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1.
La pourriture grise est une maladie très importante au Portugal. On peut affirmer qu'elle cause des dégâts surtout à deux époques: avant la floraison et pendant l'été. C'est dans les régions viticoles du nord du pays qu'on trouve la maladie avant la floraison, provoquant des dégâts de l'ordre de 25 à 30 % de la récolte prévue. A l'exception du sud du pays, toutes les régions viticoles subissent pendant l'été d'importants dégâts qui peuvent atteindre 90 % de la production. Les résultats des essais réalisés pendant 11 ans sont brièvement présentés. Les matières actives suivantes ont été testées: bénomyl, carbendazime, dichlofluanide, dichlozoline, iprodione, méthyldichlofluanide, procymidone, thiabendazole, thiophanate-méthyl, vinchlozo-line, et folpel + oxychlorure de cuivre. Les fongicides les plus recents se sont montrés les plus efficaces. Lorsque le produit est très efficace, la méthode « standard >> ne diffère pas significativement des méthodes consistant à traiter tous les 15 jours ou tous les 8 jours à partir de la floraison (jusqu'à 3 semaines avant la récolte).  相似文献   

2.
A la suite des observations et des bons résultats pratiques obtenus en 1978 gráce à l'application d'un traitement préfloral par un certain nombre de viticulteurs, la tendance actuelle va vers la réalisation d'un programme de cinq à six applications dont une ou deux avant la floraison suivies du programme standard. La question qui se pose concerne l'action éventuelle de la pourriture grise sur la coulure des grappes à l'approche et pendant la floraison, en présence de conditions climatiques peu favorables à celle-ci.  相似文献   

3.
L'étude in vitro des propriétés antagonistes de divers champignons à l'égard de Botrytis cinerea a permis de retenir une souche de Trichoderma viride particuliérement intéressante pour ses qualités biologiques et ses activités antibiotiques, compétitives et hyperparasitaires. l'utilisation de ce champignon dans la lutte contre la pourriture grise de la vigne, sous forme d'un broyat de culture pulvérisé sur les grappes, apporte une amelioration de l'état sanitaire de la vendange comparable à celle de la dichlofluanide appliquée aux mêmes périodes (méthode standard). On note l'importance primordiale des traitements précoces, en particulier de ceux avant et après la floraison. l'antagoniste colonise en effet la base nutritive constituée par les capuchons floraux sénescents et il limite ainsi une première installation en saprophytes de B. cinerea. l'analyse de la microflore dans les parcelles traitées met en évidence un retard d'environ un mois dans l'apparition de l'inoculum du parasite. Corrélativement, on observe le même décalage dans l'apparition des premiers foyers de la maladie dans le vignoble. Des traitements successifs, biologiques d'abord, chimiques ensuite, devraient permettre de réduire le nombre des interventions tout en conservant à la lutte une efficacité comparable à celle qu'elle a, grâce aux nouveaux fongicides tels que la vinchlozoline et la procymidone.  相似文献   

4.
Dans la zone du Rioja et dans la plupart des autres régions viticoles de l'Espagne, le problème de la lutte chimique contre la pourriture grise des raisins n'est pas encore résolu, en raison de la variabilité et de la fréquente médiocrité des produits utilisés. Ceux-ci comprennent la dichlofluanide, les benzimidazoles et les imides cycliques, dont l'efficacité dans le meilleur des cas ne dépasse pas 60 %. Par ailleurs, les résultats obtenus au cours des deux dernières années laissent penser à l'apparition de souches de Botrytis cinerea résistantes à ces produits. Bien que le nombre de traitements dépende surtout des conditions climatiques, on effectue en général deux traitements; le premier à la véraison, et le second trois semaines avant la récolte. Dans les vignobles très sensibles, une application supplémental est faite au moment de la chute des capuchons floraux. Sur le cépage Grenache, il faut même deux traitements en plus, pendant la floraison et à la chute des capuchons floraux. Les examens révèlent que les produits susmentionnés n'affectent, ni la fermentation, ni le goût des vins, si le dernier traitement est appliqué trois semaines avant la récolte.  相似文献   

