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Les nématodes appartenant au genre Meloidogyne peuvent être considérés à I'échelle mondiale comme le groupe le plus important de ces parasites. Les « anguillules des racines noueuses >>, ou « rootknot nematode « des auteurs anglosaxons, ont été longtemps jugées comme étant graves seulement dans les pays tropicaux ou méditerranéens chauds. Les différentes espèces sont souvent difficiles à distinguer on les a confondues jusqu'à une date récente et nombre d'entre elles restent encore à décrire — neuf ont été signalées en Europe.
La fréquence et la gravité des attaques semblent augmenter dans les régions méditerranéennes, surtout sur cultures maraîchères, florales, fruitières et sur coton ( M. arenaria [Neal] Chitwood, M. incognita [Kofoid et White] Chitwood, M. javanica [Treub] Chitwood). Ces espèces posent aussi de graves problèmes dans toutes les serres européennes. En Europe occidentale, M. hapla Chitwood attaque de multiples cultures légumières: M. naasi Franklin, découvert et décrit récemment, devient un ennemi grave des céréales. Les pertes dues à ces nématodes représentent plusieurs pour cent du produit brut des cultures intéressées dans les aires géogra-phiques infestées.  相似文献   

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Les pertes de récoltes dues aux nématodes sont importantes et difficiles à réduire, en raison même de la nature des dommages et des relations multiples qui existent entre la plante-hôte et le ravageur. Ainsi, en dehors des dégâts directs, les nématodes peuvent déclencher ou favoriser le développement d'autres maladies, ou agir en tant que vecteur. d'incidence économique est aussi bien quantitative que qualitative. Les semences ou le matériel destinéà la reproduction, qui sont contaminés, devraient être systématiquement détruits ou désinfectés. Le coût des traitements, l'amélioration des pratiques culturales en matière de fumure, irrigation ou assole-ment doivent faire l'objet d'études consciencieuses, de fa?on à assurer une protection économique. Pour mesurer et chiffrer les pertes, on peut utiliser divers critères: essais de pathogénicité en conditions artificielles, traitements de plein champ plus ou moins sélectifs, établissement de formules de corrélation entre les densités de populations révélées par l'analyse du sol et les diminutions de récoltes observées ou escomptées. Les préjudices causés par les nématodes aux diverses cultures européennes sont du même ordre que ceux qui ont été constatés aux Etats-Unis et sétablissent comme suit: 5 % pour les céréales et le maïs, 10 % environ pour la pomme de terre, la betterave et les diverses cultures maraîchères ou ornementales (ce pourcentage est probablement dépassé pour les cultures fruitières). Ces données montrent que l'on sous-estime en général l'importance économique des divers nématodes phytophages, et justifient les mesures préconisées pour en limiter la propagation.  相似文献   

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Beaucoup de maladies frappant les végétaux résultent de &'action conjuguée de plusieurs agents pathogènes. Les nématodes jouent un rôle prépondérant dans ce type de synergie, en particulier les Meloidogyne qui sont souvent associés à &' autres organismes dans les attaques des végétaux cultivés. Ces associations peuvent se faire avec des virus, notamment sur le soja, avec des bactéries sur framboisiers, tabac et ceillets. On note également des interactions nettes entre Meloidogyne et champignons (Fusarium, Verticillium, Phytophthora, Rhizoctonia, Pytbium et Alternaria) sur de nombreuses cultures, telles que coton, tomate, ceillet, soja et tabac. Parfois, &' attaque primaire des nématodes est également aggravée par des organismes saprophytes secondaires (nématodes saprophages, enchytréides, insectes, etc.). II apparaît en définitive que, pour étudier une maladie donnée, il est indispensable de déterminer &' enchaînement des causes ayant entraîné son apparition. La difficulté ne provient pas tellement de &'identification de ces causes, mais plutôt des mécanismes qui les relient entre elles et qui sont souvent méconnus.  相似文献   

