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1.
Y. LEVY  S. STRIZYK 《EPPO Bulletin》1985,15(4):527-537
L'action de la synergie entre deux fongicides à caractéristique unisite et multisite et le contrôle des sous-populations, dites résistantes et sensibles au même unisite, sont décrits par l'intermédiaire d'un modèle bio-mathématique. Les paramètres suivants sont introduits dans le modèle:
  • 1) taux apparent d'infection (Sensu Van der Planck);
  • 2) efficacité de chaque fongicide seul sur le développement de la population sensible et résistante;
  • 3) efficacité du mélange sur chaque sous-population;
  • 4) répartition du mélange sur la plante;
  • 5) dégradation du fongicide;
  • 6) croissance de la plante assurant une moins grande efficacité de la couverture par le fongicide.
Les simulations montrent que l'efficacité de lutte dépend du niveau de la synergie entre fongicides. L'évolution de la population résistante dépend largement de la forme de la synergie du mélange vis-à-vis des souches sensibles et résistantes. Quand la synergie est plus forte vis-à-vis des souches résistantes quc vis-à-vis des souches sensibles, alors la population des souches résistantes tend à décroitre. Dans le cas contrairc, la population des souches résistantes augmente rapidement. Toutefois, cette augmentation dépend du taux d'infection. Nous concluons qu'il est nécessaire de tester l'action du synergisme vis-à-vis des differentes souches avant de commercialiser un mélange de fongicides.  相似文献   

2.
La DE50 de vinchlozoline pour des souches de Botrytis cinerea isolées de 1980 à 1984 varie de 2 μM a plus de 300 μM de vinchlozoline, néanmoins 93% des souches présentent une DE50 comprise entre 2 et 24 μM. En l'absence de fongicide, la capacité saprophytique et pathogéne des souches résistantes est dans l'ensemble égale ou légèrement inferieure à celle des souches sensibles. En présence de vinchlozoline, à des concentrations inhibant les souches sensibles, les souches résistantes colonisent les féves, les paprikas ou les rondelles de concombre; toutefois, les substrats traités sont généralement moins rapidement colonisés que les témoins non traités. Ce retard augmente avec la concentration en fongicide et diminue lorsque le niveau de résistance de la souche croît; les souches à DE50 supérieure á 300 μM de vinchlozoline ne sont plus affectées par le traitement. L'association de la vinchlozoline avec d'autres fongicides présente un effet synergique sur certaines souches. Le mélange vinchlozoline+tolylfluanide réduit la fréquence d'apparition de colonies résistantes in vitro. Les souches + DE50 supérieure à 300 μM sont plus sensibles aux pressions osmotiques élevées quc les souches sensibles.  相似文献   

3.
4.
Des souches de Botrytis cinerea, agent de la pourriture grise de la vigne, résistantes aux benzimidazoles et/ou aux dicarboximides sont présentes dans de nombreux vignobles français et peuvent être à l'origine de réductions d'efficacité de ces fongicides. Une méthode basée sur l'action de ces produits au niveau de la germination des spores ou de l'élongation des filaments germinatifs permet d'analyser la composition de la population de B. cinerea au sein d'une parcelle donnée. La prospection réalisée chaque année dans les vignobles français á l'aide de cette technique permet de réaliser des préconisations régionalisées de lutte anti-botrytis la saison suivante.  相似文献   

5.
M. BESRI  F. DIATTA 《EPPO Bulletin》1985,15(3):379-386
Le long du littoral atlantique marocain. Botrytis cinerea constitue actuellement une menace pour la tomate cultivée sous tunnels plastiques. Les principaux fongicides antibotrytis utilisés, soit en pulvérisation des plantes, soit en badigeonnage des chancres formés sur les tiges ou les deux à la fois, sont le bénomyl, le thiophanate-méthyl, la procymidone et la dichlofluanide. Cependant, malgré une intense protection chimique, le champignon continue á provoquer des dégâts importants sur la culture. L'étude faite au laboratoire sur la sensibilité de plusieurs isolats de B. cinerea vis-à-vis de quelques concentrations des quatre fongicides a montré que le problème de résistance au bénomyl et au thiophanate-méthyl est important sous tunnels plastiques de tomate. Des croissances mycéliennes ainsi que des germinations de spores ont été obtenues respectivement à 500 et à 50 ppm, des concentrations supérieures n'ayant pas été testées. Certains isolats de B. cinerea se sont développés á des concentrations maximales de 5 ppm de procymidone et de 10 ppm de dichlofluanide. Ces concentrations sont trop faibles pour conclure à l'existence de souches résistantes á ces deux produits. Le probléme de la résistance, particuliérement au bénomyl et au thiophanate-méthyl, se pose donc au Maroc et il faut prendre conscience de ce phénomène et adopter une stratégie de lutte pour limiter son impact.  相似文献   

