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1.
Summary Potatoes of cvs Record (maincrop) and Red Craigs Royal (second early) were harvested at intervals from 22 August to 14 October. Half of the plots were mechanically defoliated on 22 August, by which date haulms of cv. Red Craigs Royal were largely dead. Tubers of cv. Record were immature at the first lifting date and matured thereafter, particularly after defoliation. Wound healing rates were assessed from the ability of discs of tuber tissue, cut the day after harvest, to become resistant to the loss of water vapour as suberization progressed at high relative humidity. Cv. Red Craigs Royal showed little variation in wound healing rate. Wound healing in cv. Record became more rapid with increasing maturity, particularly after defoliation when it reached a maximum by 1 October. After storage until March in the following year, the effect of maturity at lifting on wound healing rate was no longer evident.
Zusammenfassung Zweck dieser Versuche war herauszufinden ob die Intensit?t der Wundheilung unmittelbar nach der Ernte bei unreifen Knollen beeintr?chtigt war und ob irgendwelche Effekte nach Lagerung erhalten blieben. Knollen der mittelfrühen Sorte Red Craigs Royal und der sp?ten Sorte Record wurden um 22. August bis zum 14. Oktober 1979 in Intervallen geerntet. Am 22. August wurde die H?lfte der Parzellen mechanisch abget?tet, der Rest starb auf natürliche Weise ab. Das natürliche Absterben war bei der Sorte Red Craigs Royal am 22. August und bei Record am l. Oktober fast komplett. Am Tage nach jeder Ernte wurden 11×4 mm starke Scheiben aus dem Mark entnommen, nach 10 Tagen die Entwicklung der internen Widerstandsf?higkeit gegen Wasserverlust durchgeführt. Diese Massnahme stellt ein Mass der Suberinisierung der Schnittfl?che dar (Jarvis & Duncan, 1975). Die Knollen von Red Craigs Royal waren zum ersten Erntetermin reif und zeigten danach wenig ?nderungen in der Wundverheilungsrate. Die Knollen von Record hatten unreif eine langsame Wundverheilungs-Rate, bei sp?teren Ernteterminen wurde das Wundverheilen progressiv schneller, haupts?chlich bei Knollen aus den abget?teten Parzellen, und erreichte zum l. Oktober ein Maximum (Abb. 1). Abbildung l basiert auf über 10 Tage Wundheilung summierter interner Widerstandsf?higkeit, aber die Unterschiede zwischen den Behandlungen über die Wundheilperiode hinweg waren durchweg einheitlich (Abb. 2). Nach 5–7 Monaten Lagerung bei 10°C entwickelte sich interne Resistenz schneller als nach der Ernte, und blieb bei Record schneller als bei Red Craigs Royal. Die Unterschiede zwischen den Erntezeitpunkten waren jedoch nicht mehr eindeutig (Tabelle 1). Folglich ist die langsame Wundheilung bei unreif geernteten Knollen nur ein Kurzzeiteffekt. Beim Gewicht der Scheiben w?hrend der Wundheilung ergaben sich keine betr?chtlichen ?nderungen (Tabelle 2). Dies zeigt dass sich der Wassergehalt, welcher die Wundheilrate beeinflussen kann, nicht ?nderte.

Résumé Le but de cette étude est d'étudier l'influence du niveau de maturité des tubercules sur le taux de cicatrisation des blessures immédiatement qprès récoltés à différentes dates, entre le 22 ao?t et le serve également après conservation. Des tubercules de la variété demi-précoce Red Craigs Toyal et de la variété principale Record ont été récoltés à différentes dates, entre le 22 ao?t et le 14 octobre 1979. Sur la moitié des parcelles, un défanage mécanique a été réalisé le 22 ao?t et le reste a été maintenu jusqu'à maturité. La senescence naturelle était pratiquement atteinte au 22 ao?t pour la variété Red Craigs Royal et au ler octobre pour la variété Record. Des lamelles de 11 mm × 4 mm dans le tissu médullaire des tubercules sont réalisées un jour après prélèvement et l'évolution de la résistance interne à la perte en eau, comme mesure de la subérisation à la surface des la melles, a été observée pendant 10 jours (Jarvis & Duncan, 1979). Les tubercules de la variété Red Craigs Royal étaient m?rs à la première date de récolte, et par conséquent, peu de différence dans le taux de cicatrisation a été observé. Les tubercules de la variété Record ont un faible taux de cicatrisation lorsqu'ils sont immatures, mais aux dernières dates d'arrachage la cicatrisation s'accélère, notamment pour les tubercules des parcelles défanées, quiatteint un taux maximal de cicatrisation vers le ler octobre (fig. 1). La figure l donne le total de la résistance interne pour 10 jours de cicatrisation, mais la différence entre les traitements est demeurée nette tout au long de cette période (fig. 2). Après une conservation de 5 à 7 mois à 10°C, la résistance interne à la perte d'eau s'effectue, plus rapidement qu'après la récolte et elle demeure plus forte avec la variété Record qu'avec Red Craigs Royal, mais la différence observée entre les dates d'arrachage ne para?t plus évidente (tableau 1). Donc, la lente cicatrisation des blessures pour les tubercules non m?rs n'est qu'un effet à court terme. Aucune modification substancielle n'est apparue dans le poids des lamelles pendant la période de cicatrisation (tableau 2), ceci montre que la teneur en eau qui peut influencer le taux de cicatrisation n'a pas évolué.
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2.
B. Rexen 《Potato Research》1976,19(2):189-202
Summary The protein quality of different potato varieties and the influence of fertilizer nitrogen have been examined by evaluation of the amino acid composition after hydrolysis. The study confirmed that potato protein quality is high, and five varicties used in starch production were outstanding. A significant decrease in potato quality — expressed as the essential amino acid index — normally was found with increasing nitrogen in the tuber. However, there was a pronounced difference in the quality of the individual varieties — in a few varieties protein quality even tended to increase wity increasing nitrogen content. The limiting amino acid in potatoes is either methionine or isoleucine.
Zusammenfassung Kartoffeln werden als Speisekartoffel, zur industriellen Verarbeitung oder als Futter verwendet. Für jeden Verwendungszweck werden ebenso wie an die Qualit?t auch an die Qualit?t des Proteins unterschiedliche Ansprüche gestellt. In einigen F?llen sind diese Anforderungen auf ein paar Aminos?uren begrenzt. In der vorliegenden Arbeit wird der Einflu? der Sortenwahl und der H?he der Stickstoffdüngung auf den Proteingehalt und die Proteinqualit?t der Kartoffeln untersucht. Der Proteingehalt wurde im Kjeld?hlverfahren gemessen (N × 6,25) und die Proteinqualit?t durch den Index der essentiellen Aminos?uren ausgedrückt. Die Analyse der Aminos?uren erfolgte in einem Aminos?ureanalysator nach 24 Stunden Hydrolyse mit 6 n HCl unter Rückflu?. Tabelle 1 gibt eine übersicht über die verwendeten Sorten, ihren Stickstoffgehalt und den Index der essentiellen Aminos?uren. Fig. 1 zeigt den Index im Verh?ltnis zum Stickstoffgehalt. In den Tabellen 2 und 3 sind die einzelnen Aminos?uren einiger Kartoffelsorten aufgeführt. Tabelle 4 zeigt die Mittelwerte für alle Sorten. In Fig. 2 und 3 sind die Regressionslinien der Aminos?uren gegen % Stickstoff aufgetragen. Die Untersuchungen zeigten, da? das Kartoffelprotein eine hohe Qualit?t besitzt. Besonders das Protein der Sorten Tylva, Procura, N66-TQ-4, N66-TQ-15 und 64-PS-2 hat eine hervorragende Zusammensetzung der Aminos?uren. Die genannten Sorten werden in der St?rkeproduktion verwendet. Für einige Sorten stellt der Gehalt an Methionin bzw. Isoleucin den begrenzenden Faktor dar. Der Gehalt an Methionin war weder durch die Sorte noch durch die Düngung signifikant zu beeinflussen w?hrend sich im Gehalt an Isoleucin deutliche Unterschiede zwischen den Sorten und zwischen den Düngermengen zeigten. Mit steigendem Stickstoffgehalt in der Knolle nimmt gew?hnlich die Proteinqualit?t deutlich ab, es zeigten sich aber gro?e Unterschiede im Verh?ltnis der einzelnen Sorten. Bei den Sorten N66-TQ-4 und Ambra ergab sich z.B. mit steigendem Stickstoffgehalt eine h?here Proteinqualit?t. Ver?nderungen im Stickstoffgehalt erkl?ren nicht mehr als 35% der ?nderungen im Gehalt an Aminos?uren.

Résumé Les pommes de terre sont utilisées pour la consommation directe, la transformation industrielle ou comme aliment du bétail. Pour chaque type d'utilisation, les différents besoins sont associés à la qualité, notamment à la qualité des protéines. L'objet de cette étude a été de mettre en évidence l'influence du choix de la variété et de la dose d'engrais azoté sur la teneur en protéines des tubercules ainsi que sur leur qualité. La teneur en protéines a été déterminée par la méthode de Kjeldahl (N×6,25) et leur qualité a été exprimée à l'aide d'un index des acides aminés essentiels. L'analyse de ces derniers a été faite par un autoanalyseur après 24 heures d'hydrolyse sous reflux, avec 6N, HCL. Les résultats, concernant la teneur en azote et l'index des acides aminés essentiels des variétés étudiées, sont donnés dans le tableau 1. L'index, en fonction de la teneur en azote, est également illustré par la figure 1. La composition en acides aminés de quelques unes des variétés analysées est donnée dans les tableaux 2 et 3. Le tableau 4 indique la valeur moyenne pour toutes les variétés regroupées. Les figures 2 et 3 montrent les droites de régression des acides aminés par rapport au % d'azote. Il a été confirmé par cette étude que les protéines de pomme de terre sont de bonne qualité. en particulier celles des variétés Tylva, Procura, N66-TQ-4, N66-TQ-15 et 64-PS-2 qui ont une excellente composition en acides aminés. Toutes ces variétés sont utilisées pour la production d'amidon. L'acide aminé limitant est la méthionine pour quelques variétés et l'isoleucine pour d'autres. La teneur en méthionine n'est influencée ni par la dose d'engrais, ni par la variété. L'isoleucine, cependant, montre des différences significantives entre 1 s variétés et entre les doses de fertilisant. Avec l'augmentation du taux d'azote dans les tubercules, une diminution de la qualité des protéines se produit généralement, mais il existe des différences importantes quant au comportement individuel des variétés. Par exemple, les variétés N66-TQ-4 et Ambra ont tendance à avoir une meilleure qualité de leurs protéines lorsque leur teneur en azote augmente. Les modifications de la teneur en azote n'entrent pas en compte pour plus de 35% dans les modifications du total des acides aminés.


Report No 70 from Bioteknisk Institut, Kolding, Denmark.  相似文献   

3.
Summary The influence of storage temperature and storage period on sprouting capacity and incubation period has been studied for 3 years with cvs. Jaerla and Désirée, stored at 4°C and 12°C, as a part of a combined study on the effect of physiological age on growth vigour. During storage the sprouting capacity gradually increased to a maximum and then declined. The maximum sprouting capacity was reached about 80 to 100 days earlier when tubers were stored at 12°C than at 4°C, and it was reached about 50 days earlier by cv. Jaerla than by cv. Désirée at both storage temperatures. The incubation period deereased linearly with time for both cultivars at both storage temperatures, being most rapid at 12°C, and the period was shorter for cv. Jacrla than for cv. Désirée during the whole storage period.
Zusammenfassung In der allgemeinen Einführung wird das Ziel der gemeinsamen Forschung, den Einfluss des physiologischen Alters auf die Wachstumintensit?t zu untersuchen, beschrieben, und es werden spezielle Ausdrücke definiert, die in dieser und in den folgenden Mitteilungen verwendet werden. In dieser gemeinsamen dreij?hrigen Untersuchung (1979–1981) sind Pflanzknollen der Sorten Jaerla und Désirée aus gleicher Herkunft verwendet worden, die bei 4°C und 12°C gelagert wurden (Tab. 1). Es wird der Einfluss der Lagerzeit und der Temperatur auf das Keimgewicht diskutiert, auf den Gewichtsverlust durch Atmung und Verdunstung und auf die Keimungskapazit?t. die Keiml?nge und auf die Inkubationsperiode. Bei einer Lagertemperatur von 12°C wurden das Keimgewicht pro Knolle und der durch Atmung und Verdunstung bedingte Gewichtsverlust der Knollen und Keime kr?ftig stimuliert (Tab. 2). Bei beiden Sorten wurde w?hrend der Lagerung bei 12°C eine exponentielle Beziehung zwischen dem Keimgewicht und dem Gewichtsverlust durch Atmung und Verdunstung gefunden. wobei die Sorte Jaerla einen h?heren Gewichtverlust pro Keim aufwies (Abb. 1). Die bei 12°C gelagerten Knollen der Sorte Jaerla keimten früher als diejenigen der Sorte Désirée und erreichten eine h?heres durchschnittliches Keimgewicht. Die Keimungskapazit?t und die Inkubationsperiode wurden w?hrend der Lagerung in Abst?nden durch Entkeimen der Knollen und Wiederaustreiben lassen bei 18°C bestimmt. Die Keimungskapazit?t wurde nach 4 Wochen bestimmt an Hand des Keimfrischgewichtes pro Knolle, ausserdem wurde die L?nge des l?ngsten Keimes bestimmt. Die Inkubationsperiode wurde definiert als der Zeitraum zwischen der Keimung und der Bildung kleiner Knollen an den Keimen. Die Keimungskapazit?t erreichte w?hrend der Lagerung ein Maximum, um danach abzufallen (Abb. 2). Dieses Maximum wurde etwa 80 bis 100 Tage früher erreicht, wenn die Knollen bei 12°C gelagert wurden. Bei beiden Lagertemperaturen war die maximale Keimungskapazit?t bei der Sorte Jacrla etwa 50 Tage früher erreicht als bei der Sorte Désiréc. Die maximale L?nge des l?ngsten Keimes korrespondiert in nahezu allen F?llen mit der maximalen Keimunskapazit?t, wobei zwischen beiden Merkmalen cine gute bis sehr gute lineare Beziehung besteht (Tab. 3). Bei beiden Sorten und beiden Lagertemperaturen verringerte sich die Inkubationsperiode linear mit der Zeit, und zwar am schnellsten bei der h?chsten Lagertemperatur. Die Inkubationsperiode der Sorte Jaerla war in allen F?llen kürzer als diejenige der Sorte Désirée (Abb. 3). Wenn das Maximum der Keimkapazit?t überschritten wird, besteht bei beiden Sorten und bei beiden Temperaturen, 4°C und 12°C, eine postive lineare Bezichung zwischen dem Abfallen der Keimungskapazit?t und der Verringerung der Inkubationsperiode (Tab. 4).

