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1.
La matière organique des sols et des substrats de culture donne lieu à des interactions physico-chimiques avec le bromure de méthyle, qui déterminent les propriétés et le devenir du pesticide. La matière organique réduit par adsorption la concentration en pesticide biodisponible dans l'eau ou l'air du sol. L'amplitude et la faible réversibilité du phénomène affectent la bioactivité et le transfert par diffusion en phase gazeuse. Les molécules irréversiblement adsorbées ne présentent plus d'activité pesticide; elles pourraient être à l'origine d'une persistance du pesticide sous forme de résidus liés. La matière organique est également le principal facteur de la dégradation du bromure dc méthyle dans le sol. Sa réactivité varie toutefois en fonction de sa composition et de son degré d'évolution. La vitesse du phénomène est telle que la dégradation doit représenter un élément important dans le bilan du pesticide. Une optimisation des modalités de traitement, visant à diminuer les doses appliquées et le niveau de résidus bromés formés, doit done tenir compte de ces interactions.  相似文献   

2.
Les maladies dues à des micro-organismes vivant dans le sol ne peuvent être caractérisées sans prendre en compte l'ensemble des composants du sol (physiques, chimiques et microbiologiques) où elles se manifestent. C'est pourquoi le concept de potentiel'infectieux du sol proposé se définit comme la quantité d'énergie pathogène stockée et disponible dans le sol. L'expression au champ du potentiel infectieux dépend des facteurs climatiques. Le potentiel infectieux du sol est mesuréà l'aide d'un test biologique appliqué en conditions standards. La relation obtenue entre la quantité de sol et le taux de mortalité sur la population de plantes est modélisée sur la base d'une compétition entre l'agent pathogène et la microflore totale du sol à partir d'un modèle de Lotka-Volterra. Le test biologique et le modèle permettent de caractériser les sols, de déterminer la réceptivité d'un sol à un parasite, de prévoir certains risques de maladie, d'estimer le poids des facteurs climatiques sur la maladie et de prendre en compte les effets directs et indirects des pesticides.  相似文献   

3.
M. HABERT 《EPPO Bulletin》1988,18(3):423-427
Depuis l'automne 1983, le groupe de travail français pluriorganismes (ACTA-INRA-SPV) consacréà l'étude d'Arvicola terrestris scherman a créé et mis en place un réseau d'observations par piégeage exhaustif sur une centaine de communes dans plusieurs régions (Auvergne, Limousin, Franche-Comté, Alsace, Lorraine, Rhône-Alpes). Les piégeurs reçoivent une formation succinte ainsi que des instructions leur permettant de réaliser trois piégeages dans l'année (printemps-été-automne) à l'aide de pièges pinces sur une bande de 100 ± 5 m (méthode Pascal-Meylan). Les fiches de piégeages et le matériel biologique sont collectés et contrôlés par le Service de la Protection des Végétaux. Les autopsies de la totalité des animaux capturés sont assurées par l'INRA ou le SPV. Les résultats sont centralisés au Laboratoire de la Faune Sauvage de l'INRA à Jouy-en-Josas, sous la forme de deux fichiers informatiques. L'analyse globale des premiers résultats des réseaux d'alerte a mis en évidence toute la complexité du phénomène de pullulation chez le campagnol terrestre. Contrairement à l'idée généralement répandue, le phénomène ne présente pas la synchronisation parfaite qu'on lui prête et ceci à diverses échelles: France, région, département, commune. En octobre 1985, en Franche-Comté, nous avons pu délimiter avec précision une zone de 15 communes qui présentait tous les signes précurseurs d'une poussée démographique avec des populations variant de 200 à 370 campagnols à l'hectare. En 1986, plus d'une centaine de communes étaient touchées, regroupées en une zone relativement homogène centrée sur la zone pionnière, avec des densités variant de 200 à 500 campagnols à l'hectare. L'analyse de l'évolution locale des cinétiques de population va nous permettre à terme de diagnostiquer les diverses phases du cycle (croissance, déclin) et en conséquence le déclenchement des alertes agricoles.  相似文献   

