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1.
L. LANIER 《EPPO Bulletin》1986,16(2):255-263
Les eucalyptus constituent—au moins au meme titre que les genres Pinus et Populus—l'un des genres d'arbres forestiers les plus importants à l'échelle mondiale, et en particulier par l'extension considérable des reboisements (plus de 4 millions d'ha) en régions tropicales, sahéliennes et tempérées chaudes. L'article tente de faire le point sur les problèmes posés par les maladies pouvant gener cet effort de reboisement, notamment en région méditerranéenne, et souligne l'importance et l'avenir des eucalyptus dans cette région. Il est procédéà un inventaire général, à l'échelle mondiale, des maladies des eucalyptus et de l'importance des parasites en cause. Un certain nombre d'entre eux sont étudiés plus en détail, selon qu'ils sont présents dans le pays d'origine des eucalyptus ou dans les zones où ils ont été introduits. Une section est réservée à la région méditerranéenne, où certaines maladies s'en prenant aux racines, aux rameaux, aux feuilles ou au bois ont été identifiées; pour l'instant, la plupart d'entre elles ne sont pas trop graves. Enfin, des propositions et des règles de protection phytosanitaire, visant à restreindre les risques d'introduction des parasites les plus dangereux ou d'extension de ceux existant actuellement, sont citées, en insistant sur les risques de transport de maladies d'une région à une autre par l'intermédiaire des échanges de matériel végétal autres que les graines.  相似文献   

2.
A la suite des problèmes importants qui se sont posés, il y a une trentaine d'années, pour la qualité sanitaire des plants de fraisiers, certains pays décidèrent de codifier les conditions de production et de mettre en place une certification pour apporter aux utilisateurs des garanties quant à la pureté variétale et au bon état physiologique et sanitaire du plant. La certification des plants de fraisier existe dans un certain nombre de pays européens, tels que la Belgique, la France, la Grande-Bretagne, les Pays-Bas et la Suisse. Dans les pays où il n'existe pas de certification officielle, les pèpiniéristes, conscients de la nécessité de mettre sur le marché des plants de bonne qualité, assurent eux-memes une sélection sanitaire. Les schémas de production mis en place dans les différents pays ont donné satisfaction et la qualité sanitaire des plants vis-à-vis des principales maladies à virus ne pose plus, actuellement, de problème, ce qui ne semble pas encore etre le cas pour d'autres parasites tels que Phytophthora cactorum ou P. fragariae. L'article fait le point sur les règlements techniques de production de plants de fraisiers, l'importance et les objectifs de la certification, le role des organismes assurant son application ainsi que les conditions de multiplication utilisées.  相似文献   

3.
L. BOURNAS 《EPPO Bulletin》1983,13(3):499-504
Les progrès récents dans la conception des pulvérisateurs ont porté sur la précision des applications, en particulier pour les herbicides, l'augmentation du rendement horaire, la facilité de mise en ceuvre et les traitements en localisation. En ce qui concerae la precision des applications, on constate le développement et le perfectionnement, notamment à l'aide del'électronique, des systèmes de régulation à débit proportionnel à l'avancement. La suspension des grandes rampes, allant jusqu'à 24 m pour des pulvérisateurs portés en cultures basses, est constamment perfectionnée pour assurer une meilleure stabilité. Par ailleurs, la tendance à réduire les volumes par hectare entraîne une nouvelle étude des circuits de bouillie, notamment de la filtration. II est recouru aux buses à fente de petit calibre, pouvant travailler à basse pression (parfois moins de 2 bar), et la stabilité du rideau de pulvérisation sous rampe à bas volume par hectare est examinée de même que les organes de pulvérisation centrifuge permettant de descendre à moins de 50 l/ha. Les pulvérisateurs arboricoles et viticoles sont dotés de ventilateurs plus puissants et des souffleries sont étudiées pour un meilleur rendement à moindre bruit. Parmi les autres progrès on remarque le développement des systèmes de localisation pour les traitements de la vigne. Quant à la distribution des microgranulés phytopharmaceutiques, elle a fait l'objet de nombreuses adaptations, en particulierd'épandeurs d'engrais pneumatiq'ues ou de semoirs. Ainsi, des gammes de pulvérisateurs portables ou manuels, à pression liquide ou centrifuges, plus pratiques et légers, ont été développées.  相似文献   