Résumé Dans l'introduction générale l'objectif des recherches concertées concernant l'influence de l'age physiologique sur la vigucur de croissance est décrit et plusieurs termes employés ici et dans plusieurs articles antérieurs sont définis. Les études ont été réalisées durant trois ans (1979–1981) avec des plants des variétés Jaerla et Désirée de même origine conservés à 4°C et 12°C (tableau 1). L'influence de la durée et de la température de conservation sur le poids de germes, les pertes de poids par évapotranspiration, la capacité germinative, la longueur des germes et la période d'incubation est discutée. Le poids de germes par tubercule, les pertes de poids dues à l'évapotranspiration et la germination sont fortement stimulés à 12°C (tableau 2). Il existe une relation exponentielle entre le poids de germes et les pertes de poids des tubercules dues à l'evapo-transpiration pour les deux variétés convervées à 12°C, avec toutefois une perte plus élevée par poids de germes pour la variété Jaerla (figure 1). Les tubercules de cette dernière conservés à 12°C germent plus rapidement que ceux de Désirée et ont un poids moyen de germes plus élevé. La capacité germinative et la période d'incubation sont déterminés à intervalles réguliers durant la conservation par égermage des tubercules suivi d'une germination à 18°C. La capacité germinative est déterminée après quatre semaines par la mesure du poids frais des germes par tubercule et la longueur du plus long germe. La période d'incubation est définie comme étant le temps s'écoulant entre le début de la germination et la formation de petits tubercules sur les germes. La capacité germinative durant la conservation augmente dans le temps puis décline (figure 2). Le maximum est d'environ 80 à 100 jours plus précoce lorsque les tubercules sont conservés à 12°C. Pour les deux températures de conservation, la capacité germinative maximum est pour Jaerla approximativement de 50 jours plus précoce que pour Désiréc. La longueur maximum du plus long germe correspond dans preque tous les cas au maximum de capacité germinative avec une haute ou très hute corrélation (tableau 3). La période d'incubation diminue linéairement avec le temps pour les deux variétés et les deux températures de conservation, bien que plus rapidement pour la température la plus élevée. La période d'incubation de la variété Jaerla est dans tous les cas plus courte que celle de Désirée (figure 3). Lorsque la capacité germinative maximum est passée, il existe une elation linéaire positive entre la diminution de celle-ci et la diminution de la période d'incubation au sein de la même variété pour 4°C et 12°C (tableau 4).
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4.
Summary Comparisons were made between droughted and irrigated crops in two field experiments conducted on cultivars of potato understood to exhibit a range of drought tolerance to identify important physiological attributes for drought tolerance. Drought reduced total dry matter production and tuber yields and increased tuber dry matter concentration. The better yield response of Désirée was due largely to the greater water content of its tubers. There were differences between cultivars in the number of tubers produced per unit area and in 1984 there were differences between treatments. Functional differences in canopy growth were revealed in differences in the fractions of incident solar radiation which were intercepted. The effects of drought were proportioned between components of yield, the principal effects being upon interception of solar radiation and on tuber dry matter concentration. Tuber number was an important factor influencing ware yield.
Zusammenfassung In zwei Feldversuchen wurden Pflanzen, die unter trockenen oder beregneten Verh?ltnissen aufwuchsen, im Hinblick auf die Rangfolge der Sorten für Trockenheitstoleranz untersucht; dabei sollten die Reaktionen auf Trockenheit und wichtige physiologische Merkmale für Trockenheitstoleranz herausgestellt werden. Die Messungen umfassten Variabelen bei den Pflanzen, Bodenfeuchtigkeit (Abb. 1) und aufgefangene Sonnenstrahlung. Trockenheit reduzierte die Produktion an Gesamttrockenmasse (Tabelle 1), dabei ergaben sich jedoch keine signifikanten Sortenunterschiede, der Ernteindex (Tabelle 1) ?nderte sich durch Trockenheit nicht signifikant ausser bei einer der Ernten. Die Knollenertr?ge (Tabelle 2), sowohl insgesamt als auch bei Marktware, wurden durch Trockenheit reduziert, und 1984 ergaben sich dabei statistisch signifikante Sortenunterschiede, aber im Falle der Gesamt-Trockenmasse-Produktion waren die Wechselwirkungen zwischen Behandlung und Sorte nicht signifikant. In beiden Versuchen ergaben sich Unterschiede zwischen den Sorten bei der Knollenzahl pro Fl?cheneinheit (Tabelle 3), und 1984 zeigten sich Unterschiede zwischen den Behandlungen. Die Gesamt-Trockenmasse-Produktion bei den Knollen (Tabelle 2) differierte zwischen den Sorten bei jeder Ernte; Trockenheit erzeugte h?here Werte als Beregnung. Die bessere Ertragsleistung bei Désirée war vor allem auf ihren gr?sseren Gehalt an Knollenwasser zurückzuführen (Tabelle 2). Funktionale Unterschiede in der Kraufl?che zeigten sich anhand der Fraktionen von einfallenden Sonnenstrahlungen, die eingefangen wurden (Abb. 2, 3). Akkumulierte Werte der eingefangenen Sonneneinstrahlungen (Tabelle 4) wurden zur Integrierung von Effekten bei der langsameren und geringeren Krautfl?che-Expansion bei trockenem Aufwuchs verwendet, diese zeigten sich bei jeder Sorte als signifikant geringer unter trockenen als unter feuchten Verh?ltnissen. Unterschiede in den Verh?ltnissen von Gesamt-Trockenmasse-Produktion zur Akkumulation eingefangener Sonnenstrahlung (Lichtausbeute-Koeffizienten) (Tabelle 4) ware statistisch nicht abgesichert. Der Einfluss von Trockenheit wirkte sich anteilm?ssig auf die einzelnen Ertragskomponenten aus (Tabelle 5), die Haupteffekte beruhen auf das Einfangen der Sonneneinstrahlung und auf die Knollen-Trockenmasse-Produktion. Bei der Beeinflussung des Ertrages von Marktware war die Zahl der Knollen ein wichtiger Faktor.

Résumé Des comparaisons ont été faites entre cultures non irriguées et irriguées dans deux champs d'expérimentation avec des variétés de pomme de terre présentant une gamme de tolérance à la sècheresse, de manière à étudier leur comportement et à déterminer les facteurs physiologiques les plus importants pour la résistance à la sècheresse. Les mesures étaient faites sur les variables de la plante, sur l'humidité du sol (figure 1) et les radiations solaires interceptées. La sècheresse réduisait la teneur totale en matière sèche (tableau 1) mais sans présenter de différences significatives entre les variétés. L'index de récolte (tableau 1) n'était pas perturbé significativement par la sècheresse à l'exception d'une date de récolte. Les rendements en tubercules (tableau 2) totaux et commercialisables étaient réduits par celle-ci et en 1984 des différences de rendement entre variétés étaient statistiquement significatives mais, comme pour la production de matière sèche totale, les intéractions entre traitements et variétés étaient non significatives Dans les deux expérimentations il y avait des différences entre variétés dans le nombre de tubercules produits par unité de surface (tableau 3) et en 1984, il y avait des différences entre traitements. La teneur en matière sèche des tubercules (tableau 2) différait selon les variétés pour chaque date de récolte et la sècheresse conduisait à un taux de matière sèche plus élevé que pour les cultures irriguées. Le meilleur rendement de Désirée était d?, en grande partie, à une forte teneur en eau de ses tubercules (tableau 2). Des différences dans la croissance du feuillage se retrouvaient dans les valeurs des radiations solaires incidentes interceptées (figures 2 et 3). Le cumul de celles-ci (tableau 4) était utilisé pour intégrer leur effet au niveau des plus lentes et des plus faibles croissances données par les cultures non irriguées pour chaque variété; il s'avérait être significativement inférieur dans les cultures non irriguées. Les différences trouvées dans les rapports entre la production de matière sèche et le cumul des radiations solaires interceptées (coefficient de conversion de la lumière) (tableau 4) étaient non significatives. Les effets de la sècheresse étaient proportionnels aux composantes du rendement (tableau 5) le principal effet étant celui de l'interception des radiations solaires sur la teneur en matière sèche des tubercules. Le nombre des tubercules était aussi un facteur important du rendement commercialisable.
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5.
Summary When the potato cultivars Arran Banner, Bintje, and Compagnon were inoculated withAzotobacter chroococcum in Libya, only Arran Banner responded significantly; plant growth was stimulated and the yield of marketable tubers increased by 8.5–42.6% above the untreated control. The very large yield increase in one season was associated with unfavourable growing conditions.
Zusammenfassung Im Herbst 1975, im Frühjahr und im Herbst 1976 wurden in Tripolis. Libyen, drei Versuche durchgeführt, um den Einfluss der Inokulation von Pflanzkartoffeln mitAzotobacter auf das Wachstum und den Ertrag von drei Kartoffelsorten (Arran Banner, Bintje und Compagnon) zu untersuchen. Nur bei der Sorte Arran Banner ergab sich eine Beeinflussung durch die Inokulation mitAzotobacter (Tabelle 1 und 3). Der Ertrag war in den drei Versuchen um 42.6% 17.4% bzw. 8.5% gesteigert. Die st?rkste Reaktion ergab sich im ersten Versuch. bei dem niedrige Temperaturen und Bew?lkung vorherrschten und die Wachstumsbedingungen für die Kartoffeln im allgemeinen ungünstig waren. Die Sorten Bintje und Compagnon zeigten keine signifikante Steigerung des Ertrages nach der Inokulation. Die Inokulation erh?hte die Stengell?nge, hatte aber keinen signifikanten Einfluss auf die Stengelzahl pro Pflanze (Tabelle 2). Z?hlungen im Boden der Rhizosph?re zeigten. dass nach Inokulation des Pflanzgutes mitAzotobacter die Population in der Wurzelzone anstieg (Tabelle 4). Die Ertragssteigerung nach der Inokulation scheint durch eine Anreicherung vonAzotobacter in der Rhizosph?re intokulierter Pflanzen hervorgerufen zu sein.

Résumé Trois expérimentations ont été menées à Tripoli en Libie afin d'étudier l'effet de l'inoculation de tubercules de semence avecAzotobacter sp. sur la croissance et le rendement de 3 variétés de pomme de terre (Arran Banner, Bintje et Compagnon). Ces essais se sont déroulés durant l'automne 1975, le printemps et l'automne 1976. Il n'y a eu que la variété Arran Banner qui a répondu de manière conséquente à l'inoculationd'Azotobacter sp. (tableaux 1 et 3). L'augmentation de rendement a été respectivement de 42.6%, 17.4% et 8,5% dans les 3 expériences. La meilleure réponse a été obtenue dans la première expérimentation où des températures basses et des jours couverts ont dominé et où les conditions de végétation ont été généralement défavorables à la pomme de terre. Les variétés Bintje et Compagnon n'ont pas montré d'augmentation significative du rendement avec inoculation. L'inoculation parAzotobacter sp, augmente la longueur des tiges, mais n'a pas d'effet significatif sur le nombre de tiges par plante (tableau 2). Les comptagesd'Azotobacter sp. dans la rhizosphère ont indiqué que l'inoculation de la semence augmentait la populationd'Azotobacter au niveau de la zone racinaire (tableau 4). Cela est probablement d? au fait que l'augmentation du rendement grace à l'inoculation résulte d'une meilleure adaptationd'Azotobacter sp. au niveau de la rhizosphère des plantes inoculées.
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6.
Summary The rate of healing was shown to increase approximately three-fold between 5 and 10°C, and threefold between 10 and 20°C. Oxygen partial pressures lower than, and CO2 partial pressures higher than those in the atmosphere had a progressively inhibitory effect on suberin and periderm formation. A method is described for maintaining humidities to within 1% r.h (relative humidity) of that desired. At 20°C, healing was most rapid between 70 and 100% r.h., and at 10°C between 80 and 100% r. h. Proliferation sometimes occurred at humidities close to 100% r.h. Considerable variation was found in the healing rates of different tubers, due to their differing physiological states. Varietal differences were slight, but it was thought that differences may be more marked earlier in the storage period.
Zusammenfassung Hauptzweck dieser Publikation war, den Einfluss von Temperatur, relativer Feuchtigkeit und verschiedener Gasmischungen auf die Wundheilung der Kartoffelknolle aufzuzeigen. Auch die in den wundheilenden Reaktionen von verschiedenen Knollen innewohnende Variation wurde untersucht. Partien von verletzten Knollen wurden bei unterschiedlichen Umweltsbedingungen verschieden lange Zeit aufbewahrt (Tabelle 2). Je nach ihrem physiologischen Zustand wurde zwischen den Knollen eine betr?chtliche Schwankung im Mass der Suberin- und der Peridermbildung gefunden. Fünf Sorten von Kartoffelknollen wurden verminderten Sauerstoff-Teildrucken von 0, 1, 3, 5, 10 und 21% O2 (Luft) w?hrend Perioden bis zu 14 Tagen bei 20°C ausgesetzt (Abb. 2). Jede Herabsetzung der O2-Konzentration in der Luft erzeugte einen fortschreitenden Hemmungseffekt auf die Wundheilung. Bei der Sorte Majestic Brachten herabgesetzte O2-Konzentrationen bei 10°C den gleichen hemmenden Einfluss hervor (Abb. 3), w?hrend 5, 10 und 15% CO2 auch die Suberinbildung allm?hlich hemmten. Sorten-unterschiede traten nicht deutlich hervor, obwohl man gedacht hat, dass Unterschiede in der früheren Lagerperiode klarer hervortreten k?nnten. Abb. 4 zeigt die Einflüsse von 5, 10 und 20°C auf die Wundheilung bei vier Sorten. Die Rate der Suberin- und Peridermbildung erh?hte sich ann?hernd um das Dreifache zwischen 5 und 10°C, und um das Dreifache zwischen 10 und 20°C. Es wird eine Methode zur Kontrolle der relativen Luftfeuchtigkeit bis zu 1% Genauigkeit beschrieben (auch Abb. 1). Bei 20°C wurde bei relativen Luftfeuchtigkeiten zwischen 70% und 100% nur ein kleiner Unterschied im Mass der Wundheilung festgestellt. Bei 10°C war dei Heilung am schnellsten bei einer relativen Luftfeuchtigkeit zwischen 80 und 100%. Bei relativen Luftfeuchtigkeiten nahe bei 100% traten manchmal Wucherungen auf.

