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1.
L'étude du pouvoir antagoniste des spores et du mycélium de 11 souches de Trichoderma appartenant à neuf ‘species aggregates’ (classification de Rifai) a été réalisée sur les spores et le mycélium d'une souche de Botrytis cinerea résistante au bénomyl. Six gouttes contenant chacune une suspension de spores de Trichoderma (1, 10 ou 100 spores par μ1) et de B. cinerea (1 ou 10 spores par μl) sont déposées à la face inférieure d'une feuille de vigne du cv. Muscadelle placée en chambre humide à la température de 22°C. Dix jours après l'inoculation, les nécroses formées pour chacune des huit répétitions par traitement sont notées. La confrontation mycélienne d'une culture de B. cinerea et de chaque souche de Trichoderma pendant des temps variables à la température de 22°C a permis d'observer la vitesse de recouvrement du mycélium de B. cinerea et de vérifier sa viabilité après transfert sur un milieu contenant du bénomyl. Nous avons pu montrer qu'à l'égard de B. cinerea, le pouvoir antagoniste des spores de 11 souches de Trichoderma est semblable à celui de leur mycélium. Deux groupes de souches ont pu etre différenciés: sept souches très antagonistes appartenant aux espèces T. hamatum, T. harzianum, T. koningii, T. longibrachiatum et T. viride; quatre souches non antagonistes appartenant aux espèces T. aureoviride, T. polysporum, T. pseudokoningii et T. reesei.  相似文献   

2.
Depuis 3 ans des souches de Pseudocercosporella herpotrichoides résistantes aux benzimidazoles (bénomyl, cabendazime, thiabendazole) et aux thiophanates (thiophanate-méthyl) sont décelées sur blé d'hiver en France. La résistance croisée positive entre ces fongicides ainsi que la résistance croisée négative vis-à-vis de phényl-carbamates (ex. barbane) sont des caractéristiques générales. Les niveaux de résistance peuvent étre variables avec cependant prédominance de deux catégories de souches résistantes (dont les niveaux de résistance respectifs vis-à-vis du thiabendazole sont voisins de 10 et de 100). En outre, des expérimentations en conditions contrôlées indiquent que la résistance n'affecte ni l'agressivité ni la compétitivité de P. herpotrichoides. Pour pouvoir suivre l'évolution des fréquences des souches résistantes aux benzimidazoles dans la nature, diverses méthodes ont ét expérimentées; celle qui est actuellement retenue et développéc dans les laboratoires de l'INRA (Institut National de la Recherche Agronomique), du Service de la Protection des Végétaux, de l'ITCF (Institut Technique des Céréales et des Fourrages) et de certaines firmes est basée sur l'étude de l'effet du carbendazime sur des implants mycliens. Chaque analyse porte sur 10 à 30 isolats par parcelle. Malgré un nombre élevé d'analyses il est difficile d'avoir une cartographie exacte de la répartition des souches résistantes; il est toutefois clair que les fréquences des souches résistantes sont les plus élevées dans les zones d'utilisation intensive des benzimidazoles (Nord et Bassin parisien) qui peuvent devenir inefficaces. Actuellement, le seul fongicide susceptible de remplacer ces benzimidazoles est un inhibiteur des strols: le prochloraz. Au champ il possède une activitééquivalcnte en l'abscnce ou en présence de souches résistantes aux benzimidazoles et les sondages réalisés jusqu'à maintcnant n'indiquent aucune résistance vis-à-vis de ce fongicide.  相似文献   