4.
5.
La mise en place d'une vaste demonstration de lutte intégrée en vergers dans le sud-est de la France bénéficie de l'appui financier du Ministère de l'Agriculture depuis 1967. Les structures organiques de cette action sont décrites. L'activité des techniciens spécialisés qui fournissent un appui logistique au second degré auprès des conseillers agricoles et des producteurs de fruits, tout en restant en liaison constante avec les centres de recherches et les services d'applkation, est indispensable pour assurer le développement de l'entreprise. Elle a notam-ment stimulé diverses études immédiatement utilisables dans la pratique. Des résultats probants sont obtenus en vergers de pommiers et de pêchers par l'application d'une lutte dite dirigée, qui constitue la phase de transition entre la lutte traditionnelle et la lutte intégrée. lis se traduisent par une diminution de l'ordre de 50 % du nombre des interventions insecticides et acaricides. Les données économiques correspondantes sont présentées et discutées. Outre l'aspect strictement économique, les utilisateurs apprécient la maîtrise que leur confèrent les connaissances écologiques.  相似文献   

6.
L'établissement d'un modèle de développement pour la tordeuse de la pelure, Adoxophyes orana, basé sur les sommes de températures, est primordial pour l'avertissement Il permet à l'arboriculteur d'effectuer un minimum d'échantillonnages des populations aux moments les plus opportuns, afin de prendre les décisions qui s'imposent pour l'application de la lutte dirigée. Les essais effectués en laboratoire et à l'extérieur ont montré que le seuil de développement des ?ufs est de 10°C, celui des larves de la génération d'été se situe entre 7 et 8°C, alors que celui des larves de la génération hivernante est de 10°C. Le seuil de développement pour la phase nymphale est légèrement supérieur à 10°C. En admettant une vitesse de développement proportionnelle à la température, les durées des phases embryonnaires et nymphales sont de 90 degrés-jours (dj) au-dessus du seuil de 10°C. Le développement larvaire de la génération d'été est en moyenne de 430 dj au-dessus du seuil de 7°C. Les implications de ce modèle pour l'avertissement établi par les services officiels ainsi que pour la stratégie de lutte contre la tordeuse de la pelure sont commentées dans ce travail.  相似文献   

7.
Depuis 3 ans des souches de Pseudocercosporella herpotrichoides résistantes aux benzimidazoles (bénomyl, cabendazime, thiabendazole) et aux thiophanates (thiophanate-méthyl) sont décelées sur blé d'hiver en France. La résistance croisée positive entre ces fongicides ainsi que la résistance croisée négative vis-à-vis de phényl-carbamates (ex. barbane) sont des caractéristiques générales. Les niveaux de résistance peuvent étre variables avec cependant prédominance de deux catégories de souches résistantes (dont les niveaux de résistance respectifs vis-à-vis du thiabendazole sont voisins de 10 et de 100). En outre, des expérimentations en conditions contrôlées indiquent que la résistance n'affecte ni l'agressivité ni la compétitivité de P. herpotrichoides. Pour pouvoir suivre l'évolution des fréquences des souches résistantes aux benzimidazoles dans la nature, diverses méthodes ont ét expérimentées; celle qui est actuellement retenue et développéc dans les laboratoires de l'INRA (Institut National de la Recherche Agronomique), du Service de la Protection des Végétaux, de l'ITCF (Institut Technique des Céréales et des Fourrages) et de certaines firmes est basée sur l'étude de l'effet du carbendazime sur des implants mycliens. Chaque analyse porte sur 10 à 30 isolats par parcelle. Malgré un nombre élevé d'analyses il est difficile d'avoir une cartographie exacte de la répartition des souches résistantes; il est toutefois clair que les fréquences des souches résistantes sont les plus élevées dans les zones d'utilisation intensive des benzimidazoles (Nord et Bassin parisien) qui peuvent devenir inefficaces. Actuellement, le seul fongicide susceptible de remplacer ces benzimidazoles est un inhibiteur des strols: le prochloraz. Au champ il possède une activitééquivalcnte en l'abscnce ou en présence de souches résistantes aux benzimidazoles et les sondages réalisés jusqu'à maintcnant n'indiquent aucune résistance vis-à-vis de ce fongicide.  相似文献   

