Long-term results of a tuber slice test for relative resistance to late blight |
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Authors: | U Darsow |
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Institution: | (1) Institute of Potato Research Gross Lüsewitz of the Academy of Agricultural Sciences of the German Democratic Republic, 2551 Gross Lüsewitz, German Democratic Republic |
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Abstract: | Summary Since 1967, Lapwood's (1965) tuber slice test has been used in a modified form by workers of the Institute of Potato Research
Gross Lüsewitz for testing more than 2000 clones a year for resistance to late blight. At a sample size of eight slices per
clone differences of ≥1.7 scores can thus be distinguished. The tests are best done at between 18 and 19°C.
Both the pathotype and the spore suspension concentration influence the resistance response. Since 1972, two compatible pathotypes
and two concentrations have always been used on each clone tested. Seven-and twelve-year test results have shown that variations
of up to six scores in the 9-score scheme would occur in the resistance of one clone. It is suggested that clones in main
trials (candidate cultivars) should be tested for three years using two randomised replications of 2×8 tubers each.
Zusammenfassung Seit dem Jahre 1967 wird der Scheibentest nach Lapwood (1965) in Gross-Lüsewitz zur Prüfung von Zuchtmaterial angewendet (Abb.
1). Methodische Untersuchungen führten zu ?nderungen. Je Zuchtstamm werden zwei Proben à acht Knollen genommen, die in dreiw?chigem
Abstand mit zwei verschiedenen Pathotypen geprüft werden. Je Knolle werden zwei Scheiben geschnitten, die zwei verschiedenen
Konzentrationen der Suspension zugeordnet sind. Sie werden mittels in Zoosporensuspension getr?nkter Filterpapierscheiben
inokuliert, nach 24 h umgedreht. Die Bewertung der Luftmyzelbildung erfolgt nach fünf (a) und sieben Tagen (b) mit Noten von
9 (keine Symptome) bis 1 (total bewachsen). Auch die Verbr?unung wird nach sieben Tagen benotet (c). Nach der Formel 2a+b+c=Bs errechnet sich die Wertzahl Bs. Insgesamt gehen in das Ergebnis eines Prüfungsjahres also 96 Einzelwerte ein.
8 Sorten wurden bei Temperaturen von 13, 17, 19 und 21°C geprüft. Die fünf Pathotypen 0, 1.3, 1.3.4, 1.2.3.4 und 1.2.3.4.7.8.9.10
und deren Gemisch wurden an drei Sorten verglichen. An 96 Proben wurde die Standardabweichung s und Grenzdifferenz GD ermittelt.
Siebenj?hrige Ergebnisse waren von 10 Klonen, zw?lfj?hrige von sechs Sorten verfügbar.
Bei 19°C erwiesen sich die Prüflinge am anf?lligsten, gleichzeitig war die beste Unterscheidbarkeit gegeben (Abb. 2). Die
Wechselwirkungen der Temperatur mit dem Pathotyp und der Sorte sind signifikant. Es sollte bei 18–19°C geprüft werden.
Die Wechselwirkung Pathotyp/Sorte war nicht gross, jedoch statistisch gesichert (Abb. 3). Es trat eine Wechselwirkung Pathotyp/Konzentration
zutage (Tab. 1). Abbildung 4 zeigt den Einfluss der Sporenkonzentration auf das Resistenzverhalten. Auch die Wechselwirkung
Sorte/Konzentration war gesichert. Aus der Berechnung der Standardabweichung ergibt sich nach B?tz et al. (1972) eine Grenzdifferenz
von 4,2 (Wertzahl) bzw. 1,7 (Noten) für den Mittelwertvergleich der Sorten (Tab. 2).
