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1.
Des 1980, la résistance aux imides cycliques (I. C.) s'est généralisée dans les populations de Botrytis cinerea sur fraisiers remontants, traités de 3 à 10 fois de juillet à septembre avec des I. C., le taux moyen de fraises présentant des conidies résistantes étant de 72%. Une diminution progressive du taux de résistance est observée après l'arrêt des traitements, mais est suivie d'une forte augmentation 5 à 6 semaines apres la reprise des traitements l'année suivante. L'efficacité des traitements à la vinchlozoline (500 g ha?1) est passée de 94%, pour les essais de 1973 à 1978, à 48% pour ceux établis de 1979 à 1984. Durant cette derniére période, le mélange vinchlozoline (500 g ha?1)+ thirame (1600 g ha?1) a présenté une efficacité de 78% et le tolylfluanide a donné une efficacité de 67%. Sur fraisiers de saison, traités 1 à 6 fois au moment de la floraison, une résistance aux I. C. a été observée en 1980 dans sept des 10 champs analysés, avec un taux moyen de 22%. La résistance ne s'y développe que tardivement et principalement dans les cultures de 2 ans, traitées déjà l'année précédente avec des I. C. Dans les essais, l'efficacité de la vinchlozoline s'est maintenue á 92% entre 1973 et 1984.  相似文献   

2.
L'équilibre de la mycoflore du sol de culture de tomate en serre, après désinfection au bromure de méthyle, subit une perturbation importante, jusqu'à la profondeur de 30 cm. Dans nos essais, 4 jours après le traitement du sol, la mycoflore saprophytique était représentée par Aspergillus alutaceus, Paecilomyces lilacinus, Penicillium chrysogenum, P. funiculosum, P. herquei, P. nigricans et Trichoderma viride, champignons apparemment tolérants ou résistants alors qu'en majorité la mycoflore parasitaire n'était pas isolée à partir du sol traité. Cette constatation permet d'envisager l'utilisation de ces saprophytes connus comme antagonistes, pour lutter contre les champignons phytopathogènes des racines de la tomate. La mycoflore parasitaire commencait à réapparaitre 12 jours aprés la désinfection (Alternaria alternata et Verticillium albo-atrum); celle de la zone située à 30–40 cm de profondeur n'était pas influencée par le traitement. Pourtant certains champignons pathogènes présents dans cette zone (Colletotrichum coccodes, Fusarium moniliforme, F. oxysporum, F. solani, Pyrenochaeta lycopersici, V. albo-atrum, V. dahliae) peuvent ravitailler les couches supérieures et provoquer des dégats sur le système racinaire de la tomate.  相似文献   

3.
Dans le cadre d'un programme de lutte intégrée, deux essais de lutte contre la 3e génération de Prays oleae (en petite parcelle et à grande échelle) avaient pour but d'étudier les possibilités de remplacement des insecticides habituellement utilisés par d'autres produits spécifiques et peu toxiques. Bacillus thuringiensis avail entraine un taux de mortalité larvaire proche de 50% alors que l'effet du diflubenzuron n'était pas net comparativement au témoin. La deltaméthrine s'est révélée efficace pratiquement à 100%. Toutefois, le controle des chrysalides dans les bandes-pièges en carton ondulé avait montre une certaine efficacité des deux produits testés qui s'est traduite par une réduction des populations émergeantes de l'ordre de 74 à 79% par rapport au témoin. Il faut préciser que B. thuringiensis n'agit que sur les stades larvaires, alors que le diflubenzuron a une action lente qui se poursuit jusqu'au stade nymphose (mortalité des chrysalides pouvant atteindre 40%). L'action des deux produits s'est poursuivie jusqu'à la génération suivante, mais sculement dans les grandes parcelles. L'effet de la deltaméthrine est plus fortement ressenti à la génération suivante. Les deux produits, et notamment B. thuringiensis, ont présenté l'avantage de préserver la faune auxiliaire en comparaison avec la deltaméthrine qui l'a detruite totalement.  相似文献   