3.
Au Maroc, la mineuse de la tomate Tuta absoluta (Lepidoptera: Gelechiidae) a été signalée pour la première fois en avril 2008 dans la région de Nador, puis s'est propagée rapidement dans toutes les régions de production de tomates. Depuis sa signalisation, des efforts ont été déployés par la profession et les départements techniques du Ministère de l'Agriculture de la Pêche Maritime (MAPM) pour faire face à ce fléau. Le plan d'action 2008–09 se basait sur la surveillance, les approches techniques de lutte dans le cadre d'un programme de protection intégrée, la sensibilisation et l'encadrement des agriculteurs et la production de supports d'information et de vulgarisation. Pour inciter les agriculteurs à adopter une approche de lutte intégrée contre ce ravageur, des subventions ont été mises en place par le MAPM, pour l'acquisition du filet insect proof et de capsules de phéromone à utiliser pour le piégeage de masse. L’ONSSA a également autorisé de nouvelles spécialités phytosanitaires pour lutter contre T. absoluta en cultures de tomate et de pomme de terre. Cette stratégie a fait l'objet d'une évaluation qui a permis de définir un plan d'action pour 2010–11. Ce plan d'action suit les mêmes axes que la campagne précédente tout en mettant l'accent sur la surveillance du ravageur en cultures de tomates de plein champ, le renforcement du programme de sensibilisation et d'encadrement des agriculteurs et le lancement d'un programme de suivi des résidus de produits phytosanitaires dans les tomates. En 2010–11, les attaques de la mineuse de la tomate ont toujours été maitrisées.  相似文献   

4.
Durant la campagne 1996/1997, la maladie due au TYLCV a été signalée pour la première fois au Maroc dans la région d’El Jadida au nord‐ouest du pays, lors des prospections effectuées par le Service de la Protection des Végétaux. En 1998, la maladie s’est propagée dans d’autres régions productrices de tomate notamment Agadir au sud‐ouest et Berkane au nord‐est. Depuis l’apparition de la maladie, le Service de la Protection des Végétaux en concertation avec la profession a mis en place une stratégie de lutte contre cette maladie. Celle‐ci se base essentiellement sur le respect d’un certain nombre de mesures, visant à préserver les plantations de l’attaque par ce virus et éviter des attaques précoces susceptibles de compromettre la productivité de la culture de tomate. Parmi les actions de contrôle qui se font de manière régulière, il y a lieu de citer entre autres le renforcement des contrôles des pépinières pour la détection du virus et de la mouche blanche. En plus des actions prophylactiques, une assise réglementaire a étéélaborée. Elle consiste en l’interdiction de l’importation des solanacées (genre Lycopersicon) et l’organisation de la circulation à l’intérieur du pays des plants susceptibles de véhiculer le virus en question.  相似文献   

5.
Des souches de Botrytis cinerea, agent de la pourriture grise de la vigne, résistantes aux benzimidazoles et/ou aux dicarboximides sont présentes dans de nombreux vignobles français et peuvent être à l'origine de réductions d'efficacité de ces fongicides. Une méthode basée sur l'action de ces produits au niveau de la germination des spores ou de l'élongation des filaments germinatifs permet d'analyser la composition de la population de B. cinerea au sein d'une parcelle donnée. La prospection réalisée chaque année dans les vignobles français á l'aide de cette technique permet de réaliser des préconisations régionalisées de lutte anti-botrytis la saison suivante.  相似文献   

6.
Des résultats encourageants ont été obtenus au cours de recherches de lutte biologique contre les pathogènes cryptogamiques du sol à?aide de Trichoderma spp. ?action positive de ces antagonistes a étéétudiée sur les champignons (Fusarium moniliforme, Rhizoctonia solani et Pythium ultimum) responsables de la fonte des semis, de la pourriture des racines et de la pourriture précoce de la tige du maïs et du sorgho. Sur fraisier, les traitements avec Trichoderma spp. se sont révélés très satisfaisants contre les attaques de Botrytis cinerea sur fruits ainsi que contre le pied-noir ?été après repiquage. En ce qui concerne la fusariose et la verticilliose de la tomate, ?excellents résultats ont été obtenus pour la réduction des maladies et ?augmentation des rendements. Les travaux pour combattre la pourriture du collet de la laitue (Sclerotinia minor) ont également donné de bons résultats. Les possibilityés de transposition dans la pratique de ces résultats, obtenus généralement en conditions ?inoculation artificielle, sont étudiées.  相似文献   