8.
E. BRUNEL  M. LAHMAR 《EPPO Bulletin》1983,13(2):201-207
Dans les conditions de l'ouest de la France, la mouche de la carotte, Psila rosae, et la mouche du chou, Delia brassicae, ont une biologie très voisine par le nombre de générations, la faculté des adultes à pondre peu après leur éclosion et leur capacitéà résister au froid hivernal qui se traduit par un arrêt de développement du type diapause. Les pupes de P. rosae, formées d'octobre à janvier, et de D. brassicae, formées d'octobre au début de novembre, peuvent servir d'éléments pour définir le début des éclosions printanières, à condition de les soumettre à un, deux ou trois chocs thermiques de 2–4 ou 6 jours à 15 ou 20°C. Ces chocs ont été appliqués à partir de la fin janvier, après rupture de la diapause, c'est-à-dire au moment où la pupe poursuit son évolution en relation avec les sommes de températures. Pour P. rosae, la longueur du choc thermique n'a pas eu d'incidence, mais le développement de l'insecte a été réduit en fonction du nombre de chocs. En çe qui concerne D. brassicae, la situation était plus complexe: à 15°C, un choc thermique n'avait pas d'effet, mais les chocs subséquents ont accéléré le développement; à 20°C, un ou plusieurs chocs de 2 ou 4 jours demeurèrent sans grande conséquence, alors qu'un choc de 6 jours a sensiblement accéléré l'évolution. La répétition des chocs est restée sans conséquence sur les résultats. Les sorties des adultes se sont trouvées avancées de 20 jours pour P. rosae et de 40 jours pour D. brassicae. Le modèle d'éclosion de ces deux espèces n'a pas été affecté.  相似文献   

9.
R. TRAMIER 《EPPO Bulletin》1986,16(2):299-310
L'importance des agents pathogènes d'origine tellurique croit avec la pratique de plus en plus fréquente de la monoculture, principalement dans les régions méditerranéennes où, pour profiter des conditions climatiques exceptionnelles, la culture sous abri se développe considérablement. L'accumulation des parasites rend indispensable les traitements de sol et l'expérience acquise en ce domaine s'étend progressivement aux cultures de plein air. L'article passe rapidement en revue les principales maladies provoquées, en région méditerranéenne, par les champignons et bactéries du sol, ainsi que par certains virus transmis par les champignons du sol. La désinfection du sol par la vapeur, et surtout par l'utilisation de fongicides fumigants (bromure de méthyle et produits è base de métam-sodium principalement), constitue le mode de traitement le plus répandu. Doués d'un large spectre d'efficacité, ces fongicides éliminent ou réduisent la plupart des champignons, souvent sans modifier profondément l'équilibre biologique des sols traités. Grace à l'évolution du matériel d'épandage des fumigants, on entrevoit leur application sur de grandes surfaces. A ces interventions chimiques s'ajoutent également les méthodes de lutte biologique qui découlent des connaissances acquises par l'étude des sols suppressifs. Déjà pour la tomate et l'oeillet, ces applications deviennent imminentes pour lutter contre la fusariose vasculaire. Quel sera l'avenir de la solarisation susceptible de concurrencer les fumigants? Les facteurs économiques prédomineront dans le choix de la méthode. Pour les cultures sous abri, privilégiées dans les pays méditerranéens, l'adoption de cultures hors-sol en substrats constitue l'une des méthodes de lutte les plus efficaces contre les parasites d'origine tellurique et apporte en meme temps une plus-value considérable par rapport aux cultures traditionnelles.  相似文献   