4.
D. CADAHIA 《EPPO Bulletin》1986,16(2):265-283
Ce travail résume la situation phytosanitaire du genre Eucalyptus en se référant aux insectes ravageurs qui mettent en danger les plantations artificielles dans le monde et plus particulièrement dans le bassin Méditerranéen. Parmi les 54 espèces citées, 10 ont dépassé les frontières de leur aire d'origine et, parmi ces derniers, 6 se trouvent sur d'autres continents et 3 dans la région méditerranéenne. Il est fait état aussi des mesures phytosanitaires touchant à la quarantaine, mises en place pour l'Eucalyptusà l'initiative de l'OEPP. Les ravages causés par les insectes polyphages dans la région méditerranéenne sont récapitulés. Les 3 insectes mentionnés sont spécifiquement inféodés au genre Eucalyptus et causent des dégats en région méditerranéenne. La présente étude s'y attache en précisant leur extension et les moyens de lutte susceptibles d'etre mis en oeuvre. En ce qui concerne Ctenarytaina eucalypti quia atteint nos régions durant les années soixante, on assiste à son extension, mais l'action des syrphides prédateurs parvient à en contenir les populations. Quant àGonipterus scutellatus apparu en région méditerranéenne vers 1975, il n'a pas connu l'extension à laquelle on pouvait s'attendre en tenant compte de son potentiel de dispersion élevé. L'espèce demeure peu préoccupante, mais doit faire l'objet d'attention surtout sur les eucalyptus ornementaux où les dégats peuvent etre sensibles. Elle se rencontre sur la Riviera italienne et dans le Midi de la France où ses populations sont controlées par le parasite oophage Patasson nitens. Au cours des dernières années, le ravageur le plus redoutable est certainement Phoracantha semipunctata qui s'est répandu dans la partie occidentale du bassin Méditerranéen. En ce moment, seules la France, la Yougoslavie et la Grèce sont demeurées indemnes. Cette diffusion rapide est à mettre en rapport avec l'état d'extreme déficience des arbres, essentiellement du à la sécheresse et à la pauvreté des sols. La stratégie de lutte menée en Italie s'est révéléc efficace; elle consiste à intervenir dès le début de l'attaque des peuplements en pratiquant des coupes et en utilisant rapidement le bois affecté. De cette facon, l'importance des populations s'est vue considérablement réduite. D'une facon générale, les racines ont donné des repousses vigoureuses sauf dans les cas où les coupes ont été faites tardivement. L'expérience espagnole de lutte par des arbres-pièges sur de vastes étendues est également très intéressante. Par ce moyen il a été possible d'observer une réduction moyenne des populations de 75% avec une rentabilité de 246–611%.  相似文献   

5.
La semence contaminée représente un facteur de dissémination capital pour Ditylenchus dipsaci. La pratique de la fumigation au bromure de méthyle permet l'éradication des individus anabiotiques contenus dans les lots de semences. L'étude de plusieurs techniques au cours de diverses combinaisons de concentration (C) et de durée (T) montre que pour la fumigation de lots de luzerne l'éradication de D. dipsaci est atteinte, par exemple, à pression atmosphérique avec 80 g/m3 pendant 16 h (C x T théorique de 1280), ou après vide préalable avec 50 g/m3 pendant 20 h (C x T théorique de 1000). Si aucune altération de la faculté germinative n'est observée, même apres un delai de 2 ans après le traitement, on constate qu'un certain effet fongicide peut se révéler intéressant. Avec Vicia faba, les cssais préliminaires indiquent que pour cette espèce à grosse graine, le nématode est mieux protégé dans les cotylédons. La limite entre l'action nématicide et phytotoxique est restreinte; la technique du vide partiel pourrait présenter un intérêt. Pour l'ail, l'éradication de D. dipsaci est possible par la fumigation des têtes entières, mais un effet phytotoxique est à redouter au-delà d'un produit C x T théorique de 800. Cette phytotoxicité, grave si la dormance de l'ail est levée, peut s'expliquer par une adsorption marquée. Il est néccssaire de poursuivre l'expérimentation en évaluant les risques présentés par d'éventuels résidus bromés dans les caïeux et en réétudiant l'utilisation de la phosphine, malgré son efficacité insuffisante lors de premiers essais.  相似文献   

