus. Mit Hilfe der Tageslänge und Vernalisationsdaten wurde der Zeitpunkt des Schossens der Pflanzen vorhergesagt. Die Art und Weise der lint wicklung von C. nutans wird mit der Anpassungsfähigkeit dieser Pflanze und dem günstigsten Zeitpunkt fur die Herbizidbehandlung unter australischen Verhältnissen in Beziehung gebracht.  相似文献   

5.
On 3-year-old thickets of Rubus procerus sprays of 0·067% 2,4,5-T reduced the density of live canes most when sprayed from the commencement of flowering in early summer through to autumn. However, on 7-year-old thickets the time of spraying had no significant effect. Sprays of 0·067% picloram were most effective on 3-year-old thickets when applied just before and during flowering. Generally 2,4,5-T was more effective when sprayed twice a year, but some live plants remained after this was carried out for 2 years. Because of the higher density of plants in thickets of R. ulmifolius hybrid, this taxon is more difficult to eradicate than thickets of R. procerus. Although picloram was the most effective herbicide tested, picloram and activated aminotriazole have a more limited potential usage than 2,4,5-T on blackberry. Ecologie et destruction des ronces (Rubus fruticosus L. agg) IV. Effets d'applications uniques ou répétées de 2,4,5-T, de piclorame et d'aminotriazole. Des traitements au 2,4,5-T à 0·067% sur des buissons de Rubus procerusâgés de trois ans ont réduit la densité des tiges vivantes, surtout lorsque le traitement a été fait depuis le commencement de la floraison, au début de l'été, jusquà l'automne. Toutefois, sur des buissons âgés de sept ans, l'époque du traitement n'a pas eu d'effet significatif. Ce sont les traitements avec le piclorame à 0,067% qui furent les plus efficaces sur des ronces de trois ans, lorsqu'ils furent appliqués juste avant et pendant la floraison. En général, le 2,4,5-T a été plus efficace lorsqu'il a été appliqué deux fois dans l'année, mais quelques plantes sont restées vivantes après que ce traitement ait été réalisé deux annees de suite. En raison de la forte densite des plantes dans les buissons de l'hybride R. ulmifolius, ce taxon est plus difficile a détruire que R. procerus. Bien que le plclorame ait été le plus efficace des herbicides essayés, le piclorame et l'aminotriazole activé sont d'un usage potentiel plus limité que le 2,4,5-T sur les ronces. Ökologie und Bekämpfung der Brombeere (Rubus fruticosus L. agg.) IV. Die Wirkung einmaliger und wiederholter Anwendungen von 2,4,5-T, Picloram und Aminotriazol Bei dreijährigen Rubus procerus-Dickichten wurde die Dichte der lebenden Ruten am stärksten verringert, wenn zu Beginn der Blüte im Frühsommer, bis zum Herbst hindurch 2,4,5-T (0,067%) gespritzt wurde. Bei siebenhährigen Dickichten hatte der Spritzzeitpunkt keinen gesicherten Einfluss, Spritzungen mit Picloram (0,067%) zeigten bei dreijaärigen Beständen die beste Wirkung, wenn sie kurz vor und während der Blüte durchgeführt wurden. Im allgemeinen war 2,4,5-T, zweimal jährlich angewandt, am wirkungsvollsten, Wenn diese Massnahme zwei Jahre lang durchgeführt wurde, blieben aber einige intakte Pflanzen übrig. Wegen der höheren Pflanzendichte in Dickichten von Hybrid-R. ulmifolius, ist dieses Taxon schwieriger zu vernichten als Bestände von R. procerus. Wenngleich Picloram unter den geprüften Herbiziden das wirksamste war, so wird doch Picloram und Aminotriazol weniger gegen die Brombeere eingesetzt als 2,4,5-T.  相似文献   

6.
A field is sampled or scouted to estimate the average densities of weed species present in order to make a post-emergence control decision. The patchy distribution of broadleaf weeds within fields hinders quick, accurate estimation of average densities, yet these estimates are used for decision making without consideration of the possible error. We investigated the potential for improving decision making by modifying a post-emergence soybean herbicide decision model to account explicitly for uncertainty about the average densities as part of the decision process. Uncertainty was modelled from general characteristics of weed distribution and information obtained from scouting. Scouting, decision making, and the profit expected with the decision were simulated for 14 fields to measure the improvement in decision making. Decision making was improved somewhat by including uncertainty into the evaluation of alternative actions. Variability of weed distribution between fields and species may be an obstacle to improving post-emergence weed control decision making with this decision analytic approach. Modelisation de l'incertitude des estimations de la densite d'adventices pour ameliorer les decisions de traitements herbicides post-levee Un champ a étééchantillonné ou sélectionné pour estimer les densités des espèces d'adventices présentes en vue de décider un desherbage de post-levée. La distribution des plaques d'ad-ventices dicotylédones à l'intérieur des champs gêne rapidement, une estimation précise des densités moyennes; ces estimations sont actuellement utilisées pour une prise de décision sans considérer l'erreur possible. Nous avons étudié le potentiel d'amélioration de la prise de décision en modifiant un modèle de décision de traitement herbicide du soja en post levée en tenant compte explicitement de l'incertitude des den-sités moyennes comme une partie du schéma décisionnel. L'incertitude a été modélisée à partir des caractéristiques générales de la distribution des adventices et l'information obtenue de l'échantillonnage. L'échantillonnage, la prise de décision et le profit attendu de la décision ont été simulés pour 14 champs afin de mesurer l'amélioration de la prise de décision. La prise de décision a été améliorée quelque peu en incluant l'incertitude dans l'évaluation des actions alternatives. La variabilité de la distribution des adventices entre les champs et les espèces peut être un obstacle pour améliorer la décision pour un desherbage de post levée avec une approche décisionnelle analytique. Die Modellierung der Unschärfe bei der Erfassung des Deckungsgrades von Unkräutern zur Verbesserung der Bekämpfungsentscheidung bei Nachauflaufherbiziden Für die Bekämpfungsentscheidung bei Nachau-flaufherbiziden wurde der durchschnittliche Deckungsgrad der auf einem Feld vorhandenen Unkrautarten erfaβt. Die nesterweise Verteilung dikotyler Arten erschwert eine schnelle, akkurate Bestimmung der Dichte, dennoch werden Entscheidungen ohne Berücksichtigung dieses Fehlers getroffen. Wir haben Möglichkeiten für eine verbesserte Entscheidung erarbeitet, indem wir ein Entscheidungsmodel] für Nachauflaufbe-handlungen in Sojabohnen modifizierten. Die o.a. Unschärfe wurde auf der Grundlage der charakteristischen Verteilung der Unkräuter und der Beobachtungswerte modelliert. Die Boniturwerte, die Entscheidungsfindung und der daraus zu erwartende Nutzen wurden für 14 Schlägen simuliert, um den Vorteil dieses Verfahrens zu überprüfen. Dabei zeigte sich, daβ die Entscheidungsfindung bei der Bewertung alternativer Vorgehensweisen (nur) geringfügig verbessert wurde. Die Variabilität der Unkrautverteilung zum einen je nach Art und zum anderen von Feld zu Feld stellt ein weiteres Problem für eine Verbesserung eines derartigen Entscheidungsmodells dar.  相似文献   

