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1.
Light and nitrogen (N) interaction effects on rice (Oryza sativa L., cv. UPLRi-7) were studied in the growth chamber, and effects on its competition with Rottboellia cochinchinensis (Lour.) W.D. Clayton and Echinochloa colonum (L.) Link were studied in the field. In the field, N availability increased the canopy light absorption coefficient, and reduced the sunlit leaf area index of rice. In growth chambers, rice plants grown under conditions of low photosynthetically active radiation (PAR) had higher shoot N concentration than when grown at higher PAR. The photosynthetic rate was strongly correlated with leaf N content per unit leaf area. When no N was applied there was no difference in dry matter yield between plants grown at 150 and 400 μE m?2s?1. At various N levels, dry matter increased with increasing light intensity. A reduction in light intensity did not give a proportionate decrease in plant growth. The results suggest that an increase in shoot N concentration is an adaptive mechanism of shade plants. The limited plant response to N under shade and acclimation of rice to reduced irradiance could be significant factors in light and N interaction on rice-weed competition. Effets de la lumière, de l'azote et de leur interaction sur la dynamique de la compétition riz/mauvaises herbes Les effets de l'interaction de la lumière et de l'azote (N) sur le riz (Oryza sativa L.), cv UPLRi-7) ont étéétudiés en chambre climatique et les effets sur sa compétition avec Rottboeillia cochinchinensis (Lour) WD Clayton et Echinochloa colonum (L.) Link ont étéétudiés au champ. Au champ, la disponibilité en azote a augmenté le coefficient d'absorption de la lumière par la canopée et a réduit l'index de la surface foliaire ensoleillée du riz. En chambre climatique, les plants de riz cultivés à une faible radiation photosynthétiquement active (PAR) avaient une concentration en azote de leur tige plus élevée qu'à une forte PAR. Le taux photosynthétique a été fortement correlé avec la teneur en azote foliaire par unité de surface foliaire. Quand aucune azote a été appliquée, il n'y a pas de différence dans les rendements en matière sèche entre les plantes cultivées de 150 à 500 μE m?2 s?1; A des doses variées d'azote, la matière sèche a augmenté avec l'augmentation de l'intensité lumineuse. Une réduction de l'intensité lumineuse n'a pas entraîné une réduction proportionnelle de la croissance de la plante. Les résultats donnent à penser que l'augmentation de la concentration en azote des tiges est un mécanisme d'adaptation des plantes à l'ombre. La réponse des plantes à l'azote limitée sous l'ombre et l'acclimation du riz à une irradiation réduite pourraient être des facteurs significatifs dans l'interaction lumière-azote sur la compétition riz-adventices. Wirkungen und Wechselwirkungen von Licht und Stickstoffdüngung auf die Konkurrenz zwischen Reis und Unkraut Der Einfluß des Lichts und der Stickstoffdüngung (N) auf Reis (Oryza sativa L. ‘UPLRi-7’) wurde in der Pflanzenwuchskammer und die Wirkungen auf die Konkurrenz mit Rottboellia cochinchinensis (Lour.) W.D. Clayton und Echinochloa colonum (L.) Link im Freiland untersucht. Die Verfügbarkeit von N erhöhte im Feld den Licht-Absorptionskoeffizienten und reduzierte den Blattflächenindex beim Reis. Bei der Anzucht in Pflanzenwuchs-kammern hatten Reispflanzen bei niedriger Beleuchtungsstärke eine hohere N-Konzentration als bei stärkerer Beleuchtung. Die Photosyntheserate war deutlich mit dem N-Gehalt, bezogen auf die Blattfläche, korreliert. Ohne N-Düngung traten bei 150 und 400 μE m?2 s?1 keine Trockenmassenunterschiede auf. Bei verscbiedenen N-Düngungsstufen nahm die Bildung von Trockenmasse mit der Lichtintensität zu. Eine Verminderung der Lichtintensität führte nicht zu einer proportionalen Abnahme des Pflanzenwuchses. Aus den Ergebnissen wurde geschlossen, daß die Zunahme der N-Konzentration im Sproß ein adaptiver Mechanismus von Schattenpflanzen ist. Die begrenzte Reaktion der Pflanzen auf Stickstoff im Schatten und die Akklimation von Reis auf vermindertes Licht könnten signifikante Faktoren für die Wechselwirkungen von Licht und Stickstoffdüngung auf die Konkurrenz zwischen Reis und Unkraut sein.  相似文献   

2.
The effect of nitrogen, phosphorus and potassium on the growth of weeds was studied at two locations on low-fertility acid soils in Suriname. Nitrogen stimulated the growth of weeds in terms of ground-cover and weight on a loamy sand of comparatively low fertility, as well as on a sandy loam of higher fertility. Phosphorus ultimately only stimulated ground-cover development and growth on the sandy loam, and interacted positively with nitrogen on that soil. Potassium had no effect on weed weight, but at both locations the number of plants increased with application of K. Differences in the amount of weed growth between the two locations were related to differences in the composition of the weed flora. On the sandy loam with application of 50 kg N, 50 kg P and 40 kg K ha?1, nutrient uptake by the weeds was 72 kg N, 10 kg P and 121 kg K ha? over a period of 35 days. Réponse des adventices à l'application d'azote, phosphore et potassium sur des sols pauvres acides au Surinam En deux lieux du Surinam avec des sols pauvres acides, l'effet de l'azote, du phosphore et du potassium sur la croissance des adventices a étéétudié. L'azote a stimulé la croissance des adventices en terme de couverture du sol et de poids sur un sable limoneux relativement pauvre aussi bien que sur un limon sableux de plus grande fertilité. Le phosphore a finalement seulement stimulé le développement et la croissance sur le limon sableux et il y a eu une interaction positive avec l'azote. Le potassium n'a pas eu d'effet sur le poids des adventices, mais dans les deux situations le nombre de plantes a augmenté avec l'application de K. Les différences dans la quantité de mauvaises herbes entre les deux situations étaient liées aux différences dans la composition de la flore adventice. Sur le limon sableux avec une application de 50 kg d'azote, 50 kg de phosphore et 40 kg de potasse à l'hectare, l'absorption par les adventices a été en 35 jours de 72 kg N, 10 kg P et 121 kg K à l'hectare. Wirkung einer Stickstoff-, Phosphor- und Kaliumdüngung auf die Verunkrautung ertragarmer, saurer Böden in Surinam An 2 Orten mit ertragarmen, sauren Böden in Surinam wurde die Wirkung einer Stickstoff-, Phosphor- und Kaliumdüngung auf das Wachstum von Unkräutern untersucht. Stickstoff förderte das Wachstum von Unkräutern (Bodendeckung, Biomasse) sowohl auf einem verhältnismäßig ertragarmen lehmigen Sand als auch auf einem ertragreicheren sandigen Lehm. Phosphor förderte letzten Endes Deckungsgrad und Wachstum nur auf dem sandigen Lehm und wirkte da positiv mit Stickstoff zusammen. Kalium hatte keine Wirkung auf die Biomasse, aber an beiden Orten führte es zu einer größeren Pflanzendichte. Die Wachstumsunterschiede an den beiden Orten hingen von der Zusammensetzung der Unkrautflora ab. Auf dem sandigen Lehm betrug bei 50 kg N, 50 kg P und 40 kg K ha?1 die Nährstoffaufnahme der Unkräuter 72 kg N, 10 kg P und 121 kg K ha?1 innerhalb 35 Tagen.  相似文献   

3.
The control of weeds and nematodes by solar heating of the soil using transparent polyethylene (PE) sheets was studied in the field during the summer of 1990. PE mulching for 32 days decreased the emergence from seed of the dominant weeds Dactyloctenium aegyptium (L.) P. Beauv., Acrachne racemosa (Roem. & Schult.) Ohwi, Trianthema monogyna L. and Cyperus rotundus L. by over 90%. Emergence of C. rotundus from tubers was increased by the mulching treatments. Mulching for 16 days also decreased weed emergence but to a lesser extent than the 32-day treatment. The main solarization effect was restricted to the 0–5 cm layer of soil. Solarization reduced the population of plant-parasitic nematodes (Tylenchus, Heterodera, Xiphinema, Hoplolaimus, Pratylenchus and Ro-tylenchus spp.) by about 90% and of saprophytic nematodes by about 60% but, after 70 days, the nematode levels had largely recovered. The mean maximum soil temperatures recorded at 5 cm were higher when mulching followed irrigation. Data are given on the soil temperatures recorded over the 32-day period. The growth of soybean was improved and seed yield increased by up to 78% following solarization. Effet de la solarisation du sol sur les mauvaises herbes et les nematodes en conditions tropicales indiennes La lutte contre les mauvaises herbes et les nématodes par solarisation du sol à l'aide de films de polyéthylène transparent (PE) a étéétudiée au champ pendant l'été 1990. Trente deux jours de solarisation diminuaient de plus de 90% la levée à partir de graines des mauvaises herbes dominantes Dactyloctenium aegyptium (L.) P. Beauv., Acrachne racemosa (Roem. & Schult.) Ohwi, Trianthema monogyna L. et Cyperus rotundus L. La levée de C. rotundusà partir de tubercules était accrue par la solarisation. Seize jours de solarisation diminuaient aussi la levée des mauvaises herbes, mais dans un moindre mesure. L'effet de solarisation s'exerçait principalement dans les 5 centimètres superficiels du sol. La solarisation réduisait d'environ 90% la population de nématodes parasites des plantes (Tylenchus, Heterodera, Xiphinema, Hoplolaimus, Pratylenchus et Rotylenchus spp.) et d'environ 60% la population des nématodes saprophytes. Après 70 jours, les populations de nematodes étaient pratiquement reconstituées. Les moyennes des températures maximales du sol enregistrées à 5 cm de profondeur étaient plus élevées quand l'installation du film polyéthylène suivait une irrigation. Des données concernant la température du sol sur 32 jours sont communiques. La croissance du soja était accrue et le rendement en grains augmentait jusqu'à 78% après solarisation. Wirkung der Bodensolarisation auf Unkräuter und Nematoden unter tropischen Bedingungen Die Bekämpfung von Unkräutern und Nematoden durch Solarisation mittels farbloser Polyethylenfolia (PE) wurde im Sommer 1990 im Freiland untersucht. Nach 32tägiger Solarisation nahm die Keimung der vorherrschenden Unkräuter Dactyloctenium aegypticum (L.) P. Beauv., Acrachne racemosa (Roem. & Schult.) Ohwi, Trianthema monogyna L. und Cyperus rotundus L. um über 90% ab. Der Austrieb von Cyperus rotundus aus Knollen wurde gefördert. Eine l6tägige Solarisation war nicht so wirkungsvoll. Die Wirkung war auf die oberste Bodenschicht bis 5 cm Tiefe beschränkt. Gegen pflanzenparasitische Nematoden (Tylenchus, Heterodera, Xiphinema, Hoplolaimus, Pratylenchus und Rotylenchus spp.) betrug die Wirkung der Solarisation etwa 90%, gegen saprophytische Nematoden rund 60%, aber nach 70 Tagen hatten sich die Nematodenpopulationen wieder weitgehend erholt. Nach Bewässerung wurde in 5 cm Tiefe eine höhere Bodentemperatur erreicht. Für die 32-Tage-Periode werden die Temperaturdaten wiedergegeben. Nach der Solarisation war das Wachstum von Sojabohne verbessert, und die Erträge stiegen um bis zu 78%.  相似文献   

