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1.
Summary In 1958 a relatively random selection of 20 samples of Dutch potato varieties from the same variety test field of the Institute for Research on Varieties of Field Crops, Wageningen, was examined for sweetening during a storage period of two months at 2°C. In 1959 the investigation was repeated with 12 of these varieties which showed considerable differences from each other as regards sugar accumulation. A comparison of the results in both years showed that there is a good indication that the differences with respect to the accumulation of reducing sugars are reproducible from one year to another. In both yearsRode Star, Noordeling andMaritta accumulated very little reducing sugar, where asClimax andAlpha accumulated it to a very marked extent. No evidence was found for such a reproduction of differences with respect to the accumulation of non-reducing sugars. Chromatographic investigation showed that the reducing sugar fraction consists of glucose and fructose, where as the non-reducing fraction only contains saccharose.
Zusammenfassung Im Jahre 1958 wurde ein verh?ltnism?ssig willkürliches Assortiment von 20 niederl?ndischen Kartoffelsortenproben — bezogen von demselben Versuchsfelde des Instituts für Sortenprüfung Landwirtschaftlicher Kulturpflanzen, Wageningen — untersucht mit dem Zweck das Süsswerden w?hrend einer Lagerung von 2 Monaten bei 2°C nachzuprüfen. Die Untersuchung wurde im Jahre 1959 mit 12 von diesen Sorten wiederholt, welche gegenseitig bedeutende Unterschiede hinsichtlich der Zuckeranh?ufung zeigten. Der Vergleich der Ergebnisse von beiden Jahren führte zum Schluss, dass die gegenseitige Unterschiede hinsichtlich der Akkumulation von reduzierenden Zuckern sich wahrscheinlich wiederholen. In beiden Jahren war die Anh?ufung von reduzierenden Zuckern beiRode Star, Noordeling undMaritta nicht sehr bedeutend, w?hrendClimax undAlpha eine hohe Akkumulation zeigten. Hinsichtlich der Akkumulation von nicht-reduzierenden Zuckern wurde eine derartige Wiederholung von wechselseitigen Differenzen nicht gefunden. Aus chromatographischen Untersuchungen ging hervor dass Glukose und Fruktose den reduzierenden Teil bilden, w?hrend Saccharose der einzige nicht-reduzierende Zucker ist.

Résumé En 1958, une collection d'échantillons assez arbitrairement composée de 20 variétés hollandaises de pommes de terre — re?ue d'un seul champ d'essais de l'Institut des Recherches sur les Variétés de Plantes de Grande Culture à Wageningen — a été étudiée dans le but d'observer l'augmentation de la teneur en sucre durant 2 mois de conservation à 2°C. L'étude a été répétée en 1959 pour 12 de ces variétés, entre lesquelles existaient de fortes différences quant à l'accumulation de sucres. La comparaison des résultats des deux années a amené à conclure que les différences entre les variétés en ce qui concerne l'accumilation de sucres réducteurs se reproduisent probablement d'une année à l'autre. Dans l'une et l'autre année, l'accumulation de sucres réducteurs dans lesRode Star, Noorderling etMaritta était peu importante, tandis que lesClimax et lesAlpha présentaient une forte accumulation. Pour ce qui est de l'accumulation de sucres non réducteurs, il n'a pas été constaté de telle répétition des différences entre les variétés. Les essais chromatographiques ont permis de constater que le glucose et le fructose constituent la part réductrice, tandis que le saccharose est le seul sucre non réducteur.
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2.
Summary Potato tubers of several Polish varieties and strains were stored at low temperature (1, 2 and 6°C) and examined for sugar accumulation. The amount of accumulated sugar depended on the variety (strain) and was negligible at 6°C, greater at 2°C and the greatest at 1°C. The reducing sugar usually predominated and fructose was accumulated faster than glucose. There were two exceptions (R-42431 and R-38319), which accumulated a high percentage of sucrose with an accompanying low percentage of reducing sugars.
Zusammenfassung Kartoffelknollen einiger polnischen Sorten und St?mme wurden w?hrend 18 oder 22 Wochen bei Temperaturen von 1, 2 und 6° C gelagert. Nach der Lagerung wurden die Gehalte an Gesamtzucker, reduzierenden Zuckern, Saccharose, Glukose und Fruktose bestimmt. Die Ergebnisse der Zuckeranh?ufung bei 1°C wurden mit jenen in der amerikanischen Sorte Kennebec verglichen, die unter den gleichen Bedingungen aufbewahrt wurde. Zuckeranh?ufung bei verschiedenen Sorten und St?mmen unterscheidet sich sowohl quantitativ wie qualitativ. Eine temperatur von 6° C dürfte im allgemeinen den Gesamtzuckergehalt nicht wesentlich ver?ndern; bei einigen Sorten ist dies aber doch der Fall (Abb. 1 und 2). Die Anh?ufung reduzierender Zucker bei dieser Temperatur wird vor allem durch den Abbau der Saccharose verursacht, die w?hrend der Lagerung abnimmt (Abb. 3 und 5). Temperaturen von 2 und 1° C steigern die Zuckeranh?ufung stark. Eine Temperatur von 2°C beschleunigt haupts?chlich die Anh?ufung reduzierender Zucker mit relativ geringer Anh?ufung von Saccharose, w?hrend eine Temperatur von 1°C sowohl die Menge an reduzierenden Zuckern als auch an Saccharose ?ndert (Abb. 1–6). Der Gesamtzuckergehalt war infolge der rascheren Saccharose-Anh?ufung in einer Periode w?hrend der Lagerung bei 1°C in verschiedenen Lagerperioden unterschiedlich (Abb. 1 und 5), w?hrend der Gehalt an reduzierenden Zuckern gleich blieb (Abb. 3). Das heisst, dass die Reaktion von Kartoffelknollen auf Zuckeranh?ufung bei tiefen Temperaturen unter anderem von der vorangehenden Wachstumsperiode abh?ngt. Die Knollen der untersuchten Sorten und St?mme zeigten eher ein niedriges Verh?ltnis Saccharose/reduzierende Zucker (Tab. 1). Sogar die amerikanische Kontrollsorte Kennebec ergab ein ganz niedriges Verh?ltnis von 0,36. Dies kann durch den Einfluss von geographischen Bedingungen w?hrend des Kartoffelwachstums in Polen erkl?rt werden. Das unterschiedliche Verh?ltnis Glukose/Fruktose in Mustern vor und nach der Lagerung kann aus Tabelle 2 ersehen werden. Der vorherrschende Zucker in der Kontrolle ist Glukose, w?hrend tiefe Temperaturen die Fruktose-Anh?ufung begünstigen. Die gegenw?rtigen Versuche zeigten, dass die Reaktion von Knollen auf tiefe Lagertemperaturen ein Sortenmermal ist. Gewisse Sorten (St?mme) h?ufen in der Regel geringe Zuckermengen an, wie zum Beispiel die Sorte Nina (Abb. 2, 4 und 6), w?hrend andere Sorten rasch Zucker anh?ufen, wie zum Beispiel Flisak. Diese Feststellung ist vom technologischen Standpunkt aus wichtig. Zwei St?mme, R-42431 und R-38318, wurden in ihrer Zuckeranh?ufung bei tiefer Temperatur als atypisch befunden. Diese St?mme reichern w?hrend der Lagerung bei 1°C sehr grosse Mengen Saccharose an, w?hrend die reduzierenden Zucker auf einem sehr tiefen Stand bleiben (Abb. 4 und 6).

Résumé Des tubercules de pomme de terre de divers variétés et hybrides polonais ont été conservés à des températures de 1, 2 et 6°C pendant 18 à 22 semaines. Les sucres totaux, les sucres réducteurs, le saccharose, les glucose et fructose ont fait l'object de déterminations après la conservation. Les résultats de l'accumulation de sucres à 1°C sont comparés à ceux de la variété américaine Kennebec conservée dans les mêmes conditions. L'accumulation de sucres dans les différents variétés et hybrides varie à la fois sur les plans quantitatif et qualitatif. Une température de 6°C peut ne pas modifier sensiblement la quantité totale des sucres, quoique ce soit le cas chez quelques variétés (fig. 1 et 2). A cette température, l'accumulation des sucres réducteurs est due en tout premier lieu à la décomposition du saccharose, dont la quantité diminue pendant la conservation (fig. 3 et 5). Des températures de 2 et 1°C élèvent considérablement l'accumulation des sucres. Une température de 2°C accélère principalement l'accumulation des sucres réducteurs et relativement peu l'accumulation du saccharose; par contre une température de 1°C modifie aussi bien les quantités de sucres réducteurs que de saccharose (fig. 1–6). La quantité totale de sucres varie au cours d'une conservation à 1°C avec les périodes de conservation parce que l'accumulation de sucrose est plus rapide pendant une période (fig. 1 et 5), alors que les sucres réducteurs restent au même niveau (fig. 3). Ce qui signifie que la réaction des tubercules de pomme de terre à l'accumulation de sucres à basse température dépend, parmi d'autres facteurs, des périodes précédentes de croissance. Les tubercules des variétés et hybrides examinés ont montré un rapport saccharose/sucres réducteurs plut?t bas (tableau 1). Même chez la variété américaine de référence Kennebec, le rapport était tout à fait bas: 0,36. Ceci peut s'expliquer par l'influence de conditions géographiques au cours de la croissance des pommes de terre en Pologne. On peut voir dans le tableau 2 les différents rapports glucose/fructose dans les échantillons avant et après le stockage. Le sucre le plus abondant dans les contr?les est le glucose fandis que la basse température favorise l'accumulation de fructose. Les présentes expériences ont montré que la réaction des tubercules à basse température de conservation présente un aspect variétal. Certaines variétés (hybrides) accumulent régulièrement de faibles quantités de sucres comme par exemple, la variété Nina (fig. 2, 4 et 6), alors que d'autres en produisent rapidement, telle Flisak. Ce fait est important du point de vue technologique. Deux hybrides, R-42431 et R-38319, se révèlent atypiques pour leur accumulation de sucres à basse température. Ils accumulent de très grosses quantités de sucrose à une conservation à 1°C, alors que les sucres réducteurs se maintiennent à un niveau très bas (fig. 4 et 6).
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3.
Summary Studies on the level of resistance to entrance and resistance to invasion within leaves indicated that the best genotypes in the Colombian material reached the level of cv. Record. No significant differences in resistance were found betweenS. tuberosum ssp.andigena andS. phureja clones. Resistance to entrance and resistance to invasion were correlated.
Zusammenfassung Von 29 S?mlingen, die aus Selbstbefruchtung von 12 verschiedenen Klonen hervorgingen, wurden zwischen ein und fünfzehn Pflanzen auf Resistanz gegen das Eindringen und auf Resistenz gegen das Ausbreiten derPhytophthora infestans ins Blattwerk untersucht (Tablle 1). Die beiden Komponenten der Blattresistenz waren korreliert (r=0,63***, Abb. 1). Keine signifikanten Unterschiede wurden im Ausmass der Blattresistenz zwischen den Klonen vonS. tuberosum ssp.andigena undS. phureja gefunden. Ein Vergleich mit den Feldresistenz-Standards zeigte, dass nur die besten Genotypen der kolumbianischen Kollektion den von der Sorte Record erbrachten mittleren Resistenzgrad erreichten (Tabelle 2).