7.
Residues of fluazifop-butyl were determined in strawberries from New Brunswick and Nova Scotia, Canada and North Carolina, U.S.A. using a High Performance Liquid Chromatography (HPLC) system. Strawberries harvested within 28 days of treatment (pre-harvest interval= PHI) had detectable residues of fluazifop, ranging from 0.05 ppmw with a split application of 0.25 kg ha-1 and a 18-day PHI to 3.24 ppmw with a split application of 0.5 kg ha?1 and a 12-day PHI. Fluazifop was not detected in samples treated 287 days or more before harvest (prior growing season) at 0.25–1.65 kg ha?1 (three applications of 0.55 kg ha?1). Fluazifop-butyl did not provide acceptable control (50% with two applications of 0.25 kg ha?1) of Elymus repens (L.) Gould in a commercial planting in New Brunswick. Control of Digitaria sanguinalis (L.) Scop. was better than 90% with two applications of 0.30 kg ha?1 in North Carolina. Fluazifop-butyl did not injure strawberries at any of the rates or sites tested. Résidus et efficacité du fluazifop-butyle en culture de fraises Les résidus du fluazifop-butyle dans des fraises provenant de New Brunswick et Nova Scotia au Canada et de North Carolina aux Etats-Unis ont été déterminés en utilisant un système de chromatographie liquide à haute performance (HPLC). Des fraises récoltées avant 28 jours après le traitement (PHI 28) contenaient des résidus de fluazifop décelables, allant de 0.05 ppmw après un apport fractionné de 0,25 kg ha?1 et PHI 18 à 3,24 ppmw après un apport fractionné de 0,5 kg ha?1 et PHI 12. Nulle trace de fluazifop n'a été décelée dans des échantillons traités au moins 287 jours avant la récolte, c'est-à-dire pendant la saison précédente, aux doses de 0,25 à 1,65 kg ha?1 (trois pulvérisations à 0,55 kg ha?1). Le fluazifop-butyle n'a pas permis une destruction convenable d'Elymus repens (L.) Gould dans une exploitation commerciale au New Brunswick (50% suivant deux pulvérisations à 0,25 kg ha?1). La destruction de Digitaria sanguinalis (L.) Scop. avec deux pulvérisations à 0,30 kg ha?1 en North Carolina dépassait 90%. Le fluazifop-butyle n'a provoqué de dégâts dans les fraises à aucune des doses testées ni à aucune localité. Rückstände und Wirkung von Fluazifop-Butyl in Erdbeeren Erdbeeren von Neu-Braunschweig, Neu-Schott-land (Kanada) und Nord-Karolina (U.S.A.) wurden mittels Hochleistungs-Flüssigkeits-Chromatographie (HPLC) auf Rückstande von Fluazifop-Butyl untersucht. Innert 28 Tagen nach der Behandlung (Intervall vor der Ernte = PHI) geerntete Erdbeeren enthielten messbare Rückstande von Fluazifop; sie betrugen zwischen 0,05 ppmw nach einer Split-Applikation von 0,25 kg ha?1 und einem PHI von 18 Tagen und 3,24 ppmw nach Split-Applikation von 0,5 kg ha?1 und 12 Tagen PHI. Es wurden keine Rückstände in Proben gefunden, die 287 oder mehr Tage vor der Ernte mit 0,5–1,65 kg ha?1 (drei Applikationen von je 0,55 kg ha?1) behandelt worden waren (vor der Wachstumsperiode). Fluazifop-Butyl erzielte keine genügende Kontrolle von Elymus repens (L.) Gould (50% Erfolg nach zwei Behandlungen mit 0,25 kg ha?1) in einer Produktionspflanzung in Neu-Braunschweig. Der Erfolg gegen Digitaria sanguinalis (L.) Scop. war in Nord-Karolina nach zwei Applikationen von 0,30 kg ha?1 höher als 98%. Fluazifop-Butyl schädigte die Erdbeeren an keinem der Standorte und mit keiner Dosierung.  相似文献   

8.
Triazine-resistant (R) biotypes of Amaranthus albus L. (tumble pigweed), A. blitoides S. Wats. (prostrate pigweed), A. hybridus L. (smooth pigweed), A. retroflexus (redroot pigweed), and Solanum nigrum L. (black nightshade) were found in Spain. The former two R biotypes were found in simazine-treated, non-tilled olive orchards, whereas the latter three came from atrazine-treated maize (Zea mays L.) crops. All R biotypes survived at rates up to 5.0 kg ha?1 of soil-incorporated atrazine or simazine, whereas their susceptible (S) or ‘wild type’ counterparts were completely controlled at levels of 0.25 kg ha?1 atrazine, in the case of A. hybridus, A. retroflexus and S. nigrum, and 2.5 kg ha?1 in the case of A. albus and A. blitoides. The higher tolerance to triazines of these latter S biotypes appears to be attributable to herbicide detoxification. Photosynthetic electron transport in R biotypes was little affected by atrazine and simazine, but was inhibited by diuron, as shown by fluorescence induction measurements in whole leaves. In Hill reaction assays, the R biotypes showed a high level of resistance to atrazine and simazine (resistance factors in the range 350–900), and very slight resistance to diuron (resistance factors in the range 1.1–1.6). It is concluded that all R biotypes have evolved a chloroplastic mode of resistance similar to that previously described for other triazine-resistant weed biotypes. Résistances aux triazines des biotypes de Solanum nigrum et 4 espèces d'Amaranthus trousiées en Espagne Des biotypes résistant aux triazines (R) d'Amaranthus albus L., d'A. blitoïdes S. Wats, d'A. hybrydus et d'A. retroflexus et de Solanum nigrum L. ont été trouvés en Espagne. Les 2 premiers biotypes (R) ont été trouvés dans des oliveraies non labourées traitées à la simazine, tandis que les 3 derniers viennent de cultures de maïs traitées à l'atrazine. Tout les biotypes R ont survécu à des doses jusqu'à 5 kg ha?1 d'atrazine ou de simazine incorporée au sol tandis que leurs équivalents sensibles (S) ou ‘types sauvages’étaient complètement détruits à des doses de 0,25 kg ha?1 d'atrazine dans le cas d'A. hybridus, A. retroflexus et S. nigrum et de 2,5 kg ha?1 dans le cas d'A. albus et A. blitoïdes. La tolérance plus élevée aux triazines de ces 2 derniers biotypes apparaît être attribuable à la détoxification de l'herbicide. Le transport des d'électrons photosynthétiques dans les biotypes R a été peu affecté par l'atrazine et la simazine mais a été inhibé par le diuron, comme l'ont montré des mesures d'induction de fluorescence dans des feuilles entières. Dans des essais de réaction de Hill, les biotypes R ont exprimé une haute résistance à l'atrazine et à la simazine (facteurs de résistance de 350 à 900) et une très faible résistance du diuron (facteurs de résistance de 1,1 à 1,6). Il est conclu que tous les biotypes R ont développé un mode de résistance chloroplastiques identique à celui déjà décrit par d'autres biotypes d'adventices résistant aux triazines. Triazinresistenz bei Biotypen von Solanum nigrum und vier Amaranthus-Arten in Spanien Triazinresistente Biotypen (R) von Amaranthus albus L. (Weißer Amarant), A. blitoides S. Watson (Westamerikanischer A.), A. hybridus L. (Grünähriger A.), A. retroflexus L. (Zurückgekrümmter A.) und Solanum nigrum L. (Schwarzer Nachtschatten) wurden in Spanien gefunden. Die ersten beiden R-Biotypen stammten aus Simazin-behandelten Olivengärten ohne Bodenbearbeitung, die drei anderen von Atrazin-behandeltem Mais (Zea mays L.). Alle R-Biotypen ertrugen biszu 5,0kg ha?1 Atrazin oder Simazin, in den Boden eingcarbeitet, während empfindliche (S) oder ‘wilde’ Pflanzen mit 0,25 kg ha?1 Atrazin (A. hybridus, A. retroflexus, S. nigrum) und 2,5 kg ha?1 (A. albus, A. blitoides) bekämpfbar waren. Die höhere Triazintoleranz der beiden letzten Arten ist wahrscheinlich, auf eine Herbizidde-toxifikation zurückzuführen. Der photosynthetische Elektronentransport in den R-Biotypen wurde durch Atrazin und Simazin nur wenig beeinflußt, durch Diuron jedoch unterbunden, wie durch Messungen der Fluoreszenzinduktion der ganzen Blätter gefunden wurde. Bei der Untersuchung der Hill-Reaktion wurde bei den R-Biotypen für Simazin und Atrazin Resistenzfaktoren zwischen 900 und 350 festgestellt, für Diuron aber nur kleine Faktoren (1,1 bis 1,6). Daraus wurde geschlossen, daß alle R-Biotypen eine chloroplastische Resistenz entwickelt haben, wie sie schon früher für andere Triazin-resistente Unkrautbiotypen beschrieben worden ist.  相似文献   

