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Potato marketing     
《Potato Research》1960,3(1):90-93
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Potato production in Sri Lanka has been increasing since the importation of tablestock was stopped in 1967. Production is now successfully established in four regions: Nuwara Eliya, Badulla, Jaffna and Puttalam. Average yields areca. 16 T/ha but can reach as high as 40 T/ha. Production still depends on the importation of seed potatoes which are then multiplied under a government program. In order to reduce the cost of seed, which can be up to 50% of the cost of production, a true seed program has been instituted. Weather, poor storage conditions, varying availability of good seed and diseases are the major problems limiting potato production in Sri Lanka. Significant reductions in production and storage problems will be realized with the continued efforts of the Sri Lankan government and international agencies.  相似文献   

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Zusammenfassung Die Zu- oder Abnahme von Fl?che. Hektarertrag und Gesamtproduktion in der Welt sowie in verschiedenen Regionen und L?ndern in den Jahren 1962 bis 1973 wurde diskutiert (Abb. 1–5). Mit Hilfe von Regressionsgleichungen wurde die Zu- oder Abnahme von Fl?che. Ertrag und Produktion errechnet und als Prozent der Situation im Jahre 1962 ausgedrückt. Die Regressionsgleichungen und die Korrelationskoeffizienten sind am Fuss der Abbildungen aufgeführt. Diesen kann auch die Fl?che. der Ertrag oder die Produktion im Jahre 1962 entnommen werden. Auffallend sind die Abnahme der Fl?che in Westeuropa. besonders in der Bundesrepublik Deutschland und in Frankreich, sowie die Zunahme der Fl?che und der Produktion in den Tropen. In Europa (ohne UdSSR) sank der Konsum j?hrlich um ungef?hr 1/2% (Abb. 6) und der Konsum pro Kopf um etwas mehr als 1% (Abb. 9). In den USA stieg der Gesamtverbrauch j?hrlich um etwa 1% (Abb. 8), und der Verbrauch pro Kopf schien ziemlich konstant zu sein (Abb. 9). In Europa (ohne UdSSR) nahm die Kartoffelst?rkeproduktion um 50% zu, und in den neun EG-L?ndern wurde diese Erzeugung nahezu verdoppelt (Abb. 7). In diesem Artikel wird angenommen, dass 25% der Speise- oder Saatkartoffelerzeugung Abfall sind (bei der Sortierung ausgelesene Knollen) und als Futterkartoffeln verwendet werden. In Europa (ohne UdSSR) wird ungef?hr die H?lfte der gesamten Produktion zur Verfütterung verwendet, und ungef?hr 40% wird eigens zu diesem Zweck angebaut und verwertet (Abb. 6). In den neun EG-L?ndern sank die Gesamtmenge, die als Futterkartoffeln verwendet wurde, von 40% auf 30% der Gesamterzeugung. Die Menge, die eigens als Futterkartoffeln angebaut und verwertet wurde, feil von 30% auf etwa 12% der Gesamtproduktion (Abb. 7). Es ist anzunehmen, dass der zukünftige Anbau von Futterkartoffeln vom Gewinn abh?ngt, den die Pflanzer daraus im Vergleich zu jenem aus dem Mais- oder Gerstenanbau ziehen. Auf Basis des Futterwertes von 1 kg Trockenkartoffeln (erhalten aus 4 kg Kartoffeln mit 23% Trockensubstanz (TS)) und von 1 kg Mais oder 1 kg Gerste betr?gt der Preis, bei welchem Kartoffeln mit Gerste oder Mais vergleichbar sind, für 1 kg Kartoffeln (23% TS): 1000/933×1/4×Preis für 1 kg Gerste oder 1000/1067×1/4 Preis für 1 kg Mais Abb. 10 und 11 zeigen die direktkostenfreien Ertr?ge für Mais. Gerste und Kartoffeln bei verschiedenen Preisen und für drei Ertr?ge pro ha (für die Berechnung des direktkostenfreien Ertrages siehe Anhang 1.2 und 3). Aus diesen Zahlen geht hervor, dass der Futterkartoffelanbau schwerlich mit der Mais-produktion konkurrieren kann, dass aber bei Preisen von etwa Hfl. 45 pro 100 kg Gerste die Kartoffelproduktion inklusive Trocknung mit der Gerstenerzeugung in Wettbewerb treten kann. Es darf also angenommen werden. dass bei Gerstenpreisen unter Hfl. 40 der Futterkartoffelanbau