4.
The effects of temperature and nitrogen level on the morphology of Agropyron repens (L.) Beauv. were investigated in a factorial experiment involving three temperatures (10°, 15° and 20°C) and three nitrogen levels (15, 120 and 960 ppm N). The main effects on axillary bud outgrowth were found at 15 ppm N and 10°C. At 15 ppm N there was an increase in the frequency of dormant buds in the axils of the coleoptile and leaf 3, and a tendency for the buds in the axils of leaves 1 and 2 to produce rhizomes or rhizome-tillers instead of tillers. At 10°C there was a high proportion of dormant buds in the colcoptile axil but all buds in higher axils grew out. Both 15 ppm N and 10°C led to the production of relatively fewer secondary rhizomes and tillers. Maximum leaf length was attained at 20°C/120 ppm N, when leaves were 40–50% longer than those at 10°C/15 ppm N. Nitrogen level had little effect on total stem height, but at all nitrogen levels stem height and the height of individual internodes increased with increasing temperature. The size of the shoot apex and the number of leaf primordia borne on it increased with decreasing temperature and increasing nitrogen level. Effets de la temperature et du niveau d'azote sur la morphologie de l'Agropyron repens (L) Beauv. Les effets de la témperature et du niveau d'azote sur la morphologie de l'Agropyron repens (L.) Beauv. ont étéétudiés dans une expérience factorielle mettant en jeu trois températures (10°, 15° et 20° C) et trois niveaux d'azote (15, 120 et 960 ppm). L'effet principal sur l'éclosion du bourgeon axillaire a été observéà 15 ppm d'azote et 10° C. A 15 ppm d'azote, il y a eu un accroissement de la fréquence des bourgeons dormants aux aisselles du coleoptile, et de la feuille 3, et une tendance pour les bourgeons aux aisselles des feuilles 1 et 2 à produire des rhizomes ou des tallesrhizomes au lieu de talles. A 10° C il y a eu une proportion élevée de bourgeons dormants à l'aisselle du coléoptile, mais tous les bourgeons des aisselles plus élevées sc sont dévetoppés. 15 ppm d'azolc et 10° C ont provoqué une production reiativement plus faible de rhizomes secondaires et de talles. La longueur maximale des feuilles a été atteinte a 20° C et 120 ppm d'azote, lorsque les feuilles furent 40 à 50% plus longues que celles obtenues a 10° C et 15 ppni d'azote. Le niveau d'azote a eu peu d'influence sur la hauteur totale de la tige, mais, à tous les niveaux d'azote, la hauteur de la tige et celle des internoeuds individuets a augments avec la temperature. La taille de l'apex des pousses et le nombre d'ébauches de feuilles apparaissant dessus a augmentéà mesure que la température diminuait et que s'accroissait le niveau d'azote. Die Wirkung von Temperatur und Stickstoffversorgung auf die Morphologie von Agropyron repens (L.) Beauv. In einem mehrfaktoriellen Versuch wurde der Einfluβ von Temperatur (10, 15 and 20°C) und Stickstoffgaben (15, 120 und 960 ppm N) auf die Morphologie von Agropyron repens (L.) Beauv. untcrsucht. Die Hauptwirkung auf den Austrieb der Achselknospen wurde bei 15 ppm N und 10°C beobachtet. Bei 15 ppm N war eine Zunahme in der Häufigkeit dormanter Knospen in der Koleoptilenachsel und der Achsel des dritten Blattes zu verzeichnen. Weiterhin bestand die Tendenz, daβ die Knospen in den Blattacbseln des 1. und des 2. Blattes Rhizome oder Rhizom-Bestockungstriebe siatt Bestockungstriebe bildelen. Bei 10°C war ein groβer Anteil dormanter Knospen in der Koleoptilachsel vorhanden; aber alle Knospen der höheren Achseln trieben aus. 15 ppm N, als auch 10°C bewirkten die Bildung von relaliv wenigen sekundären Rhizomen und Bestockungstrieben. Maximale Blattiängen wurden bei 20°C/120 ppm N erhalten. Hierbei waren die Blätter um 40–50% Iänger als bei 10°C/15 ppm N. Der Slickstoffgehalt hatte nur eine geringe Wirkung auf die gesamte Sproβhöhe, aber bei alien Stickstoffgehaiten nahm die Sproβhöhe und die Länge der Internodien mit steigender Temperatur zu. Das Ausmaβ der Sproβspitze und die Zahl der Blattaniagen nahm mit abnehmender Temperatur und steigender Stickstoffversorgung zu.  相似文献   

5.
In order to estimate yearly variations and accuracy of prediction of maize yield losses due to weeds, we used supplementary maize individuals that mimic weeds and reduce the experimental variability. Biomass decrease at various growth stages and grain yield losses of maize were interpreted through regression analyses in terms of density and biomass of supplementary individuals. Comparison of losses due to weeds and supplementary maize does not allow the calculation of equivalent weed-maize density or biomass at the same competitive effect. In most cases regression curves obtained in maize-maize experiments were different from one year to another. The use of results from several trials, previously published, on the effect of plant spacing on maize yield over a number of years also showed a large variation in predicted values, which confirmed the inaccuracy of an empirical predictive model using weed density and biomass. Limites d'un modèle simple de prédiction des pertes de rendement dans le maïs Afin d'évaluer les variations annuelles et l'incertitude liées à la prédiction des pertes de rendement dues aux mauvaises herbes chez le maäs, nous avons utilisé des pieds supplémentaires de maäs pour simuler les mauvaises herbes et réduire la variabilité expérimentale. Les pertes de biomasses à différents stades du développement et les pertes de rendement en grain ont été interprétées par des analyses de régression en fonction de eadensité et de la biomasse des plantes supplémentaires de maäs. La comparaison avec les pertes dues aux mauvaises herbes n'a pas permis d'aboutir à des fonctions de densité ou de biomasse équivalentes pour le même effet compétitif. Les régressions obtenues dans le système maäs-maäs ont été le plus souvent différentes d'une année à l'autre. L'utilisation des résultats de nombreux essais pluriannuels déjà publiés sur l'effet de la densité de semis sur le rendement du maäs a montréégalement une forte incertitude sur les valeurs prédites, ce qui confirme l'imprécision d'un modèle empirique de prédiction de la compétition fondé sur la densité et la biomasse des mauvaises herbes. Grenzen eines einfachen Modells zur Vorhersage von Ertragsverlusten beim Mais Zur Abschätzung der jährlichen Schwankungen und der Genauigkeit der Vorhersage von Ertragsverlusten beim Mais infolge Unkrautkonkurrenz wurden zusätzliche Maispflanzen eingesetzt, um die Wirkung von Unkräutern zu simulieren und die Versuchsgenauigkeit zu erhöhen. Die Abnahme der Biomasse in verschiedenen Entwicklungsstadien und die Ertragsverluste des Maises wurden anhand der Dichte und der Biomasse der zusätzlichen Maispflanzen regressionsanalytisch untersucht. Durch Vergleich der Verluste durch Unkräuter und zusätzliche Maispflanzen kann eine äquivalente Unkraut-Mais-Dichte oder -Biomasse für die gleiche Konkurrenzwirkung nicht gefunden werden. Von Jahr zu Jahr waren die Regressionskurven der Mais-Mais-Versuche meistens verschieden. Bei der Verarbeitung von früher veröffentlichten Ergebnissen aus verschiedenen Versuchen in einer Reihe von Jahren zur Wirkung der Pflanzdichte auf den Ertrag beim Mais zeigte sich ebenso eine groβe Variation der vorhergesagten Werte, wodurch die Ungenauigkeit eines empirischen Prognose-Modells auf der Grundlage von Unkrautdichte und -biomasse bestätigt wurde.  相似文献   