9.
Les teneurs en hydrates de carbone non structuraux (TNC) des racines, collets et tiges des in-dividus de la morelle jaune (Solarium elaeagnifolium Cav.) issue des bordures, champ de cotonnier et verger d'oliviers ont été déter-minées mensuellement pendant une année. Les racines et, dans une certaine mesure, les collets ont été les organes où les réserves glucidiques étaient les plus importantes. Ces glucides ont atteint leur niveau le plus bas au moment de la formation des boutons floraux. La reconstitution des réserves en TNC a lieu entre la floraison et la maturation des fruits sur une durée de 2, 4 et 5 mois pour les individus issus du champ de cotonnier, des bordures et du verger d'oliviers, respec-tivement. L'évolution des TNC est plus influencée par le stade phénologique de l'espèce que par rhumidité et la température du sol. Les implications de ces réquitals pour définir une stratégic de lutte centre la morelle jaune sont également discutées. Seasonal changes in non-structural carbohydrates in silver-leaf nightshade (Solanum elaeagnifolium Cav.) The levels of non-structural carbohydrates (TNC) in the roots, root collar and stems of S. elaeagnifolium collected from field margins, cotton fields and olive plantations were determined monthly over a period of 1 year. The roots, and to a certain extent the root collar, were the organs with the largest carbohydrate reserves. The carbohydrate level was lowest at the time of flower bud formation. There was a build-up of TNC reserves between flowering and fruit maturation over periods of 2, 4 and 5 months from plants growing in cotton fields, field margins and olive plantations respectively. Changes in TNC are influenced more by the phenological stage of the plant than by soil humidity or temperature. The implications of these findings in defining a control strategy for this weed are discussed. Saisonale Einlagerung von Kohlenwasserstoffen beim Ölweidenblättrigen Nachtschatten (Solanum eleagnifolium Cav.) Die Gehalte unstrukturierler Kohlenwasser-stoffe (TNC) des Wurzeln, des Wurzelhalses und des Sprosses von Solanum elaeagnifolium Cav. von Feldrainen, Baumwollfeldern und Olivengärten wurden monatlich über l Jahr hin bestimmt. Die Wurzeln und in bestimmten Maβe der Wurzelhals waren die Pflanzenteile, in denen die Kohlenwasserstoffe die wichtigsten Re-servesubstanzen waren; sie hatten ihr nie-drigstes Niveau zur Blütenbildung. Der Wiederaufbau dieser Reservestoffe zwischen der Blüte und der Fruchtreife dauerte bei den Pflanzen auf den Baumwollfeldern, den Feldrainen und den Olivengärten 2, 4 bzw. 5 Monate. Die Kohlenhydratbildung wurde mehrnach den Entwicklungsstadienals durch Boden feuchte und-temperatur beeinflußt. Die Aspekte dieserUntersuchungsergebnisse für die Bekämpfung dieses Unkrauts werden diskutiert.  相似文献   

10.
BIOLOGY AND CONTROL OF RAGWORT, SENECIO JACOBAEA L., IN VICTORIA, AUSTRALIA   总被引:1,自引:0,他引:1  
Summary. Ragwort (Senecio jacobaea L.) was introduced to Victoria between 1880 and 1890 and is now firmly established, and a great problem, in the southern, high-rainfall areas of the State. In this region the warm, moist conditions of late autumn and the high winter and spring rainfall provide excellent conditions for seed germination and plant establishment, while the relatively dry late summer and early autumn favour seed formation and dispersal. Nearly 400000 ha are affected, ranging from high-fertility dairy pastures to forest and abandoned farm land. Ragwort is not readily eaten by cattle and thus its development and spread are encouraged where grazing is mainly by cattle. Temporary control can be obtained by grazing with sheep. Intensive cultivation, cropping and sowing to pastures gives good control. On non-arable areas control by chemicals such as 2,4-D, picloram and sodium chlorate has been attempted. Several insects attack ragwort and attempts have been made to establish Callimorpha jacobaeae (L.) for the biological control of this weed. Biologie et destruction du sAieçon, Senecio jacobaea L., dans l'Etat de Victoria, Australie Résumé. Le séneçon (Senecio jacobaea L.) a été introduit dans I'Etat de Victoria entre 1880 et 1890. Il est maintenant solidement établi et constitueun important probléme dans les régions méridionales, a pluviositéélevée, de I'Etat. Dans ces régions, la chaleur et l'humidité de la fin de l'automne et les pluies abondantes de I'hiver et du printemps réunissent des conditions trté favorables à la germination et à l'installation des plantes, cependant que la période l'elativement séche de la fin de l'été et du début de l'automne favorise la formation des semences et leur dispersion. Prés de 400 000 ha sont infestés, allant de prairies d'élevage à grande fertilité, jusqu'aux forêts et aux terres agricoles abandonnées. Le séneçon n'est pas consommé volontiers par les bovins ce qui favorise son développement et son extension dans les régions où les bovins prédominent. Une limitation temporaire peut être obtenue en faisant pâturer des moutons. Les façons culturales intensives, la fauche et le semis des pâtures constituent des moyens de lutte efficaces. Sur les terres non cultivées, le déherbage chimique avec des produits tels que le 2,4-D, le piclorame et le chlorate de sodium ont été essayéo. Plusieurs insectes s'attaquent au séneçon et des tentatives ont été faites pour implanter Callimorpha jacobaeae (L.) en vue de la lutte biologique contre cette mauvaise herbe. Biologie und Bekämpfung des Jakobskreuzkrautes, Senecio jacobaea L., in Victoria, Australien Zusammenfassung. Das Jakobskreuzkraut (Senecio jacobaea L.) wurde zwischen 1880 und 1890 nach Victoria cingeschleppt, wo es jetzt fest etabliert ist und besonders in den südlichen niederschlagsreichen Teilen des Staates ein grosses Problem darstellt. In diesem Gebiet schaffen die feuchtwarmen Verhältnisse des Spätherbstes und die hohen Niederschläge im Winter und Frühling beste Bedingungen für Samenkeimung und weitere Entwicklung der Pflanzen, der relativ trockene Spätsommer und Frühherbst begunstigen die Samenbildung und -ausbreitung. Fast 400 000 ha sind betroffen, von fruchtbarem Weideland für Milchvieh bis hin zu Forsten und aufgegebeneni Ackerland. Das Jakobskreuzkraut wird von Rindern nur ungern gefressen und brcitet sich daher begünstigt auf Rinderweiden aus. Eine temporäre Bekämpfung kann durch Beweidung mit Schafen erfolgen. Ebenso lässt sich durch intensive Kultivierung, Nutzung und Einsaat eine gute Bekämpfung erzielen. Auf nicht ackerbaulich genutzten Flächen wurde auch eine Bekämpfung mit chemischen Mitteln, wie 2,4-D, Picloram und Natriumchlorat versucht. Das Jakobskreuzkraut wird von mehreren Insekten befressen, und es wurden daher Versuche unternommen, Callimorpha jacobaeae (L.) zur biologischen Bekämpfung dieses Unkrauts einzuführen.  相似文献   