nur in jenen F?llen rentabel ist, wo der Kartoffelertrag im Vergleich zu Gerste hoch ist, oder auf Betrieben, wo ein Ueberschuss an Arbeitskr?ften besteht und das Eind?mpfen und Silieren der Kartoffeln wirtschaftlich tragbar ist. Wenn der Preis für Gerste für l?ngere Zeit über Hfl, 45 steigt, ist, eine Zunahme des Futterkartoffelanbaus zu erwarten, sofern Geld zur Investierung in Trocknungsanlagen verfügbar ist und die Inflation nicht zu stark ist. Die hohe Trockensubstanzproduktion pro ha Kartoffeln im Vergleich mit Weizen. Gerste und Mais (Tabelle 6) ist der Hauptgrund. weshalb bei hohen Gerstenpreisen die Futterkartoffeln eine Chance haben. Bei Kartoffeln für die St?rkeproduktion wurde das gleiche Vorgehen verfolgt. Die Beziehung zwischen den Preisen für Kartoffeln und Mais ist in Abb. 12 dargestellt. Aufgrund dieser Beziehung und des Anhanges 1 und 3 wurde die Abb. 13 erstellt. Diesen Daten entsprechend kann die Kartoffelst?rkeproduktion mit jener von Mais bei Maispreisen über Hfl. 35 pro 100 kg konkurrieren. Die Kartoffelproduktion pro Kopf in L?ndern zwischen 30° N und 30° S (Tabelle 1) ist ausserordentlich niedrig. Die Energie- und Proteinzerzeugung der Kartoffeln pro ha und pro Tag ist im Vergleich mit tropischen Kulturpflanzen hoch (Tabellen 7 und 8). Auch die Zunahme in der Produktion war bei Kartoffeln gr?sser als bei tropischen Kulturpflanzen (Tabelle 10). Der Anbau von Kartoffeln k?nnte helfen, die Ern?hrung der Bev?lkerung in vielen tropischen L?ndern zu verbessern und m?glicherweise auch den Mangel an Nahrungsmitteln zu verhüten, wenn die Erzeugungskosten pro kg Produkt durch Erh?hung des Hektarertrages gesenkt werden k?nnen.
Résumé Durant la période 1962–1973. L'évolution des superficies, du rendement à l'hectare et de la production totale est présentée pour le monde entier et pour diverses régions et pays (fig. 1 à 5). Cette évolution est calculée à l'aide d'équations de régression et exprimée en pourcentage de l'année 1962. Les équations de régression et les coefficients de correlation ont été placés au bas des graphiques. La baisse des superficies en Europe de l'Ouest, particulièrement en Allemagne Fédérale et en France, et l'augmentation des surfaces et de la production sous les tropiques sont frappantes. En Europe (à l'exclusion de l'URSS), la consommation totale décroit annuellement d'environ 1/2% (fig. 6) et la consommation par habitant d'un peu plus de 1% (fig. 9). Aux USA la consommation totale augmente annuellement d'environ 1% (fig. 8) et la consommation par habitant semble étre constante (fig. 9). En Europe (URSS exclue), la production de pommes de terre féculières s'est accrue de 50% et dans les neuf pays du marché commun cette production a plus que doublé (fig. 7). Il est supposé que le quart de la production de plants et de pommes de terre de consommation est éliminé au triage et utilisé pour la consommation animale. En Europe (URSS exclue) environ la moitié de la production totale est consomméc par les animaux: 40% de la production totale sont cultivés à cette fin. Dans la zone du Marché Commun la quantité totale qui est utilisée pour l'alimentation animale a décrut de 40% à 30% de la production totale, et la part spécialement produite à cet effet a baissé de 30% à environ 12% de la production totale (fig. 7). Il est supposé que l'avenir de la production de pommes de terre pour la consommation animale dépend des gains que les producteurs obtiennent de cette culture comparés à ceux réalisés avec le ma?s ou l'orge. Basé sur la valeur alimentaire de 1 kg de tubercule déhydraté (obtenu à partir de 4 kg de pommes de terre à 23% de M.S.) et comparé à 1 kg de ma?s ou 1 kg d'orge, le prix à partir duquel la pomme de terre est compétitive est de 1000/933×0.25×le prix d'un kg d'orge. ou 1000/1067×0.25×le prix d'un kg de ma?s. Les fig. 10 et 11 montrent les marges brutes pour le ma?s. L'orge