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1.
Summary Comparisons were made between droughted and irrigated crops in two field experiments conducted on cultivars of potato understood to exhibit a range of drought tolerance to identify important physiological attributes for drought tolerance. Drought reduced total dry matter production and tuber yields and increased tuber dry matter concentration. The better yield response of Désirée was due largely to the greater water content of its tubers. There were differences between cultivars in the number of tubers produced per unit area and in 1984 there were differences between treatments. Functional differences in canopy growth were revealed in differences in the fractions of incident solar radiation which were intercepted. The effects of drought were proportioned between components of yield, the principal effects being upon interception of solar radiation and on tuber dry matter concentration. Tuber number was an important factor influencing ware yield.
Zusammenfassung In zwei Feldversuchen wurden Pflanzen, die unter trockenen oder beregneten Verh?ltnissen aufwuchsen, im Hinblick auf die Rangfolge der Sorten für Trockenheitstoleranz untersucht; dabei sollten die Reaktionen auf Trockenheit und wichtige physiologische Merkmale für Trockenheitstoleranz herausgestellt werden. Die Messungen umfassten Variabelen bei den Pflanzen, Bodenfeuchtigkeit (Abb. 1) und aufgefangene Sonnenstrahlung. Trockenheit reduzierte die Produktion an Gesamttrockenmasse (Tabelle 1), dabei ergaben sich jedoch keine signifikanten Sortenunterschiede, der Ernteindex (Tabelle 1) ?nderte sich durch Trockenheit nicht signifikant ausser bei einer der Ernten. Die Knollenertr?ge (Tabelle 2), sowohl insgesamt als auch bei Marktware, wurden durch Trockenheit reduziert, und 1984 ergaben sich dabei statistisch signifikante Sortenunterschiede, aber im Falle der Gesamt-Trockenmasse-Produktion waren die Wechselwirkungen zwischen Behandlung und Sorte nicht signifikant. In beiden Versuchen ergaben sich Unterschiede zwischen den Sorten bei der Knollenzahl pro Fl?cheneinheit (Tabelle 3), und 1984 zeigten sich Unterschiede zwischen den Behandlungen. Die Gesamt-Trockenmasse-Produktion bei den Knollen (Tabelle 2) differierte zwischen den Sorten bei jeder Ernte; Trockenheit erzeugte h?here Werte als Beregnung. Die bessere Ertragsleistung bei Désirée war vor allem auf ihren gr?sseren Gehalt an Knollenwasser zurückzuführen (Tabelle 2). Funktionale Unterschiede in der Kraufl?che zeigten sich anhand der Fraktionen von einfallenden Sonnenstrahlungen, die eingefangen wurden (Abb. 2, 3). Akkumulierte Werte der eingefangenen Sonneneinstrahlungen (Tabelle 4) wurden zur Integrierung von Effekten bei der langsameren und geringeren Krautfl?che-Expansion bei trockenem Aufwuchs verwendet, diese zeigten sich bei jeder Sorte als signifikant geringer unter trockenen als unter feuchten Verh?ltnissen. Unterschiede in den Verh?ltnissen von Gesamt-Trockenmasse-Produktion zur Akkumulation eingefangener Sonnenstrahlung (Lichtausbeute-Koeffizienten) (Tabelle 4) ware statistisch nicht abgesichert. Der Einfluss von Trockenheit wirkte sich anteilm?ssig auf die einzelnen Ertragskomponenten aus (Tabelle 5), die Haupteffekte beruhen auf das Einfangen der Sonneneinstrahlung und auf die Knollen-Trockenmasse-Produktion. Bei der Beeinflussung des Ertrages von Marktware war die Zahl der Knollen ein wichtiger Faktor.

Résumé Des comparaisons ont été faites entre cultures non irriguées et irriguées dans deux champs d'expérimentation avec des variétés de pomme de terre présentant une gamme de tolérance à la sècheresse, de manière à étudier leur comportement et à déterminer les facteurs physiologiques les plus importants pour la résistance à la sècheresse. Les mesures étaient faites sur les variables de la plante, sur l'humidité du sol (figure 1) et les radiations solaires interceptées. La sècheresse réduisait la teneur totale en matière sèche (tableau 1) mais sans présenter de différences significatives entre les variétés. L'index de récolte (tableau 1) n'était pas perturbé significativement par la sècheresse à l'exception d'une date de récolte. Les rendements en tubercules (tableau 2) totaux et commercialisables étaient réduits par celle-ci et en 1984 des différences de rendement entre variétés étaient statistiquement significatives mais, comme pour la production de matière sèche totale, les intéractions entre traitements et variétés étaient non significatives Dans les deux expérimentations il y avait des différences entre variétés dans le nombre de tubercules produits par unité de surface (tableau 3) et en 1984, il y avait des différences entre traitements. La teneur en matière sèche des tubercules (tableau 2) différait selon les variétés pour chaque date de récolte et la sècheresse conduisait à un taux de matière sèche plus élevé que pour les cultures irriguées. Le meilleur rendement de Désirée était d?, en grande partie, à une forte teneur en eau de ses tubercules (tableau 2). Des différences dans la croissance du feuillage se retrouvaient dans les valeurs des radiations solaires incidentes interceptées (figures 2 et 3). Le cumul de celles-ci (tableau 4) était utilisé pour intégrer leur effet au niveau des plus lentes et des plus faibles croissances données par les cultures non irriguées pour chaque variété; il s'avérait être significativement inférieur dans les cultures non irriguées. Les différences trouvées dans les rapports entre la production de matière sèche et le cumul des radiations solaires interceptées (coefficient de conversion de la lumière) (tableau 4) étaient non significatives. Les effets de la sècheresse étaient proportionnels aux composantes du rendement (tableau 5) le principal effet étant celui de l'interception des radiations solaires sur la teneur en matière sèche des tubercules. Le nombre des tubercules était aussi un facteur important du rendement commercialisable.
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2.
Summary Tubers of potato cultivars Jaerla and Désirée were harvested in three successive years and the relationship between dry matter content and peroxidase activity of the sprouts and physiological ageing of the tubers during storage at 4 and 12°C was investigated. Dry matter content and peroxidase activity showed a good correlation with decreased sprouting capacity and incubation period.
Zusammenfassung Es wird der Einfluss der physiologischen alters von Pflanzknollen auf den Trockenmasse-Gehalt und die Peroxydase-Aktivit?t der Keime diskutiert. In dieser kombinierten Studie über drei Vegetationsperiode (1979–1981) wurden Pflanzknollen der Sorten Jaerla und Désirée von gleicher Herkunft, gelagert bei 4°C und 12°C, verwendet. Zu aufeinanderfolgenden Anfangsdaten wurden Knollenproben entkeimt (erste Keime), anschliessend liess man die Knollen bei 18°C und für vier Wochen erneut Keime bilden (zweite Keime). Bei ersten wie zweiten Keimen gleichermassen war der Trockenmasse-Gehalt am Anfang (ca. 100 Tage Lagerung) hoch, ging dann auf ein Minimum zurück und stieg endlich erneut auf einen ziemlich hohen Grad w?hrend des Alterns (Abb. 1 und 2). Bei 12°C waren die ?nderungen im Trockenmasse-Gehalt der zweiten Keime deutlicher als bei 4°C, vor allem bei Désirée. Die Peroxydase-Aktivit?t wurde bei beiden Sorten in den ersten Keimen von Knollen, die bei 12°C gelagert waren, gemessen. Bei Jaerla ergab sich ein scharfer Anstieg der Peroxydase-Aktivit?t nach ca. 200 Tagen, bei Désirée nach ca. 250 Tagen (Abb. 3). Der Anstieg des Trockenmasse-Gehaltes von zweiten Keimen und der Anstieg der Peroxydase-Aktivit?t bei ersten Keimen steht in Beziehung zum Rückgang der Keimungskapazit?t und den Anstieg der Inkubationsperiode (Daten von Hartmans & van Loon, 1987), nachdem ein Maximum bei der Keimungskapazit?t durchgangen worden war (Tabelle 1 und 2). Deshalb k?nnen sowohl Trockenmasse-Gehalt wie auch Peroxydase-Aktivit?t der Keime wirkungsvolle Mittel zur Charakterisierung des physiologischen Alterns der Saatkartoffeln sein.

Résumé L'influence de l'age physiologique du plant sur la teneur en matière sèche et sur l'activité péroxydasique des germes est discutée. Des études concertées sont réalisées pendant trois saisons (1979–1981) avec des plants des variétés Jaerla et Désirée de même origine et conservés à 4°C et 12°C. A des dates successives des échantillons de tubercules sont égermés (premiers germes), quis mis à prégermer à 18°C pendant quatre semaines (seconds germes). Dans les deux cas, premiers et seconds germes, la teneur en matière sèche des germes est élevée en début de conservation (100 jours), elle s'abaisse ensuite pour atteindre un minimum, augmente de nouveau et se maintient à un niveau relativement haut pendant la phase finale du vieillissement (figures 1 et 2). A 12°C les modifications de la teneur en matière sèche des seconds germes sont plus marquées qu'à 4°C, notamment pour la variété Désirée. L'activité de la péroxydase est mesurée pour les deux variétés dans les premiers germes des tubercules conservés à 12°C; elle augmente de fa?on importante après environ 200 jours pour Jaerla et après environ 250 jours pour Désirée (figure 3). L'augmentation de la matière sèche des seconds germes et de l'activité péroxydasique des premiers germes est en relation avec la diminution de la capacité germinative et la période d'incubation (selon Hartmans & van Loon, 1987) une fois passé le maximum de vigueur germinative (tableaux 1 et 2). Il est possible que la teneur en matière sèche et l'activité péroxydasique des germes puissent constituer un outil pour caractériser le vieillissement physiologique des tubercules de semence.
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3.
Summary Unreplicated plots of up to 29 varieties were grown for three years at a high plant density and until maturity when the dry matter content and canning characteristics of the 20–40 mm grade tubers were assessed. A low dry matter content was not always associated with freedom from breakdown on canning. Several varieties showed promise butMaris Peer was considered the best withArran Pilot andSutton's Foremost receiving qualified commendation.
Zusammenfassung Einzelparzellen von ungef?hr 2,3 m2 (ohne Wiederholung) wurden gegen Ende April der Jahre 1966–68 mit 22, 23 bzw. 29 Sorten bepflanzt, wie in Tabelle 1 aufgeführt. Da durch enges Pflanzen wahrscheinlich die erforderlichen kleinen Knollen produziert werden k?nnen und das Zerfallen der Knollen gef?rdert wird-was den Test strenger macht-, wurden Saatknollen im Quadratverband so ausgepflanzt, dass auf einen m2 258 Augen fielen. Beim Auspflanzen wurde nicht angeh?ufelt und andere mechanische Pflegearbeiten wurden sp?ter unterlassen; Unkr?uter, Sch?dlinge und Krankheiten wurden chemisch bek?mpft. Die Knollen wurden, ebenfalls um den Test strenger zu machen, zur Reifezeit geerntet. Muster in der Kalibrierung von 20–40 mm wurden bei 118°C w?hrend 30 Minuten mit einer L?sung von 2% Natriumchlorid und 0,75% Saccharose konserviert bzw. eingedost. Der Trockensubstanzgehalt wurde für andere Teilmuster dieser Knollengr?sse bestimmt. Zwei Personen erteilten die Noten für die Dosenkartoffeln in bezug auf Zerfallen (kein Zerfall=10), Geschmack (gut=10), Beigeschmack (keinen=10), Textur (weich=10), Farbe (weiss=10), Einheitlichkeit der Farbe (einheitlich=10) und Form (rund=10). Nur die Ergebnisse für Zerfallen, Farbe und Form wurden statistisch ausgewertet, da diese die wichtigsten Faktoren zur Unterscheidung der Sorten zu sein scheinen. Diese Analyse ist von beschr?nkter Anwendbarkeit, da nur für die im oberen Teil der Tabelle 1 aufgeführten Sorten genaue Vergleichsdaten vorliegen. Einige Sorten mit weniger als 20% Trockensubstanz zerfielen bei der Konservierung, w?hrend andere, zum BeispielAura undKipfler, zwar einen hohen Prozentsatz an Trockensubstanz aufwiesen, aber niemals zerfielen. Aehnliche Unterschiede im Trockensubstanzgehalt einer Sorte von Jahr zu Jahr waren ohne enge Beziehung zum Zerfallen. In Tabelle 2 sind diejenigen Sorten aufgeführt, die entweder weniger als 20% TS-Gehalt aufwiesen oder im Verlaufe von wenigstens 1 Jahr keine Note für das Zerfallen erhielten, die schlechter als 8 war. Bei Beurteilung der andern Eigenschaften wurde der Schluss gezogen, dassMaris Peer scheinbar die geeignetste Sorte darstellt, die in Grossbritannien als Dosenkartoffel akzeptiert würde. Nehmen wir jedoch an, dass die Ergebnisse beiArran Pilot im Jahre 1966 sehr aussergew?hnlich waren, so weisen die Erfahrungen von 1967 und 1968 zusammen mit den seither erzielten Resultaten deutlich darauf hin, dass diese Sorte für die Konservierung ebenfalls nützlich sein k?nnte. Einige andere Sorten (zum BeispielDr. McIntosh, Majestic, Red Craigs Royal undUlster Beacon) dürften in unreifem Zustand geeignet sein, aber die Schwankung in der Qualit?t ist wahrscheinlich gr?sser als beiMaris Peer oder eventuellArran Pilot.