Résumé Une à quinze plantes, issues de 29 plants provenant de l'auto-pollinisation de 12 cl?nes différents ont été testées pour leur résistance à l'invasion du feuillage (tableau 1). Les 2 composants de la résistance foliaire sont corrélés (r=0,63***, fig. 1). Aucune différence significative n'a été trouvée dans les niveaux de résistance foliaire entre les cl?nes deS. tuberosum ssp.andigena etS. phureja. Une comparaison avec les témoins de référence résistants au champ indique que seulement les meilleurs génotypes des collectes de Colombie atteignent le niveau moyen de résistance de la variété Record (tableau 2).
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4.
Summary Potato varieties were freed from viruses X and S by culturing meristems isolated from sprouts of heat-treated tubers.Duke of York andRoyal Kidney were freed from viruses X and S andDoon Star Wilding from virus X but not from virus S. Of 137 meristems, 76 germinated, 12 developed into plants. Seven plants were free from viruses X and S, three were from virus X and two remained infected by both viruses. Six plants from meristems treated for at least 23 days at 32–35°C were free from viruses X and S, three of four meristems treated for 5–10 days were free from virus X while one plant free from virus X but not from virus S originated from an untreated sprout. Varieties differed in tolerance to heat treatment — early varieties were more tolerant than late varieties. Varieties also differed in response to growth in culture — meristems of early varieties germinated more readily than those of a maincrop. Photoperiodism may influence the growth of varieties of different maturity in culture.
Zusammenfassung In Schottland wurden durch Kultivierung von Meristemgewebe aus Keimen von Kartoffelknollen (Hitzebehandlung bei 32–35 °C) virus-freie Pflanzen von vorher mit Virus X und S infizierten Sorten gewonnen. 137 Meristeme von 150–200 μm wurden auf die Oberfl?che der Morel & Müller: — (1964) N?hrl?sung in 2 oz. (57g) — Musterflaschen mit grosser Oeffnung gebracht (Abb. 1 und 2). Eine Photoperiode von 16 Stunden wurde angewandt. 76 Meristeme keimten und 16 entwickelten sich zu Pfl?nzchen, von denen 4 keine Wurzeln bildeten. Nach 2–3 Monaten wurden den Pfl?nzchen auf der N?hrl?sung Stecklinge von 1–2 cm L?nge entnommen und in Kompost bewurzelt. 7 Pflanzen waren frei von den Viren X und S, 3 waren frei von Virus X, und zwei blieben von beiden Viren befallen (Tabelle 1). Alle 6 Pflanzen von Meristemen, die w?hrend mindestens 23 Tagen einer Hitzebehandlung unterworfen wurden, waren frei von Virus X und S. Bei einer Behandlungsdauer von weniger als 23 Tagen zeigten die Ergebnisse, dass das Virus X leichter zu eliminieren war als Virus S — 4 von 6 Pflanzen waren frei von Virus X bei einer Hitzebehandlung von bis zu 10 Tagen Dauer. Eine virus-X-freie, aber nicht virus-S-freie Pflanze wurde erzielt ohne vorherige Hitzebehandlung (Tabelle 1). Die Sorten unterschieden sich in ihrer F?higkeit, der Hitzebehandlung zu widerstehen —frühe Sorten schienen toleranter zu sein als sp?t reifenden Sorten.Duke of York, Royal Kidney und andere früh reifende Sorten keimten nach 12–14 Wochen bei 32–35° C immer noch, w?hrend Knollen vonDoon Star Wilding und andere mittelfrüh reifende Sorten nach 2–3 Wochen verfaulten. Sortenbedingte Unterschiede in der Keimung und im Wachstum auf der N?hrl?sung wurden notiert. Auch hier keimten die Meristeme früher Sorten schneller, w?hrend jene sp?ter reifender Sorten sich oftmals nicht entwickelten. Es wird angenommen, dass dies eine photoperiodische Reaktion sein k?nnte, da man glaubt, dass frühe Sorten Langtag-Bedingungen, wie zum Beispiel der von uns angewendeten 16-Std.-Photoperiode, angepasst sind, w?hrend sp?te Sorten sich eher für Kurztag eignen. Die Untersuchung wird fortgesetzt.

Résumé On a obtenu en Ecosse des souches sans virus de variétés infectées de longue date par les virus X et S, grace à la culture de tissu méristématique excisé de germes de tubercules de Pomme de terre incubés à 32–35°C. 137 méristèmes de 150–200 μm ont été déposés sur la surface d'un milieu de Morel & Muller (1964) contenu dans des flacons spéciaux, à large ouverture d'une contenance de deux onces (fig. 1 et 2). La photopériode consistait en 16 heures de lumière. 76 méristèmes ont germé et 16 se sont développés en plantules, parmi lesquelles 4 ne sont pas enracinées. Après 2 à 3 mois on a prélevé, sur les plantules des milieux de culture, des boutures de 1–2 cm de longueur, qui ont été mises à l'enracinement dans du compost. Sept plantes se sont révélées sans virus X et S, trois étaient libres de virus X et deux étaient encore infectées par les 2 virus (tableau 1). Toutes les six plantes provenant de méristèmes et qui subirent un traitement à la chaleur pendant un minimum de vingt-trois jours, furent trouvées sans virus X et S. Les résultats obtenus avec des traitements d'une durée inférieure à vingt-trois jours indiquent que le virus X est plus rapidement éliminé que le virus S — quatre plantes sur six sont débarassées du virus X avec des traitements à la chaleur jusqu'à 10 jours. On a obtenu, sans traitement préalable à la chaleur, une plante libérée du virus X mais non du virus S (tableau 1). Les variétés diffèrent quant à leur capacité de résistance au traitement à la chaleur — les variétés précoces paraissent plus tolérantes que les tardives.Duke of York, Royal Kidney, ainsi que d'autres variétés hatives continuent à germer après 12–14 semaines à 32–35°C, tandis que les tubercules deDoon Star Wilding et d'autres variétés de grande culture pourrissent après 2–3 semaines. On observe également des différences variétales dans la germination et la croissance sur le milieu de culture — de nouveau les méristèmes des variétés précoces germent rapidement alors que ceux des variétés tardives qui, souvent, ne se développent pas. Il est supposé que cette réaction est de nature photopériodique puisque les variétés précoces doivent être adaptées aux conditions de jours longs tels que ceux de la photopériode utilisée dans l'essai, tandis que les variétés tardives se plaisent mieux en jours plus courts. Les recherches continuent.
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5.
Summary Unreplicated plots of up to 29 varieties were grown for three years at a high plant density and until maturity when the dry matter content and canning characteristics of the 20–40 mm grade tubers were assessed. A low dry matter content was not always associated with freedom from breakdown on canning. Several varieties showed promise butMaris Peer was considered the best withArran Pilot andSutton's Foremost receiving qualified commendation.
Zusammenfassung Einzelparzellen von ungef?hr 2,3 m2 (ohne Wiederholung) wurden gegen Ende April der Jahre 1966–68 mit 22, 23 bzw. 29 Sorten bepflanzt, wie in Tabelle 1 aufgeführt. Da durch enges Pflanzen wahrscheinlich die erforderlichen kleinen Knollen produziert werden k?nnen und das Zerfallen der Knollen gef?rdert wird-was den Test strenger macht-, wurden Saatknollen im Quadratverband so ausgepflanzt, dass auf einen m2 258 Augen fielen. Beim Auspflanzen wurde nicht angeh?ufelt und andere mechanische Pflegearbeiten wurden sp?ter unterlassen; Unkr?uter, Sch?dlinge und Krankheiten wurden chemisch bek?mpft. Die Knollen wurden, ebenfalls um den Test strenger zu machen, zur Reifezeit geerntet. Muster in der Kalibrierung von 20–40 mm wurden bei 118°C w?hrend 30 Minuten mit einer L?sung von 2% Natriumchlorid und 0,75% Saccharose konserviert bzw. eingedost. Der Trockensubstanzgehalt wurde für andere Teilmuster dieser Knollengr?sse bestimmt. Zwei Personen erteilten die Noten für die Dosenkartoffeln in bezug auf Zerfallen (kein Zerfall=10), Geschmack (gut=10), Beigeschmack (keinen=10), Textur (weich=10), Farbe (weiss=10), Einheitlichkeit der Farbe (einheitlich=10) und Form (rund=10). Nur die Ergebnisse für Zerfallen, Farbe und Form wurden statistisch ausgewertet, da diese die wichtigsten Faktoren zur Unterscheidung der Sorten zu sein scheinen. Diese Analyse ist von beschr?nkter Anwendbarkeit, da nur für die im oberen Teil der Tabelle 1 aufgeführten Sorten genaue Vergleichsdaten vorliegen. Einige Sorten mit weniger als 20% Trockensubstanz zerfielen bei der Konservierung, w?hrend andere, zum BeispielAura undKipfler, zwar einen hohen Prozentsatz an Trockensubstanz aufwiesen, aber niemals zerfielen. Aehnliche Unterschiede im Trockensubstanzgehalt einer Sorte von Jahr zu Jahr waren ohne enge Beziehung zum Zerfallen. In Tabelle 2 sind diejenigen Sorten aufgeführt, die entweder weniger als 20% TS-Gehalt aufwiesen oder im Verlaufe von wenigstens 1 Jahr keine Note für das Zerfallen erhielten, die schlechter als 8 war. Bei Beurteilung der andern Eigenschaften wurde der Schluss gezogen, dassMaris Peer scheinbar die geeignetste Sorte darstellt, die in Grossbritannien als Dosenkartoffel akzeptiert würde. Nehmen wir jedoch an, dass die Ergebnisse beiArran Pilot im Jahre 1966 sehr aussergew?hnlich waren, so weisen die Erfahrungen von 1967 und 1968 zusammen mit den seither erzielten Resultaten deutlich darauf hin, dass diese Sorte für die Konservierung ebenfalls nützlich sein k?nnte. Einige andere Sorten (zum BeispielDr. McIntosh, Majestic, Red Craigs Royal undUlster Beacon) dürften in unreifem Zustand geeignet sein, aber die Schwankung in der Qualit?t ist wahrscheinlich gr?sser als beiMaris Peer oder eventuellArran Pilot.

Résumé Au cours des années 1966 à 1968, à la fin du mois d'avril, on a planté respectivement 22, 23 et 29 variétés, sur des parcelles de quelque 2,3 m2; il n'y avait pas de répétition. Les plants étaient disposés en carré à raison de 258 yeux par m2, de manière à réaliser le plus faible espacement nécessaire à la production des petits tubercules requis et augmenter le délitement; le test ainsi réalisé était très sévère. La plantation était faite sans buttage, aucune fa?on culturale n'était appliquée; la lutte contre les mauvaises herbes, les parasites et les maladies se faisait par voie chimique. Les tubercules étaient récoltés à maturité, de nouveau pour accroitre la sévérité du test; des échantillons de calibre 20–40 mm étaient mis en bo?te à 118°C pendant 30 minutes dans une solution de 2% de chlorure de sodium, et 0.75% de sucrose. Les déterminations du pourcentage de matière sèche ont été faites sur d'autres souséchantillons de tubercules de même grosseur. Deux personnes cotaient les tubercules traités en bo?tes pour délitement (aucun=10), la saveur (bonne=10), faux go?t (aucun=10), texture (tendre=10), couleur (blanc=10), uniformité de la couleur (uniforme=10) et forme (ronde=10). Seuls les résultats de délitement, de couleur et de forme sont analysés statistiquement, étant donné qu'ils paraissent être les plus importants pour la discrimination des variétés. Cette analyse est d'application limitée parce qu'on ne dispose de données exactement comparable que pour les variétés figurant à la partie supérieure du tableau 1. Quelques variétés avec une teneur en matière sèche inférieure à 20% se délitent au canning, tandis que d'autres, notammentAura etKipfler, qui présentent une haute teneur en matière sèche, ne présentent jamais le moindre délitement. Pareillement les différences d'une année à l'autre dans le pourcentage en matière sèche d'une variété ne sont pas étroitement liées au délitement. Le tableau 2 mentionne les variétés qui, soit, ont une teneur en matière sèche inférieure à 20%, soit, obtiennent des cotes de délitement inférieures à 8 une année au moins. Quand on considère les autres particularités, on conclut queMaris Peer est la variété la plus adéquate pour le canning dans le Royaume-Uni. Cependant, considérant comme vraiment exceptionnels les résultats d'Arran Pilot en 1966, considérant ensemble les résultats de 1967 et 1968 dans les très sévères tests successifs, on peut admettre que cette variété est également valable pour le canning. Plusieurs autres variétés (par ex.Dr Mc Intosh, Majestic, Red Craigs Royal etUlster Beacon) peuvent également convenir quand elles ne sont pas m?res mais les variations dans la qualité sont nettement plus grandes qu'avecMaris Peer ouArran Pilot.
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6.
Zusammenfassung 44–66% der 5973 untersuchten Kartoffelfl?chen waren mit Kartoffelnematoden befallen. Durch den zunehmenden Einsatz von resistenten Sorten konnte die Befallsdichte vor allem in den südlichen Fabrikkartoffelanbaugebieten reduziert werden. Eine Kombination des Pathotypentests mit morphologischen Untersuchungen der Spicula der M?nnchen verkürzt den Zeitaufwand für die Pathotypenbestimmung. Die 366 getesteten Herkünfte waren Mischpopulationen, in denen Ro 1 dominierte. Ro 4 trat in 8 F?llen (2%) auf. 13% der Nematodenpopulationen enthielten resistenzbrechende Pathotypen, davon 6%G. pallida. Ro 5 kam bisher nur in einer Population gemeinsam mit Pa 3 vor. 16 neue resistente Sorten wurden mit Nematodenherkünften aus Südschweden geprüft. Eine obligatorische Bodenprobenentnahme und der Anbau von Sorten mit unterschiedlicher Nematodenresistenz im Wechsel mit weniger anf?lligen Sorten wird als Bek?mpfungsmassnahme empfohlen.
Summary The main potato growing areas in Sweden for starch and table potatoes are in the southern provinces (Schonen, Blekinge, Halland, ?sterg?tland). As a result it is here that the highest levels of soil infestation by potato cyst nematodes are found. Of 5973 potato fields of different sizes examined between 1979 and 1984, 44–66% were infested with potato cyst nematodes (Table 1). The increasing use of resistant cultivars (in 1983, 60% of the starch and 4% of the table cultivars were resistant) has reduced infestations, particularly in the southern potato growing areas. Pathotype tests on 366 nematode populations from fields where resistant cultivars have been grown frequently, revealed that the cyst nematodes occurred in mixed populations, in whichGlobodera rostochiensis (Woll.) Behrens, Ro 1, dominated. Ro 4 could be detected in 8 cases (2%). This pathotype seems to occur much more frequently in Swedish populations but may not be recognized as long asS. andigena-resistant cultivars are grown. Thirteen percent of the nematode populations contained resistance-breaking pathotypes (i.e. other than Ro 1 and Ro 4), with 6%Globodera pallida (Stone) Behrens. TheG. pallida fraction, with the exception of the population SK1/80, is as yet minor, as can be seen from Tables 2 and 3. Ro 5 only occurred in one population together with Pa 3. Sixteen resistant starch cultivars from the Netherlands, Denmark and the Federal Republic of Germany were tested against six isolated nematode populations (3 pure pathotypes—Ro 2, Ro 5, Pa 3; 3 pathotype mixtures—Ro 3/4, Pa). All the cultivars, with the exception of Danva and Fecuva, depressed the multiplication rates of the pathotype mixtures (Table 3). Cultivars which contained onlyS. vernei and noS. andigena (Danva, Fecuva) increased the multiplication rates of pathotype mixtures with a high proportion of Ro 4. No cultivar was resistant to virulence group Pa 3. Only Elles, Senator and Atrela proved to be less susceptible to Pa 3. Such cultivars with lower multiplication rates could be of practical value in the absence of resistant cultivars. Obligatory soil sampling and rotations of cultivars with different nematode resistances with fewer susceptible cultivars, is recommended as a control strategy.