6.
Destructive measurements to collect input data for models that predict yield loss from relative leaf area of weeds can be laborious. Alternative methods were tested in seven field experiments with sugar beet or spring wheat. Weeds with different morphologies showed the same linear relationships between relative leaf area, meas ured destructively, and cover, assessed by means of a frame, until 3 or 4 weeks after crop emer gence. At later growth stages, differences in weed morphology resulted in different relationships. Visual estimates of weed cover corresponded only roughly with cover assessments with a frame. The possibility of estimating relative leaf area of weeds with a reflectance technique was tested, assuming that for early growth stages the leaf area index of weeds can be considered as additional to that of the crop. In spring wheat, relative leaf areas of Sinapis alba L., sown at different times and densities, correlated well with characteristics based on infra-red reflectance. In sugar beet, these relationships were not as distinct. Techniques d'estimation de la surface foliaire relative et de la couverture des mauvaises herbes dans les cultures, en vue de prédictions de pertes en rendement Des prélèvements destructifs peuvent alimenter en données les modèles qui prédisent les pertes de rendement à partir de la surface foliaire relative des mauvaises herbes, mais ils sont exigeants en temps. Des méthodes alternatives ont été testées lors de sept expériences au champ dans de la betterave ou du blé de printemps. Jusqu'à trois ou quatre semaines après la levée de la culture, des mauvaises herbes possédant différentes morphologies montraient les mêmes relations linéaires entre d'une part la surface foliaire relative mesurée de manière destructive et d'autre part la couverture mesurée grâce à une grille. Aux stades de croissance ultérieurs, du fait des différences morphologiques entre les mauvaises herbes, les relations étaient différentes. Les estimations visuelles de la couverture en mauvaises herbes ne correspondaient qu'approximativement aux mesures de couverture effectuées au moyen de la grille. La possibilité d'estimer la surface foliaire relative des mauvaises herbes avec une technique de réflectance a étéévaluée, en supposant que, aux stades de croissance initiaux, l'indice de surface foliaire des mauvaises herbes peut être considéré comme additif de celui de la culture. Dans le blé de printemps, les surfaces foliaires relatives de Sinapis alba L., semées à différentes époques et à différentes densités, étaient bien corrélées avec des caractéristiques basées sur la réflectance infra-rouge. Dans la betterave à sucre, ces relations n'étaient pas aussi claires. Bestimmung der relativen Blattfläche und des Deckungsgrads von Unkräutern zur Prognose von Ertragsverlusten Die destruktive Gewinnung von Daten der relativen Blattfläche von Unkräutern für Modelle zur Vorhersage von Ertragsverlusten sind arbeitsaufwendig. Alternative Methoden wurden in 7 Versuchen in Zuckerrübe und Sommerweizen untersucht. Morphologisch unterschiedliche Unkräuter zeigten bis zu 3 oder 4 Wochen nach dem Auflaufen der Kulturpflanzen dieselben linearen Beziehungen zwischen der destruktiv gemessenen relativen Blattfläche und dem mittels eines Rahmens bestimmten Deckungsgrad. In späteren Entwicklungsstadien führten die morphologischen Unterschiede zu verschiedenen Verhältnissen. Bonituren des Unkrautdeckungsgrads entsprachen nur grob den mit dem Rahmen ermittelten Deckungswerten. Die Bestimmung der relativen Blattfläche der Unkräuter durch Messung der Lichtreflexion wurde geprüft, wobei angenommen werden kann, daß sich in den frühen Entwicklungsstadien der Blattflächenindex der Unkräuter mit dem der Kulturpflanzen summiert. Im Sommerweizen war die relative Blattfläche von zu verschiedenen Zeiten und in unterschiedlicher Dichte gesätem Sinapis alba L. mit den Daten der Infrarotreflexion gut korreliert, auf den Zuckerrübenflächen nicht so genau.  相似文献   

7.
An economic threshold model for spraying herbicides in cereals   总被引:1,自引:0,他引:1  
A model has been developed for calculating the economic benefit of early spraying of herbicides in wheat and barley crops, using data derived from routine herbicide evaluation field experiments. Annual grass and broadleaf weed densities are converted to weed units using a weighting for the competitiveness of each species. The absolute yield benefit (kg ha?1) from controlling a forecast proportion of estimated weed units present when the crop is sprayed at or before the early tillering stage has three major determinants: the weed-free yield potential of the crop (kg ha?1); the number of weed units m?2 at spraying; and the relative growth stages of weeds and crop at spraying. The weight of evidence from the data used indicates that there is an approximately linear relationship between weed density after spraying and grain yield. We have based the model on this expectation, which contrasts with the strongly curvilinear relationship of yield and unsprayed weed density. It is suggested that this difference is attributable to the effects of the herbicide treatments on surviving weeds, which are less competitive with the crop than untreated weeds. Un modèle de seuil économique pour I'application des herbicides dans les céréales Un modèle a étéélaboré pour calculer l'intérêt économique de traitements herbicides précoces dans le blé et l'orge, en utilisant des données issues d'évaluations d'herbicides au champ. Les densités de graminées annuelles et de di-cotylédones étaient converties en ‘unités mau-vaise herbe’ après pondération par 1'aptitude à la concurrence de chaque espèce. Le gain de rende-ment absolu (kg ha?1) obtenu en détruisant, avant ou au moment du tallage, une proportion donnée d'un nombre estimé d'unités mauvaise herbe', a trois déterminant: le potentiel de la culture en l'absence de mauvaises herbes (kg ha?1), le nombre d'unités mauvaise herbe' par m?2 au moment du traitement, et les stades de dévelop-pement relatifs de la culture et des mauvaises herbes au moment du traitement. Les données utilisées montrent qu'il existe une relation approximativement linéaire entre la densité de mauvaises herbes après le traitement et le rende-ment de la culture en grain. Nous avons basé le modèle sur cette observation, ce qui contraste avec les relations forgement curvilinéaires entre le rendement et la densité de mauvaises herbes non traitées. II est suggéré que cette différence peut être attribuée aux effets du traitement herbicide sur les mauvaises herbes survivantes, qui sont moins compétitives à l'égard de la culture que des mauvaises herbes non traitées. Ein Modell der ökonomischen Schadensschwel-len für die Behandlung von Getreide mil Herbiziden Anhand von Daten aus Herbizid-Feldprüfungen wurde ein Modell zur Abschätzung des ökonomischen Vorteils früher Herbizidbehandlungen in Weizen und Gerste entwickelt. Für die Gewichtung der Konkurrenzkraft jeder Unkrau-tart wurden die Dichten der mono- und dikotylen Arten zu Unkraut-Einheiten verrechnet. Der absolute Ertragsgewinn infolge der Bekämpfung eines prognostizierten Anteils der zum Spritzter-min während oder vor Beginn der Bestockung geschätzten Unkraut-Einheiten hat 3 Haupt-Determinate: das Ertragspotential der Kultur ohne Unkrautkonkurrenz, die Unkrautdichte und die Entwicklungsstadien von Unkraut und Kultur bei der Behandlung. Die Beweiskraft der benutzten Daten zeigt, daß eine fast lineare Beziehung zwischen der Unkrautdichte bei der Behandlung und dem Ertrag besteht. Das Modell basierte auf dieser Erwartung, die zur sehr kurvilinearen Beziehung zwischen Ertrag und unbehandelter Verunkrautung in Gegensatz steht. Dieser Unterschied wird darauf zurückgeführt, daß behandelte Unkräuter eine geringere Konkurrenz ausüben als unbehandelte.  相似文献   

8.
In 1986, the Working Group on Biological Control within the European Weed Research Society planned a weed survey in 10 major crop systems throughout Europe. They were: (1) winter and (2) spring cereals, (3) maize and sorghum, (4) potatoes, (5) sunflower and soya, (6) colza (winter rapeseed), (9) sugar beet and (10) temperate orchards and irrigated Mediterranean orchards. Questionnaires were sent out to prominent weed scientists in all 26 European countries to rate the abundance and frequency of important weeds according to three classes for all crop systems in their respective countries. The results of the survey are presented. Based on the per cent of maximum score attained by individual weed species the 15 most important weeds were determined for each crop, and the 20 top scoring weeds for all crop systems combined. The prospects for biological control of weeds in Europe are discussed. Etude européenne des mauvaises herbes de dix cultures majeure.s en vue d'identifier les possi-bilités de lutte biologique En 1986, le Groupe de travail sur la lutte biologique au sein de la Société Europeenne de Mal-herbologie (European Weed Research Society) a organisé une enquete sur les mauvaises herbes présentes dans dix cultures majeures d'Europe: (1) céréales d'hiver et (2) d'été, (3) maïs et sorgho, (4) pomme de terre, (5) tournesol et soja, (6) colza, (7) cultures légumières, (8) vignes et verges méditerranéens non irrigués, (9) bet-terave à sucre et (10) vergers de la zone tem-pérées et méditerranéens irrigués. Des questionnaires ont été envoyés à des mal-herbologues reconnus des 26 pays européens pour, au moyen d'une classification à trois niveaux, évaluer dans leur pays 1'abondance et la fréquence des mauvaises herbes importantes dans ces systèmes de culture. Les résultats de 1'enquête sont présentés. Les 15 mauvaises herbes les plus importantes ont été déterminées pourchaque culture en fonc-tion du pourcentage du score maximum atteint par les différentes espèces, ainsi que les 20 mauvaises herbes obtenant les plus haul scores pour toutes les cultures combinées. Les possibilités de lutte biologique centre les mauvaises herbes en Europe sont discutees. Erhebung über die Verbreitung europäischer Unkrautarten als mögliche Zielefiir eine biologis-che Bekämpfung in zehn Hattptkultiiren Die Arbeitsgruppe ‘Biologische Bekämpfung’ der Europäischen Gesellschaft für Herbologie plante 1986 eine Unkrautaufnahme in 10 großen Kulturen in ganz Europa: (1) Wintergetreide. (2) Sommergetreide, (3) Mais und Sorghum, (4) Kartoffel, (5) Sonnenblume und Soja, (6) Winterraps, (7) Gemüse, (8) Wein und nichtbewässerte mediterrane Obstkulturen, (9) Zuckerrübe und (10) mitteleuropäische und bewässerte mediterrane Obstkulturen. Das Ergebnis einer Umfrage in allen 26 europäischen Ländern über die Abundanz und Frequenz wichtiger Unkräuter wird dargestellt. Die 15 für jede Kultur wichtigsten Arten und die 20 allgemein häufigsten Arten wurden bestimmt. Die Möglichkeiten der biologischen Unkrautbekämpfung in Europa werden diskutiert.  相似文献   