Résumé Au cours des années 1966 à 1968, à la fin du mois d'avril, on a planté respectivement 22, 23 et 29 variétés, sur des parcelles de quelque 2,3 m2; il n'y avait pas de répétition. Les plants étaient disposés en carré à raison de 258 yeux par m2, de manière à réaliser le plus faible espacement nécessaire à la production des petits tubercules requis et augmenter le délitement; le test ainsi réalisé était très sévère. La plantation était faite sans buttage, aucune fa?on culturale n'était appliquée; la lutte contre les mauvaises herbes, les parasites et les maladies se faisait par voie chimique. Les tubercules étaient récoltés à maturité, de nouveau pour accroitre la sévérité du test; des échantillons de calibre 20–40 mm étaient mis en bo?te à 118°C pendant 30 minutes dans une solution de 2% de chlorure de sodium, et 0.75% de sucrose. Les déterminations du pourcentage de matière sèche ont été faites sur d'autres souséchantillons de tubercules de même grosseur. Deux personnes cotaient les tubercules traités en bo?tes pour délitement (aucun=10), la saveur (bonne=10), faux go?t (aucun=10), texture (tendre=10), couleur (blanc=10), uniformité de la couleur (uniforme=10) et forme (ronde=10). Seuls les résultats de délitement, de couleur et de forme sont analysés statistiquement, étant donné qu'ils paraissent être les plus importants pour la discrimination des variétés. Cette analyse est d'application limitée parce qu'on ne dispose de données exactement comparable que pour les variétés figurant à la partie supérieure du tableau 1. Quelques variétés avec une teneur en matière sèche inférieure à 20% se délitent au canning, tandis que d'autres, notammentAura etKipfler, qui présentent une haute teneur en matière sèche, ne présentent jamais le moindre délitement. Pareillement les différences d'une année à l'autre dans le pourcentage en matière sèche d'une variété ne sont pas étroitement liées au délitement. Le tableau 2 mentionne les variétés qui, soit, ont une teneur en matière sèche inférieure à 20%, soit, obtiennent des cotes de délitement inférieures à 8 une année au moins. Quand on considère les autres particularités, on conclut queMaris Peer est la variété la plus adéquate pour le canning dans le Royaume-Uni. Cependant, considérant comme vraiment exceptionnels les résultats d'Arran Pilot en 1966, considérant ensemble les résultats de 1967 et 1968 dans les très sévères tests successifs, on peut admettre que cette variété est également valable pour le canning. Plusieurs autres variétés (par ex.Dr Mc Intosh, Majestic, Red Craigs Royal etUlster Beacon) peuvent également convenir quand elles ne sont pas m?res mais les variations dans la qualité sont nettement plus grandes qu'avecMaris Peer ouArran Pilot.
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4.
Summary Heritability of resistance to puncturing of both unpeeled and peeled potato tubers using a penetrometer is demonstrated in routine breeding material. With 28 commercial varieties this resistance is shown to be correlated with the specific gravity and dry matter content, but not the nitrogen content of tubers. The latter character showed no evidence of genetic determination. Regression analyses show that virtually all the information on dry matter content is extracted by the regression on specific gravity alone, so the use of a penetrometer will probably be restricted to special circumstances.
Zusammenfassung In einem Routine-Züchtungsprogramm wurden Kartoffelknollen von Kreuzungen auf ihre Widerstandsf?higkeit gegen das Durchstossen mit der Nadel eines Penetrometers gemessen. Die Varianzanalyse der Ergebnisse 1962 (Tabelle 1) zeigt signifikante genetische Unterschiede zwischen und innerhalb der Nachkommenschaften. Signifikante Unterschiede zwischen Knollen des gleichen S?mlings wurden ebenfalls gefunden. 1964 wurde die Resistenz sowohl von gesch?lten als auch von ungesch?lten Oberfl?chen gemessen. Die Varianzanalysen waren ?hnlich wie jene von 1962, aber es gab keine Unterschiede zwischen den Nachkommenschaften. Es bestand eine enge Korrelation zwischen gesch?lten und ungesch?lten Knollen. Im Jahre 1970 wurden 28 Handelssorten auf ihre Widerstandsf?higkeit gegen das Durchstossen, auf das spezifische Gewicht sowie auf den Trockensubstanz- und Stickstoffgehalt geprüft. Genetische Schwankung wurde bei allen ausser dem letzten dieser Merkmale nachgewiesen (Tabelle 4), was darauf hinweist, dass keine M?glichkeit bestand, den N-Gehalt durch Züchtung in diesem Material zu erh?hen. Aehnliche ph?notypische und genetische Korrelationen bestehen zwischen allen Paaren dieser Merkmale, den Stickstoffgehalt ausgenommen (Tabelle 5). Jedes der Merkmale Spezifisches Gewicht, Trockensubstanzgehalt und Resistenz gegen das Eindringen sollte deshalb auf die direkte oder indirekte Auslese auf eines der korrelierten Merkmale ansprechen. Regressionsanalysen zur Ermittlung, ob der Trockensubstanzgehalt aus dem Spezifischen Gewicht ersehen werden k?nnte, ergaben, dass die Penetrometer-Messungen bei ungesch?lten und gesch?lten Knollen getrennt für sich wohl brauchbare Angaben lieferten; wurden sie in einer multiplen Regression zusammengefasst, so vermittelte nur das Spezifische Gewicht eine nützliche Information (Tabelle 6), wahrscheinlich waren die unabh?ngigen Variablen zu stark miteinander korreliert.

Résumé On a mesuré pour leur résistance au percement par la pointe d’un pénétromètre les hybrides de pomme de terre issus d’un programme habituel d’amélioration. L’analyse de la variance des résultats de 1962 (Tableau 1) révèle une variation génétique significative entre et à l’intérieur des descendances. On a également trouvé des différences significatives entre les tubercules d’une même plantule. En 1964 on a mesuré la résistance aussi bien sur les surfaces pelées que non pelées. Les résultats d’analyse de la variance (Tableaux 2 et 3) sont semblables à ceux de l’analyse 1962, mais il n’appara?t pas de différence entre les descendances. Il se révèle une haute corrélation entre les résultats sur tubercules pelés et none pelés. En 1970; vingt-huit variétés commercials, sont testées pour la résistance à la pénétration le poids spécifique, la teneur en matière sèche et la teneur en azote. Une variation génétique appara?t pour tous les caractères, sauf pour le dernier (Tableau 4), ce qui fait supposer qu’il n’y a aucune possibilité d’accro?tre les taux d’azote par l’amélioration dans ce matériel. De semblables corrélations phénotypiques et génétiques existent entre chaque paire de caractères sauf pour la teneur en azote (Tableau 5). Chacun de ces caractères-poids spécifique, teneur en matière sèche et résistance à la pénétration-répondrait donc à une sélection directe ou indirecte basée sur un des caractères corrélatifs. Les analyses de régression pour établir si la teneur en matière sèche pourrait être déduite du poids spécifique, le résultat du pénétromètre avec tubercules non pelés et le résultat du pénétromètre avec tubercules pelés révèlent que chacune de ces variantes constitue seulement un guide; quand elles sont combinées en une régression multiple, seul le poids spécifique donne une information utile (Tableau 6), probablement parce que les variantes indépendantes sont trop hautement liées à chacune des autres.
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5.
Summary Effects of set size, harvest date and stem density were examined with cv. Maris Peer and of stem density and harvest date with cv. Pentland Marble. At maturity average tuber weight for both varieties fell initially as density was increased becoming virtually constant at the higher densities, and was about 45% greater for Maris Peer than for Pentland Marble. Numbers of tubers/m2 were similar for each cultivar at low densities but were greater for Pentland Marble than for Maris Peer at high populations. Total yield at maturity for each variety was asymptotically related to density. Yields of canningsized tubers (20–40 mm) increased over the lower part of the density range becoming constant at about 70 stems/m2, and representing about 50% of the total yield for Maris Peer and over 80% for Pentland Marble.
Zusammenfassung Der Anbau von Maris Peer für die Verarbeitung auf Dosenkartoffeln (ganze Knollen) ist in Grossbritannien weit verbreitet. Vor kurzer Zeit ist Pentland Marble als eine speziell zur Verabeitung als Dosenkartoffel geeignete Sorte zum Anbau freigegeben worden. Diese Sorten wurden in getrennten, aber angrenzenden Versuchen angebaut, wobei bei Maris Peer die Einflüsse auf die Ertr?ge von vier Stengeldichten, zwei Pflanzknollengr?ssen und vier Erntedaten und bei Pentland Marble die Einflüsse von drei Stengeldichten und zwei Erntedaten untersucht worden. Einzelheiten der Verfahren sind in Tabelle 1 aufgeführt. Das durchschnittliche Gewicht der Tochterknollen von Maris Peer war vor der Reife der Knollen bei den grossen Mutterknollen gr?sser als bei den kleinen (Abb. 3). Zur Reifezeit fiel das durchschnittliche Knollengewicht anfangs, als die Bestandesdichte angestiegen war, stark; aber bei Bestandesdichten von mehr als ungef?hr 70 Stengeln/m2 waren die Werte innerhalb eines gegebenen Erntedatums ?hnlich. Die Knollenzahl/m2 erh?hte sich anf?nglich, als die Bestandesdichte von beiden Pflanzknollengr?ssen angestiegen war, aber bei Dichten von über 70 Stengeln/m2 war sie im wesentlichen konstant (Abb. 4a). Der Gesamtertrag verhielt sich also asymptotisch zur Bestandesdichte und grosse Knollen gaben nur beim ersten Erntedatum h?here Ertr?ge als kleine (Abb. 2). Zur Reifezeit stiegen die Ertr?ge in der für die Konserven-industrie ben?tigten Knollengr?sse (20–40 mm) in dem Masse, als die Bestandesdichte bis auf ungef?hr 70 Stengel/m2 angewachsen war; nachher blieben sie konstant. Der gr?sste Anteil am Gesamtertrag in der für die Konservierung ben?tigten Gr?sse betrug ungef?hr die H?lfte, und dieser Stand wurde ebenfalls bei etwa 70 Stengeln/m2 erreicht. Im Gegensatz dazu nahm der Ertrag an Speisekartoffeln (>40 mm) mit fortschreitendem Ansteigen der Bestandesdichte bis auf 70 Stengel/m2 ab. Bei noch gr?sseren Stengeldichten blieb er bei etwa der H?lfte des Gesamtertrages konstant. Das durchschnittliche Gewicht der Tochterknollen von Pentland Marble war weniger als die H?lfte desjenigen von Maris Peer bei vergleichbaren Stengeldichten zur Reifezeit (Abb. 3). Die Knollenzahl/m2 war bei geringen Stengeldichten bei beiden Sorten ?hnlich, aber bei grossen Stengeldichten erzeugte Pentland Marble bis zu 45% mehr Knollen/m2 als Maris Peer (Abb. 4b). Die Ertr?ge in der für die Konserven ben?tigten Knollengr?sse betrugen bei Unreife über 90% des Gesamtertrages und überstiegen bei Reife 80% des Gesamtertrages bei Dichten von über 70 Stengeln/m2 (Abb. 6). Der Ertrag an Speiseware war bei der ersten Ernte nicht bedeutend, aber bei der zweiten Ernte erreichte er einen hohen Anteil am Gesamtertrag bei kleiner Stengeldichte und weniger als 5% des Totals bei gr?sseren Dichten. Es wird angenommen, dass in einer gegebenen, aber durch Konkurrenz beeinflussten Umwelt die Knollenzahl pro Einheit Fl?che von der Menge der verfügbaren Assimilate bestimmt wird und dass daher auch für einzelne Sorten die Anzahl der Stengel pro Fl?cheneinheit zur Zeit des Beginns der Knollenbildung von Bedeutung ist. Niedrige Stengeldichten würden zur Bildung von weniger Knollen pro Fl?cheneinheit führen als hohe Stengeldichten, und bei Dichten über einem gewissen Stand w?ren die Assimilate konstant und führten zur Bildung einer konstanten Knollenzahl. Nachheriges Wachstum der Triebe und die verfügbaren Assimilate würden die sich daraus ergebende durchschnittliche Knolleng?sse bei einer gegebenen Stengeldichte bestimmen. Die Ertr?ge und Ertragskomponenten (Durchschnittsgewicht der Tochterknollen und Knollenzahl/Fl?cheneinheit) von Pentland Marble wiesen auf ein im Vergleich zu Maris Peer betr?chtlich gr?sseres Potential zur Produktion von Kartoffeln für die Konservenindustrie hin. Immerhin waren bei Pentland Marble relativ hohe Mengen an Pflanzgut von ungef?hr 10 t/ha n?tig, um zur Reifezeit einen hohen Anteil am Gesamtertrag in der für die Herstellung von Dosenkartoffeln geeigneten Gr?sse zu erreichen. Verwendung einer kleineren Pflanzkartoffelgr?sse k?nnte die ben?tigte Pflanzgutmenge heral setzen, ohne zu, einer Ertragsverminderung zu führen.