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Dans le cadre d'un groupe de travail «Modélisation du Botrytis» l'Institut Technique de la Vigne et du Vin en France a entrepris l'étude des réactions de ce parasite à des conditions d'humectation contrôlées. L'essai est réalisé sur une vigne adulte, sous abri plastique; il couvre 1600 m2 et permet, grâce à un dispositif de brumisan'on, l'étude comparative de 12 régimes d'humectation distincts. Après quatre années successives d'expérimentation, basée sur des protocoles évolutifs, les résultats mènent à des observations intéressantes, mais qu'il est toutefois prudent de ne pas étendre inconsidérément à l'ensemble des cépages ou vignobles. L'effet des humectations successives n'est pas obligatoirement additif, une longue période de sécheresse entre la floraison et la véraison aggravant considérablement les attaques à ce dernier stade. Une même durée d'humectation à la véraison ou 12 jours avant la récolte provoque des dégâts identiques. Les contaminations peuvent s'effectuer simplement en présence d'une humidité relative élevée, sans présence d'eau sous forme liquide; cette HR élevée est capable de créer et surtout d'aggraver fortement les foyers de B. cinerea. Les contaminations artificielles ont eu un effet significatif lors de la floraison. A la véraison l'effet est masqué par l'inoculum naturel. L'étude de la réaction de Botrytis cinereaà différentes durées d'HR élevée reste délicate, un seuil exact restant difficile à estimer vu le niveau de précision des appareils utilisés. En outre, le modèle mis au point par Strizyk a fait preuve d'une précision accrue au fil des expérimentations successives; il semble donc bien adapté au cépage méridional utilisé. La stratégie de traitement a permis de réduire de moitié le nombre d'applications de fongicides dans l'essai, l'expérimentation prouvant toutefois qu'une réduction supplémentaire était possible. Il apparaît donc que cette stratégie, basée sur le modèle Botrytis, est prometteuse mais nécessite encore quelques adaptations afin de la rendre encore plus performante. L'étude des réactions de B. cinereaà certains facteurs climatiques permet done, outre l'amélioration de la lutte contre ce parasite, une meilleure connaissance de ses facteurs d'évolution. Il est possible qu'à l'avenir le facteur humidité relative, alliéà l'hiumectation, procure une fiabilité optimale du modèle, et probablement de la stratégie de lutte en découlant.  相似文献   

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J. Thiault 《EPPO Bulletin》1984,14(3):359-361
Le feu bactérien est apparu dam le Sud-Ouest de la France en 1978 dans une région où la culture du poirier est importante. De sévères mesures prophylactiques ont été prises (arrachages, taille, pulvérisations) pour limiter l'extension de la maladie. Pour la période 1979–1983 cet ensemble de mesures a coété 21.470.000 francs, ce qui représente 2,5 % du chiffre d'affaires des vergers de poiriers et pépinières de la région. Sans ces mesures, on estime que la maladie aurait détruit en 5 ans un capital de 185 millions de francs, entrainant une perte annuelle de 205 millions de francs de recettes et la disparition de 1500 emplois.  相似文献   

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R. MOENS 《EPPO Bulletin》1988,18(2):277-282
L'attaque de mulots sur les semences de betteraves a été suivie en laboratoire et en plein champ. Des observations en cage ont démontré que le rongeur s'attaque aux graines de betteraves à partir du stade 00 (graines sèches) jusqu'au stade 06 (développement de la tigelle dans le sol) avec un maximum pendant le ramollissement de la graine (stades 01 et 02) et le début de la germination (stade 03). L'attaque s'arrête au cours de l'allongement, quand les cotylédons perdent leur contenu farineux (stade 07). Sur le terrain il fut constaté que le rongeur, après avoir détruit 20% d'un premier semis, n'a plus attaqué un second semis, lorsque des postes d'appâtage de noisettes traitées à la chlorophacinone (30 ml du Caïd huileux par kg) ont été installés sur les bords du champ. Les appâts ayant fourni aux mulots une nourriture de substitution, ceux-ci ont renoncéà rechercher les semences dans le sol. Quant à l'effet toxique du rodenticide, celui-ci semble insuffisant et trop tardif pour protéger les semis.  相似文献   

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M. PASCAL 《EPPO Bulletin》1988,18(3):381-392
A l'issue de deux phases de forte densité des populations d'Arvicola terrestris scherman en France, un groupe de travail inter-organismes ACTA-INRA-SPV a été constitué pour entreprendre un programme de recherche sur ce rongeur, dans le but d'en contrôler les populations. C'est à l'INRA que revient le rôle de coordonner les travaux et notamment d'assurer les études sur la biologie de l'espéce. L'ACTA a mené des études en captivité, ainsi qu'une expérimentation de plein champ en Haute-Savoie. Enfin, le SPV a pris la responsabilité de l'évaluation au champ des rodenticides et du développement d'un systéme de prévision en Franche-Comté et en Auvergne-Limousin. L'article résume les 8 années de travaux et souligne les questions restées en suspens. II cherche à situer le problème d'A. terrestris dans la problématique plus vaste de l'étude des rongeurs ravageurs de cultures en France et débouche sur l'analyse des choix des thématiques scientifiques qu'il convient de développer dans le contexte agricole moderne.  相似文献   