4.
Dans le cadre d'un groupe de travail «Modélisation du Botrytis» l'Institut Technique de la Vigne et du Vin en France a entrepris l'étude des réactions de ce parasite à des conditions d'humectation contrôlées. L'essai est réalisé sur une vigne adulte, sous abri plastique; il couvre 1600 m2 et permet, grâce à un dispositif de brumisan'on, l'étude comparative de 12 régimes d'humectation distincts. Après quatre années successives d'expérimentation, basée sur des protocoles évolutifs, les résultats mènent à des observations intéressantes, mais qu'il est toutefois prudent de ne pas étendre inconsidérément à l'ensemble des cépages ou vignobles. L'effet des humectations successives n'est pas obligatoirement additif, une longue période de sécheresse entre la floraison et la véraison aggravant considérablement les attaques à ce dernier stade. Une même durée d'humectation à la véraison ou 12 jours avant la récolte provoque des dégâts identiques. Les contaminations peuvent s'effectuer simplement en présence d'une humidité relative élevée, sans présence d'eau sous forme liquide; cette HR élevée est capable de créer et surtout d'aggraver fortement les foyers de B. cinerea. Les contaminations artificielles ont eu un effet significatif lors de la floraison. A la véraison l'effet est masqué par l'inoculum naturel. L'étude de la réaction de Botrytis cinereaà différentes durées d'HR élevée reste délicate, un seuil exact restant difficile à estimer vu le niveau de précision des appareils utilisés. En outre, le modèle mis au point par Strizyk a fait preuve d'une précision accrue au fil des expérimentations successives; il semble donc bien adapté au cépage méridional utilisé. La stratégie de traitement a permis de réduire de moitié le nombre d'applications de fongicides dans l'essai, l'expérimentation prouvant toutefois qu'une réduction supplémentaire était possible. Il apparaît donc que cette stratégie, basée sur le modèle Botrytis, est prometteuse mais nécessite encore quelques adaptations afin de la rendre encore plus performante. L'étude des réactions de B. cinereaà certains facteurs climatiques permet done, outre l'amélioration de la lutte contre ce parasite, une meilleure connaissance de ses facteurs d'évolution. Il est possible qu'à l'avenir le facteur humidité relative, alliéà l'hiumectation, procure une fiabilité optimale du modèle, et probablement de la stratégie de lutte en découlant.  相似文献   

5.
P. DEBAEKE 《Weed Research》1988,28(4):265-279
La connaissance du devenir de la flore adventice levée en situation non désherbée est utile au raisonnement de la lutte chimique et culturale, á l'échelle de l'année et de la succession de cultures. Or, les associations dicotylédones annuelles—céréales ont été peu étudiées dans cette optique. C'est pourquoi nous avons abordé l'étude de la survie des plantules adventices et de leur production finale (croissance, nombre de semences) en situation de concurrence variable avec divers peuplements de céréales (principalement blé d'hiver, cv. Fidel). Cinquante-huit parcelles du champ d'essai de Grignon, dans le Bassin Parisien, ont été suivies, au cours de deux années culturales; les résultats concernent des communautés adventices naturelles, peu denses et composées en majorité de dicotylédones annuelles. Le stade foliaire des plantes adventices á l'époque du gel s'est révélé un bon prédicteur du taux de disparition hivernale. Le nombre d'épis de la céréule par m2 a permis de rendre compte de maniére satisfaisante du devenir de la flore au printemps. Cependant, la date de levée des plantes conditionne également leur survie et leur production semencière. Une relation satisfaisante a pu être mise en évidence entre nombre de semences et matière sèche (par plante et par m2) à la récolte de la céréale. La conduite de la céréale (date et densité de semis, fumure azotée), en interaction avec le climat, se révèle comine on facteur d'évolution de la flore adventice. Le travail entrepris ici devrait déboucher sur une modélisation de cette dynamique au champ.  相似文献   