Résumé Maris Peer est cultivée sur une grande échelle au Royaume-Uni dans le but de satisfaire à toute la production de pommes de terre appertisées. Récemment, Pentland Marble a été abandonnée comme variété spécifique de l'appertisation. Ces variétés ont été mises en culture dans des expériences séparées mais attenantes dans lesquelles on a étudié, pour Maris Peer, les effets sur la production de quatre densités (de tiges), de deux séries de calibres et de quatre dates de récolte, et, pour Pentland Marble, les effets de trois densités, et deux dates de recolte. Les détails des traitements sont donnés dans le tableau 1. Le poids moyen des tubercules de la descendance de Maris Peer s'est révélé plus grand avec les gros plut?t qu'avec les petits plants dans le cas de récolte avant maturité (fig. 3). A maturité, le poids moyen par tubercule tombe d'abord rapidement quand augmente la densité, mais aux densités excédant 70 tiges par m2 environ, les valeurs sont semblables quelle que soit la date de la récolte. Le nombre de tubercules par m2 augmente d'abord avec l'accroissement de la densité et ce, pour les deux grosseurs de plants, mais le nombre devient constant lorsque les densités dépassent 70 tiges par m2 (fig. 4a). La relation entre la production totale et la densité est également asymptotique: les gros tubercules donnent une production plus élevée que les petits lors de la première récolte seulement (fig. 2). Les productions à maturité de tubercules de forme convenant à l'appertisation (20–40 mm) augmentent avec les densités jusqu'à la densité d'environ 70 tiges par m2, et restent constantes par après. La proportion maximale de la forme convenant à l'appertisation dans la récolte totale est d'environ la moitié, proportion qui est également atteinte à 70 tiges par m2 environ. Au contraire, la production ‘commerciale’ (>40 mm) diminue avec les augmentations progressives de densités jusqu'à 70 tiges par m2, et pour les densités supérieures, elle se maintient constante à environ la moitié de la production totale. A maturité et pour des densités comparables, le poids moyen d'un tubercule de la descendance de Pentland Marble est moindre que celui de Maris Peer (fig. 3). Aux faibles densités de population, les nombres de tubercules par m2 sont similaires chez Pentland Marble et chez Maris Peer, mais aux hautes densités, la première produit jusqu'à 45% en plus de tubercules par m2 que la seconde (fig. 4b). Lorsque les densités dépassent 70 tiges par m2, les productions de tubercules non m?rs de forme convenant à l'appertisation, représentent plus de 90% de la production totale, et, à maturité, dépassent 80% de la production totale (fig. 6). Les productions de tubercules commerciaux sont insignifiantes au premier arrachage, mals au second elle représentent une proportion élevée de la production totale lors des faibles densites et moins de 5% de la production totale aux densités plus élevées. Les résultats suggèrent que, dans un millea donné et sous l'influence de la competition, la quantité de matières assimilables disponibles détermine le nombre de tubercules par unité de surface au moment de l'initiation des tubercules. Avec de faibles densités, il y aurait un moindre nombre de tubercules ‘initiés’ par unité de surface qu'avec de hautes densités et, pour des densités au-dessus d'un certain seuil, les matières assimilables resteraient constantes, de là résulteralt un nombre constant de tubercules ‘initiés’. Le développement subséquent du feuillage, et de là, les quantités disponibles des matières assimilables auraient pour résultats de déterminer la grosseur moyenne des tubercules pour une densité donnée. Les productions et les divers facteurs de la production (poids moyen des tubercules de la descendance et nombre de tubercules par unité de surface), révèlent que Pentland Marble possède un potentiel de production de tubercules convenant à l'appertisation considérablement plus élevé que Maris Peer. De même, les co?ts relativement élevés des plants pour quelque 10 tonnes/ha sont nécessaires pour que Pentland Marble atteigne à maturité une proportion élevée, de la production totale, de tubercules convenant à l'appertisation. L'utilisation de plants de plus petit calibre peut diminuer les frais de plantation, sans qu'il en résulte une réduction de la production.
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6.
Summary The relationship between water shortage and tuber initiation and development in the cv. Maris Piper was examined in glasshouse experiments with several severities of water-stress induced by withholding water at different stages of plant growth. There was a direct reduction in tuber numbers per stem with increasing duration of water stress in plants deprived of water from the time when 50% of plants had emerged but not when water was withheld from the time of onset of initiation. Using the data from both years a statistically significant negative correlation was established between tuber number per stem and the number of days of soil moisture potential <−25 kPa.
Zusammenfassung Das Verh?ltnis zwischen Wassermangel im frühen Teil der Wachstumsperiode und der Knollenbildung bei der Sorte Maris Piper wurde in zweij?hrigen Gew?chshausversuchen, bei unterschiedlichen Phasen und unterschiedlicher Schwere des Wassermangels, untersucht. Die Pflanzen wuchsen in einem Torf-/ Sand-Gemisch in Beh?ltern. Das Wasser wurde von der Zeit des Aufgangs, der Knollen-Initiierung oder des ‘kleine-Knollen-Stadiums’ zurückgehalten (Serien A, B und C der Behandlungen; Tabelle 1) und daran anschliessend verabreicht (Tabelle 1, Abb. la, b). Die Kontrollbehandlung wurde w?hrend der gesamten Wachstumszeit gut gew?ssert. Sinkende Raten bei der Transpiration w?hrend des Wassermangels k?nnten durch den Wechsel des Bodenwasser-Potentials (Abb. 1a, b) und der Bodenfeuchtigkeits-Abgabekurve des Kompostes (Abb. 2) verursacht worden sein. In beiden Versuchen wurde die Knollenzahl pro Stengel in denjenigen Behandlungen reduziert, welche beim Auflaufen (A-Serien) begonnen worden waren. Die Knollenzahl war dagegen sogar bei ganz schwerem Stress nicht beeintr?chtigt, wenn die Behandlung nach der Periode der Knollen-Initiierung begonnen worden war (B- und C-Serien; Tabellen 2 und 3). Bei Verwendung der Daten der Kontrolle und der A-Serie der Behandlungen in beiden Versuchen zeigte die Knollenzahl pro Stengel (N) zum letzten Erntetermin hin zwischen der Zahl der Tage(D) und dem Bodenwasser-Potential eine Regression <−25 kPa. Die Knollenzahl als Audruck einer Proportion(Q) des Wertes der Kontrollbehandlung ergab zuD ebenfalls eine Regression. Beide Verh?ltnisse:N=7,20–0,16D undN=1,001–0,020D waren statistisch signifikant (P<0,001) bei 85 bzw. 76% der Varianz. Der Knollenertrag in Versuch 2 (Tabelle 3) war negativ korreliert mit der Dauer des Wasserstress(D) und die Gesamttrockenmasse zeigte den gleichen Trend. Der Trockenmassegehalt der Knollen zum letzten Erntetermin wurde durch die Behandlung nicht beeinflusst (21,2±1,5% und 23,0±0,7% in Versuch 1 bzw. 2). Im Versuch 2 verursachten der kontrastierende Effekt bei Wassermangel in den A- und B-Serien der Behandlungen auf Ertrag und Knollenzahlen Unterschiede in der Verteilung der Knollengr?sse (Abb. 3). In Behandlung A5 wurde die Reduktion der Knollenzahl durch die Ertragsreduzierung ausgeglichen, so dass sich die Knollengr?ssen von denen in der ungestressten Kontrolle nicht unterschieden. In Behandlung B5 dagegen war die mittlere Knollengr?sse niedriger; ausserdem ergab sich hier eine signifikant h?here Proportion kleiner Knollen (Abb. 3).

Résumé La relation entre un manque d'eau en début de végétation et l'initiation des tubercules est examinée sur deux années avec la variété Maris Piper. Les expériences ont lieu sous serre, à différents stades et différents degrés d'importance du déficit hydrique. Les plantes sont cultivées en containers dans un mélange tourbe-sable. L'eau est apportée au moment de la levée, de l'initiation des tubercules ou à la formation des petits tubercules (séries A, B et C des traitements) (tableau 1) et est approvisionnée par la suite (tableau 1, fig. 1a, b). Le témoin est bien pourvu en eau pendant toute la période. Les baisses du taux de transpiration pendant le déficit hydrique peuvent être déduites à partir des changements du potentiel capillaire (fig. 1a, b) et à partir du profil hydrique du compost (fig. 2). Dans les deux expériences, le nombre de tubercules par tige est réduit pour les traitements en début de levée (séries A) mais n'est pas modifié, même en cas assez grave de déficit hydrique, lorsque les traitements ont lieu après la période d'initiation des tubercules (séries B et C) (tableau 2, 3). A partir des valeurs du témoin et des séries A des deux expérimentations, il appara?t que le nombre de tubercules par tige(N) à la récolte finale diminue avec le nombre de jours(D) pour lesquels le potentiel capillaire est inférieur à 25 kPa. Le nombre de tubercules par tige exprimé par le rapport(Q) des valeurs du traitement sur celles du témoin, diminue également avecD. Les deux relationsN=7.20–0.16D etN-1.001–0.020D sont hautement significatives (P<0.001) et expliquent respectivement 85 et 76% de la variance. Dans la deuxième expérimentation (tableau 3) le rendement en tubercules est négativement correlé à la durée du déficit hydrique(D) et la production totale de matière sèche va dans le même sens. La teneur en matière sèche des tubercules à la récolte finale ne varie pas avec le traitement (21.2±1.5% et 23.1±0.7% respectivement pour les expérimentations 1 et 2). Dans l'expérience 2, les effets opposés du déficit hydrique, pour les traitements des séries A et B, sur le rendement et le nombre de tubercules, entra?nent des différences de répartition dans les calibres (fig. 3). Dans le traitement A5, la réduction du nombre de tubercules est reportée sur le rendement, ce qui ne modifie pas la répartition des calibres par rapport au témoin. Cependant, dans le traitement B5, le calibre moyen des tubercules est plus faible et la proportion de petits tubercules significativement plus élevée (fig. 3).
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7.
Summary Dry matter contents (D) of potatoes from different countries are compared. When allowance is made for a strong relation between maturity and D, the following sequence, in ascending order of D, is found: USA < Germany < Britain < Netherlands Social preferences seem to have played a large part in determining both international differences and the correlations between D and maturity.
Zusammenfassung Es wurden Vergleiche mit Trockensubstanzgehalten (D) von Kartoffeln aus verschiedenen L?ndern angestellt. Dabei wurden sowohl ver?ffentlichte wie unver?ffentlichte Daten verwendet, wenn n?tig wurden Zahlen über Unterwassergewicht, Spezifisches Gewicht oder St?rkeprozente mittels ver?ffentlichten Regressionsgleichungen in D umgewandelt. Die Hauptergebnisse sind in den Tabellen 1–3 zusammengefasst. Unter den europ?ischen Kartoffeln (Niederlande, Deutschland, Grossbritannien) besteht eine enge Beziehung zwischen D und der Reifezeit, so dass D um ungef?hr 1,15% bei jeder der drei folgenden Reifestufen ansteigt: sehr früh, früh, mitteisp?t und sp?t. Diese Beziehung ist bei den amerikanische Kartoffeln nicht augenscheinlich. Wo die Reifezeit in Betracht zu ziehen war, wurde die nachstehende Reihenfolge bei ansteigendem D festgestellt (Tabelle 4): USA < Deutschland < Grossbritannien < Niederlande. Soziale Beweggründe scheinen eine grosse Rolle bei der Bestimmung sowohl der internationale Unterschiede als auch der Korrelationen zwischen D und Reifezeit gespielt zu haben; letzterem Zusammenhang liegt jedoch m?glicherweise eine genetisch-physiologische Beziehung zugrunde, die durch soziale Einwirkungen überlagert und vielleicht verst?rkt wurde.

Résumé L'auteur a comparé les teneurs en matière sèche de pommes de terre provenant de differents pays. Il a utilisé à la fois des données publiées et non publiées; quand la nécessité s'en faisait sentir, des chiffres de poids sous eau, des poids spécifiques, ou des pourcentages d'amidon ont été convertis en matière sèche grace à des équations de régression publiées. Les principaux résultats sont résumés dans les tableux 1–3. Il y a une étroite relation, dans les pommes de terre européennes (Pays-Bas, Allemagne, Royaume-Uni), entre la matière sèche et la maturité dans le sens que la teneur en matière sèche augmente d'environ 1,15% à chacun des trois stades de la succession: très précoce, précode, demi-tardive et tardive. Cette relation n'appara?t pas chez les pommes de terre des Etats-Unis d'Amérique. Compte tenu de la maturité, le classement suivant par ordre croissant de teneur en matière sèche appara?t (tableau 4): Etats-Unis < Allemagne < Royaume-Uni < Pays-Bas. Des préférences sociales semblent avoir joué un grand r?le dans la détermination à la fois des différences internationales, et des corrélations entre teneur en matière sèche et maturité; dans le dernier cas, cependant, il y a probablement une relation sous-jacente de nature génético-physiologique qui cache et peut-être renforce les effects sociaux.
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8.
Surface area estimation of potato tubers   总被引:1,自引:0,他引:1  
Summary Surface areas of tubers of the potato cultivars Cara, Désirée, King Edward and Maris Piper were estimated empirically by measuring the area of adhesive tape required to cover each tuber surface. Measuring the area of thin peelings of all four cultivars underestimated tuber surface area, the degree of underestimation increasing with decreasing tuber size. ‘Shape factors’ (D), calculated as:D = surface area/volume2/3, varied with tuber size and variety (overall mean = 5.070±0.0245;n=56), but would be suitable for estimating the surface areas of similarly-sized tubers of a single cultivar. A mathematical model which used a surface integral to estimate a tuber's surface area from its axial dimensions and volume closely approximated to the empirical estimates of surface area for all four cultivars, and would be preferable to the use of shape factors when estimating surface areas of potatoes with variable shapes or unknownD values.
Zusammenfassung Es wurden verschiedene Methoden zur Sch?tzung der Oberfl?chengr?sse an Knollen der Kartoffelsorten Cara, Désirée, King Edward und Maris Piper verglichen. Die Knollenform war abh?ngig von Sorte und Gr?sse (Abb. 1A). Empirische Sch?tzungen der Oberfl?chengr?sse erhielt man, in dem mit Hilfe eines transportablen Fl?chenmeters der Fl?cheninhalt eines undurchsichtigen Klebebandes bestimmt wurde, das in dünnen Streifen von der Oberfl?che abgeschnitten worden war. Der ‘Formfaktor’ (D), der an Hand der Gleichung 1 errechnet wurde, war bei allen Sorten mit Ausnahme von Cara bei grossen Knollen gr?sser als bei kleinen. Cara hatte auch signifikant niedrigere Werte als die 3 anderen Sorten (Abb. 1B). Diese Variationen bei denD-Werten verursachten sorten- und gr?ssenabh?ngige Fehler in den Voraussagen mittels eines zuvor ver?ffentlichten Formfaktormodells (Abb. 2A). Bei allen Sorten wurde bei Fl?chenmessungen dünner Schalen die wahren Oberfl?chen stets untersch?tzt, wobei sich der Grad der Untersch?tzung mit der Verringerung der Knollengr?sse erh?hte (Abb. 2B). Dieser Effekt wurde auf die offenbare Reduktion des Knollenradius bezogen, die aus der Abplattung der Schalen bis auf eine begrenzte St?rke resultiert. Ein mathematisches Modell, das ein Oberfl?chenintegral (Gleichung 3 oder 4) zur Sch?tzung der Knollenoberfl?che an Hand der Achsenausdehnungen und des Volumens benutzte, ergab ohne signifikante Abh?ngigkeit von der Knollengr?sse bei allen 4 Sorten eine gute Ann?herung an die tats?chliche Oberfl?chengr?sse (Abb. 2C). Das Modell wurde verwendet, um die Sch?leffekte auf die Oberfl?chensch?tzung nachzuahmen, indem die Reduktion der Achsenausdehnungen durch die Schalendicke in die Rechnungen einbezogen wurde (Abb. 3A und 3B).