7.
Suite à des prospections effectuées en 1995 sur des cultures de tomate abritées, la pourriture grise s'est avérée la maladie la plus grave malgré une intense protection phytosanitaire. L'étude au laboratoire de la sensibilité de quelques isolats de Botrytis cinerea aux principaux fongicides antibotrytis employés en Tunisie a montré la forte résistance du parasite au bénomyl. En effet, les isolats testés se sont développés sur milieu de culture enrichi de 100 ppm de cette matière active. A cette même concentration, l'inhibition de la croissance mycélienne a été inférieure à 62,8% et les fréquences des spores résistantes ont été supérieures à 86,8%. Pour certains isolats, la CI 50 a dépassé 100 ppm. D'autre part, tous les isolats testés se sont développés en présence d'iprodione ou de chlozolinate et peuvent être considérés comme résistants à ces deux produits. A 10 ppm de matière active, ces dicarboximides ont inhibé la croissance mycélienne de 61,4–80,5%. A cette concentration, la résistance des spores au chlozolinate a atteint une fréquence de 91%. L'apparition de la résistance à ce fongicide, non encore homologué en Tunisie, pourrait être liée à une résistance croisée positive avec d'autres produits de la même famille.  相似文献   

8.
La DE50 de vinchlozoline pour des souches de Botrytis cinerea isolées de 1980 à 1984 varie de 2 μM a plus de 300 μM de vinchlozoline, néanmoins 93% des souches présentent une DE50 comprise entre 2 et 24 μM. En l'absence de fongicide, la capacité saprophytique et pathogéne des souches résistantes est dans l'ensemble égale ou légèrement inferieure à celle des souches sensibles. En présence de vinchlozoline, à des concentrations inhibant les souches sensibles, les souches résistantes colonisent les féves, les paprikas ou les rondelles de concombre; toutefois, les substrats traités sont généralement moins rapidement colonisés que les témoins non traités. Ce retard augmente avec la concentration en fongicide et diminue lorsque le niveau de résistance de la souche croît; les souches à DE50 supérieure á 300 μM de vinchlozoline ne sont plus affectées par le traitement. L'association de la vinchlozoline avec d'autres fongicides présente un effet synergique sur certaines souches. Le mélange vinchlozoline+tolylfluanide réduit la fréquence d'apparition de colonies résistantes in vitro. Les souches + DE50 supérieure à 300 μM sont plus sensibles aux pressions osmotiques élevées quc les souches sensibles.  相似文献   

9.
Dans une période où l'on parle de plus en plus de lutte raisonnée, il nous a paru utile d' essayer de prévoir les périodes d'évolution de la pourriture grise pour éviter les traitements systematiques décidés a priori sans connaître les conditions climatiques à venir. Nous avons done experimenté, en nous inspirant d' une étude faite á propos de Botrytis cinerea sur fraisier, une méthode utilisant les températures moyennes journalières et une humidité relative supérieure à 90 %. Le but poursuivi dans cette expérimentation est double: a) introduction d' une façon plus compléte des données climatiques, et notamment de l'humidité relative, dans les critzères d'appréciation pour améliorer la technique de lutte qui est actuellement basée sur des interventions à trois stades végétatifs de la vigne, la quatriéme ayant lieu 3 semaines avant la récolte (méthode standard); b) étude de la possibilityé de supprimer les traitements qui se révéleraient inutiles, ce qui est un des objectifs des avertissements agricoles. II serait alors recouru au réseau climatique du Service de la Protection des Végétaux pour fournir, à l' ensemble des viticulteurs d'une région, les indications sur la lutte à entreprendre. Les expérimentations réalisées pendant quatre ans ont donné des résultats intéressants; elles devront étre reprises pour définir les critères à prendre en considération et la façon de les utiliser: températures (diurnes ou nocturnes), humectation des organes de la vigne, humidité. II semble en effet que l' humidité puisse apporter, aussi bien pour cette technique simple que pour la modélisation, des éléments utiles. Les comparaisons faites en 1980, à partir d' une étude sur la modélisation, font apparaître une bonne similitude entre cette stratégie nouvelle et les données fournies (températures moyennes, humidité relative supérieure à 90 %) par un poste météorologique à 2 m, situéà 25 km de la parcelle expérimentale.  相似文献   