9.
Segments (2·5 cm long) taken from the third leaf of young barley (Hordeum vulgare L.) and oat (Arena sativa L.) plants growing at low nitrogen levels were found to be more susceptible to a 0·01 ml droplet of paraquat solution placed on the adaxial surface, than segments taken from leaves of plants grown at higher nitrogen levels. Similar relative differences in susceptibility were found between leaf segments infiltrated with paraquat. Tolerance of leaf segments to paraquat increased as the leaves expanded but there was no significant increase in tolerance with increasing age after expansion was complete. The influence of nitrogen on the structure and physiology of leaves is discussed and the results are compared with earlier experiments where whole plants sprayed with paraquat were found to be less susceptible when grown at the low nitrogen level. Influence de l'azote sur la sensibilité des fragments de feuilles de céréles au paraquat Des fragments de 2,5 cm de long prélevés sur la troisième feuille de jeunes plantes d'orge (Hordeum vulgare L.) et d'avoine(Avena sativa L.) cultivées à de faibles niveaux d'azote ont été plus sensibles à une gouttelette de 0,01 ml d'une solution de paraquat, placée sur la surface adaxiale, que des fragments prélevés sur des feuillcs de plantes cultivées k des niveaux d'azote plus élcvés. Des différences relatives analogues dans la sensibility ont été constantées entre des fragments de feuilles infiltrés uvec du paraquat. La résistance dc fragments de feuilles au paraquat s'accrut lorsque les feuilles se développèrent mais il n'y eut pas d'accroissement significatif de la résistance avec l'accroissement de l'age. après que l'expansion füt complète. L'influence de l'azote sur la structure et la physiologic des feuilles est discutée et les résultats sont comparés avec des expériences antérieures dans lesquelles des plantes traitées entièrement avec du puniquat se montrèrent moins sensibles lorsqu'elles étaient cultivées à un faible niveau d'aZOtte. Der Einflu β der Sticksloffversorgung auf die Empfindlichkeit von Getreideblattabschnitten gegen Paraquat Es wurde gefunden, da β 2·5 cm lange Abschnitte vom dritten Blatt junger Gersten- (Hordeum vulgare L.) und Haferpflanzen (Avena saliva L.). die bei niedrigem Stickstoffniveau aufwuchsen, gegen einen auf die adaxiale Oberfläche aufgebrachten kleinen Tropfen (0·01 ml) einer Paraquallösung empfindlicher waren ah Abschnitte von Blättern solcher Pflanzen, die bei höheren Stickstoffgehalten aufgewachsen waren. Im Verhältnis zucinander ähnliche Unterschiede in der Empfindlichkeit wurden zwischen Blattabschnitten gefunden, die mit Paraquat infiltriert waren. Die Toleranzder Blattabschnitte gegenüber Paraquat nahm mil dem Wachstum der Blatter zu; nach abgeschlossenem Wachstun war mit zunehmendem Alter jedoch eine signifikante Zunahme der Toleranz nicht zu Verzeichnen. Es wird der Einflu β von Stickstoff auf die Struktur und Physiologie von Blättern besprochen; die Ergebnisse werden mit früheren Ergebnissen verglichen, bei denen sich gezeigt hatte, da β mit Paraquat gespritzte ganze Pflanzen weniger empfindlich waren, wenn sie bei niedrigem Stickstoffniveau gewachsen waren.  相似文献   

10.
The response of upland rice (Oryza sativa L.) cultivars Kinandang Patong and UPLRi-7, and the C4 weeds Echinochloa colonum (L.) Link, Eleusine indica (L.) Gaertn., and Rottboellia cochinchinensis (Lour.) W.D. Clayton to low light intensity of 150, 250, and 400 μmol m?2 s-1 photosynthetically active radiation (PAR) at different development stages was studied in a combined growth chamber and glasshouse experiment. The weed species had higher net CO2 exchange rates (CER) than rice at all light intensities and growth phases. The response of CER to light intensity was greatest at the early vegetative stage and became less pronounced at later stages in all species. Low light intensity reduced CER and growth rates at an early vegetative phase, particularly in rice, while Rottboellia maintained the highest CER. Differences in low-light-induced growth reduction between the species became less marked with plant age. Although prolonged exposure to low light intensity increased CER for all species, it was least for Eleusine, indicating acclimation of the photosynthetic system. All three weed species had a lower leaf conductance, low transpiration rate, and higher water use efficiency than rice. Both rice and weeds recovered from low-light treatment, particularly if the latter was imposed early. Continuous exposure to 150 (μmol m?2 s?1 PAR strongly inhibited growth of Eleusine and Echinochloa, had an intermediate effect on rice, and affected Rottboellia least. It is concluded that Rottboellia has superior growth and assimilation compared to rice under both low and high intensity light, whereas Echinochloa and, to an even greater extent, Eleusine, are more susceptible to shading. Possible physiological causes of these differences are discussed. Réponse physiologique du riz et des adventices à une faible intensité lumineuse à différents stades de croissance La réponse du riz hautes terres (Oryza sativa L.) cultivars Kinandang Patong et UPLRi-7, et des adventices C4 (Echinochloa colonum (L.) Link, Elsine indica (L.) Gaertn, et Rottboelliacochinchinensis (Lour.) W.D. Clayton, a de faibles intensité lumineuses de radiation photo-synthétiquement active (PAR) de 150, 250 et 400 (μmol m?2 s?1à différents stades de croissance a étéétudié dans une expérimentation combinée en chambre climatique et en serre. Les espéces adventices avaient des taux nets d'échange en CO2 (CER) plus élevés que le riz a toutes les intensités lumineuses et phases de croissance. La réponse du CER à 1'intensité lumineuse était la plus élevée aux stades végé-tatifs précoces et devenait moins é1evée aux stades plus tardifs pour toutes les espéces. La faible intensité lumineuse a réduit le CER et les taux de croissance à un stade végétatif précoce, particuliérement chez le riz, tandis que Rottboellia maintenait le CER élevé. Les diffe'rences dans la réduction de croissance induite par faible lumiére entre les espéces devenaient moins marquées avec 1'âge des plantes. Bien qu'une exposition à une faible intensité lumineuse ait augmenté le CER pour toutes les espèces, cela était moindre pour Eleusine, démontrant une acclimatation du systéme photosynthétique. Les 3 espèces d'adventices avaient une conductance foliaire plus faible, un taux de transpiration plus faible et une efficacité de l'utilisation d'eau plus élevé que le riz. Le riz et les adventices se remettaient du traitement de faible lumière surtout s'il était imposé tôt. Une exposition continue à 150 μmol m?2 s?1 a fortement inhibé la croissance d'Eleusine et d'Echinochloa, a moyennement affecté le riz de façon et de moinde façon, le Rottboeillia. II est conclu que Rottboellia a une croissance et une assimilation supérieures au riz à la fois sous faible et sous forte in tensité lumineuse, tandis qu'Echinochloa et même encore plus Eleusine sont plus sensibles à l'ombrage. Les causes physiologiques possibles de ces différences sont discutées. Die physiologische Reaktion von Reis und Unkräutem in verschiedenen Entwicklungsstadien auf geringe Lichtintensität Die Reaktion von Bergreissorten (Oryza sativa L. ‘Kinandang Patong’ und ‘UPLRi-7’) und der C4-Unkräuter Echinochloa colonum (L.) Link, Eleusine indica (L.) Gaertn. und Rottboellia cochinchinensis (Lour.) W.D. Clayton in verscbiedenen Entwicklungsstadien auf geringe Lichtintensität von 150, 250 und 400 μmol m?2 s?1 wurde in Pflanzenwuchskammer- und Gewächshausversuchen untersucht. Die Unkrautarten hatten bei alien Lichtintensitäten und in alien Entwicklungsstadien höhere Netto-CO2-Austauschraten (CER) als der Reis. Die CER-Reaktion auf die Lichtintensität war in den frühen Entwicklungsstadien am größten und danach bei allen Arten immer weniger deutlich. Niedrige Lichtintensität verringerte die CER und die Wachstumsraten in frühen Entwicklungsphasen, besonders bei Reis, während Rottboellia die höchste CER beibehielt. Unterschiede in der durch geringes Licht hervorgerufenen Wachstumsreduktion unter den Arten wurden mit zunehmendem Alter weniger deutlich. Obwohl durch eine längere Exposition bei geringer Lichtintensität die CER bei alien Arten zunahm, war dies bei Eleusine am geringsten, worin sich die Akklimation des Photosynthesesystems zeigte. Alle 3 Unkrautarten hatten ein geringeres Blattleitungsvermögen, geringere Transpirationsraten und eine höhere Assimilationsleistung als Reis. Sowohl Reis als auch die Unkräuter erholten sich von der Dunkellichtzeit, besonders wenn sie ihm früh ausgesetzt worden waren. Ständige Exposition auf eine Lichtintensität von 150 μmo m?2 s?1 unterdrückte das Wachstum von Eleusine und Echinochloa erheblich, den Reis weniger und Rottboellia am wenigsten. Daraus wurde geschlossen, daßRottboellia sowohl bei niedriger als auch hoher Lichtintensität im Vergleich zum Reis über stärkeren Wucbs und bessere Assimilation verfügt, während Echinochloa und, mehr noch, Eleusine gegen Beschattung empfindlicher sind. Die möglichen physiologischen Gründe für diese Unterschiede wurden diskutiert.  相似文献   