Résumé Différentes méthodes utilisées pour évaluer la superficie ont été comparées sur des tubercules des variétés Cara, Désirée, King Edward et Maris Piper. La forme des tubercules dépendait de la variété et de la taille de ceux-ci (fig. 1A). Empiriquement, l'évaluation de la superficie était obtenue en utilisant un ruban adhésif mince autour du tubercule et en mesurant la surface de celui-ci à l'aide d'un planimètre. Dans ce cas, les ‘facteurs de forme’ (D) calculés selon l'Equation 1 s'avéraient plus élevés pour les gros tubercules que pour les petits chez toutes les variétés sauf chez Cara: cette dernière ayant des valeurs significativement plus petites que celles des trois autres variétés (fig. 1B). Ces variations des valeurs deD, données par la variété et la taille des tubercules apportaient une erreur dans la prévision d'un modèle mathématique applicable à la forme (fig. 2A). La mesure par prélèvement d'une mince couche de peau sur toutes les variétés surestimait invariablement la supercifie des tubercules et cette surestimation s'accroissait avec la diminution de leur taille (fig. 2B). Cet effet pouvait être associé à une réduction apparente du rayon du tubercule due aux pelures d'épaisseur constante. Un modèle établi en fonction de la surface intégrale (Equation 3 ou 4) permettait d'évaluer la superficie du tubercule en fonction de ses dimensions axiales et de son volume et donnait une bonne approximation de la superficie réelle pour les quatre variétés, sans dépendance significative de la taille des tubercules (fig. 2C). Ce modèle était utilisé pour simuler les effets du pelage des pommes de terre par rapport à leur superficie en intégrant dans les calculs les dimensions des tubercules avant et après le pelage (fig. 3A et 3B).
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9.
Summary Experiments on crops of three cultivars of potato showed the effects of the relief of water stress towards the end of the growing season. Treatments imposed showed the starting condition and the responses of crops which were actively growing, newly had their tops removed, or were without active roots. Water was taken up only by tubers of plants with active roots, and there was no translocation of reserves from stem bases. Stress sprouting increased only in the treatments with intact roots, and only the sprouts of intact plants developed chained tubers. Growth cracking occured in the tubers of rooted plants of two of the crops. In the intact plants of the other crops average tuber fresh weight increased by 50% and dry weight by 35% showing that increased water uptake and rapid growth may be necessary but are not sufficient conditions for the formation of growth cracks.
Zusammenfassung Gegen Ende der Wachstumsperiode wurden den trocken-heissen Bedingungen des Somvier Kartoffelschl?ge mit drei Sorten, unter mers 1983 aufgewachsen, experimentellen Behandlungen unterzogen. 1. Die Pflanzen wurden geerntet, die Knollen gewogen, die Trockenmasse festgestellt und alle Abweichungen registriert. 2. Die Pflanzen wuchsen im Ganzen drei Wochen l?nger. 3. Zur Simulierung der Krautentfernung durch Schlagen wurden die Triebe entfernt. Wurzeln und Stolonen blieben intakt. 4. Die Pflanzen wurden gehoben, die Knollen von ihren Stolonen abgetrennt und wieder eingegraben. Die Pflanzungen erhielten 25 mm Beregnung und 10 mm Regen in 24 Stunden, drei Wochen sp?ter nochmals 60 mm Regen. Die Knollen in den Behandlungen 2 und 3 nahmen im Frischgewicht zu (Tab. 1). Nur in Behandlung 2 ergab sich ein Anstieg beim Trockengewicht—der prozentuale Anteil der Knollen-Trockenmasse fiel jedoch (Tab. 1). Es ergaben sich keine deutlichen Verlagerungen von Reserven von der Stengelbasis oder der Wasseraufnahme über die Peridermis der Knollen (Behandlung 4). Nur bei aktiven Wurzeln zeigten sich in zwei Best?nden Wachstumsrisse, ‘Mangelsprosse’ und Sekund?rknollen (Tab. 1). In der Sorte Record stieg der Anteil rissiger Knollen von 4% auf 16% der ursprünglichen Knollen, bei einem Bestand von Maris Piper von 1% auf 18%. Die Messung der durchschnittlichen Knollengr?sse (Tab. 2) zeigt, dass in Behandlung 2 der Best?nde ohne Wachstumsrisse das Frischgewicht um fast 50% und das Trockengewicht um 35% anstieg. Die Ergebnisse zeigen, dass fluktuierende Bodenfeuchtigkeit und rapider Wechsel in der Knollen-Wachstumsrate an sich noch keine ausreichenden Bedingungen für Wachstumsrisse darstellen. Die Erkl?rung, warum an einigen Knollen Wachstumsrisse entstehen, an anderen jedoch nicht, bedarf weiterer Untersuchungen.

Résumé En fin de période de végétation et durant la période de sécheresse de l'été 1983, quatre expérimentations ont été réalisées sur 3 variétés: 1. Les plantes ont été arrachées et les tubercules pesés; leur teneur en matière sèche a été mesurée et aucune anomalie n'a été constatée. 2. Les plantes ont été maintenues encore 3 semaines en végétation. 3. Les tiges ont été supprimées afin de simuler un défanage chimique. Les racines et les stolons sont gardés intacts. 4. Les plantes ont été arrachées et les tubercules séparés de leurs stolons avant d'être remis en terre. Les cultures ont re?u 25 mm d'eau par irrigation et 10 mm de pluie en 24 h, suivi d'une pluviométrie de 60 mm en 3 semaines. Le poids frais des tubercules des traitements 2 et 3 a augmenté (tabl. 1). Le poids sec a augmenté uniquement dans le traitement 2 mais la teneur en matière sèche a diminué (tabl. 1). Le transfert des réserves à partir de la base des tiges ainsi que l'absorption en eau à travers le périderme des tubercules (traitement 4) ne sont pas significatives. Des crevasses, des germinations anormales et des tubercules de seconde génération ont été observés dans les deux traitements ou l'activité des racines a été maintenue (tabl. 1). Pour la variété Record, le taux de crevasses augmente de 4 à 16% par rapport aux tubercules initiaux et de 1 à 18% dans une culture du cv. Maris Piper. On constate que, sur la taille moyenne des tubercules (tabl. 2), le poids frais dans le traitement 2 a augmenté de presque 50% et le poids sec de 35% pour les 2 cultures n'ayant pas présenté les phénomènes de crevasses. Les résultats montrent que la variation d'humidité de sol et le changement rapide de la croissance des tubercules n'expliquent pas à eux seuls les formations de crevasses. Des études complémentaires sont souhaitables afin d'expliquer les raisons pour lesquelles certains tubercules crevassent et d'autres non.
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10.
Summary Majestic potatoes were sprayed with N-dimethylaminosuccinamic acid (B9) as tubers were forming and again 2 weeks later. Treated plants had shorter stems and less leaf area than untreated plants but the same total leaf dry weight, because dry weight per unit area was increased. Plants sprayed with B9 at 5 g/l had 20% less leaf area than untreated plants at the time of maximum leaf area (end of July). Treatment increased tuber number, and increased rate of tuber growth, especially soon after spraying. The effects of seed size and B9 on tuber number were independent. Checking top growth increased tuber growth rate at first, implying that the leaves became more efficient in increasing tuber dry weight.
Zusammenfassung Saatkartoffeln der SorteMajestic mit einem Knollengewicht von 40 bis 100g wurden am 16. April 1965 ausgepflanzt; am 16. Juni (Ernte 1), zur Zeit der Knollenbildung also, wurden einige Pflanzen zwecks Bestimmung der Blattfl?che sowie der Trockensubstanz von Pflanzenteilen als Muster entnommen. Einige Parzellen wurden mit dem Wachstumsregulator N-dimethylamino-Bernsteins?ure (B9) mit einer Konzentration von entweder 1 g/l oder 5 g/l besprüht. Am 30. Juni wurden wieder Pflanzen als Muster entnommen (Ernte 2). Weitere Muster wurden am 28. Juli, 25. August und 4. Oktober entnommen (Ernten 3, 4 und 5). B9 hatte wenig Einfluss auf das Blattgewicht, weil es das Trockensubstanzgewicht pro Fl?cheneinheit erh?hte, obwohl es die Blattfl?che pro Pflanze verkleinerte. Die Stengel wurden stark verkürzt (Abb. 1) und ihr Trockensubstanzgewicht verringert. Durch das Besprühen wurde das Knollengewicht erh?ht, besonders kurz nach dem Spritzen. Das gesamte Pflanzengewicht wurde durch die Behandlung nicht signifikant beeinflusst (Tabelle 1 und 2). Der Blattfl?chenindex von behandelten Pflanzen (Konzentration 5 g/l) war 20% geringer als von unbehandelten bei der 3. Ernte (Abb. 2). Die Behandlung hatte eine gr?ssere Knollenzahl zur Folge (Tabelle 3). Die Saatgutgr?sse beeinflusste die Wachstumsrate und die Knollenzahl ebenfalls (Abb. 4). Die Einflüsse von Saatgutgr?sse und B9 auf die Knollenzahl waren voneinander unabh?ngig. Hemmung des Triebwachstums bewirkte, dass sich mehr Trockensubstanz in den Knollen bildete. In Tabelle 4 wird die Netto-Assimilations-rate der ganzen Pflanze (Ep) mit der Netto-Akkumulationsrate der Trockensubstanz in den Knollen (Et) verglichen. Es hat den Anschein, dass der Wachstumsregulator zwei verschiedene Wirkungen auf die Kartoffelpflanze hatte: erstens erh?ht er den Prozentsatz an Trockensubstanz, die in die Knollen einwandert, und zweitens erh?lt er den Blattfl?chenindex n?her beim optimalen Wert. Obwohl durch das Besprühen die Blattfl?che abnahm, blieb der Endertrag an Trockensubstanz in den Knollen unbeeinflusst. Der Wachstumsregulator f?rderte Zwiewuchs und Wassergehalt der Knollen (Abb. 3). Die Nachkommenschaft von Knollen behandelter Pflanzen wuchs anfangs langsamer als Nachkommen unbehandelter Pflanzen, entweder weil der Wachstumsregulator in den Knollen fortbestand oder weil der Wachstumsregulator die Menge an endogenen Wachstumssubstanzen verringerte.