11.
Growing trap and catch crops to decrease infestation of Egyptian broomrape (Orobanche aegyptiaca Pers.) was tested in a 2-year field experiment supported by two pot experiments. Growing flax (Linum usitatissimum L.) in two successive winter seasons or one summer cropping with mung beans (Phaseolus aureus Roxbg.) reduced early infestation of the parasite and significantly increased tomato (Lycopersicum esculentum Mill.) vigour and production. However, the efficacy of using trap and catch crops for broomrape control in a heavily infested field was limited. Orobanche aegyptiaca attacked clover (Trifolium alexandrinum L.), flax and mung bean and developed inflorescences. Various sources of the parasite showed different degrees of virulence to flax, from heavy attack and severe damage, to sparse attachment with no production of flowering shoots. The virulent subspecies attacked flax all year round, causing severe damage. Vetch (Vicia saliva L.) var. Sadot was not parasitized by O. aegyptiaca. Effets du lin (Linum usitatissimum L.)et d'autres plantes cultivées comme plantes pièges et hôtes pour lutter contre l'orobanche égyptienne (Orobanche aegyptiaca Pers.) L'utilisation de plantes cultivées comme pièges et hôtes pour diminuer l'infestation par l'orobanche égyptienne (Orobanche aegyptiaca Pers.) a fait l'objet d'une expérimentation au champ sur deux ans ainsi que de deux expériences en pots. Si du lin (Linum usitatissimum L.) était cultivé sur deux saisons hivernales successives ou lors d'une saison estivale avec de l'ambérique (Phaseolus aureus Roxbg.), l'infestation précoce de la tomate (Lycopersicum esculentum Mill.) par le parasite était réduite, et sa vigueur ainsi que sa production étaient significativement augmentées. Cependant, l'efficacité des plantes cultivées pièges et hôtes pour lutter contre l'orobanche égyptienne dans des champs fortement infestés était limitée. Orobanche aegyptiaca attaquait le trèfle (Trifolium alexandrinum L.), le lin et l'ambérique, et développait des inflorescences. Différentes sources du parasite montraient des degrés variés de virulence à l'égard du lin, allant d'attaques importantes qui occasionnaient de sévères dommages, jusqu'à des infestations éparses qui ne produisaient pas de tiges florales. Les espèces virulentes attaquaient le lin tout au long de l'année et causaient des dommages importants. La vesce (Vicia sauva L.) variété Sadot n'était pas parasitée par O. aegyptiaca. Saat-Lein (Linum usitatissimum L.) und andere Kulturen als Fangpflanzen und Zwischenfrüchte zur Bekämpfung von Orobanche aegyptica Pers. In einem 2 ährigen Freiland- und 2 Gefäßversuchen wurden Fangpflanzen und Zwischenfrüchte zur Minderung der Verunkrautung mit Orobanche aegyptica untersucht. Nach dem Anbau von Saat-Lein (Linum usitatissimum L.) in 2 aufeinanderfolgenden Wintern oder einer Sommerkultur der Mungo-Bohne (Phaseolus aureus Roxbg.) war bei der Tomate (Lycopersicum esculentum Mill.) der frühe Befall durch den Parasiten herabgesetzt und Wachstum und Ertrag signifikant erhöht. Die Wirksamkeit des Anbaus von Fangpflanzen und Zwischenfrüchten zur Bekämpfung der Sommerwurz war jedoch auf stark verseuchten Feldern begrenzt. Orobanche aegyptica befiel Trifolium alexandrinum L., Saat-Lein und Mungo-Bohne und entwickelte Blüten. Die Virulenz verschiedener Herkünfte des Parasiten variierte von schwerem Befall und starkem Schaden bis schwachem Befall ohne Blütenbildung. Die virulente Unterart befiel den Lein das ganze Jahr über und führte zu schwerem Schaden. Die Sorte ‘Sadot’ der Saat-Wicke (Vicia sativa L.) wurde von O. aegyptica nicht befallen.  相似文献   