6.
Depuis 3 ans des souches de Pseudocercosporella herpotrichoides résistantes aux benzimidazoles (bénomyl, cabendazime, thiabendazole) et aux thiophanates (thiophanate-méthyl) sont décelées sur blé d'hiver en France. La résistance croisée positive entre ces fongicides ainsi que la résistance croisée négative vis-à-vis de phényl-carbamates (ex. barbane) sont des caractéristiques générales. Les niveaux de résistance peuvent étre variables avec cependant prédominance de deux catégories de souches résistantes (dont les niveaux de résistance respectifs vis-à-vis du thiabendazole sont voisins de 10 et de 100). En outre, des expérimentations en conditions contrôlées indiquent que la résistance n'affecte ni l'agressivité ni la compétitivité de P. herpotrichoides. Pour pouvoir suivre l'évolution des fréquences des souches résistantes aux benzimidazoles dans la nature, diverses méthodes ont ét expérimentées; celle qui est actuellement retenue et développéc dans les laboratoires de l'INRA (Institut National de la Recherche Agronomique), du Service de la Protection des Végétaux, de l'ITCF (Institut Technique des Céréales et des Fourrages) et de certaines firmes est basée sur l'étude de l'effet du carbendazime sur des implants mycliens. Chaque analyse porte sur 10 à 30 isolats par parcelle. Malgré un nombre élevé d'analyses il est difficile d'avoir une cartographie exacte de la répartition des souches résistantes; il est toutefois clair que les fréquences des souches résistantes sont les plus élevées dans les zones d'utilisation intensive des benzimidazoles (Nord et Bassin parisien) qui peuvent devenir inefficaces. Actuellement, le seul fongicide susceptible de remplacer ces benzimidazoles est un inhibiteur des strols: le prochloraz. Au champ il possède une activitééquivalcnte en l'abscnce ou en présence de souches résistantes aux benzimidazoles et les sondages réalisés jusqu'à maintcnant n'indiquent aucune résistance vis-à-vis de ce fongicide.  相似文献   

7.
Les auteurs exposent une partie d'une série d'études préliminaires de plein champ effectuées en 1981 en Alsace, sur Lobesia botrana. Ces observations sur la biologie de l'insecte sont destinées à adapter ultérieurement au vignoble alsacien le modèle de prévision, mis au point dès 1979 par Touzeau pour la région Midi-Pyrénées. Le modèle se réfère à l'apparition des différents stades et des différentes générations de ce ravageur. Chacune des observations effectuées est déterminée par les sous-modèles qui prennent en compte l'évolution de l'espèce au cours d'une saison en fonction de données climatologiques bien définies (sommes de températures plus particulièrement). Seuls sont abordés dans cet exposé les résultats et les observations portant sur la génération printanière.  相似文献   

8.
L'hypothèse de travail proposée pour l'analyse des cycles de population de Microtus arvalis intègre à la fois le rôle de la prédation et l'influence de la structure du paysage. Par sa composante liée à la prédation, cette hypothèse engage les recherches au niveau d'investigation des peuplements, aussi bien des Microtidae que des petits prédateurs spécialistes qui leur sont associés. Par sa composante liée à la structure du paysage et par son approche comparative dans le temps et dans l'espace, elle situe ces recherches à une échelle de perception suffisamment large pour que notre vision des phénoménes biologiques analysés soit moins ponctuelle et par conséquent moins naïve. Enoncée à l'origine pour l'étude du couple Microtus arvalis/Mustela nivalis cette hypothese peut utilement être transposéà l'analyse du couple Arvicola terrestris/Mustela erminea, en raison des nombreuses similitudes écologiques observées entre ces espèces. Les premiers indices analysés dans cette perspective concernent, d'une part, un suivi diachronique des différentes populations de rongeurs et de petits Mustelidae présents sur un terrain d'étude situé en Franche-Comté (France) et, d'autre part, une comparaison de la cartographie des dégâts dus àA. terrestris avec celle des surfaces agricoles utiles consacrées aux céréales dans les différents cantons de cette région. Sans présenter de valeur démonstrative les coïncidences observées entre les cinétiques des différentes populations et entre les cartes de répartition présentées accréditent, à notre sens, l'intérêt de la démarche retenue.  相似文献   

9.
10.
La matière organique des sols et des substrats de culture donne lieu à des interactions physico-chimiques avec le bromure de méthyle, qui déterminent les propriétés et le devenir du pesticide. La matière organique réduit par adsorption la concentration en pesticide biodisponible dans l'eau ou l'air du sol. L'amplitude et la faible réversibilité du phénomène affectent la bioactivité et le transfert par diffusion en phase gazeuse. Les molécules irréversiblement adsorbées ne présentent plus d'activité pesticide; elles pourraient être à l'origine d'une persistance du pesticide sous forme de résidus liés. La matière organique est également le principal facteur de la dégradation du bromure dc méthyle dans le sol. Sa réactivité varie toutefois en fonction de sa composition et de son degré d'évolution. La vitesse du phénomène est telle que la dégradation doit représenter un élément important dans le bilan du pesticide. Une optimisation des modalités de traitement, visant à diminuer les doses appliquées et le niveau de résidus bromés formés, doit done tenir compte de ces interactions.  相似文献   