6.
K. NAHAS 《EPPO Bulletin》1988,18(2):317-322
L'efficacité comparée de la bromadiolone et du coumafène contre Rattus norvegicus (souche sensible au coumafène) a étéétudiée en laboratoire avec différentes concentrations en principes actifs et pour différentes durées d'exposition aux appâts. La bromadiolone s'est révélée beaucoup plus active (100% de mortalité en 1 j à 50 ppm) que le coumafène (50% de mortalité en 3 j à 250 ppm). Pour expliquer cette différence d'efficacité, les cinétiques plasmatiques et hépatiques des deux rodenticides ont été comparées chez la même espèce. A une dose équimolaire de 5,69 μmole kg-1 (correspondant respectivement pour le coumafène et pour la bromadiolone à une seule ingestion d'appâts de 20 et 50 ppm), la bromadiolone a eu une demi-vie plasmatique de l'ordre de 57,5 h contre 8 pour le coumafène. Le volume de distribution de la bromadiolone était 188 fois plus élevé que celui du coumafène. Le rapport de la concentration hépatique sur la concentration plasmatique a varié en fonction du temps de 14 à 46 pour la bromadiolone et de 0,1 à 0,49 pour le coumafène. Les données cinétiques obtenues montrent que la bromadiolone possède un tropisme et un captage hépatiques importants, qui assurent un blocage prolongé du cycle de la vitamine K et donc une efficacité accrue.  相似文献   

7.
R. TRAMIER 《EPPO Bulletin》1986,16(2):299-310
L'importance des agents pathogènes d'origine tellurique croit avec la pratique de plus en plus fréquente de la monoculture, principalement dans les régions méditerranéennes où, pour profiter des conditions climatiques exceptionnelles, la culture sous abri se développe considérablement. L'accumulation des parasites rend indispensable les traitements de sol et l'expérience acquise en ce domaine s'étend progressivement aux cultures de plein air. L'article passe rapidement en revue les principales maladies provoquées, en région méditerranéenne, par les champignons et bactéries du sol, ainsi que par certains virus transmis par les champignons du sol. La désinfection du sol par la vapeur, et surtout par l'utilisation de fongicides fumigants (bromure de méthyle et produits è base de métam-sodium principalement), constitue le mode de traitement le plus répandu. Doués d'un large spectre d'efficacité, ces fongicides éliminent ou réduisent la plupart des champignons, souvent sans modifier profondément l'équilibre biologique des sols traités. Grace à l'évolution du matériel d'épandage des fumigants, on entrevoit leur application sur de grandes surfaces. A ces interventions chimiques s'ajoutent également les méthodes de lutte biologique qui découlent des connaissances acquises par l'étude des sols suppressifs. Déjà pour la tomate et l'oeillet, ces applications deviennent imminentes pour lutter contre la fusariose vasculaire. Quel sera l'avenir de la solarisation susceptible de concurrencer les fumigants? Les facteurs économiques prédomineront dans le choix de la méthode. Pour les cultures sous abri, privilégiées dans les pays méditerranéens, l'adoption de cultures hors-sol en substrats constitue l'une des méthodes de lutte les plus efficaces contre les parasites d'origine tellurique et apporte en meme temps une plus-value considérable par rapport aux cultures traditionnelles.  相似文献   

8.
Par repiquages successifs d'isolats de Phytophthora citrophthora sur du milieu V8-CaCO3 clarifié gélosé, contenant 100 μg ml?1 de métalaxyl, des souches plus résistantes que la souche mère ont été obtenues. Cette adaptation s'accompagne d'une diminution de la croissance sur milieu sans fongicide et du pouvoir pathogéne. La fréquence de zoospores capables de former spontanément une colonie sur 100 μg ml?1 de métalaxyl est de l'ordre de 10?4. Un traitement des zoospores à la N-méthyl-N′-nitro-N-nitrosoguanidine (30 μg ml?1 pendant 10 min) augmente cette fréquence par un facteur de 10–16 fois. Les souches résistantes ainsi obtenues ont la même croissance sur milieu sans fongicides et sont aussi pathogènes sur feuilles d'agrumes que les souches mères, alors que les souches sélectionnées sans traitement mutagène présentent les mêmes caractéristiques que celles obtenues par adaptation.  相似文献   