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The effects of soyabean Glycine max (L.) Merr. row width, date of planting and year on threshold levels of jimsonweed (Datura stramonium L.) and on jimsonweed seed production were examined over 3 years. Natural infestations of jimsonweed were employed and densities were determined at 3 weeks after planting and also at soyabean harvest. Date of planting affected emergence of both soyabean and jimsonweed seedlings, whereas row width affected weed seedling mortality. Percentage soyabean yield losses attributable to jimsonweed, over all treatments, were greater in the 2 years with above-average rainfall than in the one dry year. Slopes of regression equations and estimates of threshold densities varied significantly among years and between initial and final density counts. The number of jimsonweed seed capsules produced per plant and the number of seeds per capsule declined with jimsonweed density, but the mean number of seeds produced per m2 remained fairly constant over a wide density range. Jimsonweed seed production did not decline significantly until well below the threshold densities determined for soyabean yields. Les facteurs du seuil de nuisibilité et de la production de graines chez Datura stramonium L. dans les cultures de soja (Glycine max. (L.) Merr.) L'influence de l'écartement des rangs de soja, Glycine max (L) Merr., de la date de semis, et de l'année, sur le seuil de nuisibilité et la production de graines chez le Datura stramonium L., a étéétudiée durant 3 années. Les études ont été effectuées sur des infestations naturelles de datura, dont les densités ont été déterminées 3 semaines après le semis ainsi qu'à la récolte. La date du semis influence à la fois la levée du soja et celle du datura, alors que l'écartement des rangs influe sur la mortalité des graines de l'adventice. Dans tous les traitements, les pertes de rendement attribuables au datura ont été plus importantes durant les 2 années où les précipitations on été supérieures à la moyenne que durant une année sèche. Les pentes des équations de régression et les estimations de seuils de nuisibilité variaient d'une manière significative selon les années et entre les comptages initiaux et finaux. Le nombre de capsules par plane et le nombre de graines par capsule diminuaient avec la densité des datura, mais le nombre moyen de graines produites par m2 est resté assez constant dans une large gamme de densité. La production de graines de datura n'a décliné significativement que pour une densité de plantes située bien en dessous du seuil de nuisibilitéà l'égard des rendements du soja. Faktoren, welche die Schädigungsschwelle und Samenproduktion von Stechapfel (Datura Stramonium L.) in Sojabohnen (Glycine max (L.) Merr.) beeinflussen Während drei Jahren wurde in Sojabohnen der Einfluss von Reihendistanz und Saatzeitpunkt auf die Schädigungsschwelle und Samenproduktion von Stechapfel (Datura stramonium L.) untersucht. Diese Studie basierte auf den natürlichen Stechapfelpopulationen; die Zählungen der Populationsdichten erfolgten drei Wochen nach der Sojasaat und bei der Ernte. Der Saattermin beeinflusste das Auflaufen der Sojabohnen und der Stechapfelsämlinge, während die Reihendistanz die Mortalität der Unkrautsämlinge veränderte. Die Steigung der Regressionsgeraden und die Schätzungen der schädigenden Populationsdichte variierten signifikant in den einzelnen Jahren und zwischen der ersten und letzten Zählung. Die Anzahl der von den Stechapfelindividuen produzierten Samenkapseln pro Pflanze und Samenmenge pro Kapsel nahm mit zunehmender Populationsdichte ab; die pro m2 gebildete Samenzahl blieb jedoch über einen weiten Bereich verschiedener Populationsdichten relativ konstant. Die von der Stechapfelpopulation produzierte Samenmenge nahm bis weit unter die für die Sojabohen schädigende Populationsschwelle nicht signifikant ab.  相似文献   

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S. R. MOSS 《Weed Research》1980,20(5):271-276
Straw burning destroyed many Alopecurus myosuroides(blackgrass)seeds lying on the soil surface and, compared with straw baling, resulted in a smaller weed infestation in a subsequent direct-drilled winter wheat crop. The larger the amount of straw burnt, the higher the temperature reached on the soil surface and consequently the greater the control of the weed. Seeds that were fully imbibed were less susceptible to destruction by heat than were dry seeds. A shallow soil covering protected most seeds although some were stimulated to germinate. After straw burning the soil surface was a better environment for seed germination or seedling development than that under stubble. Differences in seedling numbers between treatments were not always proportional to differences in the numbers of viable seeds in the soil. Quelques effets du brûlage des pailles des céréales sur la viabilité des semences et l'implantation des plantules d'Alopecurus myosuroïdes Huds. et influence sur sa destruction Le brûlage des pailles a détruit de nombreuses semences d'Alopecurus myosuroïdes (vulpin) se trouvant à la surface du sol, ce qui a eu pour effet, par comparaison avec la récolte de la paille, de réduire l'infestation de la mauvaise herbe dans la culture suivante, un blé d'hiver en semis direct. Plus grande est la quantité de paille brûlée plus la température au niveau du sol est élevée et, par suite, meilleure est la destruction de la mauvaise herbe. Les semences qui avaient été complètement imbibées se sont montrées moins susceptibles d'être détruites par la chaleur que les semences sèches. L'existence d'une couche meuble superficielle sur le sol s'est révélée comme un meilleur environnement pour la germination des semences ou le développement des plantules que sous le chaume. Les différences entre le nombre des plantules selon les traitements n'ont pas toujours été proportionnelles aux quantités de semences viables présentes dans lesol. Einige Auswirtcungen des Verbrennens von Getreidestroh auf die Lebensfähigkeit der Samen, das Auflaufen und die Bekämpfung von Alopecurus myosuroides Huds. Das Verbrennen von Stroh zerstörte viele Samen von Alopecurus myosuroides(Ackerfuchsschwanz) die auf der Bodenoberfläche lagen und hatte, im Vergleich zum Ballenpressen, eine geringere Verseuchung in im Direktsaatverfahren nachgebauten Weizen zur Folge. Je grösser die Strohmenge war, desto höher war die Temperatur auf der Bodenotrerfläche und umso besser war die Bekämpfung des Ackerfuchsschwanzes. Samen, die mit Wasser vollgesogen waren, wurden durch die Hitze weniger geschädigt als trockene. Durch eine flache Bodenabdeckung wurden die meisten Samen geschützt, bei einigen wurde aber die Keimung stimuliert. Nach dem Strohverbrennen waren die Bodenverhältnisse für die Keimung und die Entwicklung der Keimlinge günstiger als in der Stoppel. Die Unterschiede in der Keimpflanzenzahl zwischen den Behandlungen waren nicht immer proportional zu den Unterschieden in der Anzahl lebensfähiger Samen im Boden.  相似文献   

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In pot experiments on Panicum repens manual and chemical defoliation at intervals of 2–6 weeks decreased the growth of shoots, roots and new rhizomes and reduced the carbohydrate reserves. The most frequent manual defoliation did not completely suppress growth even when continued for 9 months. The plants were killed, however, by application of paraquat at doses of 0–14-0′56 kg/ha every 2 weeks for a period of 3 months. It is suggested that repeated mechanical defoliation may help to reduce plant vigour and limit the rate of spread in the field and that it may be possible to develop a method of more permanent control based on repeated application of paraquat. Quelques effets de la ddfoliation manuelle et chimique sur la croissance el les reserves en hydrates de carbone de Panicum repens (L.) Beauv. Dans des expériences en pots sur Panicum repens, des défoliations manuelles et chimiques effectuées à des inter-valles de 2 à 6 semaines ont diminué la croissance de la partie aérienne, des racines, et des nouveaux rhizomes et ont réduit les réserves en hydrates de carbone. Dans la plupart des cas, Ia défoliation manuelle n'a pas complétement supprimé la croissance, mêmc lorsquété a ete poursuivie pendant 9 mois. Toutefois, les plantes ont été tuées par une application de paraquat à des doses de 0,14 à 0,56 kg/ha, toutes les deux semaines pendant une pédode de 3 mois. Ceci suggére que les défoliations mécaniques répétées peuvent contribuer à la réduction de la vigueur de la plante et à la limitation du taux d'infestation au champ, ce qui rendrait possible l'établissement d'une méthode de lutte plus définitive, basée sur des applications répétées de araquat. Einige Auswirkungen von mechanischer und chemischer Blattabtötung auf das Wachstum und die Kohlehydratreserven von Panicum repens (L.) Beauv. Bei Topfversuchen mit Panicum repens verminderte mechanische und chemische Blattabtötung in AbstSaUden von 2–6 Wochen das Wachstum von Spross, Wurzel und neuen Rhizomen. Ebenso wurden die Kohlehydratreserven herabgesetzt. Die in Abstönden von zwei Wochen durchgeführte mechanische Blattabtötung führte auch nach neun Monaten nicht zu einer vollständigen Unterdrückung des Wachstums. Jedoch wurden die Pftanzen durch Paraquat abgetötet wenn dieses in zweiwöchigem Abstand drei Monate hin-durch in Aufwandmengen von 0.14–0.56 kg/ha angewandt wurde. Es wird angenommen, dass wiederholte mechanische Blattabtötung dazu beilrägt, die Widerstandsfähigkeit der Pflanzen zu vermindern und die Ausbreitung im Feld zu begrenzen, Es wird der Hoffnung Ausdruck gegeben, dass es möglich sein wird, eine Methode fur länger anhaltende Bekämpfung auf der Grundlage von wiederholt ausge-brachtem Paiaquat zu entwickeln.  相似文献   