10.
En dehors des mesures classiques de prophylaxie applicables à toute denrée stockée, la lutte chimique par fumigation à pression atmosphérique ou sous bâche constitue aux Etats-Unis une technique courante pour la désinsectisation des pruneaux stockés. L'expérimentation dont il est fait état ici se réfère à l'étude de l'efficacité du bromure de méthyle et du phosphure d'hydrogène sur les principales espèces d'insectes et d'acariens des pruneaux. Elle a été entreprise par le laboratoire de l'INRA, à Bordeaux, et concerne la fumigation expérimentale en chambre à pression atmosphérique, et des essais entrepris sous bâche, réalisés dans les conditions de la pratique. Les normes de traitement sont calculées par référence au produit de la concentration du fumigant en mg/1 et du temps d'exposition en heures (CT). Afin d'écarter les risques inhérents aux résidus, les concentrations de fumigants ont été réduites au minimum, tout en prolongeant dans la mesure du possible le temps d'exposition.
  • 1 ) Fumigations expérimentales Pour le bromure de méthyle, un CT de 144 mgh/l donne une efficacité totale sur les principales espèces suivantes: Carpophilus ligneus Murr., Plodia interpunctella Hbn., Nemapogon granella L. et l'acarien Carpoglyphus lactis L. Ce CT, qui représente le cinquième de la norme préconisée par la FAO (768 mgh/l) a été réalisé par une exposition au gaz de 18 h (8 mg/l × 18 h). En ce qui concerne le phosphure d'hydrogène, le CT de 36 mgh/l (FAO: 180 mgh/l) assure une efficacité totale contre les principales espèces d'insectes. Une exposition de 72 h à la concentration de 0,5 mg/l s'est révélée satisfaisante. Contre les acariens, l'efficacité totale requiert un CT de 324 mgh/l (4,5 mg/l pendant 72 h). Cette dose est le double de celle recommendée par la FAO.
  • 2 ) Essais pratiques Le bromure de méthyle émis sous bâche en plastique assure la mortalité de toutes les espèces d'insectes et d'acariens testés en 24 h, le CT étant de 384 mgh/l (16 mg/l × 24h).
  • 3 ) Résidus Les analyses révèlent que pour les CT avec une longue exposition, les résidus sont demeurés, tant pour le bromure de méthyle que pour le phosphure d'hydrogène, inférieurs aux limites admises (CH3 Br: 6 ppm; et PH3: 0,003 ppm).
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11.
Y. LEVY  S. STRIZYK 《EPPO Bulletin》1985,15(4):527-537
L'action de la synergie entre deux fongicides à caractéristique unisite et multisite et le contrôle des sous-populations, dites résistantes et sensibles au même unisite, sont décrits par l'intermédiaire d'un modèle bio-mathématique. Les paramètres suivants sont introduits dans le modèle:
  • 1) taux apparent d'infection (Sensu Van der Planck);
  • 2) efficacité de chaque fongicide seul sur le développement de la population sensible et résistante;
  • 3) efficacité du mélange sur chaque sous-population;
  • 4) répartition du mélange sur la plante;
  • 5) dégradation du fongicide;
  • 6) croissance de la plante assurant une moins grande efficacité de la couverture par le fongicide.
Les simulations montrent que l'efficacité de lutte dépend du niveau de la synergie entre fongicides. L'évolution de la population résistante dépend largement de la forme de la synergie du mélange vis-à-vis des souches sensibles et résistantes. Quand la synergie est plus forte vis-à-vis des souches résistantes quc vis-à-vis des souches sensibles, alors la population des souches résistantes tend à décroitre. Dans le cas contrairc, la population des souches résistantes augmente rapidement. Toutefois, cette augmentation dépend du taux d'infection. Nous concluons qu'il est nécessaire de tester l'action du synergisme vis-à-vis des differentes souches avant de commercialiser un mélange de fongicides.  相似文献   