11.
Change in the viable seed populations of three weed species, Galinsoga ciliata (Rafin) Blake, Polygonum alatum Buch. Ham. and Spergula arvensis L. in soil was studied in potato, radish, cabbage and cabbage+radish (mixed to gether) fields under shifting agriculture (locally called jhum) and terrace cultivation in northeast India from October 1988 to September 1989. The effect of weeding frequency on the viable weed seed populations of these weeds was also investigated. In most fields seed populations were smaller during the rainy season than during other seasons. Initially, the viable seed populations of all three weed species showed a significant (P<0.05) decrease with increasing soil depth in all crop fields under jhum cultivation. However, there was no clear trend in the terraced fields. At the end of the study period the trend was not clear in all crop fields under either jhum or terrace cultivations. In the ‘normally weeded plots’ the viable seed populations of S. arvensis and P. alatum recorded about a 2% increase in jhum fields, while in the terraced fields they showed a loss of 4% over the 1-year period. The ‘frequently weeded plots’ however, showed a sharp decline in viable seed populations in all crop fields. Dynamique des populations des graines de mauvaises herbes enfouies: influence de l'agriculture itinérante et de la culture en terrasses dans les zones humides sub-tropicales de l'Inde Les changements dans les populations de graines viables de trois espèces de mauvaises herbes, Galinsoga ciliata (Rafin) Blake, Polygonum alatum Buch. Ham. et Spergula arvensis L., ont étéétudiés dans des champs de pomme de terre, de radis, de chou et de chou et radis (en mélange) dans des conditions d'agriculture itinérante (appelée localement jhum) et d'agriculture en terrasses dans le nord-est de l'Inde, d'octobre 1988 à septembre 1989. L'effet de la fréquence de désherbage sur les populations de graines viables de ces mauvaises herbes a aussi étéétudié. Dans la plupart des champs, les populations de graines étaient plus réduites pendant la saison des pluies que pendant les autres saisons. Au début de l'étude, les populations de graines viables des trois espèces de mauvaises herbes montraient dans toutes les cultures jhum une décroissance significative (P<0.05) avec la profondeur dans le sol. Par contre, il n'y avait pas de relation claire dans les champs en terrasses. À la fin de l'étude, la tendance n'était claire dans aucun des champs, qu'il soient en culture jhum ou en terrasses. Sur la période d'un an qu'a duré l'étude, et dans les parcelles ‘normalement désherbées’, les populations de graines viables de S. arvensis et de P. alatum ont augmenté de 2% dans les champs jhum, alors que dans les champs en terrasses, elles ont chuté de 4%. Cependant, dans les parcelles fréquemment désherbées, les populations de graines viables décroissaient rapidement dans tous les champs. Populationsdynamik des Unkrautsamenvorrats im Boden unter dem Einfluß von Rodungs- und Terrassen-Kulturen in humid subtropischen Gebieten Indiens Veränderungen der Samenpopulation der 3 Unkrautarten Galinsoga ciliata (Rafin) Blake, Polygonum alatum Buch. Ham. und Spergula arvensis L. im Boden wurden in Kartoffeln, Rettich, Kohl und Mischbeständen von Kohl und Rettich bei wandernden Rodungskulturen (Jhum genannt) und Terrassenkulturen in Nordostindien zwischen Oktober 1988 und September 1989 untersucht. Die Wirkung der Häufigkeit des Jätens auf die Populationen lebensfähiger Unkrautsamen wurde auch untersucht. Auf den meisten Feldern waren die Samenpopulationen während der Regenzeit kleiner als in der übrigen Jahreszeit. Anfänglich nahm die Samendichte aller 3 Unkrautarten mit zunehmender Bodentiefe in allen Jhum-Kulturen signifikant ab (P<0.05). In den Terrassenkulturen jedoch waren die Verhältnisse nicht klar. Zum Ende der Untersuchungsperiode war sowohl bei der Jhum- als auch der Terrassenkultur die Verteilung der Samen im Boden gleich. Auf den Jhum-Feldern nahmen die Samenpopulationen von S. arvensis und P. alatum bei normalem Jäten um 2% zu. während sie bei der Terrassenkultur um 4% abnahmen. Bei häufigem Jäten jedoch nahmen die Samenpopulationen in allen Kulturen sehr deutlich ab.  相似文献   

12.
The effects of nitrogen and phosphorus supply on growth and interference between Bromus tectorum and Taeniatherum asperum were studied in greenhouse sand culture, using a modified replacement series experiment. Three levels of N and P were applied in all possible combinations. Height, number of leaves and biomass production were reduced in both species in response to nutrient reduction. B. tectorum had higher dry matter production than T. asperum at high nitrogen or phosphorus concentrations' or when both nutrients were present. When either nutrient was lacking, yield of both species was similarly reduced. Nitrogen deficiency was more influential on yield reduction than phosphorus in both species. In mixtures, B. tectorum was highly competitive at high concentrations of N and P. At lower levels of N and P supply, the species performed equally. Early patterns of resource allocation and high growth rates in B. tectorum enable that species to outperform T. asperum at high nutrient concentration. These advantages were reduced by nutrient deficiency, which led to competitive equality between the species. Effet de l'azote et du phosphore sur la croissance et l'interaction entre Bromus tectorum et Taeniatherum asperum Les effets de la fourniture en azote et en phosphore sur la croissance et l'interaction entre Bromus tectorum et Taeniatherum asperum ont étéétudiés en cultures de serre sur sable, à l'aide d'un dispositif en séries de remplacement modifié. Trois niveaux de N et P étaient appliqués dans toutes les combinaisons possibles. Chez les deux espèces, la hauteur, le nombres de feuilles et la production de biomasse étaient réduits en réponse à une diminution des nutriments. A haute concentration d'azote ou de phosphore, ou quand les deux nutriments étaient présents, B. tectorum produisait davantage de matière sèche que T. asperum. Quand l'un des nutriments était absent, le rendement des deux espèces était réduit de manière similaire, l'effet d'une déficience en azote étant le plus marqué. En cultures mélangées, B. tectorumétait hautement compétitif a fortes concentrations de N et P. A plus basses concentrations, les deux espèces présentaient les mêmes performances. L'allocation de ressources aux stades précoces et la vitesse de croissance élevée de B. tectorum lui permettaient de supplanter T. asperum lorsque la fourniture en nutriments était importante. Cet advantage était réduit lorsque la fourniture en nutriments était plus faible, ce qui conduisait à une égalité des pouvoirs compétitifs. Die Wirkung von Stickstoff und Phosphor auf das Wachstum und die Konkurenz zwischen Bromus tectorum und Taeniatherum asperum In einem substitutiven Versuchsansatz auf Sandboden im Gewächshaus wurde die Wirkung der Stickstoff- und Phosphorversorgung (in 3 Düngungsstufen) auf Wachstum und Konkurrenz von Bromus tectorum und Taeniatherum asperum untersucht. Pflanzenhöhe, Blattzahl und Biomasseproduktion waren bei beiden Arten entsprechend der abnehmenden Düngung reduziert. Bei hohem Stickstoff- oder Phosphorniveau oder bei Gegenwart beider Nährstoffe hatte B. tectorum eine stärkere Trockenmassebildung als T. asperum. Fehlten beide Nährstoffe, so war bei beiden Arten das Wachstum ähnlich herabgesetzt. Stickstoffmangel wirkte sich bei beiden Arten stärker aus als Phosphormangel. In Mischbeständen war B. tectorum bei hohen N- und P-Konzentrationen sehr konkurrenzkräftig. Bei niedriger Nährstoffversorgung verhielten sich die Arten gleich. Aufgrund frühzeitiger Nährstoffaneignung und hoher Wachstumsraten übertrifft B. tectorum bei hoher Nährstoffversorgung die anderere Art. Bei Nährstoffmangel gibt es diesen Vorteil nicht, so daß beide Arten gleich konkurrenzstark sind.  相似文献   