Résumé Les principales régions de production de pommes de terre destinées à la féculerie et à la consommation se situent dans les provinces du sud de la Suède (Schonen, Blekinge, Halland, ?sterg?tland). Par conséquent, c'est dans ces régions que l'on trouve le plus de sols contaminés de nématodes (fig. 1). Sur les 5973 champs de surfaces inégales, contr?lés entre 1979 et 1984, 44–66% étaient contaminés avec les nématodes (fig. 1). Par l'utilisation croissante de variétés résistantes (en 1983, le 60% des variétés destinées à la féculerie et le 4% des variétés de consommation étaient résistantes), le taux de contamination a pu être réduit, particulièrement dans les régions du sud destinées à la production de pommes de terre industrielles. Des tests de pathotypes effectués avec 366 provenances de nématodes, prélevés dans les champs régulièrement cultivés avec des variétés résistantes, ont démontré qu'il s'agissait avant tout de populations mixtes avec une dominance deGlobodera rostochiensis (Woll.) Behrens, Ro 1. La race Ro 4 a été isolée dans 8 cas (2%). Il faut admettre que ce pathotype est probablement bien plus répandu en Suède, mais il n'appara?t pas avec la culture des variétés résistantes auS. andigena. 13% des populations de nématodes contenaient des pathotypes capables de supprimer cette résistance, c'est-à-dire autres que Ro 1 et Ro 4, dont 6% deGlobodera pallida (Stone) Behrens. Comme on peut le lire sur le tableau 2 et 3, la proportion deG. pallida dans les mélanges de pathotypes est encore assez faible, à l'exception de la population SK1/80. La race Ro 5 n'a été trouvée que dans une seule provenance en association avec Pa 3. 16 variétés de pommes de terre riches en amidon et reconnues résistantes, en provenance des Pays-Bas, du Danemark, de la RFA ainsi que 2 variétés de la RDA ont été testées avec 6 populations de nématodes isolées au sud de la Suède: 3 pathotypes purs (Ro 2, Ro 5 et Pa 3) et 3 mélanges de pathotypes (Ro 3/4, Pa). A l'exception de Danva et Fecuva, ces variétés ont eu une bonne efficacité dans l'assainissement des mélanges de pathotypes (tab. 3). Les variétés qui contiennent uniquementS. vernei (et pas deS. andigena) soit Danva et Fecuva, augmentèrent le taux de reproduction des mélanges de pathotypes avec une forte proportion de Ro 4. Aucune variété n'était résistante au groupe Pa 3. Seules les variétés Elles, Senator et Atrela semblèrent moins sensibles à Pa 3. Par leur effet limitatif sur la reproduction de ce pathotype, de telles variétés pourraient présenter une certaine importance pratique en l'absence d'obtentions résistantes à Pa 3. Dans la stratégie de lutte, il est recommandé d'instaurer un contr?le obligatoire d'échantillons de terre et de cultiver des variétés présentant différentes résistances aux nématodes, en alternance avec des variétés moins sensibles.
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7.
Summary Relative cold tolerances were determined for 18 genotypes of wild and cultivated potato (Solanum spp.); eleven were from high altitude and were considered to be adapted to cold environments, and the remaining seven were cultivars ofS. tuberosum of which four originated from Chile. Relative cold sensitivity of the genotypes was measured by the decrease in the rate of the induced rise in chlorophyll fluorescence in leaflets kept at 0°C in the dark. Most wild species showed a greater tolerance to the low temperature and the results show a large genotypic range within theSolanum spp. for cold tolerance at 0°C. genotypes ofS. tuberosum showed a large range in cold sensitivity. This genotypic range in cold sensitivity, the use of chlorophyll fluorescence analysis as a screening technique and the relationship betweenF R andF var are discussed.
Zusammenfassung Für 18 Genotypen wilder und kultivierter Kartoffeln (Solanum spp.) wurden die K?ltetoleranzen ermittelt. Elf der Genotypen waren Wildspezies und galten als adaptiert an kalte Umgebungen. Die restlichen sieben waren Sorten vonS. tuberosum, von denen vier aus Chile stammten. Die relative K?ltesensibilit?t der Genotypen wurde anhand des Rückgangs des Ausmasses des induzierten Anstieg der Chlorophyll-Fluoreszenz in Bl?ttchen bei 0°C im Dunkeln gemessen, und wurde in Form der Zeit für einen 50 %igen Rückgang derF R (maximale Rate des induzierten Anstiegs der Chlorophyll-Fluoreszenz) im Vergleich zur Kontrolle registriert. Die Mehrzahl der wilden Spezies zeigte eine h?here Toleranz für niedrige Temperatur, und die Ergebnisse zeigen eine grosse genotypische Schwankungsbreite für K?ltetoleranz bei 0°C innerhalb derSolanum-Spezies.S. albicans zeigte die gr?sste Toleranz gegenüber Stress mit einem K?ltetoleranz-Wert von 78 Stunden,S. tuberosum (CPC 3294) nur einem Wert von 24 Stunden für einen 50%igen Rückgang derF R. Eine grosse genotypische Bandbreite scheint innerhalb vonS. tuberosum zu bestehen (Tabelle 1), welche sich als sehr wichtig für die Züchtung k?ltetoleranterer Sorten erweisen k?nnte. Gegenüber europ?ischen Sorten zeigten die chilenischen die gr?ssere Toleranz für niedrige Temperatur. Dennoch erwies sich die Sorte Moira k?ltetoleranter als andere europ?ische Sorten. Die in dieser Studie verwendete Chlorophyll-Fluoreszenz-Methode ist ein Schnelltest mit Anwendung von einzelnen Bl?ttchen, und, wie alle Kurzzeittests dieser Art, erfordert er Sorgfalt bei der Anwendung und bei der Ausdehnung der Ergebnisse auf die Pflanze als Ganzes und zum jeweiligen Wachstumsstadium über die Vegetationsperiode. Dennoch erweist sich die M?glichkeit, anhand der Chlorophyll-Fluoreszenz-Analyse sowohl inter-als auch intraspezifisch Abstufungen in der K?ltetoleranz zu unterscheiden, bei wilden und kultivierten Kartoffelspezies als potentieller Anwendungsbereich für die Methode, in zukünftigen Kartoffelzüchtungs-Programmen auf K?ltetoleranz zu selektieren.

Résumé La tolérance relative au froid de 18 génotypes d'espèces sauvages et cultivées deSolanum a été déterminée. Onze étaient des espèces sauvages considérées comme adaptées à des conditions d'environnement froides et sept étaient des variétés deS. tuberosum, parmi lesquelles quatre originaires du Chili. Comparativement à des témoins non traités la relative sensibilité au froid étai évaluée par la perte d'intensité de fluorescence de la chlorophylle provenant de folioles conservées à 0°C dans l'obscurité. La majorité des espèces sauvages se montrait plus tolérante vis à vis des basses températures; dans l'ensemble les résultats mettaient en évidence une large gamme de tolérance à 0°C pour les espèces deSolanum: S. albicans était le plus tolérant au stress avec un temps de 78 heures alors queS. tuberosum (CPC 3294) y était le moins avec seulement 24 heures pour obtenir une extinction de la fluorescence de 50%. La gamme de tolérances rencontrée chezS. tuberosum (tableau 1) pourrait s'avérer très importante pour une hybridation ayant comme objectif l'obtention des variétés plus résistantes au froid. Les variétés chiliennes montraient une plus grande tolérance aux basses températures que les variétés européennes cependant, parmi ces derniéres, ‘Moira’ était plus tolérante au froid que les autres. La méthode d'évaluation basée sur la fluorescence de la chlorphylle utilisée dans cette étude est un test rapide n'utilisant que quelques folioles et, comme pour tous les tens simples et rapides, il est nécessaire d'être prudent avant de transposer les résultats obtenus à la plante entière et à toutes les époques de la période de croissance de la plante. Cependant la capacité de cette méthode à déceiler des degrés de tolérance au froid entre espèces sauvages et entre celles-ci et les variétés cultivées suggère un usage possible pour la détection de ce caractère dans les futurs programmes d'hybridation de la pomme de terre.
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8.
Resume L'amélioration de la pomme de terre pour la résistance au virus de l'enroulement. Les auteurs ont déterminé la résistance au virus de l'enroulement de 171 variétés cultivées et géniteurs par les résultats de la culture dans des conditions normales, par l'examen des descendances de parcelles ne subissant aucune sélection sanitaire, et par les résultats de la culture dans le voisinage immédiat de touffes contaminées. Quelques variétés cultivées manifestent une bonne résistance à l'enroulement; elles sont, pour la plupart, issues de croisements avec des espèces primitiives. Des géniteurs interspécifiques, originaires du Max-Planck-Institut für Züchtungsforschung à K?ln-Vogelsang (primitivement à Voldagsen), manifestent une haute résistance à l'enroulement qu'ils transmettent, en partie, à leurs descendants lors de croisements avec les variétés cultivées Le caractère polygénique de la résistance à l'enroulement rend nécessaire la recherche des combinaisons les plus favorables tant dans les croisements de retour des géniteurs interspécifiques, que dans les croisements de variétés cultivées. Le caractère de résistance à l'enroulement doit comporter des facteurs de résistance à l'infection du feuillage, des facteurs de résistance à l'infection des tubercules. Il semble y avoir, en outre, des facteurs de tolérance et des facteurs de sensibilité. La tolérance para?t dominer la sensibilité. Les géniteurs du Max-Planck-Institut et la variété “Apta” réunissent les caractères de grande sensibilité et de faible réceptivité dans le feuillage.
Summary The writers determined the resistance to leaf roll virus of 171 commercial varieties and genitors by cultivating under normal conditions, by examining the offspring of lots not subject to roguing, and by cultivating among infected plants. Some commercial varieties show a good resistance to leaf roll; most of them result from crosses with wild Solanum. Interspecific hybrids received from the Max-Planck-Institut für Züchtungsforschung in K?ln-Vogelsang (formerly Voldagsen) show a high resistance to leaf roll and transmit a part of the high resistance to their progeny when they are crossed with cultivated varieties. The polygenic character of resistance to leaf roll makes it necessary to investigate the most favourable combinations both among backcrosses of interspecific hybrids and among crosses of cultivated varieties. The character of resistance to leaf roll seems to include factors of resistance to infection in the foliage and factors of resistance to infection in the tubers. In addition there are tolerance factors and sensibility factors. The tolerance factor seems to dominate the sensibility factor. Genitors of the Max-Planck-Institut and Apta variety combine the two factors of weak susceptibility with high sensibility of foliage.

Zusammenfassung Es wurde das Verhalten von 171 Kultursorten und Bastarde gegenüber der Blattrollinfektion geprüft. Die Ergebnisse entstanden aus Prüfungen unter normalen Freilandsbedingungen und aus Bonitieren des Nachbaus nichtbereiningter. Parzellen, ferner wurde das Verhalten von Kultursorten geprüft, die in der Nachbarschaft infizierter Pflanzen angebaut wurden. Einige Kultursorten haben eine gute Blattrollresistenz, sie enthalten meistenteils Wildblut. Die Artbastarde die dem Max-Planck-Institut für Züchtungsforschung, K?ln — Vogelsang (ehemals Voldagsen) entstammen, zeichnen sich durch eine hohe Blattrollresistenz aus, diese wird z.T. auf ihre aus Kreuzungen mit Kultursorten entstammenden Nachkommen übertragen. Der polygene Charakter der Blattrollresistenz l?sst es notwendig erscheinen, die zweckm?ssigste und wirksamste Kombination der verschiedenen Kreuzungspartner ausfindig zu machen (dies gilt sowohl für Rückkreuzungen von Artbastarden, als auch für solche, die auf Sortenkreuzungen beruhen). Die Resistanzeigenschaft dürfte sich aus den Faktoren der Infektionsresistenz des Krautes und der Infektionsresistenz der Knollen zusammensetzen. Man darf annehmen, dass es noch andere Faktoren gibt als Toleranz und Empfindlichkeit. Die Toleranz scheint über Empfindlichkeit zu dominieren. Die Kartoffel-Artbastarde des M.P.I. für Züchtungsforschung, sowie die Sorte Apta vereinen die beiden Faktoren der grossen Empfindlichkeit (Sensibilit?t) und einer geringen Anf?lligkeit des Krautes in sich.