5.
Le Sumisclex, à base de procymidone, est un fongicide découvert par Sumitomo Chemical et développé en France par Sopra. II est très actif contre les champignons des genres Botrytiset Sclerotinia. Les nombreux essais réalisés en France depuis 1976 par Sopra et par différents organismes officiels ont montré le haut niveau d'efficacité de cette matière active contre la pourriture grise de la vigne. D'autre part, le Sumisclex présente des caractéristiques toxicologiques favorables et n'affecte, ni la fermentation, ni la qualité des vins.  相似文献   

6.
7.
L'emploi des fongicides specifiques reste un moyen nécessaire pour protéger la vigne contre les attaques de Botrylis cinerea. L'efficacité pratique des traitements est largement tributaire des fongicides employés et des matériels d'application mis en oeuvre. Les produits de la famille des imides cycliques (procymidone, vinchlozoline, iprodione) assurent actuellement la meilleure protection. Après plusieurs années d'utilisation, leur efficacité au champ se maintient en France à un niveau élevé. Une bonne protection contre la pourriture grise implique que les fongicides soient appliqués directement sur les grappes. La qualityé de l'épandage reste done déterminante, aussi les travaux accomplis pour perfectionner le matériel de pulvérisation ont révélé l'importance essentielle des deux paramètres: la vitesse de l'air à la sortie des buses et le débit de la bouillie fongicide. Les pulvérisateurs pneumatiques semblent les mieux conçus pour ces traitements mais l'aménagement d'autres types d'appareils (à jet porté notamment) peut les rendre utilisables. Dans tous les cas, la vitesse d'avancement de l'appareil doit rester faible. Les autres contraintes, telles que l'orientation des buses et la couverture sur les deux faces du rang, doivent également être respectées.  相似文献   

8.
L'évaluation des pertes de récoltes en poids et en qualité, imputables à Botrytis clnerea , ne fait guère l'objet de publications particulières. Cependant, les informations reçues de dix pays, en réponse à un questionnaire, permettent de situer l'importance qu'il faut attribuer à la pourriture grise. Le caractère insidieux du pathogène qui s'étend également aux sarments, bourgeons dormants et aux rafles appelle une grande prudence; et partant, une série d'applications fongicides coûteuses, atteignant parfois la moitié des frais globaux de protection. II est fait état des pertes en poids et en qualité qui, en l'absence de traitements spécifiques, peuvent être très sensibles suivant les régions et les cépages.  相似文献   

9.
par R. LAFON 《EPPO Bulletin》1982,12(2):189-192
La lutte chimique contre la pourriture grise de la vigne est réalisée au moyen d'applications de fongicides à chacune des quatre époques déterminées par la « méthode standard >>. Cette façon de procéder assure régulièrement de bons résultats, mais a posteriori on constate souvent que les quatre traitements ne sont pas toujours nécessaires. Il était done intéressant de rechercher le moyen de prévoir l'utilityé de chaque traitement. L'application expérimentale du modèle de Strizyk a été faite dans ce sens. Avant chaque traitement de la « méthode standard >>, le taux de maladie potentielle est calculé et comparéà une valeur de référence limite. Le résultat de cette comparaison indique si le traitement doit être exécuté ou non. Plusieurs essais ont été réalisés en 1980 dans différents vignobles de France avec des résultats trés encourageants. En général, deux traitements ont étééconomisés sans diminuer la protection à l'égard de la maladie.  相似文献   