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L'hypothèse de travail proposée pour l'analyse des cycles de population de Microtus arvalis intègre à la fois le rôle de la prédation et l'influence de la structure du paysage. Par sa composante liée à la prédation, cette hypothèse engage les recherches au niveau d'investigation des peuplements, aussi bien des Microtidae que des petits prédateurs spécialistes qui leur sont associés. Par sa composante liée à la structure du paysage et par son approche comparative dans le temps et dans l'espace, elle situe ces recherches à une échelle de perception suffisamment large pour que notre vision des phénoménes biologiques analysés soit moins ponctuelle et par conséquent moins naïve. Enoncée à l'origine pour l'étude du couple Microtus arvalis/Mustela nivalis cette hypothese peut utilement être transposéà l'analyse du couple Arvicola terrestris/Mustela erminea, en raison des nombreuses similitudes écologiques observées entre ces espèces. Les premiers indices analysés dans cette perspective concernent, d'une part, un suivi diachronique des différentes populations de rongeurs et de petits Mustelidae présents sur un terrain d'étude situé en Franche-Comté (France) et, d'autre part, une comparaison de la cartographie des dégâts dus àA. terrestris avec celle des surfaces agricoles utiles consacrées aux céréales dans les différents cantons de cette région. Sans présenter de valeur démonstrative les coïncidences observées entre les cinétiques des différentes populations et entre les cartes de répartition présentées accréditent, à notre sens, l'intérêt de la démarche retenue.  相似文献   

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Des études en laboratoire et en serre ont montré que la présence simultanée d' iprodione et d' huile dans un rapport déterminé au sein d' une formulation crème fluide améliorait la persistance d' action du fongicide. Cette formulation connue sous le numéro de code EXP 1861 et titrant 25 % d' iprodione a été expérimentée depuis 1977 contre la pourriture grise de la vigne ( Botrytis cinerea ). Sur une série de 25 essais de plein champ dont l' infestation des parcelles témoins est supérieure á 20 % (moyenne d' infestation 38,2 %), la répartition des essais en fonction des normes retenues par le « groupe de travail pourriture grise de la vigne >> est la suivante: 22 essais sur 25 réalisés répondent au critere d' efficacité supérieure a 50 %, 18 essais sur 22 répondent au critère du niveau d'infestation inférieur á 20% dans la parcelle traitée. Cette expérimentation situe l' EXP 1861 a un niveau d' efficacite moyen de 75 % environ. Des essais spécifiques ont montré que cette formulation était sans effets phytotoxiques sur la vigne et que le produit n'affectait, ni le processus normal des fermentations, ni les qualityés organoleptiques des vins. Enfin, il faut signaler que l' EXP 1861 tout comme Rovral PM 50 possède une bonne activité sur les maladies causées par les champignons appartenant aux genres Rhizopus, Penicillium, Mucoret Alternaria qui peuvent, par les pourritures qu'ils developpent, entraîner des altérations graves dans les vins.  相似文献   

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Des résultats encourageants ont été obtenus au cours de recherches de lutte biologique contre les pathogènes cryptogamiques du sol à?aide de Trichoderma spp. ?action positive de ces antagonistes a étéétudiée sur les champignons (Fusarium moniliforme, Rhizoctonia solani et Pythium ultimum) responsables de la fonte des semis, de la pourriture des racines et de la pourriture précoce de la tige du maïs et du sorgho. Sur fraisier, les traitements avec Trichoderma spp. se sont révélés très satisfaisants contre les attaques de Botrytis cinerea sur fruits ainsi que contre le pied-noir ?été après repiquage. En ce qui concerne la fusariose et la verticilliose de la tomate, ?excellents résultats ont été obtenus pour la réduction des maladies et ?augmentation des rendements. Les travaux pour combattre la pourriture du collet de la laitue (Sclerotinia minor) ont également donné de bons résultats. Les possibilityés de transposition dans la pratique de ces résultats, obtenus généralement en conditions ?inoculation artificielle, sont étudiées.  相似文献   

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