6.
Par repiquages successifs d'isolats de Phytophthora citrophthora sur du milieu V8-CaCO3 clarifié gélosé, contenant 100 μg ml?1 de métalaxyl, des souches plus résistantes que la souche mère ont été obtenues. Cette adaptation s'accompagne d'une diminution de la croissance sur milieu sans fongicide et du pouvoir pathogéne. La fréquence de zoospores capables de former spontanément une colonie sur 100 μg ml?1 de métalaxyl est de l'ordre de 10?4. Un traitement des zoospores à la N-méthyl-N′-nitro-N-nitrosoguanidine (30 μg ml?1 pendant 10 min) augmente cette fréquence par un facteur de 10–16 fois. Les souches résistantes ainsi obtenues ont la même croissance sur milieu sans fongicides et sont aussi pathogènes sur feuilles d'agrumes que les souches mères, alors que les souches sélectionnées sans traitement mutagène présentent les mêmes caractéristiques que celles obtenues par adaptation.  相似文献   

7.
Il a été démonstré que les Fusarium spp., et en particulier les F. oxysporum, jouent un role dominant dans les mécanismes de résistance aux fusarioses vasculaires de certains sols. Vu l'activité très differente des souches isolées de ces sols et la nécessité d'appliquer des méthodes de lutte biologique efficaces contre les fusarioses vasculaires, il importe de choisir les souches les plus actives. La méthode décrite utilise, comme modèle d'étude, le couple lin-F. oxysporum f. sp. lini et repose sur l'évaluation de l'antagonisme exprimé par des souches de Fusarium non pathogènes introduites et incubées à 25°C pendant 20 j dans un sol préalablement traitéà la chaleur (100°C, 60 min). Elle a permis de travailler sur un nombre élevé de plantes et avec des quantités de terre très limitées et d'obtenir rapidement les resultats. Elle s'est révélée très sensible et a permis de sélectionner les souches, soit sur leur aptitude à coloniser le sol, soit sur leur aptitude à coloniser les racines de la plante et à y induire d'éventuels phénomènes post-infectieux de défense.  相似文献   

8.
Onze souches de Plasmopara viticola ont étè prélevées en diverses régions de France (Charentes, Beaujolais, Touraine) sur des parcelles ou les traitements avec des fongicides de la famille des anilides avaient manqué d'efficacité. Elles ont été mises en culture sur vignes en serre. Dix d'entre elles ont manifesté une forte résistance aux anilides; par contre, toutes se sont montrées sensibles à une application de phoséthyl-Al. Le phoséthly-Al conserve done son activité sur les souches de mildiou de la vigne devenues résistantes aux anilides.  相似文献   

9.
Des 1980, la résistance aux imides cycliques (I. C.) s'est généralisée dans les populations de Botrytis cinerea sur fraisiers remontants, traités de 3 à 10 fois de juillet à septembre avec des I. C., le taux moyen de fraises présentant des conidies résistantes étant de 72%. Une diminution progressive du taux de résistance est observée après l'arrêt des traitements, mais est suivie d'une forte augmentation 5 à 6 semaines apres la reprise des traitements l'année suivante. L'efficacité des traitements à la vinchlozoline (500 g ha?1) est passée de 94%, pour les essais de 1973 à 1978, à 48% pour ceux établis de 1979 à 1984. Durant cette derniére période, le mélange vinchlozoline (500 g ha?1)+ thirame (1600 g ha?1) a présenté une efficacité de 78% et le tolylfluanide a donné une efficacité de 67%. Sur fraisiers de saison, traités 1 à 6 fois au moment de la floraison, une résistance aux I. C. a été observée en 1980 dans sept des 10 champs analysés, avec un taux moyen de 22%. La résistance ne s'y développe que tardivement et principalement dans les cultures de 2 ans, traitées déjà l'année précédente avec des I. C. Dans les essais, l'efficacité de la vinchlozoline s'est maintenue á 92% entre 1973 et 1984.  相似文献   