10.
Dans une période où l'on parle de plus en plus de lutte raisonnée, il nous a paru utile d' essayer de prévoir les périodes d'évolution de la pourriture grise pour éviter les traitements systematiques décidés a priori sans connaître les conditions climatiques à venir. Nous avons done experimenté, en nous inspirant d' une étude faite á propos de Botrytis cinerea sur fraisier, une méthode utilisant les températures moyennes journalières et une humidité relative supérieure à 90 %. Le but poursuivi dans cette expérimentation est double: a) introduction d' une façon plus compléte des données climatiques, et notamment de l'humidité relative, dans les critzères d'appréciation pour améliorer la technique de lutte qui est actuellement basée sur des interventions à trois stades végétatifs de la vigne, la quatriéme ayant lieu 3 semaines avant la récolte (méthode standard); b) étude de la possibilityé de supprimer les traitements qui se révéleraient inutiles, ce qui est un des objectifs des avertissements agricoles. II serait alors recouru au réseau climatique du Service de la Protection des Végétaux pour fournir, à l' ensemble des viticulteurs d'une région, les indications sur la lutte à entreprendre. Les expérimentations réalisées pendant quatre ans ont donné des résultats intéressants; elles devront étre reprises pour définir les critères à prendre en considération et la façon de les utiliser: températures (diurnes ou nocturnes), humectation des organes de la vigne, humidité. II semble en effet que l' humidité puisse apporter, aussi bien pour cette technique simple que pour la modélisation, des éléments utiles. Les comparaisons faites en 1980, à partir d' une étude sur la modélisation, font apparaître une bonne similitude entre cette stratégie nouvelle et les données fournies (températures moyennes, humidité relative supérieure à 90 %) par un poste météorologique à 2 m, situéà 25 km de la parcelle expérimentale.  相似文献   

11.
J. Thiault 《EPPO Bulletin》1984,14(3):359-361
Le feu bactérien est apparu dam le Sud-Ouest de la France en 1978 dans une région où la culture du poirier est importante. De sévères mesures prophylactiques ont été prises (arrachages, taille, pulvérisations) pour limiter l'extension de la maladie. Pour la période 1979–1983 cet ensemble de mesures a coété 21.470.000 francs, ce qui représente 2,5 % du chiffre d'affaires des vergers de poiriers et pépinières de la région. Sans ces mesures, on estime que la maladie aurait détruit en 5 ans un capital de 185 millions de francs, entrainant une perte annuelle de 205 millions de francs de recettes et la disparition de 1500 emplois.  相似文献   

12.
Les essais réalisés depuis 1977 avec la procymidone, la vinchlozoline, et l'iprodione ont révélé une efficacité intéressante sur baies et, dans au moins 90 % des cas, sur rafles. Les gains de récolte en exploitation mécanisée atteignent 30 à 40 %. Dans la majorité des cas, les attaques sur rafles sont justiciables de traitements anti-botrytis spécifiques, alors que les traitements à base de sels de magnésie demeurent la plupart du temps inopérants.  相似文献   

13.
Bon nombre d'entomophages se développent aux dépens des ravageurs de l'olivier; ces ennemis naturels, parasites ou prédateurs, contribuent plus ou moins à limiter les populations d'insectes nuisibles à l'olivier. Toutefois, le role des entomophages de Dacus oleae, principal ravageur de l'olivier, n'est jamais suffisant pour controler efficacement les populations de l'insecte, meme si le taux de parasitisme atteint quelquefois 90%. Dans des cas très particuliers sculement, le parasite Opius concolor peut etre utilisé pour lutter contre D. oleae. Quelques entomophages de Prays oleae, le parasite Ageniaspis fuscicollis ou le prédateur Chrysoperla (Chrysopa) carnea par exemple diminuent les populations du ravageur sans pouvoir cependant les maintenir à des niveaux négligeables. Les nombreux entomophages de Saissetia oleae, notamment les parasites du genre Metaphycus, peuvent controler ses populations s'ils ne sont pas détruits par des traitements insecticides. Parmi les ravageurs secondaires, certains peuvent etre totalement controlés par l'utilisation d'entomophages (c'est le cas d'Aspidiotus nerii et de Parlatoria oleae), mais dans la plupart des cas la lutte biologique est insuffisante, notamment contre Phloeotribus scarabaeoides.  相似文献   