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9.
Summary Frem 1948 onward there has been a marked increase in potato breeding work in Denmark. This is due to the fact that the Danish Agriculture Potato Fund was established in this year and its proceeds are devoted to the advancement of potato breeding in Denmark. The fund owns the Potato Breeding Station at Vandel, near Vejle, and this together with the State Research Station at Tylstrup are the only places in Denmark where potato breeding is carried out. Breeding of ware varieties constitutes a great part of the work, although the breeding of varieties used for fodder and industrial purposes is also an important aspect of the work. The quality and yield capacity of the new varieties are very important considerations, although the present work of breeding also aims at finding varieties which are only slightly affected by late blight and common scab. As the conditions governing the production of virus-free seed potatoes, do not constitute any serious problem in Denmark, little attention has been paid to the finding of virus-resistant varieties, except on the case of special varieties intended for export. The station in Vandel owns a fairly large collection of wild and cultivated species of potatoes. Three of the most promising varieties from Vandel will be sent for an official test as from 1958.
Zusammenfassung Seit dem Jahre 1948 ist die Arbeit der Kartoffelzüchtung in D?nemark ganz bedeutend erweitert worden, da in diesem Jahre der ?Kartoffelfonds der Landwirtschaft? gegründet wurde, dessen Ertrag in erster Linie die Kartoffelzüchtung D?nemarks stützen soll. Der Fonds besitzt die Zuchtstation bei Vandel. Zusammen mit der Versuchsstation in Tylstrip im Besitz des Staates, ist es die einzigen Stelle in D?nemark, wo Kartoffelzüchtung betrieben wird. Die Züchtung von Speisekartoffeln ist sehr wichtig, aber auch die Arbeit mit Futter- und Fabrikkartoffeln ist von gr?sster Bedeutung. Eigenschaften, wie Ertrag und Qualit?t der neuen Kartoffelsorten, sind von besonderer Wichtigkeit, aber eines der Ziele der jetzigen Züchtungsarbeit ist, Kartoffelsorten zu finden, die nicht so stark von Krautf?ule und Kartoffelschorf angegriffen werden. Da die Bedingungen für die Erzeugung von virusfreien Saatkartoffeln in D?nemark sehr günstig sind, hat man nicht viel Interesse daran, virusresistente Sorten zu züchten, mit Ausnahme von Kartoffelsorten für Export. Auf der Station in Vandel befindet sich eine gr?ssere Sammlung von wilden und kultiviertenSolanum-Arten, die einer der Mitarbeiter der Station aus verschiedenen südamerikanischen Staaten mitgebracht hat. Drei neue Sorten haben bei den vorl?ufigen Prüfungen gute Resultaten ergeben.

Résumé A partir de l'année 1948 l'ocuvre sélectionnaire de la pomme de terre au Danemark a pris un large essor. C'est que dans cette année fut institutée la ?Caisse Agricole de la Pomme de terre?, dont les fonds sont réservés en premier lieu à soutenir l'oeuvre sélectionnaire de la pomme de terre au Danemark. La ?Caisse? exploite la Station d'expérimentation à Vandel qui, ensemble avec la Station d'essais à Tylstrup-également un institut de l'Etat-sont les seules institutions au Danemark où l'on se voue à l'oeuvre sélectionnaire de la pomme de terre. La culture de la pomme de terre de consommation revêt une importance particulière, tout comme d'ailleurs celle des pommes de terre fourragères et industrielles. Les propriétés des nouvelles variétés, telles que rendement et qualité, sont très importantes, mais l'un des objectifs de l'oeuvre sélectionnaire de nos jours est de créer des variétés de pommes de terre résistantes au mildiou et à la gale commune. Etant donné que les conditions de production pour plants de pommes de terre exempts de toute contagion virologique sont très favorables au Danemark, on s'intéresse peu à la culture de variétés résistantes aux maladies à virus, sauf les variétés de pommes de terre destinées à l'exportation. A la Station à Vandel on dispose d'une collection assez riche de variétésSolanum sauvages et cultivées en provenance de différents états américains et approtées par l'un des chercheurs de cet Institut. Trois variétés ont fait l'objet d'expériences entreprises à titre provisoire, et elles ont donné de bons résultats.


Lecture held at Lund, August 1957  相似文献   

10.
Zusammenfassung Achtj?hrige Untersuchungen zeigen, dass Sorte, Standort und Jahr einen signifikanten Einfluss auf die Neigung von Kartoffelknollen zur Zuckerbildung w?hrend mehrmonatiger Lagerung bei 4°C ausüben. Dabei ist das Jahr besonders in der zweiten Lagerphase (Januar–April) von entscheidender Bedeutung für das Ausmass der genetisch bedingten Zuckerbildung. Mittlere Tagestemperatur und Niederschlagsmenge w?hrend der gesamten Vegetationsdauer stehen in enger Beziehung zum Gehalt an reduzierenden Zuckern unmittelbar nach der Ernte, w?hrend die Niederschlagsmenge w?hrend und nach der Blüte die Neigung zur Zuckerbildung w?hrend der Lagerung eindeutig bestimmt. Die Varianzkomponentensch?tzung ergab einen Anteil des genetischen Effekts von≥91% und l?sst damit bei züchterischer Bearbeitung dieses Merkmals einen deutlichen Fortschritt erwarten.
Summary Eleven potato cultivars were grown at four sites (Gross Lüsewitz, Tützpatz, Vollenschier, Vellahn) from 1974 to 1981 and the tendency to form sugars during storage at 4°C was determined with healthy graded (40–60 mm) tubers. Reducing sugar content was determined colorimetrically on three occasions: 1) immediately after harvest, 2) after 4–8 weeks storage at 12°C and 10 weeks at 4°C, 3) after a further 10 weeks at 4°C. Analysis of variance showed that sugar development was influenced significantly by cultivar, site and year (Table 1). Cultivars differed considerably for increases in reducing sugars during the first 10 weeks storage at 4°C (Table 2). Correlation coefficients could be derived between the sugar contents at each of the sampling dates, although no definite prediction could be made from the values immediately after harvesting about the expected sugar contents of each of the genotypes. The site and above all the year influenced both the absolute content of reducing sugars at each date and the increase in sugar formation (Tables 3 and 4). The effect of year and to some extent also the site differences could be attributed to meteorological phenomena: day temperature and amount of precipitation. High day temperatures and low levels of precipitation during the growing period produced low reducing sugar contents, while precipitation during or after flowering determined the absolute value and increase of reducing sugars during storage at 4°C. From the variance components, the proportion attributable to the genetic component was estimated to be ≧91% and therefore definite advances should be expected through breeding. Preliminary results are presented.

Résumé Pendant les années 1974 à 1981, 11 variétés de pommes de terre ont été cultivées dans 4 lieux (Gross Lüsewitz, Tützpatz, Vollenschier, Vellahn). Sur des tubercules sains, du calibre 40–60 mm, les sucres ont été analysés pendant la conservation à 4°C. La teneur en sucres réducteurs a été déterminée par la méthode colorimétrique aux périodes suivantes: 1) sit?t après la récolte, 2) après 4–8 semaines d'entreposage à 12°C suivie d'une conservation de 10 semaines à 4°C, 3) après 10 semaines supplémentaires de conservation à 4°C. II ressort de l'analyse de variance que la formation de sucre pendant la conservation ait été influencée de manière significative par la variété, le lieu de culture et l'année (tabl. 1). Entre les variétés des écarts importants dans la formation de sucres sont particulièrement observés pendant les 10 premières semaines de la conservation à 4°C (tabl. 2). Les corrélations entre taux de sucres aux différentes dates permettent de conclure qu'un dosage de sucres sit?t après la récolte ne donne pas une information fiable pour chaque génotype sur leur accumulation pendant la conservation. Le lieu et particulièrement l'année exercent une influence prédominante sur la formation de sucres (tabl. 3 et 4). L'influence de l'année ainsi que les différences entre lieux proviennent principalement des températures journalières et des précipitations. Les températures de jour élevées et de faibles précipitations pendant la période de végétation ont pour effet un taux de sucres bas à la récolte, tandis que les précipitations pendant la période de floraison et après la floraison déterminent le taux absolu de sucres ainsi que leur formation pendant la conservation à 4°C. L'estimation de la variance donne un effet génétique de≧91%, ce qui permet d'espérer d'importants progrès par la sélection. Les premiers résultats à ce sujet sont présentés dans ce travail.
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11.
Summary Fourteen cultivars were tested for resistance to penetration and colonization byF. sulphureum by a point inoculation technique. Differences in resistance to penetration were small when compared with those reported forF. solani var.coeruleum, and were more apparent in one year than another. Tubers grown at different sites gave similar results. The medullary tissue was generally more susceptible than the cortex. There were large differences between cultivars in resistance to colonization and these were consistent between years and sites. A selection derived from a cross between established cultivars was more resistant than its parents.
Zusammenfassung Um die Resistenz von 14 Kartoffelsorten gegenFusarium sulphureum zu prüfen, wurde eine Punktinokulationsmethode verwendet, die der von Pietkiewicz & Jellis (1975) für Phomaf?ule beschriebenen Methode ?hnelt, das Inokulum bestand aber aus 100 Konidien in 0,01 ml sterilem Wasser und die Inkubation betrug 4 Wochen. Die zu prüfenden Knollen stammten von zwei Herkünften und sieben der Sorten werden in zwei Jahren getestet. Die Eindringungsresistenz wurde durch Bonitur der F?ulen, die mehr als 2 mm über die Verletzungen hinausgingen, erfasst und die Ausbreitungsresistenz in der Rinde durch eine Gesamtbonitur jeder Wiederholung, bei der eine 1–3 Skala verwendet wurde: 1=2–20 mm Durchmesser, 2=20–40 mm, 3=>40 mm. Nicht verwertet wurden F?ulen unter 2 mm im Durchmesser. Insgesamt waren King Edward, Record und Pentland Squire signifikant weniger anf?llig gegenüber der Eindringung als die anderen geprüften Sorten (Tabelle 1) aber keine Sorte besass eine hohe Resistenz. Die Ergebnisse waren zwischen den Herkünften, dem Gewebe und den Jahren vergleichbar, aber die Unterschiede zwischen den Sorten waren in einem Jahr deutlicher als im anderen. Das Markgewebe war im allgemeinen gegen die Eindringung anf?lliger als die Rinde. Die Rangfolge für die Ausbreitungsresistenz war zwischen den Herkünften konstant und wenn auch geringer, zwischen den Jahren (Tabelle 2). Sorten mit Eindringungsresistenz hatten geringe Boniturwerte für die Ausbreitung, aber das umgekehrte stimmte nicht immer. Erste Prüfungen von selektiertem Zuchtmaterial zeigten, dass in der Familie B31, die aus (Pentland Crown x Maris Piper) x Pentland Squire gezüchtet wurde (Tabelle 3a), Resistenz vorhanden sein k?nnte. Ein Wiederholungstest im folgenden Jahr best?tigte, dass der Klon B31/46 eine deutlich h?here Eindringungsresistenz in der Rinde aufwies als King Edward und erfolgreiche Inokulationen ergaben nur kleine Faulzonen (Tabelle 3b). Daraus wurde geschlossen, dass es erfolgversprechend ist, auf Resistenz gegenFusarium sulphureum zu züchten unter Verwendung der in den britischen Sorten vorhandenen genetischen Variabilit?t.