et la pomme de terre pour différents prix et pour trois rendements à l'hectare (pour le calcul des marges brutes voir appendices 1, 2, et 3). On voit que la pomme de terre de consommation animale ne concurrence pas facilement le ma?s, mais que au prix de Dfl (florins) 45 le quintal d'orge, la production de pommes de terre, déshydratation inclue, peut concurrencer l'orge. On voit également que pour un prix d'orge inférieur à Dfl 40. Ia production de pommes de terre est seulement profitable dans le cas où le rendement est élevé par rapport à l'orge ou encore dans le cas d'exploitations disposant d'un surplus de main d'oeuvre, et où la cuisson et l'ensilage sont économiquement possibles. Si les prix de l'orge se maintiennent au dessus de Dfl 45 durant une longue période on peut s'attendre à une augmentation de la production des pommes de terre pour la consommation animale, si toutefois les capitaux sont disponibles pour investir dans des usines de déshydratation et si l'inflation n'a pas été trop forte. Le rendement élevé de matière sèche à l'hectare des pommes de terre comparé à ceux du blé, de l'orge et du ma?s (tableau 6) fait que, à des prix élevés de l'orge, la pomme de terre pour alimentation animale est compétitive. La mème étude a été faite pour ce qui concerne la pomme de terre féculière. La relation entre son prix et celui du ma?s est donnée fig. 12. La fig. 13 illustre cette relation ainsi que les donnée des appendices 1 et 3. Il en résulte que la pomme de terre féculière peut concurrencer le ma?s pour la production d'amidon lorsque le prix du ma?s est supérieur à 35 florins le quintal. La production de pommes de terre par téte est extrèmement basse dans les régions comprises entre 30° de latitude nord et 30° de latitude sud (tableau 1). La production d'énergie et de protéines par hectare et par jour des pommes de terre est élevée, comparée aux cultures alimentaires tropicales (tableux 7 et 8). Aussi l'augmentation de production a été plus élevée pour la pomme de terre que pour ces cultures (tableau 10). La production de pommes de terre peut aider à améliorer l'alimentation des populations dans plusieurs pays tropicaux et ainsi prévenir la pénurie alimentaire si le cout de production peut être diminué par l'augmentation des rendements.


Paper read at the Sixth Triennial Conference of the EAPR at Wageningen.  相似文献   

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Potato microtuber production and performance: A review   总被引:1,自引:0,他引:1  
Almost half a century has passed sincein vitro tubers (microtubers) were first described in potato, but their adoption as a seed propagule has been uneven globally. Consensus is lacking regarding optimal production practices for microtubers and their relative productivity in relation to other propagules for minituber production. There is significant uncertainty regarding the utility of microtubers for evaluation of agronomic characters. However, the application of microtubers in germplasm conservation is widely accepted. Microtubers are producedin vitro in a plethora of different growing systems with varying environment, media constituents, and storage intervals. Many of the interactions between growth parametersin vitro and subsequent productivity appear to be genotype-specific. Accordingly, microtubers come in different sizes, have different dormancy requirements, and differ widely in relative growth potential and productivity. Despite these differences, there is evidence for strong analogies in growth responses between fieldgrown tubers and microtubers. The use of microtuber technology in seed tuber production, breeding programs, germplasm conservation, and research appears to have enormous potential. This review discusses microtuber production, yield and performance,in vitro screening, and germplasm storage and exchange.  相似文献   