14.
Des études en laboratoire et en serre ont montré que la présence simultanée d' iprodione et d' huile dans un rapport déterminé au sein d' une formulation crème fluide améliorait la persistance d' action du fongicide. Cette formulation connue sous le numéro de code EXP 1861 et titrant 25 % d' iprodione a été expérimentée depuis 1977 contre la pourriture grise de la vigne ( Botrytis cinerea ). Sur une série de 25 essais de plein champ dont l' infestation des parcelles témoins est supérieure á 20 % (moyenne d' infestation 38,2 %), la répartition des essais en fonction des normes retenues par le « groupe de travail pourriture grise de la vigne >> est la suivante: 22 essais sur 25 réalisés répondent au critere d' efficacité supérieure a 50 %, 18 essais sur 22 répondent au critère du niveau d'infestation inférieur á 20% dans la parcelle traitée. Cette expérimentation situe l' EXP 1861 a un niveau d' efficacite moyen de 75 % environ. Des essais spécifiques ont montré que cette formulation était sans effets phytotoxiques sur la vigne et que le produit n'affectait, ni le processus normal des fermentations, ni les qualityés organoleptiques des vins. Enfin, il faut signaler que l' EXP 1861 tout comme Rovral PM 50 possède une bonne activité sur les maladies causées par les champignons appartenant aux genres Rhizopus, Penicillium, Mucoret Alternaria qui peuvent, par les pourritures qu'ils developpent, entraîner des altérations graves dans les vins.  相似文献   

15.
Leveillula taurica et Sphaerotheca fuliginea sont des oïdiums qui causent d'importants dégats sur cultures maraichères dans le sud-est de la France. Ampelomyces quisqualis, Paecilomyces farinosus et Cephalosporium sp. ont été utilisés en lutte biologique contre S. fuliginea sur feuilles de courgette et de melon en survie (au laboratoire) et contre L. taurica sur piment (en serre). Le matériel végétal a été inoculé artificiellement. Vis-à-vis de L. taurica, des apports simultanés (à la contamination) d'A. quisqualis et de P. farinosus ont permis une bonne protection des plantes au stade 8–10 feuilles. Ces résultats étaient améliorés, mais d'une manière non significative, quand les plantes étaient pulvérisées chaque semaine avec ces hyperparasites: le nombre de spores d'oïdium par cm2était de 11.383 ± 2841 pour le témoin; il s'élevait à 5367 ± 1309 et 3029 ± 1222 pour A. quisqualis et P. farinosus respectivement. L'extrait de levure, destinéà stimuler la croissance des hyperparasites, a en réalité plus ou moins entravé le développement de L. taurica, meme dans le témoin. La lutte curative s'est avérée inefficace contre L. taurica car, avec un développement en partie interne, ce champignon échappe à l'action des antagonistes. Par contre, ce type de traitement était plus adaptéàS. fuliginea; les taux de sensibilité observés sur courgette et melon étaient toujours inférieurs à 50%, ceux des témoins variant entre 50 et 68%. Avec ce meme oïdium, les traitements préventifs et simultanés ont donné des résultats non satisfaisants.  相似文献   

16.
Dans le cas de la « pourriture noble >>, le grain de raisin garde son integritÉ pendant le développement de Botrytis cinerea. La «pourriture vulgaire >> correspond à un éclatement du grain sous l'effet conjugué du champignon et d'un excés d'humiditÉ; le jus est ensuite attaque par les nombreux micro-organismes qui se trouvent sur le grain. Les principales modifications chimiques du raisin par Botrytis cinerea sont: 1) diminution des acides tartrique et malique, plus importante que celle des sucres; production d'acide gluconique; 2) modifications aromatiques favorables dans le cas de « pourriture noble >>, défavorables avec la « pourriture vulgaire >> (odeur de moisi, phénolique); 3) production de polysaccharides qui se comportent comme colloides protecteurs et s'opposent à la clarification; ils influent également sur les processus fermentaires; 4) sécrétion d'une enzyme d'oxydation (laccase), stable en milieu acide et dégradant un grand nombre de substrats phénoliques. Elle est responsable de la gravité des phénoménes oxydatifs (casse oxydasique) dans les vins de raisins pourris.  相似文献   