12.
Dans le cadre d'un groupe de travail «Modélisation du Botrytis» l'Institut Technique de la Vigne et du Vin en France a entrepris l'étude des réactions de ce parasite à des conditions d'humectation contrôlées. L'essai est réalisé sur une vigne adulte, sous abri plastique; il couvre 1600 m2 et permet, grâce à un dispositif de brumisan'on, l'étude comparative de 12 régimes d'humectation distincts. Après quatre années successives d'expérimentation, basée sur des protocoles évolutifs, les résultats mènent à des observations intéressantes, mais qu'il est toutefois prudent de ne pas étendre inconsidérément à l'ensemble des cépages ou vignobles. L'effet des humectations successives n'est pas obligatoirement additif, une longue période de sécheresse entre la floraison et la véraison aggravant considérablement les attaques à ce dernier stade. Une même durée d'humectation à la véraison ou 12 jours avant la récolte provoque des dégâts identiques. Les contaminations peuvent s'effectuer simplement en présence d'une humidité relative élevée, sans présence d'eau sous forme liquide; cette HR élevée est capable de créer et surtout d'aggraver fortement les foyers de B. cinerea. Les contaminations artificielles ont eu un effet significatif lors de la floraison. A la véraison l'effet est masqué par l'inoculum naturel. L'étude de la réaction de Botrytis cinereaà différentes durées d'HR élevée reste délicate, un seuil exact restant difficile à estimer vu le niveau de précision des appareils utilisés. En outre, le modèle mis au point par Strizyk a fait preuve d'une précision accrue au fil des expérimentations successives; il semble donc bien adapté au cépage méridional utilisé. La stratégie de traitement a permis de réduire de moitié le nombre d'applications de fongicides dans l'essai, l'expérimentation prouvant toutefois qu'une réduction supplémentaire était possible. Il apparaît donc que cette stratégie, basée sur le modèle Botrytis, est prometteuse mais nécessite encore quelques adaptations afin de la rendre encore plus performante. L'étude des réactions de B. cinereaà certains facteurs climatiques permet done, outre l'amélioration de la lutte contre ce parasite, une meilleure connaissance de ses facteurs d'évolution. Il est possible qu'à l'avenir le facteur humidité relative, alliéà l'hiumectation, procure une fiabilité optimale du modèle, et probablement de la stratégie de lutte en découlant.  相似文献   

13.
Les auteurs exposent une partie d'une série d'études préliminaires de plein champ effectuées en 1981 en Alsace, sur Lobesia botrana. Ces observations sur la biologie de l'insecte sont destinées à adapter ultérieurement au vignoble alsacien le modèle de prévision, mis au point dès 1979 par Touzeau pour la région Midi-Pyrénées. Le modèle se réfère à l'apparition des différents stades et des différentes générations de ce ravageur. Chacune des observations effectuées est déterminée par les sous-modèles qui prennent en compte l'évolution de l'espèce au cours d'une saison en fonction de données climatologiques bien définies (sommes de températures plus particulièrement). Seuls sont abordés dans cet exposé les résultats et les observations portant sur la génération printanière.  相似文献   

14.
A la suite des problèmes importants qui se sont posés, il y a une trentaine d'années, pour la qualité sanitaire des plants de fraisiers, certains pays décidèrent de codifier les conditions de production et de mettre en place une certification pour apporter aux utilisateurs des garanties quant à la pureté variétale et au bon état physiologique et sanitaire du plant. La certification des plants de fraisier existe dans un certain nombre de pays européens, tels que la Belgique, la France, la Grande-Bretagne, les Pays-Bas et la Suisse. Dans les pays où il n'existe pas de certification officielle, les pèpiniéristes, conscients de la nécessité de mettre sur le marché des plants de bonne qualité, assurent eux-memes une sélection sanitaire. Les schémas de production mis en place dans les différents pays ont donné satisfaction et la qualité sanitaire des plants vis-à-vis des principales maladies à virus ne pose plus, actuellement, de problème, ce qui ne semble pas encore etre le cas pour d'autres parasites tels que Phytophthora cactorum ou P. fragariae. L'article fait le point sur les règlements techniques de production de plants de fraisiers, l'importance et les objectifs de la certification, le role des organismes assurant son application ainsi que les conditions de multiplication utilisées.  相似文献   