15.
The phytotoxic persistence and movement of metribuzin were studied by means of bioassays in sandy, clay and organic soils in Finland. The effects of metribuzin residues on soil micro-organisms were determined by assessment of nitrification and dehydrogenase activities. The phytotoxicity of metribuzin 0.7 kg a.i. ha?1 persisted in the surface layer of 0–5 cm for one growing season in sandy and clay soils, but only for some weeks in organic soils. A double dose may cause phytotoxic effects on other crops during the next growing season. Phytotoxic residues were seldom detected below the 5 cm layer, although chemical analyses have revealed residues down to 25 cm in all soil types. Growth stimulation in the test plants was observed generally in the 5–25-cm layers of sandy and clay soils from the first to the second autumn after treatment. Inhibitory or stimulatory effects on microbial activity were found up to the second autumn in sandy and clay soils. At least the inhibition of nitrification in clay during the first autumn and the next spring would be critical. Persistance d'activité et effets microbiologiques de la metribuzine dans differents sols La persistance d'activité et le mouvement de la métribuzine ont étéétudiés dans des essais bio-logiques dans des sols sableux, argileux et organiques de Finlande; Les effets des résidus de métribuzine sur les microorganismes du sol ont été déterminés par l'évaluation de la nitrification et de l'activité de la deshydrogenase. L'activité de la métribuzine à 0,7 kg m.a. h?1 a persisté dans la couche superficielle (0,5 cm) pendant une saison de croissance dans les sols sableux et argileux, mais seulement pendant quelques semaines dans les sols organiques. Une double dose peut causer des effets phytotoxiques sur d'autres cultures, la saison suivante. Des residus phytotoxiques ont été rarement détectés en dessous de 5 cm, bien que des analyses chimiques aient décelé généralement dans les couches 5–25 cm des sols sableux et argileux à partir du premier jusqu'au second automne après le traitement. Les effets inhibiteurs ou stimulant de l'activité microbiologique ont été trouvé jusqu'au 2éme automne dans les sols sableux et argileux. Au moins l'inhibition de la nitrification dans l'argile durant le premier automne et le printemps suivant serait critique. Die Persistenz der biologischen Aktivität und mikrobiologische Wirkungen von Metribuzin in verschiedenen Böden Die Inaktivierungszeiten und die Einwaschung von Metribuzin wurden mittels Biotests in Sand-, Ton- oder Humusböden untersucht. Der Einfluß von Metribuzin-Rückständen wurde durch Bes-timmung der Nitrifizierungsraten und der Dehy-drogenaseaktivität erfaßt. Die Phytotoxizitätvon 0,7 kg Metribuzin ha?1 war in der obersten Bodenschicht von 0 bis 5 cm in Sand- und Tonböden über eine Vegetationsperiode, in Humusböden nur einige Wochen nachweisbar. Es wird unterstellt, daβ der doppelte Aufwand bei Nachbaukulturen zu phytotoxischen Schäden führt. Unterhalb 5 cm wurden kaum phytotoxische Schäden festgestellt, obwohl Rückstandsanalysen Gehalte bis in Tiefen von 25 cm in allen Bodenarten nachweisen lieβen. Biotests mit Bodenproben aus 5 bis 25 cm Tiefe zeigten in allen Fällen in Sand-sowie Tonböden im ersten und folgenden Herbst nach der Behandlung eine Stimulation des Wachstums der Testpflanzen. Ebenso konnten in diesen Proben sowohl hemmende als auch stimulierende Effekte auf die untersuchten microbiologischen Parameter festgestellt werden, wobei eine Hemmung der Nitrifikation in Tonböden zu mindest im ersten Herbst und folgenden Frühjahr als kritisch angesehen wurde.  相似文献   

16.
The interaction of ioxynil and mecoprop applied to Stellaria media (L.) Vill. was investigated under controlled environmental conditions and several statistical methods were used to test for positive or negative interactions employing a multiplicative survival model. Information on the contribution of each herbicide to the total effect was gained by recording numbers of shoots and leaves, internode length and photosynthetic carbon dioxide exchange. Results showed that ioxynil and mecoprop can interact strongly, but the degree and direction of this interaction varied according to both the growth stage of the plants at spraying and the length of time between spraying and assessment of response. In general a synergistic interaction occurred where plants were younger at spraying and with a longer period of time between spraying and assessment of effects. These results are discussed in relation to the potential for using reduced doses of this herbicide mixture, and the importance of the design and interpretation of interaction studies are considered. Action réciproque de l'ioxynil et du MCPP appliqués sur Stellaria media (L.) Vill. L'action réciproque de l'ioxynil et du MCPP, appliqués sur Stellaria media (L.) Vill., a fait l'objet d'une étude dans des conditions ambientales contrôlées; plusieurs méthodes d'analyse statistique ont été mis en oeuvre pour déceler des actions réciproques positives ou négatives en utilisant un modèle multiplicatif de survivance. Les nombres de pousses et de feuilles, la longeur de l'entre-noeud et l'échange photosynthétique de l'acide carbonique ont été signalés pour obtenir des renseignements sur la part de chaque herbicide dans l'effet global. Les résultats ont révélé que l'ioxynil et le MCPP sont capables d'une forte action réciproque mais le niveau et le sens de cette interaction ont varié selon le stade de développement des plantes au moment de la pulvérisation ainsi que l'intervalle entre la pulvérisation et l'évaluation de la réaction. En général, une interaction synergique s'est fait voir plus les plantes étaient jeunes au moment de la pulvérisation et plus l'intervalle entre celle-ci et l'evaluation des effets était grand. Ces résultats sont discutées par rapport à la possibilité d'employer des doses réduites de cette association herbicide; on considère aussi l'importance du plan expérimental et de l'interprétation dans les études d'actions réciproques. Wechselwirkung von Ioxynil und Mecoprop auf Stellaria media (L.) Vill. Am Beispiel von Stellaria media (L.) Vill. wurde das Zusammenwirken von Ioxynil und Mecoprop unter kontrollierten Umweltbedingungen studiert. An einem multiplikativen Ueberlebensmodell wurden verschiedene statistische Methoden eingesetzt, um positive oder negative Wechselwirkungen aufzudecken. Zur Erarbeitung der notwendigen Information über den Beitrag jedes Herbizids zur Gesamtwirkung wurden folgende Parameter bestimmt: Anzahl Sprosse und Blätter, Länge der Internodien und der photosynthetische CO2-Austausch. Die Resultate zeigten, dass Ioxynil und Mecoprop stark zusammenwirken können, wobei aber Grad und Qualität der Wechselwirkung (positiv oder negativ) je nach Alter der Pflanzen bei der Behandlung und Intervall zwischen Behandlung und Messung der Reaktion variierten. Der Trend zu Synergismus war umso ausgeprägter, je jünger die Pflanzen bei der Behandlung und je länger die Intervalle zwischen letzterer und den Messungen waren. Die Ergebnisse werden einerseits im Hinblick auf die Möglichkeit der Verwendung reduzierter Aufwandmengen dieser Herbizidmischung diskutiert, aber auch bezüglich der Wichtigkeit der Versuchsanlage zur Interpretation von Untersuchungen über Wechselwirkungen.  相似文献   