17.
La pourriture acide de la grappe est une grave maladie qui affecte surtout les cépages à grappes serrées, à l'approche de la vendange et lors de périodes de pluies prolongées. La maladie est caractérisée par la désagrégation de la grappe, par une odeur piquante d'acide acétique et la présence de Drosophila spp. La maladie est provoquée par des levures et bactèries acétiques qui pénètrent dans la baie à travers toutes sortes de blessures. Parmi les levures les plus capables de provoquer la maladie, on a identifyé Kloeckera apiculata et Saccharomycopsis vini. Dans le milieu considéré, il apparaît que les blessures provoquées par Botrytis cinerea n'influencent pas de façon significative la diffusion et l'intensityé de la pourriture acide. Les diptères du genre Drosophila sont apparemment les vecteurs les plus importants des agents de la maladie. On remarque que des infections de B. cinerea , existant avant la pourriture acide, sont inactiveées par cette derniere, qui empeche aussi des établissements successifs du champignon; le responsable de ces phenomenes est l'acide acétique qui peut agir, soit par contact, soit sous forme gazeuse. Etant donné la nature des agents pathogènes de la pourriture acide, on ne peut pas protéger les vignobles par des produits chimiques, alors qu'il serait possible d'intervenir contre le vecteur. Pour la prevention de la maladie, les auteurs proposent l'ensemble des mesures agronomiques et phytiatriques qui visent à empecher la formation de blessures sur les baies. A longue échéance, il est nécessaire de programmer une sélection de clones pour obtenir des cépages à grappes lâches, et avec des baies pourvues d'une pellicule résistante.  相似文献   

18.
L'épidémiologie de la pourriture grise est la résultante des relations d'interdépendance de Botrytis cinerea et de la vigne, influencées à chaque instant par un environnement de facteurs biotiques et abiotiques. Concernant le parasite, le fait épidémiologique important à rapporter est la dissémination des conidies. Chez la vigne, sont prises en considération la réceptivité de la plante liée aux bases nutritives exploitées par le champignon, la sensibilityé propre des cépages et certaines modalités culturales. Les facteurs de l'environnement qui interviennent dans le développement des épidémies sont la nature et le régime hydrique des sols, les composantes du climat, mais aussi la présence de certains ravageurs (tordeuses de la grappe) et maladies cryptogamiques. L'utilisation intégrée des connaissances acquises en épidémiologic de la pourriture grise porte déjàà un niveau satisfaisant la protection du vignoble vis-à-vis de cette maladie.  相似文献   

19.
La technique de lutte contre la pyrale du maïs à l'aide des trichogrammes, déjà répandue depuis longtemps en URSS, a été récemment introduite et adaptée en Europe. Un certain nombre de paramètres sont à examiner pour rendre la méthode fiable dans des conditions de hauts potentiels de production. II y a lieu de bien choisir tout d'abord l'espèce la mieux adaptée aux conditions climatiques du lieu, des différences importantes de résistance pouvant exister entre l'une ou l'autre de ces espèces vis-à-vis des humidités et températures extrêmes. Ces espèces étant souvent jumelles, il est nécessaire de disposer de techniques de distinction très élaborées. La production de masse de ces oophages est possible à partir d'un grand nombre d'hôtes et même d'œufs artificiels, mais la valeur alimentaire de ceux-ci interfère directement sur le potentiel biotique des parasites. La nécessité de prévoir une production qui soit compétitive avec les insecticides chimiques au niveau du prix de revient requiert une orientation vers des unités de production automatisées à haut rendement. Une diapause de très longue durée autorise un conditionnement relativement facile de ces auxiliaires et facilite leur distribution (mécanique ou manuelle) dans les parcelles. Un contrôle de la qualityé est à assurer à tous les niveaux de la production et de l'utilisation des trichogrammes, meme au niveau génétique.  相似文献   

20.
Pour tester la résistance aux dicarboximides (imides cycliques) des souches prélevées en plein champ, les spores sont appliquees sur des disques d'agar placés à l'envers sur des milieux nutritifs contenant les différentes concentrations du fongicide. L'évaluation est faite 4 à 5 jours après le début de l'essai afin d'exclure les souches susceptibles de s'adapter après quelques jours de contact à la matiere active en laboratoire. En 1979, on a isolé pour la première fois, à partir de prélèvements de plein champ, des souches tolérantes à l ou 3 ppm de matière active. Une augmentation du nombre de souches résistantes a été constatèe en 1980. La croissance du mycélium et la germination des spores sont inhibées à peu prés de la meme manière. Les souches résistantes ne montrent pas de diminution de vigueur de Finfection sur pommes. L'efficacité de la lutte anti-botrytis n'est pas encore diminuee dans les parcelles qui ont un grand pourcentage de souches résistantes.  相似文献   

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