9.
Quatre critères essentiels doivent être retenus pour sélectionner un champignon prédateur comme agent de lutte biologique contre les nématodes: sa spécificité, ses exigences écologiques, son pouvoir compétiteur et son innocuité pour ?homme et ?environnement. En les respectant, on a sélectionné le champignon Arthrobotrys irregularis, actif contre les Meloidogyne, qui est produit industriellement sous forme ?une culture mycélienne vivante sur un milieu à base de céréales cuites (nom commercial: S-350). Il s'utilise à la dose de 140 g m-2 par épandage à la surface du sol suivi ?un léger enfouissement. ?application doit être faite un mois au moins avant la plantation pour que le mycélium ait le temps de bien coloniser le sol. Le champignon permet de contrôler des attaques moyennes ou légères de Meloidogyne. En cas ?attaque très forte, il ne permet la destruction des parasites qu'après 2 ou 3 ans et, dans la pratique, il est préférable de procéder ?abord à un traitement chimique qui détruit 70% des nématodes puis ?apporter ensuite le champignon pour éliminer les individus rescapés et établir dans le sol un équilibre biologique durable.  相似文献   

10.
En dehors des mesures classiques de prophylaxie applicables à toute denrée stockée, la lutte chimique par fumigation à pression atmosphérique ou sous bâche constitue aux Etats-Unis une technique courante pour la désinsectisation des pruneaux stockés. L'expérimentation dont il est fait état ici se réfère à l'étude de l'efficacité du bromure de méthyle et du phosphure d'hydrogène sur les principales espèces d'insectes et d'acariens des pruneaux. Elle a été entreprise par le laboratoire de l'INRA, à Bordeaux, et concerne la fumigation expérimentale en chambre à pression atmosphérique, et des essais entrepris sous bâche, réalisés dans les conditions de la pratique. Les normes de traitement sont calculées par référence au produit de la concentration du fumigant en mg/1 et du temps d'exposition en heures (CT). Afin d'écarter les risques inhérents aux résidus, les concentrations de fumigants ont été réduites au minimum, tout en prolongeant dans la mesure du possible le temps d'exposition.
  • 1 ) Fumigations expérimentales Pour le bromure de méthyle, un CT de 144 mgh/l donne une efficacité totale sur les principales espèces suivantes: Carpophilus ligneus Murr., Plodia interpunctella Hbn., Nemapogon granella L. et l'acarien Carpoglyphus lactis L. Ce CT, qui représente le cinquième de la norme préconisée par la FAO (768 mgh/l) a été réalisé par une exposition au gaz de 18 h (8 mg/l × 18 h). En ce qui concerne le phosphure d'hydrogène, le CT de 36 mgh/l (FAO: 180 mgh/l) assure une efficacité totale contre les principales espèces d'insectes. Une exposition de 72 h à la concentration de 0,5 mg/l s'est révélée satisfaisante. Contre les acariens, l'efficacité totale requiert un CT de 324 mgh/l (4,5 mg/l pendant 72 h). Cette dose est le double de celle recommendée par la FAO.
  • 2 ) Essais pratiques Le bromure de méthyle émis sous bâche en plastique assure la mortalité de toutes les espèces d'insectes et d'acariens testés en 24 h, le CT étant de 384 mgh/l (16 mg/l × 24h).
  • 3 ) Résidus Les analyses révèlent que pour les CT avec une longue exposition, les résidus sont demeurés, tant pour le bromure de méthyle que pour le phosphure d'hydrogène, inférieurs aux limites admises (CH3 Br: 6 ppm; et PH3: 0,003 ppm).
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11.
E. BRUNEL  M. LAHMAR 《EPPO Bulletin》1983,13(2):201-207
Dans les conditions de l'ouest de la France, la mouche de la carotte, Psila rosae, et la mouche du chou, Delia brassicae, ont une biologie très voisine par le nombre de générations, la faculté des adultes à pondre peu après leur éclosion et leur capacitéà résister au froid hivernal qui se traduit par un arrêt de développement du type diapause. Les pupes de P. rosae, formées d'octobre à janvier, et de D. brassicae, formées d'octobre au début de novembre, peuvent servir d'éléments pour définir le début des éclosions printanières, à condition de les soumettre à un, deux ou trois chocs thermiques de 2–4 ou 6 jours à 15 ou 20°C. Ces chocs ont été appliqués à partir de la fin janvier, après rupture de la diapause, c'est-à-dire au moment où la pupe poursuit son évolution en relation avec les sommes de températures. Pour P. rosae, la longueur du choc thermique n'a pas eu d'incidence, mais le développement de l'insecte a été réduit en fonction du nombre de chocs. En çe qui concerne D. brassicae, la situation était plus complexe: à 15°C, un choc thermique n'avait pas d'effet, mais les chocs subséquents ont accéléré le développement; à 20°C, un ou plusieurs chocs de 2 ou 4 jours demeurèrent sans grande conséquence, alors qu'un choc de 6 jours a sensiblement accéléré l'évolution. La répétition des chocs est restée sans conséquence sur les résultats. Les sorties des adultes se sont trouvées avancées de 20 jours pour P. rosae et de 40 jours pour D. brassicae. Le modèle d'éclosion de ces deux espèces n'a pas été affecté.  相似文献   