Résumé Le but principal de cette publication est de montrer les effets de la température, de l'humidité relative et de divers mélanges gazeux sur la cicatrisation des blessures du tubercule de pomme de terre. L'auteur a également recherché les variations individuelles des réactions de cicatrisation dans différents tubercules. Des groupes de tubercules blessés sont conservés dans diverses conditions de milieu pendant diverses longueurs de temps (tableau 2). Une variation considérable dans la vitesse de formation de subérine et du périderme appara?t entre les tubercules, variation due à différents états physiologiques. Des tubercules de cinq variétés de pomme de terre sont soumis à des pressions partiellement abaissées de 0, 1, 3, 5, 10 et 21% de O2 (air) pendant des périodes allant jusqu'à 14 jours à 20°C (fig. 2). Tout abaissement de la concentration en O2 de l'atmosphère a un effet inhibiteur progressif sur la cicatrisation. Chez la variété Majestic à 10°C, des concentrations diminuées en O2 ont le méme effet inhibiteur (fig. 3), tandis que 5, 10 et 15% de CO2 inhibent aussi progressivement la formation de subérine. Les différences variétales ne sont pas clairement marquées, quoiqu'on pense que les différences peuvent être plus prononcées plus t?t dans la période de stockage. La figure 4 montre les effets des températures de 5, 10 et 20°C sur la cicatrisation chez quatre variétés. La vitesse de formation de la subérine et du périderme augmente d'environ 3 fois entre 5 et 10°C et de 3 fois entre 10 et 20°C. L'auteur décrit une méthode de contr?le de l'humidité dans les limites de 1% d'humidité relative (r.h.) (voir aussi fig. 1). A 20°C, on observe peu de différence dans les vitesses de cicatrisation aux humidités comprises entre 70 et 100% de r.h. A 10°C, la cicatrisation est la plus grande entre 80 et 100% de r.h. Des proliférations apparaissent quelquefois à des humidités proches de 100% de r.h.
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7.
Summary The foliar uptake of iron into potato leaves was studied in five cultivars. Uptake was greater at high humidity levels and was also affected by differences in leaflet surface morphology between leaves from the top and mid regions of the canopy. Surface morphology effects were modified by the inclusion of additives, Tween 20 and urea. Leaflet surfaces were examined by scanning electron microscopy. In the field, there was greater uptake into leaves situated within the canopy than by those exposed at the top, an effect ascribed to the sheltering microlimate. Implications for the foliar uptake of agrochemicals in general by the potato crop are commented on.
Zusammenfassung Es wurde die Aufnahme von Eisen aus Eisensulfatl?sungen in Kartoffelbl?tter untersucht, um zu kl?ren, welche Rolle einige Umwelt- und Pflanzenfaktoren spielen. Einzeltropfen einer Eisenl?sung wurden auf Bl?ttchen aufgesetzt und die Aufnahme des Eisens durch den Eisenverlust bestimmt, der im Vergleich zur Kontrolle auftrat, wenn die Bl?ttchen mit standardisierten Mengen von deionisiertem Wasser gewaschen wurden. Die Eisenkonzentration wurde durch Atomabsorptionsspektrophotometrie gemessen. Für die Untersuchungen wurden fünf Sorten verwendet: Désirée, Pentland Dell, Pentland Javelin, Record und Wilja, Laboruntersuchungen über den Einfluss der relativen Luftfeuchtigkeit (RH) und der Morphologie der Blattoberfl?che von vier Sorten zeigten, dass die Aufnahme 4–9% betrug bei 60–65% RH und 33–44% bei 95–100% RH (Tab. 1). Unterschiede in der Aufnahme zwischen Bl?ttern von der Spitze oder aus der Mitte (Tab. 2) wurden auf eine unterschiedliche Oberfl?chenstruktur zurückgeführt, die den Kontakt mit den Tropfen beeinflusst und die auch durch ein Entspannungsmittel (Tween 20) oder ein Eindringungsmittel (Harnstoff) ver?ndert werden konnten (Tab. 3). Rasterelektronenmikroskopische(SEM) Untersuchungen von Blattoberfl?chen ergaben Unterschiede sowhol zwischen den Sorten als auch zwischen den Blattpositionen innerhalb der Pflanzen (Abb. 1). An der Haarbasis und über den Blattadern wurde mehr Eisen aufgenommen (Tab. 4). Auf dem Feld ergab sich eine gr?ssere Aufnahme innerhalb der Pflanzen, wahrscheinlich bedingt durch das ver?nderte Mikroklima, das eine um 10% h?here RH aufwies als an der Spitze der Pflanzen (Tab. 5), was wiederum zu einem langsameren Abtrocknen der Tr?pfchen führte und auch Einfluss auf die Blattkutikula hatte. Insgesamt war die Eisenaufnahme gering, aber es gab gesicherte Unterschiede und sie waren mit der Aufnahme in das Blatt über eine w?ssrige L?sung verbunden. Ein besseres Verst?ndnis der durch die Umwelt und die Pflanze bestimmten Faktoren, die die Aufnahme beeinflussen, k?nnten zu einer besser vorhersehbaren Antwort auf Blattspritzungen führen.

Résumé L'absorption de solutions de fer, sous la forme de FeSO4, par les feuilles de pommes de terre a été étudiée dans le but de déterminer le r?le joué par quelques caractéristiques de la plante et facteurs d'environnement. De fines gouttes de solution de fer ont été pulvérisées sur les folioles et l'absorption a été évaluée en mesurant la perte en fer du liquide de rin?age des folioles, constitué d'eau déminéralisée, par comparaison au témoin. Les concentrations en fer ont été mesurées en spectrophotométrie d'absorption atomique. Cinq variétés ont été utilisées dans ces essais: Désirée, Pentland Dell, Pentland Javelin, Record et Wilja. Des études réalisées en laboratoire sur feuilles détachées de quatre variétés pour déterminer les effets de l'humidité ambiante et de la morphologie des surfaces foliaires ont montré que l'absorption était de 4–9% à 60–65% d'humidité relative (HR) et de 33–44% à 95–100% HR (tableau 1). Les différences d'absorption observées entre les feuilles du sommet et les feuilles du milieu de la plante étaient dues aux différences de morphologie des surfaces foliaires, affectant le contact avec les gouttelettes; mais ce dernier pouvait être modifié par l'adjonction d'un agent tensio-actif (Tween 20) et d'un produit de pénétration (urée) (tableau 3). L'examen de la surface des folioles au microscope électronique à balayage (SEM) (figure 1) révélait des différences entre variétés et entre feuilles, en fonction de leur position sur la plante. Il y avait une absorption plus importante autour des poils de la feuille et sur les nervures (tableau 4). Dans l'essai, une plus grande absorption avait lieu dans les feuilles du milieu de la plante, probablement parce qu'au niveau du micro-climat l'HR était de quelques 10% plus élevé qu'à la surface des feuilles du sommet (tableau 5). On attribue ce fait au plus faible taux d'évaporation des gouttelettes en fonction de l'HR environna la cuticule des feuilles. En définitive, l'absorption du fer a été faible, mais les quelques différences significatives observées ont montré qu'elle était compatible avec le processus d'absorption par le feuillage suivant la voie aqueuse. Une plus grande connaissance des caractéristiques de la plante et des facteurs d'environnement affectant l'absorption, pourraient conduire à une meilleure prévision des réponses de la plante aux pulvérisations foliaires.
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8.
Summary Selection for high protein potatoes may be influenced by maturity level at harvest. as well as by genetic capacity. The phosphorus metabolism provided a clue as to physiological maturity. We determined the major phosphorus compounds present in tubers of named cultivars sampled at weekly intervals during the growing season. We also assessed the phosphorus compounds associated with mature tubers of twelve Phureja-Tuberosum hybrid lines varying widely in protein content, and in ploidy. High levels of organic phosphorus, nucleic acid phosphorus, and lipid phosphorus were characteristic of immature tubers. These values declined to a mid-season plateau that was maintained to harvest. Much greater variability in phosphorus balance was found in the hybrid clones analysed than in named cultivars. In some cases high protein levels were clearly associated with delayed maturity of hybrid lines. Other clones appeared to exhibit greater capacity for protein synthesis in the maturing tuber.
Zusammenfassung Untersuchungen über den Gehalt an phosphorhaltigen Inhaltsstoffen in sich entwickelnden Knollen von zwei Kartoffelsorten ergaben ursprünglich hohe Werte an gesamt organischem Phosphor. anorganischem Phosphor, phosphorhaltigen Nukleins?uren und Phospholipiden (Tab. 1, Abb. 1, 2). Diese Gehalte verminderten sich st?ndig bis zu Werten in der Mitte der Wachstumszcit, die bis zur Ernte beibehalten wurden. Der an St?rke gebundene Phosphor, ursprünglich gering, stieg st?ndig bis zu einem bestimmten Wert in der Mitte der Knollentwicklung an (Abb. 3, 6). Der an Phytins?ure gebundene Phosphor zeigte keinen klaren Trend (Abb. 4, 7). Ver?nderungen im Gehalt an Nukleotidphosphor schlugen sich in den Gehalten an anorganischem Phosphor und an St?rke gebundenem Phosphor in der darauf folgenden Woche nieder (Tabellen 2, 3). In Knollen von 12 Phureja-Tuberosum-Hybridlinien, die im Proteingehalt stark variierten und diploide und tetraploide Nachkommen umfassten, wurde der Gehalt der haupts?chlichen phosphorhaltigen Fraktionen bestimmt (Tabellen 5, 6, 7, 8). Zwischen den Hybridklonen bestand eine weit gr?ssere Variabilit?t als zwischen den benannten Sorten, die zu Vergleichszwecken mit untersucht wurden. In einigen F?llen schien diese gr?ssere Variabilit?t durch eine verz?gerte Knollenausreife verursacht zu sein, die sich in den erh?hten Werten für Nukleins?ure-P und Lipid-P zur Erntezeit zeigte. In anderen F?llen schien die Variabilit?t im Phosphorstoffwechsel mit einer gr?sseren F?higkeit zur Proteinanh?ufung verbunden zu sein. Wurden die Werte für Nukleins?uren als Prozent des gesamten organischen Phosphors ausgedrückt. ergaben sich keine signifikanten Unterschiede zwischen diploiden und tetraploiden Hybridlinien (Fig. 5. Tabellen 6. 7. 8)., Der Gehalt an St?rke gebundenem Phosphor was in den Hybriden übereinstimmend geringer als in den Sorten. w?hrend der Gehalt an Nukleins?ure-P und Lipid-P in den Hybriden h?her zu sein schien. Wo deutliche Unterschiede im Proteingehalt von Klonen, die zu verschiedenen Zeiten wuchsen, gefunden wurden, konnten sie gew?hnlich mit der Knollenunreife erkl?rt werden. Die h?heren Proteingehalte gingen mit h?heren Nukleins?ure- und Lipid-Phosphorgehalten einher, die für solche Knollen charakteristisch sind.

Résumé L'étude des teneurs en constituants phosphorés contenus dans les tubercules de deux variétés durant leur croissance a révélé l'existence de hauts taux initiaux de phosphore organique total, phosphore inorganique et phosphore associé aux acides nucléiques et aux phospholipides (tableau 1, figures 1 et 2). Ces taux ont diminué progressivement jusqu'à un plateau situé à la mi-saison, et se sont maintenus ensuite jusqu'à la récolte. Le taux de phosphore associé à l'amidon, initialement faible, a augmenté fortement et atteint un plateau au milieu de la période de croissance des tubercules (figures 3 et 6). Le phosphore associé à l'acide phytique n'a pas montré une tendance aussi nette (figures 4 et 7). Les variations en phosphore nucléotidique ont été le reflet de l'évolution des teneurs en phosphore inorganique et en phosphore associé à l'amidon trouvées la semaine suivante (tableaux 2 et 3). Les taux des principales fractions phosphoriques ont été déterminés pour les tubercules de douze hybrides. Phureja-Tuberosum variant largement dans leurs teneurs en protéines et comprenant des lignées diplo?des et tétraplo?des (tableaux 5. 6. 7 et 8). Une beaucoup plus grande variabilité existait entre les clones hybrides qu'entre les variétés étudiées en comparaison. Dans quelques cas, cet accroissement de la variabilité apparaissait être d? au retard de la maturation des tubercules, ce que montrait le taux élevé en phosphore associé aux acides nucléiques et aux lipides lors de la récolte. Dans d'autres cas, la variabilité dans le métabolisme du phosphore apparaissait être en relation avec la plus grande capacité d'accumulation de protéines. Les teneurs en acides nucléiques, exprimées en pourcentage du phosphore organique total, n'ont pas montré de différences significatives entre les lignées hybrides diplo?des et tétraplo?des (figure 5, tableaux 6, 7 et 8). Le phosphore associé à l'amidon a présenté une teneur sensiblement plus faible dans les hybrides que dans les variétés tandis que le taux de phosphore des acides nucléiques et des nucléotides tendait à être plus élevé dans les hybrides. Partout où des différences au niveau du taux de protéines ont été trouvées dans les lignées hybrides cultivées durant plusieurs années (tableau 8) il a été normalement possible d'expliquer ce fait par une absence de maturité dans l'un des cas. Les plus hautes teneurs en protéines ont été accompagnées d'une élévation des taux d'acides nucléiques et de phospholipides caractéristique de tels tubercules.
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9.
Summary Tubers of potato cultivars Jaerla and Désirée were harvested in three successive years and the relationship between dry matter content and peroxidase activity of the sprouts and physiological ageing of the tubers during storage at 4 and 12°C was investigated. Dry matter content and peroxidase activity showed a good correlation with decreased sprouting capacity and incubation period.
Zusammenfassung Es wird der Einfluss der physiologischen alters von Pflanzknollen auf den Trockenmasse-Gehalt und die Peroxydase-Aktivit?t der Keime diskutiert. In dieser kombinierten Studie über drei Vegetationsperiode (1979–1981) wurden Pflanzknollen der Sorten Jaerla und Désirée von gleicher Herkunft, gelagert bei 4°C und 12°C, verwendet. Zu aufeinanderfolgenden Anfangsdaten wurden Knollenproben entkeimt (erste Keime), anschliessend liess man die Knollen bei 18°C und für vier Wochen erneut Keime bilden (zweite Keime). Bei ersten wie zweiten Keimen gleichermassen war der Trockenmasse-Gehalt am Anfang (ca. 100 Tage Lagerung) hoch, ging dann auf ein Minimum zurück und stieg endlich erneut auf einen ziemlich hohen Grad w?hrend des Alterns (Abb. 1 und 2). Bei 12°C waren die ?nderungen im Trockenmasse-Gehalt der zweiten Keime deutlicher als bei 4°C, vor allem bei Désirée. Die Peroxydase-Aktivit?t wurde bei beiden Sorten in den ersten Keimen von Knollen, die bei 12°C gelagert waren, gemessen. Bei Jaerla ergab sich ein scharfer Anstieg der Peroxydase-Aktivit?t nach ca. 200 Tagen, bei Désirée nach ca. 250 Tagen (Abb. 3). Der Anstieg des Trockenmasse-Gehaltes von zweiten Keimen und der Anstieg der Peroxydase-Aktivit?t bei ersten Keimen steht in Beziehung zum Rückgang der Keimungskapazit?t und den Anstieg der Inkubationsperiode (Daten von Hartmans & van Loon, 1987), nachdem ein Maximum bei der Keimungskapazit?t durchgangen worden war (Tabelle 1 und 2). Deshalb k?nnen sowohl Trockenmasse-Gehalt wie auch Peroxydase-Aktivit?t der Keime wirkungsvolle Mittel zur Charakterisierung des physiologischen Alterns der Saatkartoffeln sein.

