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W. Mueller 《EPPO Bulletin》1974,4(3):347-355
Les méthodes biomété orologiques qui intéressent les biologistes appelé s à développer des systèmes de lutte intégrée se distinguent nettement de la climatologie traditionnelle de l'abri. D'une façon générale, les différences peuvent se résumer comme suit: –les investigations se font essentiellement à l' échelle microclimatique; –les instruments sont très élaborés et particulièrement adaptés au but recherché; –l'établissement du réseau d'observations et les périodes d'études dependent des exigences biologiques; –la durée des périodes d'observation est limitée et la densité du réseau climatologique relativement faible grâce au recours à l'échantillonnage représentatif. L'interprétation des résultats biométéorologiques est en général difficile puisqu'il y a souvent superposition de deux ou d'un nombre plus élevé de facteurs. II est done prudent d'inclure également, dans l'appréciation générale, les données de laboratoire et de s'efforcer de remplacer les données plus ou moins empiriques par des fonctions précises. Cette approche est proposée sous la forme d'une étude quantitative du bilan énergétique et hydrique des ravageurs. On peut ainsi obtenir des résultats de portée étendue, reposant sur des données physiques, d'une part, et des renseignements quantitatifs, d'autre part. Un certain nombre de facteurs simples ou composés tels que le vent et la faculté de refroidissement sont à considérer dans les études biométéorologiques puisqu'ils contribuent à caractériser, et partant, à prévoir le comportement des espèces (par exemple l'activité de vol du carpocapse des pommes). En définissant des « types de temps » favorables à l'activité d'un ravageur, il serait possible de prévoir le comportement de l'espèce en question. Enfin, l' étude conjointe des vues prises par satellites à l'aide de films à infrarouge, thermiquement sensibles, et des observations biométéorologiques faites au sol apportera sur le plan macro- et méso-climatique des éléments eminemment utiles au développement de la lutte intégrée. 相似文献
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Des recherches réalisées au cours des trois dernières années sur l'éventuelle variation de la sensibilité de Venturia inaequalisà la dodine ont mis en évidence la résistance de certaines populations à ce fongicide, utilisé depuis très longtemps et de façon intensive dans les vergers d'Italie septentrionale. Les résultats ont été obtenus dans des vergers traités à la dodine depuis aumoins 10 ans. Les mêmes échantillons ont montré une variation de la sensibilitéà la dodine au cours des applications d'une seule saison. 相似文献
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M. PASCAL 《EPPO Bulletin》1988,18(3):429-434
Suite à une étude diachronique d'élements de cinétique d'une population locale (Sombacour, Doubs, France) d'Arvicola terrestris scherman, il semblait possible de fonder le diagnostic de la phase de croissance du cycle de pullulation de cette espèce sur le simple examen de l'évolution numérique des effectifs des populations. Afin de vérifier cette hypothèse a l'échelle régionale, un réseau d'observation a été mis sur pied par le Service de la Protection des Végétaux de Franche-Comté et couvre, depuis octobre 1983, 80 communes du Doubs et du Jura. Il a permis de déclencher une alerte agricole de façon rationnelle et graduellement dans l'espace et le temps, en octobre 1985, avril 1986 et octobre 1987. Une analyse comparative de certains critères morphologiques et de l'intensité du flux de dispersion dans deux situations (la premiere en phase de forte densité du cycle de pullulation, la seconde en phase de déclin) a permis d'échafauder une méthode opérationnelle qui demande confirmation et permettrait le diagnostic fondé de la phase de déclin. 相似文献