Résumé Des plantes de pomme de terreMajestic de calibrage compris entre 40 et 100 g ont été plantés le 16 avril 1965 et quelques plantes étaient échantillonnées le 16 juin (Récolte 1), juste à la formation des tubercules, pour déterminer la surface foliaire et la matière sèche des parties de la plante. Certaines parcelles furent pulvérisées avec le régulateur de croissance acide N-diméthylaminosuccinamique (B9) à une concentration soit 1 g/l, soit 5 g/l. Des plantes étaient échantillonnées de nouveau le 30 juin (Récolte 2) et les mêmes parcelles pulvérisées avec B9. D'autres échantillons furent prélevés les 28 juillet, 25 ao?t et 4 octobre (Récoltes 3, 4 et 5). B9 a peu d'effet sur le poids des feuilles parce que s'il diminue la surface foliaire par plante, il augmente le poids sec par unité de surface. Les tiges sont fortement raccourcies (Fig. 1) et leur poids sec diminué. La pulvérisation augmente le poids du tubercule particulièrement aussit?t après le traitement. Le poids total de la plante n'est pas significativement affecté après le traitement (Tableau 1 et 2). L'index de surface foliaire des plantes traitées avec 5 g/l est 20% en moins que celui du témoin de Récolte 3 (Fig. 2). Le traitement accro?t le nombre de tubercules (Tableau 3). Le volume du plant influence aussi la vitesse de croissance et le nombre de tubercules (Fig. 4). Les effects du volume du plant et de B9 sur le nombre de tubercules sont indépendants. L'arrêt de la croissance du sommet provoque une plus grande accumulation de matière sèche dans les tubercules et le Tableau 4 donne la comparaison du cours de l'assimilation nette de matière sèche de la plante entière (Ep) et des tubercules (Et). Il appara?t que le régulateur de croissance a deux actions distinctes sur la plante de pomme de terre (1) il accro?t le pourcentage de matière sèche qui pénètre dans le tubercule, et (2) il maintient l'index de surface foliaire plus proche de la valeur optimale. Bien que la pulvérisation diminue la surface foliaire, la production finale de matière sèche dans les tubercules n'est pas affectée. Le régulateur de croissance accro?t une seconde croissance et la teneur en eau des tubercules (Fig. 3). La descendance des tubercules des plantes traitées poussent d'abord plus lentement que la descendance de plantes non traitées soit parce que le régulateur de croissance persiste dans les tubercules, soit parce que le régulateur de croissance diminue la quantité de substances de croissance endogènes.
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11.
Summary Potatoes are subject to pronounced alterations during canning. The quality of canned potatoes is influenced by several factors. In this paper the results of determinations of the following constitutents and properties in the raw and treated product are reported: specific gravity, dry matter content, starch and cell wall material. Potatoes of two German varieties suitable for canning, grown on two soils and divided into two size ranges have been used. The processing conditions have been varied between 120°C for 12 min and 130°C for 1 min. The eating quality was established by sensory evaluation. The composition of the potato is influenced by growing conditions and differs from size to size. The eating quality is determined to some degree by the composition, but more important factors are the processing conditions. Therefore the constituents of the raw product do not allow a sure prediction of the eating quality.
Zusammenfassung Kartoffeln werden bei thermischen Behandlunggen nicht unerheblich ver?ndert. Der Genusswert hitzesterilisierter Kartoffeln wird ausser von den Prozessbedingungen auch von anderen Faktoren wie Sorte, Anbau- und Lagerungsbedingungen beeinflusst, die schliesslich die Zusammensetzung des Ausgangsmaterials bestimment. Mit dieser Arbeit wurde versucht, Zusammenh?nge zwischen einigen Inhaltsstoffen, physikalischen Eigenschaften und dem Genusswert hitzesterilisierter Kartoffeln zu beschreiben. Es wurden zwei deutsche Sorten,Clivia undDigna, aus zwei Anbaugebieten und mit zwei Sortierungen verwendet. Folgende Bestimmungen erfolgten mit dem Ausgangsmaterial und mit verarbeiteten Kartoffeln: Spezifisches Gewicht, St?rke, Amylose, Amylopektin, Zellwandmaterial, Pektin- und Ca-Gehalt des Zellwandmaterials sowie Polyuronidanteil des Pektins. Durch Variation der Sterilisationstemperatur zwischen 120 und 130°C konnte der Einfluss der Prozessbedingungen mit erfasst werden. Der Genusswert wurde sensorisch unter Berücksichtigung von Farbe, Form, Geruch, Geschmack und Konsistenz bestimmt. In der Tabelle 1 sind die Ergebnisse der chemischen Analysen des Ausgangsmaterials zusammengefasst. Mit zunehmendem Gehalt an Trockensubstanz nimmt auch der Gehalt der anderen untersuchten Bestandteile zu, wobei aber die absoluten Werte von Sorte zu Sorte variieren. Somit kann nicht generell vom Gehalt an Trockensubstanz auf den Gehalt an Zellwandmaterial z.B. geschlossen werden. Die entsprechenden Ergebnisse bei sterilisierten Kartoffeln sind den Tabellen 2–4 zu entnehmen. W?hrend des Sterilisationsprozesses werden alle Inhaltsstoffe mehr oder weniger stark ausgelaugt, wobei Sorte, Herkunft und Gr?sse der Kartoffeln einen gr?sseren Einfluss haben als die Prozessbedingungen. Bei der Ver?nderung des Gehaltes der Zellwandbestandteile dagegen überwiegt der zuletzt genannte Parameter. Die in Abb. 1 zusammengefassten Ergebnisse der sensorischen Analysen zeigen den dominierenden Einfluss der Verarbeitungsbedingungen auf den Genusswert. Je geringer die thermische Belastung, desto besser ist die Qualit?t. Die optimalen Prozessbedingungen sind jedoch für beide Sorten verschieden. Aus den Ergebnissen der Untersuchungen lassen sich zwei Feststellungen ableiten. Einmal ergibt sich eine Abh?ngigkeit der Qualit?t des Endproduktes von der Zusammensetzung der rohen Kartoffeln. Im Falle der SorteDigna ist dies st?rker ausgepr?gt als beiClivia. Innerhalb einer Sorte k?nnen durchaus Rückschlüsse aus der Zusammensetzung auf den Genusswert gezogen werden. Betrachtet man jedoch mehrere Sorten, so scheint eine gültige Voraussage kaum m?glich zu sein. Die zweite Feststellung betrifft den Einfluss der Verarbeitungsbedingungen, der den der Zusammensetzung deutlich übertrifft.

Résumé Le traitement à la chaleur soumet les pommes de terre à des altérations prononcées. La valeur de consommation de pommes de terre appertisées est influencée non seulement par la technique de fabrication, mais aussi par d'autres facteurs tels que la variété, les conditions de culture et de conservation, facteurs qui déterminent la composition du matériel cru. La présente recherche tente d'établir des corrélations entre quelquesuns des constituants chimiques et leurs propriétés physiques avec la valeur de consommation des pommes de terre appertisées. Duex variétés allemandes ont été utilisées,Clivia etDigna, qui ont poussé dans deux terrains et á partir de deux grosseurs de plants. Ont été déterminés dans le matériel cru et dans le produit traité, le poids spécifique, la teneur en matière sèche, fécule, amylose et amylopectine, la matière des parois cellulaires, la teneur en pectine de la matière des parois cellulaires, la teneur en polyuronide de la pectine, la teneur en calcium de la matière des parois cellulaires. Diverses conditions de fabrication comprises entre 120 et 130°C ont été utilisées pour déterminer l'influence du traitement. La valeur de consommation a été établie par détermination sensorielle de la couleur, de la forme, de l'odeur, du go?t et de la consistance. Les résultats des analyses chimiques du matériel cru sont résumés dans le tableau 1. L'accroissement de la teneur en matière sèche semble être équivalente à l'accroissement des teneurs de tous les autres constituants recherchés. Mais les valeurs absolues diffèrent d'une variété à l'autre. Donc il n'est pas possible par exemple de déduire la teneur de la matière des parois cellulaires de la teneur en matière des parois cellulaires de la teneur en matière sèche. Les résultats correspondants pour le produit appertisé sont résumés dans les tableaux 2 à 4. Durant l'appertisation, tous les constituants, hormis la matière des parois cellulaires, sont lessivés et ce lessivage dépend essentiellement de la variété, de l'origine et de la grosseur des pommes de terre et, dans une certaine mesure, des conditions de traitement. Les modifications des teneurs en pectine, polyuronide et calcium sont influencées principalement par le traitement, ce qui indique une considérable dégradation des parois cellulaires. On peut conclure des résultats de détermination par les sens, représentés dans la figure 1, que la valeur de consommation est déterminée en tout premier lieu par le procédé de fabrication. Généralement, la qualité est meilleure lorsque le produit ‘température x durée d'action’ est faible, mais les conditions optimales diffèrent chez les deux variétés. Synthétisant tous les résultats, on peut dire: La valeur de consommation du produit final est influencée par la composition des pommes de terre. Ce phénomène est plus marqué chezDigna que chezClivia. Cependant, chez une variété connue, on peut déduire une corrélation entre la valeur de consommation et la composition chimique. Toutefois, une prévision valable est douteuse si on prend en considération différentes variétés. En second lieu, il est établi que l'influence des conditions de fabrication est beaucoup plus marquée que celle de la composition des pommes de terre.
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12.
Summary The differences in black spot susceptibility between potato varieties and samples of different origin cannot be explained by differences in tyrosine content or phenoloxidase activity of the tubers. Only 5–15% of the cells in a bruised part of the tissue are damaged and discoloured. Potato tubers, dissimilar in black spot susceptibility, have different potassium and dry matter contents. No differences exist in firmness and osmotic values. If the potassium supply is not limiting growth, the potassium content of potato tubers is about 650 meq. (25,4 g) per kg dry matter. Negligible black spot occurs in potatoes grown on silt soils in The Netherlands if the potassium content of the tubers exceeds 650 meq. per kg dry matter.
Zusammenfassung Die Unterschiede in der Empfindlichkeit für Blaufleckigkeit zwischen Kartoffelsorten und Mustern verschiedener Herkunft k?nnen nicht durch die Unterschiede im Tyrosingehalt oder in der Phenoloxydase-Aktivit?t der Knollen erkl?rt werden (Abb. 1, Tabelle 1). Das Fehlen einer Korrelation mit dem Tyrosingehalt und die Tatsache, dass die ?nderung dieses Gehalts w?hrend der Reifezeit, verglichen mit den Unterschieden zwischen den Sorten, gering ist, weisen darauf hin, dass die Erntezeit, was ihren Einfluss auf den Tyrosingehalt betrifft, das Vorkommen von Blaufleckigkeit nich beeinflusst (Tabelle 2). In einer besch?digten Zelle wird das Tyrosin vollst?ndig in Melanin umgewandelt. Nur 5–15% der Zellen, im gequetschten Teil des Gewebes gleichm?ssig verteilt, werden verf?rbt. Kartoffelknollen, die in ihrer Empfindlichkeit für Blaufleckigkeit ungleich sind, weisen unterschiedliche Kalium- und Trockensubstanzgehalte auf. Keine Unterschiede bestehen in der Festigkeit des Fleiches und den osmotischen Werten (Tabelle 4). Wenn die Kaliumgabe das Wachstum nicht beschr?nkt, betr?gt der Kaliumgehalt der Kartoffelknollen ungef?hr 650 meq. (25,4 g) pro kg Trockensubstanz (Tabelle 5, Abb. 2). Auf den Tonb?den im Südwesten der Niederlande ist es schwierig. Kartoffeln mit einem Kaliumgehalt von über 650 meq. pro kg Trockensubstanz zu erzeugen (Tabelle 6). Nur geringfügige Blaufleckigkeit kommt bei Kartoffeln aus diesen B?den vor, wenn der Kaliumgehalt 650 meq. pro kg Trockensubstanz übersteigt (Abb. 5).

Résumé Les différences dans la susceptibilité aux taches noires entre variétés de Pomme de terre et entre échantillons de diverses origines ne peuvent s'expliquer par des différences de teneur en tyrosine ou d'activité de la phénoloxydase des tubercules (Fig. 1, Tableau 1). Ce manque de corrélation avec la teneur en tyrosine et le fait que cette teneur est faible pendant la maturation comparée aux différences variétales suggèrent que le moment de l'arrachage, pour autant qu'il ait une action sur la tyrosine, n'influence pas l'incidence des taches noires (Tableau 2). Dans une cellule endommagéc la tyrosine est complétement convertie en mélanine. Seulement 5–15% des cellules, réparties uniformément sur la partie contusionnée du tissu, sont décolorées. Des tubercules de Pomme de terre, différents dans leur susceptibilité aux taches noires, ont des teneurs différentes en potassium et matière sèche. On n'aper?oit aucune différence dans la fermeté et valeur osmotique (Tableau 4). Si un apport complémentaire de potassium ne limite pas la croissance, la teneur des tubercules en cet élément est d'environ 650 méq. (25,4 g) par kg de matière sèche (Tableau 5, Fig. 2). Dans les sols argileux du sud-ouest de la Hollande il est difficile de récolter des pommes de terre avec des teneurs en potassium supérieures à 650 meq. par kg de matière séche (Tableau 6). L'apparition de taches noires est négligeable dans les tubercules récoltés sur ces sols si la teneur en potassium excède 650 meq. par kg de matière sèche (Fig. 3).
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13.
Summary The distribution patterns of dry matter, starch, reducing sugars and total nitrogen were studied in the varietyBintje, stored at 10 C with and without sprout inhibitor. The cortex contained more dry matter and starch, though less reducing sugars and total nitrogen than the medulla. The highest dry matter (starch) content was in the cortical layer of the middle part of the tuber. In the medullary region the lowest total nitrogen was towards the rose end. During storage the differences in carbohydrate contents between cortex and medulla increase. Storage appears to results in a small accumulation of sugars which was somewhat higher in the sprouting tubers not treated with inhibitor. There was no evidence of an influence of the sprout inhibitor (IPC, CIPC) on the distribution pattern.
Zusammenfassung Die vorliegende Ver?ffentlichung befasst sich mit Untersuchungen über die Verteilung und die Ver?nderungen von Inhaltsstoffen, wie Trockensubstanz, St?rke, reduzierende Zucker und Gesamtstickstoff in morphologisch verschiedenen Teilen der Kartoffelknolle (SorteBintje) w?hrend der Aufbewahrung bei 10 C. Ein Teil der Knollen wurde zu Beginn der Lagerung mit einem Gemisch von IPC und CIPC behandelt. In Tabelle 1 sind die verwendeten Zeichen erkl?rt. Es wurden getrennte Analysen vom Kronenende, vom mittleren Teil und vom Nabelende vorgenommen, wobei diese Partien noch in Markgewebe (Medulla) und Rindengewebe (Cortex) unterteilt worden sind (Abb. 1). Von jedem Muster wurden w?hrend der Aufbewahrungszeit vom November 1964 bis April 1965 monatliche Analysen durchgeführt. In Tabelle 2 und 3 sind die Ergebnisse zusammengefasst. Tabelle 4 zeigt die Ergebnisse einer Varianzanalyse für die Gehalte und auch für die Gehaltsdifferenzen zwischen Cortex und Medulla. Tabelle 5 zeigt, welche Gehaltsdifferenzen in der Knolle signifikant sind, w?hrend Tabelle 6 den Einfluss der Zeit auf die Differenz zwischen Cortex und Medulla illustriert. Bezüglich der Verteilung der genannten Inhaltsstoffe l?sst sich folgendes beobachten. Trockensubstanz- und St?rkegehalt sind im Rindengewebe h?her als im Markgewebe. Das Rindengewebe im mittleren Teil der Knolle weist einen H?chstgehalt für diese Stoffgruppe auf. Der Gehalt an reduzierenden Zuckern ist im Markgewebe h?her als im Rindengewebe. W?hrend der Aufbewahrung bei 10 C zeigt sich für Trockensubstanz (St?rke) und Zuckergehalt eine zunehmende Divergenz zwischen Mark und Rinde. Auch der Abbau von Kohlehydraten ist im Markgewebe ausgepr?gter als im Rindengewebe. Der Gesamtstickstoffgehalt ist im Markgewebe h?her als im Rindengewebe. Im Markgewebe l?sst sich der niedrigste Gehalt am Kronenende feststellen. Der Einfluss der Aufbewahrungszeit kennzeichnet sich im allgemeinen durch eine geringe Anh?ufung von Zuckern, welche, im Vergleich zu den behandelten Knollen, in den unbehandelten Knollen etwas h?her ist. Da die Wasserverluste bei keimenden Knollen h?her sind, zeigt der anfangs abnehmende Trockensubstanzgehalt am Ende der Aufbewahrungsperiode wieder eine Zunahme. Es war in diesem Falle nicht m?glich, diese Unregelm?ssigkeit zu korrigieren, da die Analysen nicht zur Erhaltung von absoluten Werten vorgenommen worden sind. Es konnte kein Einfluss der Keimhemmungsmittel auf die Verteilung der Inhaltsstoffe in den Knollen nachgewiesen werden. M?glicherweise k?nnte ein solcher bei einer l?ngeren Aufbewahrungszeit unter h?heren Temperaturbedingungen noch eintreten. Die Ergebnisse k?nnen bei der Verarbeitung von Kartoffeln praktische Bedeutung haben, da beim Schneiden der Knollen mit dieser Verteilung zu rechnen ist.