12.
Dans une expérience de plein champ, où tous les facteurs déographiques et génétiques de concurrence étaient déterminés, des densités différentes d'une variété d'avoine de printemps (espèce considérée comme une graminée adventice) ont étéétablies dans une culture de blé de printemps. Sur la moitié des parcelles du dispositif expérimental, l'avoine a été détruite par une application de diclofopméthyl au stade 3 talles du blé. Les mauvaises herbes dicotylédones ont été désherbées soit à la même date que celle du traitement au diclofopméthyl (traitement précoce), soit deux semaines plus tard (traitement tardif). Les poids secs de la plants cultivée el des adventices ont été mesurés plusieurs fois au cours du cycle de la culture sur des échantillons. Toutes les densités de l'avoine de printemps ont réduit le rendement et certaines composantes du rendement du blé en fonction du traitement herbicide: les rendements du blé ont été moins diminués sur les parcelles traitées que sur les parcelles témoins, les mauvaises herbes dicotylédones ont été mieux détruites par le traitement précoce que par le traitement tardif au 2,4-D. D'après les résultats oblenus, l'existence d'interactions herbicides est susceptible de modifier les effets de compétition adventice.  相似文献   

13.
Y. Baye 《EPPO Bulletin》2007,37(1):153-155
L’effet du stress hydrique, du stade d’application et des adjuvants sur l’efficacité du glyphosate contre Solanum elaeagnifolium Cav. ont étéétudiés en 1995 et 1996. Il en est de même pour l’effet de la qualité de l’eau de bouillie pour l’aminotriazole en 1996 et 1997. Les résultats montrent que le sulfate d’ammonium améliore nettement l’efficacité du glyphosate utiliséà des doses de 2160 g s.a./ha. Les efficacités obtenues à 360 jours après traitement sont très significativement meilleures dans les parcelles irriguées légèrement (82%) que dans celles maintenues sous stress hydrique (45%). Le contrôle de la mauvaise herbe par le glyphosate s’est avéré bon aussi bien pour les traitements au stade floraison que pour ceux au stade fructification (baies vertes). Les semences issues de plantes traitées au stade floraison ne sont généralement pas viables, contrairement à celles issues de traitements au stade fructification, qui sont viables dans la majorité des cas. Pour ce qui est de l’aminotriazole, les résultats montrent que de bonnes efficacités ne sont obtenues qu’à partir des doses de 7200 g s.a./ha et que cet herbicide est efficace même lorsque l’eau de bouillie est dure, contenant des ions antagonistes tels que Na+, Fe++, etc.  相似文献   