15.
E. Kahl 《EPPO Bulletin》1975,5(2):121-123
En Autriche, la protection des plantes repose sur la loi de 1948, adaptée à la situation particuliére du pays qui est composé de 9 provinces. Les dispositions intéressent la production et le commerce; une attention particulière est vouée à l'application des pesticides qui sont assujettis à l'homologation et doivent répondre aux critères d'efficacité et de sécurité. Ainsi, ce système est conçu de manière à mettre à la disposition de l'agriculture et de la sylviculture des produits répondant aux exigences d'une lutte économique sans qu'il en résulte des effets indésirables pour l'homme, les écosystèmes et l'environnement en général.  相似文献   

16.
Des isoenzymes des alpha-estérases et des malates deshydrogènases, obtenues par électrophorese sur gel de polyacrylamide, ont servi de base à la caractérisation de deux populations de liseron Convolvulus arvensis L., issues de vignobles. l'un soumis aux méthodes de lutte culturales et l'autre soumis au désherbage chimique. Des éléments de réponse sont donnés pour le nombre, l'extension spatiale, la dominance des individus, ainsi que pour les différents mécanismes intervenant dans l'établissement et le maintien de l'espèce sur les stations échantillonnées, Une grande variabilité clonale a été observée dans les deux stations, mais la comparaison des individus entre les deux parcelles montre des ressemblances claires. La répartition des individus sur le terrain est très hétérogène et leur extension spatiale est fortement perturbée par la méthode de lutte utilisée.  相似文献   

17.
L'équilibre de la mycoflore du sol de culture de tomate en serre, après désinfection au bromure de méthyle, subit une perturbation importante, jusqu'à la profondeur de 30 cm. Dans nos essais, 4 jours après le traitement du sol, la mycoflore saprophytique était représentée par Aspergillus alutaceus, Paecilomyces lilacinus, Penicillium chrysogenum, P. funiculosum, P. herquei, P. nigricans et Trichoderma viride, champignons apparemment tolérants ou résistants alors qu'en majorité la mycoflore parasitaire n'était pas isolée à partir du sol traité. Cette constatation permet d'envisager l'utilisation de ces saprophytes connus comme antagonistes, pour lutter contre les champignons phytopathogènes des racines de la tomate. La mycoflore parasitaire commencait à réapparaitre 12 jours aprés la désinfection (Alternaria alternata et Verticillium albo-atrum); celle de la zone située à 30–40 cm de profondeur n'était pas influencée par le traitement. Pourtant certains champignons pathogènes présents dans cette zone (Colletotrichum coccodes, Fusarium moniliforme, F. oxysporum, F. solani, Pyrenochaeta lycopersici, V. albo-atrum, V. dahliae) peuvent ravitailler les couches supérieures et provoquer des dégats sur le système racinaire de la tomate.  相似文献   