11.
Les résultats obtenus montrent que l'activité biocide du bromure de méthyle est correctement mesurée par le produit C1T (concentration du bromure de méthyle dissous en mmole 1?1 x temps d'exposition en heures des organismes au toxique), mesure qui convient spécialement aux traitements du sol, le gaz y étant présent en solution aqueuse. Les valeurs de C1T qui produisent un effet léthal varient selon les particularitiés morphologiques des organismes et la température pour des raisons de réactions biochimiques et de cinétiques d'échanges physico-chimiques. Il existe de plus un seuil de concentration minimale en deçà duquel l'effet pesticide n'est plus perceptible. Dans nos conditions standardisées de mesure, il apparaît que l'effet nématicide et herbicide se manifeste pour des C1T semblables, alors que les champignons et surtout les bactéries sont plus résistants. Ainsi, les perturbations observées sur la flore bactérienne du cycle de l'azote à la suite d'un traitement ne sont généralement que temporaires. Il est prudent toutefois d'éviter les traitements à fortes doses.  相似文献   

12.
La technique ELISA est utilisée pour évaluer le taux d'infection de lots de graines de soja et de graines de pois, respectivement par le soybean mosaic virus et le pea seed-borne mosaic virus. Couplée à une méthode d'analyse par groupes, cette technique permet de tester un grand nombre de graines si la précision requise l'exige. Une mise au point préalable est nécessaire pour chaque cultivar à analyser: elle porte sur le nombre maximal de graines par groupe et sur les modalités du broyage dans les conditions de routine. L'analyse des lots de graines peut apporter une double information: lorsque le virus des téguments est pris en compte dans le test, le résultat obtenu est une estimation par défaut du pourcentage de plantes infectées avant la récolte; au contraire, lorsque seul le virus des embryons est dosé, le résultat traduit le pourcentage de sources primaires d'infection lors de la prochaine culture.  相似文献   

13.
J. P. MOREAU 《EPPO Bulletin》1980,10(4):469-474
La persistence de populations de doryphores à des niveaux élevés dans certaines régions de France (et en Europe du Nord au-delà du 45e degré de latitude) a deux causes possibles: la culture de variétés précoces et tardives situées les unes à cǒté des autres, principalement en petites parcelles, et la synchronisation entre les stades de développement de l'insecte et de la plante. La résistance de la pomme de terre à cet insecte a étéétudiée depuis longtemps. Des croisements entre des espèces sauvages de solanacées et Solarium tuberosum ont constitué l'essentiel des directions suivies. De grandes difficultés ont été rencontrées, surtout dans l'obtention d'hybrides à partir des graines, à cause de la variabilityé géographique des réponses de l'insecte et des relations inverses entre la productivityé et les niveaux de glycoalcaloïdes dans les tubercules. A l'heure actuelle, la recherche est surtout axée sur le choix de variétés de S. tuberosum, en fonction de facteurs écologiques et culturaux, et de la physiologie de la plante. Dans le présent travail, sept variétés ont été plantées dans les conditions de plein champ. La ponte des femelles de doryphore, le nombre de larves obtenues, la consommation du feuillage et le rendement de la culture ont été considérés. Un variété (Résy), qui est peu sensible au mildiou, s'est montrée défavorable à la fois aux adultes et aux larves pendant trois années consécutives. Ainsi l'emploi judicieux d'une ou de plusieurs variétés peut affecter la dynamique des populations de ce ravageur. L'utilisation raisonnée des variétés peut ětre utilisée dans des programmes de protection intégrée contre les ennemis de la pomme de terre.  相似文献   

14.
D. PAYEN 《EPPO Bulletin》1983,13(2):277-281
Un facteur limitant de la contamination du tournesol par Sclerotinia sclerotiorum a été mis en évidence. Ce facteur concerne la présence d'eau libre à la surface du capitule durant 40 heures consécutives; il est sous l'étroite dépendance des conditions climatiques. Un modèle opérationnel a été mis au point pour déterminer, en fonction des paramètres météorologiques standards, la durée d'humectation des capitules de tournesol. Les résultats du modèle ont été confrontés à des observations et ont montré son aptitude à mettre en évidence les longues durées d'humectation. Une simulation a ensuite été effectuée sur une période de 30 années dans plusieurs régions de culture du tournesol, afin de délimiter les zones où le climat est favorable aux épidémies de Sclerotinia sclerotiorum et de déterminer ainsi la potentialité climatique de la maladie en France.  相似文献   