Résumé La présente publication relate les recherches sur la répartition et l'évolution des composants tels que substance sèche, amidon, sucres réducteurs et matière azotée totale dans les différentes parties morphologiques du tubercule (var.Bintje) au cours de la conservation à 10 C. Une partie des tubercules ont été traités au commencement de la conservation avec un mélange de IPC et CIPC. Tableau 1 donne la signification des symboles utilisés. On a exécuté des analyses séparées de l'extrémité de la couronne, de la section moyenne et du bout du hile, lesquelles parties ont en outre été partagées en tissu médullaire et tissu cortical (Fig. 1). Une analyse de contr?le était faite chaque mois sur chaque échantillon pendant la conservation de novembre 1964 à avril 1965. Les résultats sont rassemblés dans les Tableaux 2 et 3. Tableau 4 donne les résultats d'une analyse de la variance des teneurs et des différences de teneurs entre l'écorce et la moelle. Tableau 5 montre les différences de teneurs dans le tubercule qui sont significatives, tandis que le Tableau 6 illustre l'effet du temps sur les différences entre l'écorce et la moelle. On peut faire les observations suivantes au sujet de la répartition des composants sus-nommés. La matière sèche et la teneur en amidon sont plus élevées dans le tissu cortical que dans le tissu médullaire. Le tissu cortical de la partie médiane du tubercule montre la teneur la plus élevée des substances de ce groupe. La teneur en sucres réducteurs est plus élevée dans le tissu médullaire que dans le cortex. Pendant la conservation à 10 C, se révèle une divergence croissante entre la moelle et le cortex pour la matière sèche et la teneur en sucres. La dégénérescence des hydrates de carbone est également plus marquéc dans la moelle que dans le cortex. La teneur en matière azotéc totale est plus haute dans le tissu médullaire que dans le tissu cortical, tandis que dans la moelle la teneur la plus basse appara?t à la couronne. L'influence de la durée de conservation se caractérise d'une manière générale par une accumulation de sucres, laquelle est quelque peu plus haute dans les tubercules non traités que dans les tubercules traités. Comme les pertes d'eau sont plus élevées chez les tubercules en germination, la teneur en matières sèches, décroissante au commencement, montre de nouveau une augmentation à la fin de la période de conservation. Il n'a pas été possible de supprimer cette cause d'erreur car les analyses n'ont pas visé à des déterminations de valeurs absolues. On n'a décelé aucune influence des inhibiteurs de germination sur la répartition des composants du tubercule. Mais il est possible que cette influence se serait marquée par une période de conservation plus longue sous des conditions plus élevées de température. Ces résultats peuvent avoir une signification pratique pour l'industrie de la transformation des pommes de terre, puisque le sectionnement des tubercules met l'industriel devant cette répartition des composants.
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Summary Sprout dry weight accumulation was stimulated by an increase in the amount of tuber substrate available. Wounding had an additional promotory effect on both dry weight accumulation and extension growth. Sprout dry weight accumulation from tuber cores of the same fresh weight was enhanced by an increase in the diameter of the core when samples were planted either in perlite or UC compost. In compost, elongation rates of both main and branch sprouts were inversely related to core fresh weight but positively related to core diameter when fresh weight was kept constant. The number of branch sprouts per eye was positively related to core fresh weight.
Zusammenfassung Der Verlauf des Keimwachstums wurde mit Knollen, die in verschiedenen Abst?nden vom keimenden Auge verletzt waren. untersucht. Die Inkubation erfolgte bei 12°C im Dunkeln in feuchtem ‘University of California’ Kompost. Obwohl die Steigerung des Keimtrockengewichtes mit der Zunahme an verfügbarem Knollensubstrat erh?ht wurde, hatte die Verletzung noch einen zus?tzlichen steigernden Einfluss, sowohl auf das Keimtrockengewicht als auch auf das L?ngenwachstum, das noch st?rker gef?rdert wurde (Abb. 1). Wahrscheinlich sind sowohl das Ausmass der Verletzung als auch der Abstand der Verletzung vom Keim wichtig in bezug auf den Wachstumseinfluss. Der Einfluss der Gr?sse der Knollenstücke auf das Keimwachstum wurde ebenfalls untersucht. Zus?tzlich zu der positiven Wirkung des steigenden Knollenstückgewichtes auf die Erh?hung des Keimtrockengewichtes zeigte sich noch ein weiterer Einfluss durch eine Vergr?sserung des Knollenstückdurchmessers (Abb. 2). Wurden die Knollenstücke in Kompost gepflanzt, zeigte sich in bezug auf das L?ngenwachstum sowohl der Haupt-als auch der Seitentriebe ein umgekehrtes Verh?ltnis zum Frischgewicht der Knollenstücke, aber ein positives zum Durchmesser der Knollenstücke bei konstantem Frischgewicht (Abb. 3). Die Zahl der Seitentriebe pro Auge war mit dem Frischgewicht der Knollenstücke positiv korreliert.

Résumé La cinétique de la croissance du germe a été étudiée à l'aide de tubercules blessés à différentes distances des yeux, en maintenant des explantats à 12°C et à l'obscurité, dans un compost humide mis au point à l'Université de Californie. Bien que l'accumulation de matière sèche dans le germe ait été stimulée par l'augmentation du substrat assimilable provenant des gros explantats, la blessure a provoqué un effet cumulatif sur la teneur en matière sèche du germe et, de fa?on plus conséquente, sur son élongation (fig. 1). Il semble que l'importance de la blessure ainsi que sa distance par rapport à l'oeil jouent un r?le déterminant sur le dégré de réponse du germe. Des expériences ont également été réalisées sur des fragments de tubercules pour déterminer l'effet de la dimension de l'explantat sur la croissance du germe. En plus de l'effet positif sur la teneur en matière sèche, d? à l'augmentation du poids de l'explantat, on a observé un effet favorable lorsque le diamètre de ce dernier était plus élevé (fig. 2). Après plantation dans le compost, le taux d'élongation du germe principal et des germes ramifiés tendait à être inversé par rapport au poids frais de l'expplantat mais restait positif par rapport à son diamètre, à poids frais égal (fig. 3). Le nombre de ramifications par oeil était en relation directe avec le poinds frais de l'explantat.
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15.
Summary Potato plants were grown in pot assemblies which allowed non-destructive observations. During tuberization, plants were exposed to dry or wet conditions in the stolon environment and normal or low osmotic potential of the nutrient solution. Drought in the stolon environment enhanced the initiation of stolons and tubers. Although this treatment caused a minor reduction in yield, more large tubers were produced because there were more large tubers on the early-initiated stolons. Drought in the root medium did not affect the final number of stolons or tubers initiated, but reduced tuber yield. It inhibited the formation of large tubers on the later-formed stolons. Drought conditions simultaneously in the stolon and root media slightly stimulated the initiation of stolons and tubers. Furthermore, it reduced the tuber yied and no large tubers were found on the latest-formed stolons. However, there were more large tubers on the early-formed stolons.
Zusammenfassung In zwei Experimenten unter kontrollierten Bedingungen (Tabelle 1) wurden Pflanzenentwicklung, Knollenertrag und Knollengr?ssen-Verteilung vonSolanum tubersosum L. (Sorte Bintje) untersucht. Das speziel entwickelte Verfahren (Abb. 1) erlaubte fortw?hrende, nicht-destruktive Beobachtungen der Stolonenbildung und der Knokllweninitiiterung und erm?glichte separate Variierung der Wasserverfügbarkeit in der Umgebung von Wurzeln und Stolonen. Die Stolonne-Initiierung wurde duch ein trockenes Stolonen-Medium gef?rdert, w?hrend Trockenheit in der Wurzelumgebung die Stolonenbildung kaum beeinflusste (Abb. 2). Ebenso wurde Knolleninitiierung durch Trockenheit im Stolonenmedium stimuliert, w?hrend eingeschr?nkte Waseraufnahrne durch die basalen Wurzeln kaum Einfluss auf die Knollenbildung hatte (Abb. 3). Nicht alle Knollen wuchsen bis zu substanzieller Gr?sse. Trockenheit im Wurzelmedium reduzierte die Zahl der Knollen, die ein endgültiges Trockengewicht über 0,50 g errichten (Tabelle 2). Der Feuchtigkeitsgehalt des Stolonenmediums hatte hingegen keinen Einfuss auf diese Zahl. Trockenheit im Wurzelmedium reduzierte auch den Gesamtertrag an Knollentrockenmasse erheblich. Ein trockenes Stollonenmedium hatte lediglich einen geringen Einfluss (Tabelle 2). Offensichtlich reduziert Trockenheit de Zahl der Knoilen durch Reduktion des Knollenwaschtums und nicht durch Beeinflussung der Knollenbildung, und ist nur bei trockenen Verh?ltnissen im Wurzelbereich effektiv. Ein trockens Stolonenmedium w?hrend der Knollenbildung induziert eine Schub and Trockenmasse für h?here Knollengr?ssen: In beiden Versuchen ergab sich eine h?here Proportion des gesamten Knollenertrages in der h?chsten Klasse für Knollengr?ssen (Abb. 4). Wurden die Wurzeln trockenen Verh?ltnissen ausgesetzt, wurde relativ mehr Trocknmasse in den mittelgrossen Knollen festgelegt (Abb. 4.). Der beobachtete poisitive Effekt eines trockenen Stolonenmediums wurde durch einen Anstieg der Zahl grosser Knollen an früh-initiierten Stolonen verursacht (Abb. 5). Trockenheit im Wurzelmedium ergab weiniger gr?ssere Knollen an den sp?tinitiierten Stolonen (Abb. 5). Der einfluss von Trockenheit im Wurzelmedium stimmt mit den meisten Literaturdatend überein. Der Einfluss eines trockenen Stolonenmediums ist dagegen bemerkenswert und bedarf weiterer Untersuchung.

Résumé Les effets de la sécheresse sur le développement de la plante, le rendement en tubercules et la répartition des calibres deSolanum tuberosum L. variété Bintje sont étudiés dans deux expérimentations en conditions controlées (tableau 1). Le dispositif spécial utilié (fig. 1) permet des observations non destructives fréquentes de la formation des stolons et de l'initiation des tubercules et rend possible des variations séparées de la disponibilité en eau au niveau des racines et des stolons. Un milueu sec au niveau des stolons favorise leur initiation tandis que des conditions sèches au niveau racinaire l'affecte (fig. 2). L'initiation des tubercules est stimuulée par des conditions dèches au niveaudes stolons tandis qu'une absorption d'eau réduite des racines de la base n'a aucun effet sur la tubérisation (fig. 3). Tous les tubercules n'atteignent pas un calibre important. Une sécheresse au niveau du milieu racinaire réduit le nombre de tubercules de poids sec final supérieur à 0,50 g (tableau 2) mais le degré d'humidité au niveau des stolons n'a aucun effet surce nombre. Une sécheresse du milieu racinaire diminue également fortement le rendement totalen matière sèche des tubercules. Une sécheresse uniquement au niveau des stolons n'a qu'un effet mineur (tableau 2). Apparemment, la sécheresse diminue le nombre de tubercules en réduisant le grossissement des tubercules et non pas en modifiant la tubérisation, et n'a d'effet que si les racines sont soumises aux conditions sèches. Un milieu sec au niveau des stolons durant la tubérisation induit un déplacement de la matière sèche vers les tubercules les plus gros: dans les deux expérimentations une plus grande proportion du rendement total en tubercules a été observée dans la classe des calibres les plus gros (fig. 4). Loorsque les racines sont soumises à des conditions sèches une quantité relativement plus importante de matière sèche est accumulée dans les tubercules de moyen calibre (fig. 4). L'effert positif observé dans le cas d'un milieu sec au niveau des stolons est la cause d'une augmentation du nombre de gros tubercules sur les stolons initiés précocement (fig. 5.). Une sécheresse du milieuracinaire a pour conséquence un faible nombre degros tubercules formés surles stolons initiés tardivement (fig. 5). Les effets d'une sécheresse racinaire concordent avec la plupart des données mentionnées dans la litérature. Les effets d'une sécheresse au niveau des stolons sont cependant singuliers et nécessitent des investigations comlémentaires.
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16.
The pattern of starch and protein degradation in tubers   总被引:1,自引:0,他引:1  
Summary Detectable breakdown of tuber starch and protein occurred some time after sprout emergence (planting depth 15 cm), and the rate of hydrolysis was independent of the number of sprouting eyes present. Reserve breakdown was first seen around regions of inner phloem, the zone of depletion subsequently spreading throughout the perimedulla. Tissue external to the vascular ring was depleted at a later date.
Zusammenfassung Kinetik und makroskopische Verteilung des St?rke- und Proteinabbaues wurden an keimenden Knollen der Sorte Maris Piper untersucht. Dazu wurden zwei Serien von Knollen vorbereitet, eine Reihe mit einem keimenden Auge, die andere mit drei keimenden Augen, die anderen Augen wurden entfernt. Die Knollen wurden in feuchten Kompost bei 15°C im Dunkeln gepflanzt und in regelm?ssigen Intervallen innerhalb von 4 Monaten geerntet. W?hrend dieser Periode erreichten die Keime beider Serien ein Gesamttrockengewicht von ungef?hr 50% des Knollentrockengewichtes zum Zeitpunkt des Pflanzens. Wurde die Zunahme des Keimtrockengewichtesauf das Auge bezogen, so ergab sich eine Abnahme des Keimtrockengewichtes mit zunehmender Augenzahl (Abb. 1). Die Keime stehen daher in Konkurrenz zu den verfügbaren Reserven. Die Bedeutung dieser Konkurrenz nimmt mit der Zeit zu. Bei einer Pflanztiefe von 15 cm erschienen die Keime nach 20 Tagen, ein erkennbarer Zusammenbruch von St?rke- und Proteinreserven in den Knollen konnte aber erst weitere 20 Tage sp?ter beobachtet werden (Abb. 2a und b). Nach 120 Tagen betrugen die St?rke- und Proteingehalte nur noch 10% der ursprünglichen Gehalte, aber es zeigte sich kein überein-stimmender Einfluss der Zahl der keimenden Augen pro Knolle auf die Abbauraten der beiden Reservestoffe. Für vor und innerhalb des Gef?ssbündelringes gelegenes Gewebe waren die Abbauraten ?hnlich aber die St?rke-und Proteingehalte waren im Gewebe vor dem Gef?ssbündelring betr?chtlich h?her. Unterschiede in den St?rkegehalten dieser beiden Gewebe spiegelten den Intraknollengradienten im Trockenmassegehalt wieder und nicht Unterschiede im Prozentsatz der Trockenmasse verursacht durch St?rke (Tab. 1). Das Muster des Reservestoffabbaues wurde an 1 mm dicken L?ngs- und Querschnitten durch die Knollenmitte histochemisch unter-sucht. Der Abbau von St?rke und Protein begann in der Perimedulla in der N?he des Gef?ssbündelringes in Zonen, die mit der Verteilung des inneren Phloems übereinzustimmen schienen (Abb. 3 und 4). Die Abbauzone breitete sich dann in der gesamten Perimedulla aus. Das Gewebe vor dem Gef?ssbündelring zeigte als letztes den Abbau und auch hier ergaben sich Hinweise, dass der Abbau in den Phloemzonen erfolgte.