10.
D. CADAHIA 《EPPO Bulletin》1986,16(2):265-283
Ce travail résume la situation phytosanitaire du genre Eucalyptus en se référant aux insectes ravageurs qui mettent en danger les plantations artificielles dans le monde et plus particulièrement dans le bassin Méditerranéen. Parmi les 54 espèces citées, 10 ont dépassé les frontières de leur aire d'origine et, parmi ces derniers, 6 se trouvent sur d'autres continents et 3 dans la région méditerranéenne. Il est fait état aussi des mesures phytosanitaires touchant à la quarantaine, mises en place pour l'Eucalyptusà l'initiative de l'OEPP. Les ravages causés par les insectes polyphages dans la région méditerranéenne sont récapitulés. Les 3 insectes mentionnés sont spécifiquement inféodés au genre Eucalyptus et causent des dégats en région méditerranéenne. La présente étude s'y attache en précisant leur extension et les moyens de lutte susceptibles d'etre mis en oeuvre. En ce qui concerne Ctenarytaina eucalypti quia atteint nos régions durant les années soixante, on assiste à son extension, mais l'action des syrphides prédateurs parvient à en contenir les populations. Quant àGonipterus scutellatus apparu en région méditerranéenne vers 1975, il n'a pas connu l'extension à laquelle on pouvait s'attendre en tenant compte de son potentiel de dispersion élevé. L'espèce demeure peu préoccupante, mais doit faire l'objet d'attention surtout sur les eucalyptus ornementaux où les dégats peuvent etre sensibles. Elle se rencontre sur la Riviera italienne et dans le Midi de la France où ses populations sont controlées par le parasite oophage Patasson nitens. Au cours des dernières années, le ravageur le plus redoutable est certainement Phoracantha semipunctata qui s'est répandu dans la partie occidentale du bassin Méditerranéen. En ce moment, seules la France, la Yougoslavie et la Grèce sont demeurées indemnes. Cette diffusion rapide est à mettre en rapport avec l'état d'extreme déficience des arbres, essentiellement du à la sécheresse et à la pauvreté des sols. La stratégie de lutte menée en Italie s'est révéléc efficace; elle consiste à intervenir dès le début de l'attaque des peuplements en pratiquant des coupes et en utilisant rapidement le bois affecté. De cette facon, l'importance des populations s'est vue considérablement réduite. D'une facon générale, les racines ont donné des repousses vigoureuses sauf dans les cas où les coupes ont été faites tardivement. L'expérience espagnole de lutte par des arbres-pièges sur de vastes étendues est également très intéressante. Par ce moyen il a été possible d'observer une réduction moyenne des populations de 75% avec une rentabilité de 246–611%.  相似文献   

11.
Les résultats obtenus montrent que l'activité biocide du bromure de méthyle est correctement mesurée par le produit C1T (concentration du bromure de méthyle dissous en mmole 1?1 x temps d'exposition en heures des organismes au toxique), mesure qui convient spécialement aux traitements du sol, le gaz y étant présent en solution aqueuse. Les valeurs de C1T qui produisent un effet léthal varient selon les particularitiés morphologiques des organismes et la température pour des raisons de réactions biochimiques et de cinétiques d'échanges physico-chimiques. Il existe de plus un seuil de concentration minimale en deçà duquel l'effet pesticide n'est plus perceptible. Dans nos conditions standardisées de mesure, il apparaît que l'effet nématicide et herbicide se manifeste pour des C1T semblables, alors que les champignons et surtout les bactéries sont plus résistants. Ainsi, les perturbations observées sur la flore bactérienne du cycle de l'azote à la suite d'un traitement ne sont généralement que temporaires. Il est prudent toutefois d'éviter les traitements à fortes doses.  相似文献   

