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1.
Leveillula taurica et Sphaerotheca fuliginea sont des oïdiums qui causent d'importants dégats sur cultures maraichères dans le sud-est de la France. Ampelomyces quisqualis, Paecilomyces farinosus et Cephalosporium sp. ont été utilisés en lutte biologique contre S. fuliginea sur feuilles de courgette et de melon en survie (au laboratoire) et contre L. taurica sur piment (en serre). Le matériel végétal a été inoculé artificiellement. Vis-à-vis de L. taurica, des apports simultanés (à la contamination) d'A. quisqualis et de P. farinosus ont permis une bonne protection des plantes au stade 8–10 feuilles. Ces résultats étaient améliorés, mais d'une manière non significative, quand les plantes étaient pulvérisées chaque semaine avec ces hyperparasites: le nombre de spores d'oïdium par cm2était de 11.383 ± 2841 pour le témoin; il s'élevait à 5367 ± 1309 et 3029 ± 1222 pour A. quisqualis et P. farinosus respectivement. L'extrait de levure, destinéà stimuler la croissance des hyperparasites, a en réalité plus ou moins entravé le développement de L. taurica, meme dans le témoin. La lutte curative s'est avérée inefficace contre L. taurica car, avec un développement en partie interne, ce champignon échappe à l'action des antagonistes. Par contre, ce type de traitement était plus adaptéàS. fuliginea; les taux de sensibilité observés sur courgette et melon étaient toujours inférieurs à 50%, ceux des témoins variant entre 50 et 68%. Avec ce meme oïdium, les traitements préventifs et simultanés ont donné des résultats non satisfaisants.  相似文献   

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Au Maroc, la mineuse de la tomate Tuta absoluta (Lepidoptera: Gelechiidae) a été signalée pour la première fois en avril 2008 dans la région de Nador, puis s'est propagée rapidement dans toutes les régions de production de tomates. Depuis sa signalisation, des efforts ont été déployés par la profession et les départements techniques du Ministère de l'Agriculture de la Pêche Maritime (MAPM) pour faire face à ce fléau. Le plan d'action 2008–09 se basait sur la surveillance, les approches techniques de lutte dans le cadre d'un programme de protection intégrée, la sensibilisation et l'encadrement des agriculteurs et la production de supports d'information et de vulgarisation. Pour inciter les agriculteurs à adopter une approche de lutte intégrée contre ce ravageur, des subventions ont été mises en place par le MAPM, pour l'acquisition du filet insect proof et de capsules de phéromone à utiliser pour le piégeage de masse. L’ONSSA a également autorisé de nouvelles spécialités phytosanitaires pour lutter contre T. absoluta en cultures de tomate et de pomme de terre. Cette stratégie a fait l'objet d'une évaluation qui a permis de définir un plan d'action pour 2010–11. Ce plan d'action suit les mêmes axes que la campagne précédente tout en mettant l'accent sur la surveillance du ravageur en cultures de tomates de plein champ, le renforcement du programme de sensibilisation et d'encadrement des agriculteurs et le lancement d'un programme de suivi des résidus de produits phytosanitaires dans les tomates. En 2010–11, les attaques de la mineuse de la tomate ont toujours été maitrisées.  相似文献   

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G. PORTIER 《EPPO Bulletin》1980,10(4):457-468
Face aux arriveées sur les plages des Iles Anglo-Normandes de doryphores de plus en plus abondantes en provenance du littéral français, le Ministère français de l'Agriculture, en accord avec l'Organisation Européenne pour la Protection des Plantes, décida de limiter une zone de protection dans le Département de La Manche (face aux Iles de Jersey et de Guernesey) afin de les protéger de toute invasion. Cette mesure a été prise en raison de la grave menace que le ravageur faisait peser sur les exportations de pommes de terre des deux les vers la Grande-Bretagne. Depuis vingtcinq années, les populations du ravageur sont maintenues à un niveau suffisamment bas pour éviter leur diffusion du Cotentin aux lies Anglo-Normandes. De plus, un dispositif d'avertissements mis en place dans le Cotentin permet d'alerter par télégramme et en temps utile les Iles de Jersey et de Guernesey lorsqu'il y a danger.  相似文献   

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En 1982 et 1983, des campagnes massives d'installation d'arbres-pièges (abattus) contre Phoracantha semipunctata ont été menées dans les provinces espagnoles de Huelva et de Sevilla. L'article décrit les procédures suivies et évalue les résultats, jugés positifs et prometteurs. Il est également fait état des dommages causés par P. semipunctata en 1983 dans la province de Huelva.  相似文献   