Résumé L'influence de l'age physiologique du plant sur la teneur en matière sèche et sur l'activité péroxydasique des germes est discutée. Des études concertées sont réalisées pendant trois saisons (1979–1981) avec des plants des variétés Jaerla et Désirée de même origine et conservés à 4°C et 12°C. A des dates successives des échantillons de tubercules sont égermés (premiers germes), quis mis à prégermer à 18°C pendant quatre semaines (seconds germes). Dans les deux cas, premiers et seconds germes, la teneur en matière sèche des germes est élevée en début de conservation (100 jours), elle s'abaisse ensuite pour atteindre un minimum, augmente de nouveau et se maintient à un niveau relativement haut pendant la phase finale du vieillissement (figures 1 et 2). A 12°C les modifications de la teneur en matière sèche des seconds germes sont plus marquées qu'à 4°C, notamment pour la variété Désirée. L'activité de la péroxydase est mesurée pour les deux variétés dans les premiers germes des tubercules conservés à 12°C; elle augmente de fa?on importante après environ 200 jours pour Jaerla et après environ 250 jours pour Désirée (figure 3). L'augmentation de la matière sèche des seconds germes et de l'activité péroxydasique des premiers germes est en relation avec la diminution de la capacité germinative et la période d'incubation (selon Hartmans & van Loon, 1987) une fois passé le maximum de vigueur germinative (tableaux 1 et 2). Il est possible que la teneur en matière sèche et l'activité péroxydasique des germes puissent constituer un outil pour caractériser le vieillissement physiologique des tubercules de semence.
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10.
Summary Patterns of tuber formation and growth were studied with the varieties Désirée Maris Piper and Peniland Crown. The varieties formed similar numbers of stolons but different numbers of tubers. More tubers were formed at the first node than at any other but Pentland Crown formed fewer tubers over nodes 2–8 than the other varieties. The range of nodes over which tubers formed and competition for photosynthate within a node appeared to be factors controlling the tuber size distribution. The time over which tuber formation occurred was not important. Measurements of individual tuber growth suggested that some tubers followed an approximately sigmoid curve, some grew linearly and some showed periods of tuber growth interrupted by periods when the tubers grew slowly if at all. Estimation of the fresh and dry weights of growing tubers using a relationship between the product of tuber axis lengths and the weights of harvested tubers proved most satisfactory.
Zusammenfassung In einer Reihe von Versuchen, bei denen die Sorten Désirée, Maris Piper und Pentland Crown verwendet wurden, wurden die Muster der Knollenbildung und das Knollenwachstum untersucht. Diese 3 Sorten haben bei gleichem Pflanzenabstand eine unterschiedliche Verteilung der Knollengr?sse; Pentland Crown neigt zur Produktion grosser Knollen, Maris Piper bringt viele kleinere Knollen und Désirée liegt dazwischen. Um die Knollenbildung zu verfolgen, wurden dreimal in der Woche Proben der wachsenden Pflanzen genommen und die Zahl der Stolonen und Knollen pro Nodium gez?hlt (Tabelle 1). Um das Wachstum der Einzelknollen in Kisten (Fig. 1) und im Feld unter Polythenfolie (Fig. 2) zu verfolgen, wurden die drei Hauptachsen gemessen und daraus das Volumen (in der Annahme, dass die Knolle ein Ellipsoid ist) oder das Gewicht errechnet (wobei das lineare Verh?ltnis zwischen dem Produkt der Knollenachsen und dem Frisch- und Trockengewicht von Knollen verwendet wurde, die unter gleichen Bedingungen gewachsen waren und jede Woche geerntet wurden, wenn die Messungen gemacht wurden). Diese Technik erwies sich als befriedigend und in Tabelle 2 sind die Werte der Parameter für die erste und letzte Messung in jedem Jahr zusammen mit den entsprechenden Bestimmtheitsmassen angegeben. Die Sorten bildeten die gleiche Anzahl von Stolonen aber unterschiedliche Knollenzahlen. Am ersten Knoten wurden mehr Knollen als an irgend einem anderen gebildet, aber Pentland Crown bildete an den Nodien 2–8 weniger Knollen als die anderen Sorten. Das Verh?ltnis der Gesamtzahl der Knollen pro Nodium und der Knollenzahl pro Nodium ausgedrückt in Prozent der Stolonenzahl (Fig. 3) unterschied sich zwischen den Sorten betr?chtlich und ist vielleicht für die unterschiedliche Verteilung der Knollengr?ssen verantwortlich. Die Zeit der Knollenbildung war bei allen Sorten gleich. In den Versuchen über das Knollenwachstum wurden mehr als 500 Knollen gemessen und einige sind in Fig. 4–6 dargestellt. Es sieht so aus, als ob einige Knollen einer ungef?hr S-f?rmigen Kurve folgten, einige wuchsen linear und einige zeigten Perioden des Wachstums, die durch Perioden unterbrochen waren, in denen die Knollen wenn überhaupt nur langsam wuchsen.

Résumé Des types de tubérisation et de croissance ont été étudiés au cours d'une expérimentation de variétés portant sur Désirée, Maris Piper et Pentland Crown. Plantées à la même densité, ces variétés donnent différentes répartitions de calibre. Pentland Crown tend à produire de gros tubercules; Maris Piper produit un grand nombre de petits tubercules et Désirée est intermédiaire. La tubérisation a été suivie en prélevant des échantillons en cours de végétation 3 fois par semaine et en enregistrant le nombre de stolons et de tubercules formés à chaque noeud (tableau 1). Le grossissement de chaque tubercule, en caisses de bois (fig. 1), et au champ sous polyéthylène (fig. 2), a été suivi en mesurant les trois axes principaux et en transformant ces mesures en volume (on suppose que le tubercule est un ellipso?de), ou en poids (en utilisant la relation linéaire entre produit des axes et poids frais et sec des tubercules cultivés dans des conditions identiques et récoltés chaque semaine). Cette technique donne satisfaction et les valeurs des paramètres pour les premières et dernières mesures de chaque année sont indiquées dans le tableau 2 avec les coefficients de détermination appropriés. Les variétés forment un nombre de stolons similaire mais un nombre de tubercules différents. Des tubercules plus nombreux se sont formés au premier noeud, mais Pentland Crown présentait moins de tubercules aux noeuds, 2–8 que les autres variétés. Le rapport du nombre de tubercules par noeud et du nombre de tubercules formés à chaque noeud, exprimé en pourcentage du nombre de stolons (fig. 3) différait considérablement d'une variété à l'autre. La répartition des calibres de ces variétés a probablement été influencé. L'époque de tubérisation était la même pour chacune d'entre elles. Au cours de cette expérimentation, plus de 500 tubercules ont été mesurés (fig. 4–6). Pour certains tubercules, il appara?t que la courbe tubérisation s'apparente à une sigmo?de. Pour d'autres, la croissance est linéaire, parfois interrompue par des périodes de croissance ralentie.
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11.
Summary Two experiments are reported which compared the effects of a period of low temperature (3 C). before placing to sprout at ambient temperature, with continuous storage at ambient temperature, on sprout growth in thirteen potato varieties. In four varieties. Désirée, Majestic, Pentland Meteor and Vanessa, the period of low temperature induced an earlier onset of sprout growth and increased total and individual sprout length per tuber. In the varieties Civa, Craig’s Alliance, Dunluce. Home Guard. Arran Comet and Ulster Sceptre, the period of cold did not hasten the onset of sprout growth but markedly increased the numbers of growing sprouts and total sprout length, although individual sprout length was reduced. In the remaining varieties the period of low temperature had no effects on onset of sprout growth or sprout lengths at the end of storage.
Zusammenfassung Es wird über zwei Versuche berichtet, die den Einfluss einer Periode niedriger Temperatur (3 C) vor dem Beginn normaler Keimungsbedingungen mit fortw?hrender normaler Lagerung auf das Keimwachstum vergleichen. In vier Sorten, Désirée (mittelfrüh). Majestic (mittelfrüh). Pentland Meteor (früh) und Vanessa (früh), induzierte die Periode niedriger Temperatur einen früheren Beginn des Keimwachstums als fortw?hrende Lagerung unter normalen Bedingungen (Abb. 1). Bei diesen Sorten waren die Gesamtl?nge und die individuelle Keiml?nge am Ende der Keimung gesteigert (Tabellen 1 und 2). Bei Civa, Craig’s Alliance. Dunluce. Home Guard. Arran Comet und Ulster Sceptre (alles frühe Sorten) führte die K?lteperiode nicht zu einem früheren Keimungsbeginn, aber die Zahl der wachsenden Keime stieg an und dadurch die Gesamtkeiml?nge pro Knolle. In diesen Sorten wurde die L?nge des l?ngsten keims pro Knolle durch eine K?lteperiode verringert (Tabellen 1 und 2). Bei den übrigen Sorten hatte die K?lteperiode weder einen Einfluss auf den Keimungsbeginn noch auf die Keiml?ngen am Ende der Lagerung.

Résumé Dans deux essais sont comparés les effets d’un entreposage à basse température (3 C) suivi d’une mise en germoir, d’une part, et les effets d’une conservation uniquement en germoir, d’autre part, sur la croissance des germes de 13 variétés de pomme de terre. Pour quatre variétés. Désirée, Majestic (demitardives). Pentland Meteor et Vanessa (hatives) le passage au froid induit un départ de germination plus précoce qu’un stockage continu dans les conditions ambiantes (fig. 1). Pour ces variétés, la longueur des germes, totale et individuelle, est augmentée en fin de germination (tableaux 1 et 2). Pour Civa, Craig’s Alliance, Dunluce, Home Guard, Arran Comet et Ulster Sceptre (variétés hatives) le passage au froid ne hate pas le départ de la germination mais augmente de fa?on marquée le nombre de germes et donc la longuer totale de germe par tubercule. Dans ces variétés, la longueur du plus long germe par tubercule est réduite par le passage à basse température (tableaux 1 et 2). Pour les variétés restantes, le froid n’a pas d’effet ni sur le départ de germination, ni sur la longueur des germes à la fin du stockage.
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12.
Summary The influence of storage period and temperature on growth and yield was investigated for 3 years in a field study with cvs. Jaerla and Désirée, stored at 4°C or 12°C, in darkness, as a part of a combined study on the effect of physiological age on growth vigour. The seed of cv. Jaerla proved to age more rapidly than that of cv. Désirée: ‘little potato’ occurred in Jaerla, but in Désirée only when seed had been stored at 12°C and planted late. The 4°C treatments emerged more rapidly, produced more stems per plant and the onset of senescence was earlier than the 12°C treatments. There was no difference in time of tuber initiation between the two treatments. There were usually more tubers per stem in the 12°C treatments. Final tuber yield of Jaerla 12°C was lower than that of Jaerla 4°C, but the difference was only statistically significant at early harvest. There was no difference in yield between Désirée 4°C and 12°C, except for the 2nd planting time in 1981, when the 12°C treatment yielded significantly less.
Zusammenfassung In einer Feldstudie mit den Sorten Jaerla und Désirée wurde der Einfluss von Lagertemperatur und-periode in der Periode 1979–81 untersucht, bei Lagerung im Dunkeln bei 4°C oder 12°C, als Teil einer kombinierten Studie über die Auswirkung des physiologischen Alters auf die Wachstumsintensit?t der Pflanzknollen. 1979 wurden die Pflanzkollen einige Zeit vor Pflanzung entkeimt und anschliessend vorgekeimt. 1980 und 1981 dagegen wurden die Knollen unmittelbar vor der Pflanzung entkeimt. Die 12°C-Behandlungen liefen langsamer auf als bei 4°C gelagerte Pflanzknollen (Tabelle 1). Jaerla zeigte bei 12°C unvollst?ndigen Auflauf wegen der Bildung von Kn?llchen. Im Gegensatz zu den 4°C-Behandlungen liefen die Knollen bei 12°C unregelm?ssig auf. Bei den Behandlungen mit Désirée ergaben sich keine Unterschiede bei der Zeit der Knollen-Initiierung. Wegen des Auftretens von Kn?llchen konnte bei Jaerla kein zuverl?ssiger Vergleich gemacht werden. Das initiale Blattwachstum war bei den 4°C-Behandlungen schneller. Es ergaben sich bei den Behandlungen mit Désirée fast keine Unterschiede bei der lateralen Triebentwicklung oberhalb der ersten Blüte (Abb. 1). Es ergab sich eine unterschiedliche Rate bei der Seneszenz mit einem langsameren Rückgang der Bodenbedeckung bei den 12°C-Behandlungen (Tabelle 2). Bei beiden Sorten ergab junges Pflanzgut mehr Triebe pro Pflanze als ?lteres (Tabelle 3). Bei Désirée ergaben sich bei 12°C mehr Knollen pro Trieb als bei 4°C. Dennoch zeigte sich kein durchgehender Trend bei der Knollenzahl je Pflanze (Tabelle 4). In allen drei Jahren zeigte der Knollenertrag ein ?hnliches Muster (Tabelle 5). 1979 und 1980 waren die ‘sp?teren’ Knollenertr?ge von Jaerla bei 12°C niedriger als bei 4°C, aber der Unterschied war nur signifikant bei der früheren Ernte. 1979 und 1980 gab es keinen signifikanten Unterschied in dem Ertrag zwischen den zwei Behandlungen von Désirée. 1981 war kein Unterschied beim ‘sp?teren’ Ertrag zwischen den Temperatur-Behandlungen für das erste Pflanzdatum, der Ertrag von Désirée bei 12°C, bei Pflanzzeit II gepflanzt, war signifikant niedriger als bei 4°C.