Résumé Une technique d'inoculation par pointe a été appliquée sur 14 variétés de pommes de terre, afin d'étudier leur résistance àFusarium sulphureum. Cette technique est semblable à celle décrite par Pietkiewicz & Jellis (1975) pour la gangrène, mais la concentration d'inoculum est de 100 conidies par 0,01 ml d'eau stérile et l'incubation est de 4 semaines. Les tubercules testés proviennent de 2 régions et 7 variétés ont été étudiées pendant 2 années. La pénétration du parasite est évaluée en notant la proportion de pourritures se développant sur plus de 2 mm au-delà de la blessure, la surface du sympt?me est notée pour chaque répétition à partir d'une échelle de 1 à 3∶1= diamètre de 2 à 20 mm; 2=20 à 40 mm et 3= supérieur à 40 mm. Les pourritures d'un diamètre inférieur à 2 mm ne sont pas notées. Dans tous les cas, King Edward, Record et Pentland Squire sont significativement moins sensibles à la pénétration que les autres variétés testées (tableau 1), bien qu'aucune variété ne soit hautement résistante. Les résultats sont sensiblement comparables suivant les endroits, les tissus et les années, mais les différences entre les variétés sont plus nettes d'une année sur l'autre. Le tissu médullaire est en général plus sensible à la pénétration que le cortex. L'ordre de résistance au parasite est conforme suivant les endroits et sensiblement le même suivant les années (tableau 2). Les variétés présentant une certaine résistance à la pénétration ont des notes faibles au développement du sympt?me, mais l'inverse n'est pas toujours vrai. Des tests initiaux sous-abri à partir des sélections de plants ont montré une bonne résistance pour la famille B31, croisement de (Pentland Crown x Maris-Piper) x Pentland Squire (tableau 3a). Un test répété l'année suivante a confirmé la forte résistance à la pénétration dans le cortex du cl?ne B31/46 par rapport à King Edward et des inoculations réussies n'ont donné que de petites pourritures (tableau 3b). En conclusion, il est possible de sélectionner, en vue d'une résistance àF. sulphureum, à partir des variabilités génétiques disponibles au sein de variétés anglaises.
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12.
Summary A method is described for assessing the resistance to leafroll of large numbers of potato clones, exposed to conditions of intense natural infection. Scoring for resistance can be accomplished with reasonable accuracy and the method enables the adjustment of data to accommodate annual variations in the natural spread of infection. Variations in the annual intensity of leafroll infection as measured on the control varieties, correspond well with variations in catches of known vectors of the disease in a suction trap, relatively near to, and representative of, the area of the trial. The regression of mean offspring resistance on mean parental resistance is indicative of the quantitative nature of inheritance of the character.
Zusammenfassung In einem für die Aktivit?t von Vektoren (Cambridge) günstigen Gebiet wurden w?hrend 6 Jahren Routine-Feldversuche für Blattrollresistenz durchgeführt, bei denen die Anordnung und die Kontrollsorten konstant blieben. In diesen Versuchen wurden Kartoffels?mlinge einem starken Blattroll-Infektionsdruck ausgesetzt, um sie auf ihre individuelle Widerstandsf?higkeit zu beurteilen. Zu diesem Zwecke wurden die Blattroll-Infektionspflanzen auf alle Reihen verteilt ausgepflanzt, so dass eine Infektion der Basis-Wiederholungen von drei Pflanzen (Abb. 1) m?glich war. (Da die Versuche einem doppelten Zweck dienten, muss vorgemerkt werden, dass auch Virus-Y-Infektionspflanzen einbezogen waren.) Der erste Versuch bestand für einen S?mling aus 4 Wiederholungen, gefolgt — sp?ter, wenn n?tig — von einem Best?tigungsversuch mit 8 Wiederholungen, die alle, parallel zum normalen Ausleseverfahren, innerhalb einiger Jahre nach Entstehung des Ausgangspflanzgutes durchgeführt werden konnten. Die Knollen wurden dem Vorrat für Versuche entnommen und ihr Nachbau, drei Knollen pro Pflanze, im folgenden Jahr bewertet und verworfen. Die Beurteilungen von Blattrollbefall beziehen sich auf die Gesamtzahl der als infiziert befundenen Pflanzen für alle Wiederholungen, bei denen die Infektion von Tochterpflanzen zutage tritt. Die Zuverl?ssigkeit der Ergebnisse eines Versuches dieser Art wird in Abb. 2 dargestellt, wo die Korrelation zwischen dem Ausmass der Infektion in den Kontrollsorten eng ist (r=+0,90). Die j?hrliche Infektion der Kontrollsorten stimmte ziemlich gut mit den Saugfallen-F?ngen der Uebertr?ger des relativ in der N?he vorkommenden und für die Versuchsfl?che repr?sentativen Virus überein. 83% aller Wiederholungen wiesen eine von der Infektionspflanze ausgehende Infektion in der Reihe auf, und 17% zeigten deutlich zuf?llige Infektionen (Tabelle 1). Dies weist darauf hin, dass das Virus zur Hauptsache durch die ungeflügelten Formen der Blattl?use übertragen wird. Die Regression zwischen der Nachkommenschaft (Mittelwert) und den Eltern (Mittelwert) in bezug auf Widerstandsf?higkeit ist in Tabelle 2 dargestellt. Die Regression war signifikant; sie zeigt einen quantitativen Vererbungsmodus für Blattrollresistenz auf. Versuche dieser Art sind im Vergleich zu Glashausversuchen, die arbeitsaufwendig und von zweifelhaftem Wert sind, geeignet, eine grosse Zahl von S?mlingen mit einem minimalen Aufwand auszusieben.

Résumé L'auteur a effectué, au cours d'une période de 6 années, dans une région soumise à l'activité des vecteurs (Cambridge), des essais de routine en champs pour la résistance à l'enroulement; au cours de ces essais, la disposition de ceux-ci et les variétés-témoins sont restées constantes. Dans ces essais, des plantules de pomme de terre sont soumises à une infection intense d'enroulement dans le but détablir les niveaux individuels de résistance. Pour ce faire, des plantes infectées d'enroulement sont plantées au travers des buttes constituant des sources d'infection pour des répétitions élémentaires de trois plantes (Fig. 1) (comme les essais ont un double but, on notera que sont également incluses des plantes infectées de virus Y). L'essai initial pour une plantule comporte quatre répétitions, il est suivi ultérieurement, si c'est nécessaire, par un essai confirmatoire de huit répétitions; ces essais ont lieu en même temps que se poursuit le processus normal de sélection au cours de multiples années à partir de la graine. Les tubercules sont prélevés dans le stock de plants pour l'expérimentation et leurs descendants, trois tubercules par plante, sont examinés et éliminés l'année suivante. La cotation du comportement à l'enroulement est exprimée par le nombre de plantes-filles qui se révèlent infectées dans toutes les répétitions. Le degré de confiance des résultats de semblables essais est révélé dans la figure 2, qui montre que la corrélation de l'infection avec les variétés-témoins est élevée (r=+0.90). L'infection annuelle des variétés-témoins correspond raisonnablement bien avec les captures de vecteurs de virus par les pièges à aspiration situés dans un endroit assezproche et représentatif de la région où s'effectue l'essai. De toutes les répétitions 83% montrent une infection le long de la butte à partir de la source infectieuse et 16% révélaient une infection apparemment au hasard (tableau 1). Ceci indique que le virus est propagé, en ordre principal, par les formes aptères d'aphide. La régression des moyennes des descendances sur les moyennes parentales pour la résistance est montrée dans le tableau 2. La régression est significative, ce qui indique que le mode l'hérédité de la résistance à l'enroulement est de nature quantitative. Les essais de ce genre conviennent parfaitement pour la sélection de grands nombres de plantules avec un minimum d'efforts comparativement aux essais en serre qui exigent beaucoup de prestations et sont de valuur douteuse.
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13.
Summary Tubers of cv. Record (the major UK crisping cultivar) were stored at 10°C for up to 320 days. Throughout storage, the levels of reducing sugar in the tissue surrounding the basal eye were considerably higher than those round the apical eye but the difference in sucrose between the two tissues was not as marked. During storage, there was an initial peak in total reducing sugar content, possibly associated with the break in dormancy, and a second peak associated with vigorous sprout growth. Regular removal of sprouts caused reducing sugar levels to continue to fall, after the initial rise, for much longer than in spouting tubers and for the final sweetening to be considerably delayed, suggesting that the stage of sweetening subsequent to break of dormancy is possibly under the control of sprout growth. However, even in such material sugars may eventually rise, possibly due to ageing of the tuber.
Zusammenfassung ?nderungen bei Zuckern bei der Sorte Record (der bevorzugten Sorte für Crisps im Vereinigten K?nigreich) erfolgten w?hrend 320-t?giger Lagerung bei 10 °C (einer von Kartoffelverarbeitern bevorzugten Lagerungstemperatur zur Verhinderung von Süsswerden bei niedrigen Temperaturen) entsprechend dem Effekt des Keimwachstums. Betr?chtlich h?here Gehalte reduzierender Zucker als im Bereich der apikalen Augen (Abb. 2) konnten w?hrend der Lagerung durchweg im Bereich der basalen Augen gefunden werden (Abb. 1). Der Unterschied im Gehalt an Saccharose zwischen beiden Gewebezonen, war nicht so betr?chtlich wie bei reduzierenden Zuckern (Abb. 3 u. 4). Zwei Maxima im Gesamtgehalt an reduzierenden Zuckern zeigten sich w?hrend der Lagerung (Abb. 1 u. 2), ein initiales maximum, m?glicherweise mit dem Abbruch der Dormanz assoziiert, und ein zweites in Verbindung mit kr?ftigem Keimwachstum (Abb. 5). Regelm?ssiges manuelles Abkeimen ergab nach anf?nglichem Anstieg ein viel l?ngeres kontinuierliches Absinken als in keimenden Knollen, ausserdem verz?gerte sich das sp?te Süsswerden betr?chtlich (Abb. 1 u. 2). Dies l?sst vermuten, dass Süsswerden anschliessend an den Abbruch der Dormanz m?glicherweise vom Keimwachstum bestimmt wird. Allerdings wird auch in derartigem Material, wahrscheinlich entsprechend dem Knollenalter, der Gehalt an Zuckern schliesslich ansteigen.

Résumé Les modifications de la teneur en sucres survenant dans les différentes parties des tubercules au cours de la conservation ont été suivies pendant 320 jours à 10 °C (température utilisée par les transformateurs jour éviter le ‘sucrage’ d? aux basses températures) chez. Record (principale variété du Royaume-Uni pour la fabrication des chips) en relation avec la croissance des germes. Un taux nettement plus important de sucres réducteurs a été trouvé dans les tissus avoisinant l'oeil de la base du tubercule (Fig. 1) que dans ceux entourant l'oeil apical (Fig. 2) tout au long de la période de conservation. La différence en saccharose entre les deux tissus n'était pas aussi marquée que pour celle des sucres réducteurs (Fig. 3 et 4). En ce qui concerne les sucres réducteurs totaux, deux pics ont été trouvés pendant la conservation (Fig. 1 et 2); le premier pic correspond vraisemblablement à la levée de dormance, le second à la croissance vigoureuse des germes (Fig. 5). Un égermage manuel continu conduisait à un abaissement des taux de sucres réducteurs après le premier pic plus long que pour les tubercules non égermés et le ‘sucrage’ final apparissait beaucoup plus tardivement (Fig. 1 et 2), suggérant que le stade de ‘sucrage’ consécutif à la levée de dormance est vraisemblablement sous le contr?le de la croissance des germes. Cependant, dans un tel matériel, le taux des sucres peut éventuellement augmenter sous l'effet du vieillissement du tubercule.
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14.
Summary Eleven potato cultivars or clones representing a range of resistances to potato cyst nematodes derived fromSolanum vernei orSolanum tuberosum ssp.andigena CPC 2802 were assessed in eight pot tests and one field trial. Six involvedGlobodera pallida Pa2/3, oneG. pallida Pa1, and twoG. rostochiensis Ro1. The nine tests were at six different centres each using their own nematode populations and standard techniques. The results showed that with the same nematode species there was a strong correlation between experiments in the ranking of the resistance of the clones. If only those clones with quantitative resistance were considered there was good agreement over all tests. Analysis of the data indicated a small clone by test interaction, but this arose mostly as a result of genotypic rather than environmental effects. The results support a proposal that partially resistant reference clones should be included in tests to assess resistance to potato cyst nematodes.
Zusammenfassung Elf Kartoffelsorten oder Klone mit unterschiedlichem Resistenzgrad gegen Kartoffel-Zystennematoden, vonSolanum vernei oderS. tuberosum ssp.andigena CPC 2802 (Tab. 1) abstammend, wurden in acht Topfversuchen und in einem Feldversuch untersucht. Sechs Tests beinhaltetenGlobodera pallida Pa2/3-, einerG. pallida Pa1- und zweiG. rostochiensis Ro1 — Populationen. Die neun Tests wurden an sechs verschiedenen Zentren, von denen jedes seine eigenen Nematoden- Populationen und seine eigenen Techniken verwendete, durchgeführt (Tab. 2). Die Ergebnisse zeigen, dass in Tests mit den gleichen Nematoden-Species eine strenge Korrelation zwischen Experimenten und der Rangfolge der Resistenz der Klone vorhanden war (Tab. 4). Wenn nur Klone mit quantitativer Resistenz betrachtet werden, ergaben alle Tests gute übereinstimmung. Die Tests zeigten Unterschiede in den allgemeinen Vermehrungsraten zwischen den Tests (Tab. 3) und zeigten, dass der Ausdruck der Ergebnisse bei den partiell resistenten Klonen im Verh?ltnis zu den Vermehrungsraten bei nicht-resistenten Kontrollen diese Unterschiede nicht eliminierten (Tab. 5). Die statistische Analyse der Daten ergab eine geringe, aber statistisch signifikante Klon/Test-Wechselwirkung, aber diese ergab sich prinzipiell eher als Ergebnis genotypischer als umweltbedingter Effekte. Die Ergebnisse dieser Tests stützen die Vermutung, dass Klone mit bekannter partieller Resistenz in Tests zur Ermittlung von Resistenz gegen Zystennematoden eingeschlossen werden sollten, sowohl zur Erm?glichung einer Vergleichbarkeit als auch zur Definierung von Kategorien für die Resistenz.