15.
L. GARDAN  M. DEVAUX 《EPPO Bulletin》1987,17(2):241-250
Découverte aux Etats-Unis en 1913 par Barss, la bactériose du noisetier est maintenant présente en Italie, Turquie, France, Yougoslavie, Royaume-Uni, URSS, Afrique du Nord et Australie. En France, elle est présente dans les marcottières et dans les vergers. La maladie se manifeste par des annulations de bourgeons, des nécroses de pousses herbacées et de rameaux et par des chancres. Des taches sont aussi observées sur les feuilles, les cupules des fruits et sur la coque (talon noir). La bactérie a une phase épiphylle puisque 104–108 cfu par feuille sont détectées pendant toute la période végétative dans les marcottières et les vergers. Cette phase épiphylle est reproduite par pulvérisation d'une suspension bactérienne. Au microscope électronique à balayage les bactéries ont été localisées. Elles ont aussi été détectées à la surface et dans les bourgeons (10–107 bactéries). Dans les vergers malades le taux de bourgeons contaminés varie de 0 à 90%. Par inoculation des bourgeons par piqûre, les tissus se révèlent sensibles d'octobre à juin. Les méthodes de lutte consistent à produire de jeunes plants sains, à tailler les organes malades et à pulvériser des produits cupriques au printemps et à l'automne.  相似文献   

16.
Y. Baye 《EPPO Bulletin》2007,37(1):153-155
L’effet du stress hydrique, du stade d’application et des adjuvants sur l’efficacité du glyphosate contre Solanum elaeagnifolium Cav. ont étéétudiés en 1995 et 1996. Il en est de même pour l’effet de la qualité de l’eau de bouillie pour l’aminotriazole en 1996 et 1997. Les résultats montrent que le sulfate d’ammonium améliore nettement l’efficacité du glyphosate utiliséà des doses de 2160 g s.a./ha. Les efficacités obtenues à 360 jours après traitement sont très significativement meilleures dans les parcelles irriguées légèrement (82%) que dans celles maintenues sous stress hydrique (45%). Le contrôle de la mauvaise herbe par le glyphosate s’est avéré bon aussi bien pour les traitements au stade floraison que pour ceux au stade fructification (baies vertes). Les semences issues de plantes traitées au stade floraison ne sont généralement pas viables, contrairement à celles issues de traitements au stade fructification, qui sont viables dans la majorité des cas. Pour ce qui est de l’aminotriazole, les résultats montrent que de bonnes efficacités ne sont obtenues qu’à partir des doses de 7200 g s.a./ha et que cet herbicide est efficace même lorsque l’eau de bouillie est dure, contenant des ions antagonistes tels que Na+, Fe++, etc.  相似文献   

17.
E. BRUNEL  M. LAHMAR 《EPPO Bulletin》1983,13(2):201-207
Dans les conditions de l'ouest de la France, la mouche de la carotte, Psila rosae, et la mouche du chou, Delia brassicae, ont une biologie très voisine par le nombre de générations, la faculté des adultes à pondre peu après leur éclosion et leur capacitéà résister au froid hivernal qui se traduit par un arrêt de développement du type diapause. Les pupes de P. rosae, formées d'octobre à janvier, et de D. brassicae, formées d'octobre au début de novembre, peuvent servir d'éléments pour définir le début des éclosions printanières, à condition de les soumettre à un, deux ou trois chocs thermiques de 2–4 ou 6 jours à 15 ou 20°C. Ces chocs ont été appliqués à partir de la fin janvier, après rupture de la diapause, c'est-à-dire au moment où la pupe poursuit son évolution en relation avec les sommes de températures. Pour P. rosae, la longueur du choc thermique n'a pas eu d'incidence, mais le développement de l'insecte a été réduit en fonction du nombre de chocs. En çe qui concerne D. brassicae, la situation était plus complexe: à 15°C, un choc thermique n'avait pas d'effet, mais les chocs subséquents ont accéléré le développement; à 20°C, un ou plusieurs chocs de 2 ou 4 jours demeurèrent sans grande conséquence, alors qu'un choc de 6 jours a sensiblement accéléré l'évolution. La répétition des chocs est restée sans conséquence sur les résultats. Les sorties des adultes se sont trouvées avancées de 20 jours pour P. rosae et de 40 jours pour D. brassicae. Le modèle d'éclosion de ces deux espèces n'a pas été affecté.  相似文献   