18.
B. DIGAT 《EPPO Bulletin》1988,18(1):29-35
De nombreux travaux montrent que certaines souches de rhizobactéries appartenant au groupe Pseudomonas fluorescens-putida ont un effet positif sur la croissance des plantes et sur leur protection vis-à-vis des agents pathogènies du sol. Si tous les modes ?action de ces bactéries telluriques sont encore loin ?être compris, on observe cependant une corrélation constante entre ?intensité de la production de pigments fluorescents (sidérophores), la capacitéà produire un antagonisme in vitro et la stimulation de la croissance des plantes. Le principe de la bactérisation est ?introduire une population bénéfique dans un milieu et de ?y maintenir ou de lui faire atteindre un niveau suffisant afin ?obtenir finalement les effets voulus. Il a done été nécessaire de suivre la dynamique des populations introduites dans plusieurs types de milieux de plus en plus complexes: cultures in vitro, substrats artificiels et substrats naturels. Ceci a permis ?obtenir de précieux renseignements sur ?évolution des populations en conditions contrôlées de température et ?HR. Les résultats obtenus montrent que: (1) la bactérisation est ?autant plus efficace qélle est réalisée précocement dans un milieu biologiquement simple. Aussi ?enrobage microbiologique des sentences et des boutures ainsi que le bactérisation de plantules in vitro peuvent donner de bons résultats. Corrélative-ment, le maintien des populations dans un biotope est ?autant plus difficile à réussir que celui-ci est biologiquement complexe; (2) le biotope doit offrir à la population introduite la possibilité de se maintenir, ?y trouver des éléments assimilables et de éy multiplier activement. Ceci est malheureusement pas le cas pour certains substrats artificiels et naturels dans lesquels le maintien de la population est encore problématique et nécessite des ‘rappels’ de bactérisation; (3) les caractères intrinséques de la souche sélectionnée en vue de la bactérisation sont déterminants; (4) il est nécessaire de maintenir une quantité minimale de cellules bactériennes au niveau du systéme racinaire pour obtenir un effet sur ?amélioration de la croissance de la plante. Le seuil minimal de biostimulation se situe fréquemment aux environs de 104 bacteries par cm de racine (betterave sucrière, laitue, pelargonium, chrysanthème). Mais le seuil de biosaturation varie davantage selon ?espèce végétale considérée et le stade physiologique.  相似文献   

19.
La technique ELISA est utilisée pour évaluer le taux d'infection de lots de graines de soja et de graines de pois, respectivement par le soybean mosaic virus et le pea seed-borne mosaic virus. Couplée à une méthode d'analyse par groupes, cette technique permet de tester un grand nombre de graines si la précision requise l'exige. Une mise au point préalable est nécessaire pour chaque cultivar à analyser: elle porte sur le nombre maximal de graines par groupe et sur les modalités du broyage dans les conditions de routine. L'analyse des lots de graines peut apporter une double information: lorsque le virus des téguments est pris en compte dans le test, le résultat obtenu est une estimation par défaut du pourcentage de plantes infectées avant la récolte; au contraire, lorsque seul le virus des embryons est dosé, le résultat traduit le pourcentage de sources primaires d'infection lors de la prochaine culture.  相似文献   

20.
Leveillula taurica et Sphaerotheca fuliginea sont des oïdiums qui causent d'importants dégats sur cultures maraichères dans le sud-est de la France. Ampelomyces quisqualis, Paecilomyces farinosus et Cephalosporium sp. ont été utilisés en lutte biologique contre S. fuliginea sur feuilles de courgette et de melon en survie (au laboratoire) et contre L. taurica sur piment (en serre). Le matériel végétal a été inoculé artificiellement. Vis-à-vis de L. taurica, des apports simultanés (à la contamination) d'A. quisqualis et de P. farinosus ont permis une bonne protection des plantes au stade 8–10 feuilles. Ces résultats étaient améliorés, mais d'une manière non significative, quand les plantes étaient pulvérisées chaque semaine avec ces hyperparasites: le nombre de spores d'oïdium par cm2était de 11.383 ± 2841 pour le témoin; il s'élevait à 5367 ± 1309 et 3029 ± 1222 pour A. quisqualis et P. farinosus respectivement. L'extrait de levure, destinéà stimuler la croissance des hyperparasites, a en réalité plus ou moins entravé le développement de L. taurica, meme dans le témoin. La lutte curative s'est avérée inefficace contre L. taurica car, avec un développement en partie interne, ce champignon échappe à l'action des antagonistes. Par contre, ce type de traitement était plus adaptéàS. fuliginea; les taux de sensibilité observés sur courgette et melon étaient toujours inférieurs à 50%, ceux des témoins variant entre 50 et 68%. Avec ce meme oïdium, les traitements préventifs et simultanés ont donné des résultats non satisfaisants.  相似文献   

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