Résumé Onze variétés ou cl?nes de résistance diverse aux nématodes à kystes dérivés deSolanum vernei ouS. tuberosum ssp.andigena CPC 2802 (tableau 1) sont testés dans huit essais en pots et un essai de plein champ. Six tests comportentGlobodera pallida Pa2/3, un testG. pallida Pa1 et deux tests de populations deG. rostochiensis Ro1. Les neuf tests sont conduits dans six centres différents, chacun ayant sa propre populations de nématodes et ses propres normes techniques (tableau 2). Les résultats indiquent que dans les tests ayant les mêmes espèces de nématodes, la corrélation entre les expérimentations est très bonne en ce qui concerne le classement de résistance des cl?nes (tableau 4). Si l'on ne prend en compte que la résistance quantitative des cl?nes, les résultats sont concordants pour tous les tests. Les taux de multiplication sont différents entre les tests (tableau 3) et les résultats obtenus sur cl?nes de résistance partielle exprimés par rapport aux taux de multiplication des témoins non résistants ne modifient en rien ces différences (tableau 5). Une analyse statistique des résultats montre une faible mais néanmoins intération clone × test due davantage à des effets génotypiques que d'environnement. Les résultats de ces essais appuient l'idée que des cl?nes de résistance partielle de référence devraient être inclus dans des tests d'évaluation de la résistance aux nématodes à kystes de la pomme de terre pour faciliter les comparaisons et définir des catégories de résistance.
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15.
Summary Experiments with ten potato varieties revealed that soft rot due toErwinia carotovora var.atroseptica is the major factor causing 30 to 70% losses during 2 to 4 months storage at tropical temperatures (27 32 C). Sodium hypochlorite wash or increased ventilation did not reduce the incidence of soft rot. Storage at 10–15 C markedly reduces soft rot but accelerates sprouting. Gamma irradiation at 10 krad completely suppresses sprouting regardless of storage temperature. Storage of irradiated potatoes under tropical temperatures is not feasible due to bacterial spoilage. However irradiated tubers can be stored with reduced losses (7 to 30%) for 5–6 months at 10–15 C. Irradiation also eliminates the egg and early larval stages of the tuber moth,Phthorimaea operculella (Zeller), a serious pest of stored potatoes in tropics. Irradiation followed by storage at 10 C thus offer an alternate method for potato storage in tropics.
Zusammenfassung Eine Reihe von Versuchen mit zehn indischen, im Handel bedeutsamen Kartoffelsorten wurde von 1971 bis 1975 durchgeführt, um die Verluste nach der Ernte zu bestimmen, die auf verschiedene Faktoren w?hrend der Lagerung von gammabestrahlten und unbestrahlten Knollen unter tropischen (28–32 C) und kühlen (4, 10 und 15 C) Bedingungen zurückzuführen sind. Einzelheiten über die Muster im Versuch 1975 sind in Tabelle 1 angegeben. Die Knollen wurden in einem60Co-Bestrahlungsger?t bestrahlt und in weitmaschigen Jutes?cken eingelagert. Die Ergebnisse sind in den Tabellen 2 bis 9 und den Abb. 1–3 dargestellt. Bei tropischen Umgebungstemperaturen wurde die Bakterien-Nassf?ule, verursacht durchErwinia carotovora var.atroseptica, als der Hauptfaktor befunden, der bei eingelagerten Produkten im Verlauf von 3 bis 4 Monaten Verluste von 50 bis 70% brachte. Das Waschen der Knollen in Natriumhypochlorit-L?sung (200 mg verfügbares Chlor pro Liter) oder Verbesserung der Lüftung durch Lagerung in Harassen verminderte das Vorkommen von Nassf?ule unter diesen Bedingungen nicht (Tabelle 5). Die mengenm?ssigen Verluste infolge Auskeimens. Ausschwitzens und Veratmung w?hrend der viermonatigen Lagerung bei Umgebungstemperaturen schwankten von 8 bis 13%. Obwohl die Gammabestrahlung bei 10 krad das Auskeimen bei allen Sorten vollst?ndig unterdrückte, ist die Lagerung von bestrahlten Knollen bei tropischen Umgebungstem-peraturen wegen der hohen bakteriellen Verderbnis nicht m?glich. Nassf?ule kann durch Lagerung der Knollen bei 10 oder 15 C bedeutend verringert werden; bei diesen Temperaturen wird jedoch das Auskeimen beschleunigt, die Knollen werden nach 3 Monaten Lagerung schrumpfig und unbrauchbar. Allein das Gewicht der abgenommenen Keime verursacht einen Verlust von 8 bzw. 16% des Anfangsgewichts der Knollen nach 3 bzw. 6 Monaten Lagerung (Tabelle 6). Eine Kombination von Bestrahlung, gefolgt von Lagerung besonders bei 10 C, scheint eine Alternative zu bieten, und die Lagerverluste auf ein Mindestmass herabzusetzen, obwohl die Verluste im allgemeinen gr?sser als die unter der konventionellen Kühllagerung bei 2–4 C beobachteten sind. Je nach Sorte und Jahreszeit schwankten die gesamten mengenm?ssigen Verluste bei bestrahlten Knollen w?hrend sechsmonatiger Lagerung bei 10 oder 15 C zwischen 7 und 30% gegenüber 5 bis 18% bei unbestrahlten Knollen und 2–4 C Lagertemperatur. Verwendung von Sorten mit besseren Lagerungseigenschaften und Auswahl gut verkorkter und gesunder Knollen für die Bestrahlung kann die Lagerverluste bei 10 bis 15 C weiter verringern. Bestrahlung bei 10 krad eliminierte auch die Eier und frühen Larvenstadien der KartoffelmottePhthorimaea operculella Zel., die eine der zerst?rerischten Sch?dlinge bei eingelagerten Kartoffeln in den Tropen ist (Abb. 1).

Résumé Une série d'essais portant sur dix variétés commer-cialement importantes, cultivées en Inde, a été réalisée de 1971 à 1975, pour évaluer, après la récolte, les pertes provoquées par différents facteurs pendant la conservation de tubercules irradiés et non irradiés et placés dans une ambiance tropicale (28–32 C) ou réfrigèrée (4, 10 et 15 C). Le détail des échantillons étudiés en 1975 est donné dans le tableau 1. Les tubercules ont été traités au Cobalt 60 et stockés dans des sacs de jute à grandes mailles. Les résultats sont présentés aux tableau 2 à 9 et figures 1–3. Dans une ambiance tropicale, la pourriture bacté-rienne provoquee parErwinia carotovora var.atroseptica est principalement responsable de 50 à 70% des pertes au cours de 3 à 4 moins de stockage. Le lavage des tubercules dans une solution d'hypochlorite de sodium (200 mg litre de chlore libre) ou l'amélioration de la ventilation en conservant dans des caisses de bois à claire-voie ne réduit pas l'importance de la pourriture sous ces conditions (tableau 5). Les pertes de poids provoquées par la germination, la transpiration et la respiration pendant 4 mois de conservation à température ambiante se situent entre 8 et 13%. Bien que l'irradiation gamma à 10 krad supprime totalement la germination de toutes les variétés, la conservation des tubercules irradiés dans une ambiance tropicale est irréalisable en raison des pertes élevées d'origine bactérienne. La pourriture humide peut être fortement réduite par une conservation à 10 ou 15 C. Cependant, à ces températures, la germination est accélérée, les tubercules se rident et sont inutilisables après 3 mois de stockage, les pertes de poids dues à la germination représentant 8 à 16% après respectivement 3 et 6 mois de conservation (tableau 6). La combinaison de l'irradiation et d'un stockage à 10 C permet de minimiser les pertes bien qu'en général, elles soient plus élevées que celles observées à 2–4 C. Suivant la variété, la saison, les tubercules irradiés perdent en 6 mois de conservation, à 10 ou 15 C, 7 à 30% de leur poids contre 5 à 18% pour les tubercules non irradiés stockés à 2·4 C. L'utilisation, pour l'irradiation, de variétés de bonne conservation choisies parmi celles dont les tubercules se cicatrisent bien, permet à 10 15 C, de réduire les pertes. L'irradiation à 10 krad élimine également les ocufs et les larves précoces de teignePhthorimaea operculella (Zeller) qui est un des insectes qui provoque le plus de dégats dans les stockages de pommes de terre sous les tropiques.
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16.
Summary The distribution and multiplication of aphids on the potato plant is related to the growth of the plants.Myzus persicae Sulz. prefers senescent leaves and the biggest populations are usually found on the early potato varieties which develop such leaves first. Macrosiphum euphorbiae Thos. infests the tips of the shoots and hence maincrop varieties with many axillary shoots bear bigger populations than early varieties with fewer axillary shoots. Populations ofAphis nasturtii Kltb. are directly related to leaf area and varieties with large haulms are more heavily infested than varieties with smaller haulms.
Zusammenfassung Die St?rke der Besiedlung der Kartoffelpflanzungen durch migrienrende Blattl?use h?ngt in erster Linie vom Gelingen der Frühjahrsmigration der überwinterungsorten ab. Das weitere Verhalten der L?use und ihrer Nachkommenschaft auf den Kartoffelpflanzen wird jedoch durch physiologische Einflüsse seitens der Wirtspflanzen bestimmt. Der Schwerpunkt der anf?nglichen Besiedlung durch geflügelte Pfirsichblattl?use (Myzus persicae Sulz.) liegt immer auf den untern Bl?ttern des Hauptstengels (Tabelle 1). Von hier aus erfolgt normalerweise die Infektion aufw?rts zu den mittleren, alternden Bl?ttern und ausw?rts zu den achselst?ndigen Sprossen (Abb 2), wo die Bl?tter die gleiche Entwicklung durchlaufen wie am Hauptstengel. Bedingt durch die Bevorzugung der alternden Bl?tter durch diese Blattlausart bilden sich auf der FrühsorteArran Pilot im Vergleich zu den andern untersuchten Sorten st?rkere Populationen, da bei dieser Sorte alternde Bl?tter zuerst vorhanden sind. Dies war sehr deutlich im Jahre 1951 (Taylor, 1955); im Jahre 1952, als die meisten Sorten infolge der Trockenheit bald nach der Frühjahrsmigration der Blattl?use vorzeitigabreiften, war der H?chstbefall durchMyzus persicae bei der SorteArran Pilot nur an den Hauptstengeln gesichert schwerer als bei den übrigen Sorten (Abb, 3,Tabelle: 2), Wird der Blattlausbefall pro Pflanze zum Ausdruck gebracht, das heisst sowohl auf den Hauptstengeln wie auf den achselst?ndigen Sprossen zusammen, so ist dieser aufArran Pilot ?hnlich, wie auf den meisten anderen Sorten. Die Infektion durchMacrosiphum cuphorbiae Thos. erfolgt auf den jungen, wachsenden Bl?ttern an der Spitze der Triebe. Auf den sp?t reifenden SortenKing Edward undStormont Dawn, die eine gr?ssere Zahl von Seitensprossen aufweisen, entwickelten sich gr?ssere Populationen als auf den FrühsortenArran Pilot undUlster Chieftain (Abb 3,Tabelle 2). Ungeflügeite Tiere vonAphis nasturtii,Kltb, zeigen keinerlei Bevorzugung eines bestimmten Blattyps und besiedeln Bl?tter aller Wachstumsphasen. Sofern die Bedingungen für die Entwicklung von grossen Populationen dieser Art günstig sind, wie dies 1952 der Fali war (Abb. 1), ist die vorhandene Blattfl?che der begrenzende Faktor. Die sp?t reifenden SortenKing Edward undStormont Dawn bilden eine gr?ssere Zahl von Bl?ttern als die Frühsorten und bieten demnach mehr M?glichkeit für das Entstehen von gr?sseren Populationen vonAphis nasturii (Abb. 3,Tabelle 2). Unterschiede in den Blattlauspopulationen verschiedener Kartoffelsorten sind eher durch das Pflanzenwachstum bedingt als durch innere geschmackliche Unterschiede. Sorten mit grossem Blattwerk bieten gr?sseren Populationen vonAphis nasturtii Platz als solche mit kleinerem Blattwerk.M. euphorbiae besiedelt in der Regel die Spitzen der Triebe und da die sp?t reifenden Sorten viele achselst?ndige Sprosse bilden, werden sie st?rker infiziert als Frühsorten mit wenig Seitensprossen. Die St?rke des Befalls durchMyzus persicae steht im Zusammenhang mit dem Alter der Bl?tter. Sorten wieArran Pilot, die ihr Wachstum rasch abschliessen, sind deshalb unter normalen Bedingungen immer besser für die Besiedlung durchMyzus persicae und deren Vermehrung geeignet. Bei Bedingungen, unter welchen die Reife der andern Sorten beschleunigt wird, wird auch die Eignung dieser Sorten für Wirtspflanze gef?rdert.