18.
Y. LEVY  S. STRIZYK 《EPPO Bulletin》1985,15(4):527-537
L'action de la synergie entre deux fongicides à caractéristique unisite et multisite et le contrôle des sous-populations, dites résistantes et sensibles au même unisite, sont décrits par l'intermédiaire d'un modèle bio-mathématique. Les paramètres suivants sont introduits dans le modèle:
  • 1) taux apparent d'infection (Sensu Van der Planck);
  • 2) efficacité de chaque fongicide seul sur le développement de la population sensible et résistante;
  • 3) efficacité du mélange sur chaque sous-population;
  • 4) répartition du mélange sur la plante;
  • 5) dégradation du fongicide;
  • 6) croissance de la plante assurant une moins grande efficacité de la couverture par le fongicide.
Les simulations montrent que l'efficacité de lutte dépend du niveau de la synergie entre fongicides. L'évolution de la population résistante dépend largement de la forme de la synergie du mélange vis-à-vis des souches sensibles et résistantes. Quand la synergie est plus forte vis-à-vis des souches résistantes quc vis-à-vis des souches sensibles, alors la population des souches résistantes tend à décroitre. Dans le cas contrairc, la population des souches résistantes augmente rapidement. Toutefois, cette augmentation dépend du taux d'infection. Nous concluons qu'il est nécessaire de tester l'action du synergisme vis-à-vis des differentes souches avant de commercialiser un mélange de fongicides.  相似文献   

19.
G. GROLLEAU 《EPPO Bulletin》1988,18(3):469-474
La brométhaline est un produit de synthèse appartenant au groupe des diphénylamines. Ses propriétés rodenticides ont été présentées pour la première fois en 1979 (nom de code = EL 614). Nous avons vérifié, en laboratoire, la sensibilité de Rattus norvegicus, R. rattus et de Mus domesticusà différents appâts contenant 100 ppm de matière active. Deux types d'essais ont été réalisés: sans et avec choix alimentaire. La brométhaline s'est montrée un excellent rodenticide contre M. domesticus, qu'il y ait ou non choix alimentaire. Un tel choix diminue l'efficacité d'environ 10% chez R. norvegicus et R. rattus, ce rodenticide demeurant tout de même très performant. Il ne semble pas y avoir de détection de la matière active dans les appâts, quelle que soit l'espèce de rongeur expérimentée; les consommations journalières réduites, par rapport à ce que nous avons l'habitude d'enregistrer avec les anticoagulants, nous semblent le fait d'une action toxique rapide de brométhaline et non d'une répulsion. Enfin, la brométhaline est efficace contre les R. norvegicus résistants aux anticoagulants, ce qui n'est pas étonnant puisque son mode d'action est totalement différent de celui d'un antivitamine K.  相似文献   

20.
Le nématode des pins (Bursaphelenchus xylophilus), très certainement originaire d'Amérique du Nord et introduit au Japon où il dévaste les forêts, a été signalé en 1979 sur Pinus pinaster dans le sud-ouest de la France, en association avec des taches de dépérissement à propagation lente. Il s'agit en fait d'une souche morphologiquement proche de B. mucronatus, espèce non virulente décrite au Japon en 1979. Elle s'en distingue cependant par différents caractères biologiques, dont un pouvoir pathogène plus élevé vis-à-vis des jeunes pins et la possibilité de donner des croisements fertiles avec B. xylophilus. Elle pourrait jouer un rôle de sensibilisation à d'autres agents pathogènes. On doit done considérer que B. xylophilus n'est pas, comme on aurait pu l'espérer, endémique et peu virulent en France. Les risques d'introduction et d'extension du nématode des pins en Europe demeurent, par conséquent, entiers et redoutables. Les bois de conifères massifs, dans lesquels peuvent survivre les larves des insectes vecteurs, sont les voies d'introduction les plus à craindre et il existe, parmi les espèces européennes de xylophages, des insectes potentiellement capables de prendre le relais et de répandre la maladie qui est plus à redouter dans les régions àétés chauds. Une surveillance attentive, avec analyse nématologique de tout foyer nouveau de dépérissement des coniféres, et une calcination immédiate de tout arbre atteint sont des nécessités absolues pour enrayer une éventuelle extension.  相似文献   

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