Résumé L'influence de la température et de la durée de conservation sur la croissance et le rendement sont évalués de 1979 à 1981 dans un champ d'essais avec les variétés Jaerla et Désirée, conservées à 4°C et 12°C, à l'obscurité, dans une étude concertée ayant pour objectif de mettre en évidence l'effet de l'age physiologique sur la vigueur du plant. En 1979, le plant était égermé quelque temps avant la plantation et remis en prégermination; en 1980 et 1981, il était égermé juste avant la plantation. Les plants traités à 12°C lèvent plus lentement que ceux conservés à 4°C (tableau 1). Jaerla à 12°C présente une levée incomplète résultant d'un boulage. A l'inverse du traitement à 4°C, le traitement à 12°C donne une levée irrégulière. Il n'y a pas de différence dans le temps d'initiation des tubercules de Désirée pour les deux traitements. Dans la mesure où Jaerla produit du boulage, il ne peut être établi de comparaison dans ce domaine. La croissance initiale du feuillage est plus rapide avec la conservation à 4°C. Il n'y a pratiquement pas de différence entre les deux traitements de Désirée pour le développement des pousses latérales au-dessus de la hampe florale (figure 1). On observe une différence au niveau de la senescence avec une plus lente déclinaison dans la couverture du sol pour le traitement à 12°C (tableau 2). Dans les deux variétés, le plant jeune produit plus de tiges par plante que le vieux plant (tableau 3). Il y a plus de tubercules par tige pour Désirée à 12°C qu'à 4°C, sans pour cela montrer une tendance logique à plus de tubercules par plante (tableau 4). Le rendement en tubercules montre un modèle identique pour les trois années (tableau 5). En 1979 et 1980, le rendement final en tubercules de la variété Jaerla conservée à 12°C est plus faible que celui de cette variété conservée à 4°C, mais la différence n'est significative que pour la récolte précoce. En 1979 et 1980, il n'y a pas de différence significative dans le rendement des deux traitements de Désirée. En 1981, il n'y a pas de différence dans le rendement final entre les deux températures de conservation pour la première date de plantation mais le rendement de Désirée conservée à 12°C et plantée à la deuxième date est significativement plus faible que celui obtenu avec du plant conservé à 4°C.
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13.
Summary The effects of nitrogen nutrition, main stem number and degree of defoliation of potato mother plants on stem-cutting production were investigated in glasshouse experiments with the cultivars Désirée, Record and Sutton's Foremost. Defoliation of the mother plants increased the number of cuttings produced, the total axillary growth, and the rate of cutting production. An increase in the number of main stems on the mother plant from one to three increased the number of cuttings obtained from defoliated plants of Désirée but decreased the number obtained from defoliated plants of Record and from undefoliated plants of both Désirée and Record. Nitrogen nutrition did not influence cutting production. The results are considered in relation to the role of leaves, endogenous plant hormones and competition within plants in controlling the axillary growth which was removed as stem cuttings. Suggestions for improving the efficiency of stem-cutting production are made.
Zusammenfassung In Gew?chshausversuchen wurde der Einfluss der Stickstoffern?hrung, der Zahl der Haupttriebe und des Grades der Entbl?tterung bei in T?pfen gewachsenen Mutterpflanzen der Sorten Désirée, Record und Sutton's Foremost auf die Zahl der produzierten Stengelabschnitte (stem cuttings) untersucht. In einem ersten Versuch wurden alle Triebe auf 30 cm zurückgeschnitten, wenn der l?ngste 40–45 cm erreichte. Die Mutterpflanzen erhielten vier unterschiedliche Stickstoffgaben (als NH4NO3), die entbl?tterten und nicht-entbl?tterten Pflanzen erhielten zwei Gaben (Tab. 1). Im zweiten Experiment wurden alle Pflanzen bis auf acht Nodien zurückgeschnitten, wenn der l?ngste Trieb 40–45 cm erreichte, deshalb auch die Bl?tter oberhalb der Kompostebene; die Entbl?tterungs-Behandlungen zur Zeit der Stengel-Dekapitation waren: keine Defoliation, komplette Defoliation, obere vier Bl?tter entfernt, alternierend Bl?tter entfernt und die unteren vier Bl?tter entfernt (Tab. 2, 3 und 4). In beiden Versuchen wurde die Zahl der Haupttriebe pro Pflanze auf ein Maximum von drei begrenzt. Die Stengelabschnitte (axillare Schosse) wurden bei 7,5 bis 12,5 cm L?nge entfernt. Die Zahl der Stengelabschnitte bei Désirée und Record wurde durch die Applikation von NH4NO3 nicht beeinflusst (Tab. 1). Komplette Entbl?tterung war dagegen hocheffektiv, durch die Erh?hung der Zahl der Abschnitte bei beiden Sorten, signifikant bei Désirée. Entbl?tterte Pflanzen von Désirée produzierten mit steigender Triebzahl mehr Abschnitte (Abb. 1, B), w?hrend nichtentbl?tterte Pflanzen von Désirée und sowohl entbl?tterte als auch nicht-entbl?tterte Pflanzen von Record mit steigender Triebzahl weniger Abschnitte produzierten (Abb. 1, A, C, D). Bei beiden Sorten bildeten entbl?tterte Pflanzen mehr Abschnitte als nicht-entbl?tterte Pflanzen. Im zweiten Experiment war komplette Entbl?tterung die effektivste Behandlung zur Erh?hung der Zahl der Abschnitte von Désirée, Record und Sutton's Foremost; signifikant war der Anstieg, relativ zu nicht-entbl?tterten Pflanzen, bei Désirée (Tab. 2). Messung des gesamten axill?ren Wachstums, ob Stengelabschnitt oder nicht, ergab signifikante Unterschiede im gesamten axill?ren Wachstum zwischen den Entbl?tterungs-Behandlungen bei allen drei Sorten (Tab. 3). Bei Désirée und Sutton's Foremost war komplette Entbl?tterung effektiver als alle anderen Behandlungen hinsichtlich des axill?ren Wachstums. Entbl?tterung steigerte auch die Quote der Produktion von Abschnitten (Prozentsatz Abschnitte, die in der ersten H?lfte der Untersuchungsperiode produziert wurden) (Tab. 4). Kombiniert für alle drei Sorten war die Rangordnung der Effektivit?t der Entbl?tterungs-Behandlungen bei der Stimulierung der Abschnitte-Produktion (Tab. 2), gesamten axill?rem Wachstum (Tab. 3) und der Produktionsrate für Abschnitte (Tab. 4) im Vergleich zu nicht-entbl?tterten Pflanzen dieselbe. Komplette Entbl?tterung war am effektivsten, es folgte Entfernung der oberen vier Bl?tter, Entfernung alternierender Bl?tter und die Entfernung der unteren vier Bl?tter. Die Zahl Stengelabschnitte von Kartoffelpflanzen k?nnte deshalb durch (1) komplette Entbl?tterung (die auch die Rate der Stengelabschnitt-Produktion erh?ht) und (2) Reduzierung der Zahl der Haupttriebe in Sorten wie Record erh?ht werden.

Résumé L'influence de l'azote, du nombre de tiges principales et du degré de défoliation sur le nombre de boutures a été étudiée sous serre en mettant en pots des tubercules de semence des variétés Désirée, Record et Sutton's Foremost. Dans la première expérimentation, toutes les tiges de chaque plante ont été sectionnées à 30 cm lorsque la tige la plus longue avait atteint 40 à 45 cm. Les tubercules ont re?u 4 doses d'azote (NH4NO3) dont 2 sur plantes entières et sur plantes totalement défoliées (tabl. 1). Dans la deuxième expérimentation, toutes les tiges de chaque plante ont été également coupées lorsque la plus longue des tiges avait atteint 40–45 cm, en laissant toutefois 8 noeuds avec ainsi, certaines feuilles au dessus des pots. Au moment du sectionnement des tiges, différents traitements furent appliqués: aucune défoliation, une défoliation totale, la suppression des 4 feuilles supérieures, ou en alternance sur l'ensemble du feuillage ou des 4 feuilles inférieures (tabl. 2, 3 et 4). Dans les deux experiences, le nombre de tiges principales par plante a été limité à trois. Les boutures (tiges axillaires) d'une longueur comprise entre 7,5 et 12,5 cm ont été sectionnées. Le nombre de boutures par plante n'a pas varié avec les applications d'azote pour les variétés Désirée et Record (tabl. 1). Par contre, la défoliation complète a entra?né une nette augmentation du nombre de boutures pour ces deux variétés, la différence étant significative pour Désirée. L'augmentation du nombre de tiges entra?ne une augmentation de boutures dans le cas de la variété Désirée lorsque celle-ci est défoliée (fig. 1, B) tandis qu'une diminution du nombre de boutures est constatée lorsque cette variété est entière; pour la variété Record, le nombre de boutures est diminué dans les deux cas (fig. 1, A, C, D). Pour ces deux variétés, les plantes défoliées ont donné davantage de boutures que les plantes entières. Dans la deuxième expérimentation, la défoliation complète appara?t comme étant le traitement le plus efficace pour augmenter le nombre de boutures des variétés Désirée, Record et Sutton's Foremost, l'augmentation, par rapport au témoin non défolié, étant significative pour la variété Désirée (tabl. 2). L'analyse de la croissance axillaire, quelle que soit la longueur, montre des différences significatives de croissance totale entre les traitements de défoliation sur les trois variétés (tabl. 3). La défoliation complète de Désirée et Sutton's Foremost s'est avérée nettement plus productive en terme de croissance axillaire totale. Les traitements de défoliation ont augmenté également le taux de production de bouture (pourcentage de tiges obtenues dans la première moitié de la période d'observation) (tabl. 4). Le classement par efficacité des traitements de défoliation sur la production stimulée de boutures (tabl. 2), la croissance totale axillaire (tabl. 3) et le taux de production de boutures (tabl. 4), par rapport aux plantes entières, fut identique pour les trois variétés combinées. La défoliation complète fut la plus efficace, suivie de la suppression des quatres feuilles supérieures, puis de la suppression en alternance de celle des quatres feuilles inférieures. Le nombre de boutures obtenues à partir de planis de pomme de terre peut être par conséquent augmenté (1) par défoliation complète (ce qui augmente aussi le taux de production de boutures) et (2) par réduction du nombre de tiges principales avec des variétés comme Record par example.
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Summary Disease or inoculum records made at different stages of growth on 100 commercial King Edward crops in 1971–75, and already reported, were augmented by growing 85 of the seed stocks in field experiments at Rothamsted and assessing disease or inoculum incidence during growth (1971, 1975), at harvest (1972–75) and after storage (1974–75). Incidence of black scurf, silver scurf and skin spot was usually greater at Rothamsted than on the different farms, probably because of later sampling dates. Disease incidence on seed tubers was often positively related to amounts of inoculum on harvested tubers or disease symptoms in store for black scurf, skin spot and gangrene, showing that seed tubers were an important inoculum source. With silver scurf the relationship was negative. Relationships between assessments made at different times were more consistent for all four diseases on crops at Rothamsted than on crops grown on different farms but they were not invariably significant.
Zusammenfassung In den Jahren 1971–1975 wurden 100 Proben von Marktware der Sorte King Edward, die im Fenland gewachsen waren, in verschiedenen Entwicklungsstadien auf den Krankheitsbefall oder Inokulumbesatz mit Pockenkrankheit, Tüpfelfleckenkrankheit, Silberschorf und Phomaf?ule untersucht (Adams et al., 1980a, 1980b; Hide & Adams, 1980a, 1980b). 85 dieser Pflanzgutproben wurden in Feldversuchen in Wiederholung in Rothamsted vermehrt und der Krankheits- oder Inokulumbesatz w?hrend des Wachstums (1971, 1975), bei der Ernte (1972–75) und nach der Lagerung bei 3°C (1974–75) untersucht (Tabelle 1). Tabelle 2 zeigt, dass der durchschnittliche Befall mit der Pockenkrankheit st?rker war als wenn die Kartoffeln im Fenland gewachsen und die gelagerten Kartoffeln 1975 stark mit Pocken besetzt waren. Der durchsnittliche Befall mit der Tüpfelfleckenkrankheit (Tabelle 4) zeigte, dass die Krankheit in Rothamsted verbreiteter war als 1974 und 1975 im Fenland, als fast alle gelagerten Knollen infiziert waren. Der durchschnittliche Befall mit Silberschorf (Tabelle 5) war im allgemeinen h?her als im Fenland und die Mehrheit der gelagerten Knollen war 1974 und 1975 stark infiziert (>10% der Oberfl?che war befallen). Die durchschnittlichen Werte für die Phomaf?ule (Tabelle 6) waren im allgemeinen w?hrend des Wachstums und zur Ernte niedrig, 1974 waren der Inokulumbesatz zur Erntezeit und der Krankheitsbefall im Lager mittel. Unterschiede im Krankheitsausmass zwischen Rothamsted und im Fenland ergaben sich vielleicht, weil in Rothamsted die Probennahme sp?ter, die Zeit zwischen Krautabt?tung und Ernte l?nger (was besonders die Phomaf?ule 1974 beeinflusste) und die Bodenbedingungen kühler und nasser waren (was besonders die Pockenkrankheit beeinflusste). Die Signifikanz der Regressionen zwischen den zu verschiedenen Zeiten gemachten Feststellungen des Krankheitsbefalls oder Inokulumbesatzes zeigte, dass für die Pockenkrankheit (Tabelle 3), die Tüpfelfleckenkrankheit (Tabelle 3) und für die Phomaf?ule (Tabelle 7) der Gehalt an Inokulum auf den Pflanzkartoffeln oft in signifikanter Beziehung zu den Bonituren w?hrend des Wachstums und im Lager stand, was die Bedeutung des knollenbürtigen Inokulums unterstreicht. Die signifikanten Regressionen für Silberschorf (Tabelle 3) zwischen dem Inokulumgehalt von Pflanzkartoffeln und geernteten Kartoffeln oder dem Krankheitsbefall nach der Lagerung hatten negative Koeffizienten (Abb. 1 und 2). Das deutet daraufhin, dass Pflanzkartoffeln, die viel Inokulum vor dem Pflanzen produzieren, dies weniger tun zum Zeitpunkt der Bildung von Tochterknollen. Im allgemeinen waren die Beziehungen zwischen den Feststellungen des Krankheitsbefalls oder Inokulumgehaltes, die zu verschiedenen Zeiten gemacht wurden, besser, wenn die Kartoffeln in Rothamsted aufwuchsen als wenn sie getrennt davon im Fenland standen. Dies zeigt die Bedeutung des ?rtlichen Inokulumbesatzes oder den Einfluss der Umgebung des Feldes. Die Beziehungen waren jedoch sogar in Rothamsted nicht immer signifikant, was auf die Notwendigkeit besserer Kenntnisse über die optimale Probengr?sse und über Testverfahren hinweist.