Résumé Le degré de colonisation des cultures de pommes de terre par les pucerons migrants dépend avant tout du succès du vol de printemps à partir des lieux d'hivernage. Mais ensuite, le comportement des pucerons migrants et de leur descendance est determine par des influences physiologiques de la part de la plante-h?te. Le centre de colonisation initiale par le puceron ailéMyzus persicae Sulz se trouve invariablement sur les feuilles inférieures de la tige principale (Tableau 1) et de là, l'infestation gagne d'ordinaire les feuilles de la partie moyenne de la tige lorsqu'elles commencent à vieillir et, vers la périphérie, les pousses axillaires (Fig. 2). où les feuilles suivent un cycle de croissance analogue à celui des feuilles de la tige principale. par suite de cette préférence marquée qu'elles manifestent pour les feuilles vieillissantes de la plante de pomme de terre, les populations deM. persicae se développent plus nombreuses sur la variété précoceArran Pilot que sur les autres variétés étudiées, parce que les feuilles vieillissantes sont présentées le plus t?t par cette variété. Ce fait se manifesta très nettement en 1951 (Taylor, 1955), mais en 1952. la sécheresse survenue aprés la période de première migration causant un vieillissement prématuré de la plupart des variétés de pommes de terre, seules les trés nombreuses populations deM. persicae sur la tige principale des plantesArran Pilot furent significativement supérieures aux populations trouvées sur les autres variétés (Fig. 3,Tableau 2). Si l'on exprimait la densité de population en nombres de pucerons par plante, e'est-à-dire par tige prineipale avec pousses axillaires, les populations trouvées sur les plantes de la variétéArran Pilot étaient égales à celles de la plupart des autres variétés. L'infestation parMacrosiphum euphorbiae Thos. s'observe sur les jeunes feuilles en développement au bout des tiges. Des populations plus importantes se developpaient sur les variétés tardivesKing Edward etStormont Dawn, dont les pousses axillaires étaient les plus nombreuses, que sur les variétés précocesArran Pilot etUlster Chieftain (Fig. 3,Tabltau 2). Les aptèresAphis nasturtii Kltb. ne manifestent pas de préférence vis-à-vis du type de feuilles et les colonisent à n'importe quel degré de croissance. Lorsque les conditions favorisent le développement d'infestations importantes par cette espèce, comme cela se produisit en 1952 (Fig. 1), le principal facteur limitant le développement de la population est constitué par la superficie du feuillage. Les variétés tardivesKing Edward etStormont Dawn produisaient un plus grand nombre de feuilles que les variétés précoces et, par conséquent, présentèrent des populations plus importantes d'A. nasturtii (Fig. 3,Tableau 2). Les différences de densité de population des pucerons d'une variété de pommes de terre à l'autre sont peut-être dues plut?t à des différences de croissance des plantes qu'à des différences intrinsèques de go?t. Les variétés à fanes fort développées hébergent de plus nombreuses populations d'A. nasturtii que les variétés à fanes peu développées.M. euphorbiae colonise généralement les extrémités des pousses axillaires, de sorte que les variétés tardives à pousses nombreuses sont plus gravement infestées que les variétés précoces, qui ont peu de pousses axillaires. L'infestation parM. persicae se rattache au vieillissement des feuilles et si une variété telle qu'Arran Pilot, dont le cycle de croissance s'accomplit rapidement, convient toujours le mieux à la colonisation parM. persicae et à sa multiplication dans des circonstances normales, les conditions exceptionnelles occasionnant un rapide vieillissement d'autre variétés peuvent rendre ces dernières aussi appropriées comme h?tes.
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17.
Summary The wound healing potential of 15 UK maincrop potato cultivars was assessed from the ability of discs of cortical and medullary tissue to become resistant to the loss of water vapour, as their surfaces suberized. Varietal rankings were moderately consistent over four experiments in two years, with cvs Désirée, Bintje and Pentland Hawk showing rapid healing and Majestic, Redskin and Pentland Crown rather slow healing. Wound healing rates in cortical and medullary tissue were generally similar. Since fast wound healing is not the dominant mechanism of resistance to disease, correlations with established ratings for resistance to individual diseases were not found, but some protection against a broad spectrum of storage diseases is likely. Wound healing rankings correlated with varietal resistance to mechanical damage.
Zusammenfassung Die Versuche sollten sortenbedingte Unterschiede bei Wundheilungs-Raten demonstrieren. Ausserdem galt es herauszufinden ob sich Unterschiede im Wundheilungs-Potential zwischen Rinden- und Markgewebe ergeben, wodurch sich die relative Bedeutung von flachen gegenüber tiefen Wunden darstellen würde. Der Anstieg in der internen Widerstandsf?higkeit im Hinblick auf Verlust von Wasser-Dampfdruck von Scheiben von Knollengewebe, ein Mass für die Suberinisierung an Wundoberfl?chen, wurde über 6–9 Tage in vier Versuchen über zwei Lagerperioden verfolgt. Die 15 untersuchten sp?ten Kartoffelsorten zeigten betr?chtliche sortenbedingte Abweichungen in allen vier Experimenten (Tabellen 1 und 2). Zwischen den beiden Perioden waren die Schwankungen nur gering, ebenso zwischen den Untersuchungen im Herbst und im Frühjahr (Tabelle 3). Die H?he des Wasserverlustes bei Rinden- und Markgewebe waren im wesentlichen gleich (Tabelle 2) und korrelierten zwischen den Sorten (r=0,84,P<0,001). In den ersten 4–5 Tagen der Inkubation entwickelte sich die interne Widerstandsf?higkeit gegen Wasserverlust z?gernd, bei ungef?hr 6 Tagen dann schneller (Abb. 1). Sowohl das Ausmass des schnelleren Anstiegs als auch die Zeit des Beginns bestimmten den generellen Grad an Resistenz gegen Wasserverlust über die gesamte Inkubationsperiode (Abb. 1). Sorten mit rapider Wundverheilung in diesen Untersuchungen, z.B. Désirée und Bintje, befanden sich unter denjenigen, welche von Blight & Hamilton (1974) mit geringer Anf?lligkeit gegen mechanische Besch?digung eingestuft worden waren.

Résumé Le but de cette étude est de mettre en évidence l'importance des variations dans le taux de cicatrisation des blessures selon les variétés et de rechercher s'il existe une différence dans le potentiel de cicatrisation entre les tissus corticaux et médullaires qui pourraient déterminer l'importance relative des blessures légères et profondes. L'augmentation de la résistance interne à la perte en vapeur d'eau à partir de lamelles de tissus de tubercules, comme mesure de subérisation des surfaces blessées, a été suivie pendant 6 à 9 jours dans 4 expérimentations au cours de deux campagnes de conservation. Les 15 principales variétés testées ont montré un degré variétal important dans les 4 essais (tableau 1 et 2). Le classement des variétés n'a guère varié d'une année à l'autre et entre automne et printemps (tableau 3). Les taux de perte en eau des tissus médullaire et cortical sont en général équivalents (tableau 2) et correlés avec les variétés (r=0,84,P<0,001). La résistance interne à la perte en eau évolue lentement les 4–5 premiers jours d'incubation, et plus rapidement après 6 jours environ (fig. 1). La variation dans la phase rapide, et dans sa date de démarrage détermine le niveau global de résistance à la perte en eau pour toute la période d'incubation (fig. 1). Les variétés qui montrent une évolution rapide de cicatrisation dans cette étude, telles que Désirée et Bintje, sont parmi celles estimées par Blight & Hamilton (1974), qui présentent une faible sensibilité à l'endommagement mécanique.
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18.
Summary Resistance to common scab was tested by growing potatoes in dry sand or soil in 3 l pots placed on irrigated subsoil. Inoculated coarse sand (0.5–0.005 Petri dish culture ofStreptomyces scabies per pot) proved more reliable than naturally infested soil. The incidence of scab on the seed tubers did not significantly affect the results. Tests in the greenhouse were most reliable, although those in open air also often gave satisfactory results. For screening purposes satisfactory results can be obtained by using only two or three pots per variety. Thirty-six tyrosinase positive isolates ofStreptomyces from potato and carrot from different parts of Norway were tested on four potato varieties and some of the isolates were tested on carrot. Large differences in aggressiveness were found, but no difference in virulence could be demonstrated, i.e. the same varieties were the most resistant to all isolates.
Zusammenfassung Es wurden Versuche angestellt, um das Verfahren von Wiersema (1970) für den lokalen Gebrauch anzupassen oder zu verbessern. Er prüfte die Resistenz gegen den gew?hnlichen Schorf durch Anbau von Kartoffeln in natürlich verseuchtem, trockenem Boden in T?pfen auf bew?ssertem Untergrund. In unseren Versuchen brachte die Verwendung von natürlich verseuchtem Boden unterschiedliche Ergebnisse (Tabelle 1), haupts?chlich wegen der kapillaren Aufw?rtsbewegung des Wassers aus dem Untergrund. Die Verwendung von inokuliertem, grobem Sand erwies sich als zuverl?ssiger (Tabellen 2 und 4). Drei Wochen alte Kulturen vonStreptomyces scabies auf PDA in 9 cm-Petrischalen wurden in Wasser zerkleinert (100 ml pro Topf) und gründlich mit grobem Sand vermischt. Für grosse Quantit?ten bei Routinetests wurde ein Zementmischer gebraucht. Der Sand wurde dann in Plastikt?pfe (3 1 Inhalt) abgefüllt. W?hrend des Knollenwachstums konnten relativ trockene Bedingungen in den T?pfen aufrechterhalten werden. Vor der Bonitierung auf Schorfbefall konnte der Sand leicht von den Knollen gewaschen werden. Wenn agressive Isolate gebraucht wurden, war die Schorfentwicklung über die ganze Skala der getesteten Inokulumkonzentrationen, von 0,5 bis zu 0,005 Petrischalenkulturen pro Topf, stark (Tabelle 2). Inokulierter Sand konnte in den folgenden Jahren in Mischungen mit grossen Mengen von nicht inokuliertem Sand wiederholt verwendet werden (Tabelle 3). Sowohl die Schwere der L?son (l = Oberfl?chenschorf; 2 = mittlerer Tief- oder Buckelschorf; 3 = Tiefschorf) als auch die relative Bedeckung der Oberfl?che (0–9) wurden bestimmt; auf Basis dieser Ergebnisse wurde ein Schorfindex errechnet (0–100) (Tabelle 5). Jede Knolle, die gr?sser als 2,5 cm Durchmesser war, wurde einzeln bonitiert. Der Genauigkeitsverlust war jedoch klein, wenn für alle Kartoffeln in einem Topf nur eine Bewertung gegeben wurde (Tabelle 4). Unterschiedliche Schorfgrade auf den Saatknollen beeinflussten die. Ergebnisse nicht signifikant (Tabelle 6). Die Untersuchungen im Glashaus waren meistens zuverl?ssig, aber es konnten auch im freien Feld befriedigende Ergebnisse erzielt werden (Tabelle 8), wo das geeignetste Verfahren darin bestand, die T?pfe fast bis zu ihrem Rand in D?mme einzugraben (Tabelle 7). Die erhaltenen Ergenissee waren über Jahre übereinstimmend, und für gut bekannte Sorten waren sie in gutem Einklang mit früheren Ergebnissen aus Feldversuchen und praktischer Erfahrung. Befriedigende Ergebnisse für Auslesezwecke dürften durch Verwendung von nur zwei oder drei T?pfen pro Klon erzielt werden. Mit der beschriebenen Methode wurden 36 tyrosinasepositiveStreptomyces-Isolate von Kartoffeln und Karotten aus verschiedenen Teilen Norwegens an vier Kartoffelsorten getestet, neun davon auch an Karotten. Bei Anwendung der Terminologie von Van der Plank (1968) wurden grosse Unterschiede in der Agressivit?t festgestellt, aber es konnte kein Unterschied in der Virulenz bewiesen werden, d.h. gegenüber allen Isolaten bestand gleichbleibende, sortenbedingte Resistenz (Tabellen 9 und 10). Zwei der Isolate Karotten.verursachten die st?rkste Infektion auf Karotten. Sie geh?rten auch gegenüber Kartoffel zu den am meisten pathogenen Isolaten. Die Ergebnisse weisen darauf hin, dass die Isolate vor Anwendung im Ausleseverfahren auf Schorfresistenz auf ihre Agressivit?t untersucht werden sollten. Als Alternative k?nnte eine Mischung von verschiedenen Isolaten benützt werden.