13.
A. ONOFRI  F. TEI 《Weed Research》1994,34(6):471-479
Data collected from field trials carried out in different years and environments were used to determine competitive ability and threshold levels of Ammi majus L., Chenopodium album L. and Sinapis arvensis L. The hyperbolic model showed a good fit to the experimental data. The three broadleaf weeds showed low and similar competitive indices (i ranging from 1–08 to 1–75), supporting the hypothesis of a high sunflower competitive ability. The economic threshold was four to six plants m?2 for all three weeds in the case of weed control by hoeing and about six plants m?2 for S. arvensis in the case of a postemergence treatment with imazamethabenz. Limitations and approximations in estimating competitive parameters are pointed out and discussed. Aptitude à la compétition et seuils de nuisibilité de trois mauvaises herbes dicotylédones dans le tournesol Des données recueillies dans des expérimentations au champ conduites dans différents environnements et au cours de différentes années ont été utilisées pour déterminer l'aptitude à la compétition et les seuils de nuisibilité de Ammi majus L., Chenopodium album L. et Sinapis arvensis L. Le modéle hyperbolique fournissait un bon ajustement aux données. Les trois mauvaises herbes avaient des indices de compétition bas et similaires (i de 1,08 à 1,75) ce qui conforte l'hypothèse d'une forte aptitude à la compétition du tournesol. Les seuils économiques étaient 4–6 plantes m?2 pour toutes les mauvaises herbes dans le cas de désherbage mécanique et environ 6 plantes m?2 pour S. arvensis dans le cas de traitement de post-levée avec l'imazaméthabenz. Les limitations et les approximations dans l'évaluation des paramètres de la compétition sont identifiés et discutés. Konkurrenzkraft und Schadensschwellen von drei dikotylen Unkrautarten in Sonnenblume Anhand von Ergebnissen aus Freilandversuchen in verschiedenen Jahren auf verschiedenen Standorten wurden die Konkurrenzkraft und die Schadensschwellen von Ammi majus L., Chenopodium album L., und Sinapis arvensis L, bestimmt. Die Ergebnisse ließen sich mit einer hyperbolischen Gleichung gut beschreiben. Die Konkurrenzindices i von 1,08 bis 1,75 waren fur alle 3 Arten ahnlich niedrig, worin sich die starke Konkurrenz der Sonnenblume widerspiegelt. Bei mechanischer Unkrautbekampfung lagen die Schadensschwellen fur alle 3 Unkrauter zwischen 4 und 6 Pflanzen m?2, fur Nachauflaufbehandlung mit Imazametabenz fur Sinapis arvenis bei 6 Pflanzen m?2. Grenzen und Annaherung der Bestimmung von Konkurrenzparametern werden eingehend diskutiert.  相似文献   

14.
Seed-bank characteristics in a group of tropical weeds   总被引:1,自引:0,他引:1  
The response of seeds of 15 common Nigerian weeds to a set of standard treatments was followed during a 15-month period of burial in the soil. Monthly records were made of changes in dormancy and ability to germinate in light and darkness. These data were interpreted in relation to the periods of natural field emergence. Several species underwent a decline in resistance to germination at certain times of the year which generally coincided with peaks of seedling emergence in the field. Other species either underwent physiological changes soon after burial and then maintained that state for the rest of the period of the experiment or underwent little change. The seeds of several species lost viability rapidly when buried, especially the composites: the seeds of two of them all died within 1 month of burial. The significance of the results in planning weed control programmes are discussed in relation to changing agricultural practice in West Africa. Caractéristiques des graines d'un groupe de mauvaises herbes tropicales La réaction des graines de 15 mauvaises herbes très répandues au Nigéria envers un série de traitements conventionnels a été suivie pendant 15 mois d'enfouissement dans le sol. Les modifications dans la dormance et l'aptitude à germer en présence et en absence de lumière ont été signalées mensuellement. Ces données ont été considérées par rapport aux époques de levée spontanée au champ. Plusieurs espèces ont fait preuve d'une moindre résistance à la germination à certaines époques de l'année, lesquelles correspondaient le plus souvent aux moments de la plus forte levée au champ. D'autres espèces ont subi des modifications physiologiques peu de temps après l'enfouissement et ont continué dans cet état jusqu'à la tin de l'expérimentation. D'autres encore n'ont guère subi de modifications. Les graines de plusieurs espèces, surtout les composées, ont vite perdu leur viabilité lors de l'enfouissement; les graines de deux d'entre elles étaient toutes mortes un mois après l'enfouissement. La discussion porte sur l'importance de ces résultats pour la planification d'un programme de désherbage par rapport aux pratiques agricoles de l'Afrique occidentale, qui sont en voie de modification. Verhalten der Samen einiger tropischer Unkrautarten im Boden Bei 15 in Nigeria häufigen Unkrautarten wurden 15 Monate lang nach dem Vergraben der Samen monatlich die Dormanz und die Keimfähigkeit bestimmt. Die Daten wurden in bezug auf das natürliche Auflaulen gesetzt. Einige Arten keimten zu bestimmten Zeiten in einem den natürlichen Verhältnissen entsprechenden Masse. Die Samen anderer Arten unterlagen kurz nach dem Vergraben physiologischen Veränderungen (z.B. in den Lichtansprüchen zur Keimung). die während der Versuchsdauer erhalten blieben oder sich kaum änderten. Die Samen einiger Arten, besonders Compositen, verloren nach dem Vergraben allmählich ihre Keimfähigkeit, bei zwei Arten starben alle Samen bereits im ersten Monat. Die Bedeutung der Ergebnisse für die Unkrautbekämpfung in der sich wandelnden Landwirtschaft Westafrikas wird diskutiert.  相似文献   

15.
The effects of interference from natural weed communities for varying periods were examined on growth, yield, and chemical composition of tobacco in field conditions at three locations and years in Greece. Tobacco yield increased significantly with weed-free periods of 3 or 4 weeks and decreased with weed interference greater than 3 to 4 weeks after transplanting. The results were similar for tobacco growth as fresh weight in both burley and oriental and as plant height and leaf number only in burley tobacco. When yield was affected there were also changes in chemical composition of tobacco. Tobacco growth was decreased in soils in which weeds had previously grown, even with adequate nutrition provided. The presence of Amaranthus retroflexus L. shoot residues allowed to decay in soil for more than 1 month were also harmful. L'influence d'une communauté de mauvaises herbes en culture de tabac burley et oriental (Nicotiana tabacum L.) L'influence exercée par la présence pendant diverses périodes de communautés spontanées de mauvaises herbes sur la croissance, le rendement et la composition chimique du tabac a fait l'objet d'une étude durant trois ans dans des conditions de plein champ à trois emplacements en Grèce. Le rendement du tabac a augmenté de façon significative lorsque la culture est restée indemne de mauvaises herbes pendant 3 ou 4 semaines après le repiquage; par contre, il a diminué lors d'un enherbement de trois ou quatre semaines après le repiquage. Pour ce qui est du poids frais du tabac, l'influence sur le développement végétal était semblable chez les deux sortes mais seul le tabac burley a subi une réduction dans la hauteur des plantes et le nombre de feuilles/plante, L'influence sur le rendement a été accompagnée de modifications dans la composition chimique du tabac. Dans des sols envahis antérieurement par des mauvaises herbes, la croissance du tabac a diminué, même en présence d'une alimentation convenable. La présence de résidus de pousses d'Amaranthus retroflexus L. qu'on avait laissé s'altérer pendant plus de 1 mois dans le sol, a également exercé une influence néfaste. Unkrautkonkurrenz bei Burley- und Orient-Tabak (Nicotiana tabacum L.) Der Einfluss natürlicher Verunkrautung unterschiedlich langer Perioden auf Wachstum, Ertrag und Inhaltsstoffe von Tabak wurde über 3 Jahre und an 3 Orten in Griechenland untersucht. Eine signifikante Ertragssteigerung konnte beobachtet werden, wenn die Tabakpflanzen für 3 oder 4 Wochen nach der Pflanzung unkrautfrei gehalten wurden; wenn die Konkurrenz der Unkräuter länger anhielt, kam es zu Ertragsminderungen. Ähnliche Ergebnisse wurden für das Frischgewicht bei beiden Tabakarten, für Pflanzenhöhe und Blattzahl aber nur beim Burley-Tabak festgestellt. Die chemische Zusammensetzung des Tabaks, der Asche) änderte sich in gleicher Weise wie der Ertrag. In Gewächshausversuchen nahm das Pflanzenwachstum in den Böden ab, wo vorher Unkrauter gewachsen waren, auch wenn eine entsprechende Düngung erfolgte. Wurden Pflanzenreste von Amaranthus retroflexus L. über mehr als einen Monat im Boden gelassen, um zu verrotten, so sank das Trockengewicht anschlies-send gepflanzten Tabaks.  相似文献   

16.
The threat posed by alien weeds in Israel   总被引:1,自引:0,他引:1  
The alien weed flora of Israel comprises forty species out of a total of seventy-seven adventive species represented here. Twenty-nine of them occur in other countries of the Middle East and they probably reached Israel through these countries: the rest me regarded as direct imports from their countries of origin. About nine species have already become major weeds, while the other twenty-nine species, which are known as noxious weeds from other parts of the world, are in the active process of spreading and reaching this status. Details are given of the ecology, distribution, origin, first record or presence in Israel, agricultural importance and population dynamics for each species. La menace des espèces adventices de manvoises herbes en Israël La flore des espèces adventices de mauvaises herbes en Israël comprend quarante-deux espéces sur un total de soixcinte-dixsept espéces de mauvaises herbes représentées ici. Vingt-neuf d'entre elles apparaissent dans d'autres régions du Moyen Orient et elles ont probablement atteint Israël à travers ces régions, les autres sont considérées comme des importations directes depuis leurs pays d'origine. Neuf espèces environ sont dèjà devenues des mauvaises herbes importantes, cependant que vingt-neuf autres, qui sont connues comme des espèces nuisibles dans les autres parties du monde, sont en passe de le devenir en Israël et sont en rapide expansion. Des détails sont donnés sur l'éeologic, la distribution l'origine, la première apparition ou la présence en Israël, l'importance agricole et la dynamique de la population pour chacune des espèces. Gefahr durch eingeschleppte Unkräuter in Israel Von den insgesamt in Israel vorkommenden 77 Adventivpflanzen zählen 40 Arten zu den Unkräutern. Von diesen Adventivpflanzen kommen 29 in anderen Ländern des Nahen Ostens vor und dürften von dort aus nach Israel gekommen sein, die restlichen Arten sind Direktimporte Aus ihren Herunftsländern, Ungefähr 9 Arten sind bereits zu Hauptunkrautern geworden, während die restlichen 29, die als gefährhehe Unkräuter in andercn Teilen der Welt bekannt sind. sich entsprechend ausbreiten und somit künftig auch hierzu gezählt werden müssen. Für jede Art werden nähere Angaben gemacht zu: Ökologie, Verbreitung, Herkunft, erstmaliges Auftreten in Israel, landwirtschaftliche Bedeutung und Populationsdynamik.  相似文献   