12.
Des travaux antérieurs ayant permis de démontrer que des souches non pathogènes de Fusarium sont impliquèes dans les mécanismes de résistance des sols aux fusarioses, nous avons tenté d'utiliser des souches de Fusarium sélectionnées pour lutter contre ces maladies. Les bons résultats obtenus en conditions expérimentales nous ont conduits à mettre en place un réseau d'expérimentation en conditions normales de culture dans des serres de production de tomates et de melons. Le premier problème à résoudre est celui de la production massive d'inoculum, de sa conservation et de son introduction dans les sols et substrats de cultures. La production de l'inoculum est réalisée en fermenteur, les propagules produites soni récupérées par filtration et mélangées avec du talc, support inerte qui après avoir été séché assure la conservation et la distribution de cet inoculum dans des conditions satisfaisantes. Les quantités d'inoculum produites en 1985–86 ont permis de réaliser plusieurs essais de lutte dans des conditions normales de production. L'inoculum protecteur est apporté, soit dans les substrats de culture hors sol au moment de leur ensachage, soit dans les sols en place, immédiatement après leur désinfection au bromure de méthyle. L'installation de la souche protectrice est suivie régulièrement grace à des analyses microbiologiques et la gravité de la maladie est notée régulièrement en cours de culture. Les résultats enregistrés en 1986, variables d'une situation à l'autre, ne permettent pas de porter un jugement définif sur l'intéret de ce procédé de lutte. Ils sont cependant intéressants et permettent d'organiser sur des bases plus solides notre campagne d'expérimentation 1986–87.  相似文献   

13.
W. Mueller 《EPPO Bulletin》1974,4(3):347-355
Les méthodes biomété orologiques qui intéressent les biologistes appelé s à développer des systèmes de lutte intégrée se distinguent nettement de la climatologie traditionnelle de l'abri. D'une façon générale, les différences peuvent se résumer comme suit: –les investigations se font essentiellement à l' échelle microclimatique; –les instruments sont très élaborés et particulièrement adaptés au but recherché; –l'établissement du réseau d'observations et les périodes d'études dependent des exigences biologiques; –la durée des périodes d'observation est limitée et la densité du réseau climatologique relativement faible grâce au recours à l'échantillonnage représentatif. L'interprétation des résultats biométéorologiques est en général difficile puisqu'il y a souvent superposition de deux ou d'un nombre plus élevé de facteurs. II est done prudent d'inclure également, dans l'appréciation générale, les données de laboratoire et de s'efforcer de remplacer les données plus ou moins empiriques par des fonctions précises. Cette approche est proposée sous la forme d'une étude quantitative du bilan énergétique et hydrique des ravageurs. On peut ainsi obtenir des résultats de portée étendue, reposant sur des données physiques, d'une part, et des renseignements quantitatifs, d'autre part. Un certain nombre de facteurs simples ou composés tels que le vent et la faculté de refroidissement sont à considérer dans les études biométéorologiques puisqu'ils contribuent à caractériser, et partant, à prévoir le comportement des espèces (par exemple l'activité de vol du carpocapse des pommes). En définissant des « types de temps » favorables à l'activité d'un ravageur, il serait possible de prévoir le comportement de l'espèce en question. Enfin, l' étude conjointe des vues prises par satellites à l'aide de films à infrarouge, thermiquement sensibles, et des observations biométéorologiques faites au sol apportera sur le plan macro- et méso-climatique des éléments eminemment utiles au développement de la lutte intégrée.  相似文献   

14.
L'impact des facteurs climatiques et de leurs aléas sur les cultures est évident, et de ce fait l'agrométéorologie est un élément important dans la prévision des risques phytosanitaires. Les connaissances agrométéorologiques influent non seulement sur l'orientation de l'agriculture, notamment en comparant le climat et les exigences écoclirnatiques des cultures et de leurs parasites, mais sont importantes aussi dans le domaine phytosanitaire et lorsque doit être prise la décision d'une intervention. Les facteurs climatiques ont une incidence sur tous les niveaux de la production agricole, et partant, sur la santé des plantes. Dans cette optique, l'amélioration des systèmes pour recueillir les données, comprenant notamment la mise en place d'un réseau plus dense, pourrait être plus bénéfique à la prévision des risques phytosanitaires et à leur modélisation.  相似文献   