14.
Des populations de doryphores sont réguliérement observées depuis 25 ans, au cours de deux visites annuelles. Ces visites ont lieu selon un parcours déterminé, le long du littoral occidental du Département de la Manche. Les dénombrements d'adultes, de pontes et de larves sont effectués par échantillonnage dans une centaine de cultures. Des données quantitatives et suivies ont été recueillies sur la progression de la contamination par les doryphores, soit par déplacement au sol, soit par vol, dans les nouvelles cultures de printemps. La densité des populations imaginales et larvaires et ses variations d'année en année sont connues pour une vingtaine de localités du littoral. Le taux moyen de multiplication des imagos parfaits printaniers (Ipp) reste élevé en dépit de la lutte obligatoire contre le doryphore. Les causes des importantes fluctuations numériques observées tiennent assurément aux caractéristiques biologiques de l'insecte et aux façons culturales propres à la région. La connaissance des caractéristiques du potentiel biotique du doryphore est essentielle à une meilleure compréhension de la dynamique des populations dans le Cotentin et concerne directement le problème de la protection des lies Anglo-Normandes. Ce sont en particulier les capacityés de dispersion et de résistance au jeǔne des Ipp qui ont été analysées au laboratoire alors que le test de l' envol est utilisé comme critère pour expérimenter la capacityé de dispersion du ravageur. L'aptitude à l'envol des doryphores printaniers, qui est nulle immédiatement après l'émergence du sol, croǐt pendant les 10 premiers jours à 25oC. L'éclairage continu épuise rapidement les individus et le jeǔne prolongé ainsi que l'absence d'eau en augmentent la mortalité, mais la capacityé d'envol des survivants reste néanmoins élevée.  相似文献   

15.
A. PERRIER 《EPPO Bulletin》1979,9(3):187-203
On utilisera pour souligner aussi bien le rôle des facteurs climatiques dominant que celui des caractéristiques biologiques de la plante, structure ou régulation stomatique, un modèle analytique du couvert, basé sur les équations de transfert. Ce modele permet d'illustrer, de préciser et de quantifier la variation des principaux paramètres que sont la vitesse du vent, la température et l'humidité tant au sein du couvert qu'au–dessus. Le röle particulier de la pluie et des irrigations sur le microclimat sera mis en évidence, ainsi que le röle de la densité de population et de la hauteur du couvert considéré. Enfin, on soulignera, compte tenu de la répartition verticale du feuillage, comment ces variations microclimatiques peuvent être trés diversifiés selon la hauteur considérée au sein du couvert.  相似文献   

16.
C. SAMIE 《EPPO Bulletin》1983,13(2):15-20
Le chercheur, qui étudie l'action du climat sur la croissance et le développement d'une espèce animale ou végétale est entraîné vers une analyse de plus en plus fine des phénomènes bioclimatiques: il travaille donc à une échelle de temps et d'espace adaptée à l'organisme considéré. L'utilisation opérationnelle, en météorologie agricole, va imposer une transposition des résultats et la référence à un climat qui n'est généralement exprimé que grâce à des mesures normalisées, faites au moyen d'appareils déterminés, installés dans des conditions uniformes. Sans aller jusqu'à l'établissement de véritables fonctions de transfert liant le microclimat au mésoclimat, nous avons pu, grâce à la mise en ?uvre de matériel de campagne, pendant des périodes assez courtes, mettre en évidence quelques relations entre les microclimats locaux et le mésoclimat défini par l'abri météorologique: influence de la végétation environnante (haie, clairière, lisière) et de la topographie en fonction des types de temps; ceci dans le cadre d'une étude de la représentativité des mesures de température sous abri dans le massif du Ventoux (Provence, France).  相似文献   