10.
La connaissance du rapport flore levée/stock de semences du sol est nécessaire à la prévision des infestations de mauvaises herbes. Des travaux antérieurs ont montré que ce rapport (ou taux de levée) est en moyenne faible mais pourtant variable entre espèces, années et sites expérimentaux. Cette étude tente d'expliquer la variabilityé du taux de levée annuel, pour quelques dicotylédones à stock assez persistant, au sein de cultures de céréales d'hiver ou de printemps, labourées ou non. La dynamique de la levée et le stock de semences viables sont enregistrées à partir de populations adventices naturelles au cours de deux années successives et sur 26 parcelles cultivées, appartenant an champ d'essai de Grignon, situé dans le Bassin Parisien. Les résultats montrent une relative constance intra- et inter-annuelle du taux de levée pour des conditions voisines d'implantation de la céréale. La variation résiduelle est expliquée pour une même espèce par la distribution verticale des semences dans la couche labouré et peut-être par l'âge moyen du stock. La variabilityé inter-spécifique du taux de levée est à relier à la taille de la semence, à la période de germination de l'espéce mais aussi au mode d'estimation de la viabilité des semences; cependant l'utilisation de la radiographie industrielle aux rayons X a permis de compenser l'insuffisance des tests de germination et de réduire partiellement cette variabilité. De très faibles taux de levée sont observés enfin en l'absence de labour. Un modèle statistique simple est proposé pour rendre compte de la variabilité de ce taux, pour la flore dicotylédone annuelle, en culture d'hiver labourée.  相似文献   

11.
La DE50 de vinchlozoline pour des souches de Botrytis cinerea isolées de 1980 à 1984 varie de 2 μM a plus de 300 μM de vinchlozoline, néanmoins 93% des souches présentent une DE50 comprise entre 2 et 24 μM. En l'absence de fongicide, la capacité saprophytique et pathogéne des souches résistantes est dans l'ensemble égale ou légèrement inferieure à celle des souches sensibles. En présence de vinchlozoline, à des concentrations inhibant les souches sensibles, les souches résistantes colonisent les féves, les paprikas ou les rondelles de concombre; toutefois, les substrats traités sont généralement moins rapidement colonisés que les témoins non traités. Ce retard augmente avec la concentration en fongicide et diminue lorsque le niveau de résistance de la souche croît; les souches à DE50 supérieure á 300 μM de vinchlozoline ne sont plus affectées par le traitement. L'association de la vinchlozoline avec d'autres fongicides présente un effet synergique sur certaines souches. Le mélange vinchlozoline+tolylfluanide réduit la fréquence d'apparition de colonies résistantes in vitro. Les souches + DE50 supérieure à 300 μM sont plus sensibles aux pressions osmotiques élevées quc les souches sensibles.  相似文献   

12.
D. MUGNI RY 《EPPO Bulletin》1985,15(2):199-206
La résistance àGlobodera rostochiensis et àG. pallida chez la quasi-totalité des clones de pommes de terre connus s'exprime essentiellement par un blocage du développement des larves L2 et, pour les individus qui parviennent a se développer, par une orientation préférentielle vers le phénotype mâle. Tout effet défavorable sur les nématodes accentue ces deux phénomènes. Certains effets, tels que la compétition intraspécifique, le vieillissement des larves et les interactions avec la population choisie comme inoculum standard, sont analysés. Il en ressort que, quel que soil le type de test pratiqué, en pots ou en boîtes de Pétri, il faut porter la plus grande attention à l'origine de l'inoculum et l'idéal est d'utiliser une population se développant bien dans les clones sans résistance. Ce choix fait, il convient de limiter les niveaux de compétition intraspécifique: en boîtes de Pétri, un effectif de cinq larves par racine est un optimum; en pots, une densité de 0,25 larves par g de sol est souhaitable. Pour les tests exécutés en boîtes de Pétri, il faut veiller á ne pas utiliser des larves conservées trop longtemps á basse température, condition classique de conservation qui diminue leur potentiel infectieux.  相似文献   

13.
Partant du modèle allemand « PHYTOPROG », on a établi un programme qui utilise directement, c'est-à-dire en temps réel, les relevés horaires provenant du système automatique suisse d'acquisition de données météorologiques ANETZ. Comme le veut le modèle retenu, l'ordinateur calcule chaque jour l'indice correspondant aux 7 jours précédents. On tient ainsi régulièrement compte des périodes critiques, quelles que soient leur longueur ou leur place dans la semaine. Les premières expériences faites ont montré la nécessité d'adapter le modèle primitif aux conditions suisses, adaptation qui a fait ses preuves. L'utilisateur reçoit automatiquement par télex la liste des indices calculés. A lui d'effectuer la somme depuis l'apparition des premières feuilles sur son domaine. Pour cela, il peut procéder de deux façons: ou bien ne retenir qu'un jour dans la semaine ou bien diviser chaque fois l'indice par sept et effectuer ensuite la somme jour par jour. Pour des raisons techniques, on envoie le bulletin complet (toutes les stations considérées) à chaque abonné.  相似文献   