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With increased potato production in the past decade, actual price for potatoes given to growers has changed little, which means that inflation-adjusted price has decreased. Since production is the result of acres harvested and yield per acre, these two parameters to price are key to understanding price fluctuation. To quantify the relation between potato price and production, acreage and yield, NASS data from 1980 to 2002 were analyzed using linear regressions. Pricing and production showed an inverse, linear relationship, which is divided into two periods. Between 1980 and 1988, the price of potatoes (US$/cwt1) increased by $ 1.00 with a decrease in production of 15.6 million cwt, and between 1993 and 2002 with a decrease in production of 35.7 million cwt. Prices have become less responsive to changes in production. Harvested acres account for about onethird of the annual variation in prices, while yield per acre accounts for about one-half of the variability in prices. It appears that there was an increase in demand for potatoes from 1989 to 1992 that divides the two periods. There also was an increase in the percentage of the crop being used in the frozen and fry market, and a decrease in the percentage of the crop being used in the table or fresh market during this time period. This market change could explain the difference between 1980-1988 and 1993-2002 relationships.  相似文献   

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实施品牌营销,推进茶产业升级发展   总被引:5,自引:0,他引:5  
茶产业要发展就要抓住品牌。所有的茶叶产品,无论是走茶叶科技创新还是走文化战略之路,都只是打造品牌的支撑,没有品牌就没有更大的收益。全国茶业农业产值的75%依靠名优茶,茶产业主要是靠名优茶维系的,但名优茶下一步究竟应该怎样发展,茶产业如何实现可持续发展?要回答好这些问题,进一步做强茶业,茶产业需要进行一系列重大调整与转变,其中,重要的一点就是要从卖茶叶产品向实施品牌营销转变。  相似文献   

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一、2009年茶叶产销回顾2009年,在全球大多数国家尚未走出金融危机之时,中国在政府和社会各界齐心协力下率先脱困,经济形势保持了平稳较快发展.  相似文献   

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Summary The Potato Marketing Board is essentially an organization of growers, which, with government support, exercises considerable control over the growing and marketing of potatoes for human consumption in Great Britain. It tries to equate the area planted to that estimated to produce the required quantity of potatoes, in an endeavour to avoid large and unmanageable surpluses given normal yields. Potatoes are sold in a basically free market which is made stable by support buying of comparatively small surpluses by the Board, financed partly from its own funds contributed on an area basis by potato growers and partly by Government. It prices nevertheless remain depressed, a Government deficiency payment becomes due to the Board, the money being used to finance support buying. The Board also licenses merchants, determines grading standards, provides market intelligence and undertakes research and publicity.
Zusammenfassung Der Kartoffelhandel in Grossbritannien (England, Schottland und Wales) ist im Grunde frei für den individuellen Handel über die normalen Kan?le der Produzenten, der Grossisten und des Detailhandels. Die T?tigkeiten der Regierung und des Potato Marketing Board (Kartoffelhandelsausschuss) bezwecken, diesem Markt einen gewissen Grad von Stabilit?t zu geben. Der Ausschuss besteht haupts?chlich aus Bauern, die von eingetragenen Produzenten gew?hlt wurden, aber er ist nicht nur den Produzenten gegenüber verantwortlich, sondern er hat ebenso sehr die Interessen der Regierung, des Verteilerhandels und der Konsumenten zu wahren. Seine Autoprit?t beruht auf Statuten, die für alle eingetragenen Produzenten binden sind. Ein Pflanzer mit 0,4 ha oder mehr Kartoffeln muss beim Ausschuss eingetragen sein, wenn irgendein Teil der Ernte verkauft wird. Jedes Jahr gibt die Regierung, nach Besprechung mit den Bauernorganisationen, einen Standard-oder Garantiepreis für Kartoffeln bekannt, der in der folgenden Hauptsaison anzuwenden ist. Mit fortschreitender