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Aucune lutte chimique n'est actuellement utilisable contre la plus grave maladie du champignon de couche, causée par Pseudomonas tolaasii. La lutte biologique avec ?antagoniste P. fluorescens a reduit les pertes de 30 à 60%, mais dans la pratique ce résultat est insuffisant et exige une amélioration; parmi les différentes voies possibles, nous avons retenu ?utilisation de bactériophages. Plusieurs phages ont été purifyés à partir de carpophores malades. Leur sélectivité vis-à-vis de différentes bactéries pathogènes ou saprophytes isolées de plusieurs écosystèmes a étéétudiée. Nous avons retenu les phages fortement agressifs pour P. tolaasii et tempérés pour la souche de P. fluorescens utilisée en lutte biologique. On a done conçu un système ?apport de phages par traitement des cultures avec un mélange de ?antagoniste P. fluorescens et des phages. Au cours de premiers essais, ?addition des effets de ?antagoniste et des phages lytiques a permis de réduire significativement les pertes en culture (>80%), mais plusieurs paramètres restent à préciser avant une utilisation à plus grande échelle. Ce travail amène aussi à s'interroger sur le rôle des bactériophages dans la dynamique des populations naturelles des Pseudomonas spp., utiles ou nuisibles pour les champignons. 相似文献
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R. PERRIN 《EPPO Bulletin》1986,16(3):553-560
Les maladies transmises par le sol représentent la cause principale de dégâts sur graines, plantules et plants repiqués dans les pépinières forestières. Les fontes en pré ou de postémergence constituent la première forme très connue de dégâts pendant les premières semaines qui suivent le semis. A un stade ultérieur, les plantules et les plants repiqués plus âgés peuvent avoir leur croissance ralentie, stoppée ou être tués par la nécrose racinaire, maladie complexe encore assez mal connue. La plupart des espèces de conifères peuvent être atteints à différents degrés: les Pinus, Picea et Larix sont les plus sensibles, alors que les Cupressaceae sont résistants. Pythium spp., Fusarium spp. (particulièrement F. oxysporum) et Rhizoctonia solani, champignons ubiquistes et pléophages, constituent la cause principale de fonte et de pourriture racinaire dans les pépinières européennes. Ces champignons coexistent souvent dans les sols, en particulier dans les pépinières établies depuis longtemps. La cause et la gravité des infections dépendent des conditions de l'environnement; la diagnose et la lutte préventive ne sont pas faciles en pratique. L'efficacité des produits chimiques a tendance à varier beaucoup d'une pépinière et d'une saison à l'autre. La fumigation et le traitement du sol à la vapeur sont les moyens de lutte les plus efficaces, mais ils sont coûteux et d'utilisation difficile au champ. La lutte intégree, combinant le potentiel naturel des sols résistants, des bactéries améliorant la croissance et atténuant les maladies, la capacité protectrice des mycorhizes, et de faibles doses de fongicide, se révèle un moyen très prometteur pour la lutte contre ces maladies. 相似文献
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P. FRANQUIN 《EPPO Bulletin》1983,13(2):157-161
Est présenté un modèle fréquentiel global de la période climatique de végétation des cultures. Ce système s'applique en particulier à l'ajustement dans la saison des cycles de développement des cultivars. Quand la variabilité interannuelle des températures est grande, il convient d'évaluer la durée des cycles de développement, non pas en nombre de jours, mais en somme de degrés-jour. Somme de degrés-jour et nombre de feuilles à l'initiation de la floraison peuvent être estimés chez les cultivars photopériodiques au moyen de formules développées par modélisation des relations de l'oscillation exogène jour/nuit avec l'oscillation circadienne endogène de la plante. 相似文献
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M. PASCAL 《EPPO Bulletin》1988,18(2):249-256
L'élaboration de protocoles de tests en nature de produits rodenticides conduit régulièrement à se poser la question de la reproductibilité des expériences et de la validité de la comparaison des résultats obtenus par diverses équipes travaillant indépendamment. Ces comparaisons ne sont rationnellement possibles qu'à condition de prendre en compte les éléments de la biologie de l'espèce (place de l'expérience dans les cycles annuels et pluriannuels) et ceux du milieu (paysage, passé cultural). Ceci met en évidence le problème plus vaste de la variabilité de l'efficacité des traitements en fonction des facteurs évoqués ainsi que de la rémanence et des effets cumulés de traitements. Le protocole expérimental proposé dans cet article est loin de remplir toutes les exigences requises par un tel test, mais en constitue une approche. 相似文献
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V. Z. ALEXANDRAKIS 《EPPO Bulletin》1986,16(2):375-381