Résumé L'enregistrement des informations concernant la maladie ou le taux d'inoculum pour le rhizoctone, l'oosporiose, la gale argentée et la gangrène, réalisé à différents stades de croissance sur 100 lots commerciaux de King Edward plantés dans le Fenland en 1971–75 (Adams et al., 1980a, 1980b; Hide & Adams, 1980a, 1980b) a été augmenté par culture de 85 lots de semence dans des champs d'expérience à Rothamsted et par estimation de l'incidence de la maladie ou de l'inoculum en cours de croissance (1971, 1975) à la récolte (1972–75) et après conservation à 3°C (1974–75) (tableau 1). Les valeurs moyennes relatives aux évaluations du rhizoctone (tableau 2) ont été plus élevées pour les cultures du Fenland et la maladie a été prédominante sur les lots conservés en 1975. Les valeurs moyennes concernant les estimations de l'oosporiose (tableau 4) ont montré que la maladie a été plus étendue à Rothamsted que dans le Fenland en 1974 et 1975 quand presque tous les tubercules conservés ont été contaminés. Les valeurs moyennes concernant les estimations de gale argentée (tableau 5) ont été d'une manière générale plus élevées que dans le Fenland et la majorité des tubercules stockés en 1974 et 1975 ont été fortement contaminés (plus de 10% de la surface affectée). Les valeurs moyennes des estimations relatives à la gangrène (tableau 6) ont été habituellement faibles pendant la croissance et à la récolte, mais en 1974 les taux d'inoculum à la récolte et l'incidence de la maladie en cours de conservation ont été modérés. Les différences observées entre les taux de maladie à Rothamsted et dans le Fenland ont été probablement dues au fait qu'à Rothamsted les prises d'échantillons se sont faites plus tardivement. Dans ce cas, les intervalles entre le défanage et la récolte ont été plus longs (ce qui a particulièrement affecté la gangrène en 1974) et les conditions de sol ont été plus fra?ches et plus humides (ce qui affecte spécialement le rhizoctone). La signification des régressions entre la maladie ou l'inoculum établies à différentes périodes a montré que pour le rhizoctone (tableau 3), l'oosporiose (tableau 3), et la gangrène (tableau 7) les taux d'inoculum sur les tubercules de semence ont souvent été en relation, et de manière significative, avec les estimations faites en cours de croissance et en conservation. Cela montre l'importance de l'inoculum sur le tubercule de semence. Pour la gale argentée (tableau 3) des régressions significatives entre les taux d'inoculum sur tubercules-mères, sur tubercules-fils et l'incidence de la maladie après conservation ont eu des coefficients négatifs (figures 1 et 2). Les auteurs suggèrent que les tubercules de semence produisant plus d'inoculum avant la plantation en produisent moins en cours de tubérisation. Généralement, les relations existant ente les estimations de maladie ou d'inoculum établies à différentes périodes ont été meilleures pour les lots plantés ensemble à Rothamsted que pour ceux plantés séparément dans le Fenland. Cela démontre l'importance des sources locales d'inoculum ou l'effet de l'environnement local au niveau des exploitations agricoles. Toutefois, même à Rothamsted, les relations n'ont pas été invariablement significatives, et cela indique la nécessité d'une meilleure connaissance des tailles optimales d'échantillons et des procédures relatives aux tests.
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Summary Early-maturing potato cultivars had large concentrations of calcium in their leaves but late-maturing cultivars had smaller concentrations because they formed more new leaves and calcium arriving in their tops was distributed through more leaf tissue. Mild water stress decreased growth and calcium concentration in leaves and increased the efficiency of water use which was also increased by nematode attack but only during the first weeks after planting. Growth was eventually much reduced and water use became very inefficient. Total calcium uptake was a good indicator of total water used by plants but nematode-infested plants took up more calcium per unit amount of water transpired. Coupled with inefficient water use, this means that infested plants contained significantly greater concentrations of calcium than uninfested plants.
Zusammenfassung Kartoffelsorten mit sehr früher bis sehr sp?ter Abreife dienten in Feld- und Gew?chshausversuchen zur Untersuchung des Verh?ltnisses von Calciumaufnahme zur Effizienz des Wasserverbrauches und des Einflusses eines Befalls durch Zystennematoden auf beide Merkmale. Tabelle I zeigt, dass die Calciumkonzentration in den Bl?ttern aller Sorten im trockenen Jahr 1975 niedrig war, m?glicherweise weil der Wassermangel ein teilweises Schliessen der Stomata bewirkte und sich damit die Effizienz des Wasserverbrauches erh?hte. Calcium dringt in die Pflanze durch Massenwechsel ein, die aufgenommene Menge h?ngt von der aufgenommenen Menge Wasser ab. Effizienter Wasserverbrauch würde deshalb eine niedrige Calciumkonzentration zur Folge haben. Frühreifende Sorten zeigten hohe Calciumkonzentrationen in der Trockenmasse ihrer Bl?tter, weil mehr Assimilate zu den Knollen abgeleitet wurden, als zu Bildung neuer Bl?tter ben?tigt wurden; Calcium ist im Phloem nicht mobil, es verbleibt in den Bl?ttern, seine Konzentration steigt an. Sp?treifende Sorten hatten geringere Calciumkonzentrationen, weil sie kontinuierlich neue Bl?tter bildeten und das in die oberen Teile gelangende Calcium sich auf mehr Blattgewebe aufteilte (Tabellen 2 und 3). Einschr?nkung der Wasserversorgung in einem Gef?ssversuch steigerte die Effizienz des Wasserverbrauches und verringerte die Calciumkonzentration in den Bl?ttern: auch das Wachstum war verringert (Tabelle 6). Zugabe von Nematoden senkte die Effizienz des Wasserverbrauches in zwei Versuchen (Tabellen 4 und 6) und steigerte sie in einem (mit Ausnahme der Sorte ‘Maris Peer’, Tabelle 7); verringerte Effizienz des Wasserverbrauches war gekoppelt mit einer erh?hten Calciumkonzentration in den Bl?ttern (Tabelle 7). In einem letzten Versuch wurde die Rolle der Nematoden klar: Er zeigte, dass diese die Effizienz des Wasserverbrauches bei geringfügigem Einfluss auf das Wachstum erh?hen, dass jedoch sp?ter die befallenen Pflanzen sehr langsam wachsen und das Wasser sehr ineffizient verbrauchen (Abbildung 3 und Tabelle 8). Die von den Pflanzen aufgenommene Gesamtmenge an Calcium war nur bei einheitlicher Behandlung ein guter Indikator für die aufgenommene Gesamtmenge an Wasser: Pflanzen mit Nematodenbefall nehmen mehr Calcium im Verh?ltnis zur transpirierten Menge Wasser auf (Abbildung 4). Weil die befallenen Pflanzen das Wasser ebenfalls ineffizient verbrauchten, enthielten sie deutlich h?here Konzentrationen an Calcium als nicht befallene Pflanzen. Der Effekt der Nematoden auf Wachstum und Wasserverbrauch w?hrend der frühen Befallsstadien ?hnelt den Effekten der Abcissins?ure (ABA) auf Pflanzen, wie zum Beispiel gesteigerte Effizienz des Wasserverbrauches durch partielles Schliessen der Stomata, begleitet durch einen gewissen Rückgang des Wachstums. Bei der Ermittlung der Menge an ABA in den Bl?ttern von vier Sorten aus Parzellen von Feldversuchen, die mit geringen oder hohen Zahlen an Nematoden verseucht waren, zeigte sich, dass die ABA-Konzentration bei starker Nematodenverseuchung hoch war und dass die gegenüber Nematoden toleranteste Sorte (‘Cara’) bei geringer Nematodenverseuchung den h?chsten ABA-Gehalt hatte; bei starker Nematodenverseuchung zeigte ‘Cara’ den geringsten Anstieg im ABA-Gehalt.

Résumé Des cultivars de pommes de terre, classés en variétés hatives et variétés tardives ont été utilisés pour des expérimentations au champ et en serre afin d'étudier leur accumulation en calcium, l'existence d'une relation avec la capacité d'utilisation de l'eau et la fa?on dont l'infestation par les nématodes à kyste de la pomme de terre affectait ces deux points. Le tableau 1 montre que la concentration en calcium dans les feuilles de tous les cultivars était très faible en année sèche (1975), peut être parce que le manque d'eau provoquait une fermeture partielle des stomates et de ce fait augmentait la capacité d'utilisation de l'eau. Le calcium entre dans les plantes massivement et la quantité accumulée dépend de la quantité d'eau absorbée. Une utilisation efficace de l'eau devrait par conséquent aboutir à une concentration basse en calcium. Les variétés hatives présentent de grandes concentrations de calcium dans la matière sèche de leurs feuilles parce que leurs métabolites sont envoyés aux tubercules plut?t qu'utilisés pour former de nouvelles feuilles: parce que le calcium n'est par véhiculé dans le phloème, il demeure dans les feuilles et sa concentration augmente. Les variétés tardives ont des concentrations plus faibles en calcium parce qu'elles continuent de former de nouvelles feuilles et le calcium arrivant aux extrémités est distribué à travers plus de tissus foliaires (tableaux 2 et 3). La restriction de l'approvisionnement en eau dans une expérimentation en pot augmentait la capacité d'utilisation de l'eau et diminuait la concentration en calcium dans les feuilles mais diminuait aussi la croissance (tableau 6). L'adjonction de nématodes diminuait la capacité d'utilisation en eau dans 2 expérimentations (tableaux 4 et 6) et l'augmentait dans une (sauf pour le cultivar Maris Peer, tableau 4); la diminution de la capacité d'utilisation en eau étant accompagnée par une augmentation de la concentration en calcium dans les feuilles (tableau 7). Le r?le des nématodes a été mis en évidence clairement dans l'expérimentation finale; elle montre que les nématodes augmentent dans un premier temps la capacité d'utilisation en eau avec peu d'effet sur la croissance mais qu'ensuite les plantes malades se développent très lentement et utilisent mal l'eau (fig. 3 et tableau 8). La concentration de calcium total dans les plantes est un très bon indicateur de la quantité totale d'eau absorbée mais seulement lorsque toutes les plantes sont traitées identiquement: les plantes infestées par les nématodes absorbent plus de calcium par quantité unitaire d'eau transpirée (fig. 4). Du fait aussi que les plantes malades utilisaient mal l'eau, elles contenaient de plus grandes concentrations en calcium que les plantes saines. Les effects des nématodes sur la croissance et l'utilisation de l'eau pendant les périodes précoces d'infestation ressemblent aux effets de l'acide absicique (ABA) c'est-à-dire une augmentation de la capacité d'utiliser l'eau grace à une fermeture partielle des stomates, qui est accompagnée par une baisse de la croissance. Des mesures des quantités d'ABA dans les feuilles de 4 cultivars cultivés en parcelles au champ avec peu ou beaucoup de nématodes ont montré que les concentrations d'ABA étaient augmentées là où les populations de nématodes étaient grandes et que le cultivar le plus tolérant aux attaques de nématodes (Cara) avait une grande concentration d'ABA quand les plantes étaient infectées par peu de nématodes et avait une augmentation faible en ABA lorsque il y avait beaucoup de nématodes (tableau 9).
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Summary A laboratory test of potato varietal susceptibility to gangrene is described, which gives results in accord with commercial experience and which is effective on small numbers of tubers per variety. Tubers are inoculated by inserting cores taken from plate cultures of the pathogen into wounds made in the periderm and incubated at 10°C. The size of tubers used in experiments did not bias the susceptibility assessments. Significant differences were found in the reactions of tubers of the same variety and the importance of this to the conduct of the test is discussed. Tests were effective when conducted in September and in February but not in July when resistance to growth of the fungus is great. This resistance declines with storage.
Zusammenfassung Die Ergebnisse beruhen auf Versuchen, die zur Entwicklung eines Labortestes zur Bestimmung der sortenbedingten Anf?lligkeit für Phoma-Knollenf?ule durchgeführt wurden. Sch?tzungen der Anf?lligkeit für Phoma durch den Fachhandel sind in Tabelle 1 dargestellt. Gewaschene Knollen wurden inokuliert, indem 5 mm grosse Agarpfropfen mit dem Krankheitserreger in Wunden im Periderm gebracht wurden. Es wurden L?sionenmessungen vorgenommen, um den durchschnittlichen Radius der L?sionen pro Sorte, die durchschnittliche L?sionentiefe und den durchschnittlichen L?sionentiefe und den durchschnittlichen L?sionen-Index (durchschnittlicher L?sionenradius + Tiefe/2) zu ermitteln. Ein erster Versuch (4.1) mit 8 Sorten zu 10 an je 3 Stellen inokulierten Knollen wurde bei Temperaturen von 5°C und 10°C durchgeführt. Die Ergebnisse sind in Abb. 1 dargestellt. Eine gute Uebereinstimmung mit den Erfahrungen im Fachhandel und eine gute Trennung nach Sorten ergaben sich bei 10°C. Der Beweis wirklicher Unterschiede zwischen Knollen der gleichen Sorte wurde erbracht (4.2), indem Schwester-Knollenh?lften vonMaris Peer je an drei Stellen inokuliert und wahllos in einem Inkubator bei 10°C aufgestellt wurden. Es zeigten sich signifikante Unterschiede zwischen Paaren von Schwester-Knollenh?lften, aber die Schwankung zwischen Schwester-Knollenh?lften war nicht signifikant gr?sser als die Schwankung zwischen den L?sionen innerhalb einer Knollenh?lfte. Gr?ssere Genauigkeit mit dieser Art von Test k?nnte durch die Erh?hung der Knollenzahl pro Sorte statt durch Vermehrung der Zahl der Inokulationsstellen pro Knolle erreicht werden. Die Auslese auf Knollengr?sse (4.3) schien die sortenbedingte Reaktion nicht zu beeinflussen, aber es ergab sich ein Hinweis, dass die Augen bei der Auswahl der Inokulationsstelle nicht berücksichtigt werden sollten (4.4). Tabelle 2 gibt die Ergebnisse dieses Versuches wieder. Es wurde festgestellt, dass die Prüfungen mit den Erfahrungen im Handel übereinstimmten, wenn sie im September oder Februar durchgeführt wurden, jedoch nicht im Juli (4.5). Betr?chtlicher Widerstand gegen die Ausdehnung der L?sionen zeigte sich im Juli, doch nahm dieser mit vorrückender Jahreszeit ab. Die Unterschiede zwischen diesem Test und jenem, von dem Malcolmson (1958) berichtet, werden besprochen.