Saison erhalt der Ausschuss von konzessionierten H?ndlern einen zusammengefassten Bericht, aus dem der Durchschnittspreis pro Tonne errechnet werden kann, den die Produzenten für Kartoffeln bei Verkauf durch die normalen Handelskan?le erhielten. Wenn in einem Jahr die Berechnung zeigt, dass der Durchschnittspreis der Saison wahrscheinlich unter der garantierten Notierung liegen wird, kann der Ausschuss mit Einwilligung der Regierung Kartoffeln aufkaufen, um den Ueberschuss vom Markt zu entfernen, damit durch das normale Zusammenspiel von Angebot und Nachfrage der Preis nahe dem garantierten Preis gehalten werden kann. Dieser Aufkauf wird durch einen besonderen, zu diesem Zweck er?ffneten Fonds finanziert, und jedem Pfund (£), das der Ausschuss zur Marktstützung ausgibt, fügt die Regierung 2 £ bei. Kartoffelangebote an den Ausschuss sind freiwillig; Produzenten, die ein Angebot machen, erhalten einen Kontrakt und einen auf der Garantie basierenden Preis. Produzenten, die kein Angebot machen, verdienen durch die nach dem Abstossen des Ueberschusses erzielten besseren Marktpreise. Wenn der Durchschnittspreis am Ende der Saison unter der garantierten Limite liegt, zahlt die Regierung dem Handelsausschuss den fehlenden Betrag, der in den nachfolgenden Saisons zur Marktstützung verwendet werden kann. Die Verwendung ?ffentlicher Mittel in dieser Art bedingt einige Einschr?nkungen bezüglich der Menge der erzeugten Kartoffeln, und der Ausschuss ist beauftragt, die Gesamtkartoffelfl?che auf das Mass zu beschr?nken, das nach der Berechnung ausreicht, um der zu erwartenden Nachfrage zu genügen. Jedem eingeschriebenen Produzenten wird eine Grund-Kartoffelfl?che zugeteilt, die j?hrlich überprüft wird. Der Ausschuss überprüft Anfragen von Produzenten für eine gr?ssere Grundfl?che und auch Gesuche von Neueintretenden. In Zeiten, wo eine Pflanzbeschr?nkung erwünscht ist, kann der Ausschuss vorschreiben, dass das folgende Jahr ein ‘Kontingentjahr’ sein wird. Das Kontingent wird in Prozent der Grundfl?che und für alle Produzenten gleich berechnet (das Kontingent kann gleich, oder mehr oder weniger als die Grundfl?che sein). Ein Produzent bezahlt dem Ausschuss einen Beitrag von £ 9.88/ha für die Pflanzung von Kartoffeln bis zur limitierten Kontingentfl?che; für jede Ueberschreitung des Kontingentes bezahlt er jedoch einen weiteren Beitrag von £ 61.78/ha. Auf diese Weise ist der Ausschuss im Stande, den Produzenten zu veranlassen, nicht zu viel anzupflanzen, ohne das Auspflanzen zu verbieten oder Neueintretenden eine Fl?che zu verweigern. Fl?che, Ertrag, Erzeugung und Preis von Kartoffeln über die fünf Pflanzjahre 1964–1968 sind in Tabelle 1 aufgeführt. Die kollektive Beschr?nkung der inl?ndischen Produzenten bedingt die Regelung des Imports, und der Grundsatz der Regierung war, den Import von Speisekartoffeln (mit Ausnahme von Frühkartoffeln) zu sperren, ausgenommen in Jahren, wenn die Versorgung durch inl?ndische Ware knapp ist. Eingetragene Produzenten dürfen nur an lizenzierte Kartoffelh?ndler verkaufen, die, bevor sie die Lizenz erhalten, den Ausschuss in bezug auf ihre Erfahrung, ihr Ansehen und ihre Verpflichtung, die Lizenzbedingungen zu erfüllen, zufriedenstellen müssen. Dies bef?higt die Produzenten, mit einem gewissen Grad von Vertrauen zu handeln und verhindert das Eindringen von Elementen, die nur auf raschen Gewinn bedacht sind, in den Grosshandel. Der Ausschuss bestimmt die minimalen Anforderungen bezüglich der Sortierung für Speisekartoffeln und führt Inspektionen auf den Betrieben sowie bei den Gross- und Kleinh?ndlern durch. Er befasst sich auch mit dem Marktberichtsdienst, der Werbung, der Forschung und der Ausbildung. Das System scheint der Kartoffelindustire zu einer gewissen Stabilit?t verholfen zu haben, was nicht der Fall war, so lange die Gesetze von Angebot und Nachfrage unkontrolliert waren (Tabelle 2).