Bon nombre d'entomophages se développent aux dépens des ravageurs de l'olivier; ces ennemis naturels, parasites ou prédateurs, contribuent plus ou moins à limiter les populations d'insectes nuisibles à l'olivier. Toutefois, le role des entomophages de Dacus oleae, principal ravageur de l'olivier, n'est jamais suffisant pour controler efficacement les populations de l'insecte, meme si le taux de parasitisme atteint quelquefois 90%. Dans des cas très particuliers sculement, le parasite Opius concolor peut etre utilisé pour lutter contre D. oleae. Quelques entomophages de Prays oleae, le parasite Ageniaspis fuscicollis ou le prédateur Chrysoperla (Chrysopa) carnea par exemple diminuent les populations du ravageur sans pouvoir cependant les maintenir à des niveaux négligeables. Les nombreux entomophages de Saissetia oleae, notamment les parasites du genre Metaphycus, peuvent controler ses populations s'ils ne sont pas détruits par des traitements insecticides. Parmi les ravageurs secondaires, certains peuvent etre totalement controlés par l'utilisation d'entomophages (c'est le cas d'Aspidiotus nerii et de Parlatoria oleae), mais dans la plupart des cas la lutte biologique est insuffisante, notamment contre Phloeotribus scarabaeoides. 相似文献
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Cet article est une revue bibliographique des résultats obtenus dans l'étude des protéines et enzymes des genres Heterodera et Globodera. Ces travaux ont permis de mettre en évidence une variabilité inter et intraspécifique. L'utilisation de ces caractères, comme outil taxonomique, ne sera optimisée qu'à condition de pousser aussi loin que possible l'analyse génétique de ces phénotypes. De plus, si l'on veut caractériser des entités subspécifiques (pathotypes), par les protéines ou enzymes, il est nécessaire de travailler sur des protéines liées à la fonction pathologique. 相似文献
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Le nématode des pins (Bursaphelenchus xylophilus), très certainement originaire d'Amérique du Nord et introduit au Japon où il dévaste les forêts, a été signalé en 1979 sur Pinus pinaster dans le sud-ouest de la France, en association avec des taches de dépérissement à propagation lente. Il s'agit en fait d'une souche morphologiquement proche de B. mucronatus, espèce non virulente décrite au Japon en 1979. Elle s'en distingue cependant par différents caractères biologiques, dont un pouvoir pathogène plus élevé vis-à-vis des jeunes pins et la possibilité de donner des croisements fertiles avec B. xylophilus. Elle pourrait jouer un rôle de sensibilisation à d'autres agents pathogènes. On doit done considérer que B. xylophilus n'est pas, comme on aurait pu l'espérer, endémique et peu virulent en France. Les risques d'introduction et d'extension du nématode des pins en Europe demeurent, par conséquent, entiers et redoutables. Les bois de conifères massifs, dans lesquels peuvent survivre les larves des insectes vecteurs, sont les voies d'introduction les plus à craindre et il existe, parmi les espèces européennes de xylophages, des insectes potentiellement capables de prendre le relais et de répandre la maladie qui est plus à redouter dans les régions àétés chauds. Une surveillance attentive, avec analyse nématologique de tout foyer nouveau de dépérissement des coniféres, et une calcination immédiate de tout arbre atteint sont des nécessités absolues pour enrayer une éventuelle extension. 相似文献
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La culture de la tomate occupe une place prépondérante dans l’économie agricole algérienne. Sur une superficie globale de primeurs évaluée à plus de 292 000 ha, la culture de tomate représente 51% de la production totale en produits maraîchers. La particularitéécologique de cette culture l’expose à diverses nuisances, notamment les insectes déprédateurs et les maladies. Parmi les espèces nuisibles rencontrées, les aleurodes constituent en tant qu’agents vecteurs de maladies virales une contrainte phytosanitaire majeure. Cinq viroses ont été recensés à ce jour. Il s’agit de l’AMV, CMV, PVX, PVY et ToMV. La stratégie de lutte mise en oeuvre est orientée vers la lutte intégrée, basée particulièrement sur les moyens biologiques. En égard à l’importance de l’incidence économique des maladies virales sur la culture de tomate, les services officiels phytosanitaires lui consacrent une attention particulière grâce notamment au programme de dépistage, orienté vers les principales prohibitions. 相似文献