17.
A. BERTI  G. ZANIN 《Weed Research》1994,34(5):327-332
A method to evaluate potential crop damage from multi-species weed infestations is presented. The method is based on the hyperbolic relationships between density of a single weed species and crop yield loss. When considering a mixed weed population, the density of each species is transformed into a Density Equivalent, defined as the density that is equal to the density of a reference species giving the same yield loss. A hypothetical species with i and a parameters both equal to 100 was adopted to describe the relationship between yield and reference density. The method has been evaluated with data from a 2-year experiment on soybean (Glycine max (L.) Merril) grown in mixtures with Xanthium strumarium L. subsp. italicum, Polygonum persi-caria L. and Panicum miliaceum L. The mixtures included seven weed densities with different proportions of the three weed species. The model described the data well, but it showed an average 7–5% overestimation of crop damage. The reasons for this overestimation and the utility of the model in weed management is discussed. La densitééquivalente: une méthode pour prédire les penes de rendement causées par des populations mélangées de mauvaises herbes Une methode est présentée qui permet d'évaluer le dommage potentiel causéà une culture par des infestations multi-spécifiques de mauvaises herbes. Elle est basée sur les relations hyperboliques entre la densité d'une mauvaise herbe donnée et la perte de rendement de la culture. Quand on considère une population de mauvaises herbes mélangées, la densité de chaque espèce est con-vertie en une DensitéÉquivalente, définie comme la densitéégale à la ensité de la mauvaise herbe de rélérence qui occasionne la même perte de rendement. Une espèce hypothétique avec des paramètres 'i' et 'a' tous deux égaux à 100 a été définie pour décrire la relation entre le rendement et la densité de référence. La méthode a étéévaluée avec des données tirées d'une expérimentation de deux ans sur soja (Glycine max. (L.) Merril) en cultures mélangées avec Xanthium strumarium L. subsp. italicum, Polygonum persicaria L. et Panicum miliaceum L. Les mélanges comprenaient 7 densités de mauvaises herbes avec des proportions différen-tes des trois espèces. Le modèle décrivait bien les données mais il surestimait d'environ 7.5% le dommage à la culture. Les raisons de cette sures-timation et 1'utilité du modèle dans la lutte centre les mauvaises herbes sont discutèes. Eine Methode zur Vorhersage von Ertragsver-lusten durch Unkrautmischbestände mil Hilfe des Dichte-Äquivalents Die Methode zur Bestimmung möglicher Ertragsverluste durch Verunkrautungen mil mehreren Arten basiert auf dem hyperbolischen Verhältnis zwischen der Dichte einer einzelnen Unkrautart und dem Ertragsverlust. Bei Unkrautbeständen mil mehreren Arten wird die Dichte jeder einzelnen Artinein Dichte-Äquiva-lent transformiert, das als die Dichte definiert ist, die der Dichte einer Referenz-Art gleich ist, die zu demselben Ertragsverlust führt. Es wurde eine hypothetische Art mit den Parametern ‘i’ und ‘a’, beide gleich 100, angenommen, um die Beziehung zwischen Ertrag und Referenz-Dichte zu beschreiben. Die Methode wurde anhand von Daten aus einem 2 ährigen Versuch in Sojabohne (Glycine max (L.) Merril) und Mischbeständen mit Xanthium strumarium L. ssp. italicum, Polygonwn persicaria L. und Panicum miliaceum L. überprüft. Mit den 3 Unkrautarten wurden durch verschiedene Anteile 7 Unkrautdichtungen in den Mischungen eingestellt. Mit dem Model] konnten die Daten gut beschrieben werden, doch wurden die Ertragsverluste im Durchschnitt um 7.5 %überbewertet. Die Gründe für dies überbewertung und die Brauchbarkeit des Modells für die Unkrautbekämpfung werden diskutiert.  相似文献   

18.
Chemical and non-chemical or cultural approaches for the control of Scirpus maritimus L. (bulrush) and of annual weeds in lowland rice were examined in the field. Herbicides such as bentazon [3-isopropyl-1H-H-2,1,3-benzothiadiazin-4(3H)-one 2,2-dioxide] and 2,4-D [2,4-dichlorophenoxy)acetic acid] effectively controlled S. maritimus but not the annual grasses [Echinochloa glabrescens Munro ex Hook. f. and Echinochloa crus-galli ssp. hispidula [(Retz.) Honda] when applied at the six- to eight-leaf stage 20–28 days after transplanting or seeding rice). S. maritimus was not adequately controlled when the herbicides were applied pre- or early post-emergence. A granular formulation of bensulfuron-methyl [(methy1–2-[[(4,6-dimethoxypirimidin-2-yl)aminosulfonylmethyl]benzoate)] applied 6 or 8 days after transplanting or seeding (two- to four-leaf stage of the weed) effectively controlled S. maritimus and the annuals E. glabrescens, E. crus-galli ssp. hispidula, and Monochoria vaginalis, Presl. (Burm. f.) S. maritimus stand was drastically reduced by shifting land preparation back and forth from wet to dry. Neither tillage intensity nor use of intermediate-statured modern rice cultivars affected the weed stand. La lutte chimique et culturelle contre le scirpe (Scirpus maritimus L.) et les mauvaises herbes annuelles en culture de riz (Oryza sativa L.) Des possibilitiés chimiques et culturelles dans la lutte contre Scirpus maritimus L. (le scirpe) et les mauvaises herbes annuelles en culture de riz ont fait l'objet d'une étude sur le terrain. Appliqués au stade 6- à 8-feuilles des graminées annuelles, Echinochloa glabrescens Munro ex Hook. f. et Echinochloa crus-galli ssp. hispidula [(Retz) Honda] (20 à 28 jours après le repiquage ou le semis du riz), les herbicides, tel le bentazone [isopropyl-3 1H 3H-benzothiadazine-2,1,3 one-4 dioxyde-2,2] et le 2,4-D [acide 2,4-dichlorophénoxyacétique] ont permis une lutte efficace contre S. maritimus mais pas contre les graminées. La maîtrise de S. maritimusétait insuffisante quand les traitements herbicides ont été appliqués en prélevée ou en postlevée précoce. Une forme granulée de bensulfuron-methyl, appliquée 6 ou 8 jours après le repiquage ou le semis (stade deux- à quatre-feuilles de l'adventice) a permis une lutte efficace contre S. maritimus ainsi que les adventices annuelles E. glabrescens, E. crus-galli ssp. hispidula et Monochoria vaginalis (Burm. f.) Presl. Une réduction dramatique dans le peuplement de S. maritimus a suivi l'emploi alterné de techniques humides el sèches dans la préparation du sol. Ni l'intensité du labourage ni l'emploi de variétés de riz modernes de hauteur moyenne n'ont eu d'influence sur l'enherbement. Bekämpfung der Strand-Simse (Scirpus maritimus L.) und einjähriger Unkräuter in Nass-Reis (Oryza saliva L.) mit chemischen und Kulturmethoden Mit Herbiziden wie Bentazon und 2,4-D konnte Scirpus maritimus, nicht aber die einjährigen Gräser Echinochloa glabrescens Munro ex Hook, und Echinochloa crus-galli ssp. hispidula (Retz.) Honda bekämpft werden, wenn sie im 6- bis 8-Blatl-Stadium (20 bis 28 Tage nach dem Pflanzen oder der Saat des Reises) behandelt wurde. Die Bekämpfung war aber unzureichend, wenn die Herbizide vor oder kurz nach der Keimung ausgebracht wurden. Mit bensulfuron-methyl Granutat 6 oder 8 Tage nach dem Pflanzen oder der Saat (2- bis 4-Blatt-Stadium der Unkräuter) konnten Scirpus maritimus und Echinochloa glabrescens sowie E. crus-galli ssp. hispidula und Monochoria raginalis (Burm. f.) Presl. Bekämpft werden. Die Verschiebung der Bodenbearbeitung von nass nach troeken verringerte die Verunkrautung mit Scirpus maritimus erheblieh. Der Unkrautbestand wurde weder durch verschiedene Intensität der Bodenbearbeitung noch durch die neuen mittellangen Reissorten herabgesetzt.  相似文献   