Résumé Le marché de la Pomme de terre en Grande-Bretagne (Angleterre, Ecosse et le pays de Galles) est fondamentalement libre, avec des ventes individuelles par le canal normal: producteur-négociant-détaillant. Les interventions du Gouvernement et du Bureau du marché de la Pomme de terre visent à donner une certaine stabilité à ce marché. Le bureau est composé principalement de fermiers élus par les producteurs enrégistrés, mais il est obligé de prendre en considération, outre ses responsabilités vis-à-vis des producteurs, les intérêts du Gouvernement, du commerce de distribution et du consommateur. Il détient son autorité de dispositions statutaires qui engagent tous les producteurs enrégistrés. Tout cultivateur de 0,4 Ha et plus de Pommes de terre doit être enrégistré par le Bureau s’il vend la moindre quantité de sa production. Chaque année, après consultation des organisations de fermiers, le Gouvernement annonce un prix standard ou prix garanti pour les pommes de terre de la prochaine récolte. Au cours de la saison, le Bureau re?oit des marchands porteurs de licence des informations résumées qui lui permet de calculer le prix moyen par tonne re?u par les producteurs pour les Pommes de terre vendues par le canal commercial normal. Quant au cours d’une saison, le calcul indique que le prix moyen pour la saison sera vraisemblablement inférieur au niveau garanti, le Bureau peut, avec le consentement du Gouvernement, commencer à acheter des Pommes de terre pour retirer les surplus du marché et, ainsi, permettre le jeu normal de l’offre et de la demande; de la sorte, les cours remontent au niveau approchant le prix garanti. Cet achat est financé par un fonds spécial créé dans ce but; pour chaque £ dépensée par le Bureau pour soutenir le marché, le Gouvernement apporte 2 £. Les offres de Pommes de terre au Bureau sont libres; les producteurs qui font offre re?oivent un contrat et obtiennent un prix basé sur le cours garanti. Les producteurs qui ne font pas offre obtiennent, grace à l’amélioration du marché, des prix qui bénéficient de l’enlèvement des surplus. Quand, en fin de saison, le prix moyen est inférieur au niveau garanti, le Gouvernement paie la différence au Bureau, la somme versée peut être utilisée pour soutenir les marchés. Semblable utilisation des fonds publics implique une certaine limitation de la quantité de Pommes de terre produites et le Bureau est requis d’adapter la surface totale consacrée à la Pomme de terre à celle qui, selon les calculs, est nécessaire pour produire la quantité désirée. A chaque producteur enrégistré, est allouée une surface de base qui est revue annuellement. Le Bureau prend en considération les recours des producteurs pour augmenter leur surface de base, ainsi que les demandes de nouveaux inscrits. Dans les cas où la limitation des plantations est souhaitable, le Bureau peut prescrire que l’année suivante sera une ‘année de contingentement’, les contingents étant exprimés en pourcentage de la surface de base, pourcentages qui sont les mêmes pour tous les producteurs (le contingent peut être égal, supérieur ou inférieur à la surface de base). Tout producteur paie au Bureau une contribution de 9.88 £/Ha de Pommes de terre planté, une contribution supplémentaire de 61,78 £ par Ha est due pour toute plantation excédentaire. De la sorte le Bureau est à même de décourager tout excès de plantation mais non d’interdire de planter, ni de refuser des surfaces aux nouveau inscrits. On trouvera dans le Tableau 1 les surfaces, les rendements, les productions et les prix des Pommes de terre au cours des cinq années 1964–1968. La restriction collective des producteurs nationaux implique la réglementation des importations, et la politique gouvernementale a été d’empêcher l’entrée de Pommes de terre de consommation autres que les ‘primeurs’, sauf les années où la production nationale était insuffisante. Les producteurs enrégistrés peuvent vendre aux seuls négociants porteurs de licence; ceux-ci, pour recevoir une licence, doivent satisfaire aux exigences du Bureau quant à leur expérience, leur standing et s’efforcer de satisfaire aux conditions de la licence. Ces dispositions permettent de donner aux producteurs une certaine sécurité et découragent l’entrée dans le commerce de gros d’éléments troubles visant seulement un profit rapide. Le Bureau fixe le calibre minimum des Pommes de terre destinées à la consommation humaine, organise des programmes d’inspection de fermes et des locaux des grossistes et détaillants. Il organise aussi un service d’étude du marché, la publicité, la recherche et l’information. Le système semble avoir apporté un certain degré de stabilité à l’industrie de la Pomme de terre, stabilité qui était inconnue quand les règlements sur l’offre et la demande étaient inexistants (Tableau 2).
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