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Bon nombre d'entomophages se développent aux dépens des ravageurs de l'olivier; ces ennemis naturels, parasites ou prédateurs, contribuent plus ou moins à limiter les populations d'insectes nuisibles à l'olivier. Toutefois, le role des entomophages de Dacus oleae, principal ravageur de l'olivier, n'est jamais suffisant pour controler efficacement les populations de l'insecte, meme si le taux de parasitisme atteint quelquefois 90%. Dans des cas très particuliers sculement, le parasite Opius concolor peut etre utilisé pour lutter contre D. oleae. Quelques entomophages de Prays oleae, le parasite Ageniaspis fuscicollis ou le prédateur Chrysoperla (Chrysopa) carnea par exemple diminuent les populations du ravageur sans pouvoir cependant les maintenir à des niveaux négligeables. Les nombreux entomophages de Saissetia oleae, notamment les parasites du genre Metaphycus, peuvent controler ses populations s'ils ne sont pas détruits par des traitements insecticides. Parmi les ravageurs secondaires, certains peuvent etre totalement controlés par l'utilisation d'entomophages (c'est le cas d'Aspidiotus nerii et de Parlatoria oleae), mais dans la plupart des cas la lutte biologique est insuffisante, notamment contre Phloeotribus scarabaeoides.  相似文献   

9.
Aucune lutte chimique n'est actuellement utilisable contre la plus grave maladie du champignon de couche, causée par Pseudomonas tolaasii. La lutte biologique avec ?antagoniste P. fluorescens a reduit les pertes de 30 à 60%, mais dans la pratique ce résultat est insuffisant et exige une amélioration; parmi les différentes voies possibles, nous avons retenu ?utilisation de bactériophages. Plusieurs phages ont été purifyés à partir de carpophores malades. Leur sélectivité vis-à-vis de différentes bactéries pathogènes ou saprophytes isolées de plusieurs écosystèmes a étéétudiée. Nous avons retenu les phages fortement agressifs pour P. tolaasii et tempérés pour la souche de P. fluorescens utilisée en lutte biologique. On a done conçu un système ?apport de phages par traitement des cultures avec un mélange de ?antagoniste P. fluorescens et des phages. Au cours de premiers essais, ?addition des effets de ?antagoniste et des phages lytiques a permis de réduire significativement les pertes en culture (>80%), mais plusieurs paramètres restent à préciser avant une utilisation à plus grande échelle. Ce travail amène aussi à s'interroger sur le rôle des bactériophages dans la dynamique des populations naturelles des Pseudomonas spp., utiles ou nuisibles pour les champignons.  相似文献   

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Deux Pseudomonas du groupe fluorescens-putida,à forte activité inhibitrice vis-à-vis de bactéries phytopathogènes, ont été confrontéà une gamme de 23 pathovars de Pseudomonas syringae. lis ont confirmé leur activité antagoniste sur ces derniers germes. Deux essais réalisés dans des conditions normales de culture de plein champ ont démontré la potentialité de ces antagonistes comme moyen de lutte contre la moucheture bactérienne, due àP. syringae pv. tomato. Des travaux complémentaires ont montré que ?activité antagoniste des deux germes inhibiteurs n'est pas semblable, ?un des deux agissant essentiellement par la production ?un sidérophore. Le mécanisme ?action du second germe n'est pas déterminé.  相似文献   

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L'étude des données de trois années de recherches expérimentales (1967, 1968, 1969) sur la lutte préventive aérienne contre Dacus au moyen de pulvérisations d'appâts à ultra-bas volume et de pulvérisations habituelles à bas volume permet de comparer l'efficacité des deux méthodes. L'évaluation effectuée au moyen de méthodes directes et indirectes (répartition des gouttelettes, attaque subie par le fruit de l'olivier, pièges, abattages sur collecteurs) fait ressortir qu'il n'y a pas de différence d'efficacité statistiquement significative entre les deux modes de traitement. Il est estimé opportun de poursuivre des résultats expérimentaux dans des conditions de forte attaque.  相似文献   