Résumé La cinétique et la répartition macroscopique de la dégradation de l'amidon ainsi que des protéines sont étudiées au cours de la germination des tubercules de la variété Maris Piper. Deux lots de tubercules sont préparés. l'un composé de tubercules n'ayant qu'un seul germe et l'autre de tubercules porteurs de 3 germes. Les germes non désirés sont retirés. Les tubercules sont plantés dans un compost humide à 15°C, à l'obscurité puis prélevés régulièrement durant une période de 4 mois. Au delà de cette période, les germes des tubercules des deux lots atteignent un poids sec total d'environ 50% du poids sec des tubercules à la plantation. Lorsque l'accumulation du poids sec est exprimée en poids par germe, l'augmentation du nombre de germes réduit le taux de poids sec accumulé (fig.1). Ceci montre que les germes sont en compétition, quant à l'utilisation des réserves disponibles. L'importance de cette compétition augmente dans le temps. Four une plantation à 15 cm de profondeur, l'émergence des germes a lieu après 20 jours, mais la chute du taux d'amidon et des réserves en protéines n'est observée de fa?on notable qu'une vingtaine de jours plus tard (fig. 2a et 2b). Après 120 jours, les taux de protéines et d'amidon sont réduits à environ 10% des taux initiaux et l'augmentation du nombre de germes par tubercule n'entraine aucune diminution décelable de ceux-ci. Des taux similaires de dégradation sont apparus dans les tissus situés des deux c?tés de l'anneau vasculaire mais la teneur en amidon et en protéines est plus élevée dans le tissu externe. Des différences de teneurs entre ces tissus reflètent le gradient de matière sèche à l'intérieur du tubercule mais pas les différences du taux de matière sèche expliqué par l'amidon (tabl. 1). Une analyse histochimique de la localisation de la dégradation des réserves est réalisée à partir de coupes longitudinales et transversales d'l mm d'épaisseur prélevées dans la partie centrale du tubercule. La dégradation de l'amidon et des protéines commence dans la zone périmédullaire adjacente à l'anneau vasculaire, sous forme de taches qui semblent co?ncider avec le phloème interne (fig. 3 et 4). La zone de dégradation s'étend ensuite à travers toute la zone périmédullaire. Le tissu extérieur à l'anneau vasculaire subit cette dégradation en dernier, celle-ci apparaissant également au niveau du phloème.
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17.
Summary Fifty potato varieties were grown at different geographic areas in Cyprus and were classified into groups according to the specific gravity of their tubers. Specific gravity varied from location to location; it was high at Athalassa, low at Xylophagou, and intermediate in the Paphos and Morphou areas. Specific gravity increased with maturity and significant differences were observed between lifting dates 3 weeks apart; the rate of increase in specific gravity was higher in medium-late than in early varieties. Specific gravity values obtained by the potato hydrometer method were converted into dry matter (DM) and into starch content by standard formulae and a conversion table was prepared and is presented for reference.
Zusammenfassung Fünfzig Kartoffelsorten wurden in 4 geographischen Gebieten auf Zypern (Abb. 1) getestet und entsprechend dem Spezifischen Gewicht ihrer Knollen in vier Gruppen eingeteilt (Tabelle 1). Das Spez. Gewicht schwankte von 1.0669 (17.62% Trockensubstanz) bis 1.0850 (21.62% Trockensubstanz); die erhaltenen Werter für das Spez. Gewicht wurden mittels Standardformeln in % St?rkegehalt und % Trockensubstanzgehalt umgerechnet. Das spez. Gewicht schwankte von Ort zu Ort und war am h?chsten in Althalassa (eine sp?te Kartoffellage). Für die festgestellten Unterschiede im Spez. Gewicht waren mikroklimatische und Bodenfaktoren in diesen Gebieten verantwortlich (Tabellen 2–4). Unterschiede zwischen den Orten waren stets unabh?ngig von Sorte und Jahreszeit. Das Spez. Gewicht nahm mit der Reife zu, und es wurden signifikante Unterschiede zwischen Ernten, die 3 Wochen auseinanderlagen. festgestellt. Das Mass der Zunahme an Spez. Gewicht war bei mittelsp?ten und sp?ten Sorten, z.B. Arran Banner. Up-to-Date, Cardinal und Maris Piper, gr?sser als bei frühen Sorten, z.B. Premiere und Spunta (Tabelle 5). Zur Erleichterung der Information und der Verwendung der von Simmonds (1977) vorgeschlagenen Formeln wurde eine Tabelle zur Umrechnung der Spez. Gewichtswerte innerhalb des Bereichs von 1.0600 bis 1.1090 in % Trockensubstanz und % St?rke vorbereitet (Tabelle 6).

Résumé Cinquante variétés de pommes de terre ont été testées dans quatre régions de l'lle de Chypre (figure 1) et ont été classées en 4 groupes selon le poids spécifique de leurs tubercules (tableau 1). La valeur du poids spécifique est répartie entre 1,0669 (17.62% de matière sèche) et 1,0850 (21,62% M.S.); les valeurs obtenues ont été converties en pourcentage d'amidon et en pourcentage de matière sèche (tableau 1) par l'emploi d'une formule standard. Le poids spécifique a varié d'une région à l'autre et a été le plus élevé en Athalassa (localité à pommes de terre tardives). Les facteurs climatiques (micro-climats) et le type de sol de ces diverses régions ont été responsables des différences de valeur de poids spécifique observées (tableaux 2–4); ces dernières ne dépendant ni de la variété, ni de la saison. Le poids spécifique a augmenté avec la maturité des pommes de terre et des différences significatives ont été observées entre des récoltes faites à 3 semaines d'intervalle. Il a été plus élevé chez les variétés demi-hatives et tardives telles que Arran Banner, Up-to-Date, Cardinal et Maris Piper que chez les variétés hatives telles que Première et Spunta (tableau 5). Pour faciliter l'emploi de la formule proposée par Simmonds (1977) une table de conversion des valeurs de poids spécifique (entre les classes de 1,060–1,100) et les pourcentages de matière sèche et d'amidon a été réalisée (tableau 6).
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D. Gray 《Potato Research》1972,15(4):317-334
Summary Immature tubers of all the varieties gave very little or no breakdown when canned. Breakdown on canning increased with a delay in harvest. However, at maturityMaris Peer, Sutton’s Foremost, Arran Pilot andSieglinde gave much less breakdown thanKing Edward, Red Craig’s Royal, Ulster Viscount orUlster Concord. In 1970, but not in 1969, tubers from crops grown at high plant densities (269 eyes/m2) broke down more than those from low densities (59 eyes/m2). There was no significant relationship between tuber breakdown and tuber dry matter content. Tuber cell surface area decreased with a delay in harvest in all varieties. In general, increases in tuber breakdown with delay in harvest were associated with decreases in cell surface area. A simple cooking test which could be adopted for field use and estimates accurately the amount of breakdown that would be produced on canning is described.
Zusammenfassung Aus unsern Versuchen, durchgeführt in den Jahren 1969 und 1970, wurden Muster von 2–4 cm grossen Knollen entnommen, um die Einflüsse von Sorte, Erntedatum und Pflanzabstand auf die Qualit?t der Dosenkartoffeln zu ermitteln und um den Wert des TS-Gehaltes der Knollen und die Zelloberfl?che für die Vorhersage des Zerfalls der Knollen bei der Verarbeitung zu untersuchen. Ueber das Zerfallen der Knollen wurde von zwei Arten von Kochtests berichtet. In jedem Verfahren wurden 2–4 cm grosse Knollen innerhalb 48 Stunden nach der Ernte nach dem Standard-Konservierungsverfahren der Campden Food Preservation Research Association (CFPRA) in Dosen verpackt. Zudem wurden Muster aus diesen Verfahren im Salzwasser in die Klassen (Spez. Gewicht) 1,060–1,070, 1,070–1,080 und 1,080–1,090 sortiert und einem Kochtest im Autoklav (Material und Methoden) unterworfen. Das Zerfallen der Knollen in diesem Test stand in direktem Zusammenhang zum Ausmass des Zerfallens bei gleichen Mustern, die nach dem CFPRA-Verfahren (r=0,90, P<0,01) verarbeitet wurden. Ferner wurden Zelloberfl?che und TS-Gehalt der Knollen bei den im Salzwasser sortierten Mustern bestimmt. Knollen von allen Sorten, die zu einem frühen Zeitpunkt (kurz nach der Blüte) geerntet wurden, zerfielen im wesentlichen nicht bei der Verarbeitung auf Dosenkartoffeln (Tabelle 1). Im allgemeinen nahm das Ausmass des Zerfallens der Knollen fast bei allen Sorten bei einer sp?teren Ernte zu (Tabellen 1 und 2a). Ausnahmen bildeten die SortenSutton’s Foremost undSieglinde in Versuch 1, bei denen die Muster von beiden Erntedaten nicht zerfielen. Es bestanden jedoch grosse Unterschiede im Zerfallen zwischen den ausgereift geernteten Sorten, z.B.Maris Peer, Sutton’s Foremost, Arran Pilot undSieglinde zerfielen bei der Verarbeitung auf Dosenkartoffeln weniger alsKing Edward, Red Craig’s Royal, Ulster Viscount orUlster Concord. 1969 konnte kein Einfluss der Pflanzdichte auf das Zerfallen festgestellt werden, dagegen zerfielen 1970 Knollen aus Best?nden mit grosser Pflanzdichte st?rker als solche aus weniger dichten Best?nden (Tabelle 2b). Obwohl in beiden Jahren die gleichen Pflanzgutmengen verwendet wurden, bildete sich 1970 eine gr?ssere Stengeldichte (18–94 Stengel/m2), als 1969 (13–59 Stengel/m2), was die festgestellten unterschiede in der Reaktion auf die Pflanzdichte erkl?ren mag. Unterschiede im Zerfallen der Knollen, das durch diese Behandlungen bewirkt wurde, ergaben sich ohne Rücksicht auf die Unterschiede im TS-Gehalt der Knollen (Tabelle 3). Die Oberfl?che der Zellen in den Knollen nahm bei sp?terer Ernte ab, und dies war verbunden mit einem st?rkeren Zerfallen der Knollen (Abb. 1). In allen Versuchen bestand ein gesicherter Zusammenhang zwischen dem Zerfallen und der Zelloberfl?che. Durch die lineare Regression zwischen diesen beiden Merkmalen k?nnen über 65% der Streuung im Knollenzerfall erkl?rt werden. Es gab jedoch Ausnahmen. z.B. in Versuch 2 war trotz einer Zelloberfl?che von 45 bis 56 mm2/mm3 nur ein kleiner Unterschied im Knollenzerfall bei früh geerntetem Material. In Versuch 4 wurde die Zelloberfl?che durch die Pflanzdichte nicht beeinflusst, trotz Unterschied im Knollenzerfall, der durch dieses Verfahren verursacht wurde (Tabelle 5). Es ist nicht anzunehmen, dass die Messung des TS-Gehaltes oder der Zelloberfl?che, allein oder zusammen, genügend genaue Anhaltspunkte ergibt, um das wahrscheinliche Ausmass des Knollenzerfalls bei der Herstellung von Dosenkartoffeln zu bestimmen. Die enge Uebereinstimmung zwischen dem Ausmass des Knollenzerfallens beim Kochtest im Autoklav und dem Ergebnis der Standard-Verarbeitungsmethode von gleichen Knollenmustern aus einer grossen Reihe von Verfahren deutet darauf hin, dass Kochteste zuverl?ssigere Vorhersagen betreffend Knollenzerfall liefern als die Bestimmung des spezifischen Gewichtes.