17.
L. BOURNAS 《EPPO Bulletin》1983,13(3):499-504
Les progrès récents dans la conception des pulvérisateurs ont porté sur la précision des applications, en particulier pour les herbicides, l'augmentation du rendement horaire, la facilité de mise en ceuvre et les traitements en localisation. En ce qui concerae la precision des applications, on constate le développement et le perfectionnement, notamment à l'aide del'électronique, des systèmes de régulation à débit proportionnel à l'avancement. La suspension des grandes rampes, allant jusqu'à 24 m pour des pulvérisateurs portés en cultures basses, est constamment perfectionnée pour assurer une meilleure stabilité. Par ailleurs, la tendance à réduire les volumes par hectare entraîne une nouvelle étude des circuits de bouillie, notamment de la filtration. II est recouru aux buses à fente de petit calibre, pouvant travailler à basse pression (parfois moins de 2 bar), et la stabilité du rideau de pulvérisation sous rampe à bas volume par hectare est examinée de même que les organes de pulvérisation centrifuge permettant de descendre à moins de 50 l/ha. Les pulvérisateurs arboricoles et viticoles sont dotés de ventilateurs plus puissants et des souffleries sont étudiées pour un meilleur rendement à moindre bruit. Parmi les autres progrès on remarque le développement des systèmes de localisation pour les traitements de la vigne. Quant à la distribution des microgranulés phytopharmaceutiques, elle a fait l'objet de nombreuses adaptations, en particulierd'épandeurs d'engrais pneumatiq'ues ou de semoirs. Ainsi, des gammes de pulvérisateurs portables ou manuels, à pression liquide ou centrifuges, plus pratiques et légers, ont été développées.  相似文献   

18.
19.
Plusieurs méthodes de prévision du développement du maïs ont été testées par l'Association Générale des Producteurs de Maïs en France depuis 1977. Elles sont toutes basées sur le cumul des températures moyennes journalières (base 6°C). Différents stades du mais déterminent la date du départ de ces cumuls. Les résultats obtenus montrent que le développement précoce est fonction des conditions de milieu et des caractéristiques génétiques de l'hybride considéré. Une connaissance minimale du génotype est nécessaire pour pouvoir réaliser une prévision correcte. Le rythme d'apparition des feuilles et leur nombre total sur la plante adulte semblent être des critères utilisables pour améliorer les techniques actuelles de prévision des dates de floraison.  相似文献   

20.
La semence contaminée représente un facteur de dissémination capital pour Ditylenchus dipsaci. La pratique de la fumigation au bromure de méthyle permet l'éradication des individus anabiotiques contenus dans les lots de semences. L'étude de plusieurs techniques au cours de diverses combinaisons de concentration (C) et de durée (T) montre que pour la fumigation de lots de luzerne l'éradication de D. dipsaci est atteinte, par exemple, à pression atmosphérique avec 80 g/m3 pendant 16 h (C x T théorique de 1280), ou après vide préalable avec 50 g/m3 pendant 20 h (C x T théorique de 1000). Si aucune altération de la faculté germinative n'est observée, même apres un delai de 2 ans après le traitement, on constate qu'un certain effet fongicide peut se révéler intéressant. Avec Vicia faba, les cssais préliminaires indiquent que pour cette espèce à grosse graine, le nématode est mieux protégé dans les cotylédons. La limite entre l'action nématicide et phytotoxique est restreinte; la technique du vide partiel pourrait présenter un intérêt. Pour l'ail, l'éradication de D. dipsaci est possible par la fumigation des têtes entières, mais un effet phytotoxique est à redouter au-delà d'un produit C x T théorique de 800. Cette phytotoxicité, grave si la dormance de l'ail est levée, peut s'expliquer par une adsorption marquée. Il est néccssaire de poursuivre l'expérimentation en évaluant les risques présentés par d'éventuels résidus bromés dans les caïeux et en réétudiant l'utilisation de la phosphine, malgré son efficacité insuffisante lors de premiers essais.  相似文献   

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