Zw?lfj?hrige Prüfungsergebnisse werden in Tabelle 3 mitgeteilt, siebenj?hrige in den Tabellen 4 und 5. Bei geringer Variationsbreite
der Jahresmittelwerte schwankten die Sortenwerte von Jahr zu Jahr bis zu sechs Noten, obwohl an einem Beispiel eine gute Reproduzierbarkeit
der Ergebnisse demonstriert wird. Es wird empfohlen ab E-Stamm je zweimal acht Knollen aus zwei Wiederholungen des Feldanbaus
statt bisher nur aus einer zu entnehmen. Die Resistenzeisch?tzung sollte erst nach dreij?hriger Prüfung erfolgen. Zur Selektion
sollten m?glichst zweij?hrige Ergebnisse vorliegen.
Résumé Le test sur tranche de pomme de terre de Lapwood (1965) a été utilisé à l'Institut pour la Recherche sur la Pomme de terre
de Gross Lüsewitz depuis 1967 (fig. 1), pour apprécier la valeur du matériel génétique. Des études méthodologiques ont conduit
à effectuer certaines modifications de ce test.
Deux échantillons de huit tubercules chacun sont prélevés dans chaque cl?ne, pour être ensuite testés à trois semaines d'intervalle
à l'égard de deux pathotypes différents. Deux tranches prélevées à partir de chaque tubercule, sont testés à deux concentrations
différentes de suspension de zoospores. Ces tranches sont inoculées au moyen de disques de papier filtre trempés dans la suspension
de zoospores. Les tranches sont retournées 24 heures après inoculation. La formation du mycélium aérien est notée après cinq
jours (a) et sept jours (b) d'incubation, selon une échelle allant de 9 (absence de sympt?mes) à 1 (tranche antièrement recouverte).
Le brunissement des tissus fait aussi l'objet d'une notation après 7 jours (c). Le facteur Bs est calculé à l'aide de la formule 2a+b+c=Bs. Ainsi, 96 valeurs individuelles sont rassemblées dans le résultat du test pour une année.
Huit variétés ont été testées aux températures de 13, 17, 19 et 21°C. Les cinq pathotypes: 0, 1.3, 1.3.4, 1.2.3.4. et 1.2.3.4.7.8.9.10,
ainsi que leur mélange ont été étudiés sur trois variétés de pomme de terre.
L'écart type a été établi pour 96 échantillons. Les résultats ont été obtenus pendant une période de sept ans pour 10 cl?nes
et une période de 12 ans pour 6 variétés.
Tous les critères étudiés sont très sensibles à 19°C; cette température semble fournir de meilleur pouvoir de discrimination
(fig. 2).
Les intéractions températures-pathotypes et températures-variétés sont significatives. Les tests devraient être réalisés de
préférence à 18–19°C.
L'intéraction pathotypes-variétés n'est pas très forte mais demeure significative statistiquement (fig. 3). Une intéraction
pathotypes-concentrations est également mise en évidence. La figure 4 montre l'influence de la concentration de spores sur
la résistance. L'intéraction variétésconcentration est également significative.
A partir du calcul de l'écart type, une différence critique de 4,2 (facteur) ou 1,7 (note moyenne) pour la comparaison des
valeurs moyennes des variétés (tableau 2) concorde avec les données de B?tz et al. (1972).
Les résultats obtenus sur une période de douze ans sont présentés dans le tableau 3; Les tableaux 4 et 5 fournissent les résultats
de 7 années de tests. L'échelle de variation des valeurs moyennes annuelles est petite, mais les valeurs des variétés varient
énormément. Jusqu'à 6 points—entre les années—bien que l'on ait pu démontrer une bonne reproductibilité des résultats dans
un exemple.
Il est recommandé, d'après l'essai avec les cl?nes de prélever 2 échantillons de 8 tubercules cules chacun à partir de 2 répétitions
au champ au lieu d'une seule comme c'était fait de fa?on pratique auparavant.
La résistance pourrait être évaluée après seulement trois années de test. La sélection pourrait être basée sur les résultats
de deux années de test.
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Keywords: | sample size varietal differentiation temperature pathotype spore concentration year predisposition |
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