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E. G. BUDD 《Weed Research》1970,10(3):243-249
Summary. Seeds of Poa trivialis L. were sown monthly on bare ground in South-East England during 1967–68 and the germination and development patterns recorded. The seeds germinated under a wide range of atmospheric temperature and soil moisture conditions. In winter, however, germination was slower to begin and more prolonged than during the summer. Seedlings germinating before the winter produced more and earlier seed heads the following spring than those germinating during the winter and spring. It is suggested that spring-sown cereal crops, and delayed stubble cultivations of old infested grass seed crops, should be investigated as measures to control Poa trivialis. Aspects de la germination saisonnière de Poa trivialis L. et comportement vltérieur de la plante Résumé. Des graines de Poa trivialis L. ont été semées chaque mois sur le sol nu, dans le sud-est de l'Angleterre en 1967–68; la germination et le développement ont été notés. Les semences germèrent dans des conditions très variés de température de I'air et d'humidité du sol. Toutefois, en hiver, la germination fut plus lente à démarrer et se prolongea plus longtemps que durant l'été. Les plantes provenant de germination avant l'hiver produisirent au printemps suivant des tiges fertiles plus précocement et en plus grande quantityqué celles issues de germinations durant l'hiver et le printemps. Ceci suggére que la culture des céréales de printemps et les déchaumages tardifs des terres infestées depuis longtemps par des gramintées devraient être étudiées comme moyens de lutte contre Poa trivialis. Verlauf der Keimung von Poa trivialis L. in Abhängigkeit von der Jahreszeit und das nachfolgende Verhalten der Pflanzen Zusammenfassung. Während der Jahre 1967–68 wurden in Südostengland monatlich Samen von Poa trivialis L. auf unbewachsenen Boden gesät und der Verlauf von Keimungund Entwicklung aufgezeichnet. Die Samen keimten innerhalb eines weiten Bereichs der Lufttemperatur und Boden Feuchtigkeit. Jedoch begann die Keimung im Winter langsamer und erstreckte sich uber einen langeren Zeitraum als im Sommer. Noch vor dem Winter gekeimte Sämlinge bildeten im folgenden Frühjahr die Samenstände früher und in grösserer Anzahl aus als jene, die erst während des Winters und Frühjahrs keimten. Es wird vorgeschlagen, Frühjahrsaussaat des Getreides und verzögerten Stoppelumbruch befallener Getreideanbauflächen als Massnahmen zur Bekämpfung von Poa trivialis zu überprüfen.  相似文献   

18.
The effect of three organic fertilizers, green manure, pig slurry, and cow manure on the rate of soil degradation of imazamethabenz-methyl under field conditions was investigated in a wheat (Triticum aestivum) crop sown in November. The herbicide was applied in March, 5 months after incorporation into the soil of the fertilizers. The half-life of imazamethabenz-methyl in the soil was 35 days in control plots, and 55, 66 and 85 days respectively in plots treated with green manure, pig slurry, and cow manure. In the same plots the half-lives of the sum of imazamethabenz-methyl and its herbicide acid metabolite were 61,98,127 and 172 days, respectively. The organic fertilizers thus increased the soil persistence of imazamethabenz-methyl and its acid metabolite, i.e. the product generated by hydrolysis of the methyl ester function of imazamethabenz-methyl. Towards the end of the cropping period, residues of both compounds became low in both fertilizer-treated and control plots. Soil degradation of imazamethabenz-methyl was also studied in sugar beet (Beta vul-garis) replacement crops sown in April into land treated in November of the preceding year (as could occur with a treated winter wheat crop which subsequently failed). The rate of degradation in the sugar beet replacement crop was about half that of the same treatment applied in spring wheat. Dégradation biologique dans le sol de rimazaméthabenz-méthyle et de son métabolite acide dans des cultures de hlé et de betterave à sucre de remplacement L'effet de trois fertilisants organiques (engrais vert, lisier de pore et fumier de bovin) sur la dégradation dans le sol de l'imazaméthabenz-méthyle a été etudié au champ dans une culture de blé (Triticum aestivum) semé en novembre. L'herbicide a été appliqué en mars, 5 mois après l'incorporation des fertilisants. La demi-vie de rimazaméthabenz-méthyle dans le sol était 35, 55, 66 et 85 jours, respectivement dans les témoins et dans les parcelles ayant reçu l'engrais vert, le lisier de porc et le fumier de bovin. Dans les mêmes parcelles, la demi-vie de la somme de l'imazaméthabenz-méthyle et de son métabolite acide herbicide étaient respectivement 61, 98, 127 et 172 jours. Les fertilisants organiques ac-croissaient done la persistance dans le sol de rimazaméthabenz-méthyle et de son métabolite acide, c'est à dire le produit issu de l'hydrolyse de sa fonction méthylester. A la fin de la période culturale, les résidus de ces deux composés étaient faibles dans toutes les parcelles. La dégra-dation dans le sol de l'imazaméthabenz-méthyle a été aussi étudiée dans la betterave à sucre (Beta vulgaris) implantée comme culture de remplacement en avril dans un sol traité en novembre de 1'année précédente (cette situation peut se ren-contreren casde retournement d'un blé d'hiver). La vitesse de dégradation de l'imazaméthabenz-méthyle dans la culture de betterave à sucre était environ moitié moindre que chez le blé de printemps. Biodegradation von Imazamethabenz-methyl und seinem sauren Metaboliten im Boden in Weizen und Zuckerrübe als Ersatzkultur Die Wirkung von 3 organischen Düngern (Gründüngung, Schweinegülle und Stallmist) auf die Abbaurate von Imazamethabenz-methyl unter Feldbedingungen wurde in im November gesätem Weizen (Triticum aestivum) untersucht. Das Herbizid wurde im Mai ausgebracht, 5 Monate nach der Einarbeitung der Dünger. Die ‘Halbwertszeit’ für den Abbau des Herbizids im Boden war in der Vergleichsparzelle 35 Tage und in den organisch gedüngten Parzellen 55,66 bzw. 85 Tage. Für das Herbizid und seinen sauren Metaboliten zusammen lagen die ‘Halbwertszeiten’ in denselben Parzellen bei 61, 98, 127 bzw. 172 Tagen. Demnach verlängerten die organischen Dünger die Persistenz des Herbizids und seines Metaboliten (Hydrolyseprodukt der Methylesterfunktion) im Boden. Gegen Ende der Vegetationsperiode gingen die Rückstände der beiden Stoffe in allen Parzellen zurück. Det Abbau wurde auch auf Flächen untersucht, die nach einer Behandlung im November des Vorjahres mit Zuckerrübe (Beta vulgaris) bestellt waren (so als ob sie nach einem Ausfall der Weizenkultur eingesetzt würde). Die Abbaurate in dieser Ersatzkultur war etwa halb so hoch wie nach einer gleichen Behandlung in Sommerweizen.  相似文献   