15.
L'établissement d'un modèle de développement pour la tordeuse de la pelure, Adoxophyes orana, basé sur les sommes de températures, est primordial pour l'avertissement Il permet à l'arboriculteur d'effectuer un minimum d'échantillonnages des populations aux moments les plus opportuns, afin de prendre les décisions qui s'imposent pour l'application de la lutte dirigée. Les essais effectués en laboratoire et à l'extérieur ont montré que le seuil de développement des ?ufs est de 10°C, celui des larves de la génération d'été se situe entre 7 et 8°C, alors que celui des larves de la génération hivernante est de 10°C. Le seuil de développement pour la phase nymphale est légèrement supérieur à 10°C. En admettant une vitesse de développement proportionnelle à la température, les durées des phases embryonnaires et nymphales sont de 90 degrés-jours (dj) au-dessus du seuil de 10°C. Le développement larvaire de la génération d'été est en moyenne de 430 dj au-dessus du seuil de 7°C. Les implications de ce modèle pour l'avertissement établi par les services officiels ainsi que pour la stratégie de lutte contre la tordeuse de la pelure sont commentées dans ce travail.  相似文献   

16.
B. DIGAT 《EPPO Bulletin》1988,18(1):29-35
De nombreux travaux montrent que certaines souches de rhizobactéries appartenant au groupe Pseudomonas fluorescens-putida ont un effet positif sur la croissance des plantes et sur leur protection vis-à-vis des agents pathogènies du sol. Si tous les modes ?action de ces bactéries telluriques sont encore loin ?être compris, on observe cependant une corrélation constante entre ?intensité de la production de pigments fluorescents (sidérophores), la capacitéà produire un antagonisme in vitro et la stimulation de la croissance des plantes. Le principe de la bactérisation est ?introduire une population bénéfique dans un milieu et de ?y maintenir ou de lui faire atteindre un niveau suffisant afin ?obtenir finalement les effets voulus. Il a done été nécessaire de suivre la dynamique des populations introduites dans plusieurs types de milieux de plus en plus complexes: cultures in vitro, substrats artificiels et substrats naturels. Ceci a permis ?obtenir de précieux renseignements sur ?évolution des populations en conditions contrôlées de température et ?HR. Les résultats obtenus montrent que: (1) la bactérisation est ?autant plus efficace qélle est réalisée précocement dans un milieu biologiquement simple. Aussi ?enrobage microbiologique des sentences et des boutures ainsi que le bactérisation de plantules in vitro peuvent donner de bons résultats. Corrélative-ment, le maintien des populations dans un biotope est ?autant plus difficile à réussir que celui-ci est biologiquement complexe; (2) le biotope doit offrir à la population introduite la possibilité de se maintenir, ?y trouver des éléments assimilables et de éy multiplier activement. Ceci est malheureusement pas le cas pour certains substrats artificiels et naturels dans lesquels le maintien de la population est encore problématique et nécessite des ‘rappels’ de bactérisation; (3) les caractères intrinséques de la souche sélectionnée en vue de la bactérisation sont déterminants; (4) il est nécessaire de maintenir une quantité minimale de cellules bactériennes au niveau du systéme racinaire pour obtenir un effet sur ?amélioration de la croissance de la plante. Le seuil minimal de biostimulation se situe fréquemment aux environs de 104 bacteries par cm de racine (betterave sucrière, laitue, pelargonium, chrysanthème). Mais le seuil de biosaturation varie davantage selon ?espèce végétale considérée et le stade physiologique.  相似文献   