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B. DIGAT 《EPPO Bulletin》1987,17(2):281-286
Le pelargonium (Pelargonium x hortorum et P. x hederaefolium) représente en France et dans la CE l'une des plus importantes cultures florales en pot. Cependant, dans les établissements de multiplication, cette plante est soumise à des attaques fréquentes de bactérioses causées par Xanthomonas campestris pv. pelargonii et, à un degré moindre, par la bactérie des galles feuillées Rhodococcus fascians. La bactériose due àX. c. pv. pelargonii se caractérise par de longues périodes de latence durant lesquelles les symptômes de la maladie peuvent disparaître, bien que la bactérie puisse être présente à la surface des feuilles ou même dans le système racinaire de la plante. Par conséquent, la sélection visuelle est insuffisante et il est devenu nécessaire de mettre au point des méthodes de détection suffisamment fiables et économiquement rentables pour être adoptées par les multiplicateurs eux-mêmes. Trois méthodes sont actuellement proposées: l'isolement de la bactérie sur milieu de culture, l'histofluorescence et l'immunofluorescence. Le principe de chaque méthode est brièvement rappelé et la comparaison des méthodes est effectuée en mettant l'accent sur les avantages et les inconvénients de chacune d'entre elles. Un schéma type de sélection sanitaire vis-à-vis des bactérioses du pelargonium pour un établissement multiplicateur est proposé. L'organisation générale de la certification sanitaire en France et les relations entre les organismes qui la contrôlent et y prennent part sont rappelées. En définitive, l'application de la certification sanitaire semble bien avoir pour conséquences directes une amélioration de la qualité des plants de pelargonium ainsi qu'une augmentation de la productivité des établissements multiplicateurs français depuis ces 10 dernières années.  相似文献   

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J. Thiault 《EPPO Bulletin》1984,14(3):359-361
Le feu bactérien est apparu dam le Sud-Ouest de la France en 1978 dans une région où la culture du poirier est importante. De sévères mesures prophylactiques ont été prises (arrachages, taille, pulvérisations) pour limiter l'extension de la maladie. Pour la période 1979–1983 cet ensemble de mesures a coété 21.470.000 francs, ce qui représente 2,5 % du chiffre d'affaires des vergers de poiriers et pépinières de la région. Sans ces mesures, on estime que la maladie aurait détruit en 5 ans un capital de 185 millions de francs, entrainant une perte annuelle de 205 millions de francs de recettes et la disparition de 1500 emplois.  相似文献   

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Partant du modèle allemand « PHYTOPROG », on a établi un programme qui utilise directement, c'est-à-dire en temps réel, les relevés horaires provenant du système automatique suisse d'acquisition de données météorologiques ANETZ. Comme le veut le modèle retenu, l'ordinateur calcule chaque jour l'indice correspondant aux 7 jours précédents. On tient ainsi régulièrement compte des périodes critiques, quelles que soient leur longueur ou leur place dans la semaine. Les premières expériences faites ont montré la nécessité d'adapter le modèle primitif aux conditions suisses, adaptation qui a fait ses preuves. L'utilisateur reçoit automatiquement par télex la liste des indices calculés. A lui d'effectuer la somme depuis l'apparition des premières feuilles sur son domaine. Pour cela, il peut procéder de deux façons: ou bien ne retenir qu'un jour dans la semaine ou bien diviser chaque fois l'indice par sept et effectuer ensuite la somme jour par jour. Pour des raisons techniques, on envoie le bulletin complet (toutes les stations considérées) à chaque abonné.  相似文献   

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La lutte contre le carpocapse repose sur un systéme de prévision basé sur des informations valables au niveau régional ainsi que sur des moyens de contrôle au niveau de la parcelle. Les services officiels fournissent des points de repère dans le cycle évolutif. lis indiquent les périodes durant lesquelles les différents contrôles doivent étre effectués par L'arboriculteur. L'outil principal de L'avertissement régional est la somme des températures moyennes supérieures à 10oC. Au niveau de la parcelle, 3 moyens d'avertissement sont utilisés: le piégeage sexuel, le contrôle des pénétrations et les relevés des bandes-pièges. L'arboriculteur peut intervenir par une lutte au moment du dépassement du seuil de tolérance, ou par une lutte précoce pour éviter les traitements de seconde génération. Control of codling moth depends on a forecasting system based on information at the regional level and on orchard inspections. The official services provide the reference points in the development cycle. They recommend the times at which the grower should make appropriate inspections. The main method for regional warning is the heat-sum above 10oC. At the orchard level, three methods are used to provide warnings: pheromone trapping, inspection of penetration and collection of trapping strips. The grower can treat when tolerance thresholds are passed, or control at an early stage to avoid second generation treatments.  相似文献   