Résumé On a prélevé des échantillons de tubercules de 2–4 cm de volume dans quatre expériences effectuées, en 1969 et 1970, dans le but de déterminer les effets de la variété, de la date de récolte et de l’espacement sur l’aptitude des pommes de terre à l’appertisation, pour déterminer aussi la signification de la teneur en matière sèche du tubercule et de la surface cellulaire dans la prévision du délitement. Le délitement du tubercule est déterminé dans deux types de test de cuisson. Les tubercules de 2–4 cm de chaque traitement sont appertisés selon le procédé standard d’appertisation de l’association de recherches pour la conservation des aliments Campden (CFPRA), 48 heures après l’arrachage. En outre. des échantillons de ces mêmes traitements sont classés, par passage dans la saumure, dans les catégories suivantes de poids spécifiques 1,060–1,070, 1,070–1,080 et 1,080–1,090 et soumis à un test de cuisson à l’autoclave (matériels et méthodes). Le délitement des tubercules dans ce test est en relation directe avec l’importance du délitement observé dans le processus d’appertisation CFPRA (r=0,90; P<0,01). On a, de plus, déterminé la surface cellulaire et la teneur en matière sèche sur les échantillons classés par trempage dans la saumure. Les tubercules de toutes les variétés récoltées à un stade précoce de croissance (aussit?t après la floraison) ne montrent pratiquement aucun délitement lors de l’appertisation (tableau 1). En général, le délitement augmente chez presque toutes les variétés avec le retard dans la récolte (tableaux 1 et 2a), à l’exception toutefois deSutton’s Foremost etSieglinde dans l’expérience 1, lesquelles ne montrent aucun délitement dans les deux récoltes. Néanmoins de grandes différences s’observent entre les variétés arrachées à maturité, par exempleMaris Peer, Sutton’s Foremost, Arran Pilot etSieglinde, se délitent moins queKing Edward, Red Craig’s Royal, Ulster Viscount ouUlster Concord. En 1969 on n’a observé aucun effet de la densité de plantation mais, en 1970, les tubercules provenant de cultures à haute densité se délitaient davantage que les tubercules provenant de cultures de faible densité (tableau 2b). Mais, en dépit de quantités de plants semblables utilisées au cours des deux années pour réaliser les haute et basse densités, on observe une densité de tiges plus élevée en 1970 qu’en 1969, (18–94 tiges/m2 en 1970; 13–59 tiges/m2 en 1969), fait qui peut avoir causé les différences observées dans la réaction à la densité de plantation. Les différences dans le délitement observées dans les deux traitements paraissent indépendantes des différences de teneur en matière sèche des tubercules (tableau 3). La surface cellulaire par unité de volume diminue avec le retard de la récolte, et le phénomène’s’accompagne d’un accroissement du délitement à l’appertisation (fig. 1). Dans toutes les expériences, les régressions linéaires entre l’exemption, le délitement et la surface cellulaire sont significatives, celle-ci intervenant pour plus de 65% dans la narration du délitement. Cependant il y a des exceptions, par exemple, dans l’expérience 2, il y a peu de différence entre le délitement des tubercules récoltés à un stade précoce de croissance en dépit d’une classe de surface cellulaire de 45–56 mm2/mm3. Dans l’expérience 4, la surface cellulaire n’est pas affectée par la densité de plantation en dépit de la différence dans le délitement causé par ce traitement (tableau 5). Il est improbable que les mensurations de la teneur en matière sèche ou de la surface cellulaire, seules ou en combinaison, puissent constituer un guide suffisamment précis pour prévoir le délitement possible à l’appertisation. Le rapport étroit entre l’importance du délitement obtenu dans le test de cuisson à l’autoclave et dans le processus standard d’appertisation dans des échantillons identiques provenant d’une grande série de traitements suggère que les tests de cuisson au champ pourraient être plus dignes de confiance pour prévoir le délitement que les tests de poids spécifique.
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19.
Summary Maturity in the potato crop is, as yet, ill defined. In an experiment in which nitrogen was applied pre-planting in six treatments, the opportunity was taken to follow changes in growth and development together with changes in three possible measures of physiological activity. A sudden decline in the concentration of sugars in the petiole sap was best associated with changes in crop growth development and may be an appropriate indicator of the onset of maturity and then senescence.
Zusammenfassung Das Einsetzen von Reife und Seneszenz bei Kartoffeln ist nicht genau definiert. Bekannt sind jedoch eine Reihe von Faktoren, um dieses zu modifizieren: zum Beispiel die Stickstoffversorgung. In einem Versuch wurde der Stickstoff (als Kalksalpeter, ‘nitrochalk’) ausgelassen (N0) oder mit 40, 80, 160 und 240 kg ha−1 zur Pflanzzeit (N1 bis N4 entsprechend) verabreicht. Eine gesplittete Anwendung von N, 80 kg ha−1 zur Pflanzung und 80 kg ha−1 zur Pflanzung und 80 kg ha−1 eine Woche nach Knollenbildung (N5) war eingeschlossen. Unterschiede im Blattfl?chenindex (LAI, Abb. 1), Gesamtproduktion an Trockenmasse (Abb. 2) und Trockenmasse-Konzentration der Knollen (Abb. 3) wurden untersucht, um den Einfluss des Grades der Stickstoffanwendung auf das Einsetzen der Seneszenz (Abb. 1 und 2) und der Reife (Abb. 2 und 3) zu ermitteln. Die Konzentrationen an Gesamtchlorophyll (a+b) in ausgebreiteten Bl?ttern (Abb. 4 und 5) und die Zuckerkonzentration (Abb. 6) sowie die Nitrationen (Abb. 7) im Saft der Petiolen wurden untersucht, um m?gliche physiologische Indikatoren für das Einsetzen von Reife und Seneszenz zu erhalten. Die Konzentration des Gesamtchlorophylls in den Bl?ttern war zu jeder Zeit eine Funktion der H?he der Stickstoff-Applikation (Abb. 5) und sank graduell w?hrend des sp?teren Teils der Wachstumsperiode (Abb. 4). Es bedurfte keiner Kennzeichnung der Schwellenh?he für das Einsetzen der Seneszenz. Die Konzentration sowohl an Saccharose wie auch NO3 im Petiolensaft zeigte scharfe Rückg?nge (Abb. 6 und 7), welche unter Einfluss hoher N-Gaben sp?ter erfolgten. Dennoch zeigt ein Vergleich der Zeiten dieser kurzen Rückg?nge mit Ver?nderung beim LAI, bei der Gesamttrockenmasse-Produktion und der Trockenmasse-Konzentration der Knollen (Tabelle 1), dass die Ver?nderung in der NO3-Konzentration nicht mit Ver?nderungen in Pflanzenwachstum und-entwicklung assoziiert war; der Abfall der Saccharose-Konzentration stimmte jedoch gut überein.

Résumé Le début de la maturité et de la sénescence de la culture de pomme de terre n'est pas bien défini mais on connait un certain nombre de facteurs qui le modifient, par example la nutrition azotée. Dans cette expérimentation l'azote est apporté aux doses de 0-40-80-160 et 240 kg/ha à la plantation (respectivement N0 à N4). Un double apport d'azote, 80 kg/ha à la plantation et 80 kg/ha une semaine après la tubérisation (N5) est inclu à l'essai. La modification de l'index de Surface Foliaire (LAI) (fig. 1), de la production totale de matière sèche (fig. 2) et de la matière sèche des tubercules (fig. 3) est suivie pour montrer l'effet des doses d'azote apportées sur la date de sénescence (fig. 1 et 2) et de maturité (fig. 2 et 3). La concentration en chlorophylle totale (a+b) dans les feuilles bien développées (fig. 4 et 5) ainsi que celle des sucres (fig. 6) et des ions nitrate (fig. 7) dans le jus pétiolaire ont été étudiées en tant qu'indicateurs physiologiques possibles de la sńescence et de la maturité. La concentration en chlorophylle totale dans les feuilles dépendait des doses d'azote apportées (fig. 5) et diminuait progressivement au fur et à mesure de l'avancement de la saison culturale (fig. 4). Elle ne donnait pas de seuil limite pour le début de la sénescence. La concentration en saccharose et en NO3 dans le jus pétiolaire montrait une chute importante mais tardive avec les fortes doses d'azote. Cependant, la comparaison de la durée de cette courte déclinaison avec les modifications du LAI, de la production totale de matière sèche et de la teneur en matière sèche des tubercules montrait que la variation du taux de NO3 n'était pas associée à l'évolution du développement de la culture, tandis que celle de la teneur en saccharose concordait bien. Nous suggérons que lorsque la concentration en saccharose des pétioles de feuilles bien développées du sommet de la plante chute fortement, les potentiels de croissance et d'accumulation de matière sèche dans les tubercules (tableau 1) deviennent limités car ils ont atteint leur maximum.
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20.
Summary The influence of four nitrogen and four potassium levels on tuber yield, specific gravity and dry matter yield was investigated with the varietiesAristo, Irene, Libertas andIJsselster grown on twelve trial fields on sandy soils. Potassium did not improve dry matter yields, since the improvement in tuber yield was cancelled by a corresponding linear decrease in dry matter content (measured as specific gravity). The same result was found with application of more than 80 kg N/ha, except in the varietyLibertas. Nitrogen caused a linear decrease in specific gravity except in the varietyLibertas which reacted weakly and with an optimum curve. Varieties showed different responses in their specific gravity to the various combinations of nitrogen and potassium. The influence of field on yields and specific gravity was considerable, but could not be explained by the known soil factors, such as moisture retention. pH, % organic matter, etc. This applied also for the variations between fields in their reaction to nitrogen, potassium or variety.
Zusammenfassung Der Einfluss von 0, 80, 160 und 240 kg N/ha (je zur H?lfte als Salpeter und Ammoniak), je kombiniert mit 1, 100, 200 oder 300 kg K2O/ha (als Sulfat), auf Knollenertrag, spezifisches Gewicht und Trockensubstanzertrag wurde an den SortenAristo, Irene, Libertas undIJsselster auf zw?lf Versuchsfeldern (sandiger Boden) untersucht. Obwohl die B?den ungenügend mit Kalium versehen waren, verbesserte eine Kaliumgabe die Trockensubstanzertr?ge nicht, da die Erh?hung des Knollenertrages durch eine entsprechende lineare Abnahme des Trockensubstanzgehaltes (Bestimmung des spezifischen Gewichtes) ausgeglichen wurde (Abb. 1). Eine Gabe von 80 kg N/ha bewirkte ein bedeutendes Ansteigen des Trockensubstanzertrages, aber eine weitere Gabe von 80 kg N/ha hatte keinen Einfluss, ausgenommen bei der SorteLibertas, die eine schwache Zunahme zeigte. Eine nochmalige Erh?hung der N-Gabe um 80 kg/ha verursachte bei allen Sorten ein Absinken des Trockensubstanzertrages (Abb. 1). Die Anwendung von Stickstoff verursachte bei den SortenAristo, Irene undIJsselster eine Abnahme des spezifischen Gewichtes, nurLibertas reagierte mit einer Zunahme, gefolgt von ciner Abhahme (Abb. 1). Die Sorten reagierten in ihrem spezifischen Gewicht unterschiedlich auf die verschiedenen Kombinationen der angewendeten Stickstoff-und Kaliummengen (Abb. 4). Nach Umrechnung des spezifischen Gewichtes in Trockensubstanzgehalte wurden die Gesamtmengen an Trockensubstanz und Wasser ermittelt. Bei h?heren Stickstoffgaben stieg die Wassermenge deutlich an, was die Transportkosten erh?hte, w?hrend der Trockensubstanzertrag keine Zunahme zeigte. Die einzige Wirkung der Kaliumdüngung bestand in der Zunahme der Wassermenge in den Knollen. Die sortenbedingten Unterschiede waren betr?chtlich (Abb. 5). Nach Errechnung des Ertrages an Chips auf der Grundlage des spezifischen Gewichtes dürfte die Ertragsabnahme infolge der Stickstoffgabe bei 0% (Libertas) bis 0,7% (Aristo) für die ersten 80 kg/ha, und bei 0% (Libertas) bis 0,8% (Aristo) für die zweiten 80 kg N/ha liegen. Die Kaliumgabe dürfte eine Ertragsabnahme von 0,3 bis 0.5% pro 100 kg K2O/ha bewirken. Die Zunahme des Oelgehaltes der Chips dürfte sich im gleichen Rahmen bewegen.

Résumé L'auteur a étudié l'influence de doses de 0, 80, 160 et 240 kg N/ha (moitié en nitrate, moitié en ammoniaque), chaque dose combinéc avec 0, 100, 200 et 300 kg K2O/ha (en sulfate) sur la production de tubercules, le poids spécifique et la production en matière sèche, avec les variétésAristo, Irene, Libertas etIJsselster, cultivées dans douze champs d'essais sur sol sablonneux. Malgré une déficience des sols en potassium, celui-ci n'a pas amélioré les productions de matière sèche, l'augmentation de la production de tubercules étant neutralisée par une diminution linéaire correspondante de la teneur déterminée par le poids spécifique (Fig. 1). Une application de 80 kg N/ha a augmenté nettement la production de matière séche, mais une dose supplémentaire de 80 kg N/ha n'a eu aucune influence sauf chez la variétéLibertas où s'est marquée une légère augmentation. Une autre dose supplémentaire de 80 kg N/ha a amené une chute brusque des productions de matière sèche chez toutes les variétés (Fig. 1). L'application d'azote a causé une diminution du poids spécifique chezAristo, Irene etIJsselster, tandis queLibertas réagissait par une augmentation suivie d'une diminution (Fig. 1). Les variétés ont réagi différemment dans leur poids spécifique aux diverses combinaisons des quantités d'azote et de potassium appliquées (Fig. 4). On a calculé les quantités totales produites de matière sèche et d'eau après conversion des poids spécifiques en teneurs en matière sèche. Des doses élevées d'azote ont augmenté la quantité d'eau produite, accroissant ainsi les frais de transport, tandis que la production de matière sèche ne montre aucun accroissement. Le seul effet de la fertilisation potassique est d'accroitre la production d'eau. Les différences variétales sont considérables (Fig. 5). Après conversion du poids spécifique en production de pommes ‘chips’, la diminution de production causée par l'application d'azote pourrait être de l'ordre de 0% (Libertas) à 0,7% (Aristo) pour les premiers 80 kg N/ha, et de 0% (Libertas) à 0,8% (Aristo) pour les seconds 80 kg N/ha. L'effet du potassium pourrait être de diminuer la production de 0,3 à 0,5% par 100 kg K2O/ha. L'augmentation de la teneur en huile des chips poura?t être du même ordre.


Then stationed at the Provincial Research Centre for Agriculture in Drenthe, Assen, The Netherlands. Present address  相似文献   

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