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Summary. The growth of seedlings of Agropyron repens (L.) Beauv. and Agrostis gigantea Roth, in pots was studied in two experiments in 1968 and 1969. In Experiment 1 their growth was compared with that of wheat and in Experiment 2 they were grown in sandy loam (Woburn) and silt loam (Rothamsted) soil at four levels of nitrogen. Both species grew faster than wheat, mainly because they had a larger leaf area ratio. Tillering began earlier in wheat, but continued longer in the grasses, which eventually had many more shoots. Ears emerged in the order: wheat before Agropyron before Agrostis. Although Agrostis had much lighter seeds than Agropyron, it grew faster, but Agropyron initiated rhizomes sooner, usually when it had 1–2 tillers and 4 leaves. Agrostis did not initiate rhizomes until it had at least 10 tillers and 6 leaves. In Experiment 2 the seedlings at first grew more in Woburn than in Rothamsted soil but later more in Rothamsted than in Woburn soil. There was no evidence of a species/soil interaction but nitrogen had more effect on both species in Woburn than in Rothamsted soil. Neither soil type nor nitrogen affected the time at which rhizomes were initiated. Etude de la croissance de plantules d'Agropyron repens (L.) Beauv. et d'Agrostis gigantea Roth. Résumé. La croissance de plantules A'Agropyron repens (L.) Beauv. et d'Agrostis gigantea Roth, cultivdes en pots a étéétudiée au cours de deux expériences en 1968 et 1969. Dans la premiére experience, leur croissance fut compareée à celle du blé et dans une seconde experiénce, ces deux espéces furent cultivées sur un sol sablo-limoneux (Woburn) et sur un sol argilo-limoneux (Rothamsted) á quatre niveaux d'azote. Les deux mauvaises herbes poussérent plus vite que le blé, principalement en raison de leur rapport plus éalevé de surface foliaire. Le tallage commenga plus tot chez le bié, mais se poursuivit plus longtemps chez les deux mauvaises herbes qui, en fin de compte, eurent plus de tiges. L'épiaison se produisit dans l'ordre suivant: bléa, Agropyron, Agrostis. Bien que I'Agrostis ait des semences plus petites que I'Agropyron, il poussa plus vite, mais I'Agropyron émit des rhizomes plus tôt, habituellement au stade 1 à 2 talles et 4 feuilles. L'Agrostis n'émit pas de rhizome avant d'atteindre au moins le stade 10 talles et 6 feuilles. Dans la deuxième experience, les plantules poussérent d'abord plus dans le sol de Woburn que dans celui de Rothamsted mais, plus tard, plus dans le sol de Rothamsted que dans Celui de Woburn. II ne fut pas décelé d'interaction entre le sol et les espéces, mais I'azote fit un effet plus marqué sur les deux espéces dans le sol de Woburn que dans celui de Rothamsted. Ni le type de sol, ni le niveau d'azote n'eurent d'influence sur l'époque à laquelle les rhizomes commencérent de croître. Untersuchungen zum Wachstum von Keirnpjlanzen von Agropyron repens (L.) Beauv. Und Agrostis gigantea Roih. Zusammenfassung. Das Wachstum von Keimpfianzen von Agropyron repens (L.) Beauv. und Agrostis gigantea Roth, in Töpfen wurde 1968 und 1969 in zwei Versuchen untersucht. In Versuch II wurde das Wachstum mit dem von Weizen verglichen. In Versuch II wurden sie in sandigen Lehmboden (Woburn) und Silt-Lehm-(Rothamsted) Boden bei vier Stickstoffstufen angezogen. Beide Arten wuchsen in erster Linie wegen ihres grösseren Blattflächenanteils schneller als Weizen. Die Bestockung begann fruher bei Weizen, zog sich jedoch bei den Gräsern, die schliesslich wesentlich mehr Halme hatten, langer hin. Ahrenschieben erfolgte am frühesten bei Weizen, dann bei Agropyron und schliesslich bei Agrostis. Obgleich Agrostis viel leichtere Samen hatte als Agropyron, wuchs es schneller, doch entwickelte Agropyron fruher Rhizome, nornialerweise bei 1–2 Bestockungstriebe und 4 Blättern. Agrostis entwickelte Rhizome nicht ehe es mindestens 10 Bestockungstriebe und 6 Blätter hatte. In Versuch II wuchsen die Keimpflanzen zunächst besser in Woburn- als in Rothamsted-Boden, später wieder besser in Rothamsted als in Woburn-Boden. Es gab keine Anhalts-punkte für eine Interaktion zwisehen den Arten und dem Boden, doch wirkte Stickstoff bei beiden Arten besser in Woburn- als in Rothamsted-Boden. Weder Bodentyp noch Stickstoffmenge beeinflussten den Beginn der Rhizombfldung.  相似文献   

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Competition between rice (Oryza sativa) and Echinochloa crus-galli (L.) Beauv. (barnyard-grass or cockspur) was studied experimentally in the field in Sri Lanka. By growing rice in bags sunk in the paddy soil such.that the roots of the plants were either separated from or free to mingle with those of neighbouring weeds, or by growing rice in the same bags but in the absence of weeds, it was possible to calculate the relative importance of interference below ground (root competition) and above ground (shoot competition). Three rice varieties with different above-ground morphology were inhibited to different extents by E. crus-galli but in each case root competition was more important than shoot competition. In the variety that was most sensitive to root competition, Bg 400–1, inhibition of total growth due to root competition increased with increasing weed density. When grown in monocultures in pots in the field, the two species exhibited similar growth rates whether or not the soil was fertilized, but in 1:1 mixtures growth of E. crus-galli was greater, particularly if fertilizer was added, as this promoted the growth of the weed, while having no effect on the rice. In mixture, relative yield totals were close to 1.0, with the relative yield of E. crus-galli being consistently greater than 0.5, particularly with added nutrients, while the relative yield of rice was always less than 0.5. The relative crowding coefficient for rice with respect to E. crus-galli (Keb), when based on total plant dry weight, was lower in fertilized than in non-fertilized soil, falling in the former case from 0.4 to 0.2 during the experiments Krootrb, based on root dry weight, decreased with increasing soil depth and was lower in fertilized than in non-fertilized soil, most notably after 62 days of growth, when root dry weight was at its maximum. It is concluded that inhibition of root growth of rice, leading to a reduced ability to obtain resources from the soil, was the major factor contributing to the decline in the growth of rice in the presence of E. crus-galli. Croissance racinaire et importance relative de la compétition racinaire et aérienne dans les interactions entre le riz (Oryza sativa) et le panic (Echinochloa crus-galli) La competition entre le riz (Oryza sativa) et le panic (Echinochloa crus-galli) a étéétudiée dans une expérimentation de plein champ au Sri Lanka. En cultivant du riz dans des sachets immergés dans la riziére de telle façon que ses racines soient soil séparées, soil libres de se mé1anger avec celles des adventices voisines, ou en cultivant du riz dans des sachets analogues mais en 1'absence de mauvaises herbes, il est possible de calculer 1'importance relative de 1'interférence sous le sol (compétition racinaire) et de celle au dessus du sol (compétitionaérienne). 3 variétés de riz ayant une morphologie aérienne différente ont été inhibées par le panic à des niveaux différents mais chaque fois la compétition racinaire a été plus importante que l'aérienne. Chez la variété la plus sensible à la compétition racinaire, Bg 400–1, le ralentissement de la croissance totale due à la compétition racinaire augmenta avec l'augmentation de la densité de mauvaises herbes. Quand elles sont cultivées en pots dans les champs, les deux espèces ont des taux de croissance similaires que le sol soit ou non fertilisé, mais dans un mélange 1/1 la croissance du panic est plus forte surtout si l'on ajoute de l'engrais puisque celui-ci favorise la croissance de l'adventice sans avoir d'effet sur le riz. En mélange, le total des poids relatifs était très proche de 1, avec un poids relatif de panic conséquemment plus grand que 0,5, surtout dans le cas d'adjonction d'engrais, tandis que celui du riz était toujours inférieur à 0,5. Le coefficient de tassement relatif du riz en regard du panic (Krb), basé sur le poids sec de la plante entière était plus faible dans les sols fertilisés que dans les autres, tombant de 0,4 à 0,2 pendant l'expérimentation. KracinCrb, basé sur le poids sec de racine, diminue avec l'augmentation de la profondeur du sol et est plus bas dans les sols fertilisés que dans les autres, surtout après 62 jours de croissance quand le poids sec de racine est à son maximum. Il est conclu que le ralentissement de la croissance des racines de riz, aboutissant à une capacité moindre à prélever les ressources du sol, était le facteur principale de la réduction de la croissance du riz en présence de panic. Wurzelwachstum von und Wurzel- sowie Sproßkonkurrenz zwischen Reis (Oryza sativaj und Echinochloa crus-galli In Freilandversuchen in Sri Lanka zur Wurzelund Sproßkonkurrenz zwischen Reis (Oryza sativa L.) und Hühnerhirse (Echinochloa crus-galli (L.) Beauv.) wurde Reis so in Beuteln gepflanzt, daß seine Wurzeln sich entweder getrennt oder mit denen des Unkrauts zusammen wachsend entwickeln konnten. Andere Parzellen blieben unkrautfrei. E. crus-galli konkurrierte mit 3 Reissorten von unterschiedlicher Sproßmorphologie verschieden stark, doch die Wurzelkonkurrenz war immer bedeutender als die Sproßkonkurrenz. Bei der gegen Wurzelkonkurrenz empfindlichsten Sorte “Bg 400–1” war die Gesamthemmung auf die mit der Unkrautdichte zunehmende Wurzelkonkurrenz zurückzuführen. In Monokultur hatten beide Arten unabhängig von der Düngung ähnliche Wachstumsraten, aber in l:l-Mischkulturwuchs E. crus-galli stärker, besonders bei Düngung, die auf den Reis wirkungslos blieb. In Mischkultur lag der relative Gesamtertrag nahe 1,0, wobei der Ertrag von E. crus-galli stets über 0,5, der des Reises jedoch immer unter 0,5 lag. Für die Wechselbeziehung zwischen Reis und E. crus-galli auf die Gesamttrockenmasse wurde ein ‘crowding coefficient’ (Krb) für Reis berechnet, der mit Düngung kleiner war als ohne. Krb nahm während des Versuchs von 0,4 auf 0,2 ab. Der auf die Wurzeltrockenmasse bezogene ‘crowding coefficient’ (Krootrb) nahm mit zunehmender Bodentiefe ab. Krootrb war niedriger in gedüngtem verglichen mit ungedüngtem Boden. Dieser Unterschied war nach 62 Tagen Wachstum besonders deutlich, als die Wurzeltrockenmasse ein Maximum erreichte. Die Hemmung des Wurzelwachstums des Reises wurde als wichtiger Faktor für seine Wachtum-shemmung in der Gegenwart von E. crus-galli angesehen, weil sie die Fähigkeit des Reises zur Nährstoffaufnahme aus dem Boden verringert.  相似文献   

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