19.
Soil-incorporated butylate, EPTC and vernolate had only small effects on nutgrass (Cyperus rotundus L.) shoot numbers and the germination of recovered tubers. MSMA, 2,4-D, glyphosate and cyperquat all killed top growth and reduced the germination of recovered tubers in both field and pot trials. Naptalam increased shoot number and tuber production. Foliar sprays of abscisic acid, chlorflurenoi and CCDP (3-carboxy-1-(p-chlorophenyl)-4,6-dimethyl-2-pyridone) had little or no effect. Ethephon slightly increased the number of attached tubers with shoots, but NIA 10637 (.ethyl hydrogen-1-propylphosphonate) had inconsistent efl'ects. MH inhibited tuber bud germination, TIBA increased shoot numbers slightly, and daminozide reduced tuber production and the germination of detached tubers. None of the growth regulators tested appears potentially useful for nutgrass control. Expériences avec le Cyperus rotundus L. II. Action de quelques herbicides et substances de croissance Le butylate, l'EPTC et le vernolate incorporés au sol n'ont eu que peu d'efficacité contre le cyperus (Cyperus rotundus L.) en ce qui concerne le nombre de pousses et la germination des tubercules récoltés. Le MSMA, le 2,4-D, le glyphosate et le cyperquat ont tous détruit la zone terminale de croissance et réduit significativement la germination des tubercules récoltés dans les essais, soit au champ, soit en pots. Le naptalame a augmenté le nombre de pousses et la production de tubercules. Des pulvérisations sur les feuilles d'acide abscissique, de chlorflurénol et de CCDP (3-carbo.xy-1-(p-chlorophényl)-4,6-diméthyl-2-pyridone) n'a eu que peu ou pas d'effets. L'ethéphon a légérement accru le nombre de tubercuies fixés aux racines, mais le NIA 10637 (hydrogéne-1-propylphosphonate d'éthyle) n'a eu que des effets incohérents. L'hydrazide maléique a inhibé la germination du bourgeon du bulbe, le TIBA a accru légérement le nombre de pousses, et le daminozide a réduit la production des tubercules et la germination des tubercules détachés. Aucune des substance de croissance essayées n'apparait potentiellement utilisable pour la lutte contre le cyperus. Versuche mit Cyperus rotundus L. II. Wirkung einiger Herbizide und Wachstumsregulatoren In den Boden eingearbejtetes Butylat, EPTC und Vernolat hatte nur eine geringe Wirkung auf die Anzahl der Sprosse und den Austrieb der Knollen von Cyperus rotundus L. MSMA, 2,4-D, Glyphosate und Cyperquat toteten die oberirdischen Pflanzenteile ab und verringerten den Austrieb der Knollen in Feld- als auch in Gefässversuchen. Naptalam bewirkte eine Zunahme der Sprosszahl und erhöhte die Knollenbildung. Blattspritzungen mit Abscisinsäure, Chlorflurenoi und CCDP (3-Carboxy-1-(p-chlorphenyl)-4,6-di-methyl-2-pyridon) hatten eine geringe oder gar keine Wirkung. Durch Ethephon nahm die Anzahl der Knollen mit Sprossen zu, NIA 10637 (Äthyl hydrogen-1-propylphospho-nat) hingegen zeigte widersprüchliche Wirkungen. MH hemmte den Austrieb der KnoUenknospen, TIBA förderte leicht die Zahl der Sprosse und Daminozid verringerte die Knollenbildung und den Austrieb abgetrennter Knollen. Von den gepruften Wachstumsregulatoren scheint keiner fur die Bekampfung von Cyperus rotundus geeignet zu sein.  相似文献   

20.
Eleven different hardwood species were injected using a hypo-hatchet with eight different lierbicides during the spring, summer, fall and winter seasons. Late spring to fall injections gave maximum efficacy. All the herbicides were effective at the given concentrations and injection of I ml/2.5 cm of stem diameter, Least effect followed winter injections probably due to poor translocation, little active tree metabolism, and high viscosity of some formulations when air temperatures were near freezing. Spring injection tended to allow revegetation by release of lateral buds after apical meristems and leaves had been killed. Multiple clumps of red maple stems were not well controlled by single stem injection. Quatre saisons de traitement herbicide par injection de ligneux à bois dur Onze espéces ligneuses à bois dur ont été traitées par injection en utilisant une hachette spéciale, avec 8 herbicides, au printemps, en été. en automne et en hiver. Les traitements faits de la fin du printemps à l'automne ont donné le maximum d'efficacité. Tous les herbicides ont été actifs aux concentrations données et pour un volume d'injection de 1 ml pour 2,5 cm de diamétre de tige. L'effet plus faible des injections faites en hiver est probablement du à une faible migration, au métabolisme peu actif dans les arbres et à la viscositéélevée de certaines formulations lorsque les températures de I'air avoisinaient le gel. Les injections de printemps ont montré une tendance à un nouveau départ de la végétation par libération de bourgeons latéraux aprés la mort des méristémes apicaux et des feuilles. De nombreux rejets de tiges d'érable n'ont pas été détruits par une injection unique dans la tige. Herbizid-Injektionen bei Laubbdämen in vier Jahreszeiten Mit Hilfe eines Spezialbeils wurden im Frühjahr, Sommer, Herbst’ und Winter Laubbäumen 11 verschiedener Arten acht verschiedene Herbizide injiziert. Injektionen vom späten Frühjahr bis zum Herbst zeigten die beste Wirkung. Mit einer Injektion von 1 ml je 2.5 cm Stammdurchmesser waren alle Herbizide in den gewählten Konzentrationen wirkungsvoll. Den geringsten Effekt zeigten Injektionen im Winter, was wahrschein- lich auf ungenügende Translokation, geringe Stoffwechselaktivität der Bäume im Winter und hohe Viskosität einiger Formulierungen bei Lufttemperaturen in der Nähe des Gefrierpunktes zurückzuführen ist. Injektionen im Frühjajr konnten nach Abtötung von apikalen Meristemen und Blattwerk durch Entwieklung von Seitenknospen zu einem gewissen Austrieb führen. Baumgruppen von Rotahorn liessen sich durch eine einzelne Stamminjektion mit nur mässigem Erfolg bekämpfen.  相似文献   

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