Résumé Les auteurs présentent les essais qu'ils ont réalisés pour mettre au point un test de laboratoire de détermination de la susceptibilité variétale à la gangrène. Le Tableau 1 montre les appréciations de la susceptibilité variétale par le commerce. On inocule les tubercules lavés en insérant 5 mm de noyaux de cultures de l'agent pathogène sur agar dans des blessures du périderme. On mesure les lésions de manière à préciser leur circonférence moyenne par variété, leur profondeur moyenne et obtenir une cote moyenne (circonférence moyenne des lésions + profondeur/2). On a d'abord réalisé une première expérience (4.1) à 5 et 10°C portant sur 8 variétés, représentées chacune par 10 tubercules inoculés en 3 endroits. Les résultats sont représentés dans la Fig. 1. On observe, à 10°C, une bonne similitude avec les appréciations commerciales et une bonne distinction entre les variétés. On a recherché la preuve de différences réelles entre tubercules d'une même variété (4.2) en inoculant des demitubercules frères deMaris Peer, chacun à 3 places, et en les pla?ant au hasard dans un incubateur à 10°C. Il y a une différence significative au sein des paires de demi-tubercules mais les variations entre les demi-tubercules frères ne sont pas significativement plus grandes que les variations entre lésions sur un même demi-tubercule. On pourrait cependant obtenir une précision beaucoup plus grande dans ce type de test en augmentant le nombre de tubercules par variété plut?t qu'en augmentant le nombre de points d'inoculations par tubercule. La grosseur des tubercules (4.3) ne semble pas influencer la réaction variétale mais il semble qu'il y aurait intérêt à éviter les yeux comme sites d'infection (4.4). Le Tableau 2 rapporte les résultats obtenus dans cet essai. On verra que les tests s'accordent avec l'expérience commerciale lors-qu'ils sont effectués en septembre et février mais non en juillet (4.5). On trouve une résistance considérable à l'extension des lésions en juillet mais celle-ci diminue avec l'avancement de la saison. Les auteurs discutent des différences entre ce test et celui décrit par Malcolmson (1958).
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Summary Early potato varieties are very useful for Spain but early tuberization is even more important than early maturity. Hence in the breeding for early crops carried out by the “Estación de Mejora de la Patata” (Station for Potato Breeding), the choice of potato parents was based on the study of their development rhythms including the vegetative and tuberization rhythms. After an analysis of data on the various stages of potato plant growth and tuber development, varicties exhibiting early tuberization and maturity are indicated as being promising parents.
Zusammenfassung Die Frühkartoffelzüchtung ist für Spanien sehr interessant. Einerseits ist es für die Zentrale Hochebene (mit ihrem typisch kontinentalen Klima) von Interesse, robuste Sorten mit kurzer Wachstumszeit zu besitzen, die sich zwischen den Sp?tfr?sten des Frühlings und der Dürre des Sommers entwickeln; andererseits sind die frühreifen Sorten auch für die künstlich bew?sserten Felder der Mittelmeerküste, und die “vegas” in Andalusien von groszer Bedeutung, da sie eine sehr frühe Belieferung des inl?ndischen, sowie des ausl?ndischen Marktes erlauben. Von noch gr?sserer Wichtigkeit als die Frühreife der Pflanze selbst, ist die frühe Knollenbildung. Wenn wir die Verh?ltnisse des Zentral-Plateaus beachten, hilft die frühe Knollenbildung bedeutend, die Dürre zu vermeiden und in den Zonen der künstlichen Bew?sserung des Mittelmeergebietes erlaubt sie die Ernte von noch grünen Pflanzen. Dies gibt wieder einen besseren Verdienst. Aus den genannten Gründen wurde in den Arbeiten zur Züchtung auf Frühreife in der “Estación de Mejora de la Patata” die Wahl der Eltern auf den Grundlagen ihres Entwicklungsrythmus getroffen. Das betrifft sowohl den vegetativen Rythmus als auch den der Knollenbildung. Diese Beobachtungen wurden im Tal von Vitoria durchgeführt (520 m über dem Meeresspiegel) wo die “Estación de Mejora de la Patata” eine 75 ha umfassenden Hof besitzt. Vitoria befindet sich in der n?rdlich-zentralen Zone Spaniens, ungef?hr auf dem 43. Grad n?rdlicher Breite, mit einem durchschnittlichen j?hrlichen Niederschlag von 750 bis 800 mm und normalerweise einer Trockenperiode w?hrend des Sommers. Da Sp?tfr?ste im Frühling an der Tagesordnung sind, erfolgt die Pflanzung im Monat Mai. Auf Grund der Daten der vegetativen Entwicklungsphase und der Frühreife der Knollenbildung, zeigen Erstling, Saskia, Bintje. Aller-früheste Gelbe. Oberarnbacher Frühe. Erntedank und Katahdin ihre besondere Verwendungsf?higkeit als Eltern sowohl im Hinblick auf die Frühreife ihrer Entwicklung als auch die der Knollenbildung. Oberarnbacher Frühe und Katahdin zeichnen sich auszerdem durch ihre gute Blüten-und Pollenbildung aus, was sie noch wertvoller macht, da diese Qualit?ten selten in frühen Sorten zu finden sind.

Resumen Las variedades tempranas de patata son muy interesantes para Espa?a, siendo requerida no solamente maduración temprana, sino también tuberización precoz, que es importante. De aqui que en el trabajo efectuado sobre “breeding” para prococidad por la “Estación de Mejora de la Patata”, la elección de progenitores se ha basado en el estudio de sus ritmos de desarrollo, que comprenden los ritmos vegetativo y de tuberización. Después de analizar los datos sobre fases de desarrollo vegetativo y precocidad de tuberización, las variedades que muestran tuberización y maduración tempranas, se se?alan como progenitores valiosos.

Résumé Les variétés précoces de la pomme de terre sont très intéressantes pour l'Espagne. D'une part, il est intéressant pour le plateau central (à climat extrême) de posséder des variétés rustiques à cycle de courte durée, pouvant se développer entre les gelées tardives du printemps et la sécheresse de l'été. D'autre part, les variétés précoces sont de haute importance pour les régions irriguées de la c?te méditerranéenne et les plaines fertiles de l'Andalousie, puisqu'elles permettent de mettre de bonne heure la production sur le marché, surtout à l'étranger. Cependant, une tubérisation précose est encore plus importante que la maturité précoce. Sur le plateau central, la précocité de la tubérisation permet d'éviter les effets nuisibles de la séchresse, tandis que dans les régions irriguées que nous venons de nommer, cette précocité de la formation des tubercules permet de récolter quand les plantes sont encore vertes; ce qui donne aussi de meilleurs revenus. Par conséquent, dans les travaux réalisés par la “Estación de Mejora de la Patata” pour augmenter la précocité, le choix des géniteurs a cu pour base l'étude du rythme de leur développement, c'est-à-dire le rythme végétatif et le rythme de tubérisation. Les observations ont été faites dans la plaine de Vitoria (à 520 m d'altitude), où la “Estación de Mejora de la Patata” utilise une ferme de 75 hectares. Vitoria est située dans le centre Nord de l'Espagne, vers 43 de latitude Nord. Les précipitations y atteignent une moyenne annuelle de 750 à 800 mm, mais il y a généralement une période de sécheresse en été. Comme il se produit ordinairement des gelées tardives au printemps, on plante au mois de mai. Selon les données obtenues sur les phases du développement végétatif et la précocité de tubérisation, les variétés Eersteling, Saskia, Bintje, Allerfrüheste Gelbe, Oberarnbacher, Frühe, Erntedank et Katahdin conviennent comme géniteurs, tant par leur précocité de maturité que par celle de leur tubérisation. Les variétés Oberarnbacher Frühe et Katahdin offrent de plus les avantages d'une bonne floraison avec production de pollen, caractères peu courants chez les variétés précoces.


Paper read to the Section Varieties at the 1st Triennial Conference of the E.A.P.R., Braunschweig-V?lkenrode, Sept. 1960.  相似文献   

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Summary Incidences of gangrene and soft rot were assessed on seed tubers and on progeny tubers during growth, at harvest, and after storage, in up to 26 commerical King Edward crops in each of 5 years and up to 13 crops grown from ‘healthier’ seed in 4 years. Gangrene inoculum on seed tubers generally influenced disease levels throughout the season, and inoculum levels during growth were related to disease incidence in store. However, relationships were not significant in every year and more disease developed in some seasons (e.g. 1974) than others. Disease incidence in store was generally low, and an initial curing period of 2 weeks at 15°C decreased incidence at 3°C by about 75%. Assessments of soft rot inoculum and liability to rotting used methods that were still being developed. Relationships between assessments at different times were not significant; disease development in store was negligible. Factors other than inoculum (e.g. damage and soil moisture status at harvest) strongly influence the incidence of both these diseases in store.
Zusammenfassung Zwischen 1971 und 1975 wurde das Auftreten von Phomaf?ule im Pflanzgut und in gelagerten Knollen des Nachbaus in bis zu 26 Proben von Marktware der Sorte King Edward untersucht, sowie das Inokulum vonPhoma exigua var.foveata in an Pflanzknollen anhaftender Erde, an Tochterknollen w?hrend des Wachstums und zur Ernte (Adams et al., 1980). Zwischen 1972 und 1975 wurden diese Untersuchungen auch an Proben, die von ‘gesünderem’ Pflanzgut (das von Stecklingen abstammte) und benachbart zu Marktware aufwuchsen, durchgeführt. Das durchschnittliche Auftreten von Inokulum oder Krankheitsbesatz in Marktware (Tab. 1) zeigte, dass der Gehalt an Inokulum w?hrend des Wachstums und zur Ernte im allgemeinen gering war. In gelagerten Knollen war der Krankheitsbefall 1971 und 1972 am h?chsten, überstieg aber in keinem Jahr 10% der Knollen. Eine Wundheilperiode von 2 Wochen bei 15°C senkte den Befall bei 3°C um 75%. Der Befall war in Proben aus ‘gesünderem’ Pflanzgut (Tab. 2) etwas niedriger als im Durchschnitt der Marktware, aber in keinem Jahr war das Pflanzgut oder der Nachbau v?llig frei von dieser Krankheit. Die Signifikanz der Regressionen zwischen den Feststellungen des Befalls oder des Inokulums, die in verschiedenen Stadien gemacht wurden (Tab. 3) zeigt, dass das Inokulum oder der Befallsgrad des Pflanzgutes im allgemeinen die H?he des Inokulums w?hrend der Vegetationszeit beeinflusst, aber keine dieser Beziehungen war in jedem Jahr signifikant (Abb. 1). Der Verlauf der Regressionen zeigte, dass das Inokulum im Jahre 1974 st?rker anstieg als in den übrigen Jahren, vielleicht auf Grund der niedrigen durchschnittlichen Bodentemperaturen. Diese Ergebnisse unterstreichen die Bedeutung der Pflanzkartoffel als Quelle des Inokulums, der Krankheitsbefall im Lager h?ngt aber auch vom Ausmass der Besch?digungen und von der Lagerungstemperatur ab. Um die Krankheitsbereitschaft von Knollen für bakterielle F?ulen zu untersuchen, wurden Knollen des Pflanzgutes, Proben wachsender und geernteter Kartoffeln in Folienbeuteln oder verschlossenen Plastikeimern mit verminderter Sauerstoffkonzentration inkubiert. W?hrend der Vegetationszeit wurde die Schwarzbeinigkeit bonitiert, 1974 und 1975 wurde der Gehalt an Inokulum in den Lentizellen der wachsenden und der geernteten Knollen bestimmt und das Auftreten von Nassf?ule im Lager untersucht. Die Durchschnittswerte der Marktware (Tab. 4) und der ‘gesünderen’ Ernte (Tab. 5) zeigten, dass sich offensichtlich im Lager keine Nassf?ule entwickelte, weil wahrscheinlich die Bedingungen nicht geeignet waren, 1974, als die Knollen mit nasser Erde geerntet wurden, trat etwas Nassf?ule auf, die durch eine Wundheilperiode von 2 Wochen bei 15°C gef?rdert wurde. Die Tests, die verwendet wurden, waren gr?sstenteils noch in der Entwicklung. Es ergaben sich keine übereinstimmenden und statistisch zu sichernden Beziehungen zwischen den Ergebnissen, die zu verschiedenen Zeiten erhalten wurden, die Zahl der Bakterien ?ndert sich auch schnell mit den Umweltbedingungen. Der Krankheitsbefall im Lager wird wahrscheinlich mehr durch die zur Zeit der Ernte herrschenden Bodenbedingungen und die ursprünglichen Lagertemperaturen bestimmt als durch die H?he des Inokulums zu einem früheren Zeitpunkt w?hrend des Wachstums.