17.
L'étude du pouvoir antagoniste des spores et du mycélium de 11 souches de Trichoderma appartenant à neuf ‘species aggregates’ (classification de Rifai) a été réalisée sur les spores et le mycélium d'une souche de Botrytis cinerea résistante au bénomyl. Six gouttes contenant chacune une suspension de spores de Trichoderma (1, 10 ou 100 spores par μ1) et de B. cinerea (1 ou 10 spores par μl) sont déposées à la face inférieure d'une feuille de vigne du cv. Muscadelle placée en chambre humide à la température de 22°C. Dix jours après l'inoculation, les nécroses formées pour chacune des huit répétitions par traitement sont notées. La confrontation mycélienne d'une culture de B. cinerea et de chaque souche de Trichoderma pendant des temps variables à la température de 22°C a permis d'observer la vitesse de recouvrement du mycélium de B. cinerea et de vérifier sa viabilité après transfert sur un milieu contenant du bénomyl. Nous avons pu montrer qu'à l'égard de B. cinerea, le pouvoir antagoniste des spores de 11 souches de Trichoderma est semblable à celui de leur mycélium. Deux groupes de souches ont pu etre différenciés: sept souches très antagonistes appartenant aux espèces T. hamatum, T. harzianum, T. koningii, T. longibrachiatum et T. viride; quatre souches non antagonistes appartenant aux espèces T. aureoviride, T. polysporum, T. pseudokoningii et T. reesei.  相似文献   

18.
Les auteurs exposent une partie d'une série d'études préliminaires de plein champ effectuées en 1981 en Alsace, sur Lobesia botrana. Ces observations sur la biologie de l'insecte sont destinées à adapter ultérieurement au vignoble alsacien le modèle de prévision, mis au point dès 1979 par Touzeau pour la région Midi-Pyrénées. Le modèle se réfère à l'apparition des différents stades et des différentes générations de ce ravageur. Chacune des observations effectuées est déterminée par les sous-modèles qui prennent en compte l'évolution de l'espèce au cours d'une saison en fonction de données climatologiques bien définies (sommes de températures plus particulièrement). Seuls sont abordés dans cet exposé les résultats et les observations portant sur la génération printanière.  相似文献   

19.
A la suite des problèmes importants qui se sont posés, il y a une trentaine d'années, pour la qualité sanitaire des plants de fraisiers, certains pays décidèrent de codifier les conditions de production et de mettre en place une certification pour apporter aux utilisateurs des garanties quant à la pureté variétale et au bon état physiologique et sanitaire du plant. La certification des plants de fraisier existe dans un certain nombre de pays européens, tels que la Belgique, la France, la Grande-Bretagne, les Pays-Bas et la Suisse. Dans les pays où il n'existe pas de certification officielle, les pèpiniéristes, conscients de la nécessité de mettre sur le marché des plants de bonne qualité, assurent eux-memes une sélection sanitaire. Les schémas de production mis en place dans les différents pays ont donné satisfaction et la qualité sanitaire des plants vis-à-vis des principales maladies à virus ne pose plus, actuellement, de problème, ce qui ne semble pas encore etre le cas pour d'autres parasites tels que Phytophthora cactorum ou P. fragariae. L'article fait le point sur les règlements techniques de production de plants de fraisiers, l'importance et les objectifs de la certification, le role des organismes assurant son application ainsi que les conditions de multiplication utilisées.  相似文献   

20.
M. RID 《EPPO Bulletin》1981,11(3):213-224
L'explosion récente du feu bactérien dans les vergers de pomoidées du sud-ouest de la France crée pour ce pays et les contrées productrices de la zone méditerranéenne une situation très vulnerable. Le rôle des facteurs qui ont favorise cette extension est discuté: conditions climatiques (température élevée et fréquence des précipitations), structure variétale des vergers (dominance de cultivars sensibles et très sensibles), étalement des secondes floraisons jusqu'à l'automne, activité intense des insectes et des oiseaux. La nécessité d'une intensification des recherches adaptées aux systèmes de production de l'Europe méridionale est justifyée. Les recherches sont à l'heure actuelle orientées vers une méilleure connaissance des sources d'inoculum et de l'épidémiologie d'Erwinia amylovora dans les conditions du verger français, l'établissement de schémas de prevision des risques de développement de la maladie utilisables par l'ensemble des pays concernés et, avec leur concours, l'étude de la variabilityé de la bactérie qui conditionne l'orientation des programmes de sélection pour la résistance du poirier et du pommier. Les programmes mis en place sont complémentaires de ceux des Etats-Unis et de l'Europe du Nord, en demeurant tournés vers l'économie de la zone méditerranéenne.  相似文献   

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