Résumé L’expérimentation a été faite dans le but d’améliorer ou d’adapter aux conditions locales la méthode de Wiersema (1970) qui consiste à tester la résistance à la gale commune par une culture de pommes de terre en sol sec contaminé naturellement, dans des pots placés sur un sous-sol irrigué. Dans nos essais, l’emploi de sol naturellement contaminé a donné des résultats irréguliers (tableau 1), d?s principalement à une remontée de l’eau du sous-sol par capillarité. L’utilisation de sable grossier contaminé artificiellement s’est a vérée plus viable (tableaux 2 et 4). Des cultures agées de 3 semaines deStreptomyces scabies sur milieu PDA en boites de pétri de 9 cm étaient broyées dans de l’eau et mélangées soigneusement au sable grossier (à raison de 100 ml par pot) en utilisant une bétonnière quand des quantités importantes étaient nécessaires pour les tests de routine. Le sable était ensuite mis en pots plastiques de 3 1. Durant la croissance du tubercule on pouvait maintenir dans les pots un milieu relativement sec. Avant d’effectuer les notations concernant la gale, on pouvait aisément laver les tubercules du sable qui y adhérait. Quand des souches agressives étaient utilisées, le développement de la gale était très important sur toute la gamme de concentration d’inoculum testée, de 0,5 à 0,005 contenu de boite de pétri par pot (tableau 2). Le sable contaminé pouvait être réutilisé plusieurs fois les années suivantes en mélange avec de grandes quantités de sable sain (tableau 3). Pour calculer un indice de gale (0–100), on a utilisé le produit de l’estimation de l’importance des lésions (1 = gale superficielle; 2=gale moyennement profonde ou en relief; 3=gale profonde) par l’estimation de la surface relative atteinte (0–9) (tableau 5). Tous les tubercules de plus de 25 mm ont été notés individuellement. Cependant, une notation globale de toutes les pommes de terre d’un pot n’entra?ne pas une grande perte de précisions (tableau 4). Différentes intensités de gale sur les tubercules de semence n’affectent pas significativement les résultats (tableau 6). Les essais en serre se sont avérés plus fiables mais on a pu obtenir des résultats satisfaisants en plein air (tableau 8), la meilleure méthode consistant alors à enterrer les pots dans des sillons presque jusqu’à leur bord supérieur (tableau 7). Les résultats obtenus sont logiques d’une année à l’autre et pour les variétés bien connues concordent avec les résultats antérieurs des essais en plein champ et de la pratique. Pour des essais de Screening, on peut obtenir des résultats satisfaisants avec seulement deux ou trois pots par variété. Par la méthode décrite, on a testé sur quatre variétés de pommes de terre 36 souches deStreptomyces de pommes de terre et de carotte ayant une réaction positive à la tyrosinase et provenant de différentes régions de Norvège. 9 d’entre elles ont été également estées sur carotte. En utilisant la terminologie de Van der Plank (1968), on a trouvé de grandes différences d’agressivité, mais on n’a pu mettre en évidence aucune différence de virulence, ce qui montre qu’il y a une résistance variétale uniforme à toutes les souches (tableau 9–10). Deux des souches de la carotte ont provoqué l’attaque la plus grave sur carotte et étaient également parmi les plus pathogènes pour la pomme de terre (tableau 10). Les résultats montrent que l’on doit d’abord déterminer l’agressivité des souches avant de les utiliser pour des Screenings de résistance à la gale. D’autre part, il faudrait utiliser un mélange de plusieurs souches.
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19.
Summary Mature tubers, from 13 centres between 211 and 837 km N of 50 N, were stored at 10°C in 1966 and 1967, and always showed an initial rise in reducing sugar. In 1966 this obliterated the effect of latitude upon sugar content. At harvest, 20 crops had a sugar content acceptable for processing. A few weeks later only 2 were acceptable. The increased sugar decreased on transfer to 20°C, the samples behaving similarly, and thus showing no effect of latitude of growing centre after ‘conditioning’. Such treatment, being slow, would be commercially practicable only if the desired changes were small. The start of sprout growth at 10°C, and accompanying start of carbohydrate mobilization, showed no effect of latitude. Nor did the amount of sugar accumulated at 2 C, despite a suggestion of an effect on initial rate of sweetening. The initial rate of subsequent de-sweetening at 20°C was positively correlated with the amount of accumulated sugar.
Zusammenfassung Reife Knollen der Sorte Record, die in den Jahren 1966 und 1967 an 13 Zentren zwischen 211 und 837 km N des 50 N angebaut wurden. wurden bei 10°C gelagert. In jedem Fall erfolgte in den ersten paar Wochen der Lagerung ein Ansteigen des Gehaltes an reduzierenden Zukkern (Tabellen 1 und 2), 1966 überdeckte dieser Anstieg den Einfluss der Distanz n?rdlich des Anbauzentrums auf den Zuckergehalt, der w?hrend des Wachstums und bei der Reife augenscheinlich war. Bei der Ernte wiesen 20 Best?nde einen für die Verarbeitung annehmbaren Zuckergehalt auf, aber nach dem Ansteigen zu Beginn der Lagerung waren nur noch zwei annehmbar (Tabelle 3). Sp?ter besserte sich dies etwas. Aber nur in einem Fall sank der Zuckergehalt auf den Stand zur Zeit der Ernte (Tabellen 1 und 2). Eine Anzahl anderer Sorten zeigten ein ?hnliches Verhalten (Tabelle 4). Nach verl?ngerter Lagerung (Mai–Juni) steig der Zuckergehalt, besonders der Saccharose, was für das altersbedingte Süsswerden charakteristisch ist (Tabellen 1, 2 und 4). Die dafür verantwortliche Mobilisierung des Kohlehydrats beginnt sehr bald nach Beginn des Keimwachstums, aber sie verursacht das Süsswerden nur dann, wenn die Mobilisierung die Ansprüche des Wachstums übersteigt. Bei handelsüblicher Lagerung mit Keimverhinderung k?nnte das Süsswerden gef?hrlicher sein als hier verzeichnet. Der Beginn des Keimwachstums unterschied sich zwischen den Sorten (Tabelle 7), aber er zeigte keinen Einfluss des Anbauzentrums, obwohl sich die Wachstumsrate unterschied, indem sie oft, aber nicht ausschliesslich, bei den Mustern aus dem fernen Norden kleiner war (Tab. 5, 6). Muster der Ernte 1966, die am Anfang der Lagerperiode von 10°C auf 20°C gebracht wurden, wiesen eine Abnahme im Gehalt an reduzierenden Zuckern auf, sie war aber nicht mehr von Bedeutung, wenn die Knollen sp?ter, nach Beginn des altersbedingten Süsswerdens, umgelagert wurden (Tabelle 8). Die Abnahme war in jedem Fall ?hnlich. Es war kein Einfluss des Breitengrades des Anbauzentrums festzustellen. Ein Einzelversuch über Zuckeranh?ufung bei 2°C zeigte keinen Einfluss der Lage des Anbauzentrums auf die am Schluss angeh?ufte Menge, obwohlauch diese betr?chtlich schwankte (Tabelle 9). Es gab einen deutlich positiven Einfluss des Ortes auf die Zuckerakkumulationsrate, der jedoch einer Best?tigung bedarf. Die nachfolgende Rekonditionierung durch Lagerung bei 20°C war im Mai gleich wirksam wie im M?rz. Die Rate war mit der bei der Umlagerung auf 20°C vorhandenen Zuckermenge positiv korreliert (Tabelle 10).

Résumé Des tubercules m?rs de la variété Record, cultivée dans 13 centres situés entre 211 et 837 km au nord du 50e degré de latitude nord, ont été conservés à 10°C. Dans chaque cas, il y a eu une augmentation de la tencur en sucres réducteurs durant les premières semaines de stockage (tableaux 1 et 2). En 1966, cette élévation a masqué l'effect de la localisation des centres de culture sur les sucres réducteurs; celle-ci étant apparente pendant les périodes de végétation et de stockage. A la récolte, 20 lots ont eu une teneur en sucres acceptable pour la transformation mais, après leur élévation pendent la période de stockage, 2 lots seulement convenaient (tableau 3). On observait une amélioration par la suite mais, dans un cas seulement, la concentration revenait au taux initial (tableaux 1 et 2). Un certain nombre de variétés se comportaient de fa?on identique (tableau 4). Après une conservation prolongée (mai–juin), on notait une augmentation de la teneur en sucres, notamment en saccharose, caractéristique du ‘sucrage’ d? à la sénescence (tableaux 1, 2 et 4). La mobilisation des hydrates de carbone responsables de ce phénomène s'effectuait aussit?t après le démarrage de la germination et ne causait le ‘sucrage’ que lorsqu'elle excédait la quantité nécessaire à la croissance des germes. Dans le stockage pour la commercialisation avec utilisation d'inhibiteurs de germination, le ‘sucrage’ pourrait être plus important que celui mentionné ici. Le démarrage de la germination variait selon les variétés (tableau 7) mais la localisation des différents centres n'avait pas d'effet sur lui: toutefois, les taux de croissance étaient différents, étant souvent mais pas exclusivement moindre, pour les échantillons provenant des centres de culture les plus éloignés (tableaux 5 et 6). Les échantillons récoltés en 1966 et stockés rapidement à 10 et 2°C ont montré une diminution de leur teneur en sucres réducteurs, qu'il n'était plus possible d'apprécier lorsque les tubercules avaient été stockés plus tardivement, au moment où le ‘sucrage’ d? à la sénescence était déclenché (tableau 8). La diminution de la teneur en sucres était identique dans tous les cas, démontrant l'absence d'effet de la latitude des centres de cultures. Un seul essai sur l'accumulation des sucres dans les tubercules conservés à 20°C a montré cette absence d'effet de la latitude des centres de culture sur la concentration finale en sucres: cependant, des variations considérables ont été observées (tableau 9). Il y avait un effet positif apparent de la latitude qui demandait une confirmation. Par la suite, la diminution du taux de sucres par un temps de passage des lots à 20°C a été observée de la même manière en mai qu'en mars. Le taux était en corrélation positive avec la quantité de sucres présente au moment du transfer à 20°C (tableau 10).
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20.
Summary Autumn grown potatoes harvested in December cannot be used for planting in February–March, as they are still dormant at that time. The lengthy dormant period ofUp-to-Date, the main variety cultivated in Israel, was found to be the bottleneck of the problem of supply of locally grown seed tubers. In order to find varieties with a shorter dormant period, 52 varieties from different sources were introduced. The seed material was propagated twice before it was used for the first screening test in spring 1956. The first test has shown that varieties with a short dormant period gave the best results and those with a long one the worst. The second screening in spring 1957, in which a limited number of the most promising varieties were tested, has shown that length of growing period is at least as important as length of dormant period, and that early and medium-early varieties are best. In spite of the results obtained we consider that it will be necessary to breed new varieties more adapted to the specific requirements of growing two crops a year.
Zusammenfassung Im Herbst ausgepflanzte und im Dezember geerntete Kartoffeln k?nnen nicht zum Auspflanzen im Februar verwendet werden, da sie sich dann noch in der Keimruhe befinden. Die ziemlich lange Keimruhe vonUp-to-Date, der in Israel am meisten angebauten Sorte, erwies sich als die gr?sste Schwierigkeit bei der L?sung des Problems der Versorgung mit einheimischem Saatgut. Um Sorten mit kürzerer Keimruhe zu finden, wurden 52 Sorten verschiedener Herkunft eingeführt. Das Saatgut wurde zweimal fortgezüchtet, bevor es für den ersten Auslesetest im Frühjahr 1956 verwendet wurde. Der erste Versuch zeigte, dass Sorten mit kurzer Keimruhe die besten und Sorten mit langer Keimruhe die schlechtesten Resultate ergaben. Die zweite Auslese im Frühjahr 1957, wobei eine kleinere Anzahl der aussichtsreichsten Sorten geprüft wurde, zeigte, dass die Dauer der Wachstumsperiode mindestens ebenso wichtig ist wie die L?nge der Keimruhe und dass frühe und mittelfrühe Sorten die besten sind. Ungeachtet dieser Ergebnisse halten wir es für angezeigt, neue Sorten zu züchten, die den besonderen Ansprüchen einer zweimaligen Ernte im Jahr besser genügen.

Résumé Les pommes de terre d'automne récoltées en décembre ne peuvent servir de semence en févriermars, puisqu'elles se trouvent encore à l'état latent à cette époque. La période de latence assez prolongée de l'Up-to-date, la principale variété cultivée en Israel, constitue le majeur obstacle à l'approvisionnement en semences locales. Afin de trouver des variétés à courte période de latence, nous avons introduit 52 variétés de différentes provenances. Celles-ci ont d? être multipliées deux fois avant que nous ayons pu entreprendre le premier essai au printemps 1956. Ce premier essai a permis de constater que les variétés à courte période de latence étaient les meilleures, celles à période de latence prolongée donnant les résultats les moins bons. La seconde sélection fut effectuée au printemps 1957. A cette occasion, un plus petit nombre de variétés particulièrement prometteuses furent étudiées. Il fut constaté que la durée de végétation a une importance au moins égale à celle de la durée de latence. Les variétés précoces et moyennes étaient les meilleures. Malgré les résultats de cette étude, nous en sommes arrivés à cette conclusion qu'il nous faudra sélectionner, des variétés nouvelles, mieux adaptées aux exigences particulières de la culture de la pomme de terre effectuée à deux reprises dans la même année.


Publication of the National and University Institute of Agriculture, Rehovot, 1960. Series No. 354-E.  相似文献   

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