18.
Dans le cadre d'un groupe de travail «Modélisation du Botrytis» l'Institut Technique de la Vigne et du Vin en France a entrepris l'étude des réactions de ce parasite à des conditions d'humectation contrôlées. L'essai est réalisé sur une vigne adulte, sous abri plastique; il couvre 1600 m2 et permet, grâce à un dispositif de brumisan'on, l'étude comparative de 12 régimes d'humectation distincts. Après quatre années successives d'expérimentation, basée sur des protocoles évolutifs, les résultats mènent à des observations intéressantes, mais qu'il est toutefois prudent de ne pas étendre inconsidérément à l'ensemble des cépages ou vignobles. L'effet des humectations successives n'est pas obligatoirement additif, une longue période de sécheresse entre la floraison et la véraison aggravant considérablement les attaques à ce dernier stade. Une même durée d'humectation à la véraison ou 12 jours avant la récolte provoque des dégâts identiques. Les contaminations peuvent s'effectuer simplement en présence d'une humidité relative élevée, sans présence d'eau sous forme liquide; cette HR élevée est capable de créer et surtout d'aggraver fortement les foyers de B. cinerea. Les contaminations artificielles ont eu un effet significatif lors de la floraison. A la véraison l'effet est masqué par l'inoculum naturel. L'étude de la réaction de Botrytis cinereaà différentes durées d'HR élevée reste délicate, un seuil exact restant difficile à estimer vu le niveau de précision des appareils utilisés. En outre, le modèle mis au point par Strizyk a fait preuve d'une précision accrue au fil des expérimentations successives; il semble donc bien adapté au cépage méridional utilisé. La stratégie de traitement a permis de réduire de moitié le nombre d'applications de fongicides dans l'essai, l'expérimentation prouvant toutefois qu'une réduction supplémentaire était possible. Il apparaît donc que cette stratégie, basée sur le modèle Botrytis, est prometteuse mais nécessite encore quelques adaptations afin de la rendre encore plus performante. L'étude des réactions de B. cinereaà certains facteurs climatiques permet done, outre l'amélioration de la lutte contre ce parasite, une meilleure connaissance de ses facteurs d'évolution. Il est possible qu'à l'avenir le facteur humidité relative, alliéà l'hiumectation, procure une fiabilité optimale du modèle, et probablement de la stratégie de lutte en découlant.  相似文献   

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La détection de la maladie dite yellow leaf syndrome (YLS) au Maroc a nécessité la destruction du matériel importé de nombreux cultivars de canne à sucre. Le cv. CP 66-346 fortement infecté a fait l'objet de l'assainissement par culture d'apex vu ses qualités agroéconomiques très performantes, son immunité vis-à-vis du charbon et la grande superficie qu'il occupe (28% de la superficie totale). Les vitroplants issus de la culture d'apex ont été testés par la méthode ELISA sur membrane et leur assainissement a été confirmé dans plusieurs cas.  相似文献   

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La semence contaminée représente un facteur de dissémination capital pour Ditylenchus dipsaci. La pratique de la fumigation au bromure de méthyle permet l'éradication des individus anabiotiques contenus dans les lots de semences. L'étude de plusieurs techniques au cours de diverses combinaisons de concentration (C) et de durée (T) montre que pour la fumigation de lots de luzerne l'éradication de D. dipsaci est atteinte, par exemple, à pression atmosphérique avec 80 g/m3 pendant 16 h (C x T théorique de 1280), ou après vide préalable avec 50 g/m3 pendant 20 h (C x T théorique de 1000). Si aucune altération de la faculté germinative n'est observée, même apres un delai de 2 ans après le traitement, on constate qu'un certain effet fongicide peut se révéler intéressant. Avec Vicia faba, les cssais préliminaires indiquent que pour cette espèce à grosse graine, le nématode est mieux protégé dans les cotylédons. La limite entre l'action nématicide et phytotoxique est restreinte; la technique du vide partiel pourrait présenter un intérêt. Pour l'ail, l'éradication de D. dipsaci est possible par la fumigation des têtes entières, mais un effet phytotoxique est à redouter au-delà d'un produit C x T théorique de 800. Cette phytotoxicité, grave si la dormance de l'ail est levée, peut s'expliquer par une adsorption marquée. Il est néccssaire de poursuivre l'expérimentation en évaluant les risques présentés par d'éventuels résidus bromés dans les caïeux et en réétudiant l'utilisation de la phosphine, malgré son efficacité insuffisante lors de premiers essais.  相似文献   

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