Résumé On a étudié, sur 26 lots commerciaux de la variété King Edward, de 1971 à 1975 (Adams et al., 1980), l'incidence de la gangrène sur les tubercules de semence et sur la descendance, ainsi que celle du taux d'inoculum (Phoma exigua var.foveata) du sol, sur les tubercules de semence et sur les tubercules-fils pendant la période végétative et à la récolte. Entre 1972 et 1975, les études ont également été faites sur des cultures provenant de semences ‘plus saines’ (dérivées de boutures) voisines de celles issues de lots commerciaux. L'incidence moyenne de l'inoculum ou de la maladie sur les cultures provenant des lots commerciaux (tableau 1) a montré que les taux d'inoculum étaient généralement faibles pendant la période de croissance, et à la récolte. L'incidence de la maladie en cours de conservation a été plus élevée en 1971 et 1972, mais n'a jamais excédé 10% pour ces années. La cicatrisation des blessures durant 2 semaines à 15°C a diminué de 75% environ l'incidence de la maladie par rapport à 3°C. L'incidence de la maladie pour les tubercules provenant des semences ‘plus saines’ (tableau 2) a été quelque peu inférieure à la moyenne des lots commerciaux, mais quelle que soit l'année, les tubercules de semence et les récoltes subséquentes n'ont pas été totalement indemnes de gangrène. La signification des régressions entre les estimations de la maladie ou de l'inoculum, réalisées à différents stades de la culture (tableau 3) ont montré que les taux d'inoculum ou de maladie du tubercule de semence influen?aient généralement les taux d'inoculum pendant toute la saison, mais aucune des relations n'a été significative quelle que soit l'année (fig. 1). Les pentes des droites de régression ont indiqué que l'inoculum a plus augmenté en 1974 par rapport aux autres années; il est possible que cela soit d? aux basses températures moyennes du sol. Les résultats ont confirmé l'importance du tubercule de semence en tant que source d'inoculum, mais dans la pratique l'incidence en cours de conservation sera également dépendante des endommagements et de la température de conservation. Le risque de pourriture bactérienne pour les tubercules a été étudié par mise en incubation de plants et d'échantillons prélevés pendant la période végétative et à la récolte. Les tubercules ont été placés dans des sacs de polyéthylène, ou dans des seaux en plastique fermés avec des concentrations en oxygène très faibles. L'incidence de la jambe noire a été déterminée pendant la période végétative, les taux d'inoculum ont été estimés au niveau des lenticelles des tubercules en cours de croissance et à la récolte pour 1974 et 1975 et l'incidence des pourritures molles a été étudiée sur les tubercules en cours de conservation. Les valeurs moyennes de ces études réalisées sur les lots commerciaux (tableau 4) et les cultures issues de semences ‘plus saines’ (tableau 5) ont montré qu'il n'y a pas eu virtuellement de pourritures molles en conservation, cela étant sans doute d? aux conditions non favorables au développement de la maladie. En 1974, quand les tubercules ont été récoltés dans des sols humides, quelques pourritures molles se sont développées et ont augmenté lors de la mise en cicatrisation pendant 2 semaines à 15°C. Les tests utilisés étaient pour la plupart encore en cours détude et il n'y a pas eu de relations statistiques logiques et significatives entre les notations faites à différentes périodes; cela est probablement d? au fait que le nombre de bactéries change rapidement en fonction des conditions d'environnement. L'incidence de la maladie en cours de conservation est certainement plus influencée par les conditions de sol à la récolte et par les températures initiales de conservation, plut?t que par les taux d'inoculum existant en début de saison.
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Summary In 1977, spread of serologically identifiable strains ofErwinia carotovora var.atroseptica and var.carotovora were traced from inoculated ‘seed’ through soil to progeny tubers of cv. Pentland Crown by placing inoculated tubers against the seed tubers of field plants at four different dates from late June to September. Progeny tubers were dug and soil samples taken 2, 4 and 8 weeks after placement and at a common final harvest, and tubers induced to rot and the causal organism identified by immunodiffusion serology. Early placements coincided with the onset of predominantly dry weather which lasted until early August and although bacteria of both varieties were detected in soil none were found in induced progeny tuber rots. Much of August was wet and resulted in successful spread of both pathogens to progeny tubers. Most of September was dry and spread to progeny from the last placement date was only detected in early October following late September rain.
Zusammenfassung Der 1977 durchgeführte Feldversuch ist eine Fortsetzung der 1976 begonnenen Arbeit, in der die Ausbreitung eines serologisch identifizierbaren Stammes vonErwinia carotovora var.atroseptica von infiziertem Pflanzgut auf die Tochterknollen der Sorte Pentland Crown nachweisbar war, in dem inokulierte Knollen gegenüber der der Pflanzknollen in das Feld gebracht wurden (Harris & Lapwood, 1977). Um zu bestimmen, ob eine übertragung stattgefunden hat, wurden die Tochterknollen zuverschiedenen Zeiten w?hrend der Wachstumsperiode geerntet, die F?ule ausgel?st und das verantwortliche Bakterium durch einen Immundiffusionstest identifiziert (Vruggink & Maas Geesteranus, 1975). Die 1977 durchgeführten Untersuchungen vergleicht in zwei nebeneinander liegenden Feldversuchen die Ausbreitung von var.atroseptica und von einem serologisch identifizierbaren Stamm von var.carotovora. Material und Methoden entsprechen den bei Harris & Lapwood (1977) beschriebenen und Tabelle 1 zeigt die 4 Daten, an denen die inokulierten Pflanzknollen in den Bestand gebracht wurden, sowie die Daten 2, 4 und 8 Wochen nach der Pflanzung der inokulierten Knollen an denen Boden-und Knollenproben genommen wurden. Die Abbildung zeigt die Beziehungen zwischen der Ausbreitung der inkubierten St?mme in den Boden und in die Tochterknollen und der Bodentemperatur in der Knollenansatzzone und der w?chentlichen Regenmenge. Pflanzungen Ende Juni und Anfang Juli fielen mit dem Beginn einer trockenen Wetterperiode zusammen, die bis Anfang August anhielt und obwohl Bakterien beider Variet?ten im boden gefunden wurden, konnten mit Ausnahme von var.carotovora am 5. September, 8 Wochen nach der Pflanzung im Juli, keine in faulenden Tocheterknollen entdeckt werden. Der August war nass und dies führte zu einer erfolgreichen Ausbreitung beider Pathogene in Tochterknollen nach der Auspflanzung im August. Der September war trocken und eine Ausbreitung von der Auspflanzung im September wurde nur Anfang Oktober nach einem Regen im September gefunden. Tabelle 2 zeigt die Ergebnisse über den Zustand der Mutter-(Pflanz)-knollen, die von den Pflanzen nicht entfernt worden waren und der bei jeder probennahme beschrieben wurden. Anfang Juli begann bei einigen der Zerfall, bei den meisten jedoch erst Ende September. Isolierungen aus faulenden Knollen von ‘inokulierten’ Parzellen ergaben meistens ‘fremde’ St?mme, aber einige reagierten doch mit den spezifischen Antiseren; in den Kontrollparzellen waren nur ‘fremde’ St?mme zu finden. Das Vorhandensein der natürlichen Pflanz-(Mutter)-knolle ver?nderte unzweifelhaft das Ausbreitungsmuster, obwohl es natürlich m?glich ist, dass in den Infektionsstellen der Tochterknollen Vermischungen zwischen ‘eingeführten’ und ‘fremden’ St?mmen stattgefunden haben. Diskutiert wird der Wert solcher Versuche, in der Untersuchung über die Rolle der faulenden Pflanzknolle. Die Verwendung inokulierter von der Pflanze abgel?ster Knollen hat den Vorteil, dass eine Art ‘Boden-Inokulum’ zu verschiedenen Zeiten eingeführt und der Einfluss der nachfolgenden Wetterbedingungen auf die Ausbreitung der Bakterien untersucht werden kann: die anhaftende Mutterknolle ist in diesem Zusammenhang nur von wenig Nutzen, da der Zeitpunkt und die Ursache des Faulens nicht bekannt sind. In Grossbritannien wird var.carotovora als zweitrangig betrachtet gegenüber var.atroseptica. Dieser Versuch zeigt, dass beide Pathogene sich gleich gut von ‘Bodenquellen’ ausbreiten k?nnen, und dass daher die Rolle von var.carotovora, die h?ufig in Pflanzgut auftritt, vor allem in Herkünften aus Stengelabschnitten (VTSC), intensiver untersucht werden muss.

Résumé L'expérimentation au champeffectuée en 1977 est la suite de travaux commencés en 1976; on a suivi alors la transmission d'une race sérologiquement identifiable d'Erwinia carotovora var.atroseptica d'une semence inoculée à des tubercules fils de la variété Pentland Crown en plantant des tubercules inoculés contre des tubercules de semence en plein champ (Harris & Lapwood, 1977). Pour déterminer comment l'évolution a eu lieu, les tubercules fils récoltés à différents stades sont conduits à putréfaction et la bactérie responsable identifiée par des tests d'immunodiffusion (Vruggink & Maas Geesteranus, 1975). L'étude de 1977 compare le mode de transmission de var.atroseptica et d'une race sérologiquement identifiable de var.carotovora dans deux expémentations placées c?te à c?te en plein champ. Le matériel et les méthodes suivent ceux décrits par Harris & Lapwood (1977); le tableau I montre les quatre dates de mise en place dans la culture des tubercules inoculés et les dates de prélèvements de tubercules et de sol, 2, 4 et 8 semaines après cette mise en place. Comme le montre la figure 1, la transmission des souches incubées aux tubercules fils et dans le sol est en relation avec la profondeur de tubérisation et la pluviométrie hebdomadaire. La mise en terre à la fin juin et début juillet co?ncide avec le début du temps chaud qui dura jusqu'à début ao?t et, quoique les bactéries des deux variétés soient détectées dans le sol, aucune n'a été découverte dans les pourritures de la descendance, à l'exception de la variétécarotovora le 5 septembre, sur l'échantillon de 8 jours correspondant aux tubercules mis en place en juillet. Une grande partie du mois d'ao?t a été humide et il en résulte une transmission favorable des deux pathogènes aux tubercules fils pour les échantillons mis en terre en ao?t. La plus grande partie de septembre a été sèche, aussi nous n'avons décelé dans les lots mis en place en septembre la transmission à la descendance qu'au début octobre, après les pluies de fin septembre. Le devenir des tubercules mères, qui n'ont pas été détachés de la plante, est étudié à chaque échantillonnage, et les résultats sont décrits dans le tableau 2. Peu ont commencés à se désagréger avant début juillet et beaucoup fin septembre. Des isolements de tubercules pourris montrent la présence de races sauvages dans les parcelles inoculées, et quelques-unes réagissent avec les anti-sérums spécifiques; les isolements à partir de tubercules pourris provenant de parcelles témoins révèlent uniquement l'existence de races ‘sauvages’. Ainsi, la présence de tubercules mères a perturbé le type de transmission décrit, bien qu'une compétition ait pu avoir lieu entre races ‘introduites’ et ‘sauvages’ aux sites d'infection des tubercules fils. La valeur de ce type d'expérimentation dans l'étude du r?le du tubercule de semence pourrie est discutée. L'utilisation de tubercules inoculés indépendants de la plante présente deux avantages: on peut introduire la source d'inoculum du sol à différentes dates et étudier les effets des conditions climatiques ultérieures sur la transmission bactérienne; le tubercule mère, en tant que source d'inoculum, n'est guère utile puisque la date et la cause des pourritures ne sont pas connues. En Grande-Bretagne, la variétécarotovora est considérée comme d'importance secondaire par rapport à la variétéatroseptica. Cette expérimentation suggère que les deux pathogènes peuvent se transmettre facilement à partir des sources du sol, et par conséquent le r?le de la variétécarotovora, qui est présente fréquemment dans les lignées de semence et qui provient spécialement de bouturage, nécessite d'être étudiée de fa?on plus intensive.
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Summary Potatoes of cv. Désirée and Pentland Crown, treated in February at 0, 0.6, 1.2, 2.5, 5, 10, and 20 mg kg1 chlorpropham adsorbed on alumina, were sampled for analysis immediately before planting at the beginning of May. Chlorpropham was extracted using hexane as the solvent in the presence of anhydrous sodium sulphate. Emergence and yield data showed that low levels of chlorpropham (<0.3 mg kg−1) that had little effect on total emergence, increased the mean emergence time and reduced yield. High levels of chlorpropham drastically reduced total emergence and yield.
Zusammenfassung Chlorpropham (Isopropyl-N-(3-chlorophenyl) carbamat) ist ein weitverbreitetes Keimhemmungsmittel, das niemals bei Pflanzkartoffeln angewendet wird, da es ein die Zellteilung hemmendes Gift ist. Zuf?llige Kontamination kann jedoch erfolgen und es war daher der Sinn dieses Versuches, die Mengen an Chlorpropham zu bestimmen, die nachweislich den Auflauf, den Ertrag und die Gr?ssenverteilung der nachfolgenden Ernte beeinflussen. Zwei Proben von je 7,5 kg der Sorten Désirée und Pentland Crown wurden mit Chlorpropham in den Aufwandmengen von 0, 0,6, 1, 2, 2,5, 5, 10 und 20 mg/kg best?ubt. Nach der Lagerung bei 10°C in fest verschliessbaren Beh?ltern wurden sie zwei Wochen vor dem pflanzdatum vorgekeimt und 1 kg für die Rückstandsanalysen abgenommen. Der Rest wurde gepflanzt und Auflauf und Ertrag bestimmt. Die Extraktion von Chlorpropham erfolgte nach der Methode von Cerny & Blumenthal (1972) und es wurde eine neue Reinigungsmethode entwickelt, die den Einsatz eines Gaschromatographen mit einem Flammenionisationsdetektor erlaubt. Tabelle 1 zeigt die Rückstandswerte und die entsprechenden Angaben für den Feldbestand. Der Einfluss von Chlorpropham war bei der Sorte Pentland Crown deutlicher, aber allgemein verl?ngerten sehr kleine Rückstandswerte (<0.3 mg/kg) bereits die durchschnittliche Auflaufzeit und verringerten leicht den Ertrag, obwohl die gesamte Auflaufrate nahe bei 100% blieb. H?here Werte (0,3–1 mg/kg) verz?gerten den Auflauf und reduzierten den Ertrag. Rückst?nde über 1 mg/kg führten zu geringem Auflauf und einer drastischen Ertragseinbusse. Lagerh?user in denen Chlorpropham angewendet wird oder in denen behandelte Knollen gelagert werden sind offensichtlich Quellen der Kontamination mit geringen Mengen.

Résumé Le chlorprophame (isoprophyl-N-(3 chlorophenyl) carbamate) est un inhibiteur de germination très employé mais jamais sur pomme de terre de semence parce que c'est un poison mitotique. Une contamination accidentelle peut avoir lieu et l'objet de cette expérimentation était de déterminer les taux de chlorprophame qui affectent de fa?on significative la germination, le rendement et la distribution par calibre de la culture suivante. Une expérimentation à 2 répétitions a été faite avec du chlorprophame par poudrage à différentes concentrations: 0, 0,6, 1,2, 2,5, 5, 10, et 20 mg/kg sur des échantillons de 7,5 kg pour les variétés Désirée et Pentland Crown. Ces échantillons ont été conservés à 10°C dans des bo?tes fermées hermétiquement et prégermés pendant 2 semaines avant la date de plantation tandis qu'un échantillon de 1 kg a été prélevé pour une analyse de résidus. Les tubercules restants ont été plantés et les notations de levée et de rendement ont été effectuées. La méthode de Cerny & Blumenthal (1972) a été employée pour extraire le chlorprophame et une nouvelle technique de lavage a été imaginé afin d'obtenir des échantillons adaptés á la chromatographie en phase gazeuse utilisant la détection thermoionique. Les teneurs en résidus et les notations au champ correspondantes sont indiquées dans le tableau 1. L'effet du chlorprophame était plus accentué pour les variétés Pentland Crown mais, en général, de faibles taux en résidus (<0,3 mg/kg) retardaient la durée de levée moyenne et réduisaient légèrement les rendements quoique la levée totale approchait 100%. Les taux de résidus plus élevés (0,3 → 1,0 mg/kg) retardaient également la levée et diminuaient les rendements. Les résidus supérieurs à 1,0 mg/kg provoquaient une mauvaise levée et des réductions sérieuses de rendement. Les locaux utilisés pour l'application du chlorprophame ou pour la conservation de tubercules traités sont indiscutablement des sources faibles de contamination.
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