14.
E. Kahl 《EPPO Bulletin》1975,5(2):121-123
En Autriche, la protection des plantes repose sur la loi de 1948, adaptée à la situation particuliére du pays qui est composé de 9 provinces. Les dispositions intéressent la production et le commerce; une attention particulière est vouée à l'application des pesticides qui sont assujettis à l'homologation et doivent répondre aux critères d'efficacité et de sécurité. Ainsi, ce système est conçu de manière à mettre à la disposition de l'agriculture et de la sylviculture des produits répondant aux exigences d'une lutte économique sans qu'il en résulte des effets indésirables pour l'homme, les écosystèmes et l'environnement en général.  相似文献   

15.
Les résultats obtenus montrent que l'activité biocide du bromure de méthyle est correctement mesurée par le produit C1T (concentration du bromure de méthyle dissous en mmole 1?1 x temps d'exposition en heures des organismes au toxique), mesure qui convient spécialement aux traitements du sol, le gaz y étant présent en solution aqueuse. Les valeurs de C1T qui produisent un effet léthal varient selon les particularitiés morphologiques des organismes et la température pour des raisons de réactions biochimiques et de cinétiques d'échanges physico-chimiques. Il existe de plus un seuil de concentration minimale en deçà duquel l'effet pesticide n'est plus perceptible. Dans nos conditions standardisées de mesure, il apparaît que l'effet nématicide et herbicide se manifeste pour des C1T semblables, alors que les champignons et surtout les bactéries sont plus résistants. Ainsi, les perturbations observées sur la flore bactérienne du cycle de l'azote à la suite d'un traitement ne sont généralement que temporaires. Il est prudent toutefois d'éviter les traitements à fortes doses.  相似文献   

16.
Les auteurs exposent une partie d'une série d'études préliminaires de plein champ effectuées en 1981 en Alsace, sur Lobesia botrana. Ces observations sur la biologie de l'insecte sont destinées à adapter ultérieurement au vignoble alsacien le modèle de prévision, mis au point dès 1979 par Touzeau pour la région Midi-Pyrénées. Le modèle se réfère à l'apparition des différents stades et des différentes générations de ce ravageur. Chacune des observations effectuées est déterminée par les sous-modèles qui prennent en compte l'évolution de l'espèce au cours d'une saison en fonction de données climatologiques bien définies (sommes de températures plus particulièrement). Seuls sont abordés dans cet exposé les résultats et les observations portant sur la génération printanière.  相似文献   

17.
Des populations de doryphores sont réguliérement observées depuis 25 ans, au cours de deux visites annuelles. Ces visites ont lieu selon un parcours déterminé, le long du littoral occidental du Département de la Manche. Les dénombrements d'adultes, de pontes et de larves sont effectués par échantillonnage dans une centaine de cultures. Des données quantitatives et suivies ont été recueillies sur la progression de la contamination par les doryphores, soit par déplacement au sol, soit par vol, dans les nouvelles cultures de printemps. La densité des populations imaginales et larvaires et ses variations d'année en année sont connues pour une vingtaine de localités du littoral. Le taux moyen de multiplication des imagos parfaits printaniers (Ipp) reste élevé en dépit de la lutte obligatoire contre le doryphore. Les causes des importantes fluctuations numériques observées tiennent assurément aux caractéristiques biologiques de l'insecte et aux façons culturales propres à la région. La connaissance des caractéristiques du potentiel biotique du doryphore est essentielle à une meilleure compréhension de la dynamique des populations dans le Cotentin et concerne directement le problème de la protection des lies Anglo-Normandes. Ce sont en particulier les capacityés de dispersion et de résistance au jeǔne des Ipp qui ont été analysées au laboratoire alors que le test de l' envol est utilisé comme critère pour expérimenter la capacityé de dispersion du ravageur. L'aptitude à l'envol des doryphores printaniers, qui est nulle immédiatement après l'émergence du sol, croǐt pendant les 10 premiers jours à 25oC. L'éclairage continu épuise rapidement les individus et le jeǔne prolongé ainsi que l'absence d'eau en augmentent la mortalité, mais la capacityé d'envol des survivants reste néanmoins élevée.  相似文献   

18.
J. PINON 《EPPO Bulletin》1986,16(3):585-588
Depuis 1982 il est établi qu'il existe en Europe au moins deux races ou pathotypes (E1 et E2) de Melampsora larici-populina, agent de la rouille des peupliers des sections Aigeiros et Tacamahaca. Seules semblent concernées actuellement quelques stations de Belgique, des Pays-Bas et de l'est de la France. Ces deux races se distinguent entre elles en terme de virulence, et plus discrètement en terme d'agressivité. Il en résulte que des clones, tels que Isières, Ogy, Rap, Spijk et Unal, jusqu'alors résistants à la race E1, sont notablement infectés par la race E2. On ne sait si E2 constitue un nouveau pathotype ou si sa mise en évidence est le reflet de la diffusion des clones précités. Il devient nécessaire de préciser la répartition des deux races selon les régions et les génotypes de l'hôte, en se basant sur les clones connus pour leur réaction différentielle. D'autre part, les programmes de sélection pour la tolérance doivent être réorientés.  相似文献   

19.
Les épidémies de Sclerotinia sclerotiorum provoquées par les ascospores sur les inflorescences (capitules) de tournesol constituent l'un des facteurs limitants de l'extension de cette culture en France. Elles interviennent de manière irrégulière et sont difficiles à prévoir. Cinq semaines séparent, en moyenne, la contamination de la détection visuelle de la maladie; les dégâts sont alors irréversibles et l'intervention chimique inutile. La protection chimique ne peut couvrir toute la période de sensibilité agronomique du capitule (soit 7 semaines). Parmi les facteurs étudiés pour comprendrel'épidémie, un seul, la durée d'eau libre ou d'humiditéà saturation, se révèle être un facteur limitant. Les inflorescences doivent rester humectées pendant 42 h sans interruption, quelle que soit la température estivale. La reconnaissance des périodes à permanence d'eau pendant 42 h doit permettre de n'effectuer les traitements fongicides indispensables que lors de ces périodes de très haut risque. Prévoir ces périodes de haut risque permettrad'établir des avertissements agricoles, de réaliser une cartographie climatique des régions françaises et d'apprécier les zones potentielles où cette maladie ne serait pas l'un des facteurs limitants de la culture.  相似文献   

20.
W. Mueller 《EPPO Bulletin》1974,4(3):347-355
Les méthodes biomété orologiques qui intéressent les biologistes appelé s à développer des systèmes de lutte intégrée se distinguent nettement de la climatologie traditionnelle de l'abri. D'une façon générale, les différences peuvent se résumer comme suit: –les investigations se font essentiellement à l' échelle microclimatique; –les instruments sont très élaborés et particulièrement adaptés au but recherché; –l'établissement du réseau d'observations et les périodes d'études dependent des exigences biologiques; –la durée des périodes d'observation est limitée et la densité du réseau climatologique relativement faible grâce au recours à l'échantillonnage représentatif. L'interprétation des résultats biométéorologiques est en général difficile puisqu'il y a souvent superposition de deux ou d'un nombre plus élevé de facteurs. II est done prudent d'inclure également, dans l'appréciation générale, les données de laboratoire et de s'efforcer de remplacer les données plus ou moins empiriques par des fonctions précises. Cette approche est proposée sous la forme d'une étude quantitative du bilan énergétique et hydrique des ravageurs. On peut ainsi obtenir des résultats de portée étendue, reposant sur des données physiques, d'une part, et des renseignements quantitatifs, d'autre part. Un certain nombre de facteurs simples ou composés tels que le vent et la faculté de refroidissement sont à considérer dans les études biométéorologiques puisqu'ils contribuent à caractériser, et partant, à prévoir le comportement des espèces (par exemple l'activité de vol du carpocapse des pommes). En définissant des « types de temps » favorables à l'activité d'un ravageur, il serait possible de prévoir le comportement de l'espèce en question. Enfin, l' étude conjointe des vues prises par satellites à l'aide de films à infrarouge, thermiquement sensibles, et des observations biométéorologiques faites au sol apportera sur le plan macro- et méso-climatique des éléments eminemment utiles au développement de la lutte intégrée.  相似文献   

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