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1.
Zusammenfassung. Es wurde die DNS- und RNS-Biosynthese von Neurospora crassa Wildstamm 3a6A unter Einfluss unterschiedlicher Konzentrationen von 2,4-D, Amitrol, Atrazin, Chlorpropham und Chlorflurenol untersucht. Die Variation der Herbizide erfolgte von 10?3 bis 10?6 M. Der in beliifteten Kulturen gezüchtete Pilz ist gegenuber Chlorpropham am empfindlichsten. Bei 10?3 M ist die Toxizitätsgrenze überschritten und das Wachstum vollständig gehemmt. 2,4-D hat in einer Konzentration von 10?3 M den grössten Einfluss auf die Nucleinsäure-Biosynthese. Die DNS-Werte erhöhen sich gegenüber der Kontrolle aiif 140%. Unter Einfluss von Atrazin (10?3 M) scheint besonders die Protein-Synthese stimuliert zu werden. Die Zunahme beträgt hier fast 140%. Allgemein haben die untersuchten 5 Herbizide einen relativ geringen Einfluss auf die Nucleinsäure-Biosynthese. Ein grösserer Effect ist nur bei der höchsten Herbizid-Konzentration von 10?3 M ZU erkennen. Der Pilz ist gegenüber diesen Herbiziden wenig empfindlich. Effets des herbicides 2,4-D, aminotriazole, atrazine, chlorprophame et chlorflurénol sur la biosynthése de l'acide nucléique chez un ascomycéte; Neurospora crassa Résumé. La biosynthése de l'ADN et de l'ARN fut déterminée chez la race sauvage 3a6A de Neurospara crassa, cultivé sur des milieux contenant du 2, 4-D, de l'aminotriazole, de l'atrazine, du chlorprophame et du chlorflurenol à des concentrations de 10?3 a 10?6 M. En culture aéréc, JV. crassa fut plus sensible au chlorprophame et à 10?3 M. sa croissance fut complétement inhibée. L'effet le ptus marqué sur la biosynthésc de I'acide nucléique fut observé avec lc 2,4-D à 10?3 M. concentration qui porta la teneur en ADN à 140% de celle du téemoin. Avec l'atrazine à 10?3 M. la synthése des proteines en particulier sembla stimulée jusqu’à atteindre environ 140% du témoin. En général, les cinq herbicides etudids n'eurent qu'un effet relativement faibie sur la biosynthése de l'acide nucléique; seule la concentration la plus forte, 10?3 M. cut un effet appreciable. N. crassa ne se montra pas tres sensible à ces herbicides. Effects of the herbicides 2,4-D, aminotriazole, atrazine, chlorpropham and chlorflurenol on nucleic-acid biosynthesis in the ascomycete Neurospora crassa Summary. Biosynthesis of DNA and RNA was determined in Neurospora crassa wild race 3a6A grown in cultures containing 2,4-D, aminotriazole, atrazine, chlorpropham and chlorflurenol in concentrations of 10?3-10?6 M. In aerated culture, N. crassa was most sensitive to chlorpropham and at 10?3 M growth was completely inhibited. The greatest effect on nucleic-acid biosynthesis was given by 2,4-D at 10?3 M which increased the DNA value to 140% of the control. With atrazine at 10?3 M. protein synthesis in particular appeared to be stimulated, to almost 140% of the control. In general, the five herbicides studied had a relatively slight effect on nucleic-acid biosynthesis; only with the highest concentration of 10?3 M was the effect appreciable. N. crassa was not very susceptible to these herbicides.  相似文献   

2.
Light and nitrogen (N) interaction effects on rice (Oryza sativa L., cv. UPLRi-7) were studied in the growth chamber, and effects on its competition with Rottboellia cochinchinensis (Lour.) W.D. Clayton and Echinochloa colonum (L.) Link were studied in the field. In the field, N availability increased the canopy light absorption coefficient, and reduced the sunlit leaf area index of rice. In growth chambers, rice plants grown under conditions of low photosynthetically active radiation (PAR) had higher shoot N concentration than when grown at higher PAR. The photosynthetic rate was strongly correlated with leaf N content per unit leaf area. When no N was applied there was no difference in dry matter yield between plants grown at 150 and 400 μE m?2s?1. At various N levels, dry matter increased with increasing light intensity. A reduction in light intensity did not give a proportionate decrease in plant growth. The results suggest that an increase in shoot N concentration is an adaptive mechanism of shade plants. The limited plant response to N under shade and acclimation of rice to reduced irradiance could be significant factors in light and N interaction on rice-weed competition. Effets de la lumière, de l'azote et de leur interaction sur la dynamique de la compétition riz/mauvaises herbes Les effets de l'interaction de la lumière et de l'azote (N) sur le riz (Oryza sativa L.), cv UPLRi-7) ont étéétudiés en chambre climatique et les effets sur sa compétition avec Rottboeillia cochinchinensis (Lour) WD Clayton et Echinochloa colonum (L.) Link ont étéétudiés au champ. Au champ, la disponibilité en azote a augmenté le coefficient d'absorption de la lumière par la canopée et a réduit l'index de la surface foliaire ensoleillée du riz. En chambre climatique, les plants de riz cultivés à une faible radiation photosynthétiquement active (PAR) avaient une concentration en azote de leur tige plus élevée qu'à une forte PAR. Le taux photosynthétique a été fortement correlé avec la teneur en azote foliaire par unité de surface foliaire. Quand aucune azote a été appliquée, il n'y a pas de différence dans les rendements en matière sèche entre les plantes cultivées de 150 à 500 μE m?2 s?1; A des doses variées d'azote, la matière sèche a augmenté avec l'augmentation de l'intensité lumineuse. Une réduction de l'intensité lumineuse n'a pas entraîné une réduction proportionnelle de la croissance de la plante. Les résultats donnent à penser que l'augmentation de la concentration en azote des tiges est un mécanisme d'adaptation des plantes à l'ombre. La réponse des plantes à l'azote limitée sous l'ombre et l'acclimation du riz à une irradiation réduite pourraient être des facteurs significatifs dans l'interaction lumière-azote sur la compétition riz-adventices. Wirkungen und Wechselwirkungen von Licht und Stickstoffdüngung auf die Konkurrenz zwischen Reis und Unkraut Der Einfluß des Lichts und der Stickstoffdüngung (N) auf Reis (Oryza sativa L. ‘UPLRi-7’) wurde in der Pflanzenwuchskammer und die Wirkungen auf die Konkurrenz mit Rottboellia cochinchinensis (Lour.) W.D. Clayton und Echinochloa colonum (L.) Link im Freiland untersucht. Die Verfügbarkeit von N erhöhte im Feld den Licht-Absorptionskoeffizienten und reduzierte den Blattflächenindex beim Reis. Bei der Anzucht in Pflanzenwuchs-kammern hatten Reispflanzen bei niedriger Beleuchtungsstärke eine hohere N-Konzentration als bei stärkerer Beleuchtung. Die Photosyntheserate war deutlich mit dem N-Gehalt, bezogen auf die Blattfläche, korreliert. Ohne N-Düngung traten bei 150 und 400 μE m?2 s?1 keine Trockenmassenunterschiede auf. Bei verscbiedenen N-Düngungsstufen nahm die Bildung von Trockenmasse mit der Lichtintensität zu. Eine Verminderung der Lichtintensität führte nicht zu einer proportionalen Abnahme des Pflanzenwuchses. Aus den Ergebnissen wurde geschlossen, daß die Zunahme der N-Konzentration im Sproß ein adaptiver Mechanismus von Schattenpflanzen ist. Die begrenzte Reaktion der Pflanzen auf Stickstoff im Schatten und die Akklimation von Reis auf vermindertes Licht könnten signifikante Faktoren für die Wechselwirkungen von Licht und Stickstoffdüngung auf die Konkurrenz zwischen Reis und Unkraut sein.  相似文献   

3.
Rhizome segments from Alternanthera philoxeroides were shaken in solutions of 14C-glyphosate for 24 h to establish a range of internal tissue concentrations. Rhizomes were killed at concentrations of 16 μg g?1 dry weight and above and survived at concentrations of 8 μg g?1 dry weight and below. Plants grown in the field for 10 weeks in declining photoperiod were used to investigate the uptake and translocation of 14C-glyphosate after application of a constant dosage in either 1.0-or 0.2-μl droplets corresponding to concentrations of 1.06 and 5.3 g 1?1, of glyphosate acid, respectively. Use of smaller droplets of higher concentration increased absorption of 14C, but did not improve translocation. Uptake by treated leaves was 25 and 41% of the applied glyphosate for the large and small droplets respectively, but translocation to underground parts of the plant was about 7% of applied 14C-activity. Radiolabel accumulated in new rhizomes was equivalent to about 0.5 μg g?1 dry weight of glyphosate, at least 30 times below the concentration required for tissue death. Absorption et transport de glyphosate C14 chez Alternanthera philoxeroides (Mart.) Griseb. I.Concentrations dans les rhizomes nécéssaires pour l'inhibition Des fragments de rhizome d'Alternanthera philoxeroides ont été trempés dans des solutions de glyphosate C14 pour aboutir à un éventail de concentrations internes des tissus, Les rhizomes ont été tués à des concentrations de 16 μg g?1 PS et plus, et ont survécu à des concentrations de 8 μg g?1 PS et en-dessous. Des plantes cultivées en plein champ pendant 10 jours en photopériode décroissante ont été utilisées pour étudier l'absorption et le transport du glyphosate C14 après l'application d'une dose constante dans des gouttelettes de 1 ou 0,2 μl correspondant à des concentrations de 1,06 et 5,3 g l?1 de glyphosate C14 acide respectivement, L'utilisation de gouttelettes plus petites de concentrations plus é1evées a augmenté l'absorption du C14, mais n'en a pas amélioré le transport. L'absorption par les feuilles traitées était de 25 et 41% du glyphosate appliqué pour les grandes et les petites gouttelettes respectivement, mais le transport vers les parties souterraines de la plante était d'environ 7% du C14 appliqué. Le radio-marqueur dans les nouveaux rhizomes était équivalent à environ 0,5 μg g?1 PS de glyphosate, soit au moins 30 fois en-dessous de la concentration nécessaire à la mort des tissus. Aufnahme und Translokation von 14C-Glyphosat in Alternanthera philoxeroides (Mart.) Griseb. I. Für die Hemmung erforderliche Konzentration im Rhizom Rhizomteile von Alternanthera philoxeroides wurden 24 Stunden lang in 14C-Glyphosat-Lösungen geschüttelt, um eine Reihe von Konzentrationen in den inneren Geweben einzustellen. Die Rhizome wurden bei Konzen-trationen von 16 und mehr μg g?1 TM abgetötet und überlebten bei Konzentrationen von 8 μg g?1 TM und weniger. Die Aufnahme und Translokation von 14C-Glyphosat nach der Applikation einer konstanten Dosis in 1,0-oder 0,2-μl-Tröpfchen, entsprechend Konzentrationen von 1,06 und 5,3 g l?1 Glyphosat-Säure, wurden an Pflanzen untersucht, die im Freiland 10 Wochen lang bei abnehmender Photoperiode gewachsen waren. Der Gebrauch kleinerer Tropfen höherer Konzentration führte zu mehr Absorption von 14C, förderte aber nicht die Translokation. Das Glyphosat wurde von den behandelten Blättern zu 25 bzw. 41% aus den großen Oder den kleinen Tröpfchen aufgenommen, aber die Translokation in die unterirdischen Pflanzenteile war etwa 7% der ausgebrachten 14C-Aktivität. Die in neuen Rhizomen akkumlierte Radioaktivität entsprach 0,5 μg g?1 TM Glyphosat, mindestens 30mal weniger als für die Abtötung von Gewebe erforderlich.  相似文献   

4.
The effect of nitrogen, phosphorus and potassium on the growth of weeds was studied at two locations on low-fertility acid soils in Suriname. Nitrogen stimulated the growth of weeds in terms of ground-cover and weight on a loamy sand of comparatively low fertility, as well as on a sandy loam of higher fertility. Phosphorus ultimately only stimulated ground-cover development and growth on the sandy loam, and interacted positively with nitrogen on that soil. Potassium had no effect on weed weight, but at both locations the number of plants increased with application of K. Differences in the amount of weed growth between the two locations were related to differences in the composition of the weed flora. On the sandy loam with application of 50 kg N, 50 kg P and 40 kg K ha?1, nutrient uptake by the weeds was 72 kg N, 10 kg P and 121 kg K ha? over a period of 35 days. Réponse des adventices à l'application d'azote, phosphore et potassium sur des sols pauvres acides au Surinam En deux lieux du Surinam avec des sols pauvres acides, l'effet de l'azote, du phosphore et du potassium sur la croissance des adventices a étéétudié. L'azote a stimulé la croissance des adventices en terme de couverture du sol et de poids sur un sable limoneux relativement pauvre aussi bien que sur un limon sableux de plus grande fertilité. Le phosphore a finalement seulement stimulé le développement et la croissance sur le limon sableux et il y a eu une interaction positive avec l'azote. Le potassium n'a pas eu d'effet sur le poids des adventices, mais dans les deux situations le nombre de plantes a augmenté avec l'application de K. Les différences dans la quantité de mauvaises herbes entre les deux situations étaient liées aux différences dans la composition de la flore adventice. Sur le limon sableux avec une application de 50 kg d'azote, 50 kg de phosphore et 40 kg de potasse à l'hectare, l'absorption par les adventices a été en 35 jours de 72 kg N, 10 kg P et 121 kg K à l'hectare. Wirkung einer Stickstoff-, Phosphor- und Kaliumdüngung auf die Verunkrautung ertragarmer, saurer Böden in Surinam An 2 Orten mit ertragarmen, sauren Böden in Surinam wurde die Wirkung einer Stickstoff-, Phosphor- und Kaliumdüngung auf das Wachstum von Unkräutern untersucht. Stickstoff förderte das Wachstum von Unkräutern (Bodendeckung, Biomasse) sowohl auf einem verhältnismäßig ertragarmen lehmigen Sand als auch auf einem ertragreicheren sandigen Lehm. Phosphor förderte letzten Endes Deckungsgrad und Wachstum nur auf dem sandigen Lehm und wirkte da positiv mit Stickstoff zusammen. Kalium hatte keine Wirkung auf die Biomasse, aber an beiden Orten führte es zu einer größeren Pflanzendichte. Die Wachstumsunterschiede an den beiden Orten hingen von der Zusammensetzung der Unkrautflora ab. Auf dem sandigen Lehm betrug bei 50 kg N, 50 kg P und 40 kg K ha?1 die Nährstoffaufnahme der Unkräuter 72 kg N, 10 kg P und 121 kg K ha?1 innerhalb 35 Tagen.  相似文献   

5.
Par repiquages successifs d'isolats de Phytophthora citrophthora sur du milieu V8-CaCO3 clarifié gélosé, contenant 100 μg ml?1 de métalaxyl, des souches plus résistantes que la souche mère ont été obtenues. Cette adaptation s'accompagne d'une diminution de la croissance sur milieu sans fongicide et du pouvoir pathogéne. La fréquence de zoospores capables de former spontanément une colonie sur 100 μg ml?1 de métalaxyl est de l'ordre de 10?4. Un traitement des zoospores à la N-méthyl-N′-nitro-N-nitrosoguanidine (30 μg ml?1 pendant 10 min) augmente cette fréquence par un facteur de 10–16 fois. Les souches résistantes ainsi obtenues ont la même croissance sur milieu sans fongicides et sont aussi pathogènes sur feuilles d'agrumes que les souches mères, alors que les souches sélectionnées sans traitement mutagène présentent les mêmes caractéristiques que celles obtenues par adaptation.  相似文献   

6.
Trials were conducted at the research farm of the National Root Crops Research Institute, Umudike, on acid sandy loam soil at a tropical rainforest site during 1982 and 1983. A range of pre-emergence herbicides were evaluated in a system of yam production using small (25 g) tuber pieces, ‘minisetts’, for multiplication up to ‘seed’ yam size with tubers of 100–1500 g wt. In the 2 years considered, uncontrolled weed growth resulted in an average tuber yield loss of 83% compared to the hand-weeded treatment yield of 3.6 t ha?1. Pre-emergence application of fluometuron, chloramben, diuron/paraquat, simazine and atrazine/metolachlor at the rates of 1.4, 2.7, 1.6, 5.7 and 3.8 kg ai ha?1 respectively effectively controlled weeds and gave tuber yields that compared favourably with the current recommended practice of three hand-weedings 3, 8 and 12 weeks after planting. These five herbicides were most promising when they were applied tank-mixed with paraquat at 0.5 kg ai ha?1 3 weeks after planting, post-emergence to the weeds and at approximately 5% emergence of the yam. Des herbicides pour la production d'ignames ‘minisetts’ dans la zone forestière humide du Nigéria Des essais ont été mis en place en 1982 et 1983 à la ferme du National Root Crops Research Institute, Umudike, sur un sol franc sablonneux acidique de la zone forestière humide. Une gamme d'herbicides de pré-levée a étéévaluée dans un système de production utilisant des petits morceaux (25 g) de tubercules d'ignames, dits des ‘minisetts’, dans le but de multiplication jusqu'à ce qu'ils atteignent la grandeur d'ignames semences'. Pendant les deux années de l'expérimentation, l'absence de désherbage a amené des baisses de rendement en tubercules de 83% par rapport au rendement de 3,6 t obtenu avec sarclage manuel. L'application en pré-levée de fluométuron, de chloramben, de diuron/paraquat, de simazine et d'atrazine/métolachlore aux doses de 1,4, 2,7 1,6 5,7 et 3,8 kg m a ha?1 respectivement a permis un désherbage convenable et des rendements en tubercules supérieurs à ceux obtenus par la technique actuellement conseillée, qui comporte trois sarclages manuels à 3,8 et 12 semaines après le semis. Ces cinq herbicides ont fourni les meilleures perspectives d'efficacité lors d'applications en mélange avec le paraquat à 0,5 kg ma ha?1 3 semaines après le semis, en post-levee des adventices et lorsqu'à peu près 5% des ignames sont levées. Prüfung von Herbiziden in der Saatknollen Produktion von Yams in der Regenwaldzone von Nigeria In der Forschungsstation des National Root Crops Research Institute, Umudike (Nigeria), wurden während der Jahre 1982 und 1983 verschiedene Herbizide auf ihre Eignung zur Unkrautbekämpfung in Anlagen zur Produktion von Saatknollen von Yams untersucht. Die Versuche erfolgten unter den Bedingungen des tropischen Regenwaldes in einem sauren, sandigen Lehmboden. Ausgangspunkt der Pflanzung waren 25 g schwere Knollenstückchen (sog. ‘Minisetts’), welche bis zur Grösse der Saatknollen (von 100–1500 g Gewicht) wachsen gelassen wurden. Die von Hand gejäteten Parzellen lieferten einen Ernteertrag von 3,6 t ha?1; das unkontrollierte Unkrautwachstum verursachte einen Ernteverlust von 83%. Die Vorauflaufapplikation von Fluometuron, Chloramben, Diuron + Paraquat, Simazin und Atrazin + Metolachlor, in Dosierungen von 1,4, 2,7, 1,6, 5,7 und 3,8 kg ai ha?1 bewirkte eine befriedigende Unkrautkon-trolle und ergab Knollenernten, die mit den durch die ortsübliche Praxis (3 Handjätungen 3, 8 und 12 Wochen nach der Pflanzung) erzielten Ernten vergleichbar waren. Diese fünf Herbizide waren am erfolgreichsten, wenn sie in Tankmischung mit Paraquat (0,5 kg ai ha?1) drei Wochen nach der Pflanzung, nach Auflaufen der Unkräuter und beim Erscheinen von c. 5% der Yamstriebe appliziert worden waren.  相似文献   

7.
Laboratory experiments were conducted to determine the effects of soil moisture, simulated rainfall and time of day of spray application on the efficacy of glufosinate-ammonium in barley (Hordeum vulgare L. cv. ‘Samson’) and green foxtail (Setaria viridis (L.) Beauv.) plants. Environmental variables examined were three soil moisture levels (18% moisture, 50% moisture and saturated), three intensities of simulated rainfall following spray application [drizzle (4 mm), moderate (9 mm) and heavy (22 mm)] and two times of spray application (begin ning and end of a 16-h photoperiod). The efficacy of 100 g ha?1 glufosinate-ammonium on barley was greatest at 18% soil moisture when measured by both ammonia and dry weight accumulation in the shoots. At the same dose green foxtail showed less ammonia accumula tion at 18% soil moisture than under other soil moisture levels, but showed no significant differences in dry weight accumulation 14 days after treatment (DAT). Simulated rainfall shortly after spraying reduced the efficacy of glufosinate-ammonium on both species. At the field dose of 800 g ha?1, a rain-free period of 1–8 h was necessary for barley, while a period of less than 20 min was necessary for green foxtail to obtain herbicidal activity comparable with that of treated plants which received no rain. Based on dry weight accumulation, barley plants were equally sensitive and green foxtail plants were significantly more susceptible when glufosinate-ammonium was applied at the end compared to the beginning of the photoperiod. Both species accumulated significantly more ammonia in the shoots during the initial 24 h following application if sprayed at the end of the photoperiod. Of the environmental factors examined in this study, rainfall after spray application caused the greatest reduction of glufosinate-ammonium efficacy. Influence de I'humiditt du sol, de la pluie artificielle et de I'époque d'application sur I'effi cacité du glufosinate-ammonium Des essais de laboratoire ont été conduits pour déterminer les effets de Phumidité du sol, de la pluie et de I'époque d'application sur 1'efficacité de glufosinate-ammonium sur 1'orge (Hordeum vulgare L. c.v. ‘Samson’) et la sétaire (Setaria viridis (L.) Beauv.). Les variables environne mentales examinées étaient 3 taux d'humidité du sol (18%, 50% et saturation), 3 intensités de pluie artificielle suivant ('application (faible—4 mm; modéré 9 mm; et forte 22 mm) et 2 époques d'application (début et fin d'une photopériode de 16 h). L'efficacite de 100 g ha?1 de glufosinate-ammonium sur orge était maximale a 18% d'humidité du sol, mesurée à la fois par I'accumulation d'azote et de matiére séche dans les tiges. A la même dose, la sétaire exprime une moins grande accumulation d'azote à 18% d'humidité du sol qu'aux autres taux d'humidité mais ne montre pas de différences dans I'accumulation de matière sèche 14 jours après le traitement (JAT). Une pluie artificielle suivant de près la pulvérisation réduit 1'eficacité du glufosinate-ammonium sur les deux espèces. A la dose d'utilisation de 800 g ha?1, une période sans pluie de 1 à 8 heures est nécessaire pour l'orge, tandis que moins de 20 minutes sont nécessaires pour le sétaire pour obtenir une activité herbicide comparable à celle observée avec des plantes traitées sans pluie. En se fondant sur l'accumulation de matière sèche, les plantes d'orge étaient également sensibles, et les sétaires étaient significativement plus sensibles quand le glufosinate-ammonium était appliquéà la fin plutêt qu'au début de la photopériode. Les 2 espèces accumulent significativement plus d'azote dans les tiges pendant les 24 premières heures suivant l'application quand elle a lieu en fin de photopériode. Des facteurs environnementaux examinés dans cette étude, la pluie après la pulvérisation cause la plus grande réduction d'efficacité glufosinate-ammonium. Einfluβ von Bodenfeuchte, simuliertem Niederschlag und Applikationszeitpunkt auf die Wirksamkeit von Glufosinat-ammonium In Laborversuchen wurde der Einfluß von Bodenfeuchte, simuliertem Niederschlag und Applikationszeitpunkt auf die Wirksamkeit von Glufosinat-ammonium auf die Gersten-Sorte ‘Samson’ (Hordeum vulgäre L.) und Grüne Borstenhirse (Setaria viridis (L.) Beauv.) untersucht. Als Umweltvariablen wurden 3 Bodenfeuchtegrade (18%, 50% und gesättigt), 3 Niederschlagsintensitäten [Niesei (4 mm), mäßig (9 mm) und stark (22 mm)] nach der Behandlung und 2 Applikationszeitpunkte (Beginn und Ende einer 16-h-Photoperiode) eingesetzt. Die Wirkung von 100 g ha?1 Glufosinat-ammonium auf die Gerste war bei 18% Bodenfeuchte sowohl hinsichtlich des Ammoniumgehalts als auch der Trockenmasse des Sprosses am größten. Bei derselben Dosis hatte die Grüne Borstenhirse einen geringeren Ammoniumgehalt bei 18% Bodenfeuchte als bei anderen Feuchtegraden, zeigte jedoch 14 Tage nach der Behandlung keine signifikanten Unterschiede in der Trockenmasse. Niederschlag kurz nach der Behandlung verminderte die Wirksamkeit bei beiden Arten. Bei der Felddosis von 800 g ha?1 war eine niederschlagsfreie Periode von 8 Stunden notwendig, bei der Grünen Borstenhirse jedoch weniger als 20 Minuten, um dieselbe Wirkung zu erreichen wie bei Pflanzen, die ohne Regen geblieben waren. Hinsichtlich der Trockenmassebildung waren Gerstenpflanzen gleich empfindlich und Borstenhirsenpflanzen signifikant empfindlicher, wenn Glufosinat-ammonium am Ende statt am Beginn der Photoperiode appliziert wurde. Beide Arten hatten in den Sprossen während der ersten 24 Stunden nach der Behandlung am Ende der Photoperiode einen signifikant höheren Ammoniumgehalt. Von den hieruntersuchten Umweltfaktoren reduzierte der Niederschlag nach der Behandlung die Wirkung von Glufosinat-ammonium am meisten.  相似文献   

8.
The influence of temperature and relative humidity (r.h.) on the efficacy of glufosinate ammonium was investigated in controlled environment growth chambers using a tolerant species, barley (Hordeum vulgare L. cv. ‘Samson’), and a susceptible species, green foxtail (Setaria viridis (L.) Beauv.). The shoot ammonia concentration and visual injury of plants treated with glufosinate-ammonium doses of 100 and 800 g ha?1 were compared at day/night temperature regimes of 8/5,15/10 and 22/17°C at 60% r.h. The effect of relative humidity levels of 40% and 95% on the shoot ammonia concentration, visual injury and dry weight accumulation of glufosinate-ammonium treated plants was tested at temperature regimes of 15/10 and 22/17°C, with both species treated with 800 g ha?1. In addition, green foxtail treated with 100 g ha?1. was tested at both r.h. levels at 22/17°C. As the temperature de creased, less ammonia was produced in treated green foxtail plants. However, ammonia levels were comparable at all temperature regimes for barley. Lowest temperatures resulted in delayed injury to both species, but only small differences in injury existed among temperature regimes 288 h after spraying. The activity of glufosinate ammonium on both species was significantly de creased by low r.h. For example, when grown at 22/17°C, green foxtail survived the potentially lethal dose of 100 g ha?1 at 40% r.h. and accumulated 70% of the dry weight of control plants, but was killed at 95% r.h. Of the two environmental factors examined, r.h. had the most significant effect on the phytotoxic action of glufosinate-ammonium. L'influence de la température et de I'humidité relative sur I'efficacité du glufosinate-ammonium L'influence de la température et de 1'humidité relative (hr) sur I'efficacité du glufosinate ammonium a étéétudiée en chambre climatique en utilisant une espéce d'orge tolérante (Hor deum vulgare L. cv ‘Samson’) et une espéce sensible la svtaire verte (Setaria viridis L. Beauv). La concentration en ammoniaque des pieds et les dégats visuels des plantes traitérs avec des doses de glufosinate ammonium de 100 et 800 g/ ha?1 ont été comparés pour des régimes de températures jour/nuit de 8/5, 15/10 et 22/17°C à 60% hr. L'effet de taux d'humidité relative de 40 et 95% sur la teneur en ammoniaque des pieds, les dégats visuels et (l'accumulation de matiére séche chez des plantes traitéres au glufosinate ammonium a été testéà des régimes de températures de 15/10 et 22/17°C, pour les 2 espéces traitées à 800 g ha?1. En outre, la sétaire verte traitée à 100 g hr?1 a été testée aux 2 hr à 22/17°C. Quand la température diminue, il y a moins d'ammoniaque produit chez les sétaires vertes trailérs. Cependant les taux d'ammon iaque ont été comparables à toutes les tempéra tures chez 1'orge. Les températures les plus basses ont abouti à un retard de phytotoxicité ches les 2 espéces, mais à peu de différences entre les régimes de températures 288 h après 1'application. L'activité du glufosinate ammon ium chez les deux espèces a été significative ment réduite par des faibles hr. Par exemple cul tivée à 22/17°C, la sétaire verte a survécu à des doses potentiellement léthales de 100 g ha?1à 40% d'hr et a accumulé 70% de la matière sèche des témoins mais a été détruite à 95% d'hr. Sur les 2 facteurs environnementaux étudiés, l'hr a l'effet le plus important sur l'activité phytotoxique du glufosinate ammonium. Einfluβ von Temperatur und relativer Feuchte auf die Wirksamkeit von Glufosinat-ammonium Der Einfluß von Temperatur und relativer Feuchte (rF) auf die Wirksamkeit von Glufosinat-ammonium wurde in Klimakammern anhand einer toleranten Art, der Gersten-Sorte ‘Samson’ (Hordeum vulgare L.), und einer empfindlichen Art, der Grünen Borstenhirse (Setaria viridis (L.) Beauv.), untersucht. Die Ammonium-Konzentration im Sproß und sichtbare Schädigungen der Pflanzen, die mit Dosen von 100 und 800 g ha?1 behandelt worden waren, wurden bei Tag/Nacht-Temperaturen von 8/5, 15/10 und 22/17 °C bei 60% rF verglichen. Die Wirkung von 40 oder 95% rF auf die Ammonium-Konzentrationen im Sproß, sichtbare Pflanzenschädigungen und die Trockenmassebildung wurde bei 15/10 und 22/17°C und bei 800 g ha?1 Glufosinat-ammonium untersucht. Zusätzlich wurde die Grüne Borstenhirse mit 100 g ha?1 behandelt und bei den beiden Feuchtegraden und 22/17 °C untersucht. Mit abnehmender Temperatur bildete die Grüne Borstenhirse weniger Ammonium, dessen Gehalt bei der Gerste jedoch bei allen Temperaturen gleich war. Geringere Temperaturen verzögerten bei beiden Arten die Schädigungen, doch ließen sich 288 h nach der Behandlung nur noch geringe Unterschiede bei den verschiedenen Temperaturen beobachten. Die Wirkung von Glufosinat-ammonium war bei niedriger rF bei beiden Arten signifikant schwächer. Z. B. überlebte die Grüne Borstenhirse die potentiell letale Dosis von 100 g ha?1 bei 22/17 °C und 40% rF und bildete 70% der Trockenmasse von Kontrollpflanzen, wurde jedoch bei 95% rF abgetötet. Die rF war von den beiden untersuchten Umweltfakoren der signkfikantere für die phytotoxische Wirkung des Glufosinat-ammoniums.  相似文献   

9.
R. DE  PRADO  E. ROMERA  J. JORRIN 《Weed Research》1993,33(5):369-374
The effects of the chloroacetamide herbicides acetochlor, alachlor and propachlor and the pho-tosynthesis-inhibiting herbicides linuron, prometryn and terbutryn on sunflower (Helianthus annuus L.) and atrazine-sensitive and -resistant Amaranthus hybridus L. biotypes were investigated under laboratory conditions. Sunflower tolerated all three chloroacetamides in pre-emergence applications of 1.5–5.0 kg a.i. ha?1 in growth assays. Sunflower also survived doses of 0.5–1.0 kg a.i. ha?1 of linuron, prometryn and terbutryn, although growth reduction and chlorosis of treated plants was observed. These three herbicides inhibited photosynthetic electron transport in in vitro Hill reaction and fluorescence assays and, with terbutryn, photosynthesis recovered upon transfer of the leaves from herbicide solutions to water. The practical significance of these results for the control of weeds in sunflower cultivation in Spain are discussed. Effets d'herbicides chloroacétamides et d'herbi-cides inhibiteurs de la photosynthèse sur la crois-sance et la photosynthèse du tournesol (Helianthus annuus L.) et de Amaranthus hybridus L. Les effets des herbicides chloroacétamides acétochlor, alachlor et propachlor ainsi que des herbicides inhibiteurs de la photosynthèse linuron, prometryne et terbutryne, ont étéétudiés sur le tournesol (Helianthus annuus L.) et sur des biotypes sensibles et résistants d'Amaranthus hybridus L. en conditions de laboratoire. La croissance du tournesol n'était affectée par au-cun des trois chloroacétamides appliqués en prélevée (1,5–5,0 kg m.a. ha?1). Le linuron, la terbutryne et la prometryne (0,5–1,0 kg m.a. ha?1) occasionnaient des réductions de croissance et des chloroses sur le tournesol mais les plantes survivaient. Ces trois herbicides in-hibaient le transport d'électrons photosyn-thétique observé par des mesures de fluorescence et, in vitro par la réaction de Hill. Dans le cas de la terbutryne, la photosynthèse reprenait après transfert des feuilles des solutions d'herbicides dans 1'eau. La signification pratique de ces résultats pour la lutte contre les mauvaises herbes du tournesol en Espagne est discutée. Wirkung von Chloracetamiden und Photosyn-these-hemmenden Herbiziden auf Wachstum und Photosynthese der Sonnenblume (Helianthus annuus L.) und Amaranthus hybridus L. Die Wirkung der Chloracetamid-Herbizide Acetochlor, Alachlor und Propachlor und der Photosynthese-hemmenden Herbizide Linuron, Prometryn und Terbutryn auf die Sonnenblume (Helianthus annuus L.) und Atrazin-empfindliche sowie-unempfindl Amaranthus-hybridus-Biotypen wurde unter Laborbedin-gungen untersucht. In Wachstumstests tolerierte die Sonnenblume alle 3 Chloracetamide bei Vorauflaufanwendung von 1,5 bis 5,0 kg AS ha?1. Auch Dosen von 0,5 bis 1,0 kg AS ha?1 von Linuron, Prometryn und Terbutryn wurden vertragen, aber der Wuchs war beeinträchtig, und Chlorosen wurden beobachtet. Diese 3 Herbizide hemmten den photosynthetischen Elektronentransport bei Versuchen zur Invitro-Hill-Reaktion und Fluoreszenz, und bei Terbutryn stellte sich die Photosynthese nach Überführen der Blätter von der Herbizidlösung auf Wasser wieder ein. Die praktische Bedeutung dieser Ergebnisse für die Unkrautbekämpfung in Sonnenblumenkulturen in Spanien wird diskutiert.  相似文献   

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In growth chamber experiments, tralkoxydim activity against Avena fatua was significantly reduced by addition of metsulfuron methyl to the spray solution. This was apparent particularly at low rates of tralkoxydim (e.g., 125 g a.i.ha?1) and at high rates of metsulfuron methyl (8 or 12 g a.i. ha?1). Metsulfuron methyl alone reduced A. fatua growth significantly, Chlorsul-furon, which did not reduce A. fatua growth at rates of up to 33 g a.i. ha?1, caused only a slight loss in tralkoxydim activity. When applied in combination, metsulfuron methyl reduced the uptake of foliar-applied 14C-tralkoxydim 6 h after application, but did not affect uptake or translocation of 14C-tralkoxydim at subsequent sampling times. In in vitro assays, metsulfuron methyl at 10 or 100 nM in the assay medium had no effect on acetyl-coenzyme A carboxylase (ACCase) activity in A.fatua, nor did it interfere with the inhibition of ACCase by tralkoxydim. In addition, treatment of A. fatua plants with metsulfuron methyl at 4, 8 or 12 g ha?1 did not reduce the level of extractable ACCase activity when the plants were harvested 24–96 h after spraying. Thus, no apparent physiological or biochemical basis for the antagonism of tralkoxydim was identified. The temporary growth inhibition induced by metsulfuron methyl may be of sufficient duration for most of the tralkoxydim to be metabolized to inactive products, thereby reducing tralkoxydim-induced injury. Antagonisme entre le metsulfuron-methyl et l'activité de la tralkoxydime sur Avena fatua Dans des essais en chambres climatiques, l'activité de la tralkoxydime contre Avena fatua a été significativement réduite par l'adjonction de metsulfuron-methyl dans la bouillie de pulvérisation. Ceci est particulièrement apparent à de faibles doses de tralkoxydime (ex. 125 g. m.a. ha?1) et à de faibles doses de metsulfuron-methyl (8 à 12 g m.a. ha?1). Le metsulfuron-methyl seul réduit la croissance d'Avena fatua. Le chlorsulfuron qui ne réduit pas la croissance d'Avena fatuaà des doses jusqu'à 33 g m.a. ha?1 cause seulement une faible perte d'efficacité chez la tralkoxydime. Quand il est appliqué en mélange, le metsulfuron-méthyl a réduit l'absorption de la C14 tralkoxydime appliquée sur les feuilles 6 h après l'application, mais n'a pas affecté l'absorption et le transport de la C14 tralkoxydime aux autres temps d'échantillonage ultérieurs. Dans les essais in vitro, le metsulfuron-methyl à 10 ou 100 nm dans le milieu d'essai n'a pas eu d'effet sur l'activité de l'acetyl coenzyme A carboxylase (ACCase), ni n'a interféré avec l'inhibition de l'ACCase par la tralkoxydime. En outre, le traitement d'Avena fatua avec du metsulfuron-methyl a 4, 8 ou 12 g ha?1 n'a pas réduit le niveau d'activité d'ACCase quand les plantes étaient récoltées de 24 à 96 h après l'application. Ainsi aucune base apparente physiologique ou biochimique pour l'antagonisme de la tralkoxydime n'a été identifiée. L'inhibition temporaire de la croissance induite par le metsulfuron-methyl peut être d'une durée suffisante pour que la plus grande partie de la tralkoxydime soit métabolisée en produits inactifs, et de ce fait réduit les effets induits par la tralkoxydime. Antagonismus von Metsulfuron-methyl auf die Wirkung von Tralkoxydim auf Avenua fatua In Phytotron-Versuchen wurde die Wirkung von Tralkoxydim auf Avena fatua durch Zugabe von Metsulfuron-methyl in die Spritzbrühe signifikant herabgesetzt, besonders bei niedrigen Tralkoxydim-Dosen (z. B. 125 g AS ha?1) und bei hohen Metsulfuron-methyl-Dosen (8 oder 12 g AS ha?1). Metsulfuron-methyl allein setzte das Wachstum von Avena fatua signifikant herab. Mit Chlorsulfuron, das das Wachstum von Avena fatua bis 33 g AS ha?1 nicht verminderte, ließ sich die Wirkung von Tralkoxydim nur wenig beeinträchtigen. In Kombination reduzierte Metsulfuron-methyl die Blattaufnahme von 14C-Tralkoxydim 6 h nach der Applikation, aber bei späteren Probennahmen waren Aufnahme und Translokation von 14C- Tralkoxydim nicht beeinträchtigt. In In-vitro-Versuchen blieben 10 oder 100 mm Metsulfuron in der Versuchslösung ohne Wirkung auf die Aktivität der Acetyl-Coenzym-A-Carboxylase (ACCase) in Avena fatua, es wirkte auch nicht auf die Hemmung der ACCase durch Tralkoxydim. Auch eine Behandlung von Avena-fatua-Pflanzen mit 4, 8 oder 12 g AS ha?1 Metsulfuron-methyl setzte nach 24 bis 96 h die ACCase-Aktivität nicht herab. So konnte keine offensichtliche physiologische oder biochemische Basis für den Antagonismus von Tralkoxydim gefunden werden. Die durch Metsulfuron-methyl induzierte zeitweilige Wuchshemmung kann lang genug sein, daß das meiste Tralkoxydim zu inaktiven Produkten abgebaut wird, so daß seine Wirksamkeit reduziert wird.  相似文献   

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Wild oat (Arena fatua L.) plants were dosed hydroponically with 14C-benzoylprop ethyl [ethyl N-benzoyl-N (3,4-dichlorophenyl)-2-aminopropionate] and were grown under different light and nutrient levels. Herbicide metabolism and growth inhibition in plant shoots were measured alter 3, 6, and 12 days. Plants under low light contained more benzoylprop acid due to increased de-esterification at 3 and 6 days, and decreased acid-conjugate formation at 12 days. When plants, were subjected to low nutrient levels, both metabolic reactions were slowed resulting in increased acid at 3 days, but not at 6 or 12 days. After 12 days, however, there was more growth inhibition at the low nutrient level. Growth correlated better to the amount (dpm) of acid-conjugate than to the amount of ester or acid in plant shoots. Acid concentration had the most influence on subsequent growth. It was concluded that although reduced light and nutrients result in higher levels of benzoylprop acid, increased benzoylprop ethyl efficacy is also due lo a reduced growth rate of the wild oat. This study supports observations that crop competition increases benzoylprop ethyl efficacy. Effets de la lumière et des niveaux des éléments nutritifs sur le métabolisme et l'effet inhibiteur sur la croissance du 14 C-benzoyl prop éthyle chez la folle avoine (Avena fatua L.) Des plantes de folle avoine (Avena fatua L.) en culture hydroponique ont été soumises à diverses doses de 14C-benzoylprop éthyle et à des niveaux différents d'éclairage et de nutrition. Le metabolisme de l'herbicide et l'inhibition de la croissance ont été measurés dans les jeunes pousses des plantes après 3.6 et 12 jours. Les plantes cultivées sous un faible eclairage contenaient plus d'acide benzoylprop dû a un accroissement de la dé-estérification á 3 et 6 jours et á une diminution de la formation du conjugué-acide á 12 jours. Lorsque les plantes ont été soumises à de bas niveaux de nutrition, les deux réactions métaboliques ont été ralenties, ce qui a provoqué un accroissement de l'acide à 3 jours, mais pus à 6 ou 12 jours. Toutefois, aprés 12 jours, l'inhibition de la croissance a été plus marquée au faible niveau de nutrition. La corrélation de la croissance a été meilleure avec le taux de conjugué-acide qu'avec celui d'esier ou d'acide dans les jeunes pouses des plantes. La concentration de l'acide a joué le rôle le plus important sur la croissance uliérieure. La conclusion est qu'en dépit du fait que la reduction de la lumiére et de la nutrition provoque de hauts niveaux d'acide benzoylprop. l'accroissement de l'efficacité du benzoylprop éthyl est également dû une reduction du taux de croissance de la folle avoinc. Cette étude rapporte des observations montrant que la compétition de la plante cultivée augmente l'efficacité du benzoylprop éthyle. Die Wirkung von Licht und Nährstoffversorgung auf den Abbau von 14 C-Benzoylprop-äthyl und auf die Wuchshemmung von Flughafer (Avena fatua L.) Flughaferpflanzen (Avena fatua L.) wurden über Wasserkultur mit 14C-Benzoylprop-äthyl [N-Benzoyl-N-(3,4-dichlorphenyl)-2-aminoproprionsäureäthylester] versorgt und bei unterschiedlicher Licht-und Nährstoffversorgung kultiviert. Es wurde der Herbizibabbau und die Wuchshemmung des Sprosses nach 3.6 und 12 Tagen gemesssen. Bei geringer Lichtintensität enthielten die Pflanzen am 3. und 6. Tag aufgrund verstärkter Verseifung mehr Benzoylprop-Säure, und am 12, Tag weniger Säure-Konjugat. Bei geringer Nährstoffversorgung Wurden beide Abbauprozesse verlangsamt, was eine Zunahme der Säure am 3. Tag, nicht aber am 6.und 12. Tag zur Folge hatte. Nach 12 Tagen war aber bei geringer Nährstoffver-sorgung die Wuchshemmung stärker. Die correlation zwischen Wachstum und Gehalt der Sprosse an Säure-Konjugat (dpm) war besser als mit dem Gehalt an Ester order Säure. Der Säurege-halt hatte die stäkste Wirkung auf das Wachstum. Aus den Ergebnissen wird geschlossen, dass obwohl eine reduzierte Licht- und Nährstoffversorgung höhere Gehalte an Benzoylprop-Säure bedingen, die Wirkung von Benzoylprop-äthyl auch durch das verminderte Wachstum des Flughafers bewirkt wird. Diese Untersuchungen unterstützen die Beobachtung, dass die Wirkung von Benzoylprop-äthyl durch die Konkurrenz der Kulturpflanzen verstärkt wird.  相似文献   

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A study has been made of the effect of properties and composition of soils on the adsorption of ethofumesate. Adsorption isotherms of ethofumesate by agricultural and natural soils and by montmorillonite and humic acid were obtained. The correlations between the Freundlich K constants, and Kd distribution coefficients and the soil parameters were determined. Significant correlations (P<0.05) were found between K and clay content and between Kd and smectite content for the agricultural soils but the correlation with organic matter content was of borderline or no significance. Considering the agricultural and natural soils together or the soils with an organic matter content >2%, a highly significant correlation was found between K and the organic matter content. According to the r2 determination coefficient, the organic matter content accounts for 88.4% of the variability in adsorption in the first case, and 92.2% in the second case. The log10 Kdom values of soils with an organic matter content >2% were similar and confirm the importance of the organic matter as a determinant parameter in the adsorption of ethofumesate by these soils. The adsorption of the herbicide by montmorillonite and humic acid confirmed the results obtained with the soils and point to the importance of the exchangeable cation nature of the samples and of the temperature in the adsorption process. Adsorption de l'éthofumesate dans des sols agri-coles et naturels L'effet des propriétés et de la composition du sol sur l'adsorption de l'ethofumesate a étéétudié. Les isothermes d'adsorption de 1'éthofumesate par des sols agricoles et naturels ainsi que par la montmorillonite et des acides humiques ont été déterminés. Les corrélations entre les caractéris-tiques du sol, les constantes de Freundlich K d'une part et les coefficients de distribution Kd d'autre part ont été déterminées. Des corrélations significatives (P<0.05) ont été mises en évidence entre K et la teneur en argile ainsi qu'entre Kd et la teneur en smectite pour les sols agricoles mais la correlation avec la teneur en matisre organique etait tout juste ou non significative. Lorsqu'on considérait les sols agricoles et naturels ensemble ou les sols dont la teneur en matière organique est supérieure à 2%, une corrélation hautement significative existait entre K et la teneur en matière organique. Le coefficient de détermination r2 montre que la teneur en matière organique explique 88.4% de la vari-abilité de l'adsorption dans le premier cas et 92.2% dans le second cas. Le log10 Kdométait similaire pour les sols de teneur en matière organique >2%, ce qui confirme l'importance du paramètre matière organique dans l'adsorption de 1'ethofumesate par ces sols. L'adsorption de I'herbicide par la montmorillonite et les acides humiques a confirmé les résultats obtenus avec les sols et a montre 1'importance de la température du process et de la nature des cations d'échange des échantillons. Adsorption von Ethofumesat in Acker- and natürlichen Böden Bei der Untersuchung der Wirkung der Eigen-schaften und der Zusammensetzung von Böden auf die Adsorption von Ethofumesat wurden Adsorplions-Isothermen mit Acker- und natürlichen Böden sowie mit Montmorillonit und Huminsäure ermittelt. Die Korrelationen zwischen den Freundlich-Konstanten K sowie den Verteilungskoeffizienten Kd und den Bodenparametern wurden bestimmt. Signifikante Korrelationen (P<0.05) wurden für K und den Tongehall und für Kd und den Smectit-Gehalt in Ackerböden gefunden, doch die Korrelation mit dem Gehalt an organischer Substanz war marginal oder nicht signifikant. Für Acker-und natürliche Böden insgesamt oder Böden mit einem Gehalt an organischer Substanz von >2% wurde eine hochsignifikante Korrelation zwischen K und dem Corg.-Gehalt gefunden. Das Bestimmtheitsmaß (r2) für die organische Substanz lag swischen 88.4% im ersten und 92.2% im zweiten Fall. Die log10Koc-Werte Böden mit einem Corg.-Gehalt von >2 % waren ähnlich und bestätigen die Bedeutung der organischen Substanz als bestimmenden Parameter für die Adsorption von Ethofumesat in diesen Böden. Die Adsorption des Herbizids an Montmorillonit und Huminsäure unterstreichen die an den Böden gewonnenen Ergebnisse und die Bedeutung der Kationen-Austauschfähigkeit der Proben.  相似文献   

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La vitesse de dégradation du metsulfuron méthyle a étéétudiée dans un sol sablolimoneux en faisant varier différents paramètres: concentration, température, stérilisation du sol et réinoculation par du sol. Cette vitesse ne depend pas de la concentration initiale d'herbicide; elle est diminuée par la stérilisation et augmente avec la température même au-delà de 60°C. Les produits formés lors de la dégradation de 14C metsulfuron méthyle dans un sol, et dans ce sol stérilisé sont partiellement différents. Ces résultats sont en faveur d'une hydrolyse à la fois chimique et microbiologique, même si différents essais pour isoler des micro-organismes dégradants n'ont pas été fructueux. Chemical or microbial degradation of sulfonylureas in the soil. II. Metsulfuron methyl The rate of metsulfuron methyl degradation in a sandy loam soil was studied in relation to herbicide concentration, temperature and different soil treatments, i.e. sterilization and reinoculation by soil. This rate is not dependent on the initial concentration of herbicide; it is reduced by sterilization, and greatly increased by an increase in temperature. In soil and sterilized soil, 14C metsulfuron methyl gives different degradation products. These results demonstrate that chemical hydrolysis and microbial breakdown play a role in soil degradation, although attempts to extract degrading micro-organisms from the soil were unsuccessful. Chemischer oder mikrobiologischer Abbau von Sulfonylharnstoffen im Boden. II. Metsulfuronmethyl Die Abbaurate von Metsulfuron-methyl war in einem sandigen Lehmboden von der ursprünglichen Konzentration des Herbizids unabhängig, sie nahm mit steigender Temperatur bis über 60°C zu und war in sterilisiertem Boden herabgesetzt. Die Metaboliten von 14C-metsulfuron-methyl im belebten und im sterilisierten Boden waren teils unterschiedlich. Demnach unterliegt das Herbizid chemischer Hydrolyse und mikrobiellem Abbau, wenn auch verschiedene Versuche, die abbauenden Mikroorganismen zu isolierten, fehlschlugen.  相似文献   

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Responses of upland rice (Oryza saliva L.) and the weeds Amaranthus spinosus L., Cyperus rotundus L., Eleusine indica (L.) Gaertn., and Rottboellia cochinchinensis (Lour.) W. D. Clayton to nitrogen (N) and time of N application were studied in the glasshouse both in monoculture and in mixture. The N response of two rice cultivais and R. cochinchinensis in monoculture levelled off between 69 and 103 mg N kg?1 air-dried soil, whereas the other weed species continued to respond beyond 103 mg N kg?1 air-dried soil. At high N application rates. N uptake by weeds was higher than that by rice; weeds used N more efficiently. Weeds, which had high dry matter production at high N application rates in monoculture, were most competitive at low N and least sensitive to low applied N. Nitrogen application levels sub-optimal to rice reduced the competitive ability of rice when in mixture with E. indica, R. cochinchinensis, and A spinosus, but not with C. rotundus. Although N response of a plant species generally declined with age, interspecific differences were observed. Timing of N application can be exploited in rice-weed management. Les effets d'applications d'azote sur la croissance, l'efficacité de l'utilisation de l'azote et l'interaction riz-mauvaises herbes Les réponses du riz pluvial (Oryza sativa L.) et des mauvaises herbes Amaranthus spinosus L., Cyperus rotundus L., Eleusine indica (L.) Gaertn., et Rottboellia cochinchinensis (Lour.) W. D. Clayton à des applications d'azote, et à la période de ces applications, ont étéétudiées en serre, en cultures pures et en associations. Les réponses à l'azote de deux variétés de riz et de R. cochinchinensis en culture pure montrent un plateau entre 69 et 103 mg N kg?1 de sol séchéà l'air, alors que les autres mauvaises herbes continuaient de répondre au delà da cette dernière dose. Aux doses élevées d'azote, les mauvaises herbes prélevaient davantage d'azote que le riz et elles l'utilisaient plus efficacement. Les mauvaises herbes qui, en culture pure, montraient une forte production de matière sèche aux doses d'azote élevées, étaient les plus compétitives à faibles doses d'azote et les moins affectées par les faibles doses. Les doses d'azote sub-optimales pour le riz réduisaient son aptitude à la concurrence quand il était associéà A. spinosus, E. indica et R. cochinchinensis, mais non àC. rotundus. Bien que chez toutes les espèces la réponse à l'azote déclinait généralement avec l'âge des plantes, des différences interspécifiques ont été observées. La période d'application de l'azote pourrait être exploitée dans la maîtrise des mauvaises herbes du riz. Wirkung der Stickstoffdüngung auf das Wachstum, die Stickstoff-Assimilation und die Konkurrenz zwischen Unkraut und Reis Die Wirkung von Stickstoff (N) und des Zeitpunkts der Stickstoffdüngung auf Hochlandreis (Oryzasativa L.) und die Unkrautarten Amaran thus spinosus L., Cyperus rotundus L., Eleusine indica (L.) Gaertn. und Rottboellia cochinchinensis (Lour.) W. D. Clayton in Rein- sowie Mischbeständen wurde im Gewächschaus untersuchte. Die Reaktion auf die Stickstoffgaben begann bei 2 Reissorten und Rottboellia co-chinchinensis bei 69 und 103 mg N kg?1 lufttrockenen Boden, während die anderen Unkrautarten bei mehr als 103 mg N kg?1 lufttrockenen Boden reagierten. Bie hohen N-Gaben war die N-Auf-nahme der Unkräuter stärker als beim Reis, und die Unkräuter setzten den Stickstoff besser um. Unkräuter mit hoher Trockenmasseproduktion in Reinkulture bei hohen N-Gaben waren bei niedrigen N-Gaben am konkurrenzstärksten. Suboptimale N-Gaben verminderten die Konkurrenzkraft des Reises in Mischbeständen mit Eleusine indica, Rottboellia cochinchinensis, Amaranthus spinosus, aber nicht mit Cyperus rotundus. Obwohl die N-Wirkung bei den Pflanzenarten allgemein mit dem Alter abnahm, lieβen sich zwischen den Arten Unterschiede beobachten. Der Zeitpunkt der N-Düngung kann für die Steuerung der Konkurrenz der Unkräuter mit Reis genutzt werden.  相似文献   

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La Vitesse de transformation du sulfométuron méthyle dans un sol, et en solution au même pH, a été mesurée à différentes temperatures. Aussi bien en solution que dans le sol, la relation d'Arrhénius est bien vérifiée dans la gamme de température étudiée 20°C-75°C. L'énergie d'activation calculée est respectivement de 94 kJ mol?1 et de 117 kJ mol?1 dans le sol et en solution. Du fait que la loi d'Arrhénius est vérifiée dans le sol jusqu'à 70°C, un mécanisme de dégradation est proposé: la dégradation chimique. L'analyse des produits formés dans un sol stérile et non stérile a été réalisée a partir du sulfométuron méthyle marqué au 14C sur le cycle pyrimidine. Dans les deux sols le métabolite principal retrouvé est la 2-amino-4,6-diméthyl-pyrimidine. Aucune différence significative n'est mise en évidence entre le sol sterile et non stérile. Chemical or microbial degradation of sulfonylurea herbicides in soil. I. Sulfometuron methyl The rates of degradation of sulfometuron methyl in a soil and in aqueous solution at the same pH were measured at different temperatures. The Arrhenius relationship was verified between 20°C and 75°C. The calculated activation energy in soil and in solution was 94 kJ mol?1 and 117 kJ mol?1, respectively. From the fact that the Arrhenius relationship is followed up to 70°C, it is proposed that the mechanism of degradation in the soil is chemical. Analysis of the metabolites formed in sterile and non-sterile soil was performed using sulfometuron methyl labelled with 14C in the pyrimidine ring. In both soils the main metabolite isolated was 2-amino-4,6-dimethylpyrimidine. No significant difference has been observed between sterile and non-sterile soils. Chemischer oder mikrobiologischer Abbau von Sulfonylharnstoffen im Boden. I. Sulfometuronmethyl Die Abbaurate von Sulfometuron-methyl wurde in einem Boden und in wäßriger Lösung mit gleichem pH-Wert bei verschiedenen Temperaturen untersucht. Die Gültigkeit der Arrhenius-Gleichung wurde zwischen 20 und 75°C überprüft, mit Aktiviemngsenergien von 94 oder 117 kJ mol?1 für den Boden bzw. die Lösung. Aus dem linearen Abbau im Boden bis zu 70°C wurde auf chemischen Abbau geschlossen. Bei der Analyse der Abbauprodukte von 14C-Sulfometuron-methyl (markiert am Pyrimidin-Ring) in sterilisiertem und nicht sterilisiertem Boden wurden keine signifikanten Unterschiede festgestellt und hauptsächlich das 2-Amino-4,6-dimethylpyrimidin gefunden.  相似文献   

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Triazine-resistant (R) biotypes of Amaranthus albus L. (tumble pigweed), A. blitoides S. Wats. (prostrate pigweed), A. hybridus L. (smooth pigweed), A. retroflexus (redroot pigweed), and Solanum nigrum L. (black nightshade) were found in Spain. The former two R biotypes were found in simazine-treated, non-tilled olive orchards, whereas the latter three came from atrazine-treated maize (Zea mays L.) crops. All R biotypes survived at rates up to 5.0 kg ha?1 of soil-incorporated atrazine or simazine, whereas their susceptible (S) or ‘wild type’ counterparts were completely controlled at levels of 0.25 kg ha?1 atrazine, in the case of A. hybridus, A. retroflexus and S. nigrum, and 2.5 kg ha?1 in the case of A. albus and A. blitoides. The higher tolerance to triazines of these latter S biotypes appears to be attributable to herbicide detoxification. Photosynthetic electron transport in R biotypes was little affected by atrazine and simazine, but was inhibited by diuron, as shown by fluorescence induction measurements in whole leaves. In Hill reaction assays, the R biotypes showed a high level of resistance to atrazine and simazine (resistance factors in the range 350–900), and very slight resistance to diuron (resistance factors in the range 1.1–1.6). It is concluded that all R biotypes have evolved a chloroplastic mode of resistance similar to that previously described for other triazine-resistant weed biotypes. Résistances aux triazines des biotypes de Solanum nigrum et 4 espèces d'Amaranthus trousiées en Espagne Des biotypes résistant aux triazines (R) d'Amaranthus albus L., d'A. blitoïdes S. Wats, d'A. hybrydus et d'A. retroflexus et de Solanum nigrum L. ont été trouvés en Espagne. Les 2 premiers biotypes (R) ont été trouvés dans des oliveraies non labourées traitées à la simazine, tandis que les 3 derniers viennent de cultures de maïs traitées à l'atrazine. Tout les biotypes R ont survécu à des doses jusqu'à 5 kg ha?1 d'atrazine ou de simazine incorporée au sol tandis que leurs équivalents sensibles (S) ou ‘types sauvages’étaient complètement détruits à des doses de 0,25 kg ha?1 d'atrazine dans le cas d'A. hybridus, A. retroflexus et S. nigrum et de 2,5 kg ha?1 dans le cas d'A. albus et A. blitoïdes. La tolérance plus élevée aux triazines de ces 2 derniers biotypes apparaît être attribuable à la détoxification de l'herbicide. Le transport des d'électrons photosynthétiques dans les biotypes R a été peu affecté par l'atrazine et la simazine mais a été inhibé par le diuron, comme l'ont montré des mesures d'induction de fluorescence dans des feuilles entières. Dans des essais de réaction de Hill, les biotypes R ont exprimé une haute résistance à l'atrazine et à la simazine (facteurs de résistance de 350 à 900) et une très faible résistance du diuron (facteurs de résistance de 1,1 à 1,6). Il est conclu que tous les biotypes R ont développé un mode de résistance chloroplastiques identique à celui déjà décrit par d'autres biotypes d'adventices résistant aux triazines. Triazinresistenz bei Biotypen von Solanum nigrum und vier Amaranthus-Arten in Spanien Triazinresistente Biotypen (R) von Amaranthus albus L. (Weißer Amarant), A. blitoides S. Watson (Westamerikanischer A.), A. hybridus L. (Grünähriger A.), A. retroflexus L. (Zurückgekrümmter A.) und Solanum nigrum L. (Schwarzer Nachtschatten) wurden in Spanien gefunden. Die ersten beiden R-Biotypen stammten aus Simazin-behandelten Olivengärten ohne Bodenbearbeitung, die drei anderen von Atrazin-behandeltem Mais (Zea mays L.). Alle R-Biotypen ertrugen biszu 5,0kg ha?1 Atrazin oder Simazin, in den Boden eingcarbeitet, während empfindliche (S) oder ‘wilde’ Pflanzen mit 0,25 kg ha?1 Atrazin (A. hybridus, A. retroflexus, S. nigrum) und 2,5 kg ha?1 (A. albus, A. blitoides) bekämpfbar waren. Die höhere Triazintoleranz der beiden letzten Arten ist wahrscheinlich, auf eine Herbizidde-toxifikation zurückzuführen. Der photosynthetische Elektronentransport in den R-Biotypen wurde durch Atrazin und Simazin nur wenig beeinflußt, durch Diuron jedoch unterbunden, wie durch Messungen der Fluoreszenzinduktion der ganzen Blätter gefunden wurde. Bei der Untersuchung der Hill-Reaktion wurde bei den R-Biotypen für Simazin und Atrazin Resistenzfaktoren zwischen 900 und 350 festgestellt, für Diuron aber nur kleine Faktoren (1,1 bis 1,6). Daraus wurde geschlossen, daß alle R-Biotypen eine chloroplastische Resistenz entwickelt haben, wie sie schon früher für andere Triazin-resistente Unkrautbiotypen beschrieben worden ist.  相似文献   

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The change in cell-membrane permeability as indicated by leakage of electrolytes from treated fronds of Lemna minor was the criterion used to detect the presence of diquat and paraquat in solution. The minimum herbicide concentrations that could be detected ranged from 1.8 and 1.7 μg/ml diquat and paraquat cation respectively after 3 h treatment to 0.00018 and 0.000017 μg/ml after 72 h. Paraquat was more active than diquat in all treatments. Increase in cell-membrane permeability occurred without the appearance of injury such as, chlorosis or bleaching of fronds. Light was necessary for these herbicides to alter cell-membrane permeability, though a little herbicidal activity could be detected after 48 h in the dark at concentrations above 0.17μg/ml. Un test biologique rapide et sensible pour la recherche du paraquat et du diquat dans l'eau Des modifications de la perméabilité de la membrane cellulaire, révélées par la déperdition d'électrolytes à partir de frondes de Lemna minor, ont été utilisées comme critères pour révéler la prèsence de diquat et de paraquat dans des solutions. Les concentrations minimales d'herbicides qui ont pu être décelées se sont situées entre 1,8 μg/ml et 1,7 μg/ml des cations diquat et paraquat respectivement, apres 3 heures de traitement, jusquà 0,00018 et 0,000017 μg/ml après 72 heures. Le paraquat s'est montré plus actif que le diquat dans tous les traitements. Un accroissement de la perméabilité cellulaire s'est produit sans qu'il soit apparu de dégâts tels que la chlorose ou le blanchissement des frondes. La lumière a été nécessaire pour que ces herbicides altèrent la perméabilité de la membrane cellulaire, bien qu'une faible activité herbicide ait pu être décelée après 48 heures à l'obscurité, à des concentrations supérieures à 0,17 μg/ml. Ein schneller und empindlicher Biotest für den Nachweis von Paraquat und Deiquat in Wasser Veränderungen in der Permeabilität der Zellmembran in Form des Austretens von Elektrolyten aus behandelten Wedeln von Lemna minor wurden als Kriterium für den Nachweis von Deiquat und Paraquat in wässeriger Lösung benutzt. Die geringsten Herbizidkonzentrationen, die festgestellt werden konnten, lagen nach 3 h nach der Applikation bei 1,8 und 1,7 μg/ml Deiquatbzw. Paraquat-Kation und nach 72 h bei 0,00018 und 0,000017 (μg/ml). In allen Behandlungen war Paraquat wirksamer als Deiquat. Der Anstieg in der Zellmembran-Per-meabilität war nichi mit äusseren Symptomen wie Chlorose oder Ausbleichen der Wedel verbunden. Für die Herbizidbedingte Veränderung der Zellmembran-Permeabilität war Licht notwendig, doch konnte auch eine geringfügige Herbizidwirkung nach einer 48-h-Dunkelperiode bei Konzenlrationen > 0,17 μg/ml festgestellt werden.  相似文献   

18.
A putative graminicide-resistant biotype of E. indica (L.) Gaertn. and a wild (graminicide sus ceptible) biotype were compared with regard to their growth, development and resistance to ary-loxyphenoxypropionate and cyclohexanedione herbicides in controlled environment studies. The resistant biotype produced much lower amounts of shoot biomass (46% less) but flow ered earlier and allocated a higher proportion and amount of biomass into seed-bearing struc tures compared with the wild type. The resistant biotype survived the application of 50 g a.i. ha?1 of clethodim, tralkoxydim, sethoxydim, fluazi-fop-butyl, fenoxaprop-ethyl and diclofop methyl with the greatest resistance being shown to the aryloxyphenoxypropionates. At rates of >1000 g a.i. ha?1, tralkoxydim achieved superior con trol to that of fluazifop-butyl. Even at rates of 4000 g a.i. ha?1, some 50% of the resistant test plants survived the application of fluazifop-bu-tyl. The trait for graminicide resistance did not appear to be strongly heritable, as assessed by the growth and survival of a graminicide-treated F1 population grown in isolation. It is concluded that widespread graminicide resistance in E. in dica is unlikely to develop from this biotype. Études comparatives de biotypes d'Eleusine indicata résistant et sensible aux herbicides à action antigraminée Un biotype d'Eleusine indica (L.) Gaertn., supposé résistant aux herbicides à action antigraminée, a été comparé en conditions contrôlées à un biotype sauvage (sensible) en ce qui concerne la croissance, le développement et la résistance aux herbicides aryoxyphénoxypropioniques et cyclohexanediones. Le biotype résistant produisait beaucoup moins de biomasse aérienne (-46%) mais fleurissait plus tôt et attribuait aux structures porteuses de graines une proportion et une quantité plus importantes de biomasse. Le biotype résistant survivait à un traitement à la dose 50 g ha?1 de clethodime, de tralkoxydime, de séthoxydime, de fluazifop-butyle. de fénoxaprop-éthyle et de diclofop-méthyle, la plus grande résistance se manifestant à l'égard des aryloxyphénoxypropioniques. à des doses >1000 g m.a. ha?1, le tralkoxydime était plus efficace que le fluazifop-butyle. Même à des doses 4000 g m.a. ha?1, environ 50% des plantes résistantes survivaient à un traitement au fluazifop-butyle. Le caractère conférant la résistance aux herbicides à action antigraminée n'a pas montré de forte héritabilité, celle-ci étant estimée par la croissance et la survie d'une population F1 traitée aux herbicides à action antigraminée et cultivée en isolement. En conclusion, il est peu probable qu'une résistance aux herbicides à action antigraminée se répande chez E. indicaà partir de ce biotype. Untersuchungen an Graminizid-resistenten und -toleranten Biotypen von Eleusine indica An einem wahrscheinlich Graminizid-resistenten und einem toleranten Biotyp von Eleusine indica (L.) Gaertn. wurden Wachstum, Entwicklung und Empfindlichkeit gegenüber Aryloxyphenoxypropionat- und Cyclohexandion-Her-biziden unter kontrollierten Bedingungen untersucht. Der resistente Biotyp hatte eine viel geringere Sproßbiomasse (46 % weniger), blühte aber früher und lagerte in die samenbildenden Organe einen größeren Anteil und Menge der Biomasse ein. Der resistente Biotyp überstand Behandlungen mit 50 g AS ha?1 Clethodim, Tralkoxydim, Sethoxydim, Fluazi-fop-butyl, Fenoxaprop-ethyl und Diclofop-methyl. wobei die höchste Resistenz gegen die Aryloxyphenoxyproprionate bestand. Bei Aufwandmengen von >1000 g AS ha?1 war die Bekämpfung mit Tralkoxydim besser als mit Fluazifop-butyl. Selbst bei Aufwandmengen von 4000 g AS ha?1 Fluazifop-butyl lag die Wirkung auf die resistenten Pflanzen bei 50 %. Die Graminizidresistenz wurde nicht sicher vererbt, wie sich bei Untersuchungen des Wachstums und der Resitenz an F1-Populationen zeigte, und eine weite Ausbreitung der Graminizidresistenz von diesem Biotyp aus wird bei Eleusine indica für wenig wahrscheinlich gehalten.  相似文献   

19.
A bioassay procedure is described for quantitative determination of sulfonylurea herbicides in water and for studying their leaching behaviour in soils. Sunflower (Helianthus annuus L.) was found a more susceptible bioassay species than turnip (Brassica rapa L.) or lentil (Lens culinaris Medic.). The limit of quantitative detection (EC30) in soil leachates was 0.12 μg 1?1 for triasulfuron and 0.15 μg 1?1 for metsulfuron-methyl. Leaching experiments were carried out by uniformly packing the soil in glass columns corresponding to its natural bulk density and applying simulated irrigation of 50 mm day?1 with leachate water from untreated soil columns. Results obtained by measuring fresh weights of the true leaves of sunflowers in soil leachates showed that metsulfuron-methyl was much more mobile than triasulfuron in two soils with different sorption capacity. The BBA soil with low sorptive capacity showed very little retardation of both herbicides in the columns. The Horotiu soil with high sorptive capacity retarded triasulfuron for a long period, even under high flow conditions. Une technique d'essai biologique pour étudier l'aptitu.de au lessivage des herbicides sul-fony-lurées dans des différents sols Un protocole d'essai biologique est décrit pour la détermination quantitative des herbicides sulfonylurées dans l'eau, et pour l'étude de leur lessivage dans les sols. Le tournesol (Helianthus annuus) a été reconnu comme une espèce pour l'essai biologique plus sensible que le navet (Brassica rapa) ou la lentille (Lens culinaris). La limite de détection quantitative (EC30) dans le lessivat du sol a été 0,12 μg 1?1 pour le triasulfuron et 0,15 μg 1?1 pour le metsulfuron methyl. Des études de lessivage ont été con-duites en mettant unifomément du sol dans des colonnes de verre de façon équivalente à la densité naturelle dans le sol et en appliquant une irrigation simulée de 50 mm jour?1 avec de l'eau d'un lessivat de sol non traité. Les résult ats obtenus en mesurant le poids frais des feuilles vraies de tournesol dans les lessivats de sol ont montré que le metsulfuron-methyl était beau-coup plus mobile que le triasulfuron dans les 2 sols de capacités d'adsorption différentes. Le sol BBA avec une capacité d'adsorption faible a entraiîné un faible ralentissement des 2 herbicides dans les colonnes. Le sol Horotiu avec une capacité d'adsorption élevée a retardé le triasulfuron pendant une longue période, même sous des conditions de fortes précipitations. Biotestmethode zur Bestimmung des Ein-waschungsverhaltens von Sulfonyl-Harnstoff-herbiziden in unterschiedlich sorptiven Böden Eine Biotestmethode zum quantitativen Nach-weis von Sulfonyl-Harnstoffherbiziden in Was-serproben zur Bestimmung des Einwaschungs-verhaltens wurde entwickelt. Sonnenblume (Helianthus annuus L.) war unter den geprüf-ten Testpflanzen wesentlich empfindlicher als Herbstrübe (Brassica rapa L.) oder Linse (Lens culinaris Medic.). Als empfindlichste Meßgröße erwiesen sich die Echten Laubblätter der Sonnenblume. Die Nachweisgrenzen (EC30-Werte) in Bodenperkolatwasser lagen bei 0,12 μg 1?1 für Triasulfuron und 0,15 μg l?1 für Metsulf-uron-methyl. Die Einwaschungsversuche wurden in Glassäulen durchgeführt, wobei die Böden gleichmäßig entsprechend ihrer Lagerungsdichte gepackt wurden. Die Beregnung erfolgte mit 50 mm Perkolat/Tag, das von nicht mit Herbiziden behandelten Säulenversuchen vorab gewonnen wurde. In beiden, unterschiedlich sorptiven, Böden zeigte Met-sulfuron-methyl eine stärkere Einwaschung als Triasulfuron. Im schwach sorptiven BBA-Boden wurden beide Wirkstoffe kaum retardiert, während Triasulfuron im stark sorptiven Horotiu-Boden über einen langen Zeitraum, auch unter den extremen Flußraten, zurückgehalten wurde.  相似文献   

20.
The aim of this experiment was to compare the growth strategies of Rumex obtusifolius L. and Lolium perenne L. at the seedling stage under different constant photon flux densities. Both species were grown simultaneously in growth chambers (20/15°C) at 50, 150 and 500 μmol m?2 s?1 and sampled on six occasions between the 14th and 34th day after seedling emergence. The relative growth rate of R. obtusifolius always exceeded that of L. perenne. R. obtusifolius allocated more dry matter to the leaves, thus resulting in an increase in specific leaf area and, consequently, leaf area ratio. The decrease in the relative growth rate that resulted from reducing the photon flux density from 500 to 50 μmol m?2 s?1 was lower for R. obtusifolius (?38%) than for L. perenne (?53%). The weed was less sensitive that the grass to the reduction in light intensity, mainly because its specific leaf area increased more and because its net assimilation rate decreased less. The results show that seedlings of R. obtusifolius are able to maximize dry matter production at a low photon flux density. This suggests that the establishment of R. obtusifolius seedlings cannot be prevented by the shade of an established sward. Comparaison de la croissance de R. obtusifolius L. et de L. perenne L. sous différentes densités de flux de photons Le but de cet essai était de comparer la stratégie de croissance de plantules de R. obtusifolius et de L. perenne sous différentes densités de flux de photons. Les deux espèces ont été cultivées simultanément en chambres de croissance (20/15°C) à 50, 150 et 500 μmol m?2 s?1 et récoltées à six reprises entre le 14e et le 34e jour après la levee. Le taux de croissance relatif de R. obtusifolius a toujours été supérieur à celui de L. perenne. Nous avons observé chez R. obtusifolius un investissement plus important en matière sèche dans les feuilles ainsi qu'une surface foliaire spécifique et, par conséquent, un rapport surface foliaire/poids sec total plus élevés. La diminution du taux de croissance relatif consécutive à la réduction de la densité du flux de photons de 500 à 50 μmol m?2 s?1 fut plus faible chez R. obtusifolius (?38%) que chez L. perenne (?53%). La dicotylédone a été moins sensible à la réduction de l'intensité lumineuse que la graminée principalement parce que sa surface foliaire spécifique a davantage augmenté et également parce que son taux net d'assimilation a moins diminué. Nos résultats montrent que les plantules de R. obtusifolius sont capables de produire un maximum de matière sèche sous une faible densité du flux de photons. Ils suggèrent que l'implantation de plantules de R. obtusifolius ne peut pas être empêchée par l'effet d'ombrage d'un couvert en place. Vergleich des Wachstums von Rumex obtusifolius L. mit Lolium perenne L. bei verschiedenen Photonen-Bestrahlungsstärken Ziel dieses Versuches war der Vergleich der Wachstumsstrategie der Keimpflanzen von Rumex obtusifolius L. und Lolium perenne L. bei verschiedenen konstanten Photonen-Bestrahlungsstärken. Beide Arten wurden gleichzeitig in Klimakammern (20/15 °C) bei 50, 150 und 500 pimol m?2 s?1 kultiviert, und zwischen dem 14 und 34. Tag nach dem Auflaufen wurden 6 Teilernten genommen. Die relative Wachstumsrate von R. obtusifolius war jener von L. perenne immer überlegen. R. obtusifolius transportierte mehr Trockensubstanz in die Blätter; die spezifische Blattfläche stieg an, und der Anteil Blattfläche an der gesamten Trockensubstanz nahm zu. Wurde die Photonen-Bestrahlungsstärke von 500 auf 50 μmol m?2 s?1 gesenkt, nahm die relative Wachstumsrate bei R. obtusifolius um 38% und bei L. perenne um 53% ab. Der Ampfer reagierte auf die Reduktion der Lichtintensität weniger empfindlich als das Gras, hauptsächlich weil sie ihre spezifische Blattfläche stärker erhöhte und die Nettoassimüationsrate weniger reduzierte. Die Ergebnisse zeigen, daß Keimpflanzen von R. obtusifolius in der Lage sind, auch bei niedrigen Photonen-Bestrahlungsstärken die Trockensubstanzproduktion zu maximieren. Es wird daher vermutet, daß unter dem Schatten eines Pflanzenbestandes das Etablieren der Keimpflanzen von R. obtusifolius nicht